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Zemmour piège ses contradicteurs dans le « dilemme du Samaritain ».

Parfois, aider les gens est la pire chose que vous puissiez faire. Zemmour fait la leçon aux intellectuels progressistes et l’extrême gauche qui n’ont pas appris Buchanan à Science Po.

Le « dilemme du Samaritain » c’est quoi ?

L’économiste James Buchanan a inventé l’expression « le dilemme du Samaritain  » pour sa théorie. Il vient de la parabole biblique dans laquelle le marchand généreux a aidé l’homme battu et couché sur la route. Il le voit et paie les factures médicales et le remet sur pied.

Si on s’arrête à cette lecture, c’est une interprétation de gauche, le marchand est bon. Humaniste. C’est une bonne personne. Un « samaritain ».

Sauf qu’il existe une deuxième partie à l’histoire. La fois suivante le Samaritain emprunte la même route, il rencontre 3 autres personnes amis du 1er, qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit. Il les aide.

Il repasse encore et informés que c’est la route du samaritain, c’est ensuite 10 autres personnes qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit qu’il rencontre au nouveau voyage.

A chaque voyage, ils se multiplient. Très vite, le problème devient évident. Le Samaritain se retrouve obligé de dire non. Il doit retirer l’aide. Pour aider, il doit arrêter d’aider.

C’est une décision très difficile. L’aide ne peut pas être illimitée et on ne peut s’attendre à ce qu’elle devienne un abus du donateur et contraire aux intérêts du bénéficiaire.

La famille le lieu de découverte du « dilemme du Samaritain ».

Les parents découvrent cela avec les enfants. À un moment donné, vous devez couper l’aide financière pour les inspirer à l’indépendance. C’est l’un des moments les plus durs de la vie d’un parent : ça va à contre-courant. Les parents doivent mettre fin au soutien afin que l’enfant puisse trouver des façons créatives de vivre de manière autonome. Ils n’aiment pas ça. Les enfants vous remercient plus tard d’avoir fait la bonne chose. Plus tard.

Vous avez 2 enfants, frère et sœur. L’une est gestionnaire avec l’argent, paie ses dettes et a besoin d’un prêt rapide. Aucun problème. L’autre gaspille l’argent, il est en retard sur les factures. Lui prêter de l’argent perpétue le problème. Vous les aimez beaucoup tous les deux, assez pour ne pas permettre de mauvais choix. 

L’aide ne peut pas être illimitée si vous voulez vraiment qu’elle soit utile. Savoir quand et comment le faire est un « art  », pas une science.

Cela nécessite une expérimentation minutieuse au cas par cas. Il y a un moment dans le flux d’aide financière où il cesse d’aider et commence à subventionner l’oisiveté et les abus. Pour la maturité, pour la décence humaine, pour le respect de soi, il faut absolument qu’arrive finalement ce point où l’aide doit s’arrêter complètement.

La leçon s’applique à une vaste gamme de raisons.

La politique migratoire est un sujet auquel cette théorie s’adapte.

Le problème des aides aux migrants est précisément un cas de « dilemme du Samaritain »..

Les habitants de notre pays ont découvert qu’essayer de les aider est une bonne chose, mais que trop d’aide attire davantage. Le problème que vous cherchiez à résoudre s’aggrave. Le peuple de France a compris que tous les habitants du monde vient de partout pour vivre de la bienveillance du pays et ds aides sociales.

Ainsi va-t-il. Aider semble bien. Zemmour est le porte parole du « dilemme du Samaritain ».

Pourquoi les intellectuels comprennent moins vite que la population le « dilemme du Samaritain » qu’engendre les politiques d’aides migratoires ?

La théorie du « dilemme du Samaritain » n’est pas apprise à Science Po d’où les contradicteurs de Zemmour sortent majoritairement.

Les intellectuels et politiciens sont sociologiquement des enfants des sciences humaines et sociales. Plus payés en fonction d’un statut, d’une compétence indifféremment de l’encaissement des factures de son travail.

Une personne dans le commerce ou l’entrepreneuriat sociologiquement plus de droite, est bien plus a même de percevoir le « dilemme du samaritain » qu’un intellectuel de gauche. Toutes les serveuses dans un bar on étés un jour confronté au client qui lui a demandé de faire crédit pour un café qu’il paiera demain. Elle sait que même si la majorité est sincère, que même si c’est un voisin ou un client régulier, il arrive parfois que l’un d’entre eux ne revient pas et qu’en conséquence, lorsque qu’elle se trouve confronté à une telle demande, même comprenant, elle ne peut pas toujours aider sans prendre un risque que cela devienne un habitude ou un impayé.

Le terain et l’expériance du contact social est bien meilleur école pour comprendre « qui est qui’ que ne le sait le meilleur intellectuel diplomé en science sociale ou humaine de notre pays.

Zemmour radical ou contradicteurs pro-migrants irresponsables ?

Ne pas aider les migrants n’est pas une idée si radicale, encore moins cruelle. 

Si vous nettoyez toujours après vos colocataires, ils ne prendront jamais la responsabilité de leurs propres dégâts. Si les personnes qui prennent des risques irresponsables en escaladant la montagne sont toujours secourues aux frais de l’État, les aventuriers ne calculeront jamais correctement les coûts des risques qu’ils encourent. C’est pourquoi les randonneurs doivent payer leur propre sauvetage.

Cela semble cruel ? Pour un irresponsable intellectuel de gauche, mais factuellement pas vraiment. Parfois, vous devez retirer de l’aide pour inciter à une prise de décision appropriée. 

Il n’y a pas de règle absolue sur la quantité d’aide qui est trop d’aide, pas de point précis où vous êtes allé trop loin et avez causé plus du problème que vous essayez de résoudre. 

Pourtant, il est tout à fait insensé de ne pas admettre que le dilemme du Samaritain est réel. 

Elle fait partie de la vie telle que nous la connaissons et elle apparaît partout. C’est le grand problème auquel est confronté quiconque cherche à faire le bien. 

Ce qui nous amène au penchant des progressistes et de l’extrême gauche à tout promettre gratuitement. Soins de santé gratuits.

Des emplois pour toujours. Jamais aucun problème, grâce aux impôts illimités et à l’emprunt public. Pas de limites. Omniprésent, illimité, à jamais générosité ! 

Si vous êtes contre, comme Zemmour, vous êtes méchant vous serez accusé de « raciste. Cruel. Une mauvaise personne. 

Rassurez vous, Vous ne l’êtes pas. Vous êtes juste rationnel qui sait mettre le contradicteur en face de son « dilemme du Samaritain ». Et que derrière l’étiquetage il n’y a pas d’argument rationnel.

https://en.wikipedia.org/wiki/Samaritan%27s_dilemma

https://promarket.org/2021/09/26/buchanan-samaritan-dilemma-economic-history/

Par S Lequidam

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Ils ont fait taire Ron Paul, le défenseur des libertés et ses 1,2 million d’abonnés.

Sans avertissement préalable, Ron Paul a été empêché d’accéder à la plate-forme où il compte 1,2 million d’abonnés et pour la première fois de sa vie, il a été réduit au silence.

Ron Paul, est un partisan du libertarianisme, il préconise un État fédéral au rôle limité, de faibles impôts, des marchés libres, une politique étrangère non interventionniste ainsi qu’un retour à des politiques monétaires basées sur des métaux (or, argent) pour étalon.

Ses positions républicaines sont proche de Trump sur certains sujets et éloignées sur d’autres.

L’ancien législateur et triple candidat à la présidence américaine, le libertarien Ron Paul, a donc été réduit au silence par Facebook.

Son fils, le sénateur Rand Paul, a souligne dans un Tweet, que la promotion de la liberté est considérée comme une sédition pour Facebook.

La censure des opinions est à l’ordre du jour par les grandes entreprises technologiques.

Pendant la campagne électorale déjà il avait déjà reçu la censure, sa vidéo de Ron Paul Liberty Report, a été censurée sur YouTube en septembre 2019, compte tenu d’un soi-disant viol des « Règles de la communauté » de, pratiques trompeuses et escroqueries. »

Après une enquête plus approfondie on a découvert que ce qui avait commis le péché terrible (défini par Youtube) de ne pas être d’accord avec les directives de l’OMS sur Covid-19. Alors que l’OMS elle-même a modifié à plusieurs reprises ses directives sur la pandémie, les utilisateurs ordinaires ne sont pas autorisés à « Contester l’efficacité des recommandations de l’OMS. ».

Ils ont commencé avec le président Donald Trump et la boule de neige s’est abattue sur le libertarien le plus remarquable des USA : Ron Paul.

Sans avertissement, l’homme de 84 ans n’a pas été autorisé à accéder à la plateforme où il compte 1,2 million d’abonnés.

Lorsque la censure contre le président Trump a commencé, d’innombrables libéraux ont souligné que, comme il s’agissait d’entreprises privées, ils étaient en liberté.

Cependant, comme de plus en plus de personnes sont touchées, la connivence qui existe entre les entreprises et le pouvoir de l’État est évidente.

 

Comme l’a souligné le secrétaire d’État sortant Mike Pompeo,

Twitter a fonctionné de telle manière qu’il a profité au Parti démocrate et a nui au Parti républicain.

 

Maintenant, ils font même taire les référents libertariens, comme Ron Paul, qui depuis 1976 a été actif dans la diffusion politique des idées libertariennes et pour la première fois de sa vie a été réduit au silence .

Les nouveaux monopoles

Le corporatisme a nourri les monopoles qui déterminent aujourd’hui à qui se taire. Non seulement ils réduisent le profil des utilisateurs, mais leur refusent lentement l’accès à Internet.

Tout comme à Cuba, où le Parti communiste a le monopole des services et détermine par conséquent qui peut les avoir, dans ce qui était autrefois la terre de la liberté jusqu’à présent, où les exilés du monde ont fui, maintenant il a fait taire les voix.

La campagne du président Trump a même perdu l’utilisation de son courrier électronique pendant plus de deux jours.

Depuis sa campagne électorale de 2016, Trump est accusé par ses opposants d’être un tyran, fasciste, nazi, autoritaire, etc.

Cependant, c’est depuis son départ imminent du pouvoir que les rues de la capitale ont été militarisées et la liberté d’expression limitée. Pas l’inverse.

L’autoritarisme se cache

Cette situation rend le poème de Martin Niemöller plus pertinent que jamais.

« (…) Ils sont d’abord venus chercher les communistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas communiste.

Puis ils sont venus chercher les juifs et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas juif. 

Puis ils sont venus chercher les syndicalistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas syndicaliste. 

Puis ils sont venus chercher les catholiques et je n’ai rien dit parce que j’étais protestant. 

Puis ils sont venus me chercher, mais à ce moment-là, il n’y avait plus personne à qui dire quoi que ce soit.  »

L’avertissement de Niemöller est clair : n’attendez pas que l’autoritarisme frappe à votre porte, car il pourrait être trop tard.

 

La « Big Tech » contre Trump

Trump a rompu avec la figure traditionnelle du président. Il n’est pas diplomate. C’est un homme d’affaires, frontal. C’est pourquoi il a provoqué des passions, de l’amour et de la haine si contradictoires.

Étant une figure si polarisante, ses détracteurs ont applaudi ou sont restés passifs face à la censure à son encontre. Eh bien, ils allèguent qu’il a incité à la violence, à la suite des événements du 6 janvier au Capitole.

Mais son discours montre le contraire, il a appelé à la paix, au respect de l’autorité et en se rappelant qu’il représente le parti de la loi et de l’ordre.

 

Cependant, les médias de masse ainsi que les réseaux sociaux ont supprimé son message et l’ont accusé de provoquer les émeutes et de justifier la censure à son encontre.

Alléguant qu’il mettait en danger les institutions du pays, la « BIG TECH » s’est attaquée au premier amendement de la Constitution Américaine : la liberté d’expression.

 

Comme l’a dit Benjamin Franklin, « ceux qui renoncent à la liberté essentielle pour acheter un peu de sécurité temporaire ne méritent ni liberté ni sécurité. »

 

Par Spartacus Lequidam

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Une lettre de millionnaires hypocrites et désœuvrés

Voici donc une lettre soi-disant écrite par 83 millionnaires pour réclamer plus de taxes.

Pour la presse de gauche qui déteste les réussites, les talents et l’enrichissement, qui fait la promotion de cette manipulation grossière, c’est du caviar.

Ne sont-ils pas de gentils et plein d’idées étatistes ces millionnaires et si désoeuvrés ?

Voici ce qu’ils écrivent :

Les problèmes causés par et révélés par Covid-19 ne peuvent être résolus avec la charité, aussi généreuse soit-elle. Les chefs de gouvernement doivent prendre la responsabilité de lever les fonds dont nous avons besoin et de les dépenser équitablement. Nous pouvons nous assurer de financer adéquatement nos systèmes de santé, nos écoles et notre sécurité grâce à une augmentation d’impôt permanente sur les personnes les plus riches de la planète, des gens comme nous. »

Contrairement à des dizaines de millions de personnes dans le monde, nous n’avons pas à nous soucier de perdre nos emplois, nos maisons ou notre capacité à subvenir aux besoins de nos familles. Nous ne nous battons pas en première ligne de cette urgence et nous sommes beaucoup moins susceptibles d’en être les victimes.

Donc s’il vous plaît. Taxez-nous. Taxez-nous. Taxez-nous. C’est le bon choix. C’est le seul choix.

L’humanité est plus importante que notre argent.

Les signataires »

La raison de cette lettre dictée qui dégouline de clichés est telle, qu’on peut vraiment développer une animosité envers les millionnaires, du moins envers cette mini-minorité pitoyable de ces 83 qui se sont réunis ici pour montrer leur pseudo-altruisme et leur pseudo-bonté en faisant l’apologie de la coercition de l’état et leur absence d’empathie personnelle pour ne pas faire par eux même le bien autour d’eux.

Mais qui sont ces gens qui culpabilisent d’être riche et signent cette lettre lettre pour se faire croire vertueux et plein d’altruisme ?

Rassurez vous, ils ne représentent pas les plus riches, vous n’y Trouverez pas Bill Gates ou Carlos Slim.

Ne croyez pas les médias. Ils ne représentent pas les « millionnaires », mais une minorité de parvenus indécents.

La majorité d’entre eux sont des millionnaires de l’état ou des rentiers.

Les fondateurs d’usines de glace Américaine ont vendu leur affaire. Ils ne vivent que de placements.

Par curiosité allez voir les « français de la liste ».

Les Français sont la caricature de la caricature. Des profiteurs de marché d’état ou factures de services aux sociétés, entreprises ou groupes subventionnés de l’état. IL est vrai qu’avec 57% de prélèvements, l’impôt, c’est leur gamelle.

Beaucoup d’entre eux sont effectivement des désœuvrées, ils ne sont pas sur « société.com », et à l’évidence sont des salariés qui ne savent pas ce qu’est prendre des risques ou monter sa boite sans filet.

Il y en a un qui est un privilégié de la gamelle de l’état comme ancien des sociétés d’états, ex-cadre supérieur d’EDF et de la banque de France. Il a co-fondé une entreprise avec une 1ere commande assurée de son ex-employeur la banque de France et ses contrats sont des services aux entreprises publiques. Il ne paye même pas EDF. L’état et les impôts pour lui c’est jackpot.

Comme si les impôts ou le gouvernement étaient la réponse, En France, ce pays en économie de favoritisme, avec 57% du PIB prélevé devrait selon cette logique être le pays au monde sans aucun pauvre.

Aucun des crétins de ces 83 millionnaires ne se considère auto-responsable et capable du libre arbitre de son argent.

Ces bobos sont ils a ce point désœuvrés de faire quelque chose par eux-même, s’il sont a ce point si préoccupé par les pauvres.

Ils ont l’air plus préoccupés par l’image d’altruisme que d’être des vrais altruistes.

Responsabilité personnelle, aide directe, en fin de compte être en contact direct avec ceux qu’ils voudraient aider, pour ces bobos c’est dégoûtant. Horrible. Il faudrait un état nounou qui les guide pour savoir quoi faire de leur argent.

Il est plus facile d’appeler l’État et le célébrer dans une lettre ouverte et montrer vouloir se décharger de ses responsabilités que d’assumer être quelqu’un de vraiment vertueux.

C’est bien quand on peut se célébrer comme une bonne personne sans jamais rien faire de bien.

L’absurdité de cette lettre est que les 83 millionnaires essaient d’acheter l’absolution pour leur richesse, comme si vous pouviez acheter du caractère, de la conviction, de l’empathie, des principes, de la charité …

Imaginez vous qu’ils ne savant pas quoi faire de leur argent ni décider par eux même ou et comment s’en servir.

Aucun de ces millionnaires ne se considère capable d’initiative et responsable de ce qu’il fait de son propre argent.

S’ils sont si préoccupé par les pauvres, pourquoi ne prennent-ils pas leur argent pour affréter concrètement un container plein de matériels de soins et médicaux pour un dispensaire à Madagascar ou Centrafrique, qu’a signer une lettre ou vous montrez que vous êtes trop stupide pour y penser vous même et un état qui ne le fera pas a votre place.

S’ils sont trop « occupés » il y a des dizaines d’associations, comme le secours catholique ou médecin du monde.

Ou pourquoi pas soutenir la liberté d’expression en offrant directement des sites comme Lequidampost Dreuzinfo ou contrepoints?

Qu’ils n’hésitent pas a me contacter dans les commentaires, mails ou Tweeter. Je me propose de collecter leurs fonds donc ils sont incapables de prendre l’initiative d’utiliser pour le bien et de leur envoyer mon RIB.

Aider je sais ce que c’est, et j’ai pas besoin d’un état pour m’expliquer comment faire.

Qu’ils n’hésitent pas

Mais eux en on même pas le début du commencement de l’idée.

Une lettre aux signatures d’hypocrites désœuvrés.

Même les riches ont chez eux leurs idiots-inutiles.

Pitoyable !

Par Spartacus Lequidam

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Paris. Le problème structurel

Paris, c’est une forte concentration de bruits, de voitures, de gens, de béton, de pollution. Les casseurs d’extrême gauche, les Zadistes qui font les nuits-debout, le chantage permanent des employés dans le monopole des transports qui bloquent la liberté de circuler, les manifestations extrémistes qui cassent les commerces, les agressions dans les transports en commun, les difficultés pour se loger sont les maux que chacun peut constater.

Mais ces faits sont réels et il est donc logique que les habitants en souffrent.

La vérité est simple. Paris est une capitale avec une densité par habitant la plus élevé du monde occidental.

 

PARIS c’est 21 000 habitants au km2.

A coté, Singapour avec la mer qui limite son agglomération, et ses gratte-ciels fait figure de champ à la campagne avec seulement 12000 habitants au km2.

 

A la densité officielle, s’ajoute les gens qui y habitent et ne figurent pas dans les données officielles de Paris, les « non-déclarés » illégaux ou légaux.

Les milliers d’illégaux dispersés, de la porte d’Aubervilliers ou porte de la Chapelle ne sont pas dans les statistiques du nombre d’habitants.

Les milliers d’étudiants en habitat de passage pour la scolarité, les travailleurs intérimaires ou contrats courts ne sont pas enregistrés comme habitants officiels, mais seulement des logés de passage et ne sont pas inclus dans ces statistiques de densité.

 

 

Tout est à Paris. Le gouvernement, les ministères, les grandes écoles, les grands hôpitaux, les sièges sociaux, les lieux culturels, les médias.

L’attractivité et la concentration des activités entraînent des flux urbains énormes pour se rapprocher de Paris.

 

Les transports en commun de tout le pays y est ultra centralisé. Pour voyager du Havre à Grenoble, vous devez traverser Paris, aussi bien en voiture, train ou bus.

Ultracentralisation qui génère encore plus de monde au kilomètre carré en incluant ces flux nombreux et divers.

 

Le lieu le plus pollué de Paris n’est pas la rue mais le métro.

 

Chaque candidat aux prochaines élections en va de sa promesse démagogique de mettre fin aux maux des Parisiens.

 

Les écolos font rêver d’un fantasme démagogique de promesses d’une ville verte avec des pistes cyclables, de supprimer des voitures. De créer des espaces verts. Ou réduire les voies.

Les bolcheviques la promesse de construire plein de HLM.

 

La droite d’assurer la sécurité.

La réalité c’est que tous veulent le pouvoir pour le pouvoir et tous ont des promesses démagogiques

 

Pour planter un arbre, il faut 12 à 15m2 de surface foncière au sol. Et une chance sur 2 qu’il crève dans les 2 ans, le sol est déjà pollué et entre les chiens vont uriner dessus ou les dégradations volontaires si nombreuses. Végétaliser est une farce démagogique pour attirer le bobo.

 

Le cycliste de la photo prise au mois de mai dernier, plein soleil radieux, vous vante le bonheur du vélo. Je vous confirme, en plein soleil, vêtu loisir, à circulation urbaine réduite avec le Covid, le vélo à Paris, c’est certainement super agréable. Voire génial.

 

Par contre la photo de novembre sous pluie battante, ce sera trempé jusqu’aux os, malade, le nez qui coule. En janvier à -3° avec verglas ou neige, ce sera bras ou nez casé sur le bitume, vélo plié et pneumonie et regret de ne pas avoir été au chaud dans un véhicule avec une carrosserie ce jour là.

 

Les promesses de logements HLM, c’est surtout pour les extrêmes gauchistes l’idée inavouée de faire du clientélisme et du favoritisme à l’attribution pour se créer une clientèle durable qui remplace celles pluralistes, et devenir des élus apparatchik a vie.

 

A moins de construire plus haut ou creuser profond, il n’y a pas de place foncière pour des nouveaux logements dans des surfaces déjà encombrées.

 

Paris est une ville fermée, pour faire des nouveaux logements ou planter des arbres, il faut enlever des logements ou déplanter des arbres.

A Paris, même la périphérie est saturée.

 

Il n’y a pas de place pour faire des pistes cyclables dans une ville déjà engorgée de voitures.

On a enlevé les voies sur berge, la photo sans congestion automobile est jolie, sauf que les voitures engendrent des embouteillages encore plus monstres ailleurs. On déplace le problème. C’est tout.

 

La seule solution, est de régler le problème structurel. L’attractivité et le centralisme de la ville de Paris. Qui fait que tout le monde doit y aller ou y vivre.

 

Pour gérer la densité sociale ou diminuer le trafic de véhicules, il en faut pas promettre des logements dans une urbanisation déjà bondée, pas plus que réduire les voies empêche les raisons ou motivations de traverser ou se rendre à Paris.

 

Le problème est structurel. L’attractivité de Paris est sa maladie.

 

Pour « dé-densifier », pour « réduire le trafic », il faut réduire ce qui amène les gens à vouloir vivre à Paris, à se déplacer à Paris et en harmonie avec eux. Pas en les stigmatisant ou diabolisant ou les éjectant par la coercition.

 

Pour réduire les problèmes des Parisiens, il faut réduire les raisons de l’attractivité.

 

C’est à dire s’attaquer au tout état et au Jacobinisme.

 

C’est à dire enlever le ministère des finances de Bercy, et l’envoyer à Granville, proche des îles Jersey, pour être plus à proximité de l’optimisation fiscale.

Déplacer le ministère de la justice de Paris centre et l’envoyer à Guéret à coté de la maison d’arrêt par exemple.

 

Déplacer le musée d’Orsay à Bagnère de Bigorre.

 

Mettre le siège social de France Inter à Roubaix. Pour rapprocher les journalistes militants des inégalités sociales.

 

Le meilleur exemple pour cette politique écologiste doit être donné par le ministère de l’écologie et du développement durable. S’il allait se mettre à Caunette sur Loquet ville ou il y a le plus d’agriculteurs de France ?

 

En effet que font ces gens si proches de la nature en plein Paris à contribuer à polluer, prendre de la surface foncière anti-écologique dans une concentration qu’ils détestent ?

Il reste une question, ont-ils plus envie de contraindre les autres aux solutions écolos que se les appliquer à eux-mêmes ?

 

Par Spartacus Lequidam

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Qui est Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’actuel président de l’OMS ?

 

L’OMS passe aux yeux de l’opinion non concernée, comme une autorité universelle dont le jugement n’a jamais été remis en question.

Les politiciens font appel à sa parole, à sa supposée infaillibilité scientifique et politique. Ils se tournent vers ses analyses, qui sont considérées comme incontestables par l’acronyme OMS, comme si l’organisation était une église de Scientologie, et ce que le prophète « OMS » dit était la parole de Dieu.

Les bureaucrates et technocrates de tous les pays suivent le doigt sur la couture du pantalon les « recommandations de l’OMS », gage d’une excuse toute faite, et évite de réfléchir par soi-même.

 

Mais qui est Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’actuel président de l’OMS ?

Tedros Adhnom Ghebreyesus est un homme politique et ancien fonctionnaire du régime communiste dictatorial d’Éthiopie, où il a été ministre de la Santé.

Membre fondateur de la Ligue Marxiste-léniniste du Tigray et son bras armé le parti du Front de libération du peuple du Tigray, un parti socialiste marxiste a visée génocidaire des classes bourgeoises. Une enquête d’investigation de la BBC a montré que dans les années 80, l’argent de l’aide humanitaire servait a acheter des armes en laissant crever de faim les régions non soumises au marxisme.

En 2017, cet homme est devenu directeur général de l’OMS, soutenu par la Chine, bien qu’il soit accusé d’avoir masqué trois épidémies mortelles de choléra sous le nom de « diarrhée aqueuse aiguë ». Alors qu’il a été élu à Genève, des groupes éthiopiens manifestaient devant le siège de l’ONU pour dénoncer sa complicité avec le régime éthiopien, allié du Venezuela, de Cuba et de la Chine. Le régime éthiopien a commis d’innombrables violations épouvantables des droits de l’homme, le génocide des minorités, les massacres de manifestants, la torture des dissidents et les arrestations politiques et les détournements de fonds humanitaires.

Ce monsieur est arrivé au pouvoir à l’OMS grâce au vote des membres de l’Union africaine. La plupart de ces pays sont souvent gouvernés par des dictatures violentes, ou ils restreignent les droits et libertés. Ils souffrent également d’une corruption endémique et structurelle. De plus, ce monsieur a été nommé secrétaire général de l’OMS grâce au lobbying et au soutien explicite du régime communiste chinois.

La première chose que ce monsieur a faite lorsqu’il est devenu président de l’OMS a été de nommer Robert Mugabe ambassadeur de bonne volonté de l’organisation dans le monde.

Oui, vous avez bien lu : Robert Mugabe, le dictateur africain qui sous sa présidence a fait reculer le nombre de médecins pour 100 000 de 14 à la fin des années 1990 à 0,8 à la fin de son mandat.

Le plus cruel dictateur d’afrique assoiffé de sang dominé par le meurtre, les effusions de sang, la torture et l’intimidation à grande échelle, corrompu, qui, en plus de promouvoir le nettoyage ethnique tribal et de pratiquer la torture et le crime, était un fervent partisan de la Chine et promoteur corrompu de la Chine pour son contrôle des matières premières sur ce continent. Mugabe a quand même été en poste 5 jours avant que la pression des ONG et des USA ne le fasse reculer.

 

Ce monsieur, ancien ministre des Affaires étrangères de l’Éthiopie et maintenant directeur général de l’OMS, est un autre pion du régime communiste à Pékin sur la scène mondiale, tout comme Mugabe l’était autrefois.

La Chine est le principal partenaire commercial de l’Éthiopie et a également investi plusieurs millions de dollars dans les infrastructures en Éthiopie, qui deviendront un élément essentiel de la nouvelle route de la soie.

Parmi les autres services rendus à ses amis de Pékin, ce monsieur a opposé son veto à Taiwan, l’archi-rival de la Chine communiste, lors des sessions de l’OMS d’être un membre. Mais pire encore, en 2019 il a coupé à Tawain les accès aux données de santé de l’OMS.

Et tandis que Taiwan a mis en garde en janvier contre le danger de contagion en Chine, l’OMS a exhorté à ne pas restreindre les vols et le commerce avec ses alliés de Pékin.

Non seulement soutient non discret des interets de la Chine à l’OMS, mais en plus criminel, ce monsieur, a refusé de déclarer le COVID-19 une pandémie jusqu’au 10 mars, même s’il s’était déjà largement répandu dans les pays européens. L’Italie s’était déjà effondrée. L’Espagne était au milieu d’une propagation virale et le COVID-19 s’installait en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. L’Asie est infectée depuis plus d’un mois et le virus commençait à être détecté dans les Amériques. Par conséquent, personne n’a compris le retard de la part de l’OMS. À moins que cela n’ait rien à voir avec la guerre contre le virus mais qu’il soit lié à la guerre de propagande, dans laquelle les communistes sont de dangereux experts.

Taïwan n’a pas attendu l’OMS et a stoppé le virus à temps, utilisé la meilleure politique du monde, mais cet homme nous a privé de l’expériance et la vigilence de ce pays.

La Chine a caché au monde les origines de l’épidémie et a faussé le nombre de cas et de décès. Mais il a gagné la bataille de la propagande parce que l’OMS, c’est-à-dire son Directeur général, a loué sa transparence et son efficacité dans le monde.

Le soutien de l’OMS à la Chine a provoqué d’innombrables décès et infections dans le reste du monde et est déjà devenu l’une des raisons de la crise économique brutale qui vient de se dérouler.

Au lieu de demander sa démission et remettre en cause Tedros Adhanom, dans un tweet Macron se fend d’avoir eu avec le président de l’OMS une conversation très riche et chaleureuse.

Affligeant.

Il ne faudra pas oublier

C’est l’OMS qui a critiqué officiellement Trump pour avoir appliqué des restrictions de voyage en Chine.

C’est la même OMS qui a à plusieurs reprises félicité la Chine pour son incroyable « transparence » alors que la vérité est que les mensonges Chinois ont coûté des dizaines de milliers de vies.

Et c’est la même OMS qui a qualifié les mensonges chinois d’évangile, déclarant le 14 janvier que « les autorités chinoises n’ont trouvé aucune preuve claire de la transmission interhumaine du nouveau coronavirus ».

Par Spatacus Lequidam

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Les 80 ans du massacre de Katyn

Le massacre de Katyn est l’un des plus grands crimes de guerre de la Seconde Guerre mondiale.

Entre le 3 avril et le 11 mai 1940, sous les ordres directs de Staline, quelque 22 000 personnes ont été exécutés tous les jours par centaines pendant un mois et demi dans plusieurs Charniers en Pologne, Ukraine et Biélorussie par les forces soviétiques qui pour étendre le communisme par la destruction physique des élites Polonaises, au nom de la lutte des classes.

Les forets de Katyn, Kharkov (Ukraine), Minsk (Biélorussie) Kiev (Ukraine) sont les lieux d’exécution,

desision tuer cadres polonais

 

Les 80 ans du massacre de Katyn

 

 

Prisonniers de guerre, généraux, gradés militaires, soldats, policiers, fonctionnaires des ministères de la 2eme république Polonaise ont été abattus dans une forêt près de Katyn, un village à 20 kilomètres à l’ouest de Smolensk, on y a retrouvé indifféremment hommes et femmes.

En 1945, sept crânes ont été amenés à l’Institut de médecine légale de Wroclaw.

L’enquête a révélé que l’un des crânes appartenait à une femme. 

Les 22 000 personnes prisonnières par les Russes qui sont alliés aux Allemands passent un premier temps dans des lieux d’enregistrement autour de Katyn.

Tous les prisonniers sont soigneusement enregistrés et interrogés de manière approfondie. Les officiers du NKVD savent exactement qui est qui, ceux qui déguisaient leurs identités ou donnaient de fausses informations était torturés.

De nombreux journaux intimes, lettres et autres documents sur les assassinés ont été retrouvés lorsque leurs corps ont été exhumés et permis d’en savoir de nombreux détails.

Certaines notes retrouvées ont été écrites à portée de tir. 

Les généraux Polonais prisonniers étaient convaincus que tout le monde serait bientôt libéré ou remis aux Alliés.

 

Peu de temps auparavant, il y avait eu une vaccination générale contre le choléra, ce qui renforçait la confiance dans leur remise ou leur libération. Sinon, pourquoi gaspilleriez-vous les vaccinations coûteuses? 

En vérité, c’était un cynisme perfide des soviétiques pour garder les prisonniers calmes avant leur exécution. 

Les transports en wagons a bestiaux partaient tous les jours vers le lieu d’exécution de masse. Certains officiers russes ont proposé de stocker les objets de valeur des prisonniers afin qu’ils ne soient pas endommagés en transit.

Ils n’ont obtenu aucune information sur la destination du voyage. Les trains s’arrêtaient dans les champs de Katyn, pour attendre des bus, et faisaient sortir les gens. Une semaine ou le soleil brillait dans un ciel bleu et une végétation printanière. Certains écrivent sur leur note que c’est un bon instant sans savoir ce qui va leur arriver.

Des étranges bus aux fenêtres peintes sont arrivés. Lors de l’embarquement les montres des prisonniers, les stylos plume, les alliances et autres objets de valeur ont été retirés. Les bus peu de temps après, se sont arrêtes en bord de foret. On a fait descendre les prisonniers et ils ont étés exécutés industriellement par les communistes.

Pour ceux qui ont tendance a oublier que la seconde guerre mondiale a été déclenchée par une alliance entre les nazis et les communistes, il y a des photos qui rappellent que les soldats nazi et soviétiques se donnaient la main.

 

https://www.youtube.com/watch?v=oA7irWpl_bY

https://www.youtube.com/watch?v=_1MEe-dcjW8

sovietique et nazys

soviet et nazis 2

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la sante aux états unis

Antiaméricanisme démythifié . Part1 la Santé

Tout dans cet article informatif, qui vous surprendra est vérifié et vérifiable.

Cet article va « désembrouiller » le cliché antiaméricain qui vous conditionne, par la pensée unique. Les faits sont les faits, et les résultats de la médecine Américaine est une des meilleures au monde. Vous allez être éclairé et étonné.

 

Il tellement devenu une habitude de cracher sur les USA dans la pensée unique des médias, qu’ils ne se rendent plus compte de la réalité. Le manque de diversité culturelle et intellectuelle des journalistes Français préférant présenter à charge des USA en permanence et passer sous silence le meilleur de ce pays par mimétisme de caste a complètement faussé la réalité.

Toutes les affirmations de cet article sont « sourcées » les liens sont en bas de page.

 

1- Est-on bien moins bien ou mieux soigné aux USA ?

Ce qui importe dans la santé, c’est le résultat.

La lutte contre les cancers est plus efficiente. La prévention des maladies est efficace. Le choix et l’offre des médicaments est beaucoup plus large. Les hôpitaux sont mieux équipés.

Quelques exemples que les états unis surpassent l’Europe et la France dans les soins.

-90% des patientes américaines atteintes d’un cancer du sein vivent au moins cinq ans après le traitement, contre un taux de survie de seulement 85% dans les autres pays de l’OCDE.

-80% des femmes américaines ont reçu un dépistage « opportun » du cancer du col de l’utérus, contre seulement 73% des femmes des autres pays de l’OCDE.

La performance supérieure de l’Amérique en matière de soins contre le cancer est incontestable.

Une étude de 2017 sur l’épidémiologie et la santé a révélé que, par rapport à la Grande-Bretagne, le Canada et la France, les États-Unis ont enregistré de meilleurs taux de survie pour le cancer de la prostate et de l’estomac, ainsi que pour le cancer du sein.

Les États-Unis ont les taux de survie à cinq ans les plus élevés pour le cancer du sein, du côlon, du poumon et de la prostate.

Les taux de mortalité américains 30 jours après une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral (AVC) sont nettement inférieurs à ceux de la plupart des autres pays de l’OCDE. Source étude internationale American Medical Association.

90% des Américains nécessitant une intervention chirurgicale sont en mesure de planifier dans un délai d’un mois après avoir été informés qu’ils ont besoin de l’opération. C’est le plus court temps d’attente et la meilleure productivité du monde.

 

Il y a des limites inhérentes à toute comparaison de pays à pays. Il existe de grandes différences entre les pays dans les modes de vie, la génétique et les facteurs environnementaux.

Par exemple, la population Américaine a plus de gens notoirement en surpoids . Le taux d’obésité aux États-Unis est 3eme plus élevé parmi les 36 pays membres de l’OCDE. C’est aussi le facteur déterminant qui mine l’espérance de vie des Américains.

L’obésité engendre plus de maladies, telles que le diabète, les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux.

Plus d’un Américain sur 10 souffre de diabète, une situation qui engendre des coûts énormes sur le système de santé. La prévalence de l’obésité et du diabète n’affecte en rien la qualité des soins ou de gestion du système, à moins que la « solution » soit de cesser de traiter autant de diabétiques l’Amérique dépensera toujours plus, et l’obésité est une des raisons des coûts plus élevés.

 

L’offre est plus développée puisqu’il n’y a pas un « monopole du payeur ». Les négociations sur le prix des médicaments sur ordonnance menées dans les systèmes à payeur unique type sécurité sociale Française, engendre un refus d’achat de médicaments dont le prix dépasse les montants fixés et donc limite l’offre dans nos pays européens par rapport aux USA.

Les hôpitaux sont mieux équipés et plus utilisés.

Les quatre graphiques suivants sans commentaires montrent le nombre et l’utilisation d’appareils d’IRM et de Scanners dans les pays occidentaux.

Les USA sont quasi toujours devant.

Par rapport au cliché anti-américain : en ce qui concerne les maladies coûteuses, la lutte contre le cancer, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux et autres l’Amérique obtient des résultats supérieurs et soigne nettement mieux ses malades en offrant plus de choix de médicaments et des hôpitaux mieux équipés. Mais le mode de vie entraîne plus d’autres maladies comme les diabètes liées au surpoids.

 

 

2-Les coûts de la santé

Les soins de santé aux États-Unis sont chers, principalement parce qu’ils utilisent beaucoup de main-d’œuvre plus qualifiée, qui coûte plus cher aux États-Unis que dans d’autres pays. Le temps d’étude supérieure (minimum 9 ans) pour obtenir les diplômes de médecine sont plus longs et complets que dans les autres pays.

Les États-Unis représentent 41% des dépenses mondiales en médicaments, contre 13% pour les cinq plus grands pays européens réunis et 11% pour la Chine.

Les négociations sur le prix des médicaments d’ordonnance menées par les autres pays occidentaux comme en France, organisent un concept en une gestion de « refus d’achat » de médicaments et moyens pour les assurés par le conventionnement de la sécurité sociale, et privent les habitants de ces pays de la disponibilité des nouveaux nombreux médicaments qui peuvent améliorer le sort des patients. Les USA en marché libre diffèrent de ce principe de monopole « conventionné ou invisible » pour les patients comme en France.

4 des 5 plus grosses multinationales pharmaceutiques du monde sont Américaines. Les coûts de développement proviennent principalement des revenus provenant des États-Unis. Le patient Américain paye les coûts de développement et d’investissement de mise sur les marchés des nouveaux médicaments pour le monde entier. Les médicaments sont plus chers qu’en Europe.

 

En France, par exemple, la sécurité sociale ne conventionne que 23% des nouveaux médicaments, tandis que les régimes d’assurance privés Américains couvrent 84% des nouveaux médicaments.

L’offre abondante peut laisser des individus à supporter des frais de leur poche pour avoir accès aux meilleures thérapies innovantes qui ne sont pas encore une diffusion en volume pour être compétitifs. Mais au moins les médecins ont un accès à des propositions d’offre et de choix plus complètes pour leurs patients.

 

 

3-Espérance de vie.

L’espérance de vie est excellente aux USA.

Ne dites jamais cela en public, sinon vous passerez pour fou. Il faut dire que Google et les publications médiatiques ne manquent pas pour prouver le contraire. Un conditionné en général n’accepte pas la contradiction de ses certitudes même en face des preuves.

 

Quand on compare, l’espérance de vie de la France et qu’on en fait un argument, c’est comme si les Luxembourgeois se moquaient de l’espérance de vie de la France. En France, on vit plus vieux en région Parisienne que dans le Grand Est. C’est pareil aux USA, mais en plus à une échelle d’un pays qui fait la moitié du continent. On vit plus vieux dans le New-Jersey qu’au Mississippi.

 

Si chaque état Américain était compté comme un pays (il y en a 50), le New-Jersey, le Massachusetts, le Connecticut seraient les pays à la meilleure espérance de vie du monde…

La comparaison est loin d’être ridicule, le Minnesota a autant de population que la Suède ou le Danemark, les gens y meurent plus vieux qu’en Suède et Danemark qui sont pourtant classés dans le top du monde devant l’Amérique tout entière…

La différence d’espérance de vie de la moyenne aux USA n’est en aucun cas liée au système de santé mais aux comportements, comme la prise d’opiacés et les suicides. C’est une moyenne. Plusieurs états Americains onr une plus grande espérance de vie que les autres pays occidentaux.

 

4-Taux de mortalité infantile

Pour la mortalité infantile, vous ne pouvez éviter la caricature sur les statistiques négatives du taux de mortalité plus élevé que d’autres pays occidentaux.

C’est même un argument majeur de l’antiaméricanisme que vous avez tous entendu…

 

Le gros problème, c’est qu’en fonction du pays, elle n’est pas comptabilsée pareil.

 

En France, Belgique ou l’Espagne ne compte dans les statistiques de mortalité que les bébés nés après 22 semaines de gestation soit de 140 jours après la naissance jusque la fin de la 1ere année.

En Pologne, en Allemagne un bébé doit peser au minimum plus de 1kg pour compter comme une naissance vivante dans les statistiques. On compte les enfants nés vivants, on exclut les enfants morts nés.

Dans les statistiques de mortalité infantile, aux États Unis la définition de la mortalité est prise au jour de la naissance. Ce qui modifie la totalité des effets d’annonce diabolisant antiaméricains qui vous sont imposés.

 

La vérité est qu’en ajustant au niveau américain les données, c’est à dire mortalité dès la naissance sans pondération comme les pays qui excluent le temps de gestation (France) comme le poids, l’Amérique se retrouve dans le top 3 avec une mortalité au plus haut niveau et les pays qui se gargarisent d’en avoir une plus faible comme la France passent au dessous.

A contrario, les États-Unis ont le taux le plus élevé du monde de naissances avant terme. Les professionnels de la santé américains, dépensent des centaines de milliers de dollars en moyens pour sauver la vie d’un bébé prématuré plus que tout autre pays au monde.

 

 

 

5-Les Américains disposent-ils tous d’une assurance maladie et peuvent ils tous être soignés ?

Aujourd’hui, plus de 91% des Américains ont une assurance maladie d’une manière ou d’une autre. Un peu plus de la moitié des Américains sont couverts par une mutuelle ou assurance employeur ou par un membre de leur famille. (Salariés, employeurs, enfants).

Les autres cas hors employeur sont :

-18% (60 millions) ont une couverture par le biais de Medicare, un programme fournit par la sécurité sociale (la sécurité sociale aux USA, c’est l’assurance retraite) qui couvre à 100% toutes les personnes âgées de plus de 65 ans et les personnes handicapées (hors optique et dentaire).

-17% ont une couverture par le biais de Medicaid, un programme qui couvre les personnes à faible revenu. Le système a été copié dans le monde entier, en France, le gouvernement Français a copié le principe avec la CMU.

-5% achètent une couverture maladie sur le marché individuel, soit Obamacare, soit directement auprès d’une compagnie d’assurance.

 

 

6-Détail des 30 millions de « non-assurés » qui font le cliché antiaméricain médiatique.

Environ 9% des Américains, (30 millions) n’ont pas d’assurance maladie officielle.

-Plus de la moitié d’entre eux, (55%) sont principalement du « non recours ». La transition ou mobilité sociale joue. Certains attendent d’avoir un job et un employeur, ou alors une maladie concrète pour s’inscrire aux droits qu’offre a tous Medicaid.

En examinant les données, les analystes de l’AEI ont noté qu’environ 15 millions d’Américains non assurés sont éligibles à une couverture Medicaid. Il manque juste aux USA un service d’inscription automatique des personnes sans couverture d’assurance à Medicaid actuellement en phase de préparation pour combler cette lacune.

-4 millions de personnes sont éligibles à une assurance parrainée par l’employeur, mais ne s’inscrivent pas et ne remplissent pas les papiers de l’assurance de leur employeur.

-4 millions sont des 100% illégaux aux USA ou migrants économiques (sauf femmes enceintes). Les migrants légaux qui n’ont pas 5 ans de présence aux USA et n’ayant pas pris d’assurance individuelle ou mutuelle employeur sont inadmissibles à une couverture sociale Medicare ou Medicaid financée par les contribuables (les vrais réfugiés politiques persécutés, les exilés Cubains n’ont pas à attendre 5 ans).

-4,5 millions ont des revenus annuels élevés ou rentiers qui dépassent les 400% du niveau de pauvreté fédéral (103 000 $) et ne sont pas admissibles à Medicaire ou Medicaid et refusent sciemment d’avoir une assurance privée et payent leurs soins de leur poche.

-2,5 millions de personnes non assurées sont de pauvres Américains qui vivent dans des États qui n’ont pas étendu la prise en charge gratuite de Medicaid. C’est un problème de blocage Américano-américain politique qui serait résolu par des mesures ciblées et qui n’ont jamais été faites.

 

La loi fédérale oblige tous les hôpitaux à but non lucratif à traiter les patients Medicare et Medicaid. Les clichés Anti-américains qu’adorent caricaturer les journalistes gauchistes comme France5 qui expliquent que les hôpitaux refusent les patients sont juste stupides et des cas rares et exceptionnels de malveillance mais n sont pas la réalité. Medicare et Medicaid représentent 50% de tous les soins fournis par les hôpitaux. Par conséquent, Il serait économiquement suicidaire pour les hôpitaux de refuser ces patients.

La loi fédérale oblige tous les hôpitaux dotés de services d’urgence à fournir un « examen » et un « traitement stabilisateur » à toute personne qui se présente, indépendamment de sa capacité de payer et même de son statut d’immigration.

Par rapport aux clichés anti-américain : tous les Américains sont assurés ou assurables et personne ne reste dans la rue sans rien. Il n’existe pas d’américains qui ne peuvent pas bénéficier d’une couverture maladie.

 

 

5-Obamacare, pourquoi un échec ?

Une promesse pour les « non-assurés » dévoyée vers les « déjà assurés » par les politiciens.

Obamacare (Loi sur les soins abordables) est une assurance publique subventionnée qui a été présenté par le président Obama comme une tentative généreuse d’assurer les personnes en difficulté « non assurées ». Le problème est venu de suite, car dans la société ceux qui ne sont pas assurés sont généralement aussi les gens qui ne votent pas, et les politiciens ne roulent pas pour eux.

La promesse idéaliste de dépenser beaucoup d’argent pour les gens qui ne votent pas, à été dévoyée par les politiciens démocrates associés à Obama, qui eux on voulu étendre la loi pour transformer les populations qui votent en passagers clandestins des supposés avantages de Obamacare pour tous les salariés, mais néanmoins capables de disposer d’une assurance ou mutuelle classique.

En déviant du but initial de ne cibler que les extrêmes pauvres, et prenant en charge les « déjà assurables individuellement » et que cette assurance remplacerait une mutuelle privée classique Obamacare c’est dévoyé.

Les gens venus de l’assurance privée employeur ou individuelle ont découvert en remplacement une prise en charge bien inférieure, une franchise élevée, une offre de soins avec moins de médecins et hôpitaux conventionnés, et en général les hôpitaux les moins réputés. Beaucoup en adoptant Obamacare ont été contraint de changer de médecin.

 

Exemple, 42% de cardiologues et de cancérologues en moins.

Exemple les facturations médicales surprises souvent liées à des urgences ou circonstances, le patient reçoit une facture lourde parce que non couverte et agréé par Obamacare.

Un peu moins cher qu’une assurance privée, mais toujours moins bonne.

Des mutuelles privées comme Aetna, Humana ou UnitedHealth Group, non subventionnées, avant Obamacare spécialisées dans la couverture des soins des personnes modestes, avec des marges extrêmement faibles, offraient une meilleure prise en charge. Leurs marges étaient compensées par les volumes, et ils se sont retirés du marché à l’arrivée d’Obamacare imposé, qui a enlevé leurs parts de marché.

 

Obamacare est un échec. Il n’a pas résolu le problème des non recours, et en plus a créé une situation de plus mauvaise qualité que l’assurance privée pour ceux qui l’ont adopté.

 

Obamacare a créé une situation pire qu’au point de départ. L’enfer est pavé de bonnes intentions.

 

 

 

 

Par Spartacus Lequidam

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Quelques sources contributives à la création de cet article :

https://www.justfacts.com/healthcare

https://www.brookings.edu/policy2020/votervital/current-debates-in-health-care-policy-a-brief-overview/

https://www.heritage.org/health-care-reform/commentary/americans-get-more-their-health-care-dollars-we-can-do-better

https://www.manhattan-institute.org/issues-2020-drug-prices-account-for-minimal-healthcare-spending

https://spectator.org/making-a-bigger-mess-of-medicaid/

https://www.healthcare.gov/immigrants/lawfully-present-immigrants/

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L’humain a t-il réellement encore besoin de la nature?

Cette question va à l’encontre de l’air du temps et de la pensée unique que nous impose la société. Elle peut vous valoir un procès en diabolisation si vous osez vous opposer à la biodiversité et la remise en cause d’un principe religieux écolo, « la nature en premier ».

Cette question est loin d’être anodine depuis que le lobby écolo a pris les rennes de la politique, des médias, de l’éducation et même d’un ministère idéologique, et nous conditionne à charge matin midi et soir sur les questions de notre emprise sur l’environnement.

La terre est dominée sans partage par l’homme. L’homme agit autrement que tous les êtres vivant sur terre. Il est totalement différent. L’homme a tellement évolué qu’il n’y a rien d’autre que lui qui lui ressemble. Nous entendons tous les jours que l’homme bon et juste vit en « harmonie avec la nature » mais en fait, vivre en harmonie avec la nature c’est vivre en sauvage. Nous ne vivons pas en harmonie avec la nature, et bien heureusement.

Notre société a tellement évolué, peut-on encore dire que nous faisons partie de la nature?

Bien sur que non!

Nous sommes d’une autre nature, une nature évoluée et évolutive.

Notre évolution nous a rendus « non-naturels », « hors-nature » ou « extra-naturels ».

Notre évolution nous a rendu tellement puissant que rien de naturel sur terre ne nous égale. La réponse aux questions de savoir si nous faisons toujours partie de la nature, et si nous en avons même besoin repose sur une compréhension de ce que nous voulons.

L’homme fait plus qu’utiliser la nature à son profit, il la transforme, il la manipule et crée un monde qui n’a rien de naturel.

Le futur de la terre est une domination, une domination pure et totale. Pas l’utopie écologiste d’un retour à une nature totalement fantasmé et idéalisé.

En fait la nature est hostile lorsque l’homme ne la domine pas. Elle n’est plus faite pour l’homme actuel et ne le sera plus. Nous vivons dans des villes, de béton et de verre, et les fougères sont dans le jardin à l’herbe coupée à la tondeuse, et les serpents on les admire au zoo.

La grande particularité de l’humain, c’est qu’il avance vers l’inconnu. Il n’a pas de point de repère, il n’y a pas d’exemple pour se comparer à ce qu’est réellement un être qui a quitté le naturel. De la même manière, un environnement « humain » est à créer. L’environnement naturel est caduc.

Ce qui nous rend humains en premier lieu, ce qui n’est pas aussi évident qu’il y paraît, c’est un statut totalement différent de tout ce qui existe de naturel.

L’homme du 21eme siècle n’est pas ou plus du tout fait pour vivre dans la nature, il a dépassé le cap. Nous n’avons rien à voir avec l’indien que Colomb a découvert, nous ne pourrions vivre comme lui au milieu de la nature.

Notre statut est celui d’animaux modifiés ou «dénaturés». Nous sommes des créatures qui se sont séparées du monde naturel. L’homme c’est séparé progressivement de la nature initiale.

La nature à l’état brut nous pose plus de problèmes que d’avantages.

L’homme a fait la bombe atomique. L’homme avance sur la route du pouvoir d’un dieu. Actuellement les chercheurs essayent d’allonger la vie comme celles sur le transhumanisme et nous progressons sur l’élimination du vieillissement naturel.

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Les plantes poussent sans terre, avec du soleil artificiel qui n’a rien de naturel. Les premiers immeubles en agriculture hydroponique sur plusieurs étages se construisent dans les zones industrielles, même pas à la campagne. A Londres, c’est sous terre que des salades sont produites.

Il y a bien longtemps que nous ne prélevons plus à la nature sauvage nos aliments, les animaux sont domestiqués et les premiers steaks artificiels sans vaches sont en élaboration dans les centres de recherche.

 

90% des fruits et légumes que nous consommons n’existaient pas sous la forme actuelle il y a seulement 400 ans. Le chihuahua, que promène mamie, c’est l’homme qui a créé cette race comme toutes les races de chien sur la base d’un loup. Les races d’animaux domestiques n’ont pas été créées par la nature Darwiniste, mais par les sélections supra-naturelles de l’homme.

On peut même se passer de la mer et ses poissons à l’état naturel. Le poisson d’élevage et l’aquaculture remplacent le poisson sauvage sur nos étalages dans les pays occidentaux.

Nous n’avons pas besoin de la nature pour faire de la sélection naturelle. La sélection génétique des OGM, de l’ADN sont maîtrisés et transformables à volonté par l’homme. La révolution biologique est de plus en plus pointue.

Nous ne savons pas où nous allons, les écolos paniquent sur notre destination. Ils ont peur du changement et peur de l’inconnu. La peur du risque. Leurs palabres sont anxiogènes. La nostalgie d’un passé en contact avec la nature idéalisé factice qui joue sur une nostalgie romancée.

En réalité, ils vivent en ville, veulent des arbres à Paris en face de chez eux, mais ont peur de faire quelques kilomètres et se déplacer pour se promener au milieu des arbres du bois de Boulogne. Vous les imaginez pousser une charrue?

Ce sont des enfants gâtés de l’abondance. Ils ont inventé le « principe de précaution, c’est la peur du modernisme qui les anime. La nature n’est que l’excuse. Aucun ne se propose de jeter son portable et sa fourchette dans la poubelle à produits électroniques et métaux.

On peut dire que les choix et possibilités de nos progrès technologiques rendent difficile d’imaginer quel futur s’offre à nous.

Elles sont tellement nombreuses et inconnues qu’elles engendrent des réactions de peurs et certains s’auto-persuadent que la croissance ou le rejet du modernisme et un retour a la nature serait salutaire

C’est le coût de la liberté. La liberté engendre la peur du futur pour ceux qui ne sont pas sur d’eux ou habitués à être pris en charge.

Pourquoi préserverions-nous un statu quo avec la nature?

L’argument de la biodiversité à y réfléchir sur le fond, pose aussi une question, c’est pourquoi faire ? Faires des zones musées ou se promèneraient tranquillement les animaux qui ne peuvent suivre notre évolution?  Pour se donner bonne conscience ? Pour le paraître proche de la nature ? Par mimétisme écolo?

Pourquoi n’éradiquerions pas tous les moustiques parasites ? Ces sortes d’insectes n’ont que des inconvénients et indispensables à personne. Que le paludisme, c’est 200 million de victimes. Au nom de la biodiversité,  laisser le paludisme, chikungunya ou maladie de Chaga décimer les humains?

Il faut admettre la vérité, la nature ce n’est pas les allées du parc ou les bobos promènent leurs enfants dans des poussettes que les écolos essayent de nous faire croire. Les Orangs-Outans, la jungle, les bobos aiment, mais là bas, en Indonésie ou Amazonie. Ils ne veulent pas savoir que les autochtones ont peur de traverser un fleuve et que l’espérance de vie est moindre quand on est un peu trop proche de la « vraie » nature et les efforts nécessaire pour y vivre.

Les grands changements font partie de notre évolution.

Nous devons accepter ce que nous faisons, nous devons accepter notre domination sans précédent.

Non pas que le modernisme n’a pas d’effets pervers parfois indésirables, mais il faut les accepter, tenter de les réduire, comme réduire la pollution mais pas de refuser le modernisme pour autant.

Le changement climatique ? On vit très bien à Las Vegas.

Nous gagnerions à nous adapter au climat qu’essayer de le faire revenir à un état naturel qui va grever notre prospérité, et appauvrir le monde.

Les écolos pensent que les besoins de modernisme sont suffisants et que l’humain doit faire un retour vers la nature et veulent imposer une « décroissance ».

Le PIB a été multiplié par 150 dans le seul dernier siècle. A la fin de notre siècle, elle sera du même ordre. Multiplié par entre 100 et 200 fois selon les facteurs d’innovations techniques de rupture.

C’est dans les pays ou la modernité est apparue que la famine a disparue et le niveau de vie c’est développé.

Vous pouvez facilement résumer les scénarios dans lesquels une hausse de quelque degré est facilement assimilable.

En 2100 le pouvoir humain sur la nature sera tellement augmenté, que l’homme domestiquera le temps sans avoir de pertes de libertés et contraintes comme on lui propose aujourd’hui.

La décroissance que nous impose le pire lobby que la terre connaisse, le lobby écolo-gauchiste, nous promet l’étatisme, le taxatisme, nous rendra pauvre, et fait perdre nos libertés. Le moteur des « excuses » des coercitions est « la nature », mais la nature n’est pas le paradis.

Les arguments en faveur du maintien de la biodiversité sont généralement basés sur la survie, l’économie ou l’éthique.

Les arguments ne fonctionnent qu’a l’anxiogène et la diabolisation de l’humain.

Il est raisonnable de penser qu’avec le temps, la plupart des solutions biologiques, métrologiques pourront être synthétisées autrement que par la décroissance et la technologie que par la contrainte, le totalitarisme et l’étatisme.

La réponse est simple, nous avons changé la nature, et nous ne reviendrons pas en arrière…

L’écologie est la peur de l’inconnu et du changement et une nostalgie idéalisée d’un monde naturel fantasmé…

La nature, c’est joli, une belle image, mais faut pas sur-jouer son importance. A l’état brut elle n’est pas sympa.

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Incendies en Australie: la culpabilité des écologistes

Quand la presse Française remplit 50% de ses journaux de copié-collé-déposé d’articles et statistiques clés en main d’ONG militantes gauchistes et écolos et ne fait plus son travail d’analyse neutre et sérieuse, il est bon d’aller chercher par soi même l’information.

Et là la presse Australienne est une richesse d’informations et délivre une vérité qui fait mal à notre presse Française mariée aux écolos-gauchistes.

 

Les faits sont les faits !

Les feux de brousse sont une caractéristique régulière du calendrier australien, mais les incendies dans les régions de Nouvelle-Galles du Sud et au Queensland ne se sont jamais produits à une telle échelle, et ils ne sont pas liés au changement climatique, mais des conséquences de l’interventionnisme écologique.

Quelle est donc la cause des feux de brousse Australiens ?

Mère Nature a été aidée et encouragée par les écologistes, pour qui quelque chose d’aussi sensé que la gestion de la végétation doit non seulement être empêché mais criminalisé.

 

Chronologie des faits (avec sources), une histoire un peu moins écolo-compatissante.

-Décembre 2017 : Une semaine avant Noël (décembre 2017), dans la semaine précédant Noël, le ministère fédéral de l’Environnement et de l’Énergie Australien a discrètement publié un projet de plan . Intitulé Stratégie australienne pour la nature 2018-2030, le document de 17 pages visait à « prendre soin de la nature dans l’environnement » contre les menaces telles que le changement climatique, les parasites sauvages, la pollution et le développement urbain.

Pourtant plusieurs voix se sont élevées pressentant les désastres à venir, mais ils n’en ont eu rien à faire. La suite est édifiante.

 

En mai 2018, le conseil du Queensland (coalition travailliste-écolos) a fait voter une protection spéciale et démesurée sur des espaces de vastes étendues plus grandes que plusieurs départements Français. Une loi au pouvoir renforcé pour contrôler et sanctionner le défrichage dans une décision de la Haute Cour qui affecte 20% de l’État, 330 000 km², soit la superficie égale à la moitié de la France.

Pour ceux qui n’ont plus le souvenir des cours de géographie et voudraient se rendre compte des proportions, le Queensland est une région d’Australie qui fait 1 852 642 km², soit environ 3 fois la France (643 801 km² (outre-mer-inclus)).

Le Queensland est surnommé le « Sunshine State » (« État ensoleillé »), puisque son climat est chaud et se trouve sous les tropiques. En résumé, il fait toujours chaud, et l’absence de précipitations sur une longue période est récurrente. Changement climatique ou pas, cette région a toujours eu des périodes longues de chaleurs et canicules.

Les mois de décembre et janvier sont les plus chauds de l’année et il y fait une moyenne de 30° le jour et 21° la nuit. Sous l’effet de la chaleur, la végétation tout simplement sèche et perd de l’eau et devient un combustible idéal dans une température idéale pour le démarrage de tout embrasement.

A partir de mai 2018, du tout petit propriétaire du papy et mamie, ou paysan qui défriche par brûlage culturel traditionnel ou celui qui fait un pâturage en zone vierge pour quelques moutons sur le tour de sa maison, à l’agriculteur qui faut une saignée anti-feu de brousse, tous étés lourdement sanctionnés s’ils dérogeaient à la loi.

La loi fut appliquée au pied de la lettre. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 600 000 $ le défrichage préventif ce qui dissuade.

Ce qui logiquement de cause a effet est arrivé. Des feux gigantesques. Le changement climatique est un bouc émissaire facile. Ca fait les gros titres à la place des vrais responsables.

La catastrophe des feux Australiens n’est pas la conséquence d’un changement climatique, mais le comportement criminel d’un gouvernement qui a essayé d’acheter des votes verts en créant de vastes étendues de parcs nationaux sans rien gérer de celles-ci et a conduit a faire des régions Australiennes des resserves de carburant végétal sèches.

Ils se sont pliés à une idéologie qui fait obstacle à la réduction des risques et empêche les propriétaires fonciers de défricher la végétation autour de leurs propres propriétés, le tout sous l’emprise du dieu de la« biodiversité ».

Le bilan des brasiers est lourd, un milliard d’animaux tués et 120.000 km² de végétation en cendres.

Si vous voyez les écolos pleurer sur les feux en Australie, en fait ils pleurent les conséquences dont ils sont la cause. La vérité fait mal et ils ne la publient pas en faisant des montagnes sur l’hypocrisie climatique, mais cela cache la cause réelle et sérieuse des feux Australiens.

 

Deux régions au monde ont adoptés les lois écolo en interdisant le débroussaillage, la déforestation par coupe-feu et les barrages en digue de terre collinaires pour créer des retenues d’eau.
Ce sont le Queensland en Australie et la Californie aux States.
Ces deux régions sont depuis la proie d’incendies gigantesques.

L’alarmisme exagéré des écolos entraîne des lois environnementales aux effets pervers plus nuisibles que ce qu’elles sont sensé combattre. Aujourd’hui l’expérience Australienne montre que cela peut être criminel.

 

 

Par Spartacus Lequidam

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Where’s Hunter?.. (il est ou Hunter ?)

Il faut dire que Hunter a bien de la chance.

Il gagne 600 000 $ par an. Il travaille pour une société pétrolière Ukrainienne.

Pourtant Hunter ne parle pas Ukrainien. Hunter est Américain et ne parle que Anglais.

Pour donner un ordre de proportion, un administrateur de Exxon Mobil (2eme capitalisation boursière du monde, 6eme chiffre d’affaire du monde) est à coté de lui un « petit joueur » avec seulement 330 000$ par an. Et bien Hunter gagne presque le double de lui.

Le salaire annuel moyen en Ukraine est de 1700 $ par an (notez que c’est par an et pas par mois).

Comme vous le voyez Hunter gagne beaucoup, beaucoup plus que les gens en Ukraine siège de la société pétrolière qui l’emploie comme avocat d’affaires….

Hunter lorsqu’il a été embauché ne connaissait rien au pétrole.

Hunter n’est pas un exemple. Il a été viré de l’Armée pour usage de cocaïne.

Chronologie

Acte 1 Joe Biden demande un limogeage contre l’obtention de l’aide financière Américaine.

A la fin du dernier mandat de O’Bama aux USA, le vice président Joe Biden demande le limogeage du procureur en chef de l’époque en Ukraine, qui enquêtait sur l’entreprise employant Hunter. L’entreprise « Burisma holding » en 2016 juste à la fin de mandat de O’Bama.

A cette époque de conflit avec la Russie, l’Ukraine a terriblement besoin de l’aide Américaine.

À la demande de Joe Biden, vice président de O Bama et chargé des affaires étrangères, le procureur en chef, Viktor Shokin, est licencié immédiatement et l’enquête sur Burisma Holding est close. Joe Biden a eu ce qu’il a exigé pour donner l’aide financière Américaine.

Acte 2 Un livre sort en mars 2018.

« Empires secrets : comment la classe politique américaine cache la corruption et enrichit sa famille et ses amis ».

L’auteur de ce livre Peter Schweizer se pose des questions sur le dernier acte de Joe Biden avant la fin de mandat de Barack O’Bama, le limogeage du procureur Ukrainien. Il découvre que le fils du vice président est employé par « Burisma Holding ».

Hunter Biden, fils de Joe Biden vice président des états unis travaille dans l’entreprise ou son père a demandé au président de l’Ukraine de virer le procureur qui enquêtait sur elle. Il découvre les revenus pharaoniques de Hunter Biden dans l’entreprise Ukrainienne. (50 000$/mois officiel) (83 000$ selon l’agence de presse Halifax)

Acte 2+ une affaire chinoise :

Partant de là, l’auteur du livre pousse le bouchon et enquête sur le fils du vice président. Hunter Biden et découvre, une affaire chinoise.

En 2013, les Chinois envahissent les îles de la mer de Chine méridionale.

La tension est forte entre USA et Chine. O’Bama envoie Air Force Two et son vice président Joe Biden qui lui, emmène avec lui Hunter à bord de l’avion.

Joe Biden s’écrasera devant le bellicisme des Chinois, même la presse de gauche acquise aux démocrates critiquera son manque de négociation. En fait, 12 jours après le voyage, un fond de capital-investissement Chinois est créé avec à la tête Hunter, capitalisé par un prête nom du gouvernement chinois de 1,5 milliards de $. Le fond reçoit une licence commerciale Américaine ce qui est contre nature.

Acte 3  : L’avocat de Trump lit le livre et contacte l’auteur.

La désignation du prochain candidat démocrate est un jeu à 3 prétendants.

Sanders est un vieux, malade et tellement à gauche que Trump ne risque pas grand chose. Waren est aussi une extrémiste clivante très à gauche, et affabulatrice. Elle c’est inventé un passé misérabiliste et tout est faux. Elle n’est ni indienne, et n’a pas subit de licenciement abusif parce qu’elle était enceinte comme elle a prétendu.

Le plus dangereux pour l’élection de 2020 pour Trump, c’est Joe Biden. Un homme de centre gauche qui lui peut rallier les indécis qui font l’élection.

Et…Rudy Giuiliani, l’avocat de Trump qui a lu le livre, s’empresse de lui e-mailer les pages les plus savoureuses…Et en Ukraine on a changé de président.

Acte 4. La conversation téléphonique.

Une conversation téléphonique a eu lieu entre le nouveau président Ukrainien et Donald Trump. Trump demande a ce que le président Ukrainien enquête sur Hunter et sa société « Burisma Holding » car il veut savoir.

Un membre « inconnu » qui se fait appeler « lanceur d’alerte » dénonce Trump comme soi-disant ayant fait pression sur le président Ukrainien en mettant en jeu l’aide Américaine contre des informations sur Hunter. On sait que ce lanceur d’alerte est proche des démocrates, et a travaillé pour Joe Biden.

Acte 5 Lanceur d’alerte

Adam Schift le sénateur démocrate, et président du comité du renseignement chargé de superviser la communauté du renseignement des États-Unis affirme qu’il y a « des preuves plus que circonstancielles » et fait une présentation à charge de la conversation que Trump a eu avec le président Ukrainien Zelensky.

Les démocrates lancent un projet de « destitution » politique et médiatique du président Trump sur la base des faits reportés du lanceur d’alerte.

Il n’y a aucune chance que la destitution aboutisse. Il faudrait un accord du Sénat et le Sénat est à majorité républicain.

Acte 6 Trump contre attaque

Le président Trump ne nie pas avoir demandé au président Ukrainien d’enquêter sur Hunter, et un éventuel conflit d’intérêt. Il nie avoir fait pression par des menaces et livre à la presse la conversation téléphonique de plusieurs minutes qui se révèle chaleureuse, qui ne continent aucune menace. Trump indique que c’est son rôle de vérifier ou va l’argent du contribuable Américain.

Le président Ukrainien Zelensky confirme les propos de Donald Trump officiellement et déclare. « Ce n’était pas un chantage et le budget des armes pour l’Ukraine n’était pas un sujet de conversation« .

Harcelé de questions par les journalistes à tendance démocrate, sur le projet de destitution, Trump répond que c’est une manœuvre politique en coup d’état et dit qu’ils feraient mieux d’aller enquêter sur Hunter en Chine.

Trump contre attaque avec le slogan « where’s Hunter ? » plusieurs fois par Tweet et à la convention de Minneapolis.

A la sortie du rassemblement de la campagne électorale de Trump à Minneapolis, au Minnesota des t-shirts ont commencé à se vendre à la sortie. Les T-shirt, peuvent être achetés sur internet ou dans les shops républicains pour 25$.

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Avec la casquette « Make America Great Again » lors de sa première campagne présidentielle, Trump a amassé 45 millions de dollars.

Le T-shirt « where’s Hunter ?  » Fera t-il mieux ?

Mais ou est-il Hunter ? Ou est il ?

Par Spartacus Lequidam

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Pesticides, comprendre pour sortir de l’hystérie obscurantiste écolo-médiatique

Nous vivons actuellement une période détestable ou un lobby (écologistes) a envahi les médias et la raison pour faire place au sensationnel culpabilisant.

Un débat médiatique qui cherche à capter l’auditeur, le téléspectateur ou le vote des bobos et la diabolisation de l’industrie chimique et le capitalisme.

Les pesticides sont un exemple assez caricatural quand on prend le temps de rentrer dans la réalité et sortir des clichés imposés basés sur la méconnaissance et l’ignorance générale du sujet.

 

Origine des pesticides et évolution.

Les végétaux dans l’esprit commun ont l’image d’êtres incapables, immobiles, passifs, vulnérables à l’attaque d’une multitude d’organismes pathogènes. Les expressions populaires incluant des fruits et légumes reflètent bien cet état d’esprit. « Compter pour des prunes », « bête comme chou », « a la noix ».

La réalité est que la végétation est vivante, dotés d’ADN et de l’envie de survivre.

Au cours de l’évolution, les plantes ont développé des moyens pour survivre.

Pour faire face elles ont développé des mécanismes de défense au cours de l’histoire évolutive des végétaux contre les champignons, les insectes et les animaux. Certaines visibles comme des piquants, ou d’autres invisibles comme les substances chimiques.

Pour se protéger, les végétaux se sont donc mises à produire des produits chimiques, des toxines, des substances défensives complexes. Les pesticides.

Les pesticides sont lié à leur évolution, leur complexification, leur diversification depuis plusieurs millions d’années.

 

Les pesticides sont à 99,9% naturels

L’exposition de l’homme à des pesticides d’origine naturelle est sans commune mesure à l’exposition des pesticides d’origine humaine.

Contrairement à la perception que vous impose le monde écolo-médiatique, les 99,9% des pesticides consommés par l’homme ont une origine naturelle. 

Les quantités de résidus de pesticides synthétiques dans les aliments sont insignifiantes par rapport à la quantité de pesticides naturels produits par les fruits et légumes eux-mêmes.

Des dizaines de milliers de ces pesticides naturels ont été découverts et chaque espèce de plante en produit au moins une vingtaine au minimum. Par exemple, le chou à lui seul en compte 120 (y compris les produits de dégradation).

La concentration des pesticides dans les aliments se mesure à l’échelle du ppb de l’anglais part per billion (partie par milliards (1 ppb = 0,000 000 001 = (10-9)).

 

En alimentation méditerranéenne, nous consommons une moyenne de 10 000 pesticides et produits de décomposition naturels au cours de notre vie.

Nous consommons 1 500 ppb de pesticides naturels par jour, pour 0,09 ppb par jour de pesticides synthétiques (crées par l’homme).

 

Pesticides et humains.

Les végétaux comme les humains font partie de l’histoire de l’évolution.

Les défenses que les humains ont développées sont généralement de type général car le nombre de pesticides naturels est très important et varié. Les défenses générales offrent une protection contre les pesticides à la fois naturels et synthétiques, ce qui permet aux humains d’être bien protégés contre les toxines alimentaires à faible dose.

Les plantes, elles développent et raffinent leurs armes chimiques depuis 500 millions d’années. Les plantes, elles ont développé leurs pesticides naturel les plus efficaces pour dissuader les prédateurs, elles ont laissé leur héritage à leur descendance.

D’autre part, les humains, ont évolué il y a moins d’un million d’années, eux n’ont pas eu le temps de se transformer en une « harmonie toxique » avec tous les végétaux de leur régime alimentaire. En fait, très peu de fruits et légumes que nous mangeons aujourd’hui existaient à l’époque des chasseurs-cueilleurs.

Notre alimentation a radicalement changé au cours des derniers milliers d’années. Nous consommons des fruits et légumes sélectionnés ou améliorés, récemment introduits dans des cultures vivrières que ne connaissaient pas nos ancêtres, comme par exemple le café, le cacao, le thé, les pommes de terre, les tomates, le maïs, les avocats, les mangues, les olives, les kiwis.

En outre, les légumes crucifères tels que le chou, le brocoli, le chou frisé et le chou-fleur sont popularisés que depuis le Moyen Age. La sélection naturelle fonctionne beaucoup trop lentement pour que les humains puissent développer une résistance aux toxines naturelles.

 

Nous pouvons facilement extraire de nombreux pesticides naturels, mais nous avons besoin de davantage de produits chimiques synthétiques pour protéger les cultures des insectes nuisibles. D’autre part, nous pouvons également augmenter les niveaux de pesticides naturels.

 

Les allergies, les eczémas, après contact aux plantes ou pollens sont les conséquences de la chimie naturelle des plantes.

Par exemple, quelques variétés de céleri provoquent des éruptions cutanées et des brûlures chez les personnes qui s’exposent au soleil par la suite.

Une variété de pomme de terre développant des toxines naturelles a dû être retirée du marché en raison de sa toxicité pour les humains.

En outre, lorsque les végétaux sont stressées ou endommagées, par exemple lors d’une attaque de ravageurs, leurs concentrations de pesticides naturels augmentent considérablement, mais rarement jusqu’à des concentrations toxiques pour l’homme.

La racine de manioc, par exemple, une culture vivrière majeure en Afrique et en Amérique du Sud, résiste assez bien aux parasites et aux maladies, mais contient du cyanure à des niveaux si élevés que seul un processus laborieux de lavage, de broyage, de fermentation et de chauffage peut le rendre comestible. L’intoxication chronique au cyanure est endémique dans de nombreuses régions africaines mangeuses de manioc.

Les intoxications au Datura, plante sauvage invasive intoxique les consommateurs de produits bio dans nos pays occidentaux. Comme les farines de sarrasin ou les haricots bio.

Les végétaux développent des pesticides naturels qui sont responsables couramment de mycoses, mycoses pulmonaires, dermatophytes, candidoses, méningites, Kératites, Septicémies etc…

 

Dans les pesticides naturels, on trouve des toxines naturelles qui classent certains végétaux « probablement cancérigène ». Le soja, le basilic, l’estragon, basilic, l’anis ou le fenouil par exemple le sont, comme le soleil, l’alcool ou la viande rouge.

 

Le chou et le brocoli contiennent un produit chimique qui se décompose en substances imitant le comportement de la dioxine dans l’organisme. La dioxine provoque des anomalies congénitales chez les rongeurs à des doses extrêmement basses.

 

Pesticide naturel ou synthétique. Quelle différence ?

Les non-scientifiques, les médias, ont tendance à penser que les pesticides sont uniquement synthétiques et à les qualifier de toxiques, en ignorant le fait que tout pesticide naturel est également toxique à une dose donnée.

La dichotomie polémique entretenue par les écolo-fascistes entre « naturel » ou « Artificiel » ou « synthétique » crée une montagne d’ignorance.

 

Par exemple, la toxine de tomate, présente une concentration plus proche du seuil de toxicité chez l’homme que 1000 fois des toutes les traces de résidus de pesticides synthétiques cumulées.

Les toxines naturelles peuvent également ont les mêmes mécanismes de toxicité que les toxines synthétiques telles que la dioxine.

 

Ironiquement, les agriculteurs biologiques sont légalement autorisés à utiliser des pesticides naturels (bio-sourcés), tels que la roténone, que les Indiens utilisaient comme poison pour tuer les animaux, ou les pyréthrines des plantes de chrysanthème. 

Les pesticides autorisés en bio n’ayant pas été testés aussi complètement que les pesticides synthétiques, leur innocuité par comparaison ne doit pas être présumée ou ignorée.

En résumé, les pesticides d’origine végétale représentent la grande majorité des pesticides diététiques auxquels les humains sont exposés et comportent donc un risque égal, voire supérieur, à ceux fabriqués par l’homme.

 

Même si ces produits chimiques naturels sont aussi cancérigènes ou dangereux que les produits synthétiques, cela ne veut pas dire que les uns et les autres nous tuent. La plupart des pesticides, naturels ou synthétiques, ne posent pas de problèmes, car les expositions humaines sont faibles et tout est dans la dose.

Tout ce que vous mangez du supermarché, du marché du magasin bio ou de votre jardin est rempli de pesticides.

De nombreux aliments ordinaires ne satisfont pas aux critères réglementaires utilisés pour agrémenter les pesticides synthétiques.

Les pesticides naturels sont dans les pommes, les bananes, les betteraves, les choux de Bruxelles, le chou vert, les raisins, les melons, les oranges, le persil, les pêches et ces fruits et légumes ne sont pas interdits. 

Il ne viendrai pas à l’idée de les interdire, mais si leurs pesticides naturels devaient passer un test de nocivité identique à ce que subit un pesticide synthétique avant son agrément de mise sur le marché. Ces fruits et légumes ne passeraient pas les tests et éliminés de suite.

 

Parallèlement, les pesticides de synthèse ont considérablement réduit le coût des cultures vivrières, ce qui constitue une avancée majeure en matière de nutrition et donc de santé.

 

En 1997, les instituts de recherche sur le cancer des États-Unis et du Canada piloté par le plus grand biologiste du monde (Bruce Ames) ont publié une importante étude pluriannuelle de toutes les publications scientifiques faisant état de tout lien entre le cancer chez l’homme et les résidus de pesticides dans les aliments. Ils n’ont pas trouvé une seule preuve crédible liant les deux.

Ils ont conclu que 30% des cancers humains sont dus à la consommation de tabac, provenant d’une plante naturelle, et que 35% des cancers sont causés par une mauvaise alimentation, principalement un excès de graisse et de cholestérol, des substances naturelles.

 

Il n’existe pas de risque démontré pour la santé de manger des fruits et des légumes traités avec des pesticides légalement autorisés aux doses légales.

 

Le venin de Cobra est « naturel ». Quelqu’un se soucie de la dose ? C’est dilué un puissant anti-douleur et anti diabétique.

Oubliez les débats absurdes ou les écolo-gauchistes vous dirigent en faisant une distinction entre pesticides naturels ou de synthèse. Les écolos sont anti capitalistes et veulent diaboliser les productions humaines, c’est pour cela qu’ils font la distinction.

Posez toujours le débat sur les pesticides sur l’angle de la dose. C’est le seul approprié. Le reste c’est de la politique interventionniste pour chasser pour caresser l’électeur bobo qui se prend pour sauveur de la planète en éteignant sa cigarette sur le trottoir en entrant dans le magasin bio.

Le pesticide synthétique n’a qu’un danger. La dose. Que la dose et pas ses distinctions intrinsèques.

 

Par Spartacus Lequidam

Vidéos du journal l’Opinion pour compléter :

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/definition-pesticides-qu-est-que-c-est-197557

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/quels-sont-avantages-inconvenients-pesticides-197704

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/l-agriculture-bio-utilise-t-elle-pesticides-198030

 

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La Chine va-t-elle bientôt s’effondrer comme s’est effondrée l’ex-URSS ?

Le 1er octobre, c’est donc le 70e anniversaire du bilan du Parti communiste chinois à la tête du pays depuis 1949. Pas certain que la Chine fête un 75eme anniversaire avec lui….

 

À la différence de l’Union soviétique à ce stade, la Chine semble prospérer en apparence. Du moins si vous écoutez les médias affligeants à l’analyse économique de moules journalistiques.

La Chine est souvent comparée à l’économie Américaine, mais en réalité elle en est bien loin.

La productivité Américaine est 2 fois plus efficiente avec 4 fois moins de population que la Chine et une démographie plus dynamique.

Son esprit d’initiative la fait renouveler ses forces économiques en permanence. La Chine plus forte que les USA est juste une chimère des journaux de gauche ou on préfère s’auto-persuader des fantasmes anti-Américains primaires, se bercer d’illusions et nier la réalité.

 

La vérité est tout autre, en Chine ça explose de partout.

Guerre économique, démographie, mauvaise productivité, dette, crise de Hong Kong, camps de Ouïghours, Xi Jingping le dictateur, disparitions de milliardaires, cyber-surveillance orwellienne, fuite des cerveaux, fuite des capitaux occidentaux, corruption endémique.

Ça se lézarde de partout. Il faut juste deviner par quel bout le pays va s’écrouler.

 

 

Le miracle Chinois est bien derrière.

La grande croissance chinoise des années 90 et 2000 a été alimenté par une main-d’œuvre nombreuse et jeune, une urbanisation rapide, des investissements d’infrastructure à grande échelle, la libéralisation des marchés et la mondialisation.

Ces facteurs favorables sont en train de se retourner et s’inversent négativement. La démographie, les investissements et les marchés potentiels se resserrent tous. A cela il faut ajouter une guerre commerciale avec la plus grande économie du monde et son premier client, les USA.

 

Dans la réalité la situation économique de la Chine n’est pas très optimiste. Xi le dirigeant actuel apparaît comme un dictateur sans scrupule qui tranche avec les années d’ouverture à l’occident des années Deng Xiaoping et l’ouverture aux marchés libres.

Les manifestations pour la liberté à Hong Kong, durent depuis plusieurs mois, et la propagande a de plus en plus de mal à la cacher à la population intérieure du pays. L’impact de la crise est très négatif sur l’économie et l’image de la Chine. Hong Kong est la plaque tournante du commerce international du pays. La dictature se fait visible à la Chine et au monde entier.

Les chiffres de propagande ne dupent plus personne

Les chiffres économiques affabulateurs de la Chine ont vécu, plus personne ne croit la propagande des données officielles venant du gouvernement Chinois.

Les analystes économistes des compagnies de notation sur la Chine rassemblent aujourd’hui des données alternatives, comme les données de transfert bancaires, la consommation d’énergie, du fret ferroviaire, jusqu’aux photos prises depuis l’espace.

La conclusion est bien différente de la parole du gouvernement Chinois. L’économie chinoise plafonne et se retourne, et pas du bon coté.

Les chiffres du PIB chinois sont faux à plus de 3 points des pourcentages annoncés.

Les entreprises Américaines. Européennes se détournent de plus en plus leurs activités de la Chine, en raison de l’intensification de la guerre commerciale entre les USA et la Chine. Les milliardaires fuient, les chercheurs les scientifiques veulent terminer leurs carrières aux USA.

25% des entreprises Américaines ont déclaré baisser leurs investissements au cours de l’année 2018.

Discrètement le gouvernement Chinois essaye de « rattraper » les investisseurs Américains par des mesures exceptionnelles désespérées, en exemptant les produits pour les américains de droits de douane.

La banque centrale chinoise a quant à elle injecté depuis le début de l’année 126 milliards équivalent dollars dans l’économie. Une folie financière à charge des générations futures.

La dette dépasse déja les 300 % du PIB, 15% de l’endettement mondial. A cela on ignore la dette hors bilan et cachée secrète des régions Chinoises qui s’ajoute.

La corruption entraîne les fonds d’investissement de l’état vers les entreprises de l’état, déjà les plus endettées du monde, et les moins dynamiques avec des ratios de remboursement ubuesques et de l’autre détruisant le potentiel privé qui ne trouve lui se trouve bloqué de financements disponibles.

Un entreprise chinoise 100% privée emprunte a 9%. Ce qui fragilise les rentabilités et promet des augmentations de coûts alors que les concurrences des pays émergements à la Chine se réveillent dans tous les domaines.

Les immeubles des grandes villes se vident et derrière les façades de verre, les bureaux vides sont plus nombreux que les bureaux remplis.

En chine, l’inflation fait un grand retour. Le prix du porc augmente depuis des mois et il est maintenant près de 50% (le double) plus élevé qu’il ne l’était il y a un an.

Essayez d’imaginer l’impact psychologique du doublement du prix de la viande en un an en France et dites vous bien que les chinois sont comme les Français. Ils doutent de leur gouvernement avec ce genre de résultat.

 

La démographie se retourne négativement.

La Chine a un terrible problème démographique, c’est peut être le plus important problème. Les résultats des politiques de l’enfant unique a fait avorter des générations entières de filles et favorisé la conception d’enfants masculins. Il en résulte un déséquilibre démographique. Un faussé plein d’hommes vieux et incapables de trouver une épouse et des jeunes moins nombreux qui auront la charge de porter la charge et le fardeau social de générations vieillissantes elles plus nombreuses.

 

Une société frustrée, fichée et forcée à la sédentarité.

Les systèmes communistes ne peuvent exister sans une société de gens serviles à l’état. Corée du Nord et Chine on un système de contrôle et d’enregistrement des ménages assez terrifiant. Le système d’enregistrement des ménages « hukou » identifie et détermine le domicile légitime de chaque individu ou il doit rester impérativement, le lieu où il bénéficie de l’enseignement public et des services médicaux. Si vous êtes un Chinois chanceux, c’est Beijing, Shanghai, Guangzhou ou Shenzhen. La plupart des gens ruraux concés dans leur région rurale, cela engendre injustice et frustration. Des échantillons d’ADN, des empreintes digitales, des images de l’iris et des informations sur les groupes sanguins de tous les habitants âgés de 12 à 65 ans sont collectés. Dans la province de Xinjang, la reconnaissance faciale, surveille les déplacements des habitants.

Le dictateur Xi Jingping met en place un système qui sera pleinement opérationnel en 2020 de crédit social coercitif. Chaque Chinois se verra attribuer une note, échelonnée entre 350 et 950 points, Le système repose sur un outil de surveillance de masse et utilisera la coercition et les privations de droits pour redresser les « récalcitrants« .

Ne croyez pas que les Chinois sont dupes et ne rêvent pas de la liberté occidentale.. La frustration latente est une bombe.

 

La corruption endémique

 La corruption est le propre des régimes technocratiques et la Chine en est une caricature. Chaque fois qu’une entreprise remporte un appel d’offre public, c’est qu’elle a payé les fonctionnaires corrompus.

Il faut payer et accepter la corruption des fonctionnaires pour tout. Pour instruire ses enfants dans une école spécialisée. Il est interdit de déménager et il faut payer pour avoir les dérogations. Il faut payer pour travailler dans l’entreprise d’état ou de la province et rétribuer à vie en liquide le fonctionnaire qui t’a donné le travail.

La corruption engendre une société communiste de discriminés et de frustrés du système. Des fonctionnaires très riches au pouvoir de discrimination.

 

Xi Jingping retour à 180° vers une dictature néo-Maoïste

Le PCC a abandonné le pragmatisme et la souplesse intellectuelle de Deng Xiaoping.

Xi Jingping est un pur dictateur, il c’est déjà déclaré dirigeant a vie avec un virage néo-maoïste. Il veut imposer une discipline organisationnelle rigide et un gouvernement fort fondé sur la peur et la terreur. Les erreurs politiques vont être catastrophiques comme toutes les expériences communistes le prouvent.

Au fur et à mesure des contestations que va engendrer le retournement de l’économie, son emprise pour garder le pouvoir va le rendre impopulaire, il ne lui restera que l’ intensification et la répression de ses opposants. Dans un monde Internet. Le mouvement de balancier peut allez plus vite que les périodes passées entraînant un effet spirale négative.

Un régime dépendant de la coercition et de la violence va induire une réduction de l’activité économique, payer d’une résistance populaire croissante, d’une augmentation des coûts et un futur isolement international.

 

La faillite de la Chine est plus proche que l’on croit. Les 70 ans du 1er octobre sont certainement le dernier round avant l’écroulement dans la décennie qui arrive.

Les Chinois en ont mare et sont a bout. Même maintenant en occident on le sait. Le PCC n’arrive même plus à le cacher.

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Greta, maltraitance parentale sur enfant vulnérable

Greta Thunberg est une victime… des adultes écolo-fascistes qui l’ont prosélytée et exploitée pour promouvoir l’idéologie de la religion climato-apocalyptique.

La jeune Suédoise de 16 ans a invectivé les dirigeants mondiaux lundi au Sommet de l’ONU pour l’action pour le climat, où elle a sombré dans une crise hystérique en les accusant d’avoir « volé mes rêves et mon enfance avec vos mots vides » au sujet du changement climatique, a-t-elle expliqué à travers des larmes et de la colère.

Les écolos et les gauchistes ont applaudi à ses propos, mais pas un de ces imbéciles n’a vu la détresse d’un enfant malade exploité.

Le discours de Greta Thunberg était un non-sens irrationnel.

Pourtant, les écolo-fascistes ont approuvé l’endoctrinement avec les mensonges et les approximations. Les écolo-fascistes ont poussé des milliers d’enfants dans les rues.

Des politiciens avides de suivre le mouvement se sont émus et prosternés devant les délires orchestrés devant ces manipulations même pas feintes. Dressé des couronnes et même invité à l’Assemblée nationale.

Triste idéologie écologiste qui place l’idéologie devant, et n’hésite pas a démolir la vie d’une gamine qui souffre pour en détourner sa maladie pour un profit politique.

Les médias verts rouges roses n’hésitent pas à la présenter comme une autorité morale irréprochable. Comment en est-on arrivé là ? Une telle indécence à maltraitance à enfant malade ?

L’idéologie rend-elle aveugle au point de nier l’indécence à exposer cette jeune fille qui ferait mieux de vivre dans un cadre plus paisible ?

Qu’importe que les propositions de Thunberg appauvrissent des milliards de personnes tout en les laissant sous le contrôle écrasant des masses aux étatistes.

Il est déjà assez grave d’exploiter un adolescent en bonne santé, mais les écologistes en utilisent une avec plusieurs troubles mentaux. Le syndrome d’Asperger et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC).

Les parents vont publier prochainement un livre qui met en avant ses problèmes mentaux comme la raison de son activisme.

Vous verrez, les journalistes présenteront ses parents sans éprouver aucun malaise, comme ils ont présenté Greta ces dernières semaines.

Vous lirez dans ce livre qu’à 12 ans, cette gamine a arrêté de manger et boire pour cause d’obsession climatique. Mais qui autre que ses parents militants extrémistes ont implanté ces idées angoissantes à un enfant malade Asperger ?

Vous lirez que sa soeur, elle aussi atteinte, pique des colères et casse tout.

Vous lirez que Gretta Thunberg a commencé à avoir des cauchemars angoissants à trois heures du matin.

Elle « aurait décidé  » que son inquiétude face au climat devait devenir celle de tous les autres. Comme si, à 12 ans, un enfant malade était capable d’appréhender le monde complexe en libre arbitre et ne pas être sous l’influence des parents ?

Au lieu de diagnostiquer l’obsession et agir en conséquence pour rassurer et faire vivre une vie moins traumatisante, au lieu d’aider leur fille, les parents de Thunberg ont exploité sa peur irrationnelle.

En faire une caricature médiatique et détruire sa vie future. Ses parents l’ont enfermée dans une idéologie avant sa majorité. C’est criminel. C’est odieux.

Les activistes du climat du monde entier se sont associés à l’indécence et ont profité de cet enfant fragile pour en faire un profit politique militant.

Cette gamine victime est sujette aux cauchemars. Au lieu de les apaiser, les militants ont encore amplifié la paranoïa.

Ils ont façonné ses discours, qui peut imaginer qu’une gamine de 16 ans dispose de la notion de plainte à l’ONU sans qu’on lui aie suggérée ?

Ils l’ont déscolarisée.

Ils l’ont fait voyager sur un bateau de bobo avec un seau en plastique issu de l’industrie pétrolière pour uriner au milieu des vagues. Juste pour faire la une des médias verts de gris, et socialistes.

Ils l’ont proposée pour le prix Nobel de la paix pour militantisme. C’est irrationnel.

Abus à personne vulnérable. C’est proprement honteux.

Greta Thunberg, c’est maltraitance sur enfant victime de militants extrémistes, de ses parents.

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Pourquoi les USA réfléchissent à acheter le Groenland.

On lit tout et n’importe quoi sur la réflexion des USA à acheter le Groenland.

Bien entendu, dès que le mot « Trump » fait partie d’une équation, les meutes journalistes agissent comment des chiens et hurlent à l’unisson à charge sur la déraison des réflexions des USA.

Encore un constat que le journalisme en France n’est qu’un tribalisme, et que la confiance est rompue. Vous avez lu beaucoup de poncifs, clichés, niaiseries et entendu tout et n’importe quoi. Il faut donc rétablir les vérités.

Nous devons aujourd’hui ne plus prendre l’information des médias anciens, et réfléchir par nous même pour comprendre. Voici donc une vulgarisation de la situation.

 

Histoire du Groenland.

Le Groenland est une région qui a supporté plusieurs périodes de réchauffement-refroidissement dans l’histoire. La préhistoire montre plusieurs périodes de migrations et exils des Amérindiens sur la partie proche du Canada.

Nous savons que la disparition des Groenlandais d’origine indienne Dorset est due à la famine, causée par le refroidissement climatique avant le réchauffement climatique médiéval du xie siècle.

En 982, Erik le Rouge le viking, banni de Norvège explore le pays. Il nomma cette terre « Groenland » qui se traduit par « Pays vert ». D’après Le Roy Ladurie, le Groenland était à l’époque bien plus vert qu’aujourd’hui et un peu plus hospitalier notamment sur les côtes (en raison de l’optimum climatique médiéval).

Le Groenland devient à la descendance d’Erik le Rouge, une colonie du royaume du Danemark et de Norvège avec les îles Féroé.

A la séparation de l’union du Royaume de Danemark et Norvège en 1814, la propriété du Groenland revient au Royaume du Danemark.

Aujourd’hui, les 2 colonies danoises, les îles Féroé et le Groenland sont des provinces autonomes du royaume du Danemark. Elles possèdent un gouvernement qui leur est propre et qui a compétence dans la plupart des domaines politiques, à l’exception de quelques domaines régaliens, comme les affaires étrangères, de la défense et la politique monétaire, qui sont toujours contrôlés par Copenhague.

 

La relation du Groenland avec les USA

La première chose qui saute aux yeux, le Groenland fait partie géographiquement de l’Amérique du Nord.

Les danois ont par le passé vécu un phénomène migratoire vers les USA important. Avec la proximité du Groenland et des Amériques, les Danois ont étés sensibles au rêve Américain. De 1815 à 1914, 15% des Danois (300 000 personnes) émigrent vers les États-Unis et le Canada. Un nombre conséquent. La majorité des familles danoises aujourd’hui ont des branches familiales aux USA.

Après l’invasion du Danemark par l’Allemagne en 1940, les États-Unis déployèrent des forces d’intimidation pour protéger et sauver le Groenland de l’Allemagne. Le Groenland n’a pas été envahi par les nazis. Le Groenland le doit aux Américains.

Depuis lors, les États-Unis ont toujours une présence militaire sur l’île. A Thulé, se trouve la plus importante station d’alerte radar et de suivi par satellite pour la protection du territoire américain. Les bases militaires Américaines au Groenland sont vitales pour la sécurité des USA.

En 1946, l’administration Truman tenta, sans succès, d’acheter 100 millions de dollars l’île entière au Danemark. Ce n’est donc pas une lubie fantasque inventée par Trump, mais une suite des ambitions de l’histoire Américaine. Ils nous ont bien acheté la Louisiane.

 

Le désir d’indépendance.

Le rapport entre le Danemark et le Groenland, c’est en surface géographique le rapport entre la France et la Corse.

Au Groenland, le désir d’indépendance est très fort, en particulier parmi l’élite politique du Groenland. Pour une grande partie des Groenlandais, la question n’est pas de savoir s’ils vont devenir indépendant ou se relier aux USA, mais quand ! Pour eux c’est déjà acté.

 

L’économie du Danemark et l’économie du Groenland

Le Danemark est un paradoxe social, il ne connait pas le chômage. Pays prétendu « socialiste » alors que gouvernement n’interfère pas dans le social des entreprises.

Si le Danemark était socialiste comme le prétend la légende, la France est en comparaison l’union soviétique.

Le Danemark est classé 12eme dans l’indice du classement de la liberté économique. La France est 71eme.

 

Seule la partie fiscale semble socialiste. Le Danemark est après la France le pays le plus fiscalisé du monde. Mais même là, la courbe se croise, là ou les Danois ont entrepris une baisse des fiscalités, la France elle trouve tous les jours de nouvelles taxes à imposer à ses ressortissants.

 

L’économie du Danemark est entièrement dirigée vers l’exportation. 70% de son PIB correspond au commerce extérieur. C’est un petit à l’économie mondialisée sur des marchés de niche et une puissance maritime mondialement reconnue.

 

L’économie du Groenland

55% du budget du gouvernement groenlandais provient du Danemark sous forme d’une subvention globale. Le Groenland est donc un « boulet économique » pour le Danemark qui est un pays qui souffre de l’autre d’une sur-fiscalisation.

Les villes du Groenland ne sont pas reliées par des routes, rendant les déplacements et l’activité économique difficile et coûteuse

 

Les problèmes sociaux dans les communautés isolée, tels que l’alcoolisme et les taux de suicide élevés sont nombreux.

En l’état actuel des choses, aucun de ces coûts ne pourrait être compensé par l’exploitation rentable des ressources naturelles, comme la presse bien pensante le suggère.

Il n’y a que 2 mines en activité au Groenland : la mine de rubis Aappilattoq et la mine d’anorthosite de Qaqortorsuaq. Elles survivent grâce aux subventions et ne sont pas profitables. C’est à peine 1% de l’activité du Groenland.

Le Groenland est en fait mono-industrie, et c’est la pêche qui représente 95% des exportations et de l’activité des habitants.

 

 

Les avantages à fusionner avec les USA

Le Groenland pour se désenclaver, a commencé la construction de trois grands nouveaux aéroports cette année et s’achèveront en 2023 (à Qaqortoq, au sud, à Nuuk, la capitale et à Illulissuaq, au nord).

Pour être rentable ces futurs aéroports doivent impérativement trouver des débouchés en Amérique du Nord. Le Groenland doit trouver des voyageurs d’affaire et de tourisme. Les voyageurs US sont les premiers voyageurs du monde. Un débouché pour le désenclavement.

Les USA n’absorbent seulement que 1% de l’industrie de la pêche Groenlandaise. En fusionnant avec les USA, c’est un débouché énorme qui s’ouvrira à l’industrie traditionnelle et principale du pays.

L’activité minière pourrait être développée. C’est une industrie qui nécessite de gros capitaux et une prise de risque. Les compagnies minières Américaines ont le gout du risque. Là encore cela serait une bonne affaire pour les habitants.

 

Conclusion

Ce n’est pas le 19ème siècle, et le Groenland n’est pas à vendre.

En fin de compte, il appartient à la population du Groenland de déterminer comment et par qui elle souhaite être gouvernée. Et à l’Amérique de valoriser son offre.

Et beaucoup pourraient être étonnés que les Groenlandais acceptent une proposition aussi intéressante.

Paradoxalement, en fait, c’est surtout pour les Américains qu’elle peut poser question. La rentabilité du Groenland. Ce n’est pas pour la semaine prochaine.

 

Par Spartacus Lequidam

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Censure par les gardiens numériques de la vérité et de la haine….

La loi qui impose aux plateformes la censure contre les propos haineux sur les plateformes sociales Internet est gravissime. Les valeurs de la république sont gravement atteintes.

Macron nous fait une politique communiste et notre avenir de citoyens est sombre. Nous entrons dans le dirigisme et la propagande des foules se met en place.

Les élections européennes ont débouché par une représentation de dirigeants non élus, dans un jeu de négociation dans les couloirs de la nomenklatura européenne. Le directivisme collectiviste se met en place. Voici venir une 2eme vague, la censure.

 

Loi de censure : bloquer un discourt de haine, c’est de la haine…

L’exclusion pour des idées c’est de la haine.

Soyons clair. Empêcher la liberté d’expression, empêcher la parole est déjà le premier acte violent qui caractérise la haine.

Notre liberté d’expression est menacée. C’est une dictature qui ne dit pas son nom.

Les lois de censure sont toujours politiques et n’ont rien à faire avec la justice

Le libre arbitre est extrêmement menacé. Notre pays s’enfonce dans le communisme. Ne vous y trompez pas. C’est une censure pure et simple des pensées dissidentes.

Le fait de pouvoir condamner et réduire au silence quelqu’un pour une « haine » définie par l’idéologie des juges et de l’administration est une plaisanterie haineuse.

La France est en train de se transformer en un pays communiste, certes à encore économie de marché, mais de plus en plus ultra dirigiste. Un peu comme la Chine. A la différence, c’est caché sous des métaphores de morale aux « bon sentiments ».

Pas un jour ne passe, sans une nouvelle idée de taxe, de loi d’interdiction et de directivisme. Vous n’avez qu’à ouvrir la radio. C’est même en pire que la Chine, ici la dépense publique représente 57% du PIB, là ou l’état chinois cela représente 40% du PIB. L’état Orwellien est partout.

 

Origine de la censure en France : la loi Gayssot

Bien entendu c’est un communiste qui a mis la première pièce contre la liberté d’expression. (Ce n’est pas un hasard !)

Il a introduit dans la loi le crime de « déni de réalité historique ».

Bien entendu nos zélés fonctionnaires Marxistes en profitent pour agrémenter cette loi de compléments liberticides comme l’irrévérence aux faits historiques. Le délit de blasphème est créé.

La France devient l’égal de l’Arabie Saoudite ou l’Iran, là bas la caricature de Mahomet vous condamne, en France la moquerie historique vous condamne.

 

Les résultats complètements nuls de cette 1ere loi liberticide.

De nos jours, l’antisémitisme est plus important que dans les années 80 date de création de cette loi censée le combattre.

L’antisémitisme n’a pas disparu. C’est un échec total.

La sanctuarisation par la loi entraîne l’idée qu’il existe 2 poids, 2 mesures. Les effets pervers sont pires que ce que cette loi voulait combattre.

 

La sanctuarisation de la Shoah a engendré une spirale des frustrés contre les juifs. Dans les cités, les habitants, souvent issus des pays arabes ou musulmans ont développé l’idée qu’on en fait plus pour les juifs que pour eux. L’antisémitisme c’est développé. A Sarcelles, les juifs qui y vivaient dans les années 80 en paix, ont déserté et ceux qui restent vivent dans la méfiance du ressentiment envers eux.

Quand les idées se font muettes, la contradiction ne peut la pondérer, puisque l’idée ne s’exprime plus au grand jour. Elle devient frustration et violence.

La sanctuarisation entraîne la pensée 2 poids, 2 mesures et la frustration. Les effets pervers sont pires que cette loi voulait combattre.

Une Fémen pisse dans l’église et n’est pas condamnée ? Un journal caricature Mahomet et n’est pas condamné, par contre la caricature de la Shoah l’est ?

La communauté juive de France sans le vouloir, est devenue une cible.

La loi Gayssot en attribuant un statut « à part », elle fait un bouc émissaire des juifs.

Cette loi est pire que le mal qu’elle est censée combattre. Elle motive les ressentiments d’injustice auprès de ceux qui ne peuvent s’exprimer au lieu d’êtres confrontés à la contradiction et s’effacer pour passer à autre chose.

Comme constaté les exemples de lois de censure sont des échecs.

 

Qui gagne avec les lois de censure ?

Les lois de censure, il n’y a qu’un gagnant. La diabolisation des contradicteurs.

En fait, cette loi, comme toutes les lois de censure c’est révélé plus une arme à dessin politique que de lutte contre l’antisémitisme .

Le premier à en avoir fait les frais, c’est l’extrême droite dont le politicien Jean Marie Lepen.

-L’autre gagnant indirect sera le pouvoir des plateformes numériques. Laisser la liberté d’expression aux opérateurs est une folie furieuse et un précédent extrêmement grave pour la société.

Laisser Facebook ou Google le monopole de la vérité et imposer la censure sous excuse de « haine » est une folie furieuse de leur donner un tel pouvoir.

Zukerberg le dirigeant de Facebook est un militant démocrate et il est pressenti pour être dans quelques années un candidat à l’élection présidentielle Américaine.

Par ailleurs, il lance la prochaine monnaie privée de masse le Libra, imaginer qu’un type aux dents si longues et si orgueilleux laissera les idées et les contestations de développer sur lui, ses investissements, ses échecs ou une atteinte a son image laissé par lui sans censure est un leurre.

C’est comme à une époque, armer Ben Laden sous prétexte de lutter contre les Russes, et se plaindre ensuite qu’il a retourné ses armes contre la société qui l’a armé.

Cette loi est une horreur à la liberté d’expression, elle va entraîner des dérives pires que celles censées combattre….

 

Les plateformes numériques deviennent les juges des vérités.

Il vous est maintenant interdit d’exprimer vos idées autre que rose bonbon et exprimer avec du sel de l’humour ou montrer du sarcasme ou vous moquer. Vous devez être « infentillisé » par l’élite et ne plus avoir accès à, la liberté des opinions. Vous êtes considéré comme trop stupide et incapable de faire des discernements par votre propre libre arbitre.

 

Les plateformes numériques vont homogénéiser les idées, mettre fin aux controverses. Éliminer les gens épicés aux avis qui dérangent. Ils vont imposer à penser la même chose et tout le monde devra s’exprimer dans le même sens. Ils vont imposer que tout le monde soi gentil, policé. Ils vont imposer le stalinisme de la pensée.

Facebook Google dans le secret vont imposer les thématiques les idées qui sont les « bonnes » et celles qui sont « mauvaises ».

Les sentiments, les idées relèvent de la subjectivité et il est évident que de multiples associations bien-pensantes vont se prétendre haïes alors qu’elles ne sont que critiquées. Ce qui va pousser les plateformes à l’autocensure.

La distinction entre crime et péché est l’un des fondements du droit occidental. En légiférant sur les opinions, nous devenons une dictature de type Chavez et Maduro.

La civilisation est un état social où les sentiments, les idées comme la haine, la colère ou la jalousie, ne se traduisent pas en crimes. Parce que une société où dès le plus jeune âge, on apprend le respect des autres, et de tous les autres.

La France de Macron et ses sbires socialistes étatistes avec cette loi se comportent en état totalitaire, puisqu’ils ont la prétention de régir les sentiments de leurs citoyens.

Avec cette loi nous devenons un état totalitaire, dans une Europe qui le devient aussi.

Par Spartacus Lequidam

Pour aller plus loin avec les vidéos (en anglais) :

Vidéo de Zukerberg devant Ben Sasse (sénateur Tee Party républicain du Nebraska) contraint de définir un discourt de haine.

Vidéo du chargé de communication Google devant Dan Crenshaw (député libertarien républicain du Texas) obligé de justifier la censure injustifiée de PragerU.

Video de John Stossel qui interroge les censurés des médias sociaux contreversés aux USA

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Biodiversité menacée. Encore une énième Fake-news écolo.

La bio-diversité menacée. « Un million d’espèces végétales et animales menacées. »

Il est totalement impossible que vous ayez raté cette information. On vient de vous la bombarder en matraquage média intensif sans aucune vérification ni esprit critique de cette étude. Aucune investigation en vérification. Pas un seul commentateur ne met en parenthèse les chiffres qui vous sont assénés comme des vérités évangéliques.

 

Selon un nouveau rapport des Nations Unies, un million d’espèces animales et végétales sont « menacées » par l’activité humaine.

Selon les auteurs du rapport, la solution proposée par la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) consiste à apporter des « transformations en profondeur liées à des facteurs économiques, sociaux, politiques et technologiques » dans notre relation avec la nature.

Il faut bien comprendre que les Nations Unies n’ont pas plus de déontologie que n’importe quel organisme gouvernemental, multinationale ou groupe de pression revendicatif. 

En résumé des gens en conflit d’intérêt avec leur objet de revenus et de subventions qui ont commandité un rapport en fournissant l’approche et la conclusion que devait avoir ce rapport.

 

Ce sont des gens aux profils intellectuels qui se croient dépositaire d’une mission divine de changer la société et n’hésitent pas a franchir le seuil de la désinformation par la communication de statistiques biaisées qui tiennent scientifiquement sur la surface d’un confetti. Ce sont des fonctionnaires qui se prennent pour le gouvernement du monde et qui s’autorisent a se croire des grands planificateurs centraux, et veulent diriger le monde par la manipulation des foules et de l’information. Dailleurs c’est écrit dans le rapport de ces bureaucrates planificateurs, ils veulent dixit : « transformer le monde« .

 

1-Les sources statistiques de cette étude

1ere interrogation

Quelqu’un connaît le nombre d’espèces connues de plantes et animaux ?

 

La vérité est que personne ne connaît. La plus grande diversité d’espèces est celle des insectes. Les insectes sont si nombreux qu’aucun scientifique ne peut les connaître tous.

Un spécialiste des papillons Français ne connaît pas tous les papillons de France et découvre des nouvelles espèces quotidiennement…Alors au niveau mondial, et en plus que les papillons, petit agrégat des insectes.

De plus, il y a très peu de spécialistes des insectes sur terre (entomologistes).

 

Il est impossible de connaître le nombre d’insectes. Les estimations du nombre de catégories d’insectes vont de 1 million à 30 millions d’espèces. Et ce n’est qu’une catégorie d’espèce.

 

2eme Interrogation « répertorié » et « estimé » ce n’est pas pareil.

Si pour les moustiques, la marge d’erreur est élevée, on pourrait penser que pour les autres espèces c’est plus simple, puisque les chiffres ne vont pas du simple au double, or en fait en creusant on se rend compte que tout est estimation au doigt mouillé.

Les Champignons : il y aurait selon cette étude 0,61 million d’espèces. En vérité les répertoriés sont inférieurs à 0,4 millions soit 7% de l’estimation, Un marge d’erreur de 93%.

Les animaux  : il y aurait selon cette étude 7,7 millions d’espèces animaux. Nous en avons répertorié officiellement 1 million, soit 12%. Une marge d’erreur de 88%.

 

Le nombre d’espèces répertoriées, est nettement plus réduit que le nombre d’espèces estimées.

 

2-Le fond de l’étude

Ça veut dire quoi « menacé » ?

Menacé est un mot fourre-tout qui nécessite des précisions que le rapport donne ainsi :

Il s’agit d’un ensemble de trois catégories différentes : « vulnérable« , « en danger » et « en danger critique d’extinction« .

Si une espèce est en danger critique d’extinction, cela signifie qu’elle doit faire face à l’un des facteurs suivants : déclin de la population d’au moins 80%, fragmentation grave de son habitat ou présence d’un seul site, population de 250 spécimens matures au maximum, risque d’extinction à l’état sauvage de 50% d’ici trois générations ou dix ans.

Selon l’estimation 2 464 animaux et 2 104 plantes répondent à au moins un de ces critères.

 

En résumé, un peu moins de 5 000 espèces, environ 0,05% des 10 millions de celles que le rapport extrapole d’exister.

Les groupes de plantes les plus touchés selon eux sont les cycadales, les dicotylédoneset 5% des conifères. Les amphibiens sont le groupe d’animaux les plus touchés, avec près de 10% d’entre eux menacés d’extinction.

 

Extinction de masse ou vaste propagande anxiogène ?

La situation de certaines espèces est certainement en danger critique, Darwin l’a découvert bien avant l’ONU, le rapport lui est est un cas classique de la communication politique culpabilisante de l’homme avec des effets d’annonce et de réalité totalement inventé.

 

Les catégories sont floues, les commentaires et titres annonciateurs d’une extinction de masse laisse à penser au monde un problème grave, du style qu’il ne restera presque plus rien du monde naturel dans quelques années. C’est juste faux.

 

La réalité, est que seule une extrême petite partie des espèces est sérieusement menacée d’extinction, et sur des bases et références douteuses et extrapolées avec des mages d’erreurs infinies.

 

De plus, le monde est vaste et seul un nombre relativement restreint de personnes étudient ces questions. Cela signifie que seule une fraction de ces espèces est en cours d’étude et d’évaluation et même dans ce cas, nous ne savons que quelques groupes de population très limités pour chaque espèce.

 

En fait, loin de demander la réorganisation complète de la société, certains des risques pour ces espèces sont assez faciles à contrôler par le bon sens.

 

 

 

C’est quoi la bio-diversité ?

Ces moustiques qui vous apportent cette si belle diversité.

Qui apportent la dingue, la malaria, la maladie de chaga, la maladie du sommeil, le chikungunya ou le paludisme et oblige la moitié de la population non industrialisée (proche de la nature) a vivre sous moustiquaire et une durée de vie plus limité qu’au japon ou Suisse les pays les plus industrialisés du monde.

Ces joyeux serpents, qui sont si beaux et si merveilleusement multicolores.

Ces serpents corail, pythons qui piquent chaque année 5,56 millions de personnes soit une personne toutes les 6 secondes dans le monde. Regrettez vous ce manque de diversité de ne pas en voir dans le parc ou vous promenez vos enfants ?

Et ces charmants caïman et crocodiles et requins qu’ils ont de si belles dents. 

Et ces gens, qui se sont fait bouffer le pied, quels ingrats à ne pas apprécier cette « for-mi-dable » nature et bio diversité. Au nom du sauvetage de la bio-diversité que les écolos pour être en phase avec leurs convictions en adoptent tous un bien gros dans leur baignoire.

La vérité est immorale à entendre pour les « bien pensants ». Eux qui ne sont que des bobos des villes, totalement décalé de la réalité qui se lavent avec du Tahiti douche, prennent du coca dans le réfrigérateur, utilisent le dernier Smartphone, et fantasment une nature idéalisée totalement abstraite et rêvée ou ils y ont jamais mis les pieds et qui ne ressemble pas a ça.

La nature n’est belle que dominée par l’homme, mais attention ne le dites pas, vous allez passer pour immoral.

La clémentine a été faite par l’idée de l’abbé Clément de mélanger génétiquement orange et mandarine, c’est son idée pas celle de la nature.

Les fraises ont été découvertes blanches et rachitiques en Amérique, elles sont devenues nombreuses, sucrées et diverses que par l’agronomie et la prise en main de la nature par l’homme.

Le Chien est un loup que l’homme a fait évoluer et n’est pas une création naturelle.

Mais surtout ne leur dites pas la vérité… Ils ne sont pas prêt à l’entendre.

Vous allez vous faire taxer d’être un affreux vilain.

Les bobos prennent les études anxiogènes d’organismes qui vivent de la peur et l’envie de transformer le monde pour argent comptant. Dur comme du béton armé ils y croient comme des chrétiens croient l’évangile.

Ils pensent la nature comme elle est comme au jardin botanique ou au zoo. Selon eux, il faut culpabiliser les populations, au nom de leur point de vue, et au diable la réalité des autres.

Ils sont a des centaines de kilomètres de ceux qui vivent dans la terreur des orang-outans, et souhaitent vivre de leurs palmier comme les agriculteurs de la beauce vivent des plantations de colza.

Ils n’imaginent pas que 40% de la population terrestre qui est contrainte de dormir avec une moustiquaire et que ces gens si prochent de la nature, ne rêvent d’une eradication des moustiques dans leur village en brousse. Quelle ingratitude d’être si près et ne pas apprécier la nature sauvage.

Les bio-diversitovores n’aiment pas ces gens des pays pauvres, qui se foutent de la « bio-diversité » et qui « osent » couper les arbres pour essayer de vivre comme des occidentaux. Détruire les moustiques et adopter la climatisation.

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Bolsonaro président du Brésil : mensonges et vérités.

Le 1er janvier 2019, Jair Bolsonaro, élu par plus de 55 millions de Brésiliens, est devenu le président officiel du plus grand pays d’Amérique du Sud.

Jair Bolsonaro ne se voit pas comme un homme politique au sens traditionnel du terme. Il dit ce qu’il pense et essaie de faire ce qu’il dit.

Sa victoire électorale est due à son ouverture. Il le doit surtout a son honnêteté intellectuelle et matérielle. Il n’a jamais utilisé sa fonction de député pour en tirer un profit matérialiste.

Il s’est distingué des nombreux hypocrites, des flatteurs et des orateurs magnifiques.

Il a délibérément traité les médias, en particulier le diffuseur omnipotent « Globo » le plus grand groupe de médias d’Amérique Latine et du Brésil avec mépris. Au lieu d’apparaître omniprésent dans ce média comme ont cherché a le faire les autres candidats, il s’est tourné vers les électeurs par Internet.

 

Trump/Bolsonaro

Dans les médias, Bolsonaro est comparé à Trump.

Oui et non, vous pouvez comparer Jair Bolsonaro à Donald Trump mais pas pour tout. 

Trump fut l’un des premiers à féliciter Bolsonaro pour sa victoire électorale et comme pour son discourt d’investiture, il vient de lui confirmer qu’il va l’accueillir comme un partenaire des USA fiable. 

Comme Trump, Bolsonaro ne s’est pas soucié des règles conventionnelles pendant la campagne électorale. Trump et Bolsonaro viennent professionnellement d’horizons complètement différents. Bolsonaro, contrairement à Trump, est un homme politique depuis 1991 en tant que représentant élu au Congrès brésilien. Trump un milliardaire de l’immobilier.

Comme Trump, quand Bolsonaro a annoncé sa candidature à la présidence, ses concurrents et les experts politiques auto-proclamés dans les médias s’accordèrent pour dire qu’il ne réussissait jamais. « Ele não » (« Il ne le fait pas ») a été utilisé par ses adversaires en moquerie permanente. 

Ses arguments électoraux ne correspondaient pas à la rectitude politique, presque pas d’argent pour mener une campagne ; et avec son parti social-libéral (PSL), le parti reposait sur une base politique étroite en particulier par rapport au parti travailliste (PT). Les sondages laissaient à peine une chance à Bolsonaro.

Contrairement à Trump, Bolsonaro est plus consensuel au Brésil, la polarisation apparue de la campagne électorale entre les camps n’est pas une fracture aussi intense qu’au USA que celle de Trump et les médias. Contrairement aux États-Unis, Bolsonaro est plus consensuel il est moins clivant.

Il est un espoir pour beaucoup de monde dans ce pays. Même ceux qui n’ont pas voté pour lui.

 

Bolsonaro et l’économie.

Bolsonaro dit qu’il se fiche de l’économie … Son ministre des Affaires économiques, Paulo Guedes, est un diplômé de l’école de Chicago.

Avec Guedes, le gouvernement de Bolsonaro va ressembler au début de la République fédérale d’Allemagne avec Konrad Adenauer et Ludwig Erhard. Adenauer a été assez intelligent pour laisser Erhard les mains libres pour l’économie et se concentrer entièrement sur les affaires politiques. 

Erhard a parcouru le pays et a expliqué aux gens ce qu’est une économie de marché. Paulo Guedes devrait faire pareil. Il utilisera les médias pour expliquer ce qu’est une économie de marché libre, à quel point les dépenses publiques sont fatales et à quel point l’inflation est diabolique dans un pays ou comme en France on croit que l’économie est un jeu à somme nulle.

Guedes est bien accueilli sur les marchés financiers. Guedes est un libéral économique dans la tradition de Milton Friedman. Il sera aidé par le ministre de l’éducation pour dé-Marxiser les mentalités.

 

 

Bolsonaro et l’éducation :

C’est assez simple comme programme, la lutte contre l’endoctrinement Marxiste dans le système éducatif.

Pour y parvenir, il a nommé le philosophe brésilien Ricardo Vélez Rodríguez comme ministre. Il connaît bien l’endoctrinement Marxiste dans l’éducation et sait que ce n’est pas limité à un seul pays, il a aussi vécu aussi en France. Il a un passé d’enseignant dans les universités étrangères mondiales, comme les États-Unis, la Colombie et la France.

Pour Bolsonaro, il est nécessaire de combattre l’idéologie des enfants et la distorsion des droits de l’homme, de rétablir des normes éthiques et morales, ce qui rend les réformes nécessaires. Enlever le monopole Marxiste sur les sciences sociales et économiques.

Donner la priorité à l’éducation de base, et redonner un sens à l’éducation. Former les gens à être des citoyens et non en faire des militants politiques ou séparer les gens en classes sociales de bons ou mauvais. Éjecter les idéologues marxistes installés dans les établissements d’enseignement, qui ont fait tellement de mal avec leur idéologie à toute l’Amérique du Sud. Le Brésil ne sera pas un nouveau Venezuela.

L’objectif de Bolsonaro est d’améliorer le classement du Brésil dans les classements l’éducation du Brésil.

 

Bolsonaro extrême droite ?

Le modèle droite-gauche n’est plus valable depuis longtemps. Le parti de Bolsonaro s’appelle « social libéral ». Il est appelé « extrême droite » par les médias, surtout parce qu’au Brésil le PT, le parti en place était un parti Marxisant. Le PT est économiquement socialiste et socialement culturo-marxiste. Tout ce qui était à sa droite était qualifié de droite, et les partis centristes, d’extrême droite.

En fait Bolsonaro a été le seul à se distinguer clairement de la foultitude des nombreux autres partis semi-socialistes. Bolsonaro est plutôt un « conservateur-libéral ». Il a pris dans sa campagne une direction sécuritaire par opposition à la réalité de ses concurrents Marxistes.

Le PT sous l’ancienne direction de Lula était corrompu et obsédé par l’argent. Le PT actuel, avec Haddad au sommet, proposait rien de moins comme indécence, que d’absoudre les criminels corrompus comme Lula ou Youseff qui ont mis en faillite leur pays. Comme tous les partis Marxistes et socialistes, le PT a peu à voir avec les travailleurs, c’est un parti d’intellectuels de gauche, plus obnubilé pour changer la société que regarder le mal réel que réalise au concret leurs idéologie fantasmée de changement de société.

 

Bolsonaro loi sur les armes ?

C’est presque une caricature du débat du RIC en France. Des élites qui refusent ce que le peuple veut. Bolsonaro n’a pas demandé une « loi sur les armes », il va appliquer ce que les gens ont voté. POINT.

Un référendum sur la loi sur les armes a eu lieu et la majorité s’est prononcée en faveur de la libéralisation. Mais les politiciens et élus se sont arrangés pour ne pas mettre en place cette loi et l’enterrer. Pour comparer à la France, les gens votent pour un « non à l’Europe » ou « oui à une création d’aéroport à Notre Dame des Landes » et ça ne satisfait pas les élites, nos médias de centre gauche et l’établisment et on enterre la demande des citoyens.

Bolsonaro ne fait en réalité que mettre en œuvre le plébiscite d’un précédent referendum.

Le crime est un problème très grave au Brésil. Cependant, il ne faut pas oublier qu’il se concentre spécifiquement dans les bidonvilles périphériques des grandes villes.

Au Brésil, il y a donc deux mondes dans presque toutes les villes. Un référendum sur la loi sur les armes a eu lieu et la majorité s’est prononcée en faveur de la libéralisation.

Il est difficile d’imaginer qu’une loi libérale sur les armes augmenterait les crimes violents. Cela va juste mettre fin au marché noir et la prohibition des armes.

Les bandits vont réfléchir à 2 fois avant de risquer de ce prendre une balle 9mm d’un Magnum Parabellum d’une personne âgée pour tenter de voler son sac. Les armes libres, c’est aussi dissuasif. Et plus de bandis avec du répondant en face, ça en fera moins dans les rues.

 

Bolsonaro et la justice :

Bolsonaro par le choix du ministre de la justice a un large soutien populaire. Le ministre de la Justice, est celui qui a amené Lula derrière les barreaux. Le juge Sergio Moro. Il s’est fait connaître en tant que juge de l’opération « Lavage express », enquête qui a révélé un gigantesque réseau de corruption autour du groupe étatique Petrobras et a éclaboussé la classe politique.

C’est un juge chargé de s’occuper de la corruption, et les gens ont confiance en lui car il a montré dans un pays ou la corruption est la règle, que lui est resté incorruptible.

 

Comme vous le constatez, Bolsonaro n’est pas la caricature à charge décrite par nos médias.

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Les oubliés de la politique. Les gens autonomes et responsables.

Si la politique reflète des valeurs largement défendues, beaucoup ne s’y reconnaissent plus.

Les gens autonomes ne peuvent pas passer 40 heures par semaine à étudier les modalités de toutes les politiques proposées à tous les niveaux.

De l’état et par les médias, ils sélectionnent principalement que ce qui reflète leurs préoccupations et leurs priorités éducation, famille, mais surtout le travail.
Les politiques macro-économiques de croissance ou de redistribution des revenus les laissent dubitatifs.
Ces gens oubliés veulent être autonomes, libres. Ils veulent des fonctions reconnues ou des emplois décents.
Ils sont responsables de leur vie, de ce qui leur arrive et ne se défaussent pas et n’accusent jamais ou rarement le «système» ou des forces extérieures de leur sort.

Une personne responsable ne fait confiance à personne pour s’occuper de lui plus que lui même. De la société actuelle ils constatent le contraste avec eux. Ils sont tristes et déplorent l’énorme manque de responsabilité personnelle et individuelle qui manque à beaucoup de gens.
Ils ne sont pas socialistes, ils ne sont pas un produit de son environnement. Ils créent eux même leur propre environnement.
Pour eux vous êtes responsable de votre vie…
Si par exemple vous ne pouvez pas trouver d’emploi, vous devez peut-être économiser pour changer de domaine, déménager, vous remettre en question, prendre intellectuellement en charge la prise en compte de vos lacunes et votre correction individuelle dans une remise en cause.
Mais certainement pas le spectacle quotidien de se lamenter pitoyablement sur son propre sort.

Pour eux, vous ne pouvez compter sur personne réellement sauf à la marge ou en agrégats. Vous devez pouvoir le faire vous-même et personne ne vous traitera comme vous voulez être traité.

Cette perspective est admirable pour ce qu’elle dit sur la force de caractère de l’individu, mais nuancées sur la foi en la communauté. Ils sont profondément cyniques à propos de leurs représentants élus.

Ils se plaignent du baratin et de promesses auxquelles ils ne croient pas ou plus. Pour eux la politique n’est qu’une mauvaise blague.
Beaucoup hésitent à discuter de politique, sachant à quel point le sujet peut diviser. Quand ils expriment une opinion politique, cela a généralement trait à l’inefficacité, au manque de confiance et à l’absence de toute réalité des gouvernants.

Ils sont humiliés et pris pour des enfants tous les jours par l’état et les castes non-autonomes.
-On réduit la vitesse à 80, on taxe le carburant? Eux sont les premiers à subir.
Ils ont besoin d’un véhicule pour rouler. On invoque le nombre de mort sur les routes pour les contraindre. Mais eux mêmes s’ils roulent à 95 au lieu de 90, ils n’ont jamais tué personne et mis en danger autrui et s’arrêtent au feu rouge.
-On veut taxer le sel, l’alcool ou les sodas. Eux sont les premiers à payer et subir.
Eux ne mettent pas leur santé en jeu. Ils mangent des schips, boivent du coca, ou une bière les jours sans excès, comme aussi des tomates locales ou du jardin et de l’eau. Ils n’ont besoin de personne pour leur dire de bien manger, mais c’est pas pour autant qu’ils vont se priver de tout.

-On surtaxe leur électricité, leur gaz. Eux sont les premiers à payer et subir. Mais eux font attention et ferment la lumière quand ils sortent d’une pièce et n’utilisent pas plus d’eau chaude .

-Le gouvernement taxe pour remplir des déficits qu’il creuse jours après jours. Eux sont les premiers à payer et subir.
Mais eux savent gérer leurs budgets. Ils ne sont pas à découvert. Ils savent économiser et dépenser à bon escient. Ils ont rarement besoin d’un crédit, et s’ils en ont un, il est remboursé rubis sur l’ongle. Le comportement des politiciens de dépenser plus qu’ils ont, leur est inconcevable.

-Pour eux les aides sociales sont nécessaires pour certaines parties de la population, pour les handicapés, les gens touchés par une intempérie ou un malheur.
Les cotisations sociales augmentent directement et indirectement. Ils sont les premier à subir.
Mais eux n’ont jamais abusé. Il n’ont jamais de leur vie été quémander au médecin un arrêt maladie de complaisance. Ils s’auto-soignent pour les petits rhumes et payent eux même le sirop pour les remettre d’aplomb . Ils vont voir le médecin que, et uniquement que si c’est nécessaire. Ils ne lui demandent jamais d’ajouter une boite de doliprane à l’ordonnance pour bénéficier de paracétamol sur le compte de la société en réserve chez soi.

-Ils sont carrément hostiles à ce qu’ils considèrent comme le profit indécent sur le social. Ils sont les premier à comprendre que c’est eux qui le payent et le subissent.
La personne qui fait un autre bébé pour obtenir plus d’argent alors qu’elle n’ai pas capable de faire vivre décemment ses premiers les choque.
Le HLM donné à un migrant alors que ce dernier ne veut pas vivre à l’Européenne les choque.

Mais il y a une chose qui les choque le plus, c’est le socialisme et la sociale démocratie subie, c’est son fruit: la résilience du sens des responsabilités.

Eux ont une attitude positive et un sens des responsabilités face à des situations de crise qu’ils subissent. Eux sont invisibles. Ils ne se plaignent pas.

Mais ce qui est grave, c’est que ces gens soient les oubliés.
Aucun politicien ne fait rien pour leur permettre d’améliorer leur vie, leur vie leur autonomie.
Au contraire, c’est sur eux que les gouvernant depuis des années s’acharnent.
Les politiciens, sont des décalés de leurs réalités.

Ils ne s’aligneront pas sur des valeurs collectivistes. Ils ne veulent pas être transformés ni « moulés » dans un gloubiboulga ou on leur dit comment il faut penser ou vivre. Ils savent ce qui se passe dans la vie quotidienne des gens normaux car eux ce sont des gens normaux.

S’ils se méfient des gouvernants et de l’état, c’est qu’il fait tout le contraire de leurs valeurs intimes de vouloir l’autonomie, la liberté et la responsabilité.
En fait ce sont des gens ordinaires oubliés de politiciens déconnectés et politisés qui veulent transformer leur vie au lieu de s’adapter à eux et se remettre en question.

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Trump Anxiety Desorder, la maladie du journaliste et des médias.

Une nouvelle maladie mentale est apparue. Les Américains la nomment la « Trump anxety desorder ».

C’est certainement la première fois que vous en entendez parler en France. Il faut dire que cette maladie touche beaucoup les médias et journalistes et quand on est dans la souffrance. Il y a des personnes qui cachent leur maladie. En l’occurrence pour les médias et journalistes, c’est le déni de réalité qui est la cause de l’absence de l’information. Être touché par la « Trump Anxiety Desorder » pour un journaliste, c’est comme une péripatéticienne qui aurait la Blennorragie (chaud de pisse), c’est incompatible avec l’hygienne du métier et pas professionnel.

C’est l’an dernier, que des psychiatres de la Harvard Medical School et de la Yale School of Medicine ont établit la pathologie TAD (Trump Anxiety Desorder).

Si la terre médiatique toute entière est touchée, on situe l’épicentre à Washington.

La thérapeute Elisabeth LaMotte du centre de conseil et de psychothérapie de Washington DC est l’une de celle qui diagnostique le plus cette maladie parmi ses clients. Elle a déclaré « il y a une «anxiété collective» qui s’est accrue depuis l’élection de Trump.» https://ijr.com/2018/07/1112538-trump-derangement-syndrome-spike/

Une pathologie de troubles anxieux TAD est spécifique à un climat sociopolitique imprévisible. Les symptômes sont « un état mental dans lequel une personne se conduit de manière exagérément folle à cause de son aversion pour Donald Trump » au point où elle abandonne toute logique et raison. Les symptômes de cette maladie peuvent être très variés, allant d’explosions hystériques à une rupture mentale complète. »

Cette maladie de l’aversion à une personne pourrait être bénigne, mais malheureusement de nombreux symptômes se manifestent dans la société. Notamment des actes d’intimidation et d’agression à l’encontre des partisans de Donald Trump au USA.

La maladie entraîne des « Refus de servir », « refus d’être agréable », « discrimination et même des violence et des coups ».

Les principaux touchés par la maladie sont les gauchistes et particulièrement les intellos de gauche. Les professions qui ne vivent pas dans l’autonomie ou la recherche d’une autonomie individuelle en dénombrent de nombreux malades.

La maladie sévit plus fortement dans les professions proches de l’état ou en dépendances de l’état et subventionnées. On note aussi de nombreux touchés dans les professionnels diplômés de sciences sociales et politiques comme les « journalistes ».

Les journalistes sont gravement « touchés » et la fréquence et l’intensité du syndrome entraîne des crises croissantes hystériques.

Il faut dire que ces crises sont grandement exacerbées par la consommation constante et sans répit de propagande haineuse dans l’entre soi d’une profession à 95% composé de gauchistes.

Aujourd’hui, les médias grand public ne sont pas les voix de la prudence et la neutralité de l’information juste et équitable, mais le total contraire, les développeurs de la maladie hystérique.

Aucun média n’est épargné même en France. De TF1 à L’express en passant par le Point et autres.

Les médias gauchistes sont eux 100% touchés. Libération, le Nouvel Obs, France2, France Inter ou l’humanité n’ont même pas un seul journaliste qui ne soit pas atteint.

Les plus grands journalistes connus sont gravement touchés. Bourdin, Appatie, Cohen, Lapix ont la TAD. Pour eux la science ne peut plus rien.

Le résultat est un mouvement de masse déterminé à salir Trump, loin de la réserve et de la réalité et complètement obsédés.

Toute cette hystérie repose sur presque rien. À la base, les médias traditionnels refusent d’accepter la perte d’Hillary Clinton. Ils ont dit qu’elle gagnerait facilement. Ils vous l’on matraqué matin midi et soir. Comment ont-ils pu se tromper tous collégialement?

Leur réponse est qu’ils ont élevé leurs clichés et leurs certitudes si haut, que la retombée sur terre leur engendre la maladie.

Si la vérité comptait pour les médias, leur récit serait le suivant: «les gens de gauche n’acceptent toujours pas la victoire de Trump». N’acceptent pas que leurs clichés soient mis en brèche.

Mais les symptômes sous-jacents du TAD sont antérieurs à l’élection de Trump, c’est juste la pathologie de gauche qui est devenue plus visible.

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Pourquoi n’y a-t-il pas aujourd’hui un État Palestinien????

Même si cela vous surprend comme réponse, elle est pourtant d’une simplicité limpide,

Les arabes ont toujours refusé cette solution.

Pas une fois, mais 5 fois !

5 fois proposé. 5 fois refusé par les arabes.

La réponse est surprenante si vous écoutez les médias, vous pensez que Israël refuse obstinément, et a toujours refusé un nouvel état.

Beaucoup pensent que si Israël permettait aux Palestiniens d’avoir leur propre État, il y aurait la paix au Moyen-Orient.

Pas vrai ?

C’est le discourt lignifiant de ce que vous entendez de partout, de l’ONU, de l’AFP, des diplomates européens, des médias et de la plupart des intellos de gauche.

Mais si je vous aviez les faits historiques entre les mains et intellectualisiez qu’Israël a déjà offert aux Palestiniens un état qui leur est propre, et pas seulement une fois, mais à cinq reprises ?

Peut être verriez vous les choses différemment ?

Ne ne croyez pas qu’a 5 reprises il ya eu une opportunité d’un état Palestinien ?

 

Passons en revue les faits historiques incontestables :

Après l’éclatement de l’Empire ottoman après la première guerre mondiale, la Grande-Bretagne a pris le contrôle de la majeure partie du Moyen-Orient, y compris de la région qui constitue aujourd’hui Israël.

Dix-sept ans plus tard, en 1936, les Arabes se sont rebellés contre les Britanniques et contre leurs voisins juifs.

 

-1936 Rejet numéro 1 :

Les Britanniques forment alors une commission d’enquête et un groupe de travail, la Commission de Lord Peel, pour étudier la cause des troubles de la région.

La commission conclu que la raison de la violence est que deux peuples, juifs et arabes, veulent gouverner et contrôler la même terre.

La Commission Peel a conclu que la solution serait de créer deux États indépendants, l’un pour les Juifs et l’autre pour les Arabes. Une solution à deux états. La division proposée était fortement en faveur des Arabes. Les Britanniques leur ont offert 80% du territoire aux arabes, les Juifs, les 20% restants. Pourtant, malgré la petite taille de leur État proposé, les Juifs ont voté démocratiquement pour accepter cette offre. Mais les Arabes l’ont rejeté et ont repris leur rébellion violente.

Rejet numéro 1. Les arabes refusent.

 

-1947 Rejet numéro 2 :

Dix ans plus tard, en 1947, les Britanniques ont demandé aux Nations Unies de trouver une nouvelle solution aux tensions persistantes. À l’instar de la Commission Peel, l’ONU a décidé que la meilleure façon de résoudre le conflit était de diviser la terre.

Le 7 novembre 1947, l’ONU a voté pour créer deux États. La Palestine devait être divisée en huit parties : trois devaient devenir des divisions juives et trois des divisions arabes. La septième, la ville de Jaffa, devait devenir une enclave arabe à l’intérieur du territoire juif, le régime international de Jérusalem, qui était la huitième division, devait être administré par le Conseil de tutelle des Nations Unies.

Les Juifs ont acceptent l’offre. Les Arabes l’ont rejeté, mais cette fois-ci, ils l’ont fait en lançant une guerre civile officielle.

Rejet numéro 2. Les arabes refusent.

 

Le conflit juifs-arabes démarre après en 1948, également nommée, « guerre de Palestine » ou « al-Nakba (« la Catastrophe ») ».

La Jordanie, l’Égypte, l’Irak, le Liban et la Syrie rejoignent le conflit au prétexte de défendre les populations arabes de Palestine.

Ils échouent. Les juifs gagnent la guerre et construisent une nouvelle nation autonome. C’est la fondation de l’État d’Israël.

La plupart des terres mises en réserve par l’ONU pour créer un État arabe, la Cisjordanie et Jérusalem-Est, deviennent alors des territoires occupés. Occupé non par Israël, mais par la Jordanie.

1948 aura 2 conséquences, qui portent encore à conséquences aujourd’hui :

-les réfugiés Palestiniens. Les Palestiniens quittent le pays sur les ordres de leurs propres chefs et dans l’espérance d’un retour. La guerre terminée, état d’Israël créé, ils se verront refuser le retour.

-L’exode des juifs du monde arabe. La vie dans les sociétés arabes deviennent plus difficile et les juifs quittent ces pays devenus hostilles aux juifs.

 

-1967 Rejet numéro 3 :

Vingt ans plus tard, en 1967, les Arabes, menés cette fois par l’Égypte et rejoints par la Syrie et la Jordanie, déclarent la guerre à l’État juif.

Le conflit de 1967, connu sous le nom de guerre des six jours, s’est soldé par une victoire stupéfiante pour Israël. Jérusalem et la Cisjordanie, ainsi que la zone connue sous le nom de bande de Gaza, sont tombées entre les mains d’Israël. Le gouvernement Israélien est divisé sur quoi faire avec ce nouveau territoire. La moitié d’entre eux ont voulu rendre la Cisjordanie à la Jordanie et Gaza en Égypte en échange de la paix. L’autre moitié voulait le donner aux Arabes de la région, qui avaient commencé à se considérer comme des Palestiniens, dans l’espoir qu’ils finiraient par y construire leur propre État.

Aucune des deux initiatives n’a été très loin. Quelques mois plus tard, la Ligue arabe s’est réunie au Soudan et a publié son tristement célèbre « Trois No »Â : « Pas de paix avec Israël ». Pas de reconnaissance d’Israël. Pas de négociations avec Israël. Une fois encore, une solution à deux États a été rejetée par les Arabes, faisant de ce rejet le numéro trois.

Rejet numéro 3 : la ligue arabe refuse.

 

-2000 Rejet numéro 4 :

En 2000, le premier ministre israélien, Ehud Barak rencontra a Camp David le chef de l’Organisation de libération de la Palestine, Yasser Arafat pour négocier un nouveau traité à deux États. le chef de l’Organisation de libération de la Palestine. Le but est de négocier un nouveau traité à deux États. Ehud Barak propose à Arafat un État palestinien à la place de la bande de Gaza et 94% de la Cisjordanie avec Jerusalem Est pour Capitale. Mais le leader palestinien rejette cette offre.

Selon les mots du Président américain de l’époque, Bill Clinton,  » Arafat resta 14 jours et dit ‘ non ‘ à toutes propositions « . Au lieu de négocier, les palestiniens lancèrent une série d’attaques suicides sanglantes tuant plus de 1000 israéliens.

Rejet numéro 4 : Yasser Arafat refuse.

 

-2008 Rejet numéro 5.

En 2008, Israël tenta de nouveau. Le Premier Ministre Ehud Olmert alla encore plus loin que Ehud Barak en allongeant le traité de paix jusqu’à inclure des territoires supplémentaires. Olmert offre un retrait quasi total de la Cisjordanie, avec un contrôle des principales colonies juives. Il propose d’indemniser les Palestiniens avec des terres israéliennes équivalant à 5,8% de la Cisjordanie, d’une route liant la bande de Gaza, à la Cisjordanie.

Il a également proposé de se retirer des quartiers arabes de Jérusalem-Est, d’en abandonner le contrôle, et de placer la vieille ville, abritant les lieux saints les plus sensibles de Jérusalem, sous contrôle international.

Rejet numéro 5 : Mamoud Abbas refuse.

 

Depuis, Israël quitta totalement la bande de Gaza, laissant aux palestiniens le total contrôle de la zone. Plutôt que de développer le territoire pour le bien de son peuple, les palestiniens transformèrent Gaza en un camp terroriste, depuis lequel ils bombardent Israël, qui réplique régulièrement.

En conclusion :

A chaque fois qu’Israël accepta la création d’un État palestinien, les palestiniens ont rejeté l’offre, souvent avec violence. Si la paix au Moyen-Orient est voulue par tous, la réponse n’est probablement pas de faire pression sur Israël pour qu’un nouvel accord d’État palestinien soit proposé. La réponse est probablement de faire pression sur les palestiniens et les pays arabes qui soutiennent pour qu’ils acceptent enfin l’existence de l’État d’Israël.

Les Palestiniens sont aujourd’hui victimes de la posture du refus systématique d’avoir un pays. N’est il pas important d’en prendre conscience?

C’est certainement pas comme cela qu’on vous avait exposé la situation dans notre presse de 90% de journalistes de gauche pro-Palestiniens par mimétisme idéologique de caste ?

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Iran-deal: quels politiciens européens occidentaux ont touché les pots de vin ???

La décision du président Donald Trump de se retirer du fragile accord nucléaire Iranien vient de faire un rebond inattendu. Les Iraniens n’ont pas envie de laisser les rats quitter le navire comme ça, et l’on fait savoir clairement.

L’information n’a pas fait une ligne dans les médias et la presse bobo Française, mais l’Internet permet de piocher des infos ailleurs sur terre.

En se retirant de l’accord Iranien, mécaniquement, les sanctions envers l’Iran se réimposent. Et parmi elles, il y a des menaces de sanctions économiques contre les pays commerçants avec l’Iran…

Cela n’a pas échappé aux pontes du pays et le ministre iranien des Affaires étrangères a émis sa propre menace par une révélation.

Le chargé de communication du ministre des affaires érangères Iranien HJ Ansari Zarif a déclaré: « Si les Européens arrêtent de commercer avec l’Iran et ne font pas pression sur les Etats-Unis, nous révélerons quels politiciens occidentaux et combien d’argent ils ont reçu pendant les négociations nucléaires pour faire de l’IranDeal« .

L’accusation de Zarif selon laquelle plusieurs dirigeants européens ont été essentiellement soudoyés pour accepter l’accord avec l’Iran est tout à fait plausible.

Rappelons qu’après la conclusion de l’accord iranien par Obama et les Européens, en 2015, beaucoup notamment aux USA s’étonnaient  qu’en échange, ils ne ferment pas une seule installation nucléaire et ne touchait pas les infrastructures.

C’est là bien la raison de Trump de dénoncer l’accord Iranien, l’infrastructure nucléaire reste intacte. Pour Trump, l’infrastructure en place permet pour une sortie après l’expiration de l’accord vers une nucléarisation pour cet état dont on ne peut avoir confiance.

Par rebond politique, Trump peut être plus informé qu’on le croit, sait peut être que certains politiciens opposants démocrates qui l’on précédé, ont touché la galette généreuse des Iraniens et en dénonçant l’accord, il les pousse dans une bombe a retardement de la corruption qu’il déclenchera le moment venu. Et par là même quelques Européens.

La question reste posée. Quels dirigeants politiques européens (et Français) ont touché ? Pourquoi tant de dirigeants européens ont-ils signé un si mauvais accord ?

Alors qu’est-ce que cet accord passé a permis aux pays occidentaux d’obtenir ?

La réponse est double: en ce qui concerne le programme nucléaire de l’Iran, l’Occident n’a rien obtenu.

En ce qui concerne les opportunités d’affaires, cela a été très lucratif.

Et pour les politiciens, pour le ministre Iranien ce sont des pots de vin.

Le Bruno Le Maire notre ministre français des Finances, a déclaré: «Voulons-nous que les Etats-Unis soient le gendarme économique de la planète ? Ou voulons nous, nous Européens, dire : Nous avons des intérêts économiques, nous voulons continuer à faire du commerce avec l’Iran dans le cadre d’un accord stratégique ? »

Les fanfaronnades médiatiques de Bruno Le Maire sur l’indépendance de la France vis avis des états-unis sont bonnes médiatiquement pour des effets de postures devant la presse à bobos.

La redescente les pieds sur terre des intérêts économiques, va laisser la greule de bois au ministre en carton mou.

Si vous voulez un début de réponse pour Bruno Le Maire voici quelques réalités :

-Le PIB américain occupe la 1ere place mondiale et représente 25% du PIB mondial.

-L’Iran est 29ème, ce qui représente moins de 0,4% du PIB mondial.

 

Quelques sources :

https://www.commdiginews.com/politics-2/iran-bribe-european-diplomats-102278/

https://www.americanthinker.com/blog/2018/05/top_iranian_adviser_threatens_to_expose_those_who_took_bribes_to_make_the_iran_deal_happen.html

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L’homme en crise

Qu’est-ce que vont devenir les hommes? Rien de bon si les tendances actuelles féministes se poursuivent.

Nous vivons à une époque où les féministes caricaturent l’homme en un misogyne harceleur. Les hommes sont condamnés pour des torts plus perçus que réels.

Les abus sexuel qui sont marginaux sont amplifiés par les « #balacetonporc » et autres études totalement baisées d’inégalité homme-femme.

Les hommes, sont maintenant tous coupables de «masculinité », ils sont des vilains qui s’attaquent aux femmes et les agressent. Regarder des jambes galbées parce qu’elles se présentent a vous, vous fait passer pour un satire.

 

Maintenant, la question est, qu’est-ce qui est et vont devenir les hommes, les « mâles » ?

Rien de bon si les tendances de culpabilisation actuelles se poursuivent.

Pourtant a y regarder de plus près, les femmes sont plus autonomes et «égales» que jamais ils n’ont été par le passé. Elles sont bien plus libres et favorisées maintenant dans de nombreux domaines.

Être une femme aujourd’hui, c’est être le bénéficiaire de décennies de mouvements d’émancipation et de libération de la personnalité et de la parole.

Les hommes, ont été laissés pour compte. Aucun mouvement correspondant n’a émergé pour les aider à se diriger vers une pleine émancipation et liberté.

De nombreuses choses mettent les hommes moins bénéficiaires socialement que les femmes.

Les filles surpassent les garçons à l’école à tous les niveaux universitaires.

Les hommes meurent plus jeunes.

Les hommes sont plus obèses,

Les hommes se suicident beaucoup plus fréquemment.

Les hommes sont incarcérés ou condamnés à un taux beaucoup plus élevé que les femmes.

Moins d’hommes terminent leurs études secondaires et vont à l’université.

Plus de garçons sont diagnostiqués avec une hyperactivité.

Les hommes ont maintenant des QI plus faibles que les femmes.

Les jeunes hommes vivent avec leurs parents plus longtemps que les femmes.

Dans la mode, les libertés des femmes sont plus larges.

La propagande de l’écart salarial homme-femme exagérée par des études a charges qui leur sont complaisantes, cache une révolution d’une évolution logarithmique peut signalée. Entre 1980 et 2015, les hommes en âge de travailler n’ayant que des diplômes d’études secondaires ont vu leur salaire horaire réel stagner alors qu’au cours des 35 dernières années, les femmes diplômées du secondaire ont vu leurs salaires augmenter de 30%.

 

Les programmes scolaires écrits par des égalitaristes idéologiques, enseignent aux garçons qu’être comme les filles. L’homme ne doit plus prendre de risque, se « limiter » de ses instinct de conquête. Les médias martèlent que les femmes sont des victimes, les hommes sont des oppresseurs.

Les hommes et les femmes ont besoin les uns des autres. On ne peut pas exister sans l’autre. C’est la biologie élémentaire, mais c’est aussi la réalité que nous avons vécue avec nos parents, nos frères et sœurs et nos amis. Les hommes ne sont pas des femmes.

Le faire croire amènera à l’échec.

Les « bonobos » sont les singes à l’ADN le plus près de l’homme. Dans leurs réserves, si on leur fourni des jouets, les femelles prennent naturellement poupées et les jouets de camion de pompier sont pris par les mâles. Les « bonobos » eux, ne sont pas influencés par les idéologies égalitaristes, ni les médias.

Il y a certainement de l’espoir, mais il faudra que les hommes restent des hommes et résister à la stigmatisation de leur virilité.

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Pourquoi financer l’ONU, cette guignolade vendue aux lobbys ?

Vous pourriez penser que les condamnations de l’ONU concernent les dictatures ?

Que cette assemblée dirige ses condamnations envers les pays aux normes morales et antidémocratiques les plus élémentaires ?

Comme la Corée du nord, le Zimbabwe ou le Venezuela, l’Arabie Saoudite ?

 

A l’ONU cette assemblée de technocrates surpayés ne fait qu’une chose. Ils consacrent la grande majorité de leur temps à condamner Israël et les alliés d’Israël.

Ils sont des milliers a bouffer la gamelle des subventions des pays donateurs et ne foutent rien.

Le Président peut proposer qu’une résolution soit adoptée sans être mise aux voix. Ce qui démontre a quel point c’est une assemblée peu démocratique.

Les statistiques sont sans appels et démontrent a quel point l’ONU est un organisme sous occupation lobby anti-Américain, anti-Israélien et gauchistes.

 

—ONU : Conseil des droits de l’homme :

50% des résolutions du conseil des droits de l’homme sont de condamnations de « Israël ».

En 10 ans, de juin 2006 à juin 2016, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a publié 135 résolutions dont le chiffre impressionnant de 68 uniquement contre Israël.

 

Rappelons aussi que cette même assemblée a nommé à la tête d’un « groupe » l’Arabie Saoudite, alors que le pays prévoit notamment d’exécuter et de crucifie les opposants politiques et la persécution des minorités. L’Arabie Saoudite, pays qui exécute à la cadence de une personne tous les deux jours c’est même porté candidate à la présidence du Conseil des droits de l’homme.

Sic !

 

—ONU : assemblée générale des nations unies

85% des résolutions de l’assemblée générale des nations unies sont de condamnations de « Israël ».

L’assemblée générale des nations unies, l’un des six organes principaux de l’ONU, a émis 97 résolutions de 2012 à 2015, dont 83 visaient Israël. Au cas ou vous douteriez de la non-partialité.

 

ONU : UNESCO

L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture adopte des résolutions contre Israël systématiquement pour les motifs les plus ridicules les uns que les autres.

Elles sont tellement nombreuses sur ce pays qu’il est difficile de trouver des statistiques.

L’UNESCO est l’exemple type d’un organisme totalement infiltré des lobbys anti-israéliensd’une partialité stupide. La plupart des forums multilatéraux de l’UNESCO ne sont que de la politique politicienne de lobbys gauchistes. Le site internet unesco.org compte 4 millions de pages dont une majorité à charge de Israël !

 

C’est là que réside la grande ironie des Nations Unies, alors que c’est sur terre un équivalent de la ville fictive de Mos Eisley(*) et qu’elle vote à plusieurs reprises pour condamner les États-Unis et Israël, les tyrannies qui constituent son corps continuent d’opprimer leurs propres peuples y sont les principaux lobbys ne se font jamais condamner.

 

Parmi ceux qui ont voté la semaine dernière pour condamner les États-Unis pour avoir reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et déplacé son ambassade à Jérusalem, il y avait la Corée du Nord, l’Iran, le Yémen et le Venezuela. Ne riez pas. :-))

Alors pourquoi notre pays surendetté, continue a financer à hauteur de 5,6% le budget de cette assemblée de bras cassés et payer des joueurs de pipeau qui remplissent des rapports qui disent tout et son contraire et qui se croit utile aux monde alors qu’elle n’est utile qu’a la gamelle de ses membres.

L’ONU est une assemblée qui ne sert à rien. L’ONU n’a quasi rien fait en ce qui concerne la Syrie. L’ONU a mis plus d’un an a faire voter une résolution contre le massacre des Rohingya au Myanmar avec 33 voix dans une majorité d’abstentions indifférentes.. Elle a envoyé courageusement un « ambassadeur ». C‘est sur ! les forces de sécurité Birmanes vont avoir tellement peur de lui qu’ils vont arrêter de tuer les Rohingyas, arrêter de violer leurs femmes et filles, ne plus poser des mines antipersonnel et ne plus incendier leurs villages.

L’ONU a toujours été un fantasme imaginaire, une imitation de la Société des Nations qui a été a son époque tout aussi improductive.

C’est une organisation démodée qui a survécu à un monde du 19eme siècle et n’a pas plus d’utilité aujourd’hui qu’elle avait autrefois.

Il n’y a aucune raison pour que des pays démocratiques continuent à faire des chèques pour être indifférents à des régimes les plus odieux et condamnent avant tout des démocraties.

 

Au moins aux USA avec l’arrivée de Trump, des gens se posent enfin la question de continuer de financer ce machin. L’idée est partie va faire son chemin….Une idée de rupture de process éculés du passé.

Quand les USA avec 22% du budget couperont les vivres d’une institution qui les insulte et insulte ses alliés. Croyez le ou pas. Le machin s’il fait faillite fera pour le contribuable des économies de papiers.

Les vers du lobby pro-palestinien qui ont détourné l’objet de cette institution feront pourrir dans la pomme de l’ONU qui constituent leur gamelle…

 

 

(*)Mos Eisley est une ville dans l’univers fictif de Star Wars . Situé sur la planète Tatooine.

Obi-Wan Kenobi décrit la ville dans une réplique, comme une « ruche misérable d’écume et de vilenie  ».

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Paris capitale de la honte, qui idolâtre le « Che » un psychopathe meurtrier…

La maire de Paris, socialiste a fait une exposition sur le « Ché » qui ne passe plus comme elle serait passé dans les années 80. Internet est passé par la et les sources d’informations sont plus diversifiées. Le monde a changé et le socialo-communisme ne peut plus nous imposer ses chimères et mensonges.

Le Ché en train de tuer
Le Ché en train d’exécuter une famille

 

Sur Twitter, jeudi 28 décembre, la maire de Paris a qualifié le révolutionnaire marxiste Argentin d’« icône romantique », à l’occasion d’une exposition consacrée au « Che » en plus financé sur fond public (la Marie de Paris) et se trouve sur une propriété publique payé par le contribuable. Un éloge d’un criminel, fanatique tueur de masse en omission de ces crimes.

Paris est sali avec ce communiqué de sa maire et cette exposition une infamie. Pourquoi pas une exposition à l’éloge de Hitler ? Pol Pot ? Cette exposition est un immondice qui discrédite notre pays au yeux du monde.

Un bourreau guérillero qui tue par principe sans limite, sans règle ? Une « icône romantique » ? C’est une seconde humiliation pour les victimes.

 

Le Ché tire
Le Ché menace avec son arme

On est toujours éberlué de contempler cette gauche qui trouve l’inspiration et voue tant d’amour et d’adoration pour les tyrans meurtriers, les tarés les plus répugnants de l’histoire.

L’humanité en son temps avait déjà fait l’éloge de Adolphe Hitler au nom du pacte germano-soviétique et les membres du PCF de Paris ont proposé à l’arrivée des Allemands dans Paris leurs services.

Les socialo-communistes font toujours fait l’éloge des meurtriers de masse. Le dictateur russe Joseph Staline a même fait l’objet de poèmes, lui qui a massacré des dizaines de millions de personnes. Mao Zedong, Pol Pot ou Castro sont des exemples de leurs admirations successives comme aujourd’hui ils encensent le Venezuela, et les affameurs Maduro et Chavez.

 

Le Ché arme au poing
Le Ché arme au poing

Une figure gauchiste a acquis un statut d’icône populaire avec la gauche post-soixante-huitarde, Ernesto « Che » Guevara, le médecin argentin devenu guérillero dont le visage a orné en son temps les tee-shirts de millions de hippies et d’étudiants formatés par l’éducation nationale.

Les profs de cette éducation nationale à majorité complaisants aux idéologies socialistes ont fabriqué un enseignement d’une fake-histoire et leurs dénis idéologiques ont censuré la réalité de ces monstres socialistes.

La gauche toute entière a revisité l’histoire et transformé un type sadique et monstrueux en mythe révolutionnaire.

Aujourd’hui les gens ne savent pas les vérités sur le socialisme, le résultat du socialisme et les icônes socialistes quasi tous des monstres aux pulsions criminelles. Le Ché encensé comme icône et ses crimes sont quasis inconnu du public en est la preuve de la bienveillance envers les idéologies socialistes de l’éducation nationale. C’est dramatique.

La gauche a réussit a faire croire que le Che était un combattant de la liberté qui menait des soldats révolutionnaires dans la bataille contre leurs oppresseurs dans des pays pauvres du monde entier, de Cuba au Congo en passant par la Bolivie.

Le Che ordonne une exécution

Le Che ordonne une exécution

La réalité est bien plus sombre. Le Ché était un psychopathe meurtrier qui prenait plaisir à torturer et tuer. Après avoir aidé Fidel Castro à Cuba à renverser le régime de Fulgencio Batista, Castro nomma Guevara ministre des Finances, et il décima rapidement l’économie cubaine en embrassant les politiques socialistes et sa propre ignorance économique.

Guevara a également été placé en charge de la tristement célèbre prison de La Cabana à La Havane, où il a supervisé tortures et meurtres à la chaîne et sans procès. Après des arrestations et des interrogatoires superficiels, sans procès, les pelotons d’exécution du Che alignèrent des milliers de paysans cubains hommes, femmes et enfants qui ne comprenaient rien à ce qui leur arrivait contre les murs de la prison et les exécutèrent comme des ennemis de l’État.

 

Les intello-gauchistes toujours dans le déni de l’idéologie criminogène du communisme prétendent souvent que, bien que sa brutalité ait parfois été un peu excessive, le peuple cubain adorait toujours Guevara. Rien n’est plus faux. En fait, Cuba est un État policier et le Che en était le cofondateur. Les Cubains « l’aiment » de la même manière que les Roumains aimaient « Nicolae Ceausescu et les Allemands de l’Est » aimaient l’architecte du Mur de Berlin Erich Honecker.

Exécution Sierra Maestra troupes de Castro et Che

Exécution Sierra Maestra troupes de Castro et Che

Savez ce qui arrive à Cuba, aux Cubains qui osent dire du mal de ce monstre de « Ché » ? Ils sont arrêtés. Quand il était encore vivant, ils ont étaient exécutés ou rassemblés dans des camps de travail forcé. Donc oui, tout les Cubains aiment le « Ché ». C’est la loi qui l’exige par la terreur coercitive. Malheur à ceux qui désobéissent à la sécurité de l’État. Dire la vérité sur le « Ché » c’est risquer la mort.

Les gauchistes idolâtrent Guevara malgré le fait qu’il était l’instrument d’oppression brutale de Castro sur les paysans de Cuba, malgré le fait qu’il a écrasé la liberté de parole, le libre arbitre et emprisonné et torturé les homosexuels sans pitié.

En contraste avec le succès militaire qu’il a vu à Cuba sous Castro, lorsque Guevara a fuit Cuba et tenté de mener des rébellions insurrectionnelles à travers le monde, il s’est montré incompétent. Cette incompétence a finalement conduit à sa propre mort en Bolivie.

Bien que le Che soit venu en Bolivie pour mener une autre révolution, il n’y a pas un seul exemple documenté d’un paysan bolivien qui a rejoint son armée. Absolument aucun, contrairement aux textes revisités et enjolivés de wikipedia. La vérité est que son groupe en Bolivie frappait et terrorisait partout ou il passait et ses hommes violaient les femmes des villages.

Le Ché exécuté
Le Ché arreté et exécuté

Plutôt que d’être considéré comme un héros libérateur, les Boliviens le considéraient à juste titre comme un intrus tyrannique. Le maire de La Higuera, la petite ville où Guevara a été traqué, capturé et abattu. C’est le maire qui a appelé les autorités à révéler que Guevara se cachait dans leur petite ville.

C’était en plus un lâche qui a tenté de vendre ses adjoints pour essayer de se sauver de la mort. A son arrestation, plaidant pour sa vie. Quand le Che c’est rendu, voyant ses acolytes exécutés sommairement, il a crié : « moi suis Che Guevara, et moi il ne faut pas me tuer, j’ai plus de valeur pour vous vivant que mort ». Il demandait la vie pour lui, sans inclure ses camarades de révolution.

Devant les monstruosités qu’il avait fait en Bolivie, il a été exécuté, mitraillé comme lui exécutait ses victimes. Sans procès par les soldats des villages qu’il avait pillé auparavant. Ils n’ont pas tenu compte de ses suppliques.

 

Raoul Castro baillonne un prisonnier pour que le Che l'exécute.

Raoul Castro bâillonne un prisonnier pour execution

Le « Ché » est exemple concret du révisionnisme historique subit et organisé par la mainmise idéologique socialiste sur l’école et les programmes scolaires. Le « Ché » est un témoignage du succès des idéologues qui occupent l’éducation nationale arrivent à faire passer des monstres pour des icones dans nos écoles.

Les hordes d’étudiants manipulées par les forces politisées des syndicats, partis de gauche à l’école dans les années 70 et 80 ont porté fièrement des chemises et T-shirt arborant le visage d’un homme farouchement opposé à tant de principes et de croyances qu’ils prétendaient chérir.

Ils ont réussit à faire passer le Che comme un révolutionnaire qui s’est battu pour les pauvres et les opprimés, alors qu’il était un tyran psychotique qui se délectait de la torture et du sang, écrasait la liberté de parole et massacrait ses opposants politiques, réels ou imaginaires. Ces sycophantes profs gauchistes sont ce que le dictateur soviétique Vladimir Lénine a appelé des « idiots utiles ». Le « Ché » est révélateur de ce que le dissident russe Alexandre Soljenitsyne a écrit : « Le socialisme conduit à une destruction totale de l’esprit critique humain ».

L’éducation nationale politisé est particulièrement responsable de la censure de la réalité qui ont fabriqué cette fake-histoire négationniste des crimes et criminels socialistes qui se sont suivit durant des années.

 

C’est également avec beaucoup d’ironie que les capitalistes que nous sommes pouvons noter que le « Che », l’icône de la révolution socialiste à travers le monde, a généré des richesses incalculables pour ceux qui colportent des marchandises capitalistes contenant son image sur des T-shirts.

Les familles des victimes du « Ché », qui ont perdu, tel un père, tel un frère, tel un enfant de ses balles, doivent savoir que tous les Français ne ressemblent pas a cette caste d’intello-gauchistes manipulateurs idéologues qui organisent des expositions idolâtres pour un tel taré.

Recevez nos excuses et confusion d’avoir de tels gens a des postes si élevés comme la maire de Paris si pathétique. Excusez nous d’avoir dans notre pays des gens qui font passer l’idéologie avant le réel et refusent la contradiction. Ils ne représentent qu’une catégorie de Français.

Toutes nos pensées pour les victimes.

Quelques sources :

http://www.washingtonexaminer.com/che-guevara-was-an-evil-possibly-psychopathic-idiot/article/2636959

http://www.latercera.com/noticia/creo-una-gigantesca-mentira-alrededor-del-che-jacobo-machover-escritor-cubano-califica-asesino-ernesto-guevara-50-anos-muerte/

https://www.amazon.fr/face-cach%C3%A9e-du-Che/dp/2200617682/

https://www.dreuz.info/2017/09/18/la-verite-sur-le-criminel-profiteur-misogyne-parasite-et-hypocrite-che-guevara-cest-motus-et-bouche-cousue/

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Incroyable ! Quelle surprise! La capitale d’Israël est Jérusalem…

Des poules découvrent une paire de ciseaux. Marrez vous et lisez les journaux de la bien bien-pensance actuellement sur Israël. Que de circonvolutions sémantiques font ils pour nier l’évidence qu’ils seront tous obligé d’admettre dans quelques temps.

Au cas ou vous l’ignoreriez tous, Jérusalem est la capitale d’Israël. POINT.

Que ça ne plaise pas à l’ONU, les bolcheviques antisémites ou les socialos marxistes journalistes. C’est la réalité. L’ONU, relayé par l’establishment, les médias et les politiciens mielleux sans conviction, deviennent furieux quand les faits ne correspondent pas à leurs choix et illusions. Mais ça c’est indéniable. Pas une fiction. Jérusalem est la capitale de Israel.

La réaction de l’Establishment étatiste subventionné et de gauche complaisante aux Palestiniens est hallucinante…. La capacité à salir Trump par l’establishment subventionné et majoritaire des bobos intellectuello gauchistes complaisante à la partie palestinienne jusque qu’au déni est hallucinante….

Leur capacité à marteler une inexactitude relève de l’indécence et d’une volonté hallucinante a affirmer des faits qu’ils savent faux, comme si c’était une vérité.

C’est comme si la presse, les journalistes, les politiciens, les commentateurs vous rendaient compte d’une partie de football alors que les joueurs jouent sur le terrain au Rugby.

Les journaux ne font pas de l’information mais de la propagande. Nous savons que les journalistes sont une caste qui vote à gauche, mais en plus ne fait même pas de l’information mais du déni de réalité quand les faits dérangent le camp de la bien-pensance.

La chose la plus visible et sans aucune équivoque au Moyen-Orient, à part les effusions de sang, c’est la pauvreté, la tyrannie, le totalitarisme etc. Et le plus étrange est la description à charge de Israël sans refléter la réalité et d’excuser les pays arabes. Israël étant le lieux ou les arabes du moyen-orient sont le plus en sécurité et vivent le plus dans une vraie démocratie.

israel3L’annonce de Trump (quoique en plus essentiellement symbolique) que les États-Unis vont reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël fait sensation dans ce monde fermé plein de ses certitudes.

Avant même que vous puissiez débattre de savoir si c’est une bonne ou mauvaise décision, l’establishment médiatique a décidé pour de vous ingurgiter et vous éclairer que d’un point de vue biaisé de leurs convictions en faisant déni de réalité. Les braillards de l’information réunis veulent vous faire ignorer ou minimiser la réalité factuelle.

Jérusalem est la capitale d’Israël. La Knesset, le parlement israélien, se réunit là-bas. Les Israéliens l’appellent leur capitale pour la même raison qu’ils prétendent que deux plus deux égalent quatre. C’est juste factuel. Vrai. C’est comme si on déniait aux Français de décider que Paris n’était pas la capitale de la France alors que tous les Français voulaient et pensaient que la capitale c’est Paris.

Ce qui rend la décision de Trump controversée, c’est que tout le monde avait accepté de prétendre que ce n’était pas « soi-disant » la capitale pour protéger « le processus de paix ».

israel1Le « processus de paix »  :-))  :-))

Vous savez, cette vaste blague appelée « le processus de paix » miroir d’illusions derrière lequel se réfugient ceux qui font passer leurs illusions idéalisées à la place de la réalité.

« le processus de paix » si vous avez fait l’effort de vous informer ailleurs qu’en France, ne correspond aucunement à une quelconque réalité. Il n’y a tout simplement pas de processus de paix, sauf dans les canards en papier encré, pour allumer le feu pour amuser la galerie.

Mahmoud Abbas, le président palestinien finit sa douzième année de « son mandat officiel de quatre ans », a refusé de rencontrer les Israéliens pour discuter de quoi que ce soit depuis 6 ans. Israël même si ces faits sont sans appels et qu’il est plus simpliste d’accuser ce pays, n’est pas responsable de l’illusion de cette pantalonnade en impasse nommée « processus de paix »…

Une partie de la responsabilité du retour à la réalité nié, bien sûr, appartient aux lâches diplomates et politiciens et l’ONU, qui ont construit pour se donner bonne figure de leur interventionnisme ou non interventionnisme, une illusion autour de ce qu’ils voulaient être vrai plutôt que de ce qui se passe réellement. L’établissement a cherché à gérer l’illusion en éloignant et stigmatisant Israël. En faisant croire que Israël était la partie la plus obstinée du « processus de paix » alors que dans les faits, c’est bien plus compliqué. L’administration Obama de gauche a choisi une posture politique de ne pas opposer son veto au Conseil de sécurité. résolution déclarant Jérusalem-Est « territoire occupé ».

Cela impliquait qu’en droit international, et dans la fiction du déni de l’ONU que le Mur des Lamentations et le quartier juif de Jérusalem appartenaient en réalité aux Palestiniens, ce qui est un fantasme insensé et ridicule.

israel5Le déni de réalité est la façon dont les politiciens et médias serviles ont présenté la situation réelle .

Dans le discours après l’annonce de Trump, Abbas a longuement parlé de l’histoire de Jérusalem en tant que ville musulmane et chrétienne. Il n’a fait aucune mention du fait que c’est aussi et surtout une ville juive célèbre, s’étant établie comme la capitale de l’ancien Israël 1000 ans avant la naissance du Christ.

Les médias de la pensée unique investis dans l’irréalité insistent sur le fait que le mouvement va aggraver « le soi-disant conflit du Moyen-Orient ».

Des livres entiers sont dédiés au conflit du Moyen-Orient, comme si le conflit israélo-palestinien était le seul conflit de la région. Dites-le aux centaines de milliers de Syriens morts ou aux millions de personnes déplacées par la guerre civile là-bas. Dites-le à ceux qui meurent au Yémen, pour une guerre par procuration entre l’Iran et l’Arabie saoudite. Entre les gens qui meurent d’un conflit entre Sunnites et Chiites au Liban.

Les médias arrivent a faire passer le conflit israélo-palestinien comme la source de tous les problèmes de la région. Est-ce que la guerre entre l’Iran et l’Irak, qui a coûté la vie à plus d’un million de personnes, oul le combat contre l’État palestinien ? Qu’en est-il de la guerre civile au Liban ? La campagne de répression ethnique de la Turquie contre les Kurdes ? De la guerre Saoudo-Yeménite ?

Retour à la réalité après des années de fiction.

Ceux qui vendent l’idée que le conflit du Moyen-Orient c’est Israël, sont ceux qui ont toujours défendu les totalitarismes. Les experts occidentaux et les activistes profondément investis dans le « processus de paix » qui ne veulent pas être au chômage et continuer à loger gratis dans les beaux hôtels de Genève et ceux qui veulent tirer profit et manipuler le soi-disant « vote arabe » pleurent qu’un grand pays comme les USA reconnaissent ce qu’ils niaient jusque présent.

En favorisant le fantasme plutôt que sur les faits, l’équilibre du pouvoir dans la région a changé en faveur de l’Iran, O Bama en levant les sanctions et donnant à l’Iran des centaines de milliards de dollars pensait que les Iraniens rejoindraient la communauté des nations. Au lieu de cela, ils ont empoché l’argent et sont maintenant sur un chemin de une bombe nucléaire.

israel4En raison de cette nouvelle réalité, les vieilles fictions sont un luxe que les adversaires régionaux de l’Iran ne peuvent plus se permettre. C’est pourquoi l’Arabie Saoudite, financière palestinienne de longue date, se rapproche de plus en plus d’Israël, parce qu’Israël est devenu soudainement plus précieux dans le nouveau conflit du Moyen-Orient que ne l’étaient par le passé les Palestiniens.

Trump n’a pas fait grand chose. Il tient juste compte de la réalité du terrain. Trump n’est pas un intellectuel de gauche qui place l’idéologie avant la réalité. Contrairement aux journaux qui vous le disent et martèlent. Les plus ridicules sont ceux qui ont fait croire depuis tant d’années qu’un pays de 2 parties croupionne grandes comme un département Français, qui plus est séparés par 43kms, ou la démocratie n’existe pas, ou il n’ y pas de pétrole ou de banques, ou d’industrie deviendrait un pays prospère comme la Suisse ou Hong Kong.

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Nazisme et Communisme deux faces de la même pièce

Le nazisme et le communisme sont deux faces de la même pièce, mais il n’est qu’à la mode dans notre société de ne mépriser qu’une seule face.
Les deux idéologies sont les 2 faces de la même pièce des idéologies totalitaires.
Pour la plupart des gauchistes et l’enseignement général, le Troisième Reich d’Hitler reste l’expression ultime de la haine raciste et meurtrière. Pourtant, parmi les pires assassins de masse du 20e siècle, Adolf Hitler est en troisième position et distancé d’une marge conséquente.
Selon la plupart des estimations historiques, Hitler a assassiné six millions de Juifs et cinq millions d’autres (prisonniers politiques, tziganes, témoins de Jéhovah, homosexuels, asociaux, apatrides, et prisonniers de droit commun). , ce qui porte son génocide total à 11 millions.
Le total de Joseph Staline est classiquement mis à 20 millions de morts, (prisonniers politiques, syndicalistes, arrestations préventives, exemples pour de montrer la terreur, quotas d’innocents à interner, innocents jugés arbitrairement, les déportés, les commerçants, les peuples des Pays baltes, de Pologne , d’Ukraine, de Biélorussie, de Moldavie, de Crimée, les Tatars, les Caucasiens, les Ingouches, les Tchétchènes) certains historiens disent que c’est certainement le double, les déportés n’étant pas tous comptés.
Mao Tsé Toung fut le plus grand monstre cruel et despote que la terre a connu. Il dépasse les génocides de Hitler et Staline cumulé. Mao est responsable de 40 à 77 millions de personnes tuées, avec l’écart en raison d’un argument historique en cours sur la question de savoir si la famine massive de millions dans la grande famine de la Chine (1958-1961) était intentionnelle ou non. La plupart des historiens se penchent vers le nombre plus élevé.
Mao et Staline étaient les superstars du communisme, mais il y a d’autres massacres comme Pol Pot et les Khmers rouges, qui ont régné le Cambodge de 1975-1979 et ont tué deux millions de personnes aboutissant à la mort de à 20 % de sa population. Les cadres Khmers ont étés formés à Paris au sein du PCF. Le PCF n’a jamais eu à répondre de sa responsabilité dans cette horreur et les intellectuels et médias de gauche ont eu une bienveillance complaisante envers ce parti qui a du sang sur les mains.

Il importe également pour les gauchistes que la culture de l’ignorance sur ce qu’étaient la réalité des fondateurs du communisme, Karl Marx et Friedrich Engels, des racistes et antisémitismes avoués soit caché.
Dans une lettre à Engels, en référence à son concurrent politique socialiste Ferdinand Lassalle, Marx a écrit: « Il est clair pour moi que Lassalle, comme le prouve sa formation crânienne et ses cheveux, descend des Noirs qui ont rejoint l’exode d’Egypte de Moïse, en je suppose que sa mère ou grand-mère du côté paternel se soit croisée avec un nègre. Maintenant, cette union du judaïsme et une substance noire basique doit produire un produit particulier. »
En 1887, Paul Lafargue candidat à un siège de conseil dans un quartier parisien du zoo de Vincennes, qui était le beau-fils de Marx, était l’objet de moqueries racistes de la part de Marx et comparé à un singe sorti du zoo de son quartier.
Marx était un antisémite, dans son essai intitulé «Sur la question juive», publié en 1844. Marx a publié: « Quel est le dieu du juif mondain? L’argent. La lettre de change est le vrai dieu du juif. Son dieu n’est qu’une lettre de change… La nationalité chimérique du juif est la nationalité du marchand ».
La vérité sur Marx est totalement effacée dans l’instruction des Européens et des autres peuples.
Alors, pourquoi Hitler, par opposition à Mao ou Staline, est la seule incarnation du mal qui nous est exposé à longueur de journée par les médias et l’éducation nationale ou sont concentré les gauchistes?
Parce que la gauche n’a jamais complètement rejeté sa croyance en la philosophie du communisme et dans sa vision égalitariste, collectiviste. . Les gauchistes utilisent les nazis comme un épouvantail mais jamais le communisme qu’ils considèrent comme une radieuse imagerie romantique du genre Robin-des-bois.
Une telle tolérance méprisable par les médias est notre quotidien. Le journal l’humanité qui a chanté les louanges et pleuré sur la mort de Staline est aujourd’hui le journal le plus subventionné au numéro en France.
Les journaux comme « le monde diplomatique, ou le « parti de gauche ont une attitude de déni de la dictature sur le Venezuela, dont l’implosion révèle de l’indécence de ces idiots utiles de gauche qui ont salué le «socialisme du 21ème siècle» qui dévient à la nouvelle tyrannie totalitaire la plus abjecte sous nos yeux.
La même tyrannie totalitaire sévit en Corée du Nord ou Zimbabwe.
Pour les sympathisants et les partisans communistes et front de gauche, rien de tout cela n’a d’importance…..C’est une abjection !
La raison pour laquelle ils ne condamnent pas la barbarie du communisme est qu’ils accordent une attention énorme aux mots et aux idées. Ils trouvent que les idées du communisme sont louables et attrayantes. L’idéologie leur est plus importante que Les résultats concrets de la pratique du communisme en situation réelle. Les gauchistes du monde entier continuent à célébrer les idées du communisme, car pour eux l’idéal communisme est plus important que les souffrances subies par les individus de leur idéologie.
Socialement, il nous est interdit de stigmatiser ou d’être désobligeant sur les groupes minoritaires. Il est immoral de prendre une minorité comme bouc émissaire des malheurs du monde. L’idéologie communiste ne fait que distiller la haine de minorités et réclament l’élimination groupes sociaux comme les riches ou les bourgeois. Pour ces mêmes raisons de stigmatisation et d’appels à la haine de minorités, les idéologies racistes, les idéologies de Daech, ou les nazis nous semblent toutes nauséabondes.
La culture de gauche et les idées communistes sont présentes depuis des décennies. La lecture des archives de l’ex-URSS ont confirmé avec des preuves irréfutables de la coopération entre les soviétiques et les communistes Français jusqu’en 1989.
Le port du t-shirt du monstre assassin Che Guevara ne pose pas de problèmes intellectuels à ces gens, mais celui de Hitler les fait bondir.
Tout l’état et les institutions d’état sont infiltrés et influencés par la gauche, principalement l’éducation nationale et son programme scolaire diffuse un endoctrinement au Marxisme est la règle.
Le BAC ES est quasi un diplôme en socialisme. Et les théories doctrinaires de Karl Marx sont l’incontournable de ce diplôme comme d’autres et nos enfant subissent les obligatoires dissertations absurdes de ses théories périmées et réfutées par les résultats pratique des essais Marxistes.
La confusion morale est un élément nécessaire des gens de gauche.
Ainsi, 100 ans et 100 millions de décès plus tard, la gauche Française communisme reste intacte.
Socialisme et déni font la paire…

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Venezuela en pays du tiers monde. Comment en est-on arrivé là ?

Comment le Venezuela, un pays si riche dans les années soixante, en est devenu un pays du tiers monde ?

venezuela23Une étude réalisée par trois centres académiques vénézuéliens signale que 73% des foyers vivent au-dessous du seuil de pauvreté, alors que leur proportion était de 44% en 1998, année où le Chavisme prit le pouvoir. Electricité rationnée, pire qu’en Afrique, pillages, pénuries de masse, rationnements….

Le Venezuela, vitrine du socialisme du 21eme siècle, figure maintenant à la première place de l’indice de misère établi par l’agence d’analyse économique Bloomberg. La situation est vouée à se dégrader davantage : le FMI prévoit une chute du PIB de 8% en 2016 après deux années consécutives de déclin (4% en 2014 et 10% en 2015).
L’inflation a atteint 275% en 2015 et s’achemine vers 720% pour l’année en cours. Un record planétaire.

Nouveau tiers-monde, désespoir et violence.
La crise économique déferle sur le pays. Les gens doivent résister à des pénuries généralisées de produits de base.
L’administration Maduro a commencé le rationnement de l’électricité, les villes sont plongées dans l’obscurité pendant quatre heures par jour.
Le plus important producteur alimentaire du Venezuela « Polar » dépose le bilan. Connu pour sa bière, qui produit également des aliments, sauces et pâtes à tartiner, il licencie directement 10 000 personnes, et 300 000 indirectement dans les franchises, et services.

Le 26 Avril, les gens sont descendus dans les rues dans trois états du Venezuela, pour piller les magasins et pour trouver de la nourriture.
Maracaibo est devenue une ville du tiers monde, dans l’État de Zulia comme à Carabobo, un état dans le centre du Venezuela, les Vénézuéliens ont attaqué les pharmacies, les centres commerciaux, les supermarchés et commerces alimentaires, les camions avec de la nourriture …

Dans Caracas , la capitale vénézuélienne, trois quartiers de la ville viennent juste de subir les mêmes pillages.

De la nourriture pour 15 Jours…
Les employés de supermarchés sont agressés, ils doivent faire face aux Vénézuéliens en colère qui viennent dans les magasins pour découvrir qu’il y a si peu à acheter…

Les achats sont rationnés par un système d’empreinte digitale pour d’acquérir la nourriture misérable réglementée pour deux semaines.
Des millions de personnes doivent se tenir dans les longues queues pendant des heures, juste pour acheter des produits de base.
L’état qui a monopolisé et nationalisé les supermarchés, a 300 jours de retard sur les délais de paiement des fournisseurs. En plus, les prix contrôlés par le gouvernement, ne reflètent pas le prix de fabrication. Les producteurs locaux sont en faillite, et les fournisseurs étrangers, impayés ne livrent plus.

Des maladies telles que la gastrite sont apparues, les intoxications alimentaires de nourriture avariée, les parasites touchent les plus faibles par centaines.

L’histoire de la faillite du Venezuela :
La crise actuelle du Venezuela a deux explications principales.
L’une est la dépendance du pays au pétrole, l’autre est le socialisme.

Voici l’histoire et les raisons pour lesquelles le Venezuela est une catastrophe économique et un pays en voie de tiers-mondialisation.

Dans les années 70, les politiques libérales économiques mises en œuvre permettent au Venezuela de croître plus rapidement que tout autre pays dans le monde comme une sorte de Chine de son temps.
A cette époque c’est le pays le plus évolué de l’Amérique Latine. L’interventionnisme d’état aura tout bousillé.

1973-Choc pétrolier mondial provoqué par l’OPEP, le pays a le plus haut revenu par habitant d’Amérique du Sud. Le niveau de vie approche les pays d’Europe.

1974-Le candidat Perez, promet le bonheur au peuple avec un programme de nationalisation du pétrole. Il sera élu.

1976-Le président Perez nationalise la production de pétrole en accrochant le pays à la dépendance à la rente pétrolière.

1989-Avec la fin de la guerre du golfe et la baisse des revenus du pétrole, le second mandat de Perez sera une catastrophe économique et sociale. Le  » Caracazo « une série de manifestations, d’émeutes engendrera 3000 morts.

1992: le colonel Hugo Chávez et d’autres officiers de l’armée organisent un coup d’Etat en Février et un autre en Novembre. Une centaine de morts..

1994: Après avoir passé deux ans en prison, Chávez et les autres meneurs sont graciés par le président de gauche de l’époque, Rafael Caldera.

1998: Les électeurs de la classe moyenne, veulent une « remise en ordre du pays» et une «main forte» pour lutter contre la criminalité. Déçus par une crise économique qui s’enlise, provoquée par une baisse des prix du pétrole, ils élisent Chavez comme président.

1999 : Chavez modifie la constitution pour avoir le contrôle de l’économie, et le droit d’ingérence dans les libertés et le secteur privé. 49 lois liberticides donnent au gouvernement le contrôle total, la libre entreprise n’existe plus. La justice devient politisée.

2001: Face à la dérive marquée vers le collectivisme, des milliers de Vénézuéliens dans les rues manifestent contre Chavez. Le président déclare que son gouvernement mène une «révolution pacifique, mais armée ».

2002: Une manifestation massive laisse 17 morts et Chávez est chassé du pouvoir par un coup d’Etat dirigé par l’entrepreneur Pedro Carmona qui s’auto-proclamé « président ». Chávez revient au pouvoir 72 heures après avoir été évincé.

bolivar2003: Après une grève de deux mois qui ne parvient pas à expulser Chávez du pays, le président impose le contrôle des changes, encore maintenu aujourd’hui.
Depuis 13 ans, les Vénézuéliens n’ont pas eu un marché légal des changes. Le prix du Bolívar (Bs) est passé de 900 unités à 1,2 millions d’unités par dollar, sans que les réserves du pays n’augmentent.
En 2003 la 2eme guerre du Golfe fait monter les cours du brut, créant pour l’état et Chavez un formidable réservoir financier pour acheter les votes et des clientèles électorales.

2004: Chávez fait voter un référendum binaire qui ratifie son mandat, bien que l’opposition affirme que le vote a été truqué. Les observateurs internationaux septiques n’ont pas étés invités à observer cette élection. Dans la même année, Chávez crée le «Alternative bolivarienne pour les Amériques » (ALBA), comme une alternative à l’ALENA, la zone de libre -échange proposée par les États-Unis.
ALBA comprend les pays d’Amérique centrale et des Caraïbes, le Venezuela y vend son pétrole à prix réduits avec une période de carence de deux ans et une période de paiement de 20 ans.

A man carries toilet paper at a supermarket in Caracas 2005: Chávez défait une opposition divisée qui décide de s’abstenir aux élections législatives, avec seulement 10% du vote de la population. Le président contrôle le Parlement dans son ensemble, ainsi que les pouvoirs judiciaires et exécutifs.

2006: Chávez remporte l’élection présidentielle encore une fois avec 62% des voix.
Le prix du pétrole passe les100 $ US, où il restera au-dessus pendant près de sept ans. Il affirme tout au long de sa campagne que «ceux qui ont voté pour Chávez a également voté pour le socialisme. »

2007: Immédiatement après sa réélection, Chávez commence une politique agressive de la confiscation et d’expropriation des entreprises privées. Il a pour but de contrôler l’industrie alimentaire et les médias, et introduit des réformes constitutionnelles qui rendent pratiquement le Venezuela un pays communiste.
Alarmés, les Vénézuéliens votent non au référendum constitutionnel. Chávez reconnaît sa défaite, mais note qu’il va continuer quand même continuer ses politiques interventionnistes.
Logiquement, comme dans tous les pays où le marché ne fixe pas les prix de lui-même, les pénuries de produits essentiels viennent à manquer. L’industrie alimentaire est l’une des plus durement touchés.

2008: le pétrole est à son maximum 140 $ US par baril.
Chávez détruit l’industrie manufacturière privée du Venezuela avec le contrôle des changes, en empêchant les échanges internationaux en devises étrangères pour les achats de fournitures et de matières premières essentielles.
Pour l’agriculture et les produits de base, c’est l’inverse, les fonctionnaires de la nomenklatura peuvent disposer de devises puisqu’ils agissent pour l’état…Très vite, le pays du soleil ou tout pousse rapidement est inondé d’importations agricoles d’état. La surfacturation et la corruption abondent.

2009: Après une chute importante des prix du pétrole, l’économie souffre. Chávez, cependant, passe un amendement qui lui permet d’être réélu indéfiniment. Il augmente également la dette du pays. La Chine prend de vastes secteurs de l’économie vénézuélienne.
Le gouvernement qui en 1998 avait 800 000employés est comptabilisé à 3 millions de fonctionnaires.
Chavez annonce qu’il va importer des centrales électriques de Cuba pour 40 milliards US $. L’argent, a fini en Andorre et en Suisse dans la famille et les proches de Chavez.

venezuela242011: Chávez annonce au peuple qu’il a le cancer, mais se déclare candidat aux élections présidentielles de l’année prochaine. Son plan de dépenses est si accès sur la dépense, qu’il aurait fallu un prix du pétrole à 150 $ US, de plus que le prix du marché à l’époque.
La différence était couverte par de la dette.

2012: Chavez remporte l’élection présidentielle, mais apparaît en public deux fois après sa victoire: deux jours après l’élection et le 8 Décembre, quand il annonce qu’il doit subir à nouveau une intervention chirurgicale. Il ajoute que s’il ne peut pas terminer son mandat, son héritier Nicolas Maduro devrait détenir le pouvoir. Chávez meurt le 5 Avril 2013, et Maduro remporte l’élection présidentielle un mois plus tard, bien que le résultat soit à nouveau controversé . Maduro le nouveau président maintient « 21st Century socialisme » et continue à détruire le secteur productif Venezuela.

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2013: Maduro ne prend aucune mesure et imprime en folie furieuse des montagnes de billets, ce qui augmente le déficit budgétaire du pays en priant que les prix du pétrole augmentent.
La masse monétaire augmente dix fois dans les trois années Maduro, un processus qui conduit à une inflation galopante et fait du bolivar une monnaie sans valeur.

2014: L’étranglement économique de Maduro sur les importations entraîne des pénuries de médicaments et de nourriture. Le pouvoir d’achat est détruit par l’inflation.

2015-Le parti au pouvoir perd les élections législatives. Maduro s’accroche au pouvoir comme un mollusque au rocher.

2016: Les pannes d’électricité se généralisent à travers le pays. L’incompétence et la corruption des autorités sont mises à nu. 76% des Vénézuéliens sont tombés dans la pauvreté. Le gouvernement Maduro est rejeté par 85% de la population. Il n’y a même plus d’argent pour imprimer les billets. Les fonctionnaires ne doivent plus travailler que 2 jours par semaine.
Non, le Venezuela n’est pas victime d’un blocus ou d’un embargo. Il n’y a pas de méchant impéria-liste à blâmer pour la mise en jachère du pays….
Ce pays a découvert le « socialisme du 21eme siècle ». Il est tout aussi pourri que ceux de 19 et 20 eme siècles.

Le pire c’est qu’en France, actuellement, la gauche continue, bille en tête, vaille que vaille de la réalité, à réclamer qu’on emprunte globalement le même trajet du mirage socialiste à «dormir debout».

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10 000 millionnaires ont quittés la France en 2015.

En une seule année la France a perdu environ 3% de son nombre total de millionnaires. C’est le record du monde d’exil fiscal. 10 000 millionnaires ont quittés la France en 2015.

Avec 7000 personnes exilées, la capitale Paris a perdu à elle seule 6% de ses habitants les plus riches.

Les riches sont partis dans l’ordre en Grande Bretagne, aux USA, Canada, Australie ou Israël. La source de ces chiffres est le rapport de la fondation New World Wealth, une agence qui compile les données sur le secteur de la richesse mondiale.

Les chiffres ont été compilés à partir des données collectées à partir des statistiques du programme de Visa pour investissement de chaque pays et un entretien de 800 individus mondiaux fortunés et l’analyse des clientèles des cabinets experts en migration, les gestionnaires de patrimoine, agents immobiliers dans chaque pays, et par le suivi des mouvements de millionnaires dans les médias.

Le rapport New World Wealth compile les entrées et sorties par pays des millionnaires en USD.

La France a accueilli 2000 millionnaires pour 12000 exilés en une seule année. Soit un delta négatif de 10 000 personnes.

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Les arrivées :

La France a accueilli 2000 millionnaires en plus, ce qui est très faible à l’échelle d’un pays. A titre d’exemple la seule ville de Londres en a accueilli 3500.

Les seuls millionnaires qui arrivent en France viennent principalement du moyen orient, du sud de l’Europe et quelques pays de l’Est.

La France est le 1er pays au monde de fuite des millionnaires devant la Chine Grèce, et l’Italie et l’Espagne.

La grand exil de 2015 en sortie de millionnaires de France est stupéfiant. A la chute des opportunités d’affaire et de business, s’ajoute des événements conjoncturels de montée des tensions religieuses illustrés par les attentats Charlie ou Bataclan.

Le rapport New World Wealth, averti d’une accélération au cours de la prochaine décennie des exils de nos riches compatriotes.

L’Australie, États Unis, Canada, Israël, les Émirats Arabes Unis et la Nouvelle-Zélande sont les grands gagnants de l’exil positif des millionnaires. Ce sont aussi les pays ou l’économie est plus prospère et au chômage faible. Les anciennes colonies Anglaises au soleil attirent.

Il est à noter que ces pays ne sont pas forcément des destinations de paradis fiscaux, contrairement à certains clichés que les gauchistes aiment exposer à longueur de propagande.

Conséquences pour le pays :

Un départ massif de millionnaires est toujours préoccupant pour un pays. Le signe avant coureur d’un déclin avant coureur. Les millionnaires sont souvent les premiers à partir d’un pays en déclin. Ils ont les moyens de partir. Le chiffre des millionnaires cache le chiffre des classes moyennes supérieures et moyennes qui font de même.

C’est pour le pays une sortie d’argent et de consommation. Quand les millionnaires quittent un pays, ils prennent leur argent avec eux ce qui a un impact négatif sur la monnaie, le marché boursier local et le marché immobilier local.

Les précaires et les demandeurs d’emploi sont les premiers touchés par l’exil des millionnaires. Ils emploient un grand nombre de personnes. La moitié (50%) des millionnaires sont propriétaires d’entreprise. C’est autant d’emplois ou perspective d’emplois de perdus.

Les millionnaires dépensent beaucoup d’argent en biens et services locaux et paient le principal de l’impôt sur le revenu. C’est autant de recettes fiscales perdues qui doivent être redéployées sur les revenus des autres classes sociales.

Les 325 000 millionnaires de France assuraient 30% de la ressource des impôts sur le revenu en France. Sachant qu’en 2015 ils sont 10 000 de moins exilés, et que de l’autre en 2015 la première tranche du barème de l’impôt sur le revenu est supprimée qui engendre une exonération de 3 millions de foyers d’impôt sur le revenu, les classes moyennes se trouvent dans un étaux qui concentre sur eux les charges de l’impôt sur le revenu.

Source : Rapport 2015 New World Wealth

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Conséquences de la privatisation de Pôle Emploi

 Bruno Lemaire le député de l’Eure a proposé l’idée de « privatiser Pôle Emploi » devant le constat que le suivi individualisé des chômeurs est un échec patent. En fait son idée de privatiser Pôle emploi ne changera pas le problème. La solution étant plus simple, il suffit d’enlever la partie  » replacement » du cahier des charges de Pôle Emploi. Et c’est tout.

Une privatisation de Pôle emploi en fait aurait une toute autre teneur et aboutissants et ne concernerait en rien la partie reclassement. La privatisation de pôle emploi la rendrait tout simplement une assurance classique, la partie reclassement reviendrait à tous les autres acteurs que « Pôle Emploi » privatisé.

Les médias ont fait une analyse unique des conséquences d’une privatisation basée sur les reclassements alors qu’en fait il existe de meilleures façon de privatiser, en la transformant Pôle Emploi en mutuelle chômage.

 

L’entreprise « Pôle Emploi » deviendrait donc une société d’assurance relevant du code de la mutualité et arriverait dans le domaine concurrentiel.

Voici donc un schéma de ce que deviendrait « Pôle Emploi » privatisé en assurance chômage.

On peut imaginer qu’accompagnera un cahier des charges obligatoire à remplir pour Pôle Emploi et ses concurrents.

L’Allemagne lorsqu’elle a décidé de mettre en, concurrence ses « sécurité sociale »Â a mis en accompagnement des règles qui devraient inspirer le législateur Français.

Prenons un exemple réaliste des contraintes pour Pôle Emploi ou une mutuelle chômage d’être agrée sur ce futur marché libre de l’assurance chômage.

 

Le minimum assuré par l’assurance chômage

1-L’obligation de non discrimination.

L’assurance ne pourra être discriminante et « choisir » des catégories sociales ou offrir des avantages différenciés à des catégories sociales ou corporations comme c’est le cas dans les sécurités sociales en concurrence en Allemagne. Elle ne pourra jamais refuser un cotisant.

2-L’obligation minimale de proposer d’indemniser après 6 mois effectifs de cotisation. Actuellement c’est 4 mois.

3-L’obligation d’assurer une indemnité chômage d’au minium 18 mois comme la moyenne européenne.

Actuellement c’est 24 mois et 36 pour les plus de 50 ans.

4-Un taux de retour des indemnisations de 50% du brut servant de référence. Actuellement c’est 68% et 50% correspond à la moyenne européenne.

Les demandes pour avoir plus étant des options a caractère volontaire et individuel.

Bien entendu ces normes minimales sont « arbitraires » pour tracer un cadre probable et donner une idée, mais elles seraient à approuver par un vote législatif des députés et sénateurs ou dans le cas d’une démocratie participative par une adoption référendaire.

 

Le salaire à la mise en place +10% pour les salariés.

Le salaire en 2015 est actuellement prélevé de 2,7% en part salariale et 4% en part patronale soit un total de 6,7% pour les hors cadre. Privatisé c’est donc au salarié que reviendra le choix de prendre une assurance chômage obligatoire de son choix.

Cet argent lui reviendra donc naturellement. Le salaire à la mise en place du système va donc automatiquement augmenter les salaires de 6,7% du brut soit approximativement de 10% du net. Un revenu net de 1700€ augmentera mécaniquement à 1870€ et l’obligation de prendre son assurance chômage sans rien changer des charges de l’entreprise.

 

La cotisation.

Le salarié devra produire et justifier d’une attestation d’assuré chômage à son employeur.

Pour cela il devra choisir le secteur libre de l’assurance chômage pour prendre sa mutuelle ou son assurance. Il pourra cotiser annuellement comme mensuellement ou trimestriellement.

La cotisation devient « contractuelle ». C’est a dire qu’elle ne change jamais durant la durée annuelle. A chaque fin d’année elle est « négociable », et l’assurance ne peut vous virer sauf en cas de faute, comme ne par exemple ne pas cotiser pendant une période de 2 mois successive. La cotisation devient « cantonnée » c’est a dire qu’elle ne sert qu’a la gestion et l’indemnisation du risque chômage.

Elle ne sert pas à financer les places de cinéma et palier les problèmes structurels des catégories sociales visibles de la culture.

 

L’indemnisation

Aujourd’hui l’actualité nous donne l’exemple de l’insécurité de l’indemnisation. Le gouvernement cherche a palier des déficits en jouant sur la durée d’indemnisation alors que le citoyen qui a payé l’assurance chômage n’a jamais signé de contrat avec l’état pour le droit de se faire spolier l’indemnisation de son risque au grès de la conjoncture.

Actuellement Lorsqu’un salarié tombe au chômage, dans le domaine de l’assurance, c’est un sinistre. Le chômeur est donc indemnisé aux conditions définies dans le contrat. Aucun politicien ne peut modifier en cours de contrat le droit contractuel. C’est la très grande différence d’un système privé d’assurance avec un système collectiviste.

Si Pôle emploi est privatisé, comme ce n’est pas l’état, mais une entreprise privée, elle ne peut vous contraindre a modifier l’insécurité de votre indemnisation. L’obligation de « pointer » devient une obligation de « renseigner » sur la reprise d’un emploi. Pas de contraintes de vie possible de la part de l’assurance, comme des « rendez-vous » obligatoires et ne vivez plus une peur de changement législatif des modalités qui ne sont pas « contractuelles » signées avec votre assurance.

Comme pour votre voiture, en cas de sinistre vous n’avez pas l’obligation de « reprendre une voiture, avec l’assurance chômage vous n’avez plus « l’obligation de reprendre un travail ». Juste de la prévenir de la reprise d’un Job sans délai.

 

L’offre de l’assurance chômage.

Pôle Emploi, et comme les autres assurances privées vous proposeront toutes un contrat « minimaliste » du minimum obligatoire réglementaire. Elles y seront a la fois contraintes, mais aussi intéressées car une option est plus facilement « négociable » en cours de contrat à ses clients qu’a des prospects qui ne peuvent changer qu’une fois par mois.

Le minimal étant un prix d’appel. Les moins favorisés gagneront en pouvoir d’achat avec la concurrence inter-assurances chômage.

L’assurance gagne sont profit sur la masse mais principalement sur les options. Vous aurez les choix d’augmenter le risque sur le montant mensuel indemnisé, ou la durée de prise en charge ou des options de financement de formation ou bien d’autres options à l’imagination des assureurs.

On peut imaginer une « diminution des cotisations » si le cotisant utilise une société de replacement maison ou extérieure à l’assurance chômage. L’intérêt de l’assurance étant que son indemnisé le soit le moins possible de temps et qu’elle mette en face tous les moyens actifs et légaux pour que ses adhérants retrouvent un Job.

 

L’offre de replacement.

En fait contrairement à l’idée reçue, le replacement des chômeurs avec la privatisation est totalement retirée à « Pôle Emploi ». Elle pourra proposer le service « optionnellement ». L’offre de replacement elle, sera prise ne charge par des sociétés privées ou en interne par l’assurance.

 

Pôle emploi.

Actuellement investi de mission de service public, Pôle Emploi n’a aucune obligation morale de bonne gestion ni de transparence mais une soumission à la demande politique.

Par exemple : vous aurez beau chercher un rapport sur leur site ou la cours des comptes pour savoir combien il existe actuellement de cotisants individuels….

Au bout de plusieurs heures de recherches vous ne trouverez que celui du nombre d’entreprises qui ont cotisé mais jamais du nombre de cotisants. Il est vrai que si ce chiffre était public, la France se rendrait compte que de nombreuses entreprises ne cotisent pas, comme la SNCF ou la RATP ou partiellement comme les ,entreprises publiques ou administrations qui pratiquent la ségrégation des salariés cotisants contractuels des statutaires non cotisants comme à la Poste ou diverses administrations.

Présenté comme « social » Pôle emploi ne l’est en rien. Les indemnités sont plus favorables aux personnes les moins fragiles qui sont restées le plus longtemps en poste, et les reclassés sont en général les plus qualifiés.

pole emploiA cotisation égale, il n’y a pas de prestation égale. Il y a un vrai problème d’équité. Un intermittent du spectacle reçoit plus a cotisation égale qu’un ouvrier maçon.

Un fonctionnaire retraité peut bénéficier d’autant d’indemnisation que les salariés du privé alors qu’il n’a pas cotisé sur l’amortissement d’une carrière totale, mais d’une carrière complémentaire de carrière, et que toute sa vie il a été exonéré de cotisation.
Les cotisations de Pôle Emploi compensent indirectement de secteurs d’activités structurellement déficitaires, notamment culturelles. Est ce le rôle de financer le cinéma d’une assurance chômage? 

La privatisation engendrera l’économie de la partie « formation », de la partie « replacement » et le besoin de profit ajustera les comptes et la responsabilité des coûts.

Beaucoup pensent que les services de l’état sont moins cher, mais parfois le moins cher c’est plus cher.

 

Ceci étant une vison d’une privatisation de Pôle Emploi, mais chacun a le droit d’avoir un avis différent ou d’y voir d’autres conséquences.

Le député Lemaire a ouvert le débat. Ne soyons pas dupe, c’est pour attirer le chaland car il vise une place à la présidentielle. Néanmoins nous constatons que le système coûte 2 fois plus cher aux salariés Français que dans les autres pays pour un service qui est plus cher, moins efficient et pas meilleur.

A vouloir imposer de faire du social à Pôle Emploi on en a fait un machin anti-social. Remettre Pôle Emploi en « assurance », c’est la remettre sur son métier qui aurait toujours du être le sien.

Laissons le social aux assistantes sociales. Laissons le replacement aux petites annonces publiques, à Monster, Keljob, leBonCoin, l’intérim qui se financent par d’autres moyens que les cotisations obligatoires et laissent libre nos concitoyens.

Vous remarquerez que ceux qui veulent maintenir le système actuel sont les mêmes qui n’y sont pas affiliés ou ne cotisent pas et vous exposent sans vergogne l’argument de « solidarité ». On les retrouve plus dans les professions exonérées statutaires non assujetties, ou les professions de droits différenciés comme les intermittents du spectacle. 

A prestation égale aujourd’hui il n’y a a pas d’indemnité égale entre tous. Au moins privatiser pôle emploi rendra équité et justice contractuelle.

 

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Gréviculture d’octobre : une riche moisson

D’excellents esprits, et même de moins bons, se préoccupent ces derniers temps de ce qu’on persiste à appeler le « modèle social français ». Le « refonder », disent les uns, le « réformer » – ah ce mot « réforme » qu’on utilise toujours, par facilité – le « revisiter » ou peut-être le replâtrer à l’intérieur, le ravaler à l’extérieur.

Les mêmes bons esprits gagneraient sans doute à replacer le problème dans sa dimension réelle.

Le fait même de parler de « modèle », et de modèle « français » !, renvoie en effet à une connotation mortifère d’invariance.

Ce ne sont pas les salariés, encore moins les travailleurs indépendants, qui s’expriment, ce sont les centrales syndicales, la plus lourde étant la vieille CGT.

Or, en face, ce ne sont même pas les représentants du peuple qui légifèrent. On pourrait alors, si tel était le cas, parler de démocratie. Au contraire, les projets de lois ne sont, en façade, poussés par les ministres qui communiquent sur ce qu’ils sortent des placards de leurs administrations. Il semblerait donc plus légitime de parler de technocratie.

Or, on doit constater que, tout se joue, au mépris de l’opinion populaire, entre les cercles de ce pouvoir technocratique, à peine entravés des contestations essentiellement « conservatrices » où l’on retrouve à l’œuvre les sections syndicales.

Observons ainsi le calendrier des prochaines grèves à venir.

Le 1er octobre une partie, la partie cégétiste, des personnels des hôpitaux et de l’action sociale suivra, dans toute la France, ce jeudi un mot d’ordre de grève nationale lancée par la CGT et le mouvement syndical SUD. Rappelons que depuis Anicet Le Pors et le gouvernement Mauroy (1981-1984) on affecte de croire que ces personnels constituent une « fonction publique hospitalière » alors même qu’ils ne bénéficient pas des multiples avantages des salariés de l’État. Ceci ouvre évidemment un champ de revendications constantes et qui ne peuvent pas aboutir, en particulier s’agissant de la durée hebdomadaire du travail.

À partir du 5 octobre, pour ceux des médecins généralistes de libre exercice qui suivent les mots d’ordre de MG France, et dès le 3 octobre pour les affiliés de 4 autres syndicats médicaux, les cabinets des grévistes, tant généralistes que spécialistes, seront fermés.

Soulignons que quelque 500 000 professionnels de santé de notre pays, sans relever non plus du cas des fonctionnaires, se trouvent de plus en plus assujettis aux contraintes d’une administration toute puissante.

Ceci découle du simple fait que leurs syndicats ont signé des conventions avec l’assurance-maladie monopoliste. Celle-ci est, fictivement, gérée par le ministère de la Santé. Mais notoirement en fait elle est contrôlée par le ministère des Finances. Aujourd’hui ils protestent contre les nouvelles « mesures », présentées pour des « réformes » de Marisol Touraine.

Le 8 octobre 2015 est annoncée aussi, pour toute la journée une grève « générale et nationale » décidée par les centrales syndicales CGT, FSU et Solidaires. Ces bureaucraties appellent indistinctement tous les salariés, des secteurs publics et privés, à faire grève ce jour pour contester ce qu’ils appellent « les réformes du gouvernement concernant l’emploi ».

Certes, on peut douter de l’adhésion des intéressés à de tels mots d’ordre. Mais il est un fait que ce mouvement à vocation à perturber les administrations, les services publics, les écoles, une partie des entreprises privées et par conséquent la vie quotidienne de très nombreuses familles.

Les désordres, notamment dans les transports, devraient commencer le 7 octobre à 19 heures et durer jusqu’au 9 octobre à 8 heures dans les transports publics urbains, les taxis monopolistes, le chemin de fer, les crèches, les écoles maternelles et primaires, l’enseignement étatique secondaire, les bibliothèques, la poste, diverses administrations, y compris dans certaines villes et communautés de villages le ramassage des ordures etc.

Ne surestimons pas à l’avance comme les médias le font trop souvent, l’impact réel de « la grève ». Mais ne sous-estimons pas non plus la volonté de nuire et de montrer une capacité de nuisance qui, s’agissant des enseignants de la FSU, prétend se dresser, aux côtés de la CGT et de son flanc gauche « Sud Solidaires » contre les timides dérives néolibérales du gouvernement.

De telles alertes sont lancées pour répondre à une double préoccupation : d’une part il s’agit faire piétiner sinon reculer les pouvoirs publics, et d’abord le parti socialiste, dans la voie « sociale-réformiste », qu’ils affectent d’avoir plus ou moins choisie. Reconnaissons que dans la pratique, ils ne s’y sont guère engagés. Or, d’autre part, plus subtilement, tous ces blocages tendent à intimider les grosses entreprises. En effet, une partie de leurs dirigeants pense que seule la majorité actuelle peut, à moindres frais en termes de conflits sociaux, procéder aux « nécessaires réformes ».

Or, parmi celles-ci la liberté de « l’ouverture des magasins le dimanche », prévue par la Loi Macron, quoique restreinte à des zones évaluées administrativement donc arbitrairement « touristiques », va donner lieu le 15 octobre à une grève de certains salariés des commerces de Paris à laquelle les appellent plusieurs bureaucraties syndicales. Cet épisode sera peut-être le plus intéressant, dans la mesure où, culturellement, cette libéralisation provoque aussi de nombreuses réticences « droitières ».

Au total, la France ne pourra pas faire l’économie d’une remise en cause de ces blocages et de ces chantages, où la vieille CGT stalinienne joue le rôle moteur, ou plutôt de frein moteur, à l’encontre de la modernisation du pays.

JG Malliarakis    http://www.insolent.fr/

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Climat : une grand-messe pour des prunes

Après les conférences de Rio, Kyoto, Copenhague et Cancun dont on se demande toujours à quoi elles ont servi, c’est au tour de la France d’organiser à Paris, en décembre prochain, sous l’égide de l’ONU, une grand-messe sur le climat nommée COP 21.
Les dirigeants de 195 pays y sont attendus, accompagnés de centaines de conseillers et d’invités plus ou moins experts en matière de climat. Un petit séjour à Paris, tous frais payés, ça ne se refuse pas !

L’objectif de cette conférence est de trouver un accord, afin de maintenir le réchauffement mondial en deçà de 2 °C. Objec­tif très ambitieux, car on voit mal la Chine accepter de réduire sa production pour faire plaisir à Nicolas Hulot. De toute façon, quel que soit le résultat de cette conférence, ce sera un beau coup de pub pour le président français…
Pour un simple quidam, le réchauffement de la planète n’est pas aussi évident que le prétendent les experts du GIEC, du moins localement. L’été 2014 fut particulièrement frais et pluvieux et, en février 2015, une vague de froid sans précédent s’abattit sur l’est des États-Unis.

Est-il réellement utile d’organiser ce genre de conférences pour débattre d’un phénomène aussi naturel que le réchauffement de la planète ? Car les cycles de réchauffement existent depuis la nuit des temps. Ils sont suivis généralement par des périodes de refroidissement se renouvelant tous les 600 ans.
Le Groënland (le pays vert) n’a pas toujours été recouvert de glace. Quand les Vikings l’ont découvert en 982, c’était une terre couverte de prairies et d’animaux. Le journaliste et météorologue Laurent Cabrol rappelle dans un livre savoureux que l’on a cueilli des fraises en janvier 1290 en Alsace. Dans la Vallée de la Mort en Californie, durant l’été 1913, on enregistra une température de plus de 57°, record jamais égalé.

Les canicules sont un phénomène climatique vieux comme le monde. Les chroniqueurs parlent de la canicule de 1636 ou de celle de 1718 qui fit, paraît-il, 700 000 morts. Plus près de nous on se rappelle les canicules de 1976, de 1983 et de 2003. Les étés de mon enfance étaient souvent torrides, accompagnés de longues périodes de sécheresse et de restrictions d’eau. ça ne faisait pas la une des journaux. Aujourd’hui, le moindre phénomène climatique est analysé, commenté, dramatisé.
Ce qui est étonnant, c’est de voir avec quelle facilité les chefs d’États se sont laissés entraîner, par naïveté ou par opportunisme, dans cette lutte contre un changement climatique imprévisible.

Autre débat : les populations sont-elles responsables du réchauffement de la planète ? Rien n’est moins sûr ! Quand les arbres poussaient au Groën­land, ce n’est certainement pas les populations d’alors qui étaient la cause de ce réchauffement.

Des villes comme Paris, Londres et même Bangkok sont moins polluées aujourd’hui qu’il y a 50 ans.
Le guide valaisan Werner Mun­ter, spécialiste mondialement reconnu des avalanches, affirme que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement de la planète. Sans remettre en cause le réchauffement actuel, il se base sur l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années : « Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu 5 pics de températures comparables à celui que nous vivons aujourd’hui. […] Quand les scientifiques du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques, dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement de la planète. » Et le guide de conclure : « C’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation, nous avons changé le climat ! »

Personnellement, je fais davantage confiance aux observations et au bon sens de cet homme de montagne qui vit en pleine nature plutôt qu’aux experts du GIEC assis derrière leur ordinateur.
Le vrai problème de la planète ne serait-il pas plutôt sa surpopulation et, par conséquent, la construction de villes et villages dans des zones impropres à l’habitat ? Plutôt que d’échanger des paroles stériles sur une improbable montée des mers, ne serait-il pas plus utile d’organiser des campagnes de planning familial en Afrique et dans certains pays d’Asie ?

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Êtes-vous pauvre ? Mesures de la pauvreté et impact sur le taux de pauvreté

Etes-vous pauvre ? Cette question en apparence simple est en réalité assez complexe ! En effet, d’un point de vue statistique, pour être capable de définir si une personne est pauvre, il faut être capable de définir un niveau (ou un seuil) précis en dessous duquel une personne est alors considérée comme pauvre (et au dessus duquel elle ne l’est pas). Mais comment justement fixer ce niveau et comment l’ajuster dans le temps ? Est-on pauvre lorsque l’on dispose de moins 1000 euros par mois ? Est-on pauvre lorsque l’on est moins riche qu’un certain pourcentage de la population ? Est-on pauvre lorsqu’on ne peut pas s’acheter de la viande au moins une fois par semaine ? Avec ces trois questions, le Captain’ vient d’introduire indirectement trois méthodes différentes pour mesurer la pauvreté : (1) la mesure monétaire absolue (un niveau de vie inférieur à x euros par mois, avec un seuil qui s’ajuste dans le temps en prenant en compte l’inflation), (2) la mesure monétaire relative (un niveau de vie inférieur à x% du niveau de vie médian des habitants de votre pays) et (3) la mesure de la pauvreté en tant que privation (ou mesure en conditions de vie). Chaque méthode a ses avantages et ses inconvénients, et selon le choix de la mesure et du seuil, le nombre de pauvre dans un pays peut drastiquement augmenter ou diminuer. C’est parti pour le grand test : « Etes-vous pauvre 2015 ? » !

Selon les derniers chiffres de l’INSEE, 14,3% de la population française est pauvre, soit environ 8,6 millions de personnes (source : « Pauvreté en 2012 : comparaisons régionales – INSEE« ). Selon l’INSEE, vous êtes « pauvre » si votre niveau de vie est inférieur à 987 euros par mois. Donc si vous gagnez le SMIC (1096 euros net en 2012), vous n’êtes pas pauvre ; et ce même si vous habitez tout seul à Paris et que votre loyer est de 700 euros (ce qui peut être discutable…) ! Si vous touchez uniquement le Revenu de Solidarité Active (RSA – 467 euros par mois), vous êtes alors considéré comme pauvre (là dessus, peu de discussions possibles) !

Mais comment est calculé ce seuil de 987 euros ? Le seuil de pauvreté en France est défini par l’INSEE comme étant égal à 60% du niveau de vie médian de la population française : c’est donc une mesure relative, qui dépend directement du revenu médian du pays. Pour illustrer cela, supposons alors un pays avec 21 habitants, ayant chacun le niveau de vie suivant (voir tableau ci-dessous). Pour simplifier, on suppose alors que chaque habitant est célibataire et sans enfant, en évitant ainsi les problématiques relatives aux unités de consommation (pour plus d’infos à ce sujet, voir « La mesure de la pauvreté – INSEE« ).

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La première étape consiste donc à calculer le niveau de vie médian. Dans notre exemple, le niveau de vie médian est de 1500 euros, ce qui signifie que 10 habitants ont un revenu supérieur à ce niveau et 10 habitants ont un revenu inférieur. Pour définir le seuil de pauvreté, on multiplie ensuite 1500 par 60%, ce qui nous donne un seuil à 900 euros. Ensuite, sont considérés comme pauvres tous les habitants ayant un niveau de vie inférieur à 900 euros (soit dans notre cas 5 habitants – et donc un taux de pauvreté de 23,8%). La prise en compte d’un seuil de pauvreté en fonction d’un niveau relatif de niveau de vie permet donc d’évaluer une notion de pauvreté à un moment donné et pour un pays donné.

Mais il y a aussi tout de même pas mal de limites à cette mesure. Supposons que du jour au lendemain, une croissance incroyable touche notre pays, et que le niveau de vie de l’ensemble des habitants double. Dans cette situation, avec un seuil de pauvreté défini de manière relative, il y aura toujours autant de pauvre dans notre pays : le seuil de pauvreté passant à 1800 euros, les pauvres d’avant sont toujours pauvres (au sens statistique) et ce malgré le fait que leur niveau de vie ait doublé. A l’inverse, il est possible de voir une baisse du taux de pauvreté dans un pays si les pauvres restent aussi pauvres (en euros) mais que les plus riches deviennent moins riches (une baisse du niveau de vie médian pouvant entraîner une baisse du taux de pauvreté, même sans hausse du niveau de vie réel des plus pauvres). Ces deux exemples sont assez extrêmes, mais illustre tout de même assez simplement les problématiques relatives à l’utilisation d’un seuil relatif.

De plus, il est important de faire bien attention à ne pas tirer de conclusions hâtives lors des comparaisons internationales du taux de pauvreté. Par exemple un pays « A » où l’ensemble des habitants a le même niveau de vie (500 euros par mois par exemple) sera considéré comme ayant 0% de taux de pauvreté, tandis qu’un pays « B » où l’habitant le plus pauvre a un niveau de vie de 1000 euros mais où il existe de plus fortes inégalités pourrait avoir par exemple un taux de pauvreté de 20%…. Pourtant, les non-pauvres du pays « A » seraient tous pauvres dans le pays « B » (à un ajustement de revenu médian près) ! Le taux de pauvreté mesuré d’une manière relative se rapproche donc davantage d’une mesure des inégalités dans un pays donné que d’une réelle mesure de la pauvreté (même si les deux mesures peuvent être liées).

Plutôt qu’une mesure relative, il est aussi possible de mesurer la pauvreté monétaire de manière absolue : c’est à dire en utilisant un niveau fixe dans le temps (avec simple ajustement pour l’inflation) ne dépendant pas de la richesse moyenne ou médiane d’un pays. Les Etats-Unis utilisent par exemple principalement une mesure monétaire absolue pour définir le taux de pauvreté. Le seuil de pauvreté a été défini en 1963 comme étant égal à trois fois le montant d’un régime alimentaire minimum, et est ajusté chaque année pour prendre en compte l’inflation. Par exemple, s’il faut au minimum 300$ par mois pour pouvoir se nourrir correctement aux USA, le seuil de pauvreté sera fixé à 900$. Cela nous donne donc une mesure absolue de la pauvreté, qui est par la suite ajustée en fonction de la situation familiale et du nombre d’enfant (source : « How the Census Bureau Measures Poverty« ). Par exemple, un individu seul avec un niveau de vie inférieur à 12.119$ par an (1009$ par mois) sera considéré comme pauvre aux USA.

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En utilisant cette mesure monétaire absolue du seuil de pauvreté, le taux de pauvreté aux Etats-Unis est relativement stable, ce qui signifie que le niveau de vie des pauvres augmente à peu près au même niveau que l’inflation. Cependant, si les Etats-Unis utilisaient une mesure relative comme la France, il y a fort à parier que les conclusions seraient très différentes : la hausse des inégalités (cf travaux de Piketty par exemple) aux USA devraient en effet se traduire par une hausse du taux de pauvreté avec une mesure relative.

Pour les pays en voie de développement, une mesure de pauvreté monétaire absolue souvent utilisée est celle de 1,25$ PPA par jour (« Banque Mondiale – Ratio de la population pauvre disposant de moins de $1,25 par jour (PPA) (% de la population)« ). L’objectif ici est assez différent, mais cela permet une comparaison internationale entre les pays et la fixation d’objectifs de réduction de la pauvreté à l’échelle mondiale, comme par exemple, dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) : « Ojectif 1 – Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar par jour » (objectif atteint, principalement grâce à la forte croissance en Inde et en Chine – avec ajustement à 1,25$ par la suite)

Intuitivement, le Captain’ a donc tendance à préférer la mesure absolue (ajustée de l’inflation et/ou avec taux de change PPA) plutôt que la mesure relative. En effet, le problème avec la mesure relative est, qu’à part en réduisant les inégalités, il est très difficile de réduire le taux de pauvreté. De plus, à très long-terme, il est possible d’imaginer un monde avec un taux de pauvreté quasi-nul si l’on mesure cela d’un point de vue absolu (#Bisounours), tandis qu’à part à avoir un monde communiste, la pauvreté sera toujours présente et ne baissera pas vraiment si l’on garde une mesure relative.

Une dernière méthode consiste non pas à s’appuyer sur des variables monétaires (niveau de vie, revenu, consommation) mais sur des notions de privations ou de conditions de vie. Une personne est alors considérée comme pauvre si elle est privée d’accès à un certains nombres de biens, de services ou de « capacités » (mais pas au sens des « capabilities » d’Amartya Sen) jugés comme « essentiel ». Selon Eurostat par exemple (source : « Material deprivation statistics« ), une personne est pauvre si elle n’a pas accès au minimum à 4 des 9 biens/services/capacités :

  1. Etre capable de payer son loyer ou son emprunt hypothécaire
  2. Pouvoir chauffer suffisamment pour son logement
  3. Partir une semaine en vacance par an
  4. Manger une fois tous les deux jours un repas avec viande, poulet, poisson ou équivalent végétarien
  5. Faire face à des charges financières imprévues
  6. Avoir un téléphone (y compris le téléphone mobile)
  7. Avoir un téléviseur couleur
  8. Avoir une machine à laver
  9. Avoir une voiture

En prenant en compte cette notion de privation, « seulement » 5,1% des français sont alors considérés comme pauvre (contre plus de 14% avec la mesure relative de l’INSEE – voir graphique ci-dessous pour un comparatif du taux de privation dans différents pays). De plus, les questions étant les mêmes pour l’ensemble des pays, une comparaison internationale est alors plus facile qu’avec la notion de pauvreté relative (qui dépend du revenu médian du pays) et les problématiques de parité de pouvoir d’achat sont indirectement intégrées. L’INSEE utilise d’ailleurs aussi un indicateur de pauvreté en condition de vie pour compléter l’approche monétaire (voir par exemple « INSEE – Pauvreté en conditions de vie« ) qui ressemble pas mal à celui d’Eurostat mais en mettant l’accent sur les restrictions de consommation, les retards de paiements, l’insuffisance des ressources et les difficultés de logement.

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Mais pour revenir au taux de pauvreté calculé de manière relative, et pour compléter son argumentation sur « pourquoi le Captain’ n’aime pas trop cet indicateur relatif », voici un comparatif du taux de pauvreté en Europe en prenant donc en compte le pourcentage de population dans chaque pays ayant un niveau de vie inférieur à 60% du niveau de vie médian de ce pays (source : « INSEE« ).

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Avec ce genre d’indicateur, et si l’on ne fait pas attention à la manière dont le taux de pauvreté est calculé, on se retrouve à penser que le taux de pauvreté en Espagne est similaire à celui de la Bulgarie, la Grèce ou la Roumanie… Mais si on regarde le niveau de vie moyen ou le taux de privation (graphique ci-dessus), il est assez simple de voir qu’en réalité, le taux de pauvreté est nettement inférieur en Espagne qu’en Bulgarie (et si vous avez voyage dans les deux pays, il y a peu de débat là dessus). Attention, le Captain’ ne dit pas qu’il n’y a pas de pauvre en Espagne ou que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais simplement qu’une carte telle que celle ci-dessus n’a en réalité pas beaucoup de sens (en tout cas en tant que mesure de la pauvreté).

Conclusion : Un indicateur n’est ni bon ni mauvais : un indicateur sert simplement à mesurer une situation donnée… Ensuite, pour que cela ait de la valeur, il faut être capable d’analyser et de « faire parler » cet indicateur. Le problème avec le taux de pauvreté mesuré de manière relative est que l’interprétation est assez complexe et que le lien entre « le taux de pauvreté baisse » et « les pauvres sont moins pauvres » n’est pas direct ! Bien que la mesure des privations ou la mesure absolue aient aussi des défauts, cela se rapproche davantage, selon le Captain’, du concept de « taux de pauvreté » tel qu’il pourrait être imaginé par un individu n’ayant pas de connaissances poussées en statistiques ou en économie. Dans le meilleur des mondes, il faudrait donc regarder en parallèle l’évolution de ces trois indicateurs, afin d’avoir une meilleure compréhension globale de la pauvreté dans un pays donné, tout en pouvant comparer l’évolution par rapport à ses voisins et être capable de mesurer si la pauvreté diminue ou non dans le temps. Voilà, la prochaine fois qu’un de vos amis vous dira « je suis pauvre en ce moment », vous aurez de quoi argumenter pas mal sur cette notion de pauvreté relative, absolue ou de privation (le pote relou de base !)…

Source: captaineconomics

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Un chômage très républicain

La France coule et notre aristocratie administrative s’en fiche royalement. L’essentiel c’est que leurs privilèges perdurent.

Jack Lang ayant un jour déclaré que le Parti Socialiste était celui de l’intelligence, il est donc logique de penser que lorsque ce dernier est au pouvoir, notre pays le devient de facto. C’est du reste comme cela qu’il faut prendre l’étrange décision des dirigeants de Facebook d’implanter, à Paris, leur laboratoire de recherche sur l’intelligence artificielle. Il est vrai qu’en matière d’artifice, avec les socialistes, nous sommes en avance de plusieurs siècles sur les autres nations. Des courbes du chômage qui n’en finissent plus de s’inverser négativement, en passant par toutes les usines à gaz fiscales destinées à rééduquer les déviants, à inciter les citoyens à œuvrer pour la planète, nous ne manquons pas de solutions fictives à proposer aux grands défis de notre époque. Le tout en respectant les grands principes républicains qui sont, on l’aura compris, le credo de nos temps obscurs. Du reste, quel plus bel exemple d’intelligence artificielle que celui de notre Président bien mal aimé, lui qui n’a pas son pareil pour, toujours, nous dénicher LA connerie à ne pas faire.

La République nous (r)appelle

Dernière stupidité en date : contester puérilement le nom dont vient de se doter l’UMP. Comble de l’horreur pour un socialiste « normal », la République, qu’il invoque totémiquement du soir au matin, pour nous vendre tout et son contraire, est préemptée par le camp d’en face. Marine Le Pen eût-elle décidé de découper son père en rondelles en adoptant cette dénomination que les PS n’auraient pas été plus indignés. Comment ce facho de Sarkozy a-t-il bien pu oser faire main basse sur les oripeaux dont se drape le socialisme dès qu’il s’agit de diffuser sa moraline délétère ? Et la médiacratie, en service commandé, d’embrayer derrière le PS pour dénoncer le « scandale ».

En admettant que plus grand monde ne se souvienne de l’UNR et de l’UDR, les temps du RPR ne sont pas si lointains qu’il faille pousser des cris d’orfraie à la seule perspective de voir des gens de droite se référer à la République, fut-elle la cinquième du nom. Ils n’allaient tout de même pas s’appeler « Les Monarchistes » pour se conformer aux clichés véhiculés par des socialistes qui eux, c’est bien connu, « ne sont animés que des meilleures intentions ». En tout cas, une chose est sûre, ils ne risquaient pas de se dénommer « Les Libéraux », tant la Liberté leur est un concept, à peu près aussi étranger que le courage et la constance.

La course à l’ouverture d’esprit

Si Marthe Richard n’avait pas rendu l’exercice théorique, l’averse de bons sentiments qui attendait les militants Républicains, lors de leur congrès fondateur le 30 mai dernier, aurait pu provoquer la réaction suivante : « La tolérance, Monsieur, il y a des maisons pour cela ! » Rien ne nous aura été épargné dans le style « vivons heureux au pays du vivre ensemble ». Il est interdit de dire du mal des ministres qui coulent : la Justice pour l’une, le système « éducatif » pour l’autre. Elles sont issues des « minorités visibles » donc infaillibles. Les critiquer c’est être raciste, ne pas être d’accord c’est du nazisme ! Il est exact que ces deux mammouths ne les avaient pas attendus pour branler sérieusement du manche. Il n’en reste pas moins que Tata Taubira et Cousine Belkacem achèvent leurs bêtes respectives, avec un talent et une énergie qui laisserait songeur le plus stakhanoviste des bouchers Charal. Prétendre que les politiques ne peuvent plus rien à la marche des affaires est une ânerie. Ils ne peuvent plus améliorer les choses qu’à l’insu de leur plein gré, c’est un fait, mais ils peuvent, en toute bonne conscience, rendre apocalyptiques des situations déjà cauchemardesques.

Le pire dans tout cela c’est que l’alternance n’y changera probablement rien. Bien entendu, pour se faire élire, le candidat du moment nous promettra tout et son contraire. Encore que… À écouter les thuriféraires d’Alain Juppé, sa grandeur consiste justement à dire maintenant qu’il ne changera rien (je l’avoue je schématise, mais c’est quand même bien ce qu’il fera au final s’il accède au Graal). C’est un concept comme un autre, bien que peu enthousiasmant ! Sarkozy avait été élu en 2007 en nous affirmant : « je dis ce que je fais et je fais ce que je dis ». Il a ensuite passé le plus clair de son mandat à faire ce qu’il n’avait jamais dit et à faire croire qu’il avait fait ce qu’il avait dit. Juppé, lui, commence par dire ce qu’il ne fera pas, pour être bien sûr de ne pas avoir à dire ce qu’il fera. Pas étonnant qu’il soit l’homme de droite préféré de la gauche.

La stratégie « normale » de François Hollande

Pour le Président le moins populaire de la cinquième République, il n’existe pas trente-six façons de prolonger son inaction au-delà de 2017. Alors que ses résultats lamentables devraient l’inciter à se cacher sous le tapis en attendant que ça passe, Hollande repart en campagne, comme si de rien n’était. Il déterre les morts pour les placer au Panthéon, il court de commémoration en repentance à tel point qu’il s’excuse de tout sauf d’exister. Cette agitation frénétique n’a d’autre objectif que de tuer dans l’œuf toute pensée stratégique rationnelle dans le marigot qui lui tient lieu de parti. Son action est si positive qu’il sait qu’il a autant de chance d’arriver à ses fins que Depardieu de gagner le Marathon de Paris. Pour renverser le cours des choses, il lui faut provoquer un « 21 avril à l’envers » et éliminer le candidat de droite. Même comme cela, son élection n’est pas acquise, mais seulement vraisemblable. En effet, la France n’est pas encore mûre pour la passionaria des terrils, mais sait-on jamais, deux ans avec Hollande c’est très long et tout peut arriver. Pour espérer l’emporter quand même, il n’a qu’une seule solution : que les Républicains désignent Juppé comme candidat, à l’issue d’une primaire où tous les prétendants se seront écharpés sur le thème de la morale et du Front National (corollaire du thème précédent). La presse subventionnée par nos sous l’y aide du reste puissamment, en faisant de Juppé le Balladur, Jospin, Ségolène Royal (rayez la mention inutile) du moment.

« Le meilleur d’entre les Républicains » (aux dires de Chirac) occupe le créneau très couru du centre bien pensant socialo-compatible. En ce sens, il « croit en l’action de l’État » (c’est d’ailleurs une foi qu’il partage avec Marine Le Pen et Florian Philippot, mais passons bien vite). Tout le monde sait bien que ce positionnement est électoralement étroit (le centre, pas la croyance en l’infaillibilité de l’État, hélas) car peu d’électeurs s’en satisfont (la Duhamélisation des esprits n’est pas encore complète, Deo gracias !). Même si ceux qui votent pour le centre sont très bruyamment satisfaits d’eux-mêmes, ils ne représentent guère plus de 15% des voix (au mieux). En admettant que le maire de Bordeaux s’arrache et se fasse violence en campagne (après tout, Balladur est bien monté sur une table avant de se ramasser) ses positions droits-de-l’hommistes et tolérantes ne lui vaudront pas de dépasser les 20%.

Marine, que le système médiatique poussera à fond (voir plus haut), fera autour des 30%. Il ne restera plus à Pépère qu’à rassembler son camp de base (pour le PS c’est acquis, depuis le « succès » de la motion Cambadélis), à limiter la dispersion extrême gauchiste à Mélenchon. Le tour sera joué et les 20% franchis. Les verts peuvent bien risquer de gripper la machine, mais leur poids électoral découlant de leurs propositions fumeuses les rend, en dehors de Paris, singulièrement négligeables. Seul Cohn-Bendit serait en mesure de fédérer les bobos mais même comme cela… Et voilà comment un Président haï risque de nous enfumer pour cinq longues années supplémentaires. Quand on voit ce qu’il a fait en trois ans, on imagine dans quel état sera la France de 2022.

La France, l’homme malade de l’Europe

Oui, ce n’est pas très charitable de penser que François Hollande ruinera la France au terme de son second quinquennat. Pourquoi attendre 2022, alors qu’il est en passe de réaliser l’exploit aux trois cinquièmes du premier, je vous le concède. Loin de s’inverser, la courbe du chômage n’en finit pas de monter et avec elle son cortège de drames humains. Pendant ce temps-là, les socialistes s’accrochent aux totems sociaux (CDI, seuils, prélèvements confiscatoires, représentation syndicale…) comme la vérole sur le bas-clergé. Nous sommes le seul pays d’Europe à ne pas profiter du retour de la croissance et de la baisse conjuguée du pétrole et de l’Euro : même pas mal ! Nous flirtons avec les 5,5 millions de chômeurs et une dette qui avoisine les 100% du PIB : vous reprendrez bien 150 000 emplois aidés avec vos sous supplémentaires ! Il est urgent de rétablir la confiance avec les entrepreneurs qui, seuls, peuvent créer des emplois : amis patron de PME, tu auras toi aussi ton délégué syndical ! Les socialistes ont ce talent rare, de pouvoir faire dérailler les trains en gare rien qu’en les regardant.

Le pire, c’est qu’ils ne peuvent pas comprendre que leur politique est mortifère. C’est impossible pour eux puisqu’ils font le bien. Un petit exemple de l’étendue de leurs bienfaits nous est donné par leur politique de maquillage des comptes de réduction des déficits. Selon l’Association des Maires de France, les collectivités locales représentent 37% de l’investissement public. Elles sont responsables d’un peu plus de 4% du déficit public et vont pourtant supporter l’essentiel des efforts de réduction de la dépense. Que pensez-vous qu’il va se passer dans les prochaines années, si rien ne vient endiguer cette catastrophe ? L’investissement public va s’effondrer (-25% en 2017 par rapport à 2014), pour le plus grand bonheur de ce capitalisme, certes de connivence, mais pourtant grand pourvoyeur d’emplois peu qualifiés (BTP, services collectifs, transports).

La France coule et notre aristocratie administrative s’en fiche royalement. L’essentiel c’est que leurs privilèges perdurent. Les scandales qui se multiplient comme celui de la Présidente de l’INA qui claque 40 000 € de taxis en une année, alors qu’elle a un chauffeur, ne provoquent aucune réaction, à part celle de la recaser dans un placard doré au ministère de la Culture. Dans ce foutoir généralisé, la seule réforme que veulent porter les socialistes pour se trainer lamentablement jusqu’en 2017, est celle du prélèvement à la source des impôts directs. Oh la belle idée que voilà ! Comme il n’est pas question de nous faire cadeau d’une année de prélèvement, ces dingues sont en train de nous concocter une usine à gaz qui nous permettra d’apurer notre « dette fiscale » ancien système tout en nous pompant nos impôts « nouvelle formule » à la source. Payer deux fois ses impôts, en une année (ou plus, le tout est de savoir en combien de fois nous allons couper la queue du chien) voilà qui va très certainement relancer la croissance…

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Source Marc Suivre

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L’impunité des hauts fonctionnaires, cet autre mal français

 haut-fonctionnairesOn apprend que Fleur Pellerin vient de saisir le procureur de la République sur la base du fameux article 40 du Code de procédure pénale (l’obligation faire aux fonctionnaires de dénoncer les faits délictueux dont ils ont eu connaissance). Pur affichage opportuniste du ministre, trois jours après que l’association Anticor eut déjà porté plainte contre Mme Saal !

Je relatais dans un article précédent ce qu’il fallait penser du cas de Mme Agnès Saal, le scandale n’étant pas tant les indélicatesses de la dame, ou son recasement au ministère, mais que ces pratiques fussent couvertes par le statut de la fonction publique et que l’administration française en est arrivée à un tel niveau de corruption qu’il n’y a plus de sanctions possibles, ni de récompenses pour les meilleurs éléments, ceux qui ne sont pas partis sous d’autres cieux faire récompenser leurs talents.

En ce moment, du reste, le retour au devant de la scène du petit juge Burgaud est bien plus exemplaire du « responsable mais pas coupable », et d’une forme d’impunité délétère. Car ce monsieur a brisé des vies, et non parce qu’il aurait été jeune et inexpérimenté mais par le fait de son arrogance et de cette prétention à l’omniscience qu’on lui a inculquée sur les bancs de l’École nationale de la magistrature, et qu’il n’en a eu ni regrets, ni remords, et qu’il a été promu malgré toutes les casseroles qu’il avait au derrière.

Chaque année, la Cour des comptes fournit à foison des listes d’abus, de gabegies et d’indélicatesses dans l’administration, de celles qu’elle a pu connaître, de la partie émergée de l’iceberg, et ça ne se termine presque jamais face à une cour de discipline ou devant les tribunaux. De même que les scandales sanitaires sont restés impunis. De même que les désastres et faillites de grandes entreprises dirigées par des énarques et des polytechniciens. De même pour ces enseignants pédophiles recasés par le rectorat.

À côté de l’oligarchie politique, médiatique et même économique qui possède tous les pouvoirs, l’autre mal dont souffre la France tient aux privilèges de la haute fonction publique et à l’impunité qui y règne. Comme par hasard, les oligarques de la politique et les hauts fonctionnaires sont souvent les mêmes.

Je l’ai moi-même expérimenté comme fonctionnaire, et si je donne ici l’impression de cracher dans la soupe, je le fais d’autant volontiers que j’ai payé cher ma liberté de ton. Il n’est pas de corporatisme plus fort en France que celui de l’appartenance aux corps de l’État, des écoles qui y mènent et des ministères qui les abritent. Tout peut être pardonné dans une carrière, sauf de dire du mal de l’école qui vous a promu dans la hiérarchie des distinctions, et du ministère qui vous tient par la bride du salaire et par le mors des promotions.

C’est à cette aune qu’il faut comprendre la position du FN, telle que formulée par Florian Philippot, énarque et membre du corps des inspecteurs de l’administration, au regard des grèves de cheminots. Pourquoi faudrait-il fustiger le corporatisme des petits et faire pièce à leurs petits avantages acquis quand aucun des gros privilèges et du corporatisme éhonté des plus gros n’est jamais remis en cause ?

La solution n’est certes pas dans un renforcement des prérogatives de la haute fonction publique, comme ce disciple de Chevènement serait tenté de nous le faire avaler, avec son colbertisme dépassé ou son étatisme de derrière les fagots, mais bien dans la fin des privilèges de l’oligarchie politico-administrative, une nouvelle nuit du 6 août !

Souces: lien

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Rand Paul, le libéral qui met fin aux écoutes de masse aux USA.

Ça y est. Depuis dimanche soir, les écoutes téléphoniques de masse aux USA sont totalement interdites.

La NSA collectant les métadonnées des appels téléphoniques américains (horaires, durées, numéro appelé) ont cessé de fonctionner à 00h01 locales (04h01 GMT) parce que le Sénat Américain ne prolongeait pas l’autorité légale du programme.

A partir de maintenant les employés de la NSA qui consultaient la base de données des écoutes de masse ne peuvent plus le faire, tout cela grâce a un sénateur Américain, Rand Paul.

La Maison Blanche a confirmé que dans la nuit du dimanche au lundi, tous les serveurs se sont arrêtés.


Pendant qu’en France les politiciens veulent attenter aux libertés individuelles par la loi renseignement, les Américains réalisent que le Partriot act n’a rien apporté sur la lutte contre le terrorisme.

Mercredi dernier le parlement Américain a approuvé une mesure qui met fin à la collecte en vrac des enregistrements téléphoniques de la National Security Agency et le remplace par un système qui recherche au cas par cas, loi poussée par les libéraux républicains.

O’Bama, les démocrates et une partie des républicains tendance Bush espéraient dimanche au sénat un vote de rejet de cette loi.

Mais le sénateur libéral Rand Paul a été plus malin et les a mystifié.

Les libéraux Américains viennent d’agir. Le blocage du renouvellement du Patriot Act (loi d’autorisation d’écoutes massives), devait être répudié avant dimanche soir minuit sous peine d’être effectif. Le Patriot Act est particulièrement controversée et une majorité d’Américains ne supportent plus que leurs mails et conversations personnelles soient écoutées sans cesse.

Les libéraux sont fédérateurs de la contestation de ces lois d’intrusion de l’état dans les vies privées de tout un chacun.

Rand Paul le sénateur républicain du Kentucky a utilisé les discutions qui traînaient en longueur pour faire bloquer jusqu’à minuit toutes les écoutes de masse aux USA.

Rand Paul a tenu 10h et 30 minutes à la tribune du Sénat pour protester contre le renouvellement du Patriot Act, en soulignant son opposition à la collecte en vrac controversée de l’Agence nationale de sécurité des données téléphoniques.

Pour tenir la tribune jusque minuit, Rand Paul c’est aidé des 4 sénateurs républicains les plus libéraux. Ils ont organisé un jeu de questions-réponses longues et argumentées, une technique visant à donner l’orateur principal des pauses. Certaines questions ont duré plus de 20 minutes et une réponse a duré 52 minutes.

Rand Paul a démontré que toute la collecte de données de masse ne résolvaient pas le problème de terrorisme et que ce n’est pas ce que l’Amérique, pays de la liberté a besoin.

Paul a démontré que les écoutes téléphoniques n’ont en rien aidé à la capture des terroristes du 9-11 et qu’écouter des millions de personnes pour des résultats tellement ridicules, c’est totalement irresponsable et irrationel au niveau des libertés individuelles.

Si Rand Paul a admis qu’il ne fait aucun doute que nous sommes dans un monde très dangereux, plein de terroristes, cela n’autorise pas des approches qui ne permettent pas in-finéplus de sécurité.

Les terroristes de masse disposant d’assez d’intelligence pour ne pas se compromettre par leurs conversations téléphoniques.

La lutte contre le terrorisme par la capture de masse des écoutes étant elle au contraire plus grave par les effets pervers qu’elle induit sur nos libertés. Puisque que les conversations sont enregistrées et l’Américain écouté ne dispose pas des moyens de savoir comment on été analysées et comment ses écoutes personnelles vont être exploitées.

L’Américain moyen n’est pas un terroriste et n’a pas a être écouté comme un terroriste, ni être suspecté de terrorisme.

Rand Paul est le fils du célèbre sénateur Ron Paul, le célèbre sénateur qui 2 ans avant l’éclatement de la bulle des subprimes avait décrit dans les détail qu’elle allait arriver et le pourquoi…Rand Paul est ce sénateur qui fait voter des lois contre les privilèges différenciés des élus.

Rand Paul est à la course à l’investiture du pari républicain pour devenir président. Il représente au sein des républicains, la branche libérale. Celle qui lutte contre le capitalisme de connivence qui donne plus de droits ou d’avantages aux uns plus qu’aux autres. Celle qui encourage la liberté individuelle et la responsabilité. Cette politique totalement anti-Keynésienne et qui prèfère que l’état doit être géré en bon père de famille et pas en cadeaux au présent sur le compte des générations futures ni pour acheter des votes clientélistes.

C’est par la phrase « Le Patriot Act expire ce soir », que Rand Paul, l’élu républicain et libertaire qui a bloqué à lui tout seul l’examen du texte au bout de 10 et 30 minutes à la tribune.

La Maison Blanche a qualifié Rand Paul dimanche soir d »irresponsable » l’expiration de la collecte des données téléphoniques, en demandant au Sénat de faire en sorte que l’autorité légale du programme soit rétablie le plus rapidement possible et un ré-examen…

La bataille de la liberté est un combat permanent.

Le Sénat va a nouveau être mandaté pour éventuellement rétablir le Patriot Act.

Un grand nombre de sénateurs, démocrates et quelques républicains anciens soutiens de Georges Bush qui avaient à leur époque voté, ont manifesté leur soutien au retour du Patriot Act.

La question est de savoir combien de temps va durer ce répit de liberté de communiquer sans se savoir écouté? 

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Impôts, vous voulez la liste?

 

Aujourd’hui j’ai décidé de faire un article sur les impôts.

De les détailler un à un pour développer leur utilité.  En premier le mieux est de les lister.

Les voici…

1 – Impôt sur le revenu (IR)

2 – Impôt de solidarité sur la fortune (ISF)

3 – Impôt sur les sociétés (IS)

4 – Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)

5 – Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)

6 – Taxe d’habitation (TH)

7 – Cotisation foncière des entreprises (CFE)

8 – Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)

9 – Contribution sur les revenus locatifs (CRL)

10 – Taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)

11 – Taxe spéciale d’équipement (désormais remplacée par la taxe d’aménagement)

12 – Taxe additionnelle à la TFPNB

13 – Taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)

14 – Taxe destinée au financement des conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE)

15 – Redevance départementale sur l’aménagement des espaces naturels et sensibles (TDENS)

16 – Taxe de balayage

17 – Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE)

18 – Impositions perçues au profit des communautés urbaines

19 – Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie

20 – Prélèvement sur les bénéfices tirés de la construction immobilière

21 – Taxe hydraulique au profit des voies navigables de France

22 – Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP)

23 – Contribution additionnelle à l’impôt sur les sociétés

24 – Taxe sur la consommation de charbon

25 – Taxes générales sur les activités polluantes (TGAP)

26 – CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale)

27 – CSG (Contribution sociale généralisée)

28 – Taxe forfaitaire sur les métaux précieux

29 – Contribution à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés)

30 – Redevances pour droit de construire EPAD (Établissement public d’aménagement et de développement)

31 – Droit sur les cessions de fonds de commerce et opérations assimilées

32 – Droits sur les ventes d’immeubles

33 – Droit sur les cessions de droits sociaux

34 – Droits de succession et de donation

35 – Prélèvement non libératoire forfaitaire sur les dividendes et distributions assimilées

36 – Droit du permis de chasse

37 – Droit de validation du permis de chasse

38 – Taxe sur la musique (SACEM – SPRE)

39 – Taxe sur les plus-values immobilières autres que terrains à bâtir

40 – Impôt sur les plus-values immobilières

41 – Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM

42 – Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM

43 – Redevances perçues à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France

44 – Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien des théâtres privés

45 – Taxe sur les transactions financières

46 – Taxe annuelle sur les produits cosmétiques

47 – Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « de stockage »

48 – Surtaxe sur les eaux minérales

49 – Taxe communale additionnelle à certains droits d’enregistrement

50 – Redevances proportionnelles sur l’énergie hydraulique

51 – Taxe communale sur les remontées mécaniques

52 – Taxe communale sur la consommation finale d’électricité

53 – Redevance d’enlèvement d’ordures ménagères (REOM)

54 – Taxe sur les cartes grises

55 – Redevances communale et départementale des mines

56 – Imposition forfaitaire annuelle sur les pylônes

57 – Taxes de trottoir et de pavage

58 – Prélèvement progressif sur le produit des jeux dans les casinos au profit des communes

59 – Taxe sur les activités commerciales non salariées à durée saisonnière

60 – Taxe forfaitaire sur la cession à titre onéreux des terrains nus qui ont été rendus constructibles du fait de leur classement

61 – Taxes sur les friches commerciales

62 – Taxe sur le ski de fond

63 – Taxe sur les éoliennes maritimes

64 – Taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockages ou un incinérateur de déchets ménagers

65 – Taxe pour non-raccordement à l’égout

66 – Taxes dans le domaine funéraire

67 – Taxe pour obstacle sur les cours d’eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage et taxe pour la protection des milieux aquatiques, redevances pour pollution diffuses

68 – Redevances pour pollution de l’eau et pour modernisation des réseaux de collecte

69 – Taxe départementale des espaces naturels sensibles

70 – Taxe sur les nuisances sonores aériennes

71 – Taxe spéciale sur la publicité télévisée

72 – Octroi de mer

73 – TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) lubrifiants, huiles et préparations lubrifiantes

74 – TGAP lessives

75 – TGAP matériaux d’extraction

76 – TGAP imprimés

77 – TGAP installations classées

78 – TGAP déchets

79 – TGAP émissions polluantes

80 – Redevances spéciales d’enlèvement des déchets non ménagers

81 – Taxe sur les produits, déchets et résidus d’hydrocarbures

82 – Taxe sur la publicité foncière

83 – Taxe sur la valeur vénale des biens immobiliers des entités juridiques

84 – Cotisation spéciale sur les boissons alcoolisées

85 – Droit de circulation sur les vins, cidres, poirés et hydromels

86 – Droit de consommation sur les produits intermédiaires

87 – Droits de consommation sur les alcools

88 – Droit sur les bières et les boissons non alcoolisées

89 – Taxe sur les prémix

90 – Prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placement et contribution additionnelle

91 – Contribution sociale de solidarité des sociétés

92 – Contribution due par les laboratoires et les grossistes répartiteurs sur les ventes en gros aux officines pharmaceutiques

93 – Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique des produits de santé

94 – Contribution due par les laboratoires sur leurs dépenses de publicité

95 – Prélèvement sur les ressources de différents régimes de prestations familiales

96 – Redevance due par les titulaires de titres d’exploitation de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux

97 – Droits de plaidoirie

98 – Contribution due par les entreprises exploitant des médicaments bénéficiant d’une AMM (autorisation de mise sur le marché)

99 – Contribution due par les entreprises fabriquant ou exploitant des dispositifs médicaux sur leurs dépenses de publicité

100 – Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au développement de la formation professionnelle continue

101 – Participation des employeurs occupant moins de 10 salariés au développement de la formation professionnelle continue

102 – Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au financement du congé individuel de formation des salariés (0,2 % des rémunérations)

103 – Taxe de séjour

104 – Financement des congés individuels de formation des salariés sous contrats à durée déterminée CIF-CDD (1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche)

105 – Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale

106 – Taxe d’apprentissage – versements aux centres de formation d’apprentis et aux établissements publics ou privés d’enseignement technologique et professionnel

107 – Taxe départementale sur les remontées mécaniques

108 – Taxe d’apprentissage – versements au titre de la péréquation

109 – Contribution au développement de l’apprentissage

110 – Taxe d’apprentissage

111 – Contribution pour le financement des contrats et périodes de professionnalisation et du droit individuel à la formation à 0,15 % et 0,5 %

112 – Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers

113 – Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle

114 – Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture

115 – Taxe spécifique pour la Chambre nationale de la batellerie artisanale

116 – Taxe pour frais de chambres des métiers et de l’artisanat

117 – Taxe pour frais de chambres de commerce et d’industrie

118 – Taxe spéciale d’équipement

119 – Participation des employeurs à l’effort de construction (1 % logement)

120 – Cotisation des employeurs (FNAL, Fonds national d’aide au logement)

121 – Taxe annuelle sur les logements vacants

122 – Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province

123 – Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever ou à évacuer des volumes d’eau

124 – Taxe d’aéroport

125 – Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance

126 – Taxes de protection des obtentions végétales

127 – Taxe d’abattage (remplacée par une majoration de la CVO des éleveurs)

128 – Taxe sur les céréales

129 – Taxe au profit de FranceAgriMer (anciennement affectée à l’Ofimer)

130 – Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes

131 – Majoration de 10 % du montant maximum du droit fixe de la taxe pour frais de chambres de métiers

132 – Contribution annuelle des distributeurs d’énergie électrique en basse tension

133 – Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois

134 – Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure

135 – Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table

136 – Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques

137 – Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction.

138 – Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles

139 – Taxe pour le comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers

140 – Droit annuel de francisation et de navigation en Corse ; droit de passeport en Corse

141 – Redevance due par les employeurs de main-d’oeuvre étrangère permanente et saisonnière

142 – Taxe applicable lors du renouvellement des autorisations de travail aux travailleurs étrangers

143 – Droits gradués des greffiers des tribunaux de commerce (inscription des privilèges et sûretés)

144 – Contribution spéciale versée par les employeurs des étrangers sans autorisation de travail

145 – Taxe perçue à l’occasion de la délivrance du premier titre de séjour

146 – Taxes sur les primes d’assurance

147 – Contribution au fonds national de gestion des risques en agriculture

148 – TVA brute sur les produits pharmaceutiques (commerce de gros)

149 – TVA brute sur les tabacs

150 -Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés

151 -Droits de consommation sur les tabacs (cigares)

152 -Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France

153 – Taxe sur les salaires

154 – Taxes sur les nuisances sonores aéroportuaires

155 – Taxes sur les primes d’assurance automobile

156 – Contribution de solidarité sur les billets d’avion

157 – Taxe affectée au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes

158 – Taxe perçue lors de la mise sur le marché de médicaments vétérinaires, ainsi qu’une taxe annuelle pour certaines autorisations ou enregistrements

159 – Taxe pour l’évaluation et le contrôle de la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et à leurs adjuvants mentionnés à l’article L. 253-1 du code rural et de la pêche maritime et aux matières fertilisantes et supports de culture

160 – Taxe applicable aux demandes de validation d’une attestation d’accueil

161 – Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en Île-de-France

162 – Contribution sociale sur les bénéfices

163 – Contribution pour frais de contrôle

164 – Droits de timbre sur les passeports sécurisés

165 – Taxe spéciale sur les huiles végétales, fluides ou concrètes, destinées à l’alimentation humaine

166 – Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques

167 – Taxe sur les spectacles

168 – Taxe sur les spectacles de variétés

169 – Taxe sur l’édition des ouvrages de librairie

170 – Taxe sur les appareils de reproduction ou d’impression

171 – Redevance d’archéologie préventive

172 – Taxe additionnelle aux droits d’enregistrement et à la taxe de publicité foncière perçus au profit des départements

173 – Redevances pour pollution de l’eau, modernisation des réseaux de collecte, pollutions diffuses, prélèvement sur la ressource en eau, stockage d’eau en période d’étiage, obstacle sur les cours d’eau et protection du milieu aquatique

174 – Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés

175 – Droit de francisation et de navigation

176 – Taxe sur les boues d’épuration urbaines ou industrielles

177 – Redevances biocides

178 – Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes

179 – Taxe intérieure sur les consommations de gaz naturel

180 – Taxe intérieure de consommation sur les houilles, lignites et cokes

181 – Octroi de mer

182 – Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion de manifestations ou de compétitions sportives

183 – Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes

184 – Droit de sécurité

185 – Cotisation pêche et milieux aquatiques

186 – Redevances cynégétiques

187 – Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations additionnelles relatives à la garantie contre le risque de catastrophes naturelles

188 – Taxe sur les installations nucléaires de base

189 – Contribution perçue au profit de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)

190 – Taxe sur les résidences secondaires

191 – Taxe spéciale d’équipement pour la région Île-de-France

192 – Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Recherche

193 – Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Accompagnement

194 – Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Diffusion technologique

195 – Produits des jeux exploités par la Française des Jeux

196 – Taxe annuelle d’habitation sur les résidences mobiles terrestres

197 – Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabacs

198 – Contribution sociale sur les bénéfices

199 – TVA brute collectée sur les producteurs de boissons alcoolisées

200 – Taxe sur les appareils automatiques

201 – Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée

202 – Taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché

203 – Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux mis sur le marché français

204 – Droit progressif sur les demandes d’autorisation de mise sur le marché de médicaments

205 – Taxe annuelle due par tout laboratoire public ou privé d’analyses de biologie médicale (CNQ)

206 – Taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale (taxe essais cliniques)

207 – Taxe additionnelle à la taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale

208 – Taxe sur les demandes de visa ou de renouvellement de visa de publicité et sur les dépôts de publicité pharmaceutique

209 – Droit sur les inspections menées en vue de la délivrance du certificat de conformité mentionné à l’article L. 5138-4 du code de la santé publique

210 – Contribution forfaitaire due par les employeurs de main-d’oeuvre permanente

211 – Droits fixes des greffiers des tribunaux de commerce

212 – Contribution de solidarité en faveur des travailleurs privés d’emploi

213 – Taxe de renouvellement (et fourniture de duplicatas) du titre de séjour

214 – Taxe applicable aux documents de circulation pour étrangers mineurs

215 – Taxe due par les employeurs de main-d’oeuvre étrangère permanente

216 – Taxe due par les employeurs de main-d’oeuvre étrangère temporaire

217 – Taxe due par les employeurs de main-d’oeuvre étrangère saisonnière

218 – Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées dans les établissements de spectacles cinématographiques

219 – Taxe sur les services de télévision

220 – Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD)

221 – Taxe et prélèvements spéciaux au titre des films pornographiques ou d’incitation à la violence

222 – Taxe sur les contributions patronales au financement de la prévoyance complémentaire

223 – Contribution des organismes de protection sociale complémentaire à la couverture universelle complémentaire du risque maladie

224 – Contribution solidarité autonomie

225 – Contribution sur les avantages de préretraite d’entreprise

226 – Contribution sur les indemnités de mise à la retraite

227 – Contributions patronales et salariales sur les attributions d’options (stock-options) de souscription ou d’achat des actions et sur les attributions gratuites

228 – Taxe portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé tendre livrées ou mises en œuvre en vue de la consommation humaine

229 – Contribution annuelle au Fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH)

230 – Contribution des employeurs publics au Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP)

231 – Contributions additionnelles de 1,1 % au prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placements

232 – Contribution sur les régimes de retraite conditionnant la constitution de droits à prestations à l’achèvement de la carrière du bénéficiaire dans l’entreprise

233 – Taxe d’équipement

234 – Droits de consommation sur les tabacs (autre tabacs à fumer)

235 – Taxe sur les véhicules de société

236 – Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers de la Moselle

237 – Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers d’Alsace

238 – Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules

239 – Droits de consommation sur les tabacs (cigarettes)

240 – Taxe additionnelle à la taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché (AMM)

241 – Droit progressif sur l’enregistrement des produits homéopathiques

242 – Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux et sur les dispositifs médicaux de diagnostic « in vitro » mis sur le marché français

243 – Enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes

244 – Contribution visée au II de l’article 8 de l’ordonnance no 2003-1213 du 18 décembre 2003

245 – Majoration de la taxe de séjour pour les logements haut de gamme

246 – Taxe de voirie

247 – Taxe sur les ventes et locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (TCA)

248 – Péréquation entre organismes de logement social

249 – Contribution sur les mises jouées sur les paris sportifs en ligne de la Française des jeux et des nouveaux opérateurs agréés

250 – Redevance destinée à financer les missions de service public confiées aux sociétés de courses

251 – Prélèvement affecté au Centre des monuments nationaux

252 – Taxe sur les jeux en ligne

253 – Contribution tarifaire d’acheminement

254 – Droit dû par les entreprises ferroviaires pour l’autorité de régulation des activités ferroviaires

255 – Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP

256 – Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires en Île-de-France

257 – Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires hors Île-de-France

258 – Contribution additionnelle aux prélèvements sociaux mentionnés aux articles L. 245-14 et L. 245-15 du code de la sécurité sociale

259 – Contribution de 0,1 % assise sur les rémunérations retenues pour l’assiette de la taxe d’apprentissage

260 – Redevance sanitaire d’abattage

261 – Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes

262 – Redevances (pollution et prélèvements) au profit des agences de l’eau

263 – Prélèvements sur les jeux d’argent inscrits aux art. L. 137-19 à L. 37-22 du code de la sécurité sociale

264 – Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province

265 – Redevance sanitaire de mise sur le marché de produits de pêche et de l’aquaculture implantées en Île-de-France

266 – Redevance sanitaire de transformation de produits de pêche et de l’aquaculture

267 – Prélèvement sur les jeux et paris (art. 302 bis ZG du CGI)

268 – Prélèvement sur les jeux et paris (art. 302 bis ZH du CGI)

269 – Prélèvement sur les contrats d’assurance-vie en déshérence

270 – Prélèvement sur les appels téléphoniques surtaxés pour les jeux télévisés et radiodiffusés

271 – Redevance sanitaire de découpage

272 – Prélèvement de solidarité sur l’eau

273 – Prélèvement complémentaire 2011-2015 sur le prélèvement sur les sommes misées sur les jeux exploités par la Française des jeux, à l’exception des paris sportifs, en vue du financement des enceintes sportives destinées à accueillir l’UEFA Euro 2016

274 – Part du produit de la vente des biens confisqués lorsque l’agence est intervenue pour leur gestion ou leur vente

275 – Prélèvement sur les contrats participation et intéressement en déshérence

276 – Droit de timbre annuel conditionnant l’accès à l’aide médicale de l’État

277 – Droit affecté au fonds d’indemnisation de la profession d’avoués près les cours d’appel

278 – Cotisation des chambres d’agriculture aux organisations représentatives de communes forestières

279 – Cotisation des chambres d’agriculture au Centre national de la propriété forestière

280 – Cotisation au profit des caisses d’assurances d’accidents agricoles d’Alsace- Moselle

281 – Contributions pour frais de contrôle

282 – Contributions financières des agences de l’eau à l’ONEMA

283 – Contribution, assise sur les primes ou cotisations des contrats d’assurance, au profit du fonds de garantie des victimes d’actes terroristes et autres infractions

284 – Contribution sur les contrats d’assurance en matière de circulation de véhicules terrestres à moteur

285 – Contribution supplémentaire à l’apprentissage

286 – Contribution salariale sur les carried-interests

287 – Contribution pour le financement des CP, PP et du DIF à 0,15 % et 0,5 %

288 – Contribution pour l’aide juridique

289 – Contribution perçue sur les boissons et préparations liquides pour boissons destinées à la consommation humaine

290 – Contribution forfaitaire représentative des frais de réacheminement

291 – Contribution forfaitaire des organismes assureurs et contribution forfaitaire des organismes participant à la gestion du régime prévu par la loi no 2001-1128 du 30 novembre 2001

292 – Contribution des employeurs à l’Association pour la gestion du régime d’assurance des créances des salariés (AGS)

293 – Contribution des chambres départementales au financement des chambres régionales d’agriculture

294 – Contribution annuelle au profit de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire

295 – Contribution annuelle acquittée par les personnes inscrites comme commissaires aux comptes et droit fixe sur chaque rapport de certification des comptes

296 – Redevance sur l’emploi de la reprographie

297 – Taxe sur le chiffre d’affaires des exploitations agricoles

298 – Taxe affectée à l’Office national interprofessionnel des céréales (ONIC)

299 – Taxe additionnelle à la redevance sanitaire d’abattage

300 – Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans le bâtiment et les travaux publics

301 – Contributions additionnelle et complémentaire aux primes ou cotisations d’assurance couvrant à titre exclusif ou principal : – les dommages aux bâtiments et au cheptel mort affectés aux exploitations agricoles ; – les risques responsabilité civiles.

302 – Taxe forfaitaire sur les actes des huissiers de justice

303 – Taxe sur les services d’informations ou interactifs à caractère pornographique

304 – Contribution sur les activités privées de sécurité

305 – Taxe sur les logements vacants au profit de l’ANAH

306 – Contribution exceptionnelle assise sur le chiffre d’affaires des entreprises de ventes en gros de spécialités pharmaceutiques

307 – Droits de consommation sur les tabacs à rouler

308 – Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations additionnelles relatives à la garantie contre le risque de catastrophes naturelles

309 – Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever ou à évacuer des volumes d’eau

310 – Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique du médicament

311 – Contribution sociale de solidarité des sociétés

312 – TVA brute collectée par les sociétés d’ambulance

313 – TVA brute collectée par les médecins généralistes

314 – TVA brute sur les tabacs à mâcher

315 – TVA brute collectée par les fabricants d’équipements d’irradiation médicale, d’équipements électromédicaux et électrothérapeutiques

316 – TVA brute collectée par les fabricants de lunettes

317 – TVA brute collectée par les établissements et services hospitaliers

318 – TVA brute collectée par les établissements et services d’hébergement médicalisé pour personnes âgées

319 – Taxe sur les titres de voyage biométriques délivrés aux réfugiés et aux apatrides titulaires d’une carte de résident

320 – Taxe sur les éditeurs et distributeurs de services de télévision (TST) – Fraction Éditeurs

321 – Taxe sur les éditeurs et distributeurs de services de télévision (TST) – Fraction Distributeurs

322 – Taxe sur les éditeurs et distributeurs de services de télévision (TST)

323 – Taxe sur les conventions d’assurances sur les contrats assurance-maladie

324 – Taxe sur la cession à titre onéreux des terrains nus ou des droits relatifs à des terrains nus rendus constructibles du fait de leur classement

325 – Taxe pour prélèvement sur la ressource en eau

326 – Taxe perçue à l’occasion de la délivrance, du renouvellement, du duplicata ou du changement d’une carte de séjour ou équivalent prévu par les traités ou accords internationaux

327 – Taxe exceptionnelle sur les bonus 2009 versés par les banques en 2010

328 – Taxe exceptionnelle sur la réserve de capitalisation (exit-tax)

329 – Taxe due par les concessionnaires de mines d’or, les amodiataires des concessions de mines d’or et les titulaires de permis et d’autorisations d’exploitation de mines d’or exploitées en Guyane (taxe additionnelle aurifère)

330 – Taxe d’apprentissage – Partie « hors quota » ou « part soumise au barème » – versements aux établissements de formation

331 – Taxe d’apprentissage – Part du quota réservée au financement des CFA

332 – Taxe d’apprentissage – Part du quota mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 6241-2 du code du travail

333 – Taxe additionnelle à l’imposition forfaitaire des entreprises de réseaux des stations radio

334 – Prélèvement sur les jeux et paris (art. 302 bis ZI du CGI)

335 – Taxe additionnelle à la taxe professionnelle pour frais de chambres de commerce et d’industrie de région

336 – Taxe additionnelle à la cotisation foncière des entreprises pour frais de chambres de commerce et d’industrie de région

337 – Taxe additionnelle à la cotisation foncière des entreprises pour frais de chambre régionale de métiers et d’artisanat

338 – Redevances UMTS 2G et 3G

339 – Redevances pour pollution de l’eau, redevance pour modernisation des réseaux de collecte, redevance pour pollutions diffuses, taxe pour prélèvement sur la ressource en eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage, taxe pour obstacle sur les cours d’eau

340 – Redevance pour pollutions diffuses

341 – Participation des entreprises de plus de 20 salariés au développement de la formation professionnelle continue [1,6 % des rémunérations] (contrats et périodes de professionnalisation – DIF ; congés de formation ; plan de formation, hors CIF-CDD)

342 – Participation au financement de la formation des professions non salariées (pêche et culture) correspondant au minimum à 0,15 % du montant annuel du plafond de la SS

343 – Participation au financement de la formation des professions non salariées (entreprises du vivant, agriculture) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la SS

344 – Contribution au service public de l’électricité

345 – Droits de consommation sur les tabacs à priser

346 – Taxe additionnelle à la taxe sur les certificats d’immatriculation des véhicules instituée par l’article 101 bis du code général des impôts

347 – Fraction du quota de la taxe d’apprentissage

348 – Versement de l’établissement public prévu à l’article 46 de la loi de finances pour 1997 (établissement de gestion de la contribution exceptionnelle de France Télécom)

349 – Contribution de solidarité territoriale

350 – Fraction de la taxe d’aménagement du territoire

351 – Taxe sur le résultat des entreprises ferroviaires

352 – Contribution à l’audiovisuel public

353 – Fraction de TVA au 3° de l’article 241-2

354 – Fraction de TVA

355 – Fraction du produit des amendes forfaitaires

356 – Contribution des établissements de santé et médico-sociaux

357 – Taxe des industriels

358 – Fraction de 44 % de la taxe sur les dispositifs médicaux

359 – Contribution au fonds de garantie des dépôts

360 – CVO agricole

 

Cher lecteurs je suis confus, mais en y réfléchissant cette liste vaut bine un article……Et se passe d’elle même de tout développement.

 

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Pourquoi payer l’eau? ils ne peuvent pas couper!

 

Remplissez la piscine et la salle d’eau. Buvez sans soif. Arrosez le jardin ! C’est gratuit!

Poussez le vice jusqu’à revendre l’eau à vos voisins ou en offrant un service payant de lavage de voiture à tout le quartier. Sans payer vous êtes un irresponsable donc un intouchable.

Mieux vaut rester au bord de la piscine à siroter un verre, les glaçons sont offert par les honnêtes citoyens qui payent leurs factures.

Les faits :

Le Conseil constitutionnel a validé ce vendredi l’interdiction totale pour les résidences principales, y compris lors du non-paiement des factures de couper l’eau du débiteur qui n’a pas payé sa facture….

Le Conseil constitutionnel a validé ce vendredi l’interdiction totale pour les résidences principales, y compris lors du non-paiement des factures de couper l’eau du débiteur qui n’a pas payé sa facture….

Ce nouveau droit à utiliser l’eau sans la contrainte de payer constitue un appel et une confirmation des droits supérieurs des irresponsables sur les responsables.

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Pourquoi payer sa facture d’eau ?

Difficile d’argumenter pour des parents les vertus du travail. Quand chaque jour l’exemple montre qu’il est plus facile de profiter d’un système sans barrières et sans contreparties que de se tuer au travail.

Peut être faites vous partie des gens honnêtes qui vont être majorés pour votre écart de la fin de mois dernier ou vous avez eu du mal à payer, période ou votre compte bancaire était en débit et en difficultés conjoncturelles ?

Peut être faites vous partie des gens honnêtes que l’on taxe à tour de bras et travaillez à vous usez la santé ?

Peut être vous évertuez vous à économiser l’eau, réparer à gros frais les fuites ou consommer votre eau avec parcimonie économique ?

En partant le matin au travail saluez votre voisin qui ne paye pas son eau et entre dans sa piscine. Il joue ses revenus au casino, se met dans la misère par irresponsabilité, et vous fait un signe avec son verre remplis de glaçons gratuits. Il vous remercie de votre solidarité de lui payer l’eau de sa piscine. Il la rempli tous les jours car quand c’est gratuit on ne compte pas, Et qu’importe la fuite du tuyau, il n’ouvre même pas la facture d’eau.

Maintenant le service des eaux est un bien qui ne nécessite plus de contrepartie ( même faible).

Vous travaillez vous sans recevoir de revenu ? Vous fournissez le service sans être payé ?

Imaginez qu’a partir de maintenant votre employeur vous explique qu’il n’a plus de sous et qu’il ne paiera pas, mais que vous êtes quand même contraint par la loi à travailler.

Le bon sens vous indique que s’il ne vous paye plus, il n’a plus rien à vous demander, c’est un motif de rupture de contrat. C’est logique.

On l’oublie trop souvent, mais une entreprise est une « personne morale », et à ce titre a des devoirs mais aussi des obligations. On oublie aussi que ce qui lie la société publique ou privée qui fourni l’eau est la signature et l’engagement du demandeur à payer le service de l’eau.

En quoi le fournisseur d’un service doit subir les déconvenues d’un client ?

Au nom de quoi il faut la condamner alors qu’elle n’est pas responsable de l’impayé ?

Un débiteur qui ne paye pas son eau est il obligatoirement en situation de précarité avancée ? En quoi le fournisseur de service est responsable si le créancier joue au casino sa paye, et soit contraint d’éponger les pertes par les factures impayées.

Les statuts et la définition d’une entreprise n’est pas la définition d’une association caritative ni d’une assistante sociale ni d’aide aux urgences sociales.

Son objet est totalement différent de fournir de l’eau la plus propre possible, dans de bonnes conditions avec un débit constant et sans coupures.

Gala cheveux 007La facture d’eau.

Ce n’est pas la société de service qui fixe le prix de l’eau mais la commune, par délibération du conseil municipal. Que le service soit public ou délégué à une entreprise privée.
On ne paie pas jamais du « prix de l’eau », mais le « coût du service de l’eau », car en définitive c’est cela que paie l’abonné.

Ce service est double : il consiste d’une part à distribuer l’eau potable après l’avoir collectée et traitée, et d’autre part à traiter les eaux usées. Le coût de ces deux fonctions, la distribution et l’assainissement compose le prix de l’eau. S’y ajoutent les taxes et redevances.

Qui ne paye pas ses factures ?

Avec cet arrêté, c’est l’interprétation sous-jacente de la personne en pauvreté qui est retenue.

Mais elle est loin d’être réaliste. Au nom de quelle équité le pauvre serait mauvais payeur plus que le riche ?

Un débiteur est une personne qui a reçu une facture et ne la paye pas.

En fait le vrai « pauvre », n’est pas forcement le plus grand débiteur. Tout simplement parce qu’il n’achète pas ce qu’il ne sait pas pouvoir payer. Voire devance le problème en exposant son problème a des associations caritatives ou un assistant social, tous spécialisés dans l’aide des plus démunis.

En fait l’impayé n’est pas uni-causal mais multiple.

L’impayé peut avoir une ou de multiples causes :

L’imprévoyant.

L’inorganisé.

L’opportuniste profiteur du système.

Le vol volontaire

magical_tapPlutôt que d’essayer de relever les plus en difficulté, on a plus le sentiment que la seule solution que les socialistes ont trouvé, c’est adapter la société à la précarité. C’est se donner bonne conscience en jouant avec l’argent des autres. En fait loin d’être sociale cette mesure est une rupture d’équité.

La solidarité et les bons sentiments doivent trouver une limite. La morale des bons sentiments sont à y regarder de plus près, en fait l’inverse du social recherché qui donne l’excuse coercitive d’appropriation sans payer, très immorale….

Absoudre les impayés, revient à considérer tous les pauvres comme des gens malhonnêtes qui sont les principaux responsables de créer les impayés.

Absoudre les impayés, revient à considérer le vol ou l’irresponsabilité comme un droit.

 

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Le Panthéon pour ceux qui se torchent le cul avec le drapeau.

François Holande a « oublié » de lire le joli poême du « résistant » qui vient d’être honoré des fastes de la république au panthéon. Pourtant un politicien « poète », il est surpenant de ne pas mettre en avant devant son corp son poème et son meilleur succès.

Peut être n’avez vous jamais lu ce poème « Le Drapeau » de Jean Zay le « panthéoné » ?

 

Il est donc normal pour une information libre et transparente que vous en soyez informé.

Plus que la posture polémique, le mieux est de lire les écrits de cette « Panthéonade » pour vous faire vote libre arbitre si ce type devait être enterré au Panthéon.

« Le drapeau de Jean Zay »

Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.
Quinze cent mille dans mon pays, Quinze millions dans tous les pays.
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille hommes 
morts pour cette saloperie tricolore…
Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maîtresse,
Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cœur…
Qu’est ce que c’est que 
cette loque pour laquelle ils sont morts ?
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille 
morts pour cette saloperie.
Quinze cent mille éventrés, déchiquetés,
Anéantis dans le fumier d’un champ de bataille,
Quinze cent mille qui n’entendront plus jamais,
Que leurs amours ne reverront plus jamais.
Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières
Sans planches et sans prières…
Est-ce que vous ne voyez pas comme ils étaient beaux, résolus, heureux
De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ?
Ils ne sont plus que des pourritures…

Pour cette immonde petite guenille !
Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement,
Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes
Pour le sang frais, le sang humain aux odeurs âpres qui gicle sous tes plis
Je te hais au nom des squelettes… Ils étaient Quinze cent mille
Je te hais pour tous ceux qui te saluent,

Je te hais à cause des peigne-culs, des couillons, des putains,
Qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre,
Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial,
Le défi aux hommes que nous ne savons pas être.
Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel,
Le blanc livide de tes remords.

Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grand coup
Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts.
Et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer doré et tes victoires,
Que 
tu es pour moi de la race vile des torche-culs.

 

Et c’est ce type aux propos outrageants et publics sur le drapeau Français qu’on met au panthéon. Un personnage qui insulte les gens parce qui le drapeau Français. 

 

Ou est tu gôôôôche morale qui poursuit ceux qui « utilisent les mauvais mots ». 

 

C’est combien la condamnation pour « outrage au drapeau »Â ?

 

Jean Zay, le gauchiste pour qui le drapeau français était une « saloperie tricolore » avec laquelle il se torchait vient de recevoir à titre posthume la consécration. 

Hollande après saluer Castro, les dictateurs des pétros-nation Arabes, nous envoie au panthéon un type qui crachait dans la soupe de la France qui le nourrissait…..

Les années Hollande, resterons dans l’histoire les années de l’indécence.

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Libéraux Réveillez vous!

Par Pascal Comas.

Statue de la liberté (Crédits : benonrtherun, licence Creative Commons)

Les événements qui se succèdent en France ces derniers temps sont un véritable cauchemar pour tous ceux qui se sont construits sur le socle des Lumières et des Droits de l’Homme. S’exprimant sur le triste projet de loi relatif au renseignement, le bâtonnier de Paris Pierre-Olivier Surécrit dans Le Monde  « Il est temps que les Français comprennent la nature réelle de ce projet de loi et qu’ils fassent confiance à tous les défenseurs des libertés publiques qui se sont insurgés contre ces mesures, toutes tendances politiques confondues. Parmi eux citons notamment l’Union syndicale des magistrats et le Syndicat de la magistrature, la CGT-Police, Marc Trévidic – ancien juge anti-terroriste, Jacques Toubon – défenseur des Droits, Jean-Marie Delarue – président de la Commission nationale des interceptions de sécurité (CNIS), Isabelle Falque-Pierrotin – présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), le Conseil national du numérique (CNNum). Mais aussi la Ligue des droits de l’Homme (LDH), Human Rights Watch, Amnesty France et le Syndicat national des journalistes (SNJ), sans oublier le New York Times qui a appelé les parlementaires français à ne pas voter cette loi. »

En ce qui concerne les libéraux, le PLD a bien sûr pris position fermement contre cette loi. Au-delà de la réaction à cet événement particulier, les libéraux sont en général très actifs de multiples manières, en particulier sur les terrains de la réflexion, de l’analyse et de la vulgarisation des principes libéraux. Certaines initiatives remarquables comme celle du Collectif Antigone s’attachent à diffuser ces principes aussi bien dans la rue (affiches) que sur les réseaux sociaux.

Pourtant rien ne semble parvenir à mobiliser une quantité critique de citoyens en faveur de la défense de nos droits fondamentaux aujourd’hui bafoués dans le plus grand mépris par les autorités. Au suicide économique dont est victime la France depuis des décennies, il faut à présent ajouter une véritable descente aux enfers en matière de libertés.

Lafayette

Il est extrêmement difficile pour les Français lucides d’envisager que rien de positif ne peut se produire et de se résigner à contempler la déchéance totale de leur pays. Ils espèrent que leurs compatriotes vont se réveiller, ou peut-être qu’un homme providentiel les sortira de ce cauchemar.

Nous pensons que le plus probable est que la France ne déviera pas de sa trajectoire fatale et ira jusqu’au bout de son destin absurde. Sur le plan économique les réformes nécessaires, si elles adviennent, se feront à marche forcée par des réalités bien plus cruelles que celles qui s’imposent actuellement, et dans des conditions  bien plus douloureuses que si la nation avait fait ces choix difficiles ces dernières décennies.

Mais parler de réformes est encore trop optimiste. Nous pensons qu’il n’y aura pas de réformes, en tout cas pas de sérieuses et suffisantes. Quant à la vision de Houellebecq sur la conversion de la jeunesse française au libéralisme aux environs de 2020 (Soumission p.153 – Flammarion) elle nous parait beaucoup moins réaliste que celle d’un Président musulman en 2022, même si nous sommes convaincus que la majorité de ceux que l’on appelle les jeunes défavorisés se satisferaient bien mieux d’un environnement libéral que du paysage actuel décourageant tout réel projet d’entreprise.

Notre avis est donc que lorsque notre système étouffant et liberticide implosera, deux scénarios se dessineront :

  • le scénario pessimiste sera une mutation vers une forme de dictature totale (à la  différence de la dictature technocratique partielle actuelle).
  • le scénario optimiste sera une remise à zéro sur les débris de la faillite, du chaos et peut-être de la guerre, civile et/ou extérieure. Les principes libéraux pourront alors reprendre leur place naturelle et incontournable, mais dans un contexte initial de Far West, qui contrairement à ce que pensent les ignorants n’a rien à voir avec le libéralisme, basé sur le droit.

Les premières raisons qui nous conduisent froidement à considérer l’inéluctabilité de l’un de ces deux scénarios sont connues. Contentons-nous de les rappeler brièvement.

Tout d’abord, le fil conducteur de la politique de François Hollande est limpide de simplicité : protection absolue de ses bases électorales les plus solides et souci de ne toucher à rien sinon à la marge. Les deux catégories de population bénéficiant de cette protection sont les fonctionnaires et les masses d’assistés que compte l’hexagone.

En ce qui concerne les fonctionnaires, pas question de toucher à leur nombre et à leur statut ! Dans un pays au bord de la faillite et croulant sous les dettes, il n’est pas envisageable de modifier le ratio de 90 agents publics pour 1 000 habitants (contre 50 pour 1 000 en Allemagne, pays notoirement sous-administré).

Concernant l’assistanat, relevons seulement que dans un pays crevant de son égalitarisme et de ses dépenses sociales, il est encore question de prendre toujours plus aux “riches” et de distribuer toujours plus aux bénéficiaires de prestations sociales ou d’exonérations fiscales, cette obsession étant remarquablement résumée dans la déclaration surréaliste du Président proposant en octobre 2014 que la prochaine réduction d’impôts concernera « celles et ceux qui ne sont pas imposables » sur le revenu (?!)

Ajoutons à l’ardoise le renforcement de la protection des intermittents du spectacle, le milieu artistique étant comme on le sait peuplé de bisounours et faisant office de courroie de transmission indispensable de la propagande socialiste auprès de la jeunesse. Et bien sûr, aucun serrage de vis envisagé sur les 1,2 milliard de subventions déversées chaque année arrosant généreusement de multiples associations militant à gauche ou servant à améliorer les conditions de vie extrêmement pénibles des fonctionnaires, comme l’Association pour le logement des personnels de l’administration financière, ou “Éducation et plein air finances”, autre association destinée cette fois aux vacances des personnels de l’administration fiscale.

La France se trouve dans la situation tragique où la masse des populations profitant du système actuel, ou pensant qu’elles ont trop à perdre d’un changement, représente une quasi majorité, ou peut-être même une majorité n’étant menacée que par les mécontents du moment. Voilà pourquoi Hollande a le déshonneur d’envisager un deuxième quinquennat malgré son bilan catastrophique  : il pense que s’il arrive à tenir bon sur le maintien des dépenses ou les politiques en faveur des bénéficiaires de la manne étatique, il aura le soutien de la quantité critique de votants dont il a besoin. En cas de désistement, il suffira d’en enfumer quelques autres avec des promesses adaptées aux sujets brûlants de 2017.

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Voilà pourquoi, loin d’envisager la moindre réduction du périmètre de l’État, le gouvernement actuel accentue la répression fiscale tous azimuts, et lance les soldats de Bercy sur tous les fronts : comptes à l’étranger, traque des vendeurs de biens sur internet , restrictions sur le cash… sans oublier la cession bien commode des parts de l’État dans les entreprises avec un objectif de recettes de 16 milliards d’euros, histoire là aussi de pouvoir gagner du temps tout en prétendant qu’on désendette le pays.

Peu importe que les faits soient éloquents : comme l’expose Louis Rouanet dans un article pour le Mises Institute, depuis 2009 la France et l’Angleterre ont mené des politiques économiques complètement opposées. La France a augmenté les taxes et n’a pas touché aux dépenses de l’État et le Royaume-Uni a fait le contraire. Entre 2010 et 2013 le Royaume-Uni a réduit son déficit structurel davantage que n’importe quelle autre économie avancée (4,7% du PIB). L’économie française a stagné alors que la sienne a vécu une forte reprise. Les dépenses publiques en France sont aujourd’hui plus élevées de 11 points de PIB. De décembre 2009 à décembre 2014, en Grande-Bretagne, le nombre d’employés du secteur public est passé de 6.370.000 a 5.397.000 alors que l’emploi global a progressé de 1.700.000. En France, le nombre d’employés de l’État n’a pas cessé d’augmenter et le taux de chômage bat des records.

liberaux rené le honzecPourtant, ceux qui sont au fait des réalités économiques ne donnaient pas cher des chances de Hollande face à la situation économique de la France et de l’Europe. Le pays est en sursis depuis bien trop longtemps et la moindre remontée des taux d’intérêts signe sa faillite. Mais c’était sans compter sur la détermination des élites financières internationales qui ont décidé de retarder à tout prix l’inéluctable à force de Quantitative Easing et de taux d’intérêts aujourd’hui négatifs. Le cycle long des plans de la kleptocratie mondiale, et le cycle moyen des objectifs des forces dominantes dans l’hexagone sont en phase. Et chaque mois, chaque année de gagnée face à l’inéluctable rendront la réinitialisation plus douloureuse pour les populations, exactement comme avec une gangrène.

Il est urgent d’agir mais les faits, aussi convaincants soient-ils, ne valent rien contre l’alliance de l’idéologie, du cynisme le plus abject et du relativisme permanent, et ce sont bien là les raisons de notre pessimisme. En France, pays de débats s’il en est, le débat est devenu inutile. En France, pays de penseurs s’il en est, la pensée intelligente et argumentée n’a plus de valeur.

Les libéraux déploient des efforts admirables pour décrypter les événements actuels à la lumière de brillantes analyses, notamment celles inspirées de l’école autrichienne qui offre sans doute la meilleure grille de lecture sur les faits économiques depuis la fin du XIXe siècle. Ce travail est éminemment nécessaire et utile, mais suffira-t-il à convaincre une masse critique de la population ?  Il nous parait évident que non, pour les raisons suivantes :

La foi

Les socialistes, communistes, étatistes, structuralistes, marxistes, sociaux-démocrates, centristes, bref, tous ceux qui vouent un culte à l’État ne peuvent être convaincus par le moindre argument, aussi imparable soit-il, qui ne soit pas en faveur du «modèle social» français… Leur conviction est du domaine de la croyance, non de la rationalité. Le socialisme est un acte de foi. Ces fidèles sont convaincus de défendre le «bon» modèle, et partant de là tout argument en défaveur de ce dernier est jugé comme mauvais, indéfendable et écarté d’office. Ceux qui ont l’illusion de croire qu’ils peuvent ébranler un tant soit peu les convictions de ces apôtres avec des analyses, des études, des textes argumentant à partir de données concrètes et vérifiables se bercent d’illusions. D’abord parce que 90% de leurs interlocuteurs ne prendront même pas la peine de consulter les documents proposés, rejetés d’office comme une vulgaire propagande. Leur conviction est telle qu’ils jugent parfaitement irrecevable toute contradiction (en général ce sont les mêmes qui vont traiter leurs adversaires d’intolérants). D’autres ignoreront les mêmes textes parce qu’ils ont peur d’y trouver des arguments qui pourraient ébranler les certitudes dans lesquelles ils sont lovés, bien au chaud, depuis tellement longtemps.

Imaginez comme il doit être angoissant pour le bobo parisien d’imaginer qu’un jour la routine de son Libé-café pourrait ne plus bercer sa douce existence de soldat du bien…

L’envie

Sans aucun doute le plus vilain défaut des français, l’envie, est l’atout majeur de la gauche. Quel délice que donner par son vote à l’État, qui a le monopole de la violence, le pouvoir de se servir dans l’épargne ou les revenus de ces salauds de riches, le tout en jouissant de la béatitude de faire partie du camp des généreux. Si en plus on fait partie de ceux qui bénéficient des mannes de la redistribution, c’est une opération triplement gagnante !

Le relativisme

Pour ceux qui n’ont pas assez de foi ou de jalousie, les intellectuels de gauche ont forgé un bouclier redoutable contre toutes les attaques de la raison : le relativisme ! Car la plus grande victoire de la gauche est bien d’avoir formaté l’écrasante majorité des cerveaux à évoquer le relativisme chaque fois que des faits ou des arguments puissants viennent menacer leurs confortables convictions structuralistes. À quoi sert la raison, à quoi servent les faits lorsque tout est affaire de point de vue, de culture, de valeurs ? Peu importent la rigueur, la pertinence des arguments présentés, ils ne représentent qu’un «point de vue» qui n’a pas vocation à l’emporter sur un autre dans ce monde de bisounours tous rouges où l’égalité doit s’imposer comme la valeur de toutes les pensées, de toutes les interprétations, de toutes les cultures et de chaque individu.

Dans un monde où il n’y a plus que des droits, les notions de valeur ou de devoir perdent toute importance. Puisque les hommes naissent égaux en droit, et qu’il s’agit là du seul terrain où l’on puisse revendiquer une égalité totale sans peur d’être confronté, la gauche a créé un monde dans lequel n’existent plus que des droits.

Le cynisme

Aussi candides soient-ils, les hommes en place ne sont pas tous des innocents, le sourire béat en étendard et un neurone par proposition réaliste. Certains se rendent bien compte qu’ils patouillent, qu’ils font dans le n’importe quoi. Ils savent bien que des gens plus informés ou plus compétents qu’eux sont éberlués par leurs bêtises. Normalement, toute cette bande de guignols devrait être en dépression avérée, en incapacité de travail, en démission. Ils devraient être comme l’imposteur s’étant fait passer pour un capitaine de paquebot alors qu’il n’a jamais manœuvré, mal, qu’un petit zodiac, et qui réalise après le départ qu’il emmène tous les passagers à la catastrophe. Mais non, même si certains ont sans doute les nerfs à fleur de peau, ils tiennent bon, droits dans leurs bottes, parce qu’ils ont pour eux la morale. La morale, cette valeur bourgeoise qu’ils vomissent lorsqu’elle ne leur convient pas, dont ils récusent les valeurs par relativisme, mais qui leur convient si bien lorsqu’elle est au service de l’égalitarisme, lui-même au service de la chasse aux votes des frustrés et des envieux.

Pourtant si tout est relatif, si tout est affaire de culture et de point de vue, en quoi la recherche de l’égalité devrait-elle avoir une quelconque supériorité morale ? Quelle légitimité y-a t-il à l’imposer à coups de lois liberticides et spoliatrices ?

Le panurgisme

Il faut aussi compter sur une force centripète considérable, celle du groupe, du troupeau… Un homme de gauche qui remet en cause la doxa socialiste met en danger certain son intégration dans le groupe. Il se retrouve seul face au collectif, le cauchemar socialiste ! Le regard de l’autre, pour ceux qui se préoccupent tant d’être politiquement corrects, est un véritable carcan. “Que vont penser mes amis musulmans si je deviens critique vis à vis de l’islam ? Non, il vaut mieux continuer à insulter le catholique, ça rapporte des points alors que si je touche à l’islam je vais en perdre un paquet !”

Le marketing

Ajoutons enfin que le marketing égalitaire est bien plus puissant que celui de la liberté, relayé qu’il est par les artistes, les médias et le pape lui-même. Sans oublier le Dalaï Lama, Empereur des Gentils de la Planète Terre, qui vient d’avouer qu’il était marxiste !

Qu’importent donc l’histoire et les faits. Apporter des arguments démontrant les erreurs du socialisme est aussi vain qu’il le serait pour un scientifique d’apporter des arguments visant à nier l’existence de Dieu auprès de croyants. Dénoncer les atteintes intolérables aux libertés revient à crier dans le désert lorsque la majorité de la population n’a jamais entendu parler de Orwell ou de Huxley et se contrefout que l’enseignement des Lumières devienne facultatif au collège.

Dans le système démocratique, où le pouvoir appartient aux masses, on a travaillé efficacement à rendre celles-ci ignorantes ou indifférentes. Ignorantes, elles le sont par l’absence d’information des médias, par leur paresse intellectuelle, par leur inculture ou par un travail abrutissant ne leur laissant aucun moment disponible pour s’atteler à autre chose qu’au quotidien ou à leur survie.

Ces masses indifférentes sont pour beaucoup disposées à accepter toutes les atteintes à la vie privée, toutes les privations de liberté, tous les abus de pouvoir tant que sont maintenus leurs privilèges (fonctionnaires), leurs aides sociales (assistés, chômeurs, parasites…) ou que leur cause gagne du terrain (islamisme, égalitarisme, socialisme, communisme, fascisme…)

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Voilà pourquoi, particulièrement en France, la fabrique incessante de pauvres, d’assistés et de fonctionnaires, et l’impossibilité de ramener à la raison les croyants structuralistes nous conduisent à être persuadés que n’ont aucun avenir les défenseurs de la liberté, les entrepreneurs indépendants, les détenteurs d’une épargne. Voilà pourquoi, comme le répète H16, ce pays est foutu !

Vraiment foutu ?

Oui.

À moins que…

À moins que les libéraux, et avec eux tous ceux qui se préoccupent de leurs libertés, de l’avenir de leurs enfants, de leur propre avenir et de l’image du pays qui les a vu naître prennent enfin possession de la rue, seul moyen en France de faire entendre sa voix et faire passer un message … Car s’il est bien une chose que l’Histoire de France a prouvé, c’est qu’elle se décide dans la rue à chaque moment crucial.

Nous ne nourrissons pas l’illusion qu’il sera possible de mobiliser des centaines de milliers de citoyens en un tour de main. Mais nous pouvons penser raisonnablement que souhaitent faire entendre leurs voix un nombre raisonnable de libéraux, de contribuables associés, d’entrepreneurs (pigeons ou pas), de défenseurs des libertés ; mais aussi des français qui, sans appartenir à aucune de ces catégories veulent manifester contre les politiques liberticides, fiscalement répressives, et socialement partisanes du pouvoir en place ?

Nous pensons quant à nous que cela est possible, et c’est bien le seul plan sur lequel nous sommes optimistes.

Il est temps d’agir !

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Nouveau préfet du département « hors cadre ».

Le 29 avril un nouveau préfet vient d’être nommé. C’est Christian Gravel. Sa nomination lui donne la gestion de la région « hors cadre ».

Mais qui est Christian Gravel ? C’est une carrière de 10 ans comme secrétaire de la mairie d’Evry (Essonne). Une mairie ou a été élu un socialiste il y a quelques années, un « parachuté » (Mannuel Valls), dans une ville qui vote toujours à gauche ou même une chèvre du moment qu’elle aurait une étiquette rose ou rouge serait élue.

Le maire d’Evry est devenu ministre, et Christian Gravel est resté son « secrétaire » et l’a suivit comme porte parole de Mannuel Valls. C’est ce même ministre, Mannuel Valls qui vient de le nommer préfet « hors cadre ». 

Vous ne connaissez pas ce département « hors cadre » ? Vous savez ? C’est ce joli département ou l’on trouve la ville bien connue de « travail-fictif » situé à quelques kilomètres de la rivière « clientélisme » dominée par le mont « conflit d’intérêt » qui domine cette belle région.

Le chef lieu, la ville de « Aux frais du contribuable » est bien connue. La préfecture située dans le quartier de la « Gamelle est bonne pour les copains » a fait l’objet de plusieurs objections de la cours des comptes, comme préfecture inexistante, poste fictif, clientélisme, passe droits dans un rapport de 2014, qui justement a été remis à Manuel Valls.

https://www.ccomptes.fr/Publications/Publications/La-gestion-des-prefets

Depuis des années, de nombreux rapports de la cour des comptes dénoncent les dérives pour le contribuable de ces préfets fantômes. Une simple recherche sur Google vous rappelle de nombreux articles sur tous ces préfets sans préfectures. Dans les médias de droite ou de gauche. Même des émissions de TV à heures de grandes écoutes ce scandale a été signalé. Mitterand, Chirac, Sarkozy on usé jusqu’à la corde la ficelle de cette supercherie de nominations en conflit d’intérêts.

La cour des comptes stipule même que le préfet doit être de neutralité politique absolue. La cours des comptes stipule même dans son rapport confié à Manuel Valls en juillet 2014 le fait que les préfets s’inscrivent forcément dans une neutralité hautement républicaine, même s’ils attestent d’un fort lien de loyauté avec le pouvoir central. Donc ne doivent être nommés s’ils sont colorés politiquement.

La Cour, dans ses observations émises indiquait que sur l’année qui lui sert de référence de calcul, en 2013, sur un effectif de 250 préfets gérés par le ministère, seuls 127 étaient affectés à un poste territorial, soit la moitié, alors que 37 étaient détachés, 12 en disponibilité, 1 en dehors des cadres, et 75 dans la situation dite « hors cadre ».

La conclusion de la cour des comptes est sans appel « la suppression pure et simple de la voie d’accès au corps des préfets par nomination en mission de service public, serait source de clarification et soulignerait davantage l’identité professionnelle du corps fondée sur les fonctions de représentant de l’État dans un territoire ».

Manuel Vall vient de nommer son ami, certes comme l’on fait ces prédécesseurs de gauche et de droite, mais n’est-il pas temps de demander des comptes publiquement ? Que la gabegie s’arrete un jour ?

Ça ne fait que quelques lignes dans les journaux ou comme aujourd’hui dans cet article et puis c’est finit on en parle plus…..Sauf que comme à l’habitude ça coûte et cher et pour longtemps.

Cela fait des années que des nominations pratiquées par François Mitterrand, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et maintenant Hollande perdurent.

Un décret du 29 juillet 1964, consultable sur le site gouvernemental Légifrance, et modifié le 16 février 2009 stipule que « les nominations préfectorales impliquent une obligation d’affectation sur un poste territorial  ». Ce qui est logique.

 

Donc dans la pratique, ce monsieur Christian Gravel, préfet sans affectation territoriale va percevoir, une rémunération mensuelle brute de 6 500 euros a peigner la girafe ou tresser des colliers en macramé. Au bout de 6 mois il aura droit a une retraite indexée sur ses derniers revenus de fonctionnaire, d’environ 4500€, pas comme vous vil contribuable « normal » sur 25 années, soit un ratio 50 fois plus et une réalité de carrière.

Si ce brave homme vit vieux (disons 30 années à la retraite il bénéficiera de 6 mois de poste fictif, et 30 années de rente d’état sur cette base.

 

N’oublions pas que cette personne pourra « cumuler » ses régimes de retraite speciaux. Pas comme vous vil contribuable larbin qui si vous avez plusieurs jobs dans votre carrière n’avez qu’une seule retraite en plus limitée au seuil sécu. Lui ne sait même pas ce que c’est.

 

Nous, les contribuables payons au présent des centaines de retraites de préfets qui n’ont jamais eu de préfectures. Ces gens bien nourris, aux frais de l’état font partie des classes qui ont un taux de mortalité le plus faible. A chacun nous assurons entre 30 et 50 années de rente pour 6 mois de fin de carrière pseudo-effectif.

 

En tant que vil capitaliste bien connu sur ce site, prônant le revenu basé sur le risque ou l’investissement, et la stricte équité individuelle des régimes de retraite, je me pose une vil question capitaliste.

De quel capital doit mettre de coté un capitaliste pour bénéficier de 4500€ de rente par mois comme un préfet ?

 

Une récente étude indiquait que pour disposer de 1000€ par mois il fallait disposer d’un capital à placer entre 250 et 300 000€ en assurance vie.

 

Bref, 6 mois de travail fictif rapporte un équivalent capitalistique de 1 million d’€uros. Un capitaliste doit déposer en banque cette somme pour disposer de la même rente d’état. Bien le régime spécial, sans le risque et sans rien inventer ou innover. Elle est pas belle la « répartition » à la Française ? 

Mieux que n’importe quel placement financier. Un revenu supérieur à des dividendes sans le risque alléatoire d’investir dans un projet personnel, ou Google ou Tesla.

 

La rente sans aucun investissement sans le risque ni la mobilisation de capital.

 

 

Le 1er ministre ne peut pas ne pas savoir que ses nominations sont des abjections clientélistes.

Rapports, articles dans tous les journaux, émissions à la TV, même le chien sait que nommer un copain préfet sans préfecture à gérer est un scandale et une forme de prise d’interet illicite.

Le Président moraliste des « moi je » ne peut ignorer. C’est clairement et en évidence flagrante que ces gens abusent de leur pouvoir.

 

Nous avons 5 millions de chômeurs. Il faut attirer les investisseurs du monde entier.

Trouver des gens qui mobilisent leur argent pour innover et créer.

 

L’état dépense chaque année 35% de plus que les recettes des impôts. Et vous voudriez une acceptation de l’impôt par ceux qui restent pour financer du clientélisme et des rentes d’état imméritées ?

Nous sommes en overdose de clientélisme.

 

L’interventionnisme d’état ne sert que des intérêts de caste, catégoriels et de clientèle.

Les politiciens Français sont à vomir. 

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Sénateurs branleurs surpayés

Certains diront que le Sénat est inutile. Pour beaucoup de Français, c’est une maison de retraite pour un personnel politique âgé, le refuge de politiques recalés du suffrage direct ou un repaire pour truands protégés par l’immunité parlementaire. Pour d’autres, il est indispensable à l’équilibre démocratique de notre système parlementaire.

En sus de son traitement mirifique, le sénateur bénéficie de toute une série de commodités. À la Chambre haute, on trouve, entre autres, un restaurant et sa célèbre cave à vin (quelques milliers de bouteilles), un salon de coiffure, une lingerie, une salle de sport (souvent vide), un labo photo et même un atelier d’ébénisterie…

Non seulement les sénateurs sont très bien logés quand il leur advient d’être à Paris (une dotation de 75 euros par jour leur est versée) mais ils peuvent aussi bénéficier de prêts avantageux pour l’achat d’un logement… Jusqu’à 75 000 ou 150 000 euros selon la région, au taux annuel de 2 % sur 18 ans. De quoi donner du baume au cœur des 3,6 millions de Français mal-logés…

Le Sénat buissonnier

Le plus scandaleux est que les sages de la Haute assemblée y mettent rarement les pieds. Seule une soixantaine de sénateurs sont assidus aux séances publiques. Pour leur défense, ces élus expliquent que le vrai travail parlementaire se déroule en commission et pas en séance. L’article 15 alinéa 3 du règlement du Sénat stipule qu’en cas de trois absences consécutives d’un sénateur dans la commission dont il est membre, son indemnité de fonction pourra être réduite de moitié. Malheureusement cette disposition n’a jamais été appliquée. De toute façon, ceux qui suivent les séances publiques du Sénat auront pu le constater, les sénateurs écoutent rarement l’orateur, trop occupés qu’ils sont à bavarder avec leurs voisins ou à s’occuper de leurs affaires personnelles.

Les heureux résidents du palais du Luxembourg n’ont aucune excuse pour expliquer ces absences. Comme pour les députés, chaque sénateur peut profiter de la gratuité du réseau SNCF et en 1ère classe (demi-tarif pour les conjoints) ainsi que 46 allers-retours en avion, en France métropolitaine. À Paris, chaque élu bénéficie de 3 000 euros de frais de taxi par an, d’une carte gratuite pour le métro et surtout du parc auto du Palais (une vingtaine de voitures à 45 000 euros l’unité).

« Le Sénat est le seul club que je connaisse où l’on paye la cotisation des membres ». Un sénateur

D’autres facteurs expliquent ces absences. Il existe 78 « groupes d’amitié » avec les pays étrangers. Ils permettent aux sénateurs de partir en voyage tous frais payés (et souvent en famille). Le travail sur place laisse beaucoup de temps libre pour les activités touristiques. Chaque sénateur peut adhérer à autant de groupes qu’il le désire. Il leur est demandé une cotisation annuelle de seulement 19 euros par pays. Et c’est sans compter les quelques dizaines de « groupes d’étude », à l’intitulé sympathique, comme « les arts de la rue et du cirque » ou « la chasse et la pêche ». Ces groupes sont le lieu d’intrigues de couloir et de lobbying, dont le Sénat est le carrefour.

La réserve parlementaire

Parmi les multiples ressources du Sénat, la réserve parlementaire (qui sert à financer des associations et des collectivités dans les circonscriptions) est comme la partie émergée de l’iceberg. Elle s’élève, selon les spécialistes du sujet, à 150 millions euros, Sénat et Assemblée nationale confondus. Le crédit de cette caisse, caché à l’intérieur des budgets de différents ministères, ne sert qu’à acheter les électeurs… Le vrai pactole, est celui de la caisse de retraite des anciens sénateurs qui se monterait à quelque 500 M euros.

Une retraite en platine

En moyenne, un sénateur touche 4382 euros nets par mois pour une obligation de cotisation de seulement 15 ans. La retraite maximum peut atteindre 6000 euros mensuels pour 25 ans de cotisation. Pour bien se rendre compte, après un mandat de six années, un sénateur recevra 1869 euros de pension. Cette somme est supérieure à ce que perçoit un Français du privé après 40 ans de cotisation. La réforme de 2010 ne change quasiment rien, si ce n’est l’âge légal de départ en retraite. Les veuves et veufs, pour leur part, touchent 66 % de réversion, taux le plus élevé de France… À force de privilèges, la douloureuse du Sénat, les contribuables la sentent passer. En 2013, le montant de la dotation de l’État dépasse les 323 millions d’euros. Cette enveloppe, votée par les sénateurs, est immédiatement placée, personne ne sait où, et fait des petits. Le profit ainsi dégagé, les Français ne le revoit pas, cela va de soi… Il sert probablement à opérer de nombreux et luxueux travaux de réfection du Palais et des immeubles achetés ici et là dans les beaux quartiers parisiens. Comme par exemple l’achat du 46, rue de Vaugirard en 2002, dont la rénovation a coûté plus de 10000 euros le mètre carré.

Contribuable associé

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« TAXE SPECTACLE » sur le chômeur bientôt sanctuarisée par la loi…

Vous ne le savez peut être pas mais le principal financier du spectacle en France, c’est le chômeur.

L’Elite politique Française sait très bien, faire payer le spectacle avec l’argent du chômeur avec un cynisme sans pareil agrémenté de mots comme « social » ou « solidarité » teinté de mépris et de conplexification voulue pour que vous n’y comprenez rien.

Le gouvernement Valls, pour faire plaisir au groupe de pression du spectacle qui dispose de bien plus de visibilité médiatique que les millions de chômeurs va obtenir une loi absolument scandaleuse.

La sanctuarisation d’une iniquité.

La sanctuarisation de droits supérieurs aux autres pour une catégorie sociale visible. Les travailleurs du spectacle.

 

Manuel Valls souhaite donc que demain la « taxe spectacle »Â soit inscrite dans la loi comme une composante obligatoire des conventions d’assurance-chômage ». Que cette taxe sur les chômeurs soit « présentée au Parlement au cours du premier semestre 2015″.  Pour que jamais elle ne soit remise en cause.

 

Le régime des Intermittents :

Ce régime est truandé de toute pièce.

Par les entreprises du spectacle, qui emploient des intermittents, par les intermittents eux même qui cumulent indemnités généreuses et boulot au noir sur temps libre excessif, et même par des gens qui n’ont d’intermittent que le nom, et il existe même une belle quantité d’emplois de complaisance, qui n’ont même jamais vu la couleur d’un spectacle mais qui savoure avec délectation les indemnités de non-emploi.

La cours des comptes dénonce chaque année depuis qu’il existe avec véhémence ce régime social des intermittent du spectacle.

Avec à peine seulement 105 000 cotisants, ce régime dérogatoire génère un déficit de 1 milliard que les autres adhérents à l’assurance chômage doivent supporter.

Les autres adhérant pour ceux qui n’ont pas compris, ce sont les chômeurs. L’argent dans un régime d’assurance comme l’assurance chômage ne tombe pas du ciel.

Les indemnités supérieures des uns se reportent obligatoirement par des indemnités inférieures sur les autres dans un système d’assurance ou les cotisations doivent être en balance avec les indemnisations.

Le gros des bataillons des chômeurs indemnisés sont donc taxés d’une de « taxe spectacle » chargée de donner plus à la corporation des intermittents du spectacle.

L’assurance chômage, même si elle est gérée par l’état, ce n’est pas l’état.

Pour payer les représentations, le spectacle, c’est donc un report sur les gens les plus fragiles, les jeunes, les plus de 50 ans, les précaires qui vont payer pour que vous puissiez voir devant vous des spectacles.

N’est il pas aberrant de savoir que le premier financier du spectacle en France est le chômeur de longue durée ?

Plus le chômeur reste au chômage, plus on voit l’incidence de la taxe spectacle des intermittents pèse sur le chômeur. Est ce au chômeur de longue durée du privé de payer pour la période de chômage de l’actrice Julie Gayet ?

 

La gestion paritaire :

La gestion de l’assurance chômage est paritaire. C’est a dire qu’elle est gérée collégialement par des membres des syndicats représentatifs salariés et patronaux. La majorité d’entre eux au conseil d’administration sont des apparatchiks.

Ce sont des permanents de leur syndicats patronaux ou syndicaux ! Ce ne sont ni des chômeurs potentiels, ni des cotisants, ni des chômeurs indemnisés. Leur rôle est devenu anti-social. 

Ils sont assurés quoi qu’il advienne dans leur vie, qu’un placard duveteux les attend.

Se sont les spécialistes des notes de frais, des postes rémunérés dans les associations financées par l’UNEDIC et des petits fours.

 

La majorité des syndicats n’agissent pas au nom des potentiels chômeurs, ou chômeurs mais pour le compte de groupes de pression aux intérêts souvent divergents. Sur dix salariés syndiqués en France, 6 viennent de la fonction publique, 3 des entreprises privées et le dernier d’une entreprise publique. Ils représentent les intérêts des gens qui ne cagnent pas le chômage. L’intérêt des chômeurs de faire participer l’ensemble des salariés à l’assiette des cotisation n’est absolument pas représentés.

 

Manuel Valls justifie la mise en sanctuarisation pas la loi par une étude d’un groupe de réflexion de syndicats. La réflexion par des gens en conflit d’intérêt est un scandale.

Le conflit d’intérêt est évident dans la mesure ou le sociétaire, le plus concerné du régime, le payeur ou l’indemnisé est totalement absent des débats. Le plus concerné n’a jamais droit à la parole. Un syndicat ouvrier quoi qu’il veuille faire croire est le représentant des gens « en place » pas des chômeurs. Et ils sont plus représentatifs des travailleurs disposants de droits sociaux différenciés.

L’assurance chômage tout le monde ne la paye pas. Le salarié de l’entreprise d’état est exonéré. Le salarié EDF, RATP, ou GDF Suez n’y cotise pas. Le fonctionnaire non plus.

Compter sur les exonérés pour vous dire ce qu’il faut faire et vous exposer les bienfaits de la solidarité forcée, tout en vous montrant que la solidarité c’est avant pas pour eux. 

Cette loi est socialiste.

L’intervention de l’état sert des intérêts corporatistes au détriment des plus faibles.

Quelques sources:

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20150107tribb4109bce5/comment-valls-compte-sauver-le-regime-des-intermittents.html

http://www.lemonde.fr/culture/article/2015/01/07/intermittents-du-spectacle-manuel-valls-veut-sanctuariser-le-regime-en-l-inscrivant-dans-la-loi_4550583_3246.html

http://lequidampost.fr/taxe-spectacle-sur-le-chomeur-bientot-sanctuarisee-par-la-loi

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La répartition et les plis sous la toile cirée

Pour celui qui aborde l’étude de la répartition des revenus ou des fortunes, il est a priori assez troublant de découvrir que ceux dont les revenus ou les patrimoines sont les plus élevés sont aussi ceux dont ces revenus ou patrimoines ont grimpé le plus vite.

Les jaloux et les économistes idéologues accusent alors la loi des rendements du capital, dite loi des intérêts composés : en effet, elle permet d’envisager une croissance exponentielle des revenus. Un centime placé au taux de 5% à l’époque romaine aurait ainsi produit à ce jour un montant représentant la taille de la Terre en or pur.
Mais le troublant dans cette explication est que tout individu bénéficie de cette loi et que donc l’ensemble du monde devrait finir milliardaire.

Une première objection est que ce ne sont pas les mêmes qui sont au sommet tous les ans. La revue Forbes rappelle ainsi que sur les 140 milliardaires de sa première édition de 1987, en 2012, 25 ans plus tard, seulement 24 étaient restés de façon continue dans cette liste.

Ceci remet à sa place la grande théorie de Thomas Piketty sur l’accumulation du capital.

Mais une autre explication nous paraît plus pertinente, que nous appelons le modèle de la toile cirée : si nous nous figurons une toile cirée, posée à plat sur une table circulaire et que nous commençons à soulever cette toile par un doigt passant au centre de la table, la toile prend la forme d’une petite montagne au centre dont les flancs, pentus vers le centre, s’adoucissent en allant vers l’extérieur. Pour ceux qui ont fait mathélem, la section est celle d’une chaînette, qui est aussi celle des flancs de la Tour Eiffel. 
Cette section ou coupe représente bien la distribution statistique des revenus ou des patrimoines, sauf qu’elle n’est pas strictement une chaînette, mais une loi de Pareto.

Au centre sont les riches, à l’extérieur les plus pauvres.

Il est alors intuitif que, si l’on veut qu’en moyenne la surface de la toile cirée monte de x%, il faut faire monter le centre beaucoup plus. En d’autres termes, la croissance de la richesse de tous exige qu’il y ait une croissance beaucoup plus forte des plus riches. Mais la descente sur la surface de la toile cirée est aussi beaucoup plus rapide quand on est au centre que quand on s’écarte vers la périphérie.

On peut se demander quelle est la force derrière le doigt qui soulève le centre.

Elle a probablement changé au cours des siècles, en commençant au Moyen Âge par la force physique et le courage qui ont permis à des châtelains d’émerger et de construire leurs châteaux au centre de la toile.

Mais depuis la révolution industrielle, il est clair que ce doigt est devenu l’entreprise, car c’est le plus souvent par leurs entreprises que les plus riches sont devenus riches, beaucoup plus rarement par leurs talents artistiques ou sportifs.

Ainsi, de 1997 à 2010 [1], en 13 ans, le PIB mondial est passé de 46,9 trillions de dollars à 74,4, une augmentation juste en dessous de 60% mais le nombre des milliardaires de Forbes est passé de 486 à 1.011 et leur fortune totale de 1.200 milliards à 3.600, un triplement.

Peut-être le vingt et unième siècle apportera-t-il d’autres façons de soulever la toile. Peut-être sera-t-il démontré que la manière de devenir riche est de faire de la politique (ce dont nous doutons). Ou tout simplement qu’il n’y a plus à soulever la toile cirée car tout le monde est sorti de la misère.
Pour l’instant, avec une bonne partie de l’humanité vivant avec moins d’un dollar par jour, qui ne peut savourer Kant ou Beethoven car taraudée par le souci de manger ou de nourrir ses enfants, il semble que nous ayons encore quelques années où le slogan des communistes chinois, « enrichissez- vous », rappelé par Emmanuel Macron, ait encore toute sa validité, même si nous ne pouvons empêcher certains de prêcher le bonheur par l’ascétisme.

http://www.emploi-2017.org/le-modele-de-la-toile-ciree.html

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Florent Manaudou, le droit et l’égalitarisme

Le principe de l’égalité en droit, celui qui est le même que celui qui règne dans le sport, c’est celui qui dit qu’à chaque course Florent Manaudou doit être soumis aux mêmes règles et aux mêmes contraintes que tous ses concurrents.

L’égalitarisme défendu par les socialistes c’est l’idée selon laquelle ses qualités personnelles constituent une injustice qu’il faut corriger. Et comme on ne peut pas aider ses concurrents à courir plus vite, il faut lui imposer un handicap pour le ralentir.

Vous aurez beau tourner le problème dans tous les sens, l’égalitarisme c’est la négation de l’égalité en droit, le nivellement par le bas, la haine de l’excellence et le culte de la médiocrité. L’égalité en droit, c’est le principe qui permet à Florian Manaudou et tous les sportifs d’exister.

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Les syndicats maintenant financés par la feuille de paye…….

À partir du 1er janvier 2015, une cotisation de 0,014 % du salaire brut sera prélevée sur la fiche de paie et reversée aux cinq syndicats de salariés (CFDT, CGT, CGC, FO et CFTC) et trois syndicats d’employeurs (MEDEF, CGPME et UPA).

Si le taux peut sembler homéopathique, le montant final, lui, est généreux : environ 100 millions d’euros par an que se partageront les huit centrales.

Votée le 5 mars 2014, cette nouvelle contribution vise à remplacer le financement des syndicats par la formation professionnelle, et cela au nom de la « transparence ». La part de la masse salariale affectée à la formation professionnelle (0,9 %) n’a en revanche pas été réduite. Il s’agit donc d’un alourdissement de la fiscalité pesant sur les entreprises, et au final sur les salaires.

Cette mesure conforte les centrales syndicales, qui chez les salariés ne représentent que 8 % des effectifs (6 % dans le privé, 15 % dans le public) et n’auront donc pas à faire trop d’efforts pour trouver de nouveaux adhérents…

Elle confirme aussi la dépendance des syndicats aux subsides publics. Une étude conjointe de l’Institut d’administration des entreprises (IAE) de Paris et du cabinet d’audit-conseil Audisol révélait récemment que les syndicats sont financés jusqu’à 81 % par des subventions publiques.

Quand vous verrez un élu payé 6500€ net hors frais chaque mois

Rappelez lui nous comment a été votée cette loi:

scrutin n° 784 Première séance du 26/02/2014
Scrutin
public sur l’ensemble du projet de loi relatif à la formation
professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale (texte de la
commission mixte paritaire).

Pour l’adoption : 52 Contre : 2 Abstention : 2 contre

Synthèse du vote:
Nombre de votants : 56
Nombre de suffrages exprimés : 54
Majorité absolue : 28
Pour l’adoption : 52
Contre : 2

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L’État gère-t-il la dette publique comme Bygmalion ?

Il y a quelques mois, en tant que dangereux ultra-turbo-néo-libéral qui ne croit pas trop dans les mérites de l’État, j’ai osé suggérer ici que la « maturité de la dette est gérée […] avec une incompétence rare dans le monde de la finance ». J’ai récidivé, il y a quelques jours. Quand on vole le sac d’une vieille dame, la récidive ne coûte pas cher, mais là, on parle des sous du Trésor !

Un journaliste, dont je tairai le nom, chef de la rédaction d’un grand journal de province, s’est emparé de l’affaire tout choqué qu’il était. Quoi ? 7,8% ? « La valeur moyenne historique du taux à 10 ans de la France semble complètement anachronique ! », dixit mon journaliste. Il n’y a donc pas de risque que les taux remontent puisque « les paramètres économiques et monétaires actuellement en vigueur en Europe et dans le monde changent complètement la donne » et que « les banques centrales ont une puissance de feu illimitée et à durée indéterminée… » La preuve ? « Sans même intervenir sur les marchés […] Draghi a divisé les taux par 3 ou 4 ! »

Non, vraiment, mes théories fumeuses reviendraient à dire que « l’Agence France Trésor qui gère notre dette sur les marchés est composée de traders qui n’y connaissent rien » et que c’est « faire passer les opérateurs de marchés pour des imb[….]es… »

Comment gère-t-on un passif bancaire ?

Avant de nous lancer dans la gestion de la dette publique, il est utile de parler de gestion bancaire. Sans entrer dans les détails, qui peuvent être découverts ici sur Contrepoints, ou ici chez Jesús Huerta de Soto, ou ici chez Pascal Salin, observons quelques organismes financiers dont le passif total – ce qu’ils doivent à leurs prêteurs et à leurs actionnaires – est comparable à la dette publique française, soit 2040 milliards d’euros. Ils ne sont pas nombreux, JP Morgan Chase, HSBC, Fannie Mae ou Freddie Mac et quelques autres, mais ils existent.

Si elle a des actionnaires, la banque doit à ces derniers les fonds propres, i.e. l’argent qu’ils ont mis dans l’affaire, à l’origine ou lors d’augmentations de capital. Elle a aussi émis quelques obligations sur les marchés (qui ont généralement été achetées par des fonds de pension). Ces obligations ont une longue durée. La banque en émet régulièrement de nouvelles quand les plus anciennes arrivent à maturité. La banque emprunte aussi sur les marchés, soit à des banques soit à des entreprises qui ont des forts cash-flows positifs (Microsoft, Google, Apple, Oracle…) et qui attendent des jours meilleurs pour les réinvestir.

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Avec ces 2040 milliards d’euros, la banque consent des prêts à ses clients. Elle garde un peu de fonds liquides (en général sous forme de bons souverains à très court terme ou de prêts très courts à des consœurs).

On notera que la banque garde aussi quelques obligations d’État en portefeuille : en fait, elle y est obligée par la législation en vigueur. Comme l’explique Alex Korbel, les accords de Bâle II « [forcent] indirectement les banques à détenir des obligations d’État étant donné que seules celles-ci étaient qualifiées d’actifs liquides et sûrs par le réglementateur ». Même si « Bâle III infléchit le tir en permettant à certaines obligations de sociétés privées d’être qualifiées elles-aussi d’actifs liquides », il n’en reste pas moins que les banques doivent détenir des obligations d’État souveraines. En français, les États ont forcé les banques à acheter des actifs sûrs. Ils ont ensuite défini les actifs sûrs comme étant les obligations d’État. Ceci tombe à pic ! Les États avaient justement plein de petites obligations amusantes à vendre1.

À part ces obligations d’État, quels sont les risques pour la banque ? Tout d’abord que les clients ne remboursent pas leurs prêts, c’est le risque de crédit. Ensuite, que les clients remboursent tous par anticipation, c’est le risque de prépaiement. Ce risque est plus subtil : il occupe les jours (et les nuits !) des modélisateurs : si la banque a emprunté (via des obligations à son passif) sur une durée de 15 ans pour faire un prêt hypothécaire à 15 ans (à son actif) et que le client rembourse par anticipation au bout de cinq ans, il faut que la banque puisse placer cet argent pendant les dix ans qui restent à courir. Si le taux à 10 ans au moment du remboursement anticipé est plus bas que le taux à quinze ans au moment de la souscription du prêt, la banque subit une perte.

Ceci nous amène (enfin !) à notre sujet : si la banque empruntait à 30 ans (passif) mais ne prêtait qu’à court terme (actif), elle ferait constamment face à un risque similaire. Elle risquerait d’avoir emprunté à très long terme à un moment où les taux étaient hauts et risquerait de faire des pertes énormes. Si elle a emprunté à un moment où les taux longs (à, disons, 30 ans) sont à 7% mais qu’elle prête à ces clients à 6%, elle perd 1%. Ça n’a l’air de rien mais nous parlions de JP Morgan Chase, HSBC, Fannie Mae ou Freddie Mac. Pour elles, ce serait une perte d’environ 20 milliards d’euros par an. Inacceptable !

Depuis la nuit des temps, les grandes banques commerciales ont une parade : elles ont des agences. Elles récoltent des fonds quasi-gratuits à très court terme, les dépôts, et les prêtent à long terme. Même si les dépôts sont par nature de très court terme, dans les faits, Pierre et Paul ne retirent pas leurs économies en même temps. En moyenne, Pierre dépose quand Paul retire et vice-versa. En plus, on peut demander aux déposants d’avertir à l’avance lors de gros retraits. Bien sûr, si tous les déposants veulent retirer en même temps, on risque un « bank run » mais on peut toujours limiter le montant des retraits comme à Chypre.

L’écart de duration

Pour les autres organismes financiers, il suffit de faire un calcul : quelle est la durée moyenne des actifs ? Quelle est la durée moyenne du passif ?

En pratique, comme rien n’est complètement simple en finance, pour chaque produit à l’actif ou au passif, on calcule sa « duration » qui est la durée de vie moyenne de ses flux financiers probables pondérée par leur valeur actualisée. Pour calculer les flux probables, il faut une distribution probable des taux d’intérêts qu’on obtient avec un modèle de taux. On entre ces données dans les modèles de risque de crédit et dans les modèles de prépaiement, et au petit matin, après une nuit complète de calculs fondés sur les prix de marché de la veille, les ordinateurs pondent des « durations » moyennes de l’actif et du passif. La différence est l’« écart de duration » : s’il est nul, l’organisme financier est immunisé – au moins à court terme – contre le risque lié à une forte variation des taux.

Comme nous sommes très joueurs, nous calculons aussi les mêmes concepts avec un choc des taux de 25, 50 et 100 points de base – soit 0,25%, 0,50% et 1,00% – à la hausse et à la baisse pour avoir une idée de l’exposition de notre organisme financier préféré à une hausse ou à une baisse des taux d’intérêt. Tous les matins, les patrons d’un organisme financier qui aurait la taille de bilan de la dette française, soit 2040 milliards d’euros, reçoivent donc un rapport circonstancié. S’il y a un écart, le patron de la salle des marchés agit en conséquence : il demande à ses traders de vendre ou acheter ce que j’ai noté « autres produits financiers » dans le bilan ci-dessus.

En général, les organismes sus-cités ont aussi un Chief Risk Officer qui a un vice-président sous ses ordres en charge de la « validation de modèles ». Cette personne embauche quelques financiers, quelques matheux et plein d’informaticiens : tous ces gens « valident » les modèles. En pratique, nous rejouons les modèles contre le passé récent pour vérifier qu’ils donnaient des résultats plausibles. Nous jouons aussi le futur contre des modèles concurrents de celui utilisé officiellement pour voir quels écarts on obtient. Le service de la recherche corrige les modèles au fur et à mesure que de nouvelles circonstances (ou faiblesses) émergent.

Si tout ceci paraît compliqué, disons que, d’une part, le concept de base est fort simple – à chaque décaissement probable on veut faire correspondre un encaissement probable – et que, d’autre part, c’est le B.A.-BA de la finance2.

Quand une banque a un écart de duration de plus de quelques mois, les questions se font pressantes. Par exemple, quand Fannie Mae, un organisme dont le bilan est égal à la dette publique française annonce que la valeur absolue de son écart de duration est soudain passée de 30 à 180 jours, ceci fait les titres du Wall Street Journal, ici ou là. Au contraire, quand les temps sont normaux, Fannie Mae et ses 2800 milliards de dollars de bilan ont un écart de duration de zéro mois. Oui, la firme par laquelle la crise arriva – selon certains – et qui était si mal gérée – selon d’autres – a ordinairement un écart de duration de zéro mois !

Comment gère-t-on un passif public ?

Soit. Tout ceci est fort bien pour un passif bancaire. Mais quid de la dette publique ?
En fait, on peut appliquer le même principe de base. D’un côté, on calcule la duration de la dette publique et, de l’autre, on calcule celle des flux financiers – recettes fiscales excédentaires – qui vont servir à la rembourser. Comme pour notre banque, le concept de base est fort simple – à chaque décaissement probable on veut faire correspondre un encaissement probable.

Tout ceci n’est pas une nouvelle branche de l’économie sortie tout droit de l’esprit d’un mathématicien tordu qui aurait fait une thèse de finances publiques et un peu trop de modélisation financière. Si on regarde la littérature sur les dettes souveraines, nous constatons que cette idée simple est largement utilisée. Prenons par exemple un article sur la dette du Brésil que je sélectionne car il est fort bien écrit. Les auteurs font les mêmes travaux que les services quantitatifs d’une large banque : ils calculent le risque de marché dû aux écarts de change (page 20), le risque de (dérapage du) budget (page 25), et le risque lié à la demande (page 27). Plus important pour notre propos, les auteurs calculent le risque de refinancement, c’est-à-dire le risque que l’État doive emprunter pour refinancer sa dette et qu’il ne puisse le faire qu’à des taux alors très élevés (page 22).

Pour la France, en déficit budgétaire depuis 40 ans, il n’y aura pas d’excédents qui permettraient d’apurer la dette avant que les deux générations, celle actuelle et celle à venir, de retraités ne soient « sorties » du système social. En gros, les futurs excédents qui permettraient d’apurer la dette – s’ils se réalisent un jour ? – ne prendront pas forme avant les années 2050 à 2070, au mieux. En d’autres termes, la duration des flux de recettes fiscales excédentaires est très certainement supérieure à 40 ans.

La maturité moyenne de la dette publique est de 7 ans ! L’écart de duration du Trésor est donc d’au moins 30 ans ! Je ne sais pas qui est le Chief Risk Officer de Bercy mais je ne m’avance pas trop en disant que sa position est ultra-spéculative. Cet écart de duration est énorme3. Lorsque je travaillais sur les modèles mathématiques d’une entreprise financière qui avait un bilan égal à la dette publique française, si mes patrons avaient eu un écart de duration au-dessus de quelques mois, ils auraient été virés. En fait, un tel écart ne se serait jamais matérialisé : sur une somme de 2040 milliards d’euros, cela prend des années d’en arriver là.

Et si les taux montaient ?

Comme les taux à court terme sont très bas, si bas même que l’État emprunte parfois à des taux réels négatifs, la décision a été prise d’économiser des intérêts et d’emprunter à 7 ans. Il n’y a pas besoin d’être grand prêtre pour répondre à la question suivante : si les taux d’intérêt reviennent à leur valeur historique d’ici aux sept prochaines années, que va-t-il se passer ?

D’après le document rigolo remis à une presse très docile lors de la présentation du projet de loi de finances 2015, le déficit primaire – i.e. avant paiement des intérêts sur les 2040 milliards de dette officielle – s’élèverait à 31,5 milliards en 2015. Ce chiffre est probablement aussi folklorique que celui de l’excédent – eh, oui, excédent ! – de 6,5 milliards d’euros de la Sécurité Sociale (page 6), la baisse – si, si ! – de la dette publique en pourcentage du PIB en 2017 (page 3), ou de la diminution – eh, oui, j’ai dit « rigolo » ! – des dépenses des administrations publiques locales (page 6). Ceci dit, même vus au travers de lunettes roses, les 31,5 milliards de déficit primaire représentent quand même 10% du budget total de l’État.

À 7 ans de maturité moyenne, l’État doit donc lever un septième de 2040 milliards, soit 286 milliards, plus notre déficit primaire de 31,5 milliards, plus les intérêts sur les 2040 milliards, soit 44,3 milliards en 2015 (page 15). En gros, 360 milliards d’euros. Un milliard par jour. Juste un peu plus que son budget total. Une bagatelle.

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Ces 44,3 milliards cachent une hypothèse de taux d’environ 2,2%. Hélas, les taux n’ont pas toujours été à 2,2%. Sur les 40 dernières années, les obligations d’État à 10 ans ont eu un taux moyen de 7,77%. Sur les 50 dernières années, les obligations d’État à 10 ans ont eu un taux moyen de 7,69% et sont restées entre 3,58% et 12,27% pendant 80% du temps (zone bleue du graphique). Sur cette période, il y a eu 32 mois où le taux d’intérêt sur les obligations d’État à 10 ans était de plus de 2% supérieur à ce qu’il était 12 mois auparavant. Il y a eu une période de plus de trois mois où ce taux était supérieur de 4% à ce qu’il était 12 mois auparavant.

Les taux inférieurs à 3,58% (zone blanche à gauche) sont une anomalie historique : sur les 50 dernières années, les taux ont passé moins de 10% du temps dans cette zone.

À 7,77% de taux d’intérêt, une dette de 2040 milliards dont un septième viendrait à échéance, à laquelle on ajouterait un déficit primaire de 31,5 milliards, suppose de lever environ 481 milliards d’euros sur les marchés en une année. Cette valeur de 7,77% a peu de risque de se réaliser mais on ne parle pas non plus d’une valeur « hautement » improbable quand on parle de la valeur moyenne sur quarante ans… De plus, il n’est pas ridicule de penser que les taux reviendront à 4,4% – le double du projet de loi de finance pour 2015 – et les paiements sur la dette publique représenteraient alors environ 90 milliards d’euros, quasiment toutes les recettes de l’impôt sur le revenu plus l’impôt sur les sociétés !

Et qu’adviendra-t-il quand le Trésor aura du mal à emprunter ? La note de sa dette baissera. Si elle baisse en dessous de A3/A-, les banques ne pourront plus acheter de la dette souveraine comme investissement sûr au sens des accords de Bâle. Ceci aggravera mécaniquement la crise de placement du papier français. Les principaux acheteurs n’en achèteront plus, non pas parce qu’elle sera risquée mais aussi parce qu’ils n’en auront plus besoin : elle ne satisfera plus ces stricts critères internationaux sur lesquelles la France n’a pas prise.

Comme en Italie récemment, nos étatistes lanceront un grand effort d’intimidation des agences de notation. Si cela ne suffit pas, on créera une agence de notation européenne : le président l’a proposé dans son programme comme engagement numéro 7. Elle sera bien sûr sous le joug des eurocrates indépendante du grand capital apatride. Et tout le monde aura une bonne note4. Ouf, sauvés ! En fait, que nenni car dans le monde réel, les banquiers de Wall Street sont difficiles à entourlouper : il en faudra plus que Najat Vallaud-Belkacem et ses ridicules pastilles colorées pour leur faire oublier les notes des agences.

Est-ce que « les traders de l’Agence France Trésor n’y connaissent rien » ?

Au contraire. En fait, les traders de l’Agence France Trésor font un travail visiblement de qualité puisqu’ils ajustent avec une grande précision la maturité de la dette, au besoin par des opérations sur les « autres produits financiers » que j’avais dans le bilan ci-dessus5. La maturité est consciemment et minutieusement ramenée à 7 ans à un epsilon près. Les échéanciers sont tels que les appels aux marchés sont réguliers au fil de l’année. Visiblement, à Bercy, les techniciens font le travail qui leur a été confié.

Mais dans une banque, un trader ne décide pas de la stratégie de la maison. Un trader junior exécute. Éventuellement, un trader senior décide des meilleurs moyens d’exécuter la stratégie. Ni l’un, ni l’autre ne décident de la stratégie elle-même.

La faute – s’il y en a une – est donc à chercher du côté des responsables politiques. Ces derniers font pression pour minimiser la charge de la dette – à court terme – en espérant probablement passer le relais à leur successeur, si possible de l’autre bord politique, avant que ça n’explose… La théorie des choix publics dicte que la maturité moyenne doit être à peu près égale à la durée des mandats. Ils se félicitent même régulièrement d’économiser l’argent du contribuable : n’a-t-on pas « économisé » près de 3 milliards d’euros en 2014 par rapport aux estimations initiales de la charge de la dette ? En fait, ce « prix bas » sur nos intérêts reflète le risque que l’on fait supporter par le contribuable. En finance, quand le rendement apparent est très élevé, le risque l’est en général tout autant. Les politiques font un pari spéculatif avec 2040 milliards d’euros qui ne leur appartiennent pas.

Les politiciens peuvent-ils être si nuls qu’ils diminueraient la charge de la dette au risque d’obérer le futur ? Est-ce que les « grands argentiers » seraient si mauvais qu’ils leur conseilleraient d’emprunter à très court terme pour couvrir des dépenses à trente ans ? Est-ce que Michel Sapin, notre Ministre de la Parcimonie et des Contes Publics, – qui nous a dit le 15 mai 2014 que « la croissance nulle, ce n’est pas grave » –, pourrait être en train de faire la boulette financière du vingt-et-unième siècle ?

J’aimerais assez répondre par la négative mais je dois hélas citer ce que disait le plus grand argentier de ces 30 dernières années, Alan Greenspan, deux ans avant que les prix de l’immobilier n’atteignent leur sommet, que les taux ne soient au plus haut et que les emprunteurs ne se retrouvent incapables de payer leurs prêts à taux variables sur des maisons dévaluées :

« De nombreux propriétaires auraient économisé des dizaines de milliers de dollars s’ils avaient pris des prêts hypothécaires [courts] à taux variables plutôt que des prêts hypothécaires [long] à taux fixe au cours de la dernière décennie. »

Plusieurs millions de propriétaires américains ont hélas perdu leur maison en suivant à la lettre la stratégie d’emprunt à court terme d’Alan Greenspan et du Trésor français.

Est-ce que les « marchés » sont fous ?

Là encore, la question appelle une réponse par la négative. Les opérateurs de marché sont rationnels. Comme je l’expliquais ci-dessus, ils font en sorte de ne pas être en mauvaise posture. Ils ont un faible écart de duration. Ils s’immunisent contre les fortes variations de taux d’intérêt.

Les marchés prêtent encore aux États car les accords de Bâle II ou de Solvency II obligent les gros opérateurs financiers à acheter des cochonneries souveraines. Les banques centrales ont aussiune façon de les presser à acheter des produits dont ils ne veulent pas. Et quand bien même les banques ne voudraient pas acheter de dette souveraine, les agences gouvernementales les rappelleraient à l’ordre.

Toutefois les banquiers et assureurs ne seront pas les plus à plaindre quand ce château de cartes s’effondrera. Quand ils achètent des bons du Trésor, s’ils perçoivent un risque de crédit, ils achètent une assurance – un credit default swap – auprès d’un grand assureur. Personne n’opère en finance sans être couvert contre les risques de taux et/ou de crédit, ou, au moins, sans avoir précisément jaugé les risques.

De plus, comme la maturité moyenne de la dette est faible, le risque de crédit est minimal. Dans ce marché de dupes, tout le risque (d’intérêt) est précisément supporté par le Trésor.

Les seuls agents qui sont « irrationnels » sont les investisseurs finaux, tous ceux qui ont de l’« assurance vie » ou des OPCVM sans réaliser ce qu’il y a dedans. Les banquiers et les assureurs leur vendent tout ce qu’ils veulent bien acheter… Ces produits avariés ne sont pas facile à reconnaître : après-tout, ils viennent dans un paquet marqué AA+.

Jusqu’à quand avant la crise ?

Personne d’honnête n’en a la moindre d’idée. Si je le savais, je serais riche. Je pourrais aussi inventer une stratégie parfaite pour émettre la dette publique française.

La situation actuelle peut durer un moment mais il suffirait d’une crise comme celle des dettes européennes. Est-ce à nouveau possible ? Eh bien, comment va la Grèce ? Officiellement, très bien, merci pour elle ! Officieusement, elle est doucement en train de revenir vers son plus haut historique en termes de dette publique en pourcentage du PIB à 175% ! Bruxelles va bientôt tendre sa sébile pour demander au reste de l’Europe de bien vouloir renflouer cette trière une fois de plus.Logariasmo, parakalo?

Il suffirait aussi d’une remontée de l’inflation. Soit, on est plutôt en déflation. Nonobstant, la banque centrale n’injecte pas des centaines de milliards d’euros dans l’économie sans qu’un jour ou l’autre, l’inflation pointe son nez. Mario Draghi ne décide pas à la fois des taux d’intérêt de court terme et du taux d’inflation… Et la banque centrale décide encore moins des taux d’intérêt nominaux à 10 ans. Ces derniers sont fixés par le marché : plus un taux est long, moins la banque centrale a d’influence sur ce dernier.

Nous sommes en train de répéter les mêmes phénomènes qui ont engendré les crises précédentes : comme les taux bas ont créé la bulle technologique en 1996-2000, puis la bulle immobilière en 2002-2006, les taux bas actuels sont, à coup sûr, en train de créer les conditions de la crise suivante. À chaque fois que nous assistons à une envolée des prix des actifs, les journalistes trouvent un tas d’experts pour leur expliquer que nous sommes dans un monde nouveau. Leurs lecteurs sont victimes d’une suspension consentie de l’incrédulité qui dure ce que durent les roses ou, plutôt, les tulipomanies.

En l’absence d’une parfaite prescience, la vraie sagesse est de faire en sorte qu’à chaque fois qu’un bon du Trésor arrive à échéance, il y ait justement un encaissement d’impôt excédentaire, dont le montant dépasse juste assez la dépense de ce moment-là. En d’autres termes, sans savoir ce que le futur nous réserve – des taux plus bas pendant longtemps, des taux plus hauts dès demain – la seule façon d’immuniser le Trésor est d’avoir un écart de duration proche de zéro. Les financiers le font tous les jours consciemment : contrairement à ce que la gauche pense, les grands banquiers ne spéculent presque pas. La petite minorité qui spécule engage des sommes bien inférieures à Bercy sur des paris bien moins risqués.

Conclusion

Le Royaume-Uni, qui compte en son sein une bonne part de la haute finance européenne, et le Chili, qui a été envahi par les Chicago Boys il y a fort longtemps, sont les deux seuls pays développés dont la maturité de la dette publique est le double de celle de la France. Ce qui pourrait apparaître comme un argument en faveur du statu quo – si l’Allemagne, le Japon, les États-Unis et l’Italie font de même, pourquoi changer ? – est au contraire une forte incitation à la rénovation. En effet, si un jour les taux remontent, tous les pays se retrouveront avec des besoins de refinancement identiques puisqu’ils ont choisi d’avoir plus ou moins les mêmes échéanciers de paiement.

Comme pratiquement aucune des dettes publiques ne baisse dans un contexte de taux extrêmement bas, elles ne pourront que toutes augmenter en même temps dans le contexte inverse. Comment ne pas percevoir une situation explosive quand les taux remonteront ? Un beau matin, les prêteurs se feront rares quand leurs anticipations changeront. Les hommes de l’État qui croient que la situation durera ad vitam aeternam ne connaissent ni l’histoire, ni l’économie.

Philippe Lacoude

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CGT: le coup d’Etat que Thierry Lepaon prépare

Décidément, dans une actualité qui fourmille de feuilletons drolatiques (est-ce l’arrivée de Netflix qui stimule les soap operas?), le psychodrame de la CGT apporte une bouffée d’air frais. Loin du Hollande bashing et Sarkozy shaming, la crise de légitimité que traverse le secrétaire général Thierry Lepaon donne un côté Zola aux chroniques parisiennes qui tiennent plus souvent du Balzac ou du Proust. Quand l’affaire Bygmalion nous plonge dans l’univers des Vautrin et des Rastignac, quand l’outing forcé de Florian Philippot nous met dans l’ambiance de Sodome et Gomorrhe, les règlements de compte dans les étages de la porte de Montreuil ont plus un côté Germinal, pour lequel il existe un public.

Les amateurs du réalisme socialiste auront donc noté quelques récents épisodes qui n’ont rien à envier à Dallas ou aux Feux de l’amour.

Ainsi, la semaine dernière, Thierry Lepaon avait annoncé pour ce lundi 15 décembre une réunion des principales fédérations, supposée lui éviter une convocation extraordinaire du comité confédéral national, seule instance capable de destituer le secrétaire général. Il semblerait que cette réunion, conçue pour désamorcer la crise, ait, malheureusement pour celui qui en eut l’idée, assez rapidement tourné au carnage! Les fédérations se seraient élevées pour demander la tête de leur secrétaire général. Le stalinisme n’est décidément plus ce qu’il était.

En conclusion de la réunion, Thierry Lepaon aurait prononcé un nouveau plaidoyer en faveur de sa gestion, avant de conclure qu’il ne voulait pas bloquer l’organisation et qu’il tirerait toutes les conséquences de la situation.

Le lendemain, mardi 16 décembre, avait lieu une commission exécutive, qui promettait d’être divertissante. Dans la nuit de lundi à mardi, beaucoup semblent toutefois s’être penchés sur les statuts du syndicat, qui prévoient quelques astuces. Première astuce: en cas de destitution du secrétaire général, seule une personnalité élue à la Commission Exécutive par le CCN peut être choisie. Deuxième astuce: c’est le CCN qui choisit cette personnalité, et non la commission exécutive elle-même. Troisième astuce: les deux premières astuces valent pour n’importe quel membre du bureau.

Cette petite précision statutaire a rappelé à chacun le rôle fondamental du CCN, qui introduit une véritable incertitude sur le nouveau nom du secrétaire général.

Lorsque les membres de la CE sont arrivés en réunion hier matin, beaucoup s’attendaient à entendre Thierry Lepaon annoncer sa démission. Quelle ne fut pas leur surprise en l’entendant au contraire annoncer son maintien, et en proposant la démission collective du bureau… où figurent quatre de ses opposants! Et quelle ne fut pas la surprise de ceux-ci lorsque Philippe Martinez, secrétaire de la métallurgie, a pris la parole pour expliquer que, vu la situation, la seule décision raisonnable était que le bureau démissionnât, sauf le secrétaire général, qui devait rester en fonction.

En fait, le pari de Lepaon, qui a adoré agiter la théorie du complot organisé par son rival malheureux Eric Aubin, est de pouvoir se maintenir grâce à un axe des marxistes-léninistes historiques contre tous les rénovateurs promis à une purge digne des années 30. Dans cette configuration, Martinez a entendu la promesse faite par Thierry Lepaon d’être son successeur en 2016. Cette fraîcheur de la part d’un leader de la métallurgie ne manque pas d’étonner, car c’est bien connu: les promesses n’engagent pas ceux qui les font!

Comme Aubin et consors font de la résistance, une nouvelle réunion extraordinaire de la CE est prévue début janvier pour obtenir la démission des impétrants et permettre la recomposition d’une nouvelle équipe à l’occasion du CCN du 13 janvier. On voudrait être des petites souris pour assister à ce spectacle digne du Puy-du-Fou (épisode Russie des années 30): des interventions soigneusement concertées qui se succèdent à la tribune pour lancer des attaques personnelles et publiques contre quelques participants, jusqu’à ce qu’épuisement des victimes désignées à la vindicte s’ensuive.

Si certains avaient oublié la nuisance qu’a constitué le marxisme-léninisme pour les libertés publiques dans tous les pays où il a sévi, cette petite séance devrait rapidement rafraîchir les mémoires.

Entretemps, Thierry Lepaon s’est évertué à tuer les rumeurs qui pouvaient faire l’objet d’un quatrième article de presse: « Non! je n’ai pas acheté des vélos à 1.500€ pour ma femme et ma fille avec l’argent de la CGT! Non, je n’ai pas occupé une villa à 12.000€ la semaine en Corse cet été! Non, les prétendus 100.000€ de mon appartement à Vincennes n’ont pas servi à finir la maison que je fais construire en Normandie! Non, mes chauffeurs ne sont pas plaints de mes allers-retours en Normandie dans la semaine pour retrouver ma jeune femme à Cabourg ».

Ouf! nous voilà rassurés!

Reste une inconnue: la position de l’Elysée. Certains soutiennent que la perspective d’un maintien en fonction de l’actuel secrétaire général agacerait le pouvoir. Et que de nouveaux obus seraient déjà prêts à entrer dans les culasses pour régler le problème Lepaon avant 2015.

Source:

Jusqu’ici, tout va bien…

Le blog d’Eric Verhaeghe et de la démocratie liquide

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Deux suicides de patron par jour!

Quand l’entreprise trébuche, ils tombent plus violemment et plus bas !.

Si les suicides des salariés de Orange, la Poste ou Renault font régulièrement la une des journaux, il y a une profession qui met bien plus fin à ses jour que toutes les autres, ce sont les dirigeants d’entreprises. Lorsqu’un salarié se donne la mort, l’information est traité dans les journaux comme un fait de société alors que le suicide d’un patron est généralement considéré comme un simple fait divers.

Le patron est directement exposé aux aléas. Il a investi ses économies dans son outil de travail. En cas de faillite, il se retrouve sans rien ! Il n’a pas droit aux indemnités de chômage ; et parfois sa maison a été vendue pour payer les cautions personnelles … Il est alors confronté à plusieurs punitions qu’il n’a aucunement mérité comme ledépôt de bilan, les conflits, parfois suivis de divorces, ou dépressions …

 

L’année 2013 s’est avérée être une année record absolue de défaillance d’entreprises, avec des chiffres parallèles aux suicides d’entrepreneurs. Quand une entreprise va mal, la majorité pense systématiquement aux salariés mais on oublie la souffrance des patrons.

Plus impliqués et souvent moins protégés, les chefs d’entreprise en situation de faillite ou fermeture vivent plus intensément que les salariés ces conclusions comme d’insupportables échecs personnels.

Dans l’opinion publique et médiatique, le chef d’entreprise n’est jamais dépeint comme une victime. Et pourtant, confrontés à une charge de responsabilité plus importante que la plupart des salariés, et mis à rude épreuve par la crise économique, ils seraient, selon les calculs de l’Observatoire de la santé des dirigeants de PME, deux à se suicider chaque jour.

 

C’est chez les agriculteurs indépendants à leur compte que les taux de suicide sont les plus élevés. Enfermés dans des campagnes, dans des activités adjointe à la solitude, le suicide est l’égal du cancer ou des maladies cardiaques comme première cause de mortalité de cette profession.

 

Que survienne un imprévu majeur, et la santé du chef d’entreprise peut se transformer rapidement en une situation grave. Dans son activité de direction le chef d’entreprise dispose du choix de direction de son environnement, et il est rarement confronté à subir le choc d’un environnement sur lequel il n’a pas de pouvoir.

Un impayé, un contrôle fiscal, un client ou salarié harceleur, la perte soudaine d’un gros client, un accident mortel d’un collaborateur, l’obligation de licencier plusieurs salariés font perdre à l’entrepreneur ses envies, ses moyens et son assurance.

Deux patrons par jour se suicident en France.

En cas d’échec, les dirigeants subissent non seulement le dépôt de bilan, anéantissement de toute une vie de travail, mais aussi parfois la saisie de leur maison et de leurs biens personnels. Un phénomène d’autant moins visible que les patrons ont tendance à minimiser leurs problèmes de santé.

Les spécialistes de la souffrance au travail considèrent que la souffrance résulte d’un état de domination. Le patron étant le « dominant », il ne peut pas souffrir. Le dirigeant de PME est dans un management de proximité. Lequel se distingue du « management second » en vigueur dans les grandes entreprises.

 

Les suicides de patrons, et notamment des dirigeants de PME, d’artisans ou de commerçants n’ont jamais été aussi nombreux.

Surendettement, dépôt de bilan, licenciements, contrôles fiscaux sont les premières raisons…

Le phénomène a pris tellement d’ampleur que de nombreux tribunaux de commerce mettent en place actuellement des cellules psychologiques d’accompagnement à l’échec…

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Réduire les inégalités ne réduira jamais la pauvreté.

L’inégalité n’est pas le problème. C’est la pauvreté qui est préjudiciable.

 

Piketty l’économiste en chef du parti socialiste n’a rien compris. Comme tous les technocrates sortis de l’éducation nationale, il a raté la cible. Piketty n’a jamais été pauvre ni jamais investi de sa vie comme nombreux qui s’expriment sur les inégalités. Piketty est un économiste incompétent. L’inégalité n’a jamais été préjudiciable, c’est la pauvreté qui est préjudiciable.

 

Le livre de celui qui se prétend économiste, Thomas Piketty le capital du XXIe siècle a reçu beaucoup de d’attention ces derniers temps. 

 

Son livre met l’accent sur ​​les inégalités et les politiques de revenu qu’il estime bonne pour les gouvernements, et conseille qu’ils devraient les réduire pour résoudre les problèmes.

 

A voir les mesures que Hollande a pris avec son conseil, a part faire fuir une quantité de gens, elles ont surtout démontré qu’une telle politique fait plus de pauvres par la disparition des investisseurs et ceux qui prennent des risques financier que de redistribution vers les pauvres de l’argent des riches.

 

La thèse principale de Piketty est illustré dans l’équation r> g, ce qui signifie que le taux de rendement du capital est supérieur à la croissance économique. En clair, les gens qui investissent leurs propres capitaux gagnent plus que la croissance globale de l’économie, en créant des quantités massives d’inégalités des revenus.

 

Si les conclusions de Piketty, ne sont pas contestées en France, la gauche étant particulièrement puissante dans les journaux en France, ou une omerta médiatique fait silence sur les contestations de son livre, elles sont nombreusess par les économistes à l’étranger.

 

Piketty a triché, inventé des sources, travesti les statistiques pour arriver aux conclusions qu’il voulait trouver.

 

Des inégalités toujours plus grandes assure à un auteur, principalement en France un lectorat socialiste captif a ces idées. Il faut dire qu’en France, Karl Marx a laissé son emprunte avec l’ancien grand PCF des années 50, il reste encore en France, hélas des métastases.

 

Le Marxisme est une théorie assez basique dont la définition se résume a « détester celui qui est plus riche que soi, et surtout ne jamais admette que s’il est plus riche c’est par son talent ». Les communistes Français sont principalement regroupées dans les professions protégées de l’état. Il vivent éloignés dans leurs professions, des investisseurs et des dirigeants d’entreprise qu’ils détestent.

 

 

Piketty a fait pour un soi-disant économiste des erreurs d’étudiant de gauche, il a comparé des 1% d’hier avec des 1% d’aujourd’hui alors que ce ne sont pas les mêmes. Dans les 1% des plus riches d’il y a 25 ans et les des 1% d’aujourd’hui, en ne prenant pas compte de ceux qui sont sortis ou rentrés dans les 1%. Un débutant en analyse statistique sait qu’une comparaison n’a de valeur que si l’assiette de référence dans le temps est identique.

 

 

Piketty a fait des hypothèses erronées. La plus notable est que les investisseurs en capital riches, parfois en raison de la lignée ou d’un privilège, font automatiquement grands retours sur investissement qui dépassent la croissance économique.

 

Piketty qui n’a jamais investi un centime, ignore le fait d’être en mesure d’investir et de gagner un rendement sur investissement est une compétence. C’est un équilibre entre le risque, les prévisions, les anticipations et le bon sens.

 

Il faut noter qu’il n’y a pas de barrière à l’entrée pour empêcher des investissements en capital. Toute personne ayant accès à un téléphone ou une connexion Internet peut aujourd’hui investir sur n’importe quel marché boursier de la terre et être en mesure de profiter d’une pléthore d’outils financiers et des opportunités de marché.

 

 

En fait, il n’y même pas une barrière éducative. Internet, les livres, une formation spécialisée peuvent offrir une éducation financière pour tout le monde et tous ceux qui veulent en apprendre davantage sur la finance et l’investissement. 

 

Personne n’a pas besoin d’un million d’€uros pour s’impliquer dans l’investissement en capital. Avec la faible barrière d’entrée dans l’investissement, il est plus facile que jamais dans l’histoire pour les pauvres d’investir des petits montants des économies qu’ils peuvent avoir, et à le transformer en grandes économies, beaucoup plus grande que s’ils laissent leurs maigres économies dans un compte bancaire .

 

Quand les gens voient un multi-millionnaire vivant à côté d’un multi-milliardaire, habituellement ils ne se sentent pas un sentiment de dégoût et indignation pour les pauvres millionnaires. 

Ils ne demandent au milliardaire de payer de l’argent pour le millionnaire afin qu’ils puissent avoir un niveau de vie plus équitable.

 

Ce serait ridicule. Ce n’est pas grave si le milliardaire a cinq, 10 ou 100 ou 1000 fois la richesse du millionnaire. Ce qui importe est que les deux individus sont en sécurité, en bonne santé, et ont assez de revenus pour apporter leur familles confort et le bonheur.

 

Ainsi, l’inégalité n’est pas un problème si toutes les parties ont un niveau de vie et les moyens de survivre et de prospérer. De cette manière, redistributionistes, socialistes, communistes, et gauche comme Piketty confondent la pauvreté et l’inégalité.

 

À cet égard, le marché libre a considérablement augmenté le niveau de vie des personnes les plus pauvres de la société. Ironiquement, le système même que ces gens décrient tant comme un sytème qui abuser et profite des pauvres a aidé plus sur terre à s’émanciper que n’importe quel programme de gouvernement a essayé ou essayerait.

 

Piketty prend des références dans son livre, fait aussi référence aux chiffres d’une économie relativement plus capitaliste, bien que dirigées par plusieurs socialistes comme Clintoon ou O’Bama que celles européennes, les USA.

 

Hélas, le fait est sans appel que les pauvres d’aujourd’hui aux États-Unis sont encore mieux lotis que la majorité du reste du monde.

 

Le seuil de pauvreté pour un couple aux USA est de 14 570 $ dans l’état le moins favorable et va jusqu’à 18 210 $ dans un état plus généreux, sachant en plus que le logement moyen est moitié moins cher qu’en France. C’est le seul de pauvreté dit « absolut », bien plus concret que celui calculé en France qui est un seuil de pauvreté relative calculé en fonction d’une moyenne qui ne veut rien dire.

 

Si nous voulons vraiment faire progresser la qualité de vie et le niveau de vie de nos concitoyens, nous devons permettre au véritable capitalisme de prospérer. Il n’y a pas de bénéfices sans le risque. Il n’y a pas de travail pour le pauvre sans l’investisseur ou l’entrepreneur. C’est sans appel.

 

L’investissement donne aux pauvres la possibilité d’acquérir de nouveaux emplois, de l’expérience, de construire leurs propres entreprises, et de se prendre en main. Seul le capitalisme les aidera à sortir de la pauvreté durablement contrairement à l’assistanat.

 

Les propositions de Piketty, conseiller économique du PS, de surtaxer les riches pour donner aux pauvres ne donne pas aux pauvres de la dignité ou de l’aide à long terme, juste un bandage sur une jambe de plâtre. Un palliatif, qui offre juste a des politiciens de gauche des votes à court terme face a une France ayant subit le matraquage des derniers Marxistes regroupés du pays profs totalement acquis aux thèses Marxistes.

 

Le vrai problème dans la vie n’est pas l’inégalité financière, mais l’équité financière, mais une économie ouverte et dynamique. Une société ne peut pas cumuler l’équité et l’égalité, tout simplement parce que ces derniers sont antagonistes sans êtres liés.

 

L’équité et l’égalité pourraient paraître semblables, mais ils sont absolument contraires. Les gauchistes gagneraient à évoluer et ne pas être jaloux de leurs prochains et d’autres classes sociales avec comme seule envie de les détruire pour donner à l’autre, mais plutôt de donner aux pauvres la possibilité de sortir de la pauvreté.

 

La réduction de la pauvreté devrait être une préoccupation politique principale, mais pas les inégalités désignent des coupables et une cible, bien plus facile pour obtenir les votes….

 

Lutter contre les inégalités ne créera aucun emploi. AUCUN. Et n’aidera absolument aucun pauvre. AUCUN.

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Un lézard dans les statistiques de Piketty

L’auteur socialiste Thomas Piketty, est un membre des commissions économiques du parti socialiste, ancien mari de Aurellie Fillipetty, réputé « violent » suite à une plainte de cette dernière, et aujourd’hui une « star » du monde socialiste et de toute une gauche actuellement.

Sa formation économique c’est faite avec les plus grands apôtres de l’étatisme, les altermondialistes et les Keynésiens qui grouillent dans l’enseignement économique Français.

La gauche a pris le pouvoir d’instruction à l’éducation nationale et endoctrine d’un enseignement répétitif sur l’idée que le Capitalisme ne fonctionne pas et qu’il faut le remplacer par le Socialisme.

Il faut dire que les statistiques de Piketty disent ce que la gauche toute entière veut entendre. Les riches dominent le monde, ils sont toujours plus riche.

Avec un tirage à 100 000 exemplaires en France, en France, les critiques littéraires sont rarement aptes a vérifier et contrôler des statistiques. En plus, Le Monde, Le nouvel Obs, l’AFP sont tous des organes de presse convaincus.

Ils ne vont sûrement remettre en doute ce qui conforte leur Marxisme. Il,faut savoir que majoritairement les journalistes Français sortent de 2 écoles de journalisme dont à la sortie 95% des élèves votent a gauche.

Une première analyse des chiffres, par une étude et un rapprochement des chiffres de de Bernard Zimmern fondateur de l’association contribuables associés a déjà démontré que Piketty était un tricheur. Une autre de François Saint-Cast docteur en économie, a confirmé que Piketty a réalisé un ouvrage plus doctrinaire et idéologique que réaliste.

Ces 2 contradicteurs sont restés des illustres inconnus de nos médias.

Maintenant que son livre est arrivé aux USA, ou le livre est vendu maintenant à 400 000 exemplaires, le « Financial Times » a épluché avec des économistes les chiffres du livre pour les refaire.

Le Financial Times ne dit pas le mot « tricheur » mais formule differemment « des erreurs de transcription », « des sources originales » et « des formules incorrectes », « données sélectionnées » ou « données construites sans sources ».

Piketty c’est fendu d’une réponse, bien obligé d’admettre que ses données sont imparfaites  il laisse entendre que cela change pas les conclusions. Esquivant ses responsabilités, il défend ses « conclusions » car il sait que dans se chapitre, l’irrationnel et la haine des riches n’a pas besoins de preuves statistiques pour lui attirer des sympathies et continuer a vendre son livre.

La socialosphère (Le Monde, Nouvel Obs, Libération etc…), journaux qui ne vont quand même pas admettre qu’ils sont incapables d’avoir vu les impostures révélées par le « Financial Times », suivent en cœur la posture, mais maintenant tout le monde sait que Piketty a triché.  

Après correction par les économistes vérificateurs, les écarts aux USA passent de 1 à 8 à seulement 1 à 2.8. Quadrupler la réalité pour arriver aux conclusions erronées!

Piketty n’est pas à son premier ouvrage de manipulation et ses méthodes sont connues.

Que sont les méthodes passées et déjà connues de Piketty pour faire mentir les statistiques?

1-Les conclusions sans rapport avec les statistiques.

« Madame Bettencourt ne contribue qu’à 33 % des prélèvements collectifs alors que les plus pauvres contribuent à 40 %… »« les chômeurs sont plus imposés que les actionnaires » a t-il écrit en 2011.

Ces 2 affirmations de Piketty font plaisir à la lecture pour tous les gens de gauche, n’en doutons pas. En effet dire que les riches s’enrichissent toujours plus et les pauvres s’appauvrissent c’est 100% en phase avec leur pensée.

Malheureusement ni Mme Bettencourt ni les chômeurs ne sont dans la statistique. En effet, subrepticement, Piketty a trafiqué l’assiette de sa courbe pour en arriver à cette conclusion. Il a délibérément exclus les chômeurs et les retraités puisque, au lieu de 50 millions, n’y figurent que les 20 millions de Français de 18-65 ans qui travaillent plus de 80 % de leur temps.

2-Tricher sur l’assiette pour « inverser » les résultats statistiques.

Tricher sur l’assiette permet de tricher sur la réalité de la progressivité. En prenant non plus 20 millions de Français mais le tableau STI3 de Thomas Piketty mais en y englobant les retraités et nons-actifs, la courbe démontre l’inverse de ses conclusions, sans équivoque possible que les « riches » sont logarithmiquement plus imposés que les « pauvres ».

3-Ajouter des revenus fictifs pour gonfler la croissance de revenus de ses cibles «les riches ».

Piketty ne saurait pas lire un bilan de société ?

Chaque personne en France qui a touché de près ou de loin la comptabilité d’une entreprise le sait. Il existe des bénéfices « distribués », et d’autres « non-distribués ». Piketty a manipulé sur ses graphiques un ajout à ce titre un milliard comme « revenu » de ces derniers. Sachant en plus que la valeur des actions a chuté ces 8 dernières années…

4-Ajouter les bénéfices sans soustraire les pertes.

Piketty aime a dénoncer l’actionnaire qui gagne beaucoup d’argent mais l’« oublie » quand celui qui investi subit la perte. Celui qui ose investir prend le risque de la perte. La perte en capital des actionnaires est particulièrement élevée. Les pertes annuelles en capital sont en moyenne de 4 %. Soit 40 milliards dont la majorité subie par le dernier centile. Inclure ce chiffre détruit la totalité de l’argumentaire de Piketty.

5-Les idées de spoliations Bolcheviques de Piketty passées inaperçues

Même si on est de gauche on doit s’interroger sur la doctrine sous-jacente de Piketty. Thomas Piketty veut taxer les revenus non distribués. Rappelons que ces revenus sont des revenus qui restent dans l’entreprise et créent des emploi et de la richesse.

Dans un ouvrage précédent, « Pour une révolution fiscale. Un impôt sur le revenu pour le XXIème siècle ». Piketty e ses co-auteurs proposait notamment d’imposer tous les propriétaires de leur propre logement au prétexte que ne payant pas de loyer, ils touchent l’équivalent d’un revenu….T’habite une grange et t’es chômeur, mais tu dois payer des impôts parce que tu es propriétaire.

6-Tricher en comparant des groupes de gens qui ne sont pas les mêmes.

Comparer le capital des x% les plus riches en un point du temps à celui des x% les plus riches quelques années plus tard et à faire croire que la variation entre les deux correspond à l’enrichissement de ce groupe de riches. Relève de la pure escroquerie. En procédant ainsi, Piketty a éliminé systématiquement tous ceux qui s’appauvrissent du premier échantillon pour ne retenir que les individus qui se sont enrichis ou, dans le pire des cas, qui n’ont pas suffisamment perdu pour sortir du x%.

Preuve par l’exemple:

Liste des plus riches en 2014 : http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_milliardaires_du_monde_en_2014

Liste des plus riches en 1991 : http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_milliardaires_du_monde_en_1991

Comparez ce ne sont pas les mêmes, ni les mêmes activités….

Le problème avec Piketty, il ne veut pas prouver par la statistique, il veut asséner une vérité, la sienne, alors il utilise délibérément la manipulation d’une pseudo démonstration scientifique.

Piketty a fait le travail à l’envers. Il est parti des conclusions auquel il voulait arriver, et a recherché a prouver sa pensée par les statistiques. Malheureusement n’arrivant pas a démontrer sa pensée il a falsifié les statistiques pour en arriver à la conclusion.

Quelques sources:

Irefeurope.org

lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/

fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Piketty

institutdeslibertes.org/piketty-se-prend-les-pieds-dans-le-tapis/

contrepoints.org/tag/thomas-piketty

emploi-2017.org/les-fantasmagories-statistiques-sur-l-accroissement-de-richesse-des-riches-americains


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