Archive | mars, 2020

la sante aux états unis

Antiaméricanisme démythifié . Part1 la Santé

Tout dans cet article informatif, qui vous surprendra est vérifié et vérifiable.

Cet article va « désembrouiller » le cliché antiaméricain qui vous conditionne, par la pensée unique. Les faits sont les faits, et les résultats de la médecine Américaine est une des meilleures au monde. Vous allez être éclairé et étonné.

 

Il tellement devenu une habitude de cracher sur les USA dans la pensée unique des médias, qu’ils ne se rendent plus compte de la réalité. Le manque de diversité culturelle et intellectuelle des journalistes Français préférant présenter à charge des USA en permanence et passer sous silence le meilleur de ce pays par mimétisme de caste a complètement faussé la réalité.

Toutes les affirmations de cet article sont « sourcées » les liens sont en bas de page.

 

1- Est-on bien moins bien ou mieux soigné aux USA ?

Ce qui importe dans la santé, c’est le résultat.

La lutte contre les cancers est plus efficiente. La prévention des maladies est efficace. Le choix et l’offre des médicaments est beaucoup plus large. Les hôpitaux sont mieux équipés.

Quelques exemples que les états unis surpassent l’Europe et la France dans les soins.

-90% des patientes américaines atteintes d’un cancer du sein vivent au moins cinq ans après le traitement, contre un taux de survie de seulement 85% dans les autres pays de l’OCDE.

-80% des femmes américaines ont reçu un dépistage « opportun » du cancer du col de l’utérus, contre seulement 73% des femmes des autres pays de l’OCDE.

La performance supérieure de l’Amérique en matière de soins contre le cancer est incontestable.

Une étude de 2017 sur l’épidémiologie et la santé a révélé que, par rapport à la Grande-Bretagne, le Canada et la France, les États-Unis ont enregistré de meilleurs taux de survie pour le cancer de la prostate et de l’estomac, ainsi que pour le cancer du sein.

Les États-Unis ont les taux de survie à cinq ans les plus élevés pour le cancer du sein, du côlon, du poumon et de la prostate.

Les taux de mortalité américains 30 jours après une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral (AVC) sont nettement inférieurs à ceux de la plupart des autres pays de l’OCDE. Source étude internationale American Medical Association.

90% des Américains nécessitant une intervention chirurgicale sont en mesure de planifier dans un délai d’un mois après avoir été informés qu’ils ont besoin de l’opération. C’est le plus court temps d’attente et la meilleure productivité du monde.

 

Il y a des limites inhérentes à toute comparaison de pays à pays. Il existe de grandes différences entre les pays dans les modes de vie, la génétique et les facteurs environnementaux.

Par exemple, la population Américaine a plus de gens notoirement en surpoids . Le taux d’obésité aux États-Unis est 3eme plus élevé parmi les 36 pays membres de l’OCDE. C’est aussi le facteur déterminant qui mine l’espérance de vie des Américains.

L’obésité engendre plus de maladies, telles que le diabète, les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux.

Plus d’un Américain sur 10 souffre de diabète, une situation qui engendre des coûts énormes sur le système de santé. La prévalence de l’obésité et du diabète n’affecte en rien la qualité des soins ou de gestion du système, à moins que la « solution » soit de cesser de traiter autant de diabétiques l’Amérique dépensera toujours plus, et l’obésité est une des raisons des coûts plus élevés.

 

L’offre est plus développée puisqu’il n’y a pas un « monopole du payeur ». Les négociations sur le prix des médicaments sur ordonnance menées dans les systèmes à payeur unique type sécurité sociale Française, engendre un refus d’achat de médicaments dont le prix dépasse les montants fixés et donc limite l’offre dans nos pays européens par rapport aux USA.

Les hôpitaux sont mieux équipés et plus utilisés.

Les quatre graphiques suivants sans commentaires montrent le nombre et l’utilisation d’appareils d’IRM et de Scanners dans les pays occidentaux.

Les USA sont quasi toujours devant.

Par rapport au cliché anti-américain : en ce qui concerne les maladies coûteuses, la lutte contre le cancer, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux et autres l’Amérique obtient des résultats supérieurs et soigne nettement mieux ses malades en offrant plus de choix de médicaments et des hôpitaux mieux équipés. Mais le mode de vie entraîne plus d’autres maladies comme les diabètes liées au surpoids.

 

 

2-Les coûts de la santé

Les soins de santé aux États-Unis sont chers, principalement parce qu’ils utilisent beaucoup de main-d’œuvre plus qualifiée, qui coûte plus cher aux États-Unis que dans d’autres pays. Le temps d’étude supérieure (minimum 9 ans) pour obtenir les diplômes de médecine sont plus longs et complets que dans les autres pays.

Les États-Unis représentent 41% des dépenses mondiales en médicaments, contre 13% pour les cinq plus grands pays européens réunis et 11% pour la Chine.

Les négociations sur le prix des médicaments d’ordonnance menées par les autres pays occidentaux comme en France, organisent un concept en une gestion de « refus d’achat » de médicaments et moyens pour les assurés par le conventionnement de la sécurité sociale, et privent les habitants de ces pays de la disponibilité des nouveaux nombreux médicaments qui peuvent améliorer le sort des patients. Les USA en marché libre diffèrent de ce principe de monopole « conventionné ou invisible » pour les patients comme en France.

4 des 5 plus grosses multinationales pharmaceutiques du monde sont Américaines. Les coûts de développement proviennent principalement des revenus provenant des États-Unis. Le patient Américain paye les coûts de développement et d’investissement de mise sur les marchés des nouveaux médicaments pour le monde entier. Les médicaments sont plus chers qu’en Europe.

 

En France, par exemple, la sécurité sociale ne conventionne que 23% des nouveaux médicaments, tandis que les régimes d’assurance privés Américains couvrent 84% des nouveaux médicaments.

L’offre abondante peut laisser des individus à supporter des frais de leur poche pour avoir accès aux meilleures thérapies innovantes qui ne sont pas encore une diffusion en volume pour être compétitifs. Mais au moins les médecins ont un accès à des propositions d’offre et de choix plus complètes pour leurs patients.

 

 

3-Espérance de vie.

L’espérance de vie est excellente aux USA.

Ne dites jamais cela en public, sinon vous passerez pour fou. Il faut dire que Google et les publications médiatiques ne manquent pas pour prouver le contraire. Un conditionné en général n’accepte pas la contradiction de ses certitudes même en face des preuves.

 

Quand on compare, l’espérance de vie de la France et qu’on en fait un argument, c’est comme si les Luxembourgeois se moquaient de l’espérance de vie de la France. En France, on vit plus vieux en région Parisienne que dans le Grand Est. C’est pareil aux USA, mais en plus à une échelle d’un pays qui fait la moitié du continent. On vit plus vieux dans le New-Jersey qu’au Mississippi.

 

Si chaque état Américain était compté comme un pays (il y en a 50), le New-Jersey, le Massachusetts, le Connecticut seraient les pays à la meilleure espérance de vie du monde…

La comparaison est loin d’être ridicule, le Minnesota a autant de population que la Suède ou le Danemark, les gens y meurent plus vieux qu’en Suède et Danemark qui sont pourtant classés dans le top du monde devant l’Amérique tout entière…

La différence d’espérance de vie de la moyenne aux USA n’est en aucun cas liée au système de santé mais aux comportements, comme la prise d’opiacés et les suicides. C’est une moyenne. Plusieurs états Americains onr une plus grande espérance de vie que les autres pays occidentaux.

 

4-Taux de mortalité infantile

Pour la mortalité infantile, vous ne pouvez éviter la caricature sur les statistiques négatives du taux de mortalité plus élevé que d’autres pays occidentaux.

C’est même un argument majeur de l’antiaméricanisme que vous avez tous entendu…

 

Le gros problème, c’est qu’en fonction du pays, elle n’est pas comptabilsée pareil.

 

En France, Belgique ou l’Espagne ne compte dans les statistiques de mortalité que les bébés nés après 22 semaines de gestation soit de 140 jours après la naissance jusque la fin de la 1ere année.

En Pologne, en Allemagne un bébé doit peser au minimum plus de 1kg pour compter comme une naissance vivante dans les statistiques. On compte les enfants nés vivants, on exclut les enfants morts nés.

Dans les statistiques de mortalité infantile, aux États Unis la définition de la mortalité est prise au jour de la naissance. Ce qui modifie la totalité des effets d’annonce diabolisant antiaméricains qui vous sont imposés.

 

La vérité est qu’en ajustant au niveau américain les données, c’est à dire mortalité dès la naissance sans pondération comme les pays qui excluent le temps de gestation (France) comme le poids, l’Amérique se retrouve dans le top 3 avec une mortalité au plus haut niveau et les pays qui se gargarisent d’en avoir une plus faible comme la France passent au dessous.

A contrario, les États-Unis ont le taux le plus élevé du monde de naissances avant terme. Les professionnels de la santé américains, dépensent des centaines de milliers de dollars en moyens pour sauver la vie d’un bébé prématuré plus que tout autre pays au monde.

 

 

 

5-Les Américains disposent-ils tous d’une assurance maladie et peuvent ils tous être soignés ?

Aujourd’hui, plus de 91% des Américains ont une assurance maladie d’une manière ou d’une autre. Un peu plus de la moitié des Américains sont couverts par une mutuelle ou assurance employeur ou par un membre de leur famille. (Salariés, employeurs, enfants).

Les autres cas hors employeur sont :

-18% (60 millions) ont une couverture par le biais de Medicare, un programme fournit par la sécurité sociale (la sécurité sociale aux USA, c’est l’assurance retraite) qui couvre à 100% toutes les personnes âgées de plus de 65 ans et les personnes handicapées (hors optique et dentaire).

-17% ont une couverture par le biais de Medicaid, un programme qui couvre les personnes à faible revenu. Le système a été copié dans le monde entier, en France, le gouvernement Français a copié le principe avec la CMU.

-5% achètent une couverture maladie sur le marché individuel, soit Obamacare, soit directement auprès d’une compagnie d’assurance.

 

 

6-Détail des 30 millions de « non-assurés » qui font le cliché antiaméricain médiatique.

Environ 9% des Américains, (30 millions) n’ont pas d’assurance maladie officielle.

-Plus de la moitié d’entre eux, (55%) sont principalement du « non recours ». La transition ou mobilité sociale joue. Certains attendent d’avoir un job et un employeur, ou alors une maladie concrète pour s’inscrire aux droits qu’offre a tous Medicaid.

En examinant les données, les analystes de l’AEI ont noté qu’environ 15 millions d’Américains non assurés sont éligibles à une couverture Medicaid. Il manque juste aux USA un service d’inscription automatique des personnes sans couverture d’assurance à Medicaid actuellement en phase de préparation pour combler cette lacune.

-4 millions de personnes sont éligibles à une assurance parrainée par l’employeur, mais ne s’inscrivent pas et ne remplissent pas les papiers de l’assurance de leur employeur.

-4 millions sont des 100% illégaux aux USA ou migrants économiques (sauf femmes enceintes). Les migrants légaux qui n’ont pas 5 ans de présence aux USA et n’ayant pas pris d’assurance individuelle ou mutuelle employeur sont inadmissibles à une couverture sociale Medicare ou Medicaid financée par les contribuables (les vrais réfugiés politiques persécutés, les exilés Cubains n’ont pas à attendre 5 ans).

-4,5 millions ont des revenus annuels élevés ou rentiers qui dépassent les 400% du niveau de pauvreté fédéral (103 000 $) et ne sont pas admissibles à Medicaire ou Medicaid et refusent sciemment d’avoir une assurance privée et payent leurs soins de leur poche.

-2,5 millions de personnes non assurées sont de pauvres Américains qui vivent dans des États qui n’ont pas étendu la prise en charge gratuite de Medicaid. C’est un problème de blocage Américano-américain politique qui serait résolu par des mesures ciblées et qui n’ont jamais été faites.

 

La loi fédérale oblige tous les hôpitaux à but non lucratif à traiter les patients Medicare et Medicaid. Les clichés Anti-américains qu’adorent caricaturer les journalistes gauchistes comme France5 qui expliquent que les hôpitaux refusent les patients sont juste stupides et des cas rares et exceptionnels de malveillance mais n sont pas la réalité. Medicare et Medicaid représentent 50% de tous les soins fournis par les hôpitaux. Par conséquent, Il serait économiquement suicidaire pour les hôpitaux de refuser ces patients.

La loi fédérale oblige tous les hôpitaux dotés de services d’urgence à fournir un « examen » et un « traitement stabilisateur » à toute personne qui se présente, indépendamment de sa capacité de payer et même de son statut d’immigration.

Par rapport aux clichés anti-américain : tous les Américains sont assurés ou assurables et personne ne reste dans la rue sans rien. Il n’existe pas d’américains qui ne peuvent pas bénéficier d’une couverture maladie.

 

 

5-Obamacare, pourquoi un échec ?

Une promesse pour les « non-assurés » dévoyée vers les « déjà assurés » par les politiciens.

Obamacare (Loi sur les soins abordables) est une assurance publique subventionnée qui a été présenté par le président Obama comme une tentative généreuse d’assurer les personnes en difficulté « non assurées ». Le problème est venu de suite, car dans la société ceux qui ne sont pas assurés sont généralement aussi les gens qui ne votent pas, et les politiciens ne roulent pas pour eux.

La promesse idéaliste de dépenser beaucoup d’argent pour les gens qui ne votent pas, à été dévoyée par les politiciens démocrates associés à Obama, qui eux on voulu étendre la loi pour transformer les populations qui votent en passagers clandestins des supposés avantages de Obamacare pour tous les salariés, mais néanmoins capables de disposer d’une assurance ou mutuelle classique.

En déviant du but initial de ne cibler que les extrêmes pauvres, et prenant en charge les « déjà assurables individuellement » et que cette assurance remplacerait une mutuelle privée classique Obamacare c’est dévoyé.

Les gens venus de l’assurance privée employeur ou individuelle ont découvert en remplacement une prise en charge bien inférieure, une franchise élevée, une offre de soins avec moins de médecins et hôpitaux conventionnés, et en général les hôpitaux les moins réputés. Beaucoup en adoptant Obamacare ont été contraint de changer de médecin.

 

Exemple, 42% de cardiologues et de cancérologues en moins.

Exemple les facturations médicales surprises souvent liées à des urgences ou circonstances, le patient reçoit une facture lourde parce que non couverte et agréé par Obamacare.

Un peu moins cher qu’une assurance privée, mais toujours moins bonne.

Des mutuelles privées comme Aetna, Humana ou UnitedHealth Group, non subventionnées, avant Obamacare spécialisées dans la couverture des soins des personnes modestes, avec des marges extrêmement faibles, offraient une meilleure prise en charge. Leurs marges étaient compensées par les volumes, et ils se sont retirés du marché à l’arrivée d’Obamacare imposé, qui a enlevé leurs parts de marché.

 

Obamacare est un échec. Il n’a pas résolu le problème des non recours, et en plus a créé une situation de plus mauvaise qualité que l’assurance privée pour ceux qui l’ont adopté.

 

Obamacare a créé une situation pire qu’au point de départ. L’enfer est pavé de bonnes intentions.

 

 

 

 

Par Spartacus Lequidam

Tweeter : @lequidampost

Blog : www.lequidampost.fr

 

Quelques sources contributives à la création de cet article :

https://www.justfacts.com/healthcare

https://www.brookings.edu/policy2020/votervital/current-debates-in-health-care-policy-a-brief-overview/

https://www.heritage.org/health-care-reform/commentary/americans-get-more-their-health-care-dollars-we-can-do-better

https://www.manhattan-institute.org/issues-2020-drug-prices-account-for-minimal-healthcare-spending

https://spectator.org/making-a-bigger-mess-of-medicaid/

https://www.healthcare.gov/immigrants/lawfully-present-immigrants/

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Coronavirus. L’exemple de la Corée du Sud

Le Coronavirus montre que comparé à eux, nous sommes un pays communiste qui s’ignore avec une planification tchnocratique de santé digne de l’ex-URSS …

 

Vous allez vite comprendre :

Comparez (en utilisant un traducteur) le site du ministère de la santé Coréen du Sud  http://ncov.mohw.go.kr/

Et le site du ministère de la santé Français : https://solidarites-sante.gouv.fr/

 

Sur l’un vous savez en toute transparence, combien de test effectués, au détail par région, le nombre de gens infectés au détail et les risques encourus dans chaque région, en toute transparence.

Sur le Français vous avez des infos basiques et la photo sans aucun intérêt d’un ministre et 2 secrétaires d’état en mal de notoriété qui se font de la pub.

 

Pendant que Bruno Lemaire faisait une loi communiste sur le contrôle des prix de solutions hydro-alcooliques, totalement décalée réquisitionnait par la force des masques pour les employés administratifs de Bercy les Coréens organisaient un dépistage de masse et imposaient le port des masques dans tous les commerces.

 

Les Coréens ont mis 50 stations libres d’accès de test gratuits ou il faut 10 minutes pour savoir si on est infecté ou porteur de la maladie. Vous trouverez sur le site du ministère en temps réel le nombre de gens qui se sont fait tester. Au moment de faire l’article ils sont 287 000.

 

Il a été demandé aux mutuelles et assurances santé d’envoyer à leurs adhérents les règles d’hygiène et prévention, par mail et SMS.

Messages simples faisant appel à la responsabilité individuelle « Portez un masque pour vous déplacer, utilisez fréquemment le lavage des mains, éloignez vous des gens et ne vous embrassez pas. ».

 

Une directive a demandé aux établissements en contact avec le public, que les personnels portent tous des masques. Tous les employés des commerces portent des masques.

 

Les restos, les lieux de réunion, ont un message devant chaque porte « Pas de masque, pas d’entrée », mais les commerces sont restés ouverts, pas de destruction économique, pas de confinement.

 

Une cellule spéciale du ministère a été chargée d’enquêter sur les déplacements des personnes infectées et proposer le test de dépistage aux relations rencontrées par les infectés.

Des appels publics ont été fait pour retrouver les personnes ayant été en contact avec les personnes infectées.

 

Les aéroport ont contrôlé l’immigration et les personnes venant de Chine, ou pays a risque doivent remplir un questionnaire de santé. S’ils présentent des symptômes ils sont testés.

Les personnes à risque, malades et personnes âgées ont été placées en zone à visites limitées.

 

Le pays a pré-réquisitionné  les salles des fêtes et de sport pour une transformation en centre santé de quarantaine pour les personnes présentant de légers symptômes du coronavirus.

 

Ce pays plus touché que les autres au départ est celui qui s’en sort le mieux, a réussit à la contenir et est en route vers l’éradication. La Corée n’a pas agressé sa population de lois liberticides et d’entraves aux libertés comme les Chinois.

La Corée fait reculer le développement du virus mieux que tous les autres pays sans confinement des masses.

Nous copions en France l’exemple coercitif d’une dictature Chinoise, comme l’Italie le fait aussi.

 

Nous ferions mieux de copier l’exemple d’une démocratie transparente comme celle de la Corée du Sud qui a évité le confinement et préservé l’économie à ses concitoyens, que l’exemple d’une autocratie qui ment et a même exclus ceux qui ont dévoilé la maladie.

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L’humain a t-il réellement encore besoin de la nature?

Cette question va à l’encontre de l’air du temps et de la pensée unique que nous impose la société. Elle peut vous valoir un procès en diabolisation si vous osez vous opposer à la biodiversité et la remise en cause d’un principe religieux écolo, « la nature en premier ».

Cette question est loin d’être anodine depuis que le lobby écolo a pris les rennes de la politique, des médias, de l’éducation et même d’un ministère idéologique, et nous conditionne à charge matin midi et soir sur les questions de notre emprise sur l’environnement.

La terre est dominée sans partage par l’homme. L’homme agit autrement que tous les êtres vivant sur terre. Il est totalement différent. L’homme a tellement évolué qu’il n’y a rien d’autre que lui qui lui ressemble. Nous entendons tous les jours que l’homme bon et juste vit en « harmonie avec la nature » mais en fait, vivre en harmonie avec la nature c’est vivre en sauvage. Nous ne vivons pas en harmonie avec la nature, et bien heureusement.

Notre société a tellement évolué, peut-on encore dire que nous faisons partie de la nature?

Bien sur que non!

Nous sommes d’une autre nature, une nature évoluée et évolutive.

Notre évolution nous a rendus « non-naturels », « hors-nature » ou « extra-naturels ».

Notre évolution nous a rendu tellement puissant que rien de naturel sur terre ne nous égale. La réponse aux questions de savoir si nous faisons toujours partie de la nature, et si nous en avons même besoin repose sur une compréhension de ce que nous voulons.

L’homme fait plus qu’utiliser la nature à son profit, il la transforme, il la manipule et crée un monde qui n’a rien de naturel.

Le futur de la terre est une domination, une domination pure et totale. Pas l’utopie écologiste d’un retour à une nature totalement fantasmé et idéalisé.

En fait la nature est hostile lorsque l’homme ne la domine pas. Elle n’est plus faite pour l’homme actuel et ne le sera plus. Nous vivons dans des villes, de béton et de verre, et les fougères sont dans le jardin à l’herbe coupée à la tondeuse, et les serpents on les admire au zoo.

La grande particularité de l’humain, c’est qu’il avance vers l’inconnu. Il n’a pas de point de repère, il n’y a pas d’exemple pour se comparer à ce qu’est réellement un être qui a quitté le naturel. De la même manière, un environnement « humain » est à créer. L’environnement naturel est caduc.

Ce qui nous rend humains en premier lieu, ce qui n’est pas aussi évident qu’il y paraît, c’est un statut totalement différent de tout ce qui existe de naturel.

L’homme du 21eme siècle n’est pas ou plus du tout fait pour vivre dans la nature, il a dépassé le cap. Nous n’avons rien à voir avec l’indien que Colomb a découvert, nous ne pourrions vivre comme lui au milieu de la nature.

Notre statut est celui d’animaux modifiés ou «dénaturés». Nous sommes des créatures qui se sont séparées du monde naturel. L’homme c’est séparé progressivement de la nature initiale.

La nature à l’état brut nous pose plus de problèmes que d’avantages.

L’homme a fait la bombe atomique. L’homme avance sur la route du pouvoir d’un dieu. Actuellement les chercheurs essayent d’allonger la vie comme celles sur le transhumanisme et nous progressons sur l’élimination du vieillissement naturel.

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Les plantes poussent sans terre, avec du soleil artificiel qui n’a rien de naturel. Les premiers immeubles en agriculture hydroponique sur plusieurs étages se construisent dans les zones industrielles, même pas à la campagne. A Londres, c’est sous terre que des salades sont produites.

Il y a bien longtemps que nous ne prélevons plus à la nature sauvage nos aliments, les animaux sont domestiqués et les premiers steaks artificiels sans vaches sont en élaboration dans les centres de recherche.

 

90% des fruits et légumes que nous consommons n’existaient pas sous la forme actuelle il y a seulement 400 ans. Le chihuahua, que promène mamie, c’est l’homme qui a créé cette race comme toutes les races de chien sur la base d’un loup. Les races d’animaux domestiques n’ont pas été créées par la nature Darwiniste, mais par les sélections supra-naturelles de l’homme.

On peut même se passer de la mer et ses poissons à l’état naturel. Le poisson d’élevage et l’aquaculture remplacent le poisson sauvage sur nos étalages dans les pays occidentaux.

Nous n’avons pas besoin de la nature pour faire de la sélection naturelle. La sélection génétique des OGM, de l’ADN sont maîtrisés et transformables à volonté par l’homme. La révolution biologique est de plus en plus pointue.

Nous ne savons pas où nous allons, les écolos paniquent sur notre destination. Ils ont peur du changement et peur de l’inconnu. La peur du risque. Leurs palabres sont anxiogènes. La nostalgie d’un passé en contact avec la nature idéalisé factice qui joue sur une nostalgie romancée.

En réalité, ils vivent en ville, veulent des arbres à Paris en face de chez eux, mais ont peur de faire quelques kilomètres et se déplacer pour se promener au milieu des arbres du bois de Boulogne. Vous les imaginez pousser une charrue?

Ce sont des enfants gâtés de l’abondance. Ils ont inventé le « principe de précaution, c’est la peur du modernisme qui les anime. La nature n’est que l’excuse. Aucun ne se propose de jeter son portable et sa fourchette dans la poubelle à produits électroniques et métaux.

On peut dire que les choix et possibilités de nos progrès technologiques rendent difficile d’imaginer quel futur s’offre à nous.

Elles sont tellement nombreuses et inconnues qu’elles engendrent des réactions de peurs et certains s’auto-persuadent que la croissance ou le rejet du modernisme et un retour a la nature serait salutaire

C’est le coût de la liberté. La liberté engendre la peur du futur pour ceux qui ne sont pas sur d’eux ou habitués à être pris en charge.

Pourquoi préserverions-nous un statu quo avec la nature?

L’argument de la biodiversité à y réfléchir sur le fond, pose aussi une question, c’est pourquoi faire ? Faires des zones musées ou se promèneraient tranquillement les animaux qui ne peuvent suivre notre évolution?  Pour se donner bonne conscience ? Pour le paraître proche de la nature ? Par mimétisme écolo?

Pourquoi n’éradiquerions pas tous les moustiques parasites ? Ces sortes d’insectes n’ont que des inconvénients et indispensables à personne. Que le paludisme, c’est 200 million de victimes. Au nom de la biodiversité,  laisser le paludisme, chikungunya ou maladie de Chaga décimer les humains?

Il faut admettre la vérité, la nature ce n’est pas les allées du parc ou les bobos promènent leurs enfants dans des poussettes que les écolos essayent de nous faire croire. Les Orangs-Outans, la jungle, les bobos aiment, mais là bas, en Indonésie ou Amazonie. Ils ne veulent pas savoir que les autochtones ont peur de traverser un fleuve et que l’espérance de vie est moindre quand on est un peu trop proche de la « vraie » nature et les efforts nécessaire pour y vivre.

Les grands changements font partie de notre évolution.

Nous devons accepter ce que nous faisons, nous devons accepter notre domination sans précédent.

Non pas que le modernisme n’a pas d’effets pervers parfois indésirables, mais il faut les accepter, tenter de les réduire, comme réduire la pollution mais pas de refuser le modernisme pour autant.

Le changement climatique ? On vit très bien à Las Vegas.

Nous gagnerions à nous adapter au climat qu’essayer de le faire revenir à un état naturel qui va grever notre prospérité, et appauvrir le monde.

Les écolos pensent que les besoins de modernisme sont suffisants et que l’humain doit faire un retour vers la nature et veulent imposer une « décroissance ».

Le PIB a été multiplié par 150 dans le seul dernier siècle. A la fin de notre siècle, elle sera du même ordre. Multiplié par entre 100 et 200 fois selon les facteurs d’innovations techniques de rupture.

C’est dans les pays ou la modernité est apparue que la famine a disparue et le niveau de vie c’est développé.

Vous pouvez facilement résumer les scénarios dans lesquels une hausse de quelque degré est facilement assimilable.

En 2100 le pouvoir humain sur la nature sera tellement augmenté, que l’homme domestiquera le temps sans avoir de pertes de libertés et contraintes comme on lui propose aujourd’hui.

La décroissance que nous impose le pire lobby que la terre connaisse, le lobby écolo-gauchiste, nous promet l’étatisme, le taxatisme, nous rendra pauvre, et fait perdre nos libertés. Le moteur des « excuses » des coercitions est « la nature », mais la nature n’est pas le paradis.

Les arguments en faveur du maintien de la biodiversité sont généralement basés sur la survie, l’économie ou l’éthique.

Les arguments ne fonctionnent qu’a l’anxiogène et la diabolisation de l’humain.

Il est raisonnable de penser qu’avec le temps, la plupart des solutions biologiques, métrologiques pourront être synthétisées autrement que par la décroissance et la technologie que par la contrainte, le totalitarisme et l’étatisme.

La réponse est simple, nous avons changé la nature, et nous ne reviendrons pas en arrière…

L’écologie est la peur de l’inconnu et du changement et une nostalgie idéalisée d’un monde naturel fantasmé…

La nature, c’est joli, une belle image, mais faut pas sur-jouer son importance. A l’état brut elle n’est pas sympa.

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