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Paris capitale de la honte, qui idolâtre le « Che » un psychopathe meurtrier…

La maire de Paris, socialiste a fait une exposition sur le « Ché » qui ne passe plus comme elle serait passé dans les années 80. Internet est passé par la et les sources d’informations sont plus diversifiées. Le monde a changé et le socialo-communisme ne peut plus nous imposer ses chimères et mensonges.

Le Ché en train de tuer
Le Ché en train d’exécuter une famille

 

Sur Twitter, jeudi 28 décembre, la maire de Paris a qualifié le révolutionnaire marxiste Argentin d’« icône romantique », à l’occasion d’une exposition consacrée au « Che » en plus financé sur fond public (la Marie de Paris) et se trouve sur une propriété publique payé par le contribuable. Un éloge d’un criminel, fanatique tueur de masse en omission de ces crimes.

Paris est sali avec ce communiqué de sa maire et cette exposition une infamie. Pourquoi pas une exposition à l’éloge de Hitler ? Pol Pot ? Cette exposition est un immondice qui discrédite notre pays au yeux du monde.

Un bourreau guérillero qui tue par principe sans limite, sans règle ? Une « icône romantique » ? C’est une seconde humiliation pour les victimes.

 

Le Ché tire
Le Ché menace avec son arme

On est toujours éberlué de contempler cette gauche qui trouve l’inspiration et voue tant d’amour et d’adoration pour les tyrans meurtriers, les tarés les plus répugnants de l’histoire.

L’humanité en son temps avait déjà fait l’éloge de Adolphe Hitler au nom du pacte germano-soviétique et les membres du PCF de Paris ont proposé à l’arrivée des Allemands dans Paris leurs services.

Les socialo-communistes font toujours fait l’éloge des meurtriers de masse. Le dictateur russe Joseph Staline a même fait l’objet de poèmes, lui qui a massacré des dizaines de millions de personnes. Mao Zedong, Pol Pot ou Castro sont des exemples de leurs admirations successives comme aujourd’hui ils encensent le Venezuela, et les affameurs Maduro et Chavez.

 

Le Ché arme au poing
Le Ché arme au poing

Une figure gauchiste a acquis un statut d’icône populaire avec la gauche post-soixante-huitarde, Ernesto « Che » Guevara, le médecin argentin devenu guérillero dont le visage a orné en son temps les tee-shirts de millions de hippies et d’étudiants formatés par l’éducation nationale.

Les profs de cette éducation nationale à majorité complaisants aux idéologies socialistes ont fabriqué un enseignement d’une fake-histoire et leurs dénis idéologiques ont censuré la réalité de ces monstres socialistes.

La gauche toute entière a revisité l’histoire et transformé un type sadique et monstrueux en mythe révolutionnaire.

Aujourd’hui les gens ne savent pas les vérités sur le socialisme, le résultat du socialisme et les icônes socialistes quasi tous des monstres aux pulsions criminelles. Le Ché encensé comme icône et ses crimes sont quasis inconnu du public en est la preuve de la bienveillance envers les idéologies socialistes de l’éducation nationale. C’est dramatique.

La gauche a réussit a faire croire que le Che était un combattant de la liberté qui menait des soldats révolutionnaires dans la bataille contre leurs oppresseurs dans des pays pauvres du monde entier, de Cuba au Congo en passant par la Bolivie.

Le Che ordonne une exécution

Le Che ordonne une exécution

La réalité est bien plus sombre. Le Ché était un psychopathe meurtrier qui prenait plaisir à torturer et tuer. Après avoir aidé Fidel Castro à Cuba à renverser le régime de Fulgencio Batista, Castro nomma Guevara ministre des Finances, et il décima rapidement l’économie cubaine en embrassant les politiques socialistes et sa propre ignorance économique.

Guevara a également été placé en charge de la tristement célèbre prison de La Cabana à La Havane, où il a supervisé tortures et meurtres à la chaîne et sans procès. Après des arrestations et des interrogatoires superficiels, sans procès, les pelotons d’exécution du Che alignèrent des milliers de paysans cubains hommes, femmes et enfants qui ne comprenaient rien à ce qui leur arrivait contre les murs de la prison et les exécutèrent comme des ennemis de l’État.

 

Les intello-gauchistes toujours dans le déni de l’idéologie criminogène du communisme prétendent souvent que, bien que sa brutalité ait parfois été un peu excessive, le peuple cubain adorait toujours Guevara. Rien n’est plus faux. En fait, Cuba est un État policier et le Che en était le cofondateur. Les Cubains « l’aiment » de la même manière que les Roumains aimaient « Nicolae Ceausescu et les Allemands de l’Est » aimaient l’architecte du Mur de Berlin Erich Honecker.

Exécution Sierra Maestra troupes de Castro et Che

Exécution Sierra Maestra troupes de Castro et Che

Savez ce qui arrive à Cuba, aux Cubains qui osent dire du mal de ce monstre de « Ché » ? Ils sont arrêtés. Quand il était encore vivant, ils ont étaient exécutés ou rassemblés dans des camps de travail forcé. Donc oui, tout les Cubains aiment le « Ché ». C’est la loi qui l’exige par la terreur coercitive. Malheur à ceux qui désobéissent à la sécurité de l’État. Dire la vérité sur le « Ché » c’est risquer la mort.

Les gauchistes idolâtrent Guevara malgré le fait qu’il était l’instrument d’oppression brutale de Castro sur les paysans de Cuba, malgré le fait qu’il a écrasé la liberté de parole, le libre arbitre et emprisonné et torturé les homosexuels sans pitié.

En contraste avec le succès militaire qu’il a vu à Cuba sous Castro, lorsque Guevara a fuit Cuba et tenté de mener des rébellions insurrectionnelles à travers le monde, il s’est montré incompétent. Cette incompétence a finalement conduit à sa propre mort en Bolivie.

Bien que le Che soit venu en Bolivie pour mener une autre révolution, il n’y a pas un seul exemple documenté d’un paysan bolivien qui a rejoint son armée. Absolument aucun, contrairement aux textes revisités et enjolivés de wikipedia. La vérité est que son groupe en Bolivie frappait et terrorisait partout ou il passait et ses hommes violaient les femmes des villages.

Le Ché exécuté
Le Ché arreté et exécuté

Plutôt que d’être considéré comme un héros libérateur, les Boliviens le considéraient à juste titre comme un intrus tyrannique. Le maire de La Higuera, la petite ville où Guevara a été traqué, capturé et abattu. C’est le maire qui a appelé les autorités à révéler que Guevara se cachait dans leur petite ville.

C’était en plus un lâche qui a tenté de vendre ses adjoints pour essayer de se sauver de la mort. A son arrestation, plaidant pour sa vie. Quand le Che c’est rendu, voyant ses acolytes exécutés sommairement, il a crié : « moi suis Che Guevara, et moi il ne faut pas me tuer, j’ai plus de valeur pour vous vivant que mort ». Il demandait la vie pour lui, sans inclure ses camarades de révolution.

Devant les monstruosités qu’il avait fait en Bolivie, il a été exécuté, mitraillé comme lui exécutait ses victimes. Sans procès par les soldats des villages qu’il avait pillé auparavant. Ils n’ont pas tenu compte de ses suppliques.

 

Raoul Castro baillonne un prisonnier pour que le Che l'exécute.

Raoul Castro bâillonne un prisonnier pour execution

Le « Ché » est exemple concret du révisionnisme historique subit et organisé par la mainmise idéologique socialiste sur l’école et les programmes scolaires. Le « Ché » est un témoignage du succès des idéologues qui occupent l’éducation nationale arrivent à faire passer des monstres pour des icones dans nos écoles.

Les hordes d’étudiants manipulées par les forces politisées des syndicats, partis de gauche à l’école dans les années 70 et 80 ont porté fièrement des chemises et T-shirt arborant le visage d’un homme farouchement opposé à tant de principes et de croyances qu’ils prétendaient chérir.

Ils ont réussit à faire passer le Che comme un révolutionnaire qui s’est battu pour les pauvres et les opprimés, alors qu’il était un tyran psychotique qui se délectait de la torture et du sang, écrasait la liberté de parole et massacrait ses opposants politiques, réels ou imaginaires. Ces sycophantes profs gauchistes sont ce que le dictateur soviétique Vladimir Lénine a appelé des « idiots utiles ». Le « Ché » est révélateur de ce que le dissident russe Alexandre Soljenitsyne a écrit : « Le socialisme conduit à une destruction totale de l’esprit critique humain ».

L’éducation nationale politisé est particulièrement responsable de la censure de la réalité qui ont fabriqué cette fake-histoire négationniste des crimes et criminels socialistes qui se sont suivit durant des années.

 

C’est également avec beaucoup d’ironie que les capitalistes que nous sommes pouvons noter que le « Che », l’icône de la révolution socialiste à travers le monde, a généré des richesses incalculables pour ceux qui colportent des marchandises capitalistes contenant son image sur des T-shirts.

Les familles des victimes du « Ché », qui ont perdu, tel un père, tel un frère, tel un enfant de ses balles, doivent savoir que tous les Français ne ressemblent pas a cette caste d’intello-gauchistes manipulateurs idéologues qui organisent des expositions idolâtres pour un tel taré.

Recevez nos excuses et confusion d’avoir de tels gens a des postes si élevés comme la maire de Paris si pathétique. Excusez nous d’avoir dans notre pays des gens qui font passer l’idéologie avant le réel et refusent la contradiction. Ils ne représentent qu’une catégorie de Français.

Toutes nos pensées pour les victimes.

Quelques sources :

http://www.washingtonexaminer.com/che-guevara-was-an-evil-possibly-psychopathic-idiot/article/2636959

http://www.latercera.com/noticia/creo-una-gigantesca-mentira-alrededor-del-che-jacobo-machover-escritor-cubano-califica-asesino-ernesto-guevara-50-anos-muerte/

https://www.amazon.fr/face-cach%C3%A9e-du-Che/dp/2200617682/

https://www.dreuz.info/2017/09/18/la-verite-sur-le-criminel-profiteur-misogyne-parasite-et-hypocrite-che-guevara-cest-motus-et-bouche-cousue/

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Sénateurs branleurs surpayés

Certains diront que le Sénat est inutile. Pour beaucoup de Français, c’est une maison de retraite pour un personnel politique âgé, le refuge de politiques recalés du suffrage direct ou un repaire pour truands protégés par l’immunité parlementaire. Pour d’autres, il est indispensable à l’équilibre démocratique de notre système parlementaire.

En sus de son traitement mirifique, le sénateur bénéficie de toute une série de commodités. À la Chambre haute, on trouve, entre autres, un restaurant et sa célèbre cave à vin (quelques milliers de bouteilles), un salon de coiffure, une lingerie, une salle de sport (souvent vide), un labo photo et même un atelier d’ébénisterie…

Non seulement les sénateurs sont très bien logés quand il leur advient d’être à Paris (une dotation de 75 euros par jour leur est versée) mais ils peuvent aussi bénéficier de prêts avantageux pour l’achat d’un logement… Jusqu’à 75 000 ou 150 000 euros selon la région, au taux annuel de 2 % sur 18 ans. De quoi donner du baume au cœur des 3,6 millions de Français mal-logés…

Le Sénat buissonnier

Le plus scandaleux est que les sages de la Haute assemblée y mettent rarement les pieds. Seule une soixantaine de sénateurs sont assidus aux séances publiques. Pour leur défense, ces élus expliquent que le vrai travail parlementaire se déroule en commission et pas en séance. L’article 15 alinéa 3 du règlement du Sénat stipule qu’en cas de trois absences consécutives d’un sénateur dans la commission dont il est membre, son indemnité de fonction pourra être réduite de moitié. Malheureusement cette disposition n’a jamais été appliquée. De toute façon, ceux qui suivent les séances publiques du Sénat auront pu le constater, les sénateurs écoutent rarement l’orateur, trop occupés qu’ils sont à bavarder avec leurs voisins ou à s’occuper de leurs affaires personnelles.

Les heureux résidents du palais du Luxembourg n’ont aucune excuse pour expliquer ces absences. Comme pour les députés, chaque sénateur peut profiter de la gratuité du réseau SNCF et en 1ère classe (demi-tarif pour les conjoints) ainsi que 46 allers-retours en avion, en France métropolitaine. À Paris, chaque élu bénéficie de 3 000 euros de frais de taxi par an, d’une carte gratuite pour le métro et surtout du parc auto du Palais (une vingtaine de voitures à 45 000 euros l’unité).

« Le Sénat est le seul club que je connaisse où l’on paye la cotisation des membres ». Un sénateur

D’autres facteurs expliquent ces absences. Il existe 78 « groupes d’amitié » avec les pays étrangers. Ils permettent aux sénateurs de partir en voyage tous frais payés (et souvent en famille). Le travail sur place laisse beaucoup de temps libre pour les activités touristiques. Chaque sénateur peut adhérer à autant de groupes qu’il le désire. Il leur est demandé une cotisation annuelle de seulement 19 euros par pays. Et c’est sans compter les quelques dizaines de « groupes d’étude », à l’intitulé sympathique, comme « les arts de la rue et du cirque » ou « la chasse et la pêche ». Ces groupes sont le lieu d’intrigues de couloir et de lobbying, dont le Sénat est le carrefour.

La réserve parlementaire

Parmi les multiples ressources du Sénat, la réserve parlementaire (qui sert à financer des associations et des collectivités dans les circonscriptions) est comme la partie émergée de l’iceberg. Elle s’élève, selon les spécialistes du sujet, à 150 millions euros, Sénat et Assemblée nationale confondus. Le crédit de cette caisse, caché à l’intérieur des budgets de différents ministères, ne sert qu’à acheter les électeurs… Le vrai pactole, est celui de la caisse de retraite des anciens sénateurs qui se monterait à quelque 500 M euros.

Une retraite en platine

En moyenne, un sénateur touche 4382 euros nets par mois pour une obligation de cotisation de seulement 15 ans. La retraite maximum peut atteindre 6000 euros mensuels pour 25 ans de cotisation. Pour bien se rendre compte, après un mandat de six années, un sénateur recevra 1869 euros de pension. Cette somme est supérieure à ce que perçoit un Français du privé après 40 ans de cotisation. La réforme de 2010 ne change quasiment rien, si ce n’est l’âge légal de départ en retraite. Les veuves et veufs, pour leur part, touchent 66 % de réversion, taux le plus élevé de France… À force de privilèges, la douloureuse du Sénat, les contribuables la sentent passer. En 2013, le montant de la dotation de l’État dépasse les 323 millions d’euros. Cette enveloppe, votée par les sénateurs, est immédiatement placée, personne ne sait où, et fait des petits. Le profit ainsi dégagé, les Français ne le revoit pas, cela va de soi… Il sert probablement à opérer de nombreux et luxueux travaux de réfection du Palais et des immeubles achetés ici et là dans les beaux quartiers parisiens. Comme par exemple l’achat du 46, rue de Vaugirard en 2002, dont la rénovation a coûté plus de 10000 euros le mètre carré.

Contribuable associé

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