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Zemmour piège ses contradicteurs dans le « dilemme du Samaritain ».

Parfois, aider les gens est la pire chose que vous puissiez faire. Zemmour fait la leçon aux intellectuels progressistes et l’extrême gauche qui n’ont pas appris Buchanan à Science Po.

Le « dilemme du Samaritain » c’est quoi ?

L’économiste James Buchanan a inventé l’expression « le dilemme du Samaritain  » pour sa théorie. Il vient de la parabole biblique dans laquelle le marchand généreux a aidé l’homme battu et couché sur la route. Il le voit et paie les factures médicales et le remet sur pied.

Si on s’arrête à cette lecture, c’est une interprétation de gauche, le marchand est bon. Humaniste. C’est une bonne personne. Un « samaritain ».

Sauf qu’il existe une deuxième partie à l’histoire. La fois suivante le Samaritain emprunte la même route, il rencontre 3 autres personnes amis du 1er, qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit. Il les aide.

Il repasse encore et informés que c’est la route du samaritain, c’est ensuite 10 autres personnes qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit qu’il rencontre au nouveau voyage.

A chaque voyage, ils se multiplient. Très vite, le problème devient évident. Le Samaritain se retrouve obligé de dire non. Il doit retirer l’aide. Pour aider, il doit arrêter d’aider.

C’est une décision très difficile. L’aide ne peut pas être illimitée et on ne peut s’attendre à ce qu’elle devienne un abus du donateur et contraire aux intérêts du bénéficiaire.

La famille le lieu de découverte du « dilemme du Samaritain ».

Les parents découvrent cela avec les enfants. À un moment donné, vous devez couper l’aide financière pour les inspirer à l’indépendance. C’est l’un des moments les plus durs de la vie d’un parent : ça va à contre-courant. Les parents doivent mettre fin au soutien afin que l’enfant puisse trouver des façons créatives de vivre de manière autonome. Ils n’aiment pas ça. Les enfants vous remercient plus tard d’avoir fait la bonne chose. Plus tard.

Vous avez 2 enfants, frère et sœur. L’une est gestionnaire avec l’argent, paie ses dettes et a besoin d’un prêt rapide. Aucun problème. L’autre gaspille l’argent, il est en retard sur les factures. Lui prêter de l’argent perpétue le problème. Vous les aimez beaucoup tous les deux, assez pour ne pas permettre de mauvais choix. 

L’aide ne peut pas être illimitée si vous voulez vraiment qu’elle soit utile. Savoir quand et comment le faire est un « art  », pas une science.

Cela nécessite une expérimentation minutieuse au cas par cas. Il y a un moment dans le flux d’aide financière où il cesse d’aider et commence à subventionner l’oisiveté et les abus. Pour la maturité, pour la décence humaine, pour le respect de soi, il faut absolument qu’arrive finalement ce point où l’aide doit s’arrêter complètement.

La leçon s’applique à une vaste gamme de raisons.

La politique migratoire est un sujet auquel cette théorie s’adapte.

Le problème des aides aux migrants est précisément un cas de « dilemme du Samaritain »..

Les habitants de notre pays ont découvert qu’essayer de les aider est une bonne chose, mais que trop d’aide attire davantage. Le problème que vous cherchiez à résoudre s’aggrave. Le peuple de France a compris que tous les habitants du monde vient de partout pour vivre de la bienveillance du pays et ds aides sociales.

Ainsi va-t-il. Aider semble bien. Zemmour est le porte parole du « dilemme du Samaritain ».

Pourquoi les intellectuels comprennent moins vite que la population le « dilemme du Samaritain » qu’engendre les politiques d’aides migratoires ?

La théorie du « dilemme du Samaritain » n’est pas apprise à Science Po d’où les contradicteurs de Zemmour sortent majoritairement.

Les intellectuels et politiciens sont sociologiquement des enfants des sciences humaines et sociales. Plus payés en fonction d’un statut, d’une compétence indifféremment de l’encaissement des factures de son travail.

Une personne dans le commerce ou l’entrepreneuriat sociologiquement plus de droite, est bien plus a même de percevoir le « dilemme du samaritain » qu’un intellectuel de gauche. Toutes les serveuses dans un bar on étés un jour confronté au client qui lui a demandé de faire crédit pour un café qu’il paiera demain. Elle sait que même si la majorité est sincère, que même si c’est un voisin ou un client régulier, il arrive parfois que l’un d’entre eux ne revient pas et qu’en conséquence, lorsque qu’elle se trouve confronté à une telle demande, même comprenant, elle ne peut pas toujours aider sans prendre un risque que cela devienne un habitude ou un impayé.

Le terain et l’expériance du contact social est bien meilleur école pour comprendre « qui est qui’ que ne le sait le meilleur intellectuel diplomé en science sociale ou humaine de notre pays.

Zemmour radical ou contradicteurs pro-migrants irresponsables ?

Ne pas aider les migrants n’est pas une idée si radicale, encore moins cruelle. 

Si vous nettoyez toujours après vos colocataires, ils ne prendront jamais la responsabilité de leurs propres dégâts. Si les personnes qui prennent des risques irresponsables en escaladant la montagne sont toujours secourues aux frais de l’État, les aventuriers ne calculeront jamais correctement les coûts des risques qu’ils encourent. C’est pourquoi les randonneurs doivent payer leur propre sauvetage.

Cela semble cruel ? Pour un irresponsable intellectuel de gauche, mais factuellement pas vraiment. Parfois, vous devez retirer de l’aide pour inciter à une prise de décision appropriée. 

Il n’y a pas de règle absolue sur la quantité d’aide qui est trop d’aide, pas de point précis où vous êtes allé trop loin et avez causé plus du problème que vous essayez de résoudre. 

Pourtant, il est tout à fait insensé de ne pas admettre que le dilemme du Samaritain est réel. 

Elle fait partie de la vie telle que nous la connaissons et elle apparaît partout. C’est le grand problème auquel est confronté quiconque cherche à faire le bien. 

Ce qui nous amène au penchant des progressistes et de l’extrême gauche à tout promettre gratuitement. Soins de santé gratuits.

Des emplois pour toujours. Jamais aucun problème, grâce aux impôts illimités et à l’emprunt public. Pas de limites. Omniprésent, illimité, à jamais générosité ! 

Si vous êtes contre, comme Zemmour, vous êtes méchant vous serez accusé de « raciste. Cruel. Une mauvaise personne. 

Rassurez vous, Vous ne l’êtes pas. Vous êtes juste rationnel qui sait mettre le contradicteur en face de son « dilemme du Samaritain ». Et que derrière l’étiquetage il n’y a pas d’argument rationnel.

https://en.wikipedia.org/wiki/Samaritan%27s_dilemma

https://promarket.org/2021/09/26/buchanan-samaritan-dilemma-economic-history/

Par S Lequidam

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1 milliard de dollars pour concurrencer Twitter et Facebook

Le prochain président des Etats-Unis n’aura pas besoin du monopole des médias progressistes. Il est en train de créer son propre média qui va les concurrencer.

Devinez qui dispose de 1 milliard US$ de cash pour construire un système pour concurrencer Twitter, Facebook et échapper à la censure politique progressiste en monopole des médias progressistes et d’extrême gauche pro-démocrates?

Donald Trump avec sa société « Trump Media & Technology Group (TMTG) ».

Trump a commenté l’engagement de financement :

« Un milliard de dollars US envoie un message important aux Big Tech que la censure et la discrimination politique doivent cesser. L’Amérique est prête pour Truth Social, une plate-forme qui ne discrimine pas sur la base de l’idéologie politique »,

Donnald Trump construit le clone Twitter et Facebook et le message est clair, il en a les moyens. 1 milliards, ce n’est pas une plaisanterie. C’est du concret pour se payer les censeurs.

L’ancien président américain  Trump a obtenu le soutien d’investisseurs anonymes pour le développement de son alternative à Twitter et Facebook : Truth Social.

Donald Trump a obtenu un milliard de dollars US pour financer son réseau social Truth Social. La société nouvellement formée Media & Technology Group (TMGT) de Trump reçoit un soutien financier de la part de Digital World Acquisition Corp. (DWAC). Le capital provient d’un groupe hétérogène d’investisseurs institutionnels.

 Trump a utilisé en effet levier la société « Digital World » une SPAC. Une SPAC se traduit en Français par « Société d’Acquisition à Usage Spécial ». Une SPAC aux USA, c’est un groupe d’investisseurs qui lève des fonds pour une société écran sans activité commerciale juste destiné à lever de l’argent pour un grand projet. La SPAC devient connue pour l’investisseur, généralement pour 10 $ l’action, puis augmente sa valeur au fur et à mesure du nombre d’investisseurs ou des montants qui composent le capital.

 Digital World a initialement levé 239 millions de dollars. Après l’annonce de la fusion avec TMTG, le cours de bourse a plus que décuplé. Une fois que la fusion sera totalement terminée, seule la société de Trump (TMTG) sera cotée en bourse.

Trump devrait recevoir alors des dizaines de millions d’actions gratuites, ce qui devrait représenter une valeur comptable d’au minimum 2 milliards à plusieurs milliards.

Trump a annoncé que pour la création et le fonctionnement il disposait dors et déjà 1 milliard de cash.

 La date de lancement officielle de Truth Social n’a pas encore été fixée. Les médias progressistes jamais en mal de dénigrement on fait les titres pour expliquer qu’un certain nombre de pirates et d’attaquants avaient déjà réussi à accéder au réseau en cours d ‘élaboration. En fait ils se sont attaqué à une version de démonstration imparfaite juste vitrine de démonstration.

Techniquement, la première présentation semblait être basé sur le logiciel libre Mastodon. La presse Maelstrom a gargouillé sur le fait que le code de Mastodon est sous licence.

Dans le réel, personne ne sait. La version définitive s’en inspirera peut être, mais rien n’est écrit, On verra le 1er trimestre 2022.

On l’oublie, mais Donald Trump à lui seul regroupait 81,8 millions d’abonnés sur Twitter.

C’était le 10eme compte en nombre d’abonnés , et le 1er en suivit régulier.

20% des Américains suivaient son compte, et ses Tweets faisaient la une et les commentaires de toutes les presses du monde entier.

Il dispose en plus de son cash, d’une base de fidèles pour le lancement de Truth Social et le potentiel de son nom est un effet levier pour un décollage vertical.

On l’oublie aussi, mais les entreprises sur Internet disparaissent aussi quand un compétiteur arrive. Qui se souvient de Alta-Vista, ou Lycos, les incontournables d’une certaine époque, de AOL ou Netscape ?

Truth Social ira t-il jusque éliminer et remplacer Twitter ou Facebook ?

Va savoir !

 

Par Spartacus Lequidam

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Le fascisme est socialiste et a toujours été socialiste.

Les Antifa ignorent les origines du racisme, ils imaginent que c’est de droite, Rien n’est plus faux et mensonger, les racines idéologiques du fascisme, et surtout, un grand malentendu sur les principes collectivistes que le mouvement de socialisme autoritaire a promulgués. Pour mieux comprendre cette idéologie, il est nécessaire de connaître en profondeur la vie, les croyances et les principes à la fois de ses dirigeants politiques (comme Benito Mussolini) et de ses dirigeants philosophiques (comme Giovanni Gentile).

Mussolini était un militaire, journaliste et homme politique italien qui a été membre du Parti socialiste italien pendant 14 ans. En 1910, il est nommé rédacteur en chef de l’hebdomadaire La Lotta di Classe (La lutte des classes), et l’année suivante, il publie un essai intitulé « Le Trentin vu par un socialiste ». Son journalisme et son activisme politique l’ont conduit à la prison, mais peu après sa libération, le Parti socialiste italien, de plus en plus fort et ayant remporté une importante victoire au Congrès de Reggio Emilia, l’a nommé à la tête du journal milanais Avanti !

Cet intense activisme politique est suivi de la Première Guerre mondiale, qui marque un tournant dans la vie de Mussolini. Au début, le leader du Parti socialiste faisait partie d’un mouvement anti-interventionniste, qui s’opposait à la participation de l’Italie à la Première Guerre mondiale. Cependant, il a ensuite rejoint le groupe interventionniste, ce qui lui a valu d’être expulsé du Parti socialiste.

Mussolini a participé à la guerre et a profité du mécontentement du peuple italien, en raison des quelques avantages obtenus par le traité de Versailles. Il en a ensuite reproché à ses anciens camarades du Parti socialiste, et c’est à ce moment-là qu’il a commencé la formation des Fasci Italiani di Combattimento, qui deviendront plus tard le Parti fasciste italien.

S’appuyant fortement sur les sentiments nationalistes qui ont fleuri à la suite du combat, Mussolini est arrivé au pouvoir par la main de la violence, luttant contre les socialistes traditionnels et se cachant dans le célèbre escadron des chemises noires. Ce n’est qu’alors que le complexe idéologique du fascisme commencera à prendre forme.

Qui est le père du fascisme ?

Pratiquement tout le monde sait que Karl Marx est le père idéologique du communisme et du socialisme et qu’Adam Smith est le père du capitalisme et du libéralisme économique. Savez-vous, en revanche, qui est l’esprit derrière le fascisme ? Il est fort probable que non, et je peux vous dire d’avance que le philosophe derrière le fascisme était aussi un socialiste avoué.

Giovanni Gentile, philosophe néo-hégélien, était l’auteur intellectuel de la « doctrine du fascisme », qu’il a écrite en collaboration avec Benito Mussolini. Les sources d’inspiration de Gentile étaient des penseurs tels que Hegel, Nietzsche, et aussi Karl Marx.

Gentile est allé jusqu’à déclarer que « le fascisme est une forme de socialisme, en fait, c’est sa forme la plus viable ». L’une des réflexions les plus courantes à ce sujet est que le fascisme est lui-même un socialisme fondé sur l’identité nationale.

Gentile croyait que toute action privée devait être orientée pour servir la société. Il était contre l’individualisme, pour lui il n’y avait pas de distinction entre intérêt privé et intérêt public. Dans ses postulats économiques, il a défendu le corporatisme d’État obligatoire, voulant imposer un État autarcique (essentiellement la même recette qu’Hitler utilisera des années plus tard).

Un aspect fondamental de la logique de Gentile est que la démocratie libérale était nuisible parce qu’elle était centrée sur l’individu, ce qui a conduit à l’égoïsme. Il a défendu la « vraie démocratie » dans laquelle l’individu doit être subordonné à l’État. En ce sens, il a promu des économies planifiées dans lesquelles c’était le gouvernement qui déterminait quoi, combien et comment produire.

Gentile et un autre groupe de philosophes ont créé le mythe du nationlisme socialiste, dans lequel un pays bien dirigé par un groupe supérieur pouvait subsister sans commerce international, tant que tous les individus se soumettaient aux desseins du gouvernement. L’objectif était de créer un État corporatif. Il faut se rappeler que Mussolini était issu du Parti socialiste italien traditionnel, mais en raison de la rupture avec ce mouvement marxiste traditionnel, et en raison du fort sentiment nationaliste qui prévalait à l’époque, les bases de la création du nouveau « socialisme nationaliste », qui ils ont appelé le fascisme, ont été renversés.

Le fascisme a nationalisé l’industrie de l’armement, cependant, à la différence du socialisme traditionnel, il ne considérait pas que l’État devait posséder tous les moyens de production, mais plutôt qu’il devait les dominer. Les propriétaires d’industries pouvaient « conserver » leurs entreprises, tant qu’ils servaient les directives de l’État. Ces propriétaires d’entreprises étaient supervisés par des agents publics et payaient des impôts élevés. Essentiellement, la «propriété privée» n’était plus une chose. Il institue également l’impôt sur la fortune, la confiscation des biens des congrégations religieuses et l’abolition des rentes épiscopales. L’étatisme était la clé de tout, grâce au discours nationaliste et collectiviste, tous les efforts des citoyens devaient être en faveur de l’État.

Fascisme : l’antithèse du libéralisme et du capitalisme

Le fascisme prétendait s’opposer au capitalisme libéral, mais aussi au socialisme international, d’où le concept d’une « troisième voie », la même position qui sera détenue par le péronisme argentin des années plus tard. Cette opposition au socialisme international et au communisme est précisément ce qui a causé tant de confusion dans la localisation idéologique du fascisme, du nazisme et aussi du péronisme. Après s’être opposées à la gauche marxiste internationaliste traditionnelle, celles-ci ont été attribuées au courant des mouvements d’ultra-droite, alors que la vérité est que, comme cela a été démontré, leurs politiques économiques centralisées obéissaient à des principes collectivistes et socialistes, s’opposant ouvertement au capitalisme et au marché libre, favorisant nationalisme et autarcie.

En ce sens, comme l’a établi le philosophe créateur de l’idéologie fasciste, Giovanni Gentile, le fascisme est une autre forme de socialisme, « ce n’était pas une bataille de la gauche contre la droite, mais une lutte entre différentes idéologies de gauche, un internationaliste et un nationaliste. »

En fait, en 1943, Benito Mussolini a promu la « socialisation de l’économie », également connue sous le nom de socialisation fasciste ; pour ce processus, Mussolini a demandé l’avis du fondateur du Parti communiste italien, Nicola Bombacci ; le communiste était le principal auteur intellectuel du « Manifeste de Vérone », la déclaration historique avec laquelle le fascisme a promu ce processus de « socialisation » économique pour approfondir l’anticapitalisme et l’autarcisme, et dans laquelle l’Italie est devenue connue sous le nom de « République sociale italienne ».

Le 22 avril 1945 à Milan, le leader fasciste déclarera ce qui suit :

« Nos programmes sont définitivement à la hauteur de nos idées révolutionnaires et ils appartiennent à ce qu’on appelle en régime démocratique la « gauche » ; nos institutions sont le résultat direct de nos programmes et notre idéal est l’État travailliste. Dans ce cas, il ne fait aucun doute : nous sommes la classe ouvrière en lutte pour la vie et la mort, contre le capitalisme. Nous sommes les révolutionnaires à la recherche d’un nouvel ordre. S’il en est ainsi, invoquer l’aide de la bourgeoisie en brandissant le péril rouge est une absurdité. Le vrai épouvantail, le vrai danger, la menace contre laquelle nous luttons sans relâche, vient de la droite. Il n’est pas du tout dans notre intérêt d’avoir la bourgeoisie capitaliste comme alliée contre la menace du péril rouge, même au mieux ce serait une alliée infidèle, qui essaie de nous faire servir ses fins, comme elle a fait plus que une fois avec un certain succès. J’épargnerai les mots car c’est totalement superflu. En fait, elle est nuisible, car elle nous fait confondre les types de véritables révolutionnaires de quelque couleur que ce soit, avec l’homme de réaction qui utilise parfois notre langage même. « 

Six jours après cette déclaration qui confirme que le fascisme est socialiste, Benito Mussolini serait capturé et fusillé.

Son corps sera pendu à une balustrade en public.

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Israël: un SMS et allez vous faire vacciner.

Alors que les systèmes de santé du monde entier ont été confrontés à des défis sans précédent, Israël est devenu le leader des pays vaccinés, en grande partie grâce à Magen David Adom.

A la différence des pays occidentaux, les services d’urgence de ce pays sont « sous traités » par une association. Magen David Adom.

Elle est principalement composé de bénévoles et compte plus de 10 000 personnes qui offrent plus d’un million d’heures-homme par an.

Il y a 3,1 médecins actifs pour 1000 habitants en Israël, un ratio plus élevé que dans les pays occidentaux, (comme la France 3,1/1000).

Il y a nettement beaucoup moins d’infirmières, 5,1 infirmières pour 1000 habitants, comparé à la moyenne des pays de l’OCDE de 8,7 infirmières pour 1000 habitants ou la France à 9,9 pour 1000habitants.

Pour compenser, Israël utilise beaucoup plus des assistants médicaux, et les urgences ne sont pas a charge des secus, mais d’une association. Ce particularisme, fait que l’organisation Israélienne est en matière de gestion de crise et d’urgence l’une des meilleure du monde.

La vaccination montre a quel point cela fait la différence.

Les patients arrivent dans les centres de vaccination montés en extérieurs ou dans les stades de football, les bénévoles se déplacent dans les maisons de retraite.

Les patients glissent leur carte d’assurance et obtiennent un numéro. Lorsque leur numéro est appelé, les bénévoles les escortent jusqu’aux cabines de vaccination où des médecins, des infirmières et des assistants médicaux formés specialement à l’injection du vaccin leur font l’injections du vaccin Pfizer/BioNTech dans leurs bras.

Israël est le leader mondial du taux de vaccination par habitant. Commencé depuis le 19 décembre, aujourd’hui plus de 20% de la population du pays de 10 millions d’habitants soit environ 2 millions d’habitants, ont déjà reçu la première dose du vaccin Covid-19 :

Depuis le 14 janvier, 400 000 personnes ont reçu la seconde.

Au cours des dernières semaines, le pays a réussit a vacciner 150 000 personnes par jour. La priorité est allée aux personnes de plus de 60 ans et aux agents de santé, cependant, afin d’éviter de gaspiller des injections qui pourraient gâcher, elles sont aussi administrées aux personnes au bon endroit au bon moment. Par exemple, si vous accompagnez une personne qui se fait vacciner même si vous n’êtes pas âgé, et que vous êtes en avance au rendez vous, vous y passez aussi, il n’y ‘a pas de temps a perdre, l’important c’est de vacciner.

Israël s’est également engagé à réserver une deuxième dose à tous ceux qui ont reçu la première. Les rendez-vous du 2eme vaccin est prévus 21 jours au jour, à l’heure et la minute après le premier vaccin.

Si vous avez été vacciné le 2 janvier à 15h47, vous avez un nouveau rendez vous le 23 janvier à 15h47 précise au même endroit. Et des SMS vous seront renvoyé en rappel une semaine avant, une journée avant, 12h avant, une heure avant.

 

Le 7 janvier, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé que le pays avait conclu un accord avec Pfizer pour livrer plus de vaccins, dans le but de vacciner tous les citoyens de plus de 16 ans d’ici la fin du mois de mars.

« Nous serons le premier pays au monde à émerger du coronavirus », a déclaré Netanyahu

Les efforts de vaccination d’Israël se déroulent parallèlement à une augmentation rapide des cas de coronavirus.

Les cas positifs de Covid-19 dans le pays ont atteint leur plus haut niveau en début 2021, avec environ 7 000 personnes testées positives chaque jour .

Israël fait également face à une nouvelle élection en mars . Un déploiement agressif de la vaccination sera probablement un coup de pouce pour Netanyahu.

L’une des particularité d’Israël, c’est que les services d’urgence ne sont pas à la charge des sécus(HMO)

La population d’Israël a 4 secus universelles (HMO)et chacun choisit la sienne. Si tout le monde peut aller dans n’importe quel hôpital ou clinique, les sécus disposent d’un parc de cliniques ou hôpitaux en propre.

Le système universel est financé par une taxe sur les salaires de 5% et l’état réparti au prorata du nombre d’adhérents la taxe. Ces 4 secus sont les plus est numérisées au monde. Cela facilite le suivi et la communication avec les usagés.

Tous les citoyens israéliens sont inscrits dans l’une des 4 sécus (HMO) pour leurs soins. Chacun est numérisé et a un numéro d’identification un peu en la France à la différence, c’est que chacun choisit sa secu (HMO) et peut passer d’une à l’autre selon les options que chacune des 4 offre en plus des soins primaires obligatoires.

Les sécus se sont mis en harmonie avec l’association Magen David Adom pour une mise en place du système de distribution le plus efficace pour faire sortir le vaccin dans les communautés, employant leurs infirmières, médecins et bénévoles formés de Magen David Adom pour administrer les vaccins,

Dès que les HMO et l’association MDA ont obtenu des informations du ministère de la Santé sur la façon d’administrer les vaccins, ils ont commencé à organiser les employés et l’infrastructure dont ils disposaient sur la meilleure façon de le faire.

Des arènes comme le Pais à Jérusalem, ou la place Rabin, au centre de Tel Aviv . Les théâtres et les centres culturels, autrement vides en raison des restrictions pandémiques, ont été convertis en sites de vaccination. Un parc dans la ville de Raanana, où un HMO a loué un endroit près d’un lac artificiel pour que les gens puissent attendre dehors et dans les maisons de retraite.

La communication est un autre élément clé de la riposte vaccinale : indiquer aux gens exactement où aller et quand.

C’est pas comme la farce en France ou c’est le patient qui doit appeler pour trouver un centre.

Les Israéliens sont habitués à recevoir des communications par SMS en général, de la part des HMO, ce qui a contribué à faciliter la communication sur la vaccination.

Par Spartacus Lequidam

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Ils ont fait taire Ron Paul, le défenseur des libertés et ses 1,2 million d’abonnés.

Sans avertissement préalable, Ron Paul a été empêché d’accéder à la plate-forme où il compte 1,2 million d’abonnés et pour la première fois de sa vie, il a été réduit au silence.

Ron Paul, est un partisan du libertarianisme, il préconise un État fédéral au rôle limité, de faibles impôts, des marchés libres, une politique étrangère non interventionniste ainsi qu’un retour à des politiques monétaires basées sur des métaux (or, argent) pour étalon.

Ses positions républicaines sont proche de Trump sur certains sujets et éloignées sur d’autres.

L’ancien législateur et triple candidat à la présidence américaine, le libertarien Ron Paul, a donc été réduit au silence par Facebook.

Son fils, le sénateur Rand Paul, a souligne dans un Tweet, que la promotion de la liberté est considérée comme une sédition pour Facebook.

La censure des opinions est à l’ordre du jour par les grandes entreprises technologiques.

Pendant la campagne électorale déjà il avait déjà reçu la censure, sa vidéo de Ron Paul Liberty Report, a été censurée sur YouTube en septembre 2019, compte tenu d’un soi-disant viol des « Règles de la communauté » de, pratiques trompeuses et escroqueries. »

Après une enquête plus approfondie on a découvert que ce qui avait commis le péché terrible (défini par Youtube) de ne pas être d’accord avec les directives de l’OMS sur Covid-19. Alors que l’OMS elle-même a modifié à plusieurs reprises ses directives sur la pandémie, les utilisateurs ordinaires ne sont pas autorisés à « Contester l’efficacité des recommandations de l’OMS. ».

Ils ont commencé avec le président Donald Trump et la boule de neige s’est abattue sur le libertarien le plus remarquable des USA : Ron Paul.

Sans avertissement, l’homme de 84 ans n’a pas été autorisé à accéder à la plateforme où il compte 1,2 million d’abonnés.

Lorsque la censure contre le président Trump a commencé, d’innombrables libéraux ont souligné que, comme il s’agissait d’entreprises privées, ils étaient en liberté.

Cependant, comme de plus en plus de personnes sont touchées, la connivence qui existe entre les entreprises et le pouvoir de l’État est évidente.

 

Comme l’a souligné le secrétaire d’État sortant Mike Pompeo,

Twitter a fonctionné de telle manière qu’il a profité au Parti démocrate et a nui au Parti républicain.

 

Maintenant, ils font même taire les référents libertariens, comme Ron Paul, qui depuis 1976 a été actif dans la diffusion politique des idées libertariennes et pour la première fois de sa vie a été réduit au silence .

Les nouveaux monopoles

Le corporatisme a nourri les monopoles qui déterminent aujourd’hui à qui se taire. Non seulement ils réduisent le profil des utilisateurs, mais leur refusent lentement l’accès à Internet.

Tout comme à Cuba, où le Parti communiste a le monopole des services et détermine par conséquent qui peut les avoir, dans ce qui était autrefois la terre de la liberté jusqu’à présent, où les exilés du monde ont fui, maintenant il a fait taire les voix.

La campagne du président Trump a même perdu l’utilisation de son courrier électronique pendant plus de deux jours.

Depuis sa campagne électorale de 2016, Trump est accusé par ses opposants d’être un tyran, fasciste, nazi, autoritaire, etc.

Cependant, c’est depuis son départ imminent du pouvoir que les rues de la capitale ont été militarisées et la liberté d’expression limitée. Pas l’inverse.

L’autoritarisme se cache

Cette situation rend le poème de Martin Niemöller plus pertinent que jamais.

« (…) Ils sont d’abord venus chercher les communistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas communiste.

Puis ils sont venus chercher les juifs et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas juif. 

Puis ils sont venus chercher les syndicalistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas syndicaliste. 

Puis ils sont venus chercher les catholiques et je n’ai rien dit parce que j’étais protestant. 

Puis ils sont venus me chercher, mais à ce moment-là, il n’y avait plus personne à qui dire quoi que ce soit.  »

L’avertissement de Niemöller est clair : n’attendez pas que l’autoritarisme frappe à votre porte, car il pourrait être trop tard.

 

La « Big Tech » contre Trump

Trump a rompu avec la figure traditionnelle du président. Il n’est pas diplomate. C’est un homme d’affaires, frontal. C’est pourquoi il a provoqué des passions, de l’amour et de la haine si contradictoires.

Étant une figure si polarisante, ses détracteurs ont applaudi ou sont restés passifs face à la censure à son encontre. Eh bien, ils allèguent qu’il a incité à la violence, à la suite des événements du 6 janvier au Capitole.

Mais son discours montre le contraire, il a appelé à la paix, au respect de l’autorité et en se rappelant qu’il représente le parti de la loi et de l’ordre.

 

Cependant, les médias de masse ainsi que les réseaux sociaux ont supprimé son message et l’ont accusé de provoquer les émeutes et de justifier la censure à son encontre.

Alléguant qu’il mettait en danger les institutions du pays, la « BIG TECH » s’est attaquée au premier amendement de la Constitution Américaine : la liberté d’expression.

 

Comme l’a dit Benjamin Franklin, « ceux qui renoncent à la liberté essentielle pour acheter un peu de sécurité temporaire ne méritent ni liberté ni sécurité. »

 

Par Spartacus Lequidam

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Une lettre de millionnaires hypocrites et désœuvrés

Voici donc une lettre soi-disant écrite par 83 millionnaires pour réclamer plus de taxes.

Pour la presse de gauche qui déteste les réussites, les talents et l’enrichissement, qui fait la promotion de cette manipulation grossière, c’est du caviar.

Ne sont-ils pas de gentils et plein d’idées étatistes ces millionnaires et si désoeuvrés ?

Voici ce qu’ils écrivent :

Les problèmes causés par et révélés par Covid-19 ne peuvent être résolus avec la charité, aussi généreuse soit-elle. Les chefs de gouvernement doivent prendre la responsabilité de lever les fonds dont nous avons besoin et de les dépenser équitablement. Nous pouvons nous assurer de financer adéquatement nos systèmes de santé, nos écoles et notre sécurité grâce à une augmentation d’impôt permanente sur les personnes les plus riches de la planète, des gens comme nous. »

Contrairement à des dizaines de millions de personnes dans le monde, nous n’avons pas à nous soucier de perdre nos emplois, nos maisons ou notre capacité à subvenir aux besoins de nos familles. Nous ne nous battons pas en première ligne de cette urgence et nous sommes beaucoup moins susceptibles d’en être les victimes.

Donc s’il vous plaît. Taxez-nous. Taxez-nous. Taxez-nous. C’est le bon choix. C’est le seul choix.

L’humanité est plus importante que notre argent.

Les signataires »

La raison de cette lettre dictée qui dégouline de clichés est telle, qu’on peut vraiment développer une animosité envers les millionnaires, du moins envers cette mini-minorité pitoyable de ces 83 qui se sont réunis ici pour montrer leur pseudo-altruisme et leur pseudo-bonté en faisant l’apologie de la coercition de l’état et leur absence d’empathie personnelle pour ne pas faire par eux même le bien autour d’eux.

Mais qui sont ces gens qui culpabilisent d’être riche et signent cette lettre lettre pour se faire croire vertueux et plein d’altruisme ?

Rassurez vous, ils ne représentent pas les plus riches, vous n’y Trouverez pas Bill Gates ou Carlos Slim.

Ne croyez pas les médias. Ils ne représentent pas les « millionnaires », mais une minorité de parvenus indécents.

La majorité d’entre eux sont des millionnaires de l’état ou des rentiers.

Les fondateurs d’usines de glace Américaine ont vendu leur affaire. Ils ne vivent que de placements.

Par curiosité allez voir les « français de la liste ».

Les Français sont la caricature de la caricature. Des profiteurs de marché d’état ou factures de services aux sociétés, entreprises ou groupes subventionnés de l’état. IL est vrai qu’avec 57% de prélèvements, l’impôt, c’est leur gamelle.

Beaucoup d’entre eux sont effectivement des désœuvrées, ils ne sont pas sur « société.com », et à l’évidence sont des salariés qui ne savent pas ce qu’est prendre des risques ou monter sa boite sans filet.

Il y en a un qui est un privilégié de la gamelle de l’état comme ancien des sociétés d’états, ex-cadre supérieur d’EDF et de la banque de France. Il a co-fondé une entreprise avec une 1ere commande assurée de son ex-employeur la banque de France et ses contrats sont des services aux entreprises publiques. Il ne paye même pas EDF. L’état et les impôts pour lui c’est jackpot.

Comme si les impôts ou le gouvernement étaient la réponse, En France, ce pays en économie de favoritisme, avec 57% du PIB prélevé devrait selon cette logique être le pays au monde sans aucun pauvre.

Aucun des crétins de ces 83 millionnaires ne se considère auto-responsable et capable du libre arbitre de son argent.

Ces bobos sont ils a ce point désœuvrés de faire quelque chose par eux-même, s’il sont a ce point si préoccupé par les pauvres.

Ils ont l’air plus préoccupés par l’image d’altruisme que d’être des vrais altruistes.

Responsabilité personnelle, aide directe, en fin de compte être en contact direct avec ceux qu’ils voudraient aider, pour ces bobos c’est dégoûtant. Horrible. Il faudrait un état nounou qui les guide pour savoir quoi faire de leur argent.

Il est plus facile d’appeler l’État et le célébrer dans une lettre ouverte et montrer vouloir se décharger de ses responsabilités que d’assumer être quelqu’un de vraiment vertueux.

C’est bien quand on peut se célébrer comme une bonne personne sans jamais rien faire de bien.

L’absurdité de cette lettre est que les 83 millionnaires essaient d’acheter l’absolution pour leur richesse, comme si vous pouviez acheter du caractère, de la conviction, de l’empathie, des principes, de la charité …

Imaginez vous qu’ils ne savant pas quoi faire de leur argent ni décider par eux même ou et comment s’en servir.

Aucun de ces millionnaires ne se considère capable d’initiative et responsable de ce qu’il fait de son propre argent.

S’ils sont si préoccupé par les pauvres, pourquoi ne prennent-ils pas leur argent pour affréter concrètement un container plein de matériels de soins et médicaux pour un dispensaire à Madagascar ou Centrafrique, qu’a signer une lettre ou vous montrez que vous êtes trop stupide pour y penser vous même et un état qui ne le fera pas a votre place.

S’ils sont trop « occupés » il y a des dizaines d’associations, comme le secours catholique ou médecin du monde.

Ou pourquoi pas soutenir la liberté d’expression en offrant directement des sites comme Lequidampost Dreuzinfo ou contrepoints?

Qu’ils n’hésitent pas a me contacter dans les commentaires, mails ou Tweeter. Je me propose de collecter leurs fonds donc ils sont incapables de prendre l’initiative d’utiliser pour le bien et de leur envoyer mon RIB.

Aider je sais ce que c’est, et j’ai pas besoin d’un état pour m’expliquer comment faire.

Qu’ils n’hésitent pas

Mais eux en on même pas le début du commencement de l’idée.

Une lettre aux signatures d’hypocrites désœuvrés.

Même les riches ont chez eux leurs idiots-inutiles.

Pitoyable !

Par Spartacus Lequidam

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Paris. Le problème structurel

Paris, c’est une forte concentration de bruits, de voitures, de gens, de béton, de pollution. Les casseurs d’extrême gauche, les Zadistes qui font les nuits-debout, le chantage permanent des employés dans le monopole des transports qui bloquent la liberté de circuler, les manifestations extrémistes qui cassent les commerces, les agressions dans les transports en commun, les difficultés pour se loger sont les maux que chacun peut constater.

Mais ces faits sont réels et il est donc logique que les habitants en souffrent.

La vérité est simple. Paris est une capitale avec une densité par habitant la plus élevé du monde occidental.

 

PARIS c’est 21 000 habitants au km2.

A coté, Singapour avec la mer qui limite son agglomération, et ses gratte-ciels fait figure de champ à la campagne avec seulement 12000 habitants au km2.

 

A la densité officielle, s’ajoute les gens qui y habitent et ne figurent pas dans les données officielles de Paris, les « non-déclarés » illégaux ou légaux.

Les milliers d’illégaux dispersés, de la porte d’Aubervilliers ou porte de la Chapelle ne sont pas dans les statistiques du nombre d’habitants.

Les milliers d’étudiants en habitat de passage pour la scolarité, les travailleurs intérimaires ou contrats courts ne sont pas enregistrés comme habitants officiels, mais seulement des logés de passage et ne sont pas inclus dans ces statistiques de densité.

 

 

Tout est à Paris. Le gouvernement, les ministères, les grandes écoles, les grands hôpitaux, les sièges sociaux, les lieux culturels, les médias.

L’attractivité et la concentration des activités entraînent des flux urbains énormes pour se rapprocher de Paris.

 

Les transports en commun de tout le pays y est ultra centralisé. Pour voyager du Havre à Grenoble, vous devez traverser Paris, aussi bien en voiture, train ou bus.

Ultracentralisation qui génère encore plus de monde au kilomètre carré en incluant ces flux nombreux et divers.

 

Le lieu le plus pollué de Paris n’est pas la rue mais le métro.

 

Chaque candidat aux prochaines élections en va de sa promesse démagogique de mettre fin aux maux des Parisiens.

 

Les écolos font rêver d’un fantasme démagogique de promesses d’une ville verte avec des pistes cyclables, de supprimer des voitures. De créer des espaces verts. Ou réduire les voies.

Les bolcheviques la promesse de construire plein de HLM.

 

La droite d’assurer la sécurité.

La réalité c’est que tous veulent le pouvoir pour le pouvoir et tous ont des promesses démagogiques

 

Pour planter un arbre, il faut 12 à 15m2 de surface foncière au sol. Et une chance sur 2 qu’il crève dans les 2 ans, le sol est déjà pollué et entre les chiens vont uriner dessus ou les dégradations volontaires si nombreuses. Végétaliser est une farce démagogique pour attirer le bobo.

 

Le cycliste de la photo prise au mois de mai dernier, plein soleil radieux, vous vante le bonheur du vélo. Je vous confirme, en plein soleil, vêtu loisir, à circulation urbaine réduite avec le Covid, le vélo à Paris, c’est certainement super agréable. Voire génial.

 

Par contre la photo de novembre sous pluie battante, ce sera trempé jusqu’aux os, malade, le nez qui coule. En janvier à -3° avec verglas ou neige, ce sera bras ou nez casé sur le bitume, vélo plié et pneumonie et regret de ne pas avoir été au chaud dans un véhicule avec une carrosserie ce jour là.

 

Les promesses de logements HLM, c’est surtout pour les extrêmes gauchistes l’idée inavouée de faire du clientélisme et du favoritisme à l’attribution pour se créer une clientèle durable qui remplace celles pluralistes, et devenir des élus apparatchik a vie.

 

A moins de construire plus haut ou creuser profond, il n’y a pas de place foncière pour des nouveaux logements dans des surfaces déjà encombrées.

 

Paris est une ville fermée, pour faire des nouveaux logements ou planter des arbres, il faut enlever des logements ou déplanter des arbres.

A Paris, même la périphérie est saturée.

 

Il n’y a pas de place pour faire des pistes cyclables dans une ville déjà engorgée de voitures.

On a enlevé les voies sur berge, la photo sans congestion automobile est jolie, sauf que les voitures engendrent des embouteillages encore plus monstres ailleurs. On déplace le problème. C’est tout.

 

La seule solution, est de régler le problème structurel. L’attractivité et le centralisme de la ville de Paris. Qui fait que tout le monde doit y aller ou y vivre.

 

Pour gérer la densité sociale ou diminuer le trafic de véhicules, il en faut pas promettre des logements dans une urbanisation déjà bondée, pas plus que réduire les voies empêche les raisons ou motivations de traverser ou se rendre à Paris.

 

Le problème est structurel. L’attractivité de Paris est sa maladie.

 

Pour « dé-densifier », pour « réduire le trafic », il faut réduire ce qui amène les gens à vouloir vivre à Paris, à se déplacer à Paris et en harmonie avec eux. Pas en les stigmatisant ou diabolisant ou les éjectant par la coercition.

 

Pour réduire les problèmes des Parisiens, il faut réduire les raisons de l’attractivité.

 

C’est à dire s’attaquer au tout état et au Jacobinisme.

 

C’est à dire enlever le ministère des finances de Bercy, et l’envoyer à Granville, proche des îles Jersey, pour être plus à proximité de l’optimisation fiscale.

Déplacer le ministère de la justice de Paris centre et l’envoyer à Guéret à coté de la maison d’arrêt par exemple.

 

Déplacer le musée d’Orsay à Bagnère de Bigorre.

 

Mettre le siège social de France Inter à Roubaix. Pour rapprocher les journalistes militants des inégalités sociales.

 

Le meilleur exemple pour cette politique écologiste doit être donné par le ministère de l’écologie et du développement durable. S’il allait se mettre à Caunette sur Loquet ville ou il y a le plus d’agriculteurs de France ?

 

En effet que font ces gens si proches de la nature en plein Paris à contribuer à polluer, prendre de la surface foncière anti-écologique dans une concentration qu’ils détestent ?

Il reste une question, ont-ils plus envie de contraindre les autres aux solutions écolos que se les appliquer à eux-mêmes ?

 

Par Spartacus Lequidam

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L’UE devient percepteur. 750 milliards à rembourser de 2028 à 2058 et 4 nouvelles taxes.

L’arbre d’argent magique. L’UE prête donc à l’état Français, et aux autres états européens 750 milliards à rembourser sur 30 ans de 2028 à 2058 avec 4 nouvelles taxes crées.

4 nouvelles taxes

Voici donc la proposition de l’UE aux contribuables européens.

Projet provenant du plan de ressources escomptées que vous pouvez télécharger ici sur le site officiel de la commission européenne: https://ec.europa.eu/info/files/financing-recovery-plan-europe_fr

(copié-collé de la note Européenne au mot près) :

1-Extension des ressources propres fondées sur le système d’échange de quotas d’émission aux secteurs maritime et aérien pour générer 10 milliards d’€ par an.

2-Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières pour lever entre 5 milliards d’€ et 14 milliards d’€ par an.

3-Ressource propre fondée sur les activités des grandes entreprises, qui tirent des bénéfices considérables du marché unique de l’UE, laquelle pourrait, en fonction de sa conception, rapporter quelque 10 milliards d’€ par an.

4-Taxe numérique sur les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel global est supérieur à 750 millions euros pour générer jusqu’à 1,3 milliards d’€ par an.

On remarquera en faisant une simple addition, que les ressources annuelles envisagées pour le remboursement sont à minima de 26,3milliards, et à maxi 35,3 par an soit sur 20 ans entre 526 et 706 milliards. Ça ne fait pas 750 milliards, même dans le cas le plus favorable idéaliste….

On remarquera le manque de courage de ne pas taxer directement les individus mais procéder encore par des taxes indirectes. Pas fous les technocrates, arroser de démagogie écolo pour faire passer à l’opinion la succion à haute dose. Le climat est une source intarissable d’excuses à taxer.

C’est la grande technique, ou on vous fait croire que c’est la vache qui est taxée, pour ne pas que vous puissiez comprendre que vous allez payer le lait plus cher.

Les technocrates de l’UE ont répondu comme les étatistes le font tous: augmentation des dépenses, centralisation, et même collectivisation de la dette. L’argent va aller au bon vouloir de l’état, de ses politiciens et ses fonctionnaires. Nous vivions déjà dans une économie étatiste de favoritisme, ça va être encore plus la fête aux favorisés.

Vous remarquerez que ces taxes sont au futur, à partir de 2028.

Dans 8 ans, Macron ou Merkel ne seront plus au pouvoir, par contre l’argent pour acheter des clientèles va bien arriver au présent pour la dépense publique sans compter.

Un nouveau percepteur, l’UE.

Ces 750 milliards vont être empruntés aux marchés financiers, par la banque centrale européenne. Cette fois ci l’UE va devenir un nouveau percepteur pour se faire rembourser. Quand on commence à lever et collecter des impôts, la souveraineté des gouvernements nationaux est encore plus restreinte, et les finances et libertés des citoyens encore plus limitées..

Maintenant que ‘l’UE va taxer les citoyens, quelqu’un imagine t-il vraiment que Bruxelles, ces politiciens et fonctionnaires vont abandonner ce pouvoir d’en lever plein d’autres d’ici 2058 et en rajouter plusieurs louches?

Le secteur aérien va donc être impacté par les taxes. (2 à 4% du PIB) pour un pays qui construit des avions, et une compagnie nationale en quasi faillite, et pas de compagnie Low-cost représentative, le redressement est mal barré.

Le secteur maritime va être impacté, on ne le sait pas, mais l’économie Maritime de la France représente (14% du PIB).

Dans le 2eme pays qui possède la plus grande face maritime d’Europe, un pays ou les ports sont en retard de trafic international, une concurrence des affréteurs internationaux et une Angleterre Brexitienne libre de l’Europe qui ne demande pas mieux que nous nous tirions ce genre de balle dans le pied pour développer les leurs ports et court-circuiter les ports Européens de la manche ou la mer du Nord.

Les taxes carbone vont permette au reste du monde de profiter encore du pétrole, et faire prospérer leurs économies et les délocalisations des industries européennes. Génial dans le pays qui c’est le plus désindustrialisé d’Europe. Le plein coûtera toujours moitié moins cher aux USA qu’en France.

Les taxes numériques vont alourdir à la fois les entreprises et les consommateurs, qui seront inévitablement répercutée sur les utilisateurs d’Internet et dissuader les investissements et les sièges sociaux des entreprises dématérialisées sans frontières qui chercheront des lieux plus propices à leurs affaires.

 

Ou ira l’argent ?

Normalement lorsque vous citoyen ou entreprise allez chercher un prêt, vous devez avoir un Business plan, un projet, un bilan prévisionnel d’exploitation, un but, et des garanties, mais pas les états. Eux empruntent au nom des bonnes intentions morales. Créer une relance économique sans qu’aucun d’eux ne sache de quoi il parle, le prévisionnel est élaboré sur un confetti. Le seul projet concret est d’avoir du pognon à dépenser pour passer pour des samaritains.

Voici donc le monde des bonnes intentions. L’argent sera donné aux états et permettra de donner aux politiciens et fonctionnaires à la recherche de courbettes, du pouvoir. Y’aucun projet en face.

Rien de rien de concret et c’est ouvert a n’importe quel projet sulfureux d’avion renifleur ou super-phénix du moment.

Pour ceux qui ignoraient que nous étions sur la voie du communisme et de l »omniprésence destructrice de l’état, l’UE a les pieds sur l’accélérateur de cette perspective.

Un copie-collé du communisme bureaucratique centralisateur et un agissement apparatchik planificateur des technocrates digne de Mao.

Avez vous regardé Bruno Lemaire jouer le seigneur pédant, condescendant, qui n’a jamais rien construit, investi sauf des bavardages et des taxes (GAFA) bâclées et retoquées à coup de pied au cul, qui joue le caïd condescendant, en faisant passer les entreprises victimes des politiques étatistes, en soumis auquel on impose les déshéritas écolo-fascistes comme objectifs.

C’est affligeant.

 

Comme vous avez commencé à le remarquer, les premiers servis de cet argent pour arroser des politiciens sont ceux qui sont les plus proches de l’état. Air France, Renault là ou l’état est majoritaire, les primes à certaines catégories de fonctionnaires, et le plan de relance va être donné en fonction de celui qui pleure le plus, joue au misérabiliste, le plus près de l’état ou représente une catégorie socioprofessionnelle qui représente un intérêt politique, ou un groupe social plus influent que les autres, comme les artistes ou les médias.

La période de remboursement et taxations est fixée de 2028 à 2058, de sorte que la bombe à retardement explose pour les générations futures. Ceux au travail à partir de 2028 peuvent s’attendre à supporter les coûts pour longtemps.

Pour un pays comme la France, déjà surendetté, surfiscalisé cela promet un malaise et 38 ans de dissertations angoissantes dans les médias, BFM, Cnews ou LCI ont au minimum 2 heures de débat assurés journalières pendant 28 ans.

Les contribuables actuels et futurs n’ont pas finit d’entendre parler de dettes. Le futur c’est 2028, Dans 8 ans.

Ils ne sont pas nés, ne votent pas, ne peuvent pas s’indigner au journal de  20h et n’ont pas leur mot à dire.

Les « pas encore nés » sont déjà taxés pour 30 ans avant même de naître.

 

Par Spartacus Lequidam

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la sante aux états unis

Antiaméricanisme démythifié . Part1 la Santé

Tout dans cet article informatif, qui vous surprendra est vérifié et vérifiable.

Cet article va « désembrouiller » le cliché antiaméricain qui vous conditionne, par la pensée unique. Les faits sont les faits, et les résultats de la médecine Américaine est une des meilleures au monde. Vous allez être éclairé et étonné.

 

Il tellement devenu une habitude de cracher sur les USA dans la pensée unique des médias, qu’ils ne se rendent plus compte de la réalité. Le manque de diversité culturelle et intellectuelle des journalistes Français préférant présenter à charge des USA en permanence et passer sous silence le meilleur de ce pays par mimétisme de caste a complètement faussé la réalité.

Toutes les affirmations de cet article sont « sourcées » les liens sont en bas de page.

 

1- Est-on bien moins bien ou mieux soigné aux USA ?

Ce qui importe dans la santé, c’est le résultat.

La lutte contre les cancers est plus efficiente. La prévention des maladies est efficace. Le choix et l’offre des médicaments est beaucoup plus large. Les hôpitaux sont mieux équipés.

Quelques exemples que les états unis surpassent l’Europe et la France dans les soins.

-90% des patientes américaines atteintes d’un cancer du sein vivent au moins cinq ans après le traitement, contre un taux de survie de seulement 85% dans les autres pays de l’OCDE.

-80% des femmes américaines ont reçu un dépistage « opportun » du cancer du col de l’utérus, contre seulement 73% des femmes des autres pays de l’OCDE.

La performance supérieure de l’Amérique en matière de soins contre le cancer est incontestable.

Une étude de 2017 sur l’épidémiologie et la santé a révélé que, par rapport à la Grande-Bretagne, le Canada et la France, les États-Unis ont enregistré de meilleurs taux de survie pour le cancer de la prostate et de l’estomac, ainsi que pour le cancer du sein.

Les États-Unis ont les taux de survie à cinq ans les plus élevés pour le cancer du sein, du côlon, du poumon et de la prostate.

Les taux de mortalité américains 30 jours après une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral (AVC) sont nettement inférieurs à ceux de la plupart des autres pays de l’OCDE. Source étude internationale American Medical Association.

90% des Américains nécessitant une intervention chirurgicale sont en mesure de planifier dans un délai d’un mois après avoir été informés qu’ils ont besoin de l’opération. C’est le plus court temps d’attente et la meilleure productivité du monde.

 

Il y a des limites inhérentes à toute comparaison de pays à pays. Il existe de grandes différences entre les pays dans les modes de vie, la génétique et les facteurs environnementaux.

Par exemple, la population Américaine a plus de gens notoirement en surpoids . Le taux d’obésité aux États-Unis est 3eme plus élevé parmi les 36 pays membres de l’OCDE. C’est aussi le facteur déterminant qui mine l’espérance de vie des Américains.

L’obésité engendre plus de maladies, telles que le diabète, les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux.

Plus d’un Américain sur 10 souffre de diabète, une situation qui engendre des coûts énormes sur le système de santé. La prévalence de l’obésité et du diabète n’affecte en rien la qualité des soins ou de gestion du système, à moins que la « solution » soit de cesser de traiter autant de diabétiques l’Amérique dépensera toujours plus, et l’obésité est une des raisons des coûts plus élevés.

 

L’offre est plus développée puisqu’il n’y a pas un « monopole du payeur ». Les négociations sur le prix des médicaments sur ordonnance menées dans les systèmes à payeur unique type sécurité sociale Française, engendre un refus d’achat de médicaments dont le prix dépasse les montants fixés et donc limite l’offre dans nos pays européens par rapport aux USA.

Les hôpitaux sont mieux équipés et plus utilisés.

Les quatre graphiques suivants sans commentaires montrent le nombre et l’utilisation d’appareils d’IRM et de Scanners dans les pays occidentaux.

Les USA sont quasi toujours devant.

Par rapport au cliché anti-américain : en ce qui concerne les maladies coûteuses, la lutte contre le cancer, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux et autres l’Amérique obtient des résultats supérieurs et soigne nettement mieux ses malades en offrant plus de choix de médicaments et des hôpitaux mieux équipés. Mais le mode de vie entraîne plus d’autres maladies comme les diabètes liées au surpoids.

 

 

2-Les coûts de la santé

Les soins de santé aux États-Unis sont chers, principalement parce qu’ils utilisent beaucoup de main-d’œuvre plus qualifiée, qui coûte plus cher aux États-Unis que dans d’autres pays. Le temps d’étude supérieure (minimum 9 ans) pour obtenir les diplômes de médecine sont plus longs et complets que dans les autres pays.

Les États-Unis représentent 41% des dépenses mondiales en médicaments, contre 13% pour les cinq plus grands pays européens réunis et 11% pour la Chine.

Les négociations sur le prix des médicaments d’ordonnance menées par les autres pays occidentaux comme en France, organisent un concept en une gestion de « refus d’achat » de médicaments et moyens pour les assurés par le conventionnement de la sécurité sociale, et privent les habitants de ces pays de la disponibilité des nouveaux nombreux médicaments qui peuvent améliorer le sort des patients. Les USA en marché libre diffèrent de ce principe de monopole « conventionné ou invisible » pour les patients comme en France.

4 des 5 plus grosses multinationales pharmaceutiques du monde sont Américaines. Les coûts de développement proviennent principalement des revenus provenant des États-Unis. Le patient Américain paye les coûts de développement et d’investissement de mise sur les marchés des nouveaux médicaments pour le monde entier. Les médicaments sont plus chers qu’en Europe.

 

En France, par exemple, la sécurité sociale ne conventionne que 23% des nouveaux médicaments, tandis que les régimes d’assurance privés Américains couvrent 84% des nouveaux médicaments.

L’offre abondante peut laisser des individus à supporter des frais de leur poche pour avoir accès aux meilleures thérapies innovantes qui ne sont pas encore une diffusion en volume pour être compétitifs. Mais au moins les médecins ont un accès à des propositions d’offre et de choix plus complètes pour leurs patients.

 

 

3-Espérance de vie.

L’espérance de vie est excellente aux USA.

Ne dites jamais cela en public, sinon vous passerez pour fou. Il faut dire que Google et les publications médiatiques ne manquent pas pour prouver le contraire. Un conditionné en général n’accepte pas la contradiction de ses certitudes même en face des preuves.

 

Quand on compare, l’espérance de vie de la France et qu’on en fait un argument, c’est comme si les Luxembourgeois se moquaient de l’espérance de vie de la France. En France, on vit plus vieux en région Parisienne que dans le Grand Est. C’est pareil aux USA, mais en plus à une échelle d’un pays qui fait la moitié du continent. On vit plus vieux dans le New-Jersey qu’au Mississippi.

 

Si chaque état Américain était compté comme un pays (il y en a 50), le New-Jersey, le Massachusetts, le Connecticut seraient les pays à la meilleure espérance de vie du monde…

La comparaison est loin d’être ridicule, le Minnesota a autant de population que la Suède ou le Danemark, les gens y meurent plus vieux qu’en Suède et Danemark qui sont pourtant classés dans le top du monde devant l’Amérique tout entière…

La différence d’espérance de vie de la moyenne aux USA n’est en aucun cas liée au système de santé mais aux comportements, comme la prise d’opiacés et les suicides. C’est une moyenne. Plusieurs états Americains onr une plus grande espérance de vie que les autres pays occidentaux.

 

4-Taux de mortalité infantile

Pour la mortalité infantile, vous ne pouvez éviter la caricature sur les statistiques négatives du taux de mortalité plus élevé que d’autres pays occidentaux.

C’est même un argument majeur de l’antiaméricanisme que vous avez tous entendu…

 

Le gros problème, c’est qu’en fonction du pays, elle n’est pas comptabilsée pareil.

 

En France, Belgique ou l’Espagne ne compte dans les statistiques de mortalité que les bébés nés après 22 semaines de gestation soit de 140 jours après la naissance jusque la fin de la 1ere année.

En Pologne, en Allemagne un bébé doit peser au minimum plus de 1kg pour compter comme une naissance vivante dans les statistiques. On compte les enfants nés vivants, on exclut les enfants morts nés.

Dans les statistiques de mortalité infantile, aux États Unis la définition de la mortalité est prise au jour de la naissance. Ce qui modifie la totalité des effets d’annonce diabolisant antiaméricains qui vous sont imposés.

 

La vérité est qu’en ajustant au niveau américain les données, c’est à dire mortalité dès la naissance sans pondération comme les pays qui excluent le temps de gestation (France) comme le poids, l’Amérique se retrouve dans le top 3 avec une mortalité au plus haut niveau et les pays qui se gargarisent d’en avoir une plus faible comme la France passent au dessous.

A contrario, les États-Unis ont le taux le plus élevé du monde de naissances avant terme. Les professionnels de la santé américains, dépensent des centaines de milliers de dollars en moyens pour sauver la vie d’un bébé prématuré plus que tout autre pays au monde.

 

 

 

5-Les Américains disposent-ils tous d’une assurance maladie et peuvent ils tous être soignés ?

Aujourd’hui, plus de 91% des Américains ont une assurance maladie d’une manière ou d’une autre. Un peu plus de la moitié des Américains sont couverts par une mutuelle ou assurance employeur ou par un membre de leur famille. (Salariés, employeurs, enfants).

Les autres cas hors employeur sont :

-18% (60 millions) ont une couverture par le biais de Medicare, un programme fournit par la sécurité sociale (la sécurité sociale aux USA, c’est l’assurance retraite) qui couvre à 100% toutes les personnes âgées de plus de 65 ans et les personnes handicapées (hors optique et dentaire).

-17% ont une couverture par le biais de Medicaid, un programme qui couvre les personnes à faible revenu. Le système a été copié dans le monde entier, en France, le gouvernement Français a copié le principe avec la CMU.

-5% achètent une couverture maladie sur le marché individuel, soit Obamacare, soit directement auprès d’une compagnie d’assurance.

 

 

6-Détail des 30 millions de « non-assurés » qui font le cliché antiaméricain médiatique.

Environ 9% des Américains, (30 millions) n’ont pas d’assurance maladie officielle.

-Plus de la moitié d’entre eux, (55%) sont principalement du « non recours ». La transition ou mobilité sociale joue. Certains attendent d’avoir un job et un employeur, ou alors une maladie concrète pour s’inscrire aux droits qu’offre a tous Medicaid.

En examinant les données, les analystes de l’AEI ont noté qu’environ 15 millions d’Américains non assurés sont éligibles à une couverture Medicaid. Il manque juste aux USA un service d’inscription automatique des personnes sans couverture d’assurance à Medicaid actuellement en phase de préparation pour combler cette lacune.

-4 millions de personnes sont éligibles à une assurance parrainée par l’employeur, mais ne s’inscrivent pas et ne remplissent pas les papiers de l’assurance de leur employeur.

-4 millions sont des 100% illégaux aux USA ou migrants économiques (sauf femmes enceintes). Les migrants légaux qui n’ont pas 5 ans de présence aux USA et n’ayant pas pris d’assurance individuelle ou mutuelle employeur sont inadmissibles à une couverture sociale Medicare ou Medicaid financée par les contribuables (les vrais réfugiés politiques persécutés, les exilés Cubains n’ont pas à attendre 5 ans).

-4,5 millions ont des revenus annuels élevés ou rentiers qui dépassent les 400% du niveau de pauvreté fédéral (103 000 $) et ne sont pas admissibles à Medicaire ou Medicaid et refusent sciemment d’avoir une assurance privée et payent leurs soins de leur poche.

-2,5 millions de personnes non assurées sont de pauvres Américains qui vivent dans des États qui n’ont pas étendu la prise en charge gratuite de Medicaid. C’est un problème de blocage Américano-américain politique qui serait résolu par des mesures ciblées et qui n’ont jamais été faites.

 

La loi fédérale oblige tous les hôpitaux à but non lucratif à traiter les patients Medicare et Medicaid. Les clichés Anti-américains qu’adorent caricaturer les journalistes gauchistes comme France5 qui expliquent que les hôpitaux refusent les patients sont juste stupides et des cas rares et exceptionnels de malveillance mais n sont pas la réalité. Medicare et Medicaid représentent 50% de tous les soins fournis par les hôpitaux. Par conséquent, Il serait économiquement suicidaire pour les hôpitaux de refuser ces patients.

La loi fédérale oblige tous les hôpitaux dotés de services d’urgence à fournir un « examen » et un « traitement stabilisateur » à toute personne qui se présente, indépendamment de sa capacité de payer et même de son statut d’immigration.

Par rapport aux clichés anti-américain : tous les Américains sont assurés ou assurables et personne ne reste dans la rue sans rien. Il n’existe pas d’américains qui ne peuvent pas bénéficier d’une couverture maladie.

 

 

5-Obamacare, pourquoi un échec ?

Une promesse pour les « non-assurés » dévoyée vers les « déjà assurés » par les politiciens.

Obamacare (Loi sur les soins abordables) est une assurance publique subventionnée qui a été présenté par le président Obama comme une tentative généreuse d’assurer les personnes en difficulté « non assurées ». Le problème est venu de suite, car dans la société ceux qui ne sont pas assurés sont généralement aussi les gens qui ne votent pas, et les politiciens ne roulent pas pour eux.

La promesse idéaliste de dépenser beaucoup d’argent pour les gens qui ne votent pas, à été dévoyée par les politiciens démocrates associés à Obama, qui eux on voulu étendre la loi pour transformer les populations qui votent en passagers clandestins des supposés avantages de Obamacare pour tous les salariés, mais néanmoins capables de disposer d’une assurance ou mutuelle classique.

En déviant du but initial de ne cibler que les extrêmes pauvres, et prenant en charge les « déjà assurables individuellement » et que cette assurance remplacerait une mutuelle privée classique Obamacare c’est dévoyé.

Les gens venus de l’assurance privée employeur ou individuelle ont découvert en remplacement une prise en charge bien inférieure, une franchise élevée, une offre de soins avec moins de médecins et hôpitaux conventionnés, et en général les hôpitaux les moins réputés. Beaucoup en adoptant Obamacare ont été contraint de changer de médecin.

 

Exemple, 42% de cardiologues et de cancérologues en moins.

Exemple les facturations médicales surprises souvent liées à des urgences ou circonstances, le patient reçoit une facture lourde parce que non couverte et agréé par Obamacare.

Un peu moins cher qu’une assurance privée, mais toujours moins bonne.

Des mutuelles privées comme Aetna, Humana ou UnitedHealth Group, non subventionnées, avant Obamacare spécialisées dans la couverture des soins des personnes modestes, avec des marges extrêmement faibles, offraient une meilleure prise en charge. Leurs marges étaient compensées par les volumes, et ils se sont retirés du marché à l’arrivée d’Obamacare imposé, qui a enlevé leurs parts de marché.

 

Obamacare est un échec. Il n’a pas résolu le problème des non recours, et en plus a créé une situation de plus mauvaise qualité que l’assurance privée pour ceux qui l’ont adopté.

 

Obamacare a créé une situation pire qu’au point de départ. L’enfer est pavé de bonnes intentions.

 

 

 

 

Par Spartacus Lequidam

Tweeter : @lequidampost

Blog : www.lequidampost.fr

 

Quelques sources contributives à la création de cet article :

https://www.justfacts.com/healthcare

https://www.brookings.edu/policy2020/votervital/current-debates-in-health-care-policy-a-brief-overview/

https://www.heritage.org/health-care-reform/commentary/americans-get-more-their-health-care-dollars-we-can-do-better

https://www.manhattan-institute.org/issues-2020-drug-prices-account-for-minimal-healthcare-spending

https://spectator.org/making-a-bigger-mess-of-medicaid/

https://www.healthcare.gov/immigrants/lawfully-present-immigrants/

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Coronavirus. L’exemple de la Corée du Sud

Le Coronavirus montre que comparé à eux, nous sommes un pays communiste qui s’ignore avec une planification tchnocratique de santé digne de l’ex-URSS …

 

Vous allez vite comprendre :

Comparez (en utilisant un traducteur) le site du ministère de la santé Coréen du Sud  http://ncov.mohw.go.kr/

Et le site du ministère de la santé Français : https://solidarites-sante.gouv.fr/

 

Sur l’un vous savez en toute transparence, combien de test effectués, au détail par région, le nombre de gens infectés au détail et les risques encourus dans chaque région, en toute transparence.

Sur le Français vous avez des infos basiques et la photo sans aucun intérêt d’un ministre et 2 secrétaires d’état en mal de notoriété qui se font de la pub.

 

Pendant que Bruno Lemaire faisait une loi communiste sur le contrôle des prix de solutions hydro-alcooliques, totalement décalée réquisitionnait par la force des masques pour les employés administratifs de Bercy les Coréens organisaient un dépistage de masse et imposaient le port des masques dans tous les commerces.

 

Les Coréens ont mis 50 stations libres d’accès de test gratuits ou il faut 10 minutes pour savoir si on est infecté ou porteur de la maladie. Vous trouverez sur le site du ministère en temps réel le nombre de gens qui se sont fait tester. Au moment de faire l’article ils sont 287 000.

 

Il a été demandé aux mutuelles et assurances santé d’envoyer à leurs adhérents les règles d’hygiène et prévention, par mail et SMS.

Messages simples faisant appel à la responsabilité individuelle « Portez un masque pour vous déplacer, utilisez fréquemment le lavage des mains, éloignez vous des gens et ne vous embrassez pas. ».

 

Une directive a demandé aux établissements en contact avec le public, que les personnels portent tous des masques. Tous les employés des commerces portent des masques.

 

Les restos, les lieux de réunion, ont un message devant chaque porte « Pas de masque, pas d’entrée », mais les commerces sont restés ouverts, pas de destruction économique, pas de confinement.

 

Une cellule spéciale du ministère a été chargée d’enquêter sur les déplacements des personnes infectées et proposer le test de dépistage aux relations rencontrées par les infectés.

Des appels publics ont été fait pour retrouver les personnes ayant été en contact avec les personnes infectées.

 

Les aéroport ont contrôlé l’immigration et les personnes venant de Chine, ou pays a risque doivent remplir un questionnaire de santé. S’ils présentent des symptômes ils sont testés.

Les personnes à risque, malades et personnes âgées ont été placées en zone à visites limitées.

 

Le pays a pré-réquisitionné  les salles des fêtes et de sport pour une transformation en centre santé de quarantaine pour les personnes présentant de légers symptômes du coronavirus.

 

Ce pays plus touché que les autres au départ est celui qui s’en sort le mieux, a réussit à la contenir et est en route vers l’éradication. La Corée n’a pas agressé sa population de lois liberticides et d’entraves aux libertés comme les Chinois.

La Corée fait reculer le développement du virus mieux que tous les autres pays sans confinement des masses.

Nous copions en France l’exemple coercitif d’une dictature Chinoise, comme l’Italie le fait aussi.

 

Nous ferions mieux de copier l’exemple d’une démocratie transparente comme celle de la Corée du Sud qui a évité le confinement et préservé l’économie à ses concitoyens, que l’exemple d’une autocratie qui ment et a même exclus ceux qui ont dévoilé la maladie.

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L’humain a t-il réellement encore besoin de la nature?

Cette question va à l’encontre de l’air du temps et de la pensée unique que nous impose la société. Elle peut vous valoir un procès en diabolisation si vous osez vous opposer à la biodiversité et la remise en cause d’un principe religieux écolo, « la nature en premier ».

Cette question est loin d’être anodine depuis que le lobby écolo a pris les rennes de la politique, des médias, de l’éducation et même d’un ministère idéologique, et nous conditionne à charge matin midi et soir sur les questions de notre emprise sur l’environnement.

La terre est dominée sans partage par l’homme. L’homme agit autrement que tous les êtres vivant sur terre. Il est totalement différent. L’homme a tellement évolué qu’il n’y a rien d’autre que lui qui lui ressemble. Nous entendons tous les jours que l’homme bon et juste vit en « harmonie avec la nature » mais en fait, vivre en harmonie avec la nature c’est vivre en sauvage. Nous ne vivons pas en harmonie avec la nature, et bien heureusement.

Notre société a tellement évolué, peut-on encore dire que nous faisons partie de la nature?

Bien sur que non!

Nous sommes d’une autre nature, une nature évoluée et évolutive.

Notre évolution nous a rendus « non-naturels », « hors-nature » ou « extra-naturels ».

Notre évolution nous a rendu tellement puissant que rien de naturel sur terre ne nous égale. La réponse aux questions de savoir si nous faisons toujours partie de la nature, et si nous en avons même besoin repose sur une compréhension de ce que nous voulons.

L’homme fait plus qu’utiliser la nature à son profit, il la transforme, il la manipule et crée un monde qui n’a rien de naturel.

Le futur de la terre est une domination, une domination pure et totale. Pas l’utopie écologiste d’un retour à une nature totalement fantasmé et idéalisé.

En fait la nature est hostile lorsque l’homme ne la domine pas. Elle n’est plus faite pour l’homme actuel et ne le sera plus. Nous vivons dans des villes, de béton et de verre, et les fougères sont dans le jardin à l’herbe coupée à la tondeuse, et les serpents on les admire au zoo.

La grande particularité de l’humain, c’est qu’il avance vers l’inconnu. Il n’a pas de point de repère, il n’y a pas d’exemple pour se comparer à ce qu’est réellement un être qui a quitté le naturel. De la même manière, un environnement « humain » est à créer. L’environnement naturel est caduc.

Ce qui nous rend humains en premier lieu, ce qui n’est pas aussi évident qu’il y paraît, c’est un statut totalement différent de tout ce qui existe de naturel.

L’homme du 21eme siècle n’est pas ou plus du tout fait pour vivre dans la nature, il a dépassé le cap. Nous n’avons rien à voir avec l’indien que Colomb a découvert, nous ne pourrions vivre comme lui au milieu de la nature.

Notre statut est celui d’animaux modifiés ou «dénaturés». Nous sommes des créatures qui se sont séparées du monde naturel. L’homme c’est séparé progressivement de la nature initiale.

La nature à l’état brut nous pose plus de problèmes que d’avantages.

L’homme a fait la bombe atomique. L’homme avance sur la route du pouvoir d’un dieu. Actuellement les chercheurs essayent d’allonger la vie comme celles sur le transhumanisme et nous progressons sur l’élimination du vieillissement naturel.

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Les plantes poussent sans terre, avec du soleil artificiel qui n’a rien de naturel. Les premiers immeubles en agriculture hydroponique sur plusieurs étages se construisent dans les zones industrielles, même pas à la campagne. A Londres, c’est sous terre que des salades sont produites.

Il y a bien longtemps que nous ne prélevons plus à la nature sauvage nos aliments, les animaux sont domestiqués et les premiers steaks artificiels sans vaches sont en élaboration dans les centres de recherche.

 

90% des fruits et légumes que nous consommons n’existaient pas sous la forme actuelle il y a seulement 400 ans. Le chihuahua, que promène mamie, c’est l’homme qui a créé cette race comme toutes les races de chien sur la base d’un loup. Les races d’animaux domestiques n’ont pas été créées par la nature Darwiniste, mais par les sélections supra-naturelles de l’homme.

On peut même se passer de la mer et ses poissons à l’état naturel. Le poisson d’élevage et l’aquaculture remplacent le poisson sauvage sur nos étalages dans les pays occidentaux.

Nous n’avons pas besoin de la nature pour faire de la sélection naturelle. La sélection génétique des OGM, de l’ADN sont maîtrisés et transformables à volonté par l’homme. La révolution biologique est de plus en plus pointue.

Nous ne savons pas où nous allons, les écolos paniquent sur notre destination. Ils ont peur du changement et peur de l’inconnu. La peur du risque. Leurs palabres sont anxiogènes. La nostalgie d’un passé en contact avec la nature idéalisé factice qui joue sur une nostalgie romancée.

En réalité, ils vivent en ville, veulent des arbres à Paris en face de chez eux, mais ont peur de faire quelques kilomètres et se déplacer pour se promener au milieu des arbres du bois de Boulogne. Vous les imaginez pousser une charrue?

Ce sont des enfants gâtés de l’abondance. Ils ont inventé le « principe de précaution, c’est la peur du modernisme qui les anime. La nature n’est que l’excuse. Aucun ne se propose de jeter son portable et sa fourchette dans la poubelle à produits électroniques et métaux.

On peut dire que les choix et possibilités de nos progrès technologiques rendent difficile d’imaginer quel futur s’offre à nous.

Elles sont tellement nombreuses et inconnues qu’elles engendrent des réactions de peurs et certains s’auto-persuadent que la croissance ou le rejet du modernisme et un retour a la nature serait salutaire

C’est le coût de la liberté. La liberté engendre la peur du futur pour ceux qui ne sont pas sur d’eux ou habitués à être pris en charge.

Pourquoi préserverions-nous un statu quo avec la nature?

L’argument de la biodiversité à y réfléchir sur le fond, pose aussi une question, c’est pourquoi faire ? Faires des zones musées ou se promèneraient tranquillement les animaux qui ne peuvent suivre notre évolution?  Pour se donner bonne conscience ? Pour le paraître proche de la nature ? Par mimétisme écolo?

Pourquoi n’éradiquerions pas tous les moustiques parasites ? Ces sortes d’insectes n’ont que des inconvénients et indispensables à personne. Que le paludisme, c’est 200 million de victimes. Au nom de la biodiversité,  laisser le paludisme, chikungunya ou maladie de Chaga décimer les humains?

Il faut admettre la vérité, la nature ce n’est pas les allées du parc ou les bobos promènent leurs enfants dans des poussettes que les écolos essayent de nous faire croire. Les Orangs-Outans, la jungle, les bobos aiment, mais là bas, en Indonésie ou Amazonie. Ils ne veulent pas savoir que les autochtones ont peur de traverser un fleuve et que l’espérance de vie est moindre quand on est un peu trop proche de la « vraie » nature et les efforts nécessaire pour y vivre.

Les grands changements font partie de notre évolution.

Nous devons accepter ce que nous faisons, nous devons accepter notre domination sans précédent.

Non pas que le modernisme n’a pas d’effets pervers parfois indésirables, mais il faut les accepter, tenter de les réduire, comme réduire la pollution mais pas de refuser le modernisme pour autant.

Le changement climatique ? On vit très bien à Las Vegas.

Nous gagnerions à nous adapter au climat qu’essayer de le faire revenir à un état naturel qui va grever notre prospérité, et appauvrir le monde.

Les écolos pensent que les besoins de modernisme sont suffisants et que l’humain doit faire un retour vers la nature et veulent imposer une « décroissance ».

Le PIB a été multiplié par 150 dans le seul dernier siècle. A la fin de notre siècle, elle sera du même ordre. Multiplié par entre 100 et 200 fois selon les facteurs d’innovations techniques de rupture.

C’est dans les pays ou la modernité est apparue que la famine a disparue et le niveau de vie c’est développé.

Vous pouvez facilement résumer les scénarios dans lesquels une hausse de quelque degré est facilement assimilable.

En 2100 le pouvoir humain sur la nature sera tellement augmenté, que l’homme domestiquera le temps sans avoir de pertes de libertés et contraintes comme on lui propose aujourd’hui.

La décroissance que nous impose le pire lobby que la terre connaisse, le lobby écolo-gauchiste, nous promet l’étatisme, le taxatisme, nous rendra pauvre, et fait perdre nos libertés. Le moteur des « excuses » des coercitions est « la nature », mais la nature n’est pas le paradis.

Les arguments en faveur du maintien de la biodiversité sont généralement basés sur la survie, l’économie ou l’éthique.

Les arguments ne fonctionnent qu’a l’anxiogène et la diabolisation de l’humain.

Il est raisonnable de penser qu’avec le temps, la plupart des solutions biologiques, métrologiques pourront être synthétisées autrement que par la décroissance et la technologie que par la contrainte, le totalitarisme et l’étatisme.

La réponse est simple, nous avons changé la nature, et nous ne reviendrons pas en arrière…

L’écologie est la peur de l’inconnu et du changement et une nostalgie idéalisée d’un monde naturel fantasmé…

La nature, c’est joli, une belle image, mais faut pas sur-jouer son importance. A l’état brut elle n’est pas sympa.

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Incendies en Australie: la culpabilité des écologistes

Quand la presse Française remplit 50% de ses journaux de copié-collé-déposé d’articles et statistiques clés en main d’ONG militantes gauchistes et écolos et ne fait plus son travail d’analyse neutre et sérieuse, il est bon d’aller chercher par soi même l’information.

Et là la presse Australienne est une richesse d’informations et délivre une vérité qui fait mal à notre presse Française mariée aux écolos-gauchistes.

 

Les faits sont les faits !

Les feux de brousse sont une caractéristique régulière du calendrier australien, mais les incendies dans les régions de Nouvelle-Galles du Sud et au Queensland ne se sont jamais produits à une telle échelle, et ils ne sont pas liés au changement climatique, mais des conséquences de l’interventionnisme écologique.

Quelle est donc la cause des feux de brousse Australiens ?

Mère Nature a été aidée et encouragée par les écologistes, pour qui quelque chose d’aussi sensé que la gestion de la végétation doit non seulement être empêché mais criminalisé.

 

Chronologie des faits (avec sources), une histoire un peu moins écolo-compatissante.

-Décembre 2017 : Une semaine avant Noël (décembre 2017), dans la semaine précédant Noël, le ministère fédéral de l’Environnement et de l’Énergie Australien a discrètement publié un projet de plan . Intitulé Stratégie australienne pour la nature 2018-2030, le document de 17 pages visait à « prendre soin de la nature dans l’environnement » contre les menaces telles que le changement climatique, les parasites sauvages, la pollution et le développement urbain.

Pourtant plusieurs voix se sont élevées pressentant les désastres à venir, mais ils n’en ont eu rien à faire. La suite est édifiante.

 

En mai 2018, le conseil du Queensland (coalition travailliste-écolos) a fait voter une protection spéciale et démesurée sur des espaces de vastes étendues plus grandes que plusieurs départements Français. Une loi au pouvoir renforcé pour contrôler et sanctionner le défrichage dans une décision de la Haute Cour qui affecte 20% de l’État, 330 000 km², soit la superficie égale à la moitié de la France.

Pour ceux qui n’ont plus le souvenir des cours de géographie et voudraient se rendre compte des proportions, le Queensland est une région d’Australie qui fait 1 852 642 km², soit environ 3 fois la France (643 801 km² (outre-mer-inclus)).

Le Queensland est surnommé le « Sunshine State » (« État ensoleillé »), puisque son climat est chaud et se trouve sous les tropiques. En résumé, il fait toujours chaud, et l’absence de précipitations sur une longue période est récurrente. Changement climatique ou pas, cette région a toujours eu des périodes longues de chaleurs et canicules.

Les mois de décembre et janvier sont les plus chauds de l’année et il y fait une moyenne de 30° le jour et 21° la nuit. Sous l’effet de la chaleur, la végétation tout simplement sèche et perd de l’eau et devient un combustible idéal dans une température idéale pour le démarrage de tout embrasement.

A partir de mai 2018, du tout petit propriétaire du papy et mamie, ou paysan qui défriche par brûlage culturel traditionnel ou celui qui fait un pâturage en zone vierge pour quelques moutons sur le tour de sa maison, à l’agriculteur qui faut une saignée anti-feu de brousse, tous étés lourdement sanctionnés s’ils dérogeaient à la loi.

La loi fut appliquée au pied de la lettre. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 600 000 $ le défrichage préventif ce qui dissuade.

Ce qui logiquement de cause a effet est arrivé. Des feux gigantesques. Le changement climatique est un bouc émissaire facile. Ca fait les gros titres à la place des vrais responsables.

La catastrophe des feux Australiens n’est pas la conséquence d’un changement climatique, mais le comportement criminel d’un gouvernement qui a essayé d’acheter des votes verts en créant de vastes étendues de parcs nationaux sans rien gérer de celles-ci et a conduit a faire des régions Australiennes des resserves de carburant végétal sèches.

Ils se sont pliés à une idéologie qui fait obstacle à la réduction des risques et empêche les propriétaires fonciers de défricher la végétation autour de leurs propres propriétés, le tout sous l’emprise du dieu de la« biodiversité ».

Le bilan des brasiers est lourd, un milliard d’animaux tués et 120.000 km² de végétation en cendres.

Si vous voyez les écolos pleurer sur les feux en Australie, en fait ils pleurent les conséquences dont ils sont la cause. La vérité fait mal et ils ne la publient pas en faisant des montagnes sur l’hypocrisie climatique, mais cela cache la cause réelle et sérieuse des feux Australiens.

 

Deux régions au monde ont adoptés les lois écolo en interdisant le débroussaillage, la déforestation par coupe-feu et les barrages en digue de terre collinaires pour créer des retenues d’eau.
Ce sont le Queensland en Australie et la Californie aux States.
Ces deux régions sont depuis la proie d’incendies gigantesques.

L’alarmisme exagéré des écolos entraîne des lois environnementales aux effets pervers plus nuisibles que ce qu’elles sont sensé combattre. Aujourd’hui l’expérience Australienne montre que cela peut être criminel.

 

 

Par Spartacus Lequidam

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Retraites des privilégiés : le diable se cache dans les cotisations sociales de l’État

Pour ceux qui ne comprennent pas les privilèges, les iniquités et les inégalités sociales les voici expliquées le plus clairement du monde par les chiffres froids et concrets.

 

Les cotisations :

Un salarié du secteur privé est abondé entre 15,45% et 23,2% (cotisations salariales et patronales) (avec complémentaires) en pourcentage de sa rémunération par son employeur, pour son assurance retraite. (les petites lignes que personne ne lit sur la feuille de salaire).

 

Voici la cotisation de l’état avec ses obligés :

 

Un fonctionnaire est abondé pour la retraite par l’état employeur à 74,28%

Un militaire lui est abondé pour la retraite à 126,04%.

 

La croissance est exponentielle : il y a 10 ans, en 2009, les taux étaient respectivement de 58,47% et 108,39%. Plus de 20% de croissance en seulement 10 ans. L’absence de caisse cantonnée avec une balance entre recettes et dépenses autorise une dépense pour les castes de l’état démesurée.

Chacun peut le constater.

 

Les affiliés à des caisses :

Un fonctionnaire territorial ou hospitalier affilié à la CNRACL l’état employeur fournit une cotisation retraite de 41,48%.

Un agent SNCF affilié à la CPRPSNCF la cotisation de la société est de 46,43%.

Un agent EDF affilié à la CINIEG est à 52,58%.

 

Comme vous le constatez, l’état est pharaoniquement généreux pour l’assurance retraite des ses obligés et des entreprises publiques qu’il gère…

L’état est entre 3 et 8 fois plus généreux avec ses collaborateurs que le droit commun..

C’est une montagne de différence de traitement…

C’est odieux !

 

Mais d’où vient l’argent de ces généreuses cotisations ?

La réponse est simple, il n’y a rien qui sort de la poche de l’état qui ne soit prélevé de votre poche…

Tout est pris dans vos impôts, cotisations, taxes sur les factures du secteur marchand.

L’état employeur ne paye pas les charges sociales de ses salariés, comme la vache ne paye pas la taxe sur le lait.

L’argent de l’état est un jeu a somme nulle, ou ces cotisations pharaoniques sont autant de pouvoir d’achat qui vous est arraché par la force de l’obligation.

Aucun privilégié de l’état ne peut avoir ces avantages sociaux sans que quelqu’un d’autre ne les payent.

 

A contrario, les agents EDF, RATP ou SNCF ont eu une carrière avec l’exception d’être exonérée de cotisations pour le chômage, alors qu’on a demandé aux cotisants du secteur privé de prendre en charge le secteur du spectacle…

 

Payer pour le service régalien de l’état est une chose, mais payer le double pour une gestion inconsistante, est irresponsable.

Le secteur privé ne peut pas concurrencer les avantages injustes des secteurs économiques gérés par l’État et cette ponction pour les privilèges de ses agents et sa gestion honteuse.

 

Les droits ?

Les inégalités les plus injustes sont celles des droits différenciés.

Il est difficile de faire une liste des discriminations que subissent les adhérants au régime général tellement les privilèges sont nombreux dans les régimes spéciaux de l’État.

Voici un patchwork incomplet :
Privilège de faible pénalité de décote : Si vous n’avez pas votre nombre équitable d’années vous aurez une « décote », mais pas la même ! Les fonctionnaires qui pourtant ont des carrières plus linéaires du fait de la stabilité de leur emploi sera moins pénalisante.

Pire quand c’est « décote » pour les salariés du privé, c’est « surcote » pour ceux du public. Le fonctionnaire a bénéficie plus jeune de la décote et une surcote plus jeune. Ainsi lorsqu’à 63 ans un fonctionnaire passe en surcote, le salarié du privé est en décote. Il est prévu a terme une égalité, mais qu’au futur… (pas besoin de dessin ?)

 

Privilèges de cumuls : Si vous cumulez 2 emplois dans le secteur privé, par exemple un job la semaine et un job le week-end vous avez 2 rémunérations dans le secteur privé, mais savez vous qu’on ne tiendra compte que d’une seule « limitée » au seuil sécurité sociale indépassable ?

Pas pour eux, les élus, fonctionnaires et bénéficiaires de régimes spéciaux. Vous connaissez sûrement le Français champion du monde toutes catégories cumulard d’une foultitude de régimes spéciaux, François Hollande ? Et bien vous aurez beau avoir autant d’emplois privés ou fictifs dans le secteur privé du droit commun, jamais vous ne cumulerez comme lui, Vous n’en avez pas le droit, eux les privilégiés des régimes spéciaux, Oui.

 

Privilège d’une pension qui ne correspond en rien a la carrière réelle.

Le grade détermine la pension des privilégiés des régimes spéciaux, pas la fonction exercée. Par exemple en France il est versé largement 3 fois plus de pension au grade de préfets, qu’il n’y a jamais eu de préfets en fonction en France…

 

Privilège de fraude tolérée de sa pension

Le « coup du chapeau », c’est une évolution de grade pour poste fictif, en toute fin de carrière pour calculer favorablement la pension de l’intéressé. Dans le ministère de l’économie et des finances, 24% des fonctionnaires changent de grade dans la dernière année, mais à l’intérieur de cette statistique, 75% des haut fonctionnaires de ce même ministère sont « gradés » pendant cette période.

On note une augmentation de grade dans le ministère des anciens combattants 50% des fonctionnaires, la poste 40%, l’intérieur 33%, la défense 30%, l’aviation civile 23% comme à la recherche publique, l’équipement et le logement, 15%, la justice 14% et l’éducation nationale 9%. (Chiffres de 2013) mais avec le gouvernement Hollande et Macron, pro-technocrates le chiffre a certainement évolué en pire.

Cette fraude ou manipulation est entrée dans les mœurs des privilégiés, tolérée elle semble être d’un faible coût pour l’administration qui l’octroie, pour quelques mois, comme une augmentation de salaire indiciaire, mais génère une terrible charge sur la société par une amplification de la pension qui sera versée pendant des dizaines d’années, une spoliation scandaleuse des contribuables français.

 

Privilèges de bonifications de droits à gogo :

Pour les instituteurs fonctionnaires, le temps passé à l’école normale à partir de l’âge de 18 ans est considéré comme une durée de service effectif. Un privilège qui permettra a ses bénéficiaires de partir plus jeune que les autres à la retraite.

Un partie des fonctionnaires de la police nationale, de l’administration pénitentiaire, des douanes, de la navigation aérienne des militaires se voient crédités de 30 ans de service alors qu’ils n’en ont effectué que 25… Ils peuvent donc gagner par rapport à tous les autres gagner 5 années de travail en moins pour obtenir leur retraite.

6 ans = 8 ans pour le service hors Europe. Vivre sous les cocotiers nécessite tellement cela. Vous aurez en plus une meilleure pension si vous y restez.

Allez je vous réserve la plus caricaturale anecdote pour la fin. Un retraité de la SNCF qui décide de terminer sa carrière de retraité à la Martinique ou La réunion bénéficiera comme un fonctionnaire d’une pension majorée en fonction de « droits acquis » copiés sur le droit des fonctionnaires. Mais savez vous que dans ces DOM-TOM il n’y a même pas de trains et il n’y en a jamais eu sur ces îles ? Pitoyable n’est-ce pas ?

Alors, oui il faudrait une réforme des régimes spéciaux, mais pas élaborée par des technocrates en conflit d’intérêt, eux mêmes aux régimes spéciaux.

Nous regardons sous nos yeux en ce moment le pire du pire.

Ce gouvernement a réussi l’exploit non seulement de faire une non-réforme, mais en plus de céder aux corporations les pires déjà favorisées en rien l’universalisme de l’excuse pour la demande de réforme.

Dramatique !

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Where’s Hunter?.. (il est ou Hunter ?)

Il faut dire que Hunter a bien de la chance.

Il gagne 600 000 $ par an. Il travaille pour une société pétrolière Ukrainienne.

Pourtant Hunter ne parle pas Ukrainien. Hunter est Américain et ne parle que Anglais.

Pour donner un ordre de proportion, un administrateur de Exxon Mobil (2eme capitalisation boursière du monde, 6eme chiffre d’affaire du monde) est à coté de lui un « petit joueur » avec seulement 330 000$ par an. Et bien Hunter gagne presque le double de lui.

Le salaire annuel moyen en Ukraine est de 1700 $ par an (notez que c’est par an et pas par mois).

Comme vous le voyez Hunter gagne beaucoup, beaucoup plus que les gens en Ukraine siège de la société pétrolière qui l’emploie comme avocat d’affaires….

Hunter lorsqu’il a été embauché ne connaissait rien au pétrole.

Hunter n’est pas un exemple. Il a été viré de l’Armée pour usage de cocaïne.

Chronologie

Acte 1 Joe Biden demande un limogeage contre l’obtention de l’aide financière Américaine.

A la fin du dernier mandat de O’Bama aux USA, le vice président Joe Biden demande le limogeage du procureur en chef de l’époque en Ukraine, qui enquêtait sur l’entreprise employant Hunter. L’entreprise « Burisma holding » en 2016 juste à la fin de mandat de O’Bama.

A cette époque de conflit avec la Russie, l’Ukraine a terriblement besoin de l’aide Américaine.

À la demande de Joe Biden, vice président de O Bama et chargé des affaires étrangères, le procureur en chef, Viktor Shokin, est licencié immédiatement et l’enquête sur Burisma Holding est close. Joe Biden a eu ce qu’il a exigé pour donner l’aide financière Américaine.

Acte 2 Un livre sort en mars 2018.

« Empires secrets : comment la classe politique américaine cache la corruption et enrichit sa famille et ses amis ».

L’auteur de ce livre Peter Schweizer se pose des questions sur le dernier acte de Joe Biden avant la fin de mandat de Barack O’Bama, le limogeage du procureur Ukrainien. Il découvre que le fils du vice président est employé par « Burisma Holding ».

Hunter Biden, fils de Joe Biden vice président des états unis travaille dans l’entreprise ou son père a demandé au président de l’Ukraine de virer le procureur qui enquêtait sur elle. Il découvre les revenus pharaoniques de Hunter Biden dans l’entreprise Ukrainienne. (50 000$/mois officiel) (83 000$ selon l’agence de presse Halifax)

Acte 2+ une affaire chinoise :

Partant de là, l’auteur du livre pousse le bouchon et enquête sur le fils du vice président. Hunter Biden et découvre, une affaire chinoise.

En 2013, les Chinois envahissent les îles de la mer de Chine méridionale.

La tension est forte entre USA et Chine. O’Bama envoie Air Force Two et son vice président Joe Biden qui lui, emmène avec lui Hunter à bord de l’avion.

Joe Biden s’écrasera devant le bellicisme des Chinois, même la presse de gauche acquise aux démocrates critiquera son manque de négociation. En fait, 12 jours après le voyage, un fond de capital-investissement Chinois est créé avec à la tête Hunter, capitalisé par un prête nom du gouvernement chinois de 1,5 milliards de $. Le fond reçoit une licence commerciale Américaine ce qui est contre nature.

Acte 3  : L’avocat de Trump lit le livre et contacte l’auteur.

La désignation du prochain candidat démocrate est un jeu à 3 prétendants.

Sanders est un vieux, malade et tellement à gauche que Trump ne risque pas grand chose. Waren est aussi une extrémiste clivante très à gauche, et affabulatrice. Elle c’est inventé un passé misérabiliste et tout est faux. Elle n’est ni indienne, et n’a pas subit de licenciement abusif parce qu’elle était enceinte comme elle a prétendu.

Le plus dangereux pour l’élection de 2020 pour Trump, c’est Joe Biden. Un homme de centre gauche qui lui peut rallier les indécis qui font l’élection.

Et…Rudy Giuiliani, l’avocat de Trump qui a lu le livre, s’empresse de lui e-mailer les pages les plus savoureuses…Et en Ukraine on a changé de président.

Acte 4. La conversation téléphonique.

Une conversation téléphonique a eu lieu entre le nouveau président Ukrainien et Donald Trump. Trump demande a ce que le président Ukrainien enquête sur Hunter et sa société « Burisma Holding » car il veut savoir.

Un membre « inconnu » qui se fait appeler « lanceur d’alerte » dénonce Trump comme soi-disant ayant fait pression sur le président Ukrainien en mettant en jeu l’aide Américaine contre des informations sur Hunter. On sait que ce lanceur d’alerte est proche des démocrates, et a travaillé pour Joe Biden.

Acte 5 Lanceur d’alerte

Adam Schift le sénateur démocrate, et président du comité du renseignement chargé de superviser la communauté du renseignement des États-Unis affirme qu’il y a « des preuves plus que circonstancielles » et fait une présentation à charge de la conversation que Trump a eu avec le président Ukrainien Zelensky.

Les démocrates lancent un projet de « destitution » politique et médiatique du président Trump sur la base des faits reportés du lanceur d’alerte.

Il n’y a aucune chance que la destitution aboutisse. Il faudrait un accord du Sénat et le Sénat est à majorité républicain.

Acte 6 Trump contre attaque

Le président Trump ne nie pas avoir demandé au président Ukrainien d’enquêter sur Hunter, et un éventuel conflit d’intérêt. Il nie avoir fait pression par des menaces et livre à la presse la conversation téléphonique de plusieurs minutes qui se révèle chaleureuse, qui ne continent aucune menace. Trump indique que c’est son rôle de vérifier ou va l’argent du contribuable Américain.

Le président Ukrainien Zelensky confirme les propos de Donald Trump officiellement et déclare. « Ce n’était pas un chantage et le budget des armes pour l’Ukraine n’était pas un sujet de conversation« .

Harcelé de questions par les journalistes à tendance démocrate, sur le projet de destitution, Trump répond que c’est une manœuvre politique en coup d’état et dit qu’ils feraient mieux d’aller enquêter sur Hunter en Chine.

Trump contre attaque avec le slogan « where’s Hunter ? » plusieurs fois par Tweet et à la convention de Minneapolis.

A la sortie du rassemblement de la campagne électorale de Trump à Minneapolis, au Minnesota des t-shirts ont commencé à se vendre à la sortie. Les T-shirt, peuvent être achetés sur internet ou dans les shops républicains pour 25$.

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Avec la casquette « Make America Great Again » lors de sa première campagne présidentielle, Trump a amassé 45 millions de dollars.

Le T-shirt « where’s Hunter ?  » Fera t-il mieux ?

Mais ou est-il Hunter ? Ou est il ?

Par Spartacus Lequidam

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Pesticides, comprendre pour sortir de l’hystérie obscurantiste écolo-médiatique

Nous vivons actuellement une période détestable ou un lobby (écologistes) a envahi les médias et la raison pour faire place au sensationnel culpabilisant.

Un débat médiatique qui cherche à capter l’auditeur, le téléspectateur ou le vote des bobos et la diabolisation de l’industrie chimique et le capitalisme.

Les pesticides sont un exemple assez caricatural quand on prend le temps de rentrer dans la réalité et sortir des clichés imposés basés sur la méconnaissance et l’ignorance générale du sujet.

 

Origine des pesticides et évolution.

Les végétaux dans l’esprit commun ont l’image d’êtres incapables, immobiles, passifs, vulnérables à l’attaque d’une multitude d’organismes pathogènes. Les expressions populaires incluant des fruits et légumes reflètent bien cet état d’esprit. « Compter pour des prunes », « bête comme chou », « a la noix ».

La réalité est que la végétation est vivante, dotés d’ADN et de l’envie de survivre.

Au cours de l’évolution, les plantes ont développé des moyens pour survivre.

Pour faire face elles ont développé des mécanismes de défense au cours de l’histoire évolutive des végétaux contre les champignons, les insectes et les animaux. Certaines visibles comme des piquants, ou d’autres invisibles comme les substances chimiques.

Pour se protéger, les végétaux se sont donc mises à produire des produits chimiques, des toxines, des substances défensives complexes. Les pesticides.

Les pesticides sont lié à leur évolution, leur complexification, leur diversification depuis plusieurs millions d’années.

 

Les pesticides sont à 99,9% naturels

L’exposition de l’homme à des pesticides d’origine naturelle est sans commune mesure à l’exposition des pesticides d’origine humaine.

Contrairement à la perception que vous impose le monde écolo-médiatique, les 99,9% des pesticides consommés par l’homme ont une origine naturelle. 

Les quantités de résidus de pesticides synthétiques dans les aliments sont insignifiantes par rapport à la quantité de pesticides naturels produits par les fruits et légumes eux-mêmes.

Des dizaines de milliers de ces pesticides naturels ont été découverts et chaque espèce de plante en produit au moins une vingtaine au minimum. Par exemple, le chou à lui seul en compte 120 (y compris les produits de dégradation).

La concentration des pesticides dans les aliments se mesure à l’échelle du ppb de l’anglais part per billion (partie par milliards (1 ppb = 0,000 000 001 = (10-9)).

 

En alimentation méditerranéenne, nous consommons une moyenne de 10 000 pesticides et produits de décomposition naturels au cours de notre vie.

Nous consommons 1 500 ppb de pesticides naturels par jour, pour 0,09 ppb par jour de pesticides synthétiques (crées par l’homme).

 

Pesticides et humains.

Les végétaux comme les humains font partie de l’histoire de l’évolution.

Les défenses que les humains ont développées sont généralement de type général car le nombre de pesticides naturels est très important et varié. Les défenses générales offrent une protection contre les pesticides à la fois naturels et synthétiques, ce qui permet aux humains d’être bien protégés contre les toxines alimentaires à faible dose.

Les plantes, elles développent et raffinent leurs armes chimiques depuis 500 millions d’années. Les plantes, elles ont développé leurs pesticides naturel les plus efficaces pour dissuader les prédateurs, elles ont laissé leur héritage à leur descendance.

D’autre part, les humains, ont évolué il y a moins d’un million d’années, eux n’ont pas eu le temps de se transformer en une « harmonie toxique » avec tous les végétaux de leur régime alimentaire. En fait, très peu de fruits et légumes que nous mangeons aujourd’hui existaient à l’époque des chasseurs-cueilleurs.

Notre alimentation a radicalement changé au cours des derniers milliers d’années. Nous consommons des fruits et légumes sélectionnés ou améliorés, récemment introduits dans des cultures vivrières que ne connaissaient pas nos ancêtres, comme par exemple le café, le cacao, le thé, les pommes de terre, les tomates, le maïs, les avocats, les mangues, les olives, les kiwis.

En outre, les légumes crucifères tels que le chou, le brocoli, le chou frisé et le chou-fleur sont popularisés que depuis le Moyen Age. La sélection naturelle fonctionne beaucoup trop lentement pour que les humains puissent développer une résistance aux toxines naturelles.

 

Nous pouvons facilement extraire de nombreux pesticides naturels, mais nous avons besoin de davantage de produits chimiques synthétiques pour protéger les cultures des insectes nuisibles. D’autre part, nous pouvons également augmenter les niveaux de pesticides naturels.

 

Les allergies, les eczémas, après contact aux plantes ou pollens sont les conséquences de la chimie naturelle des plantes.

Par exemple, quelques variétés de céleri provoquent des éruptions cutanées et des brûlures chez les personnes qui s’exposent au soleil par la suite.

Une variété de pomme de terre développant des toxines naturelles a dû être retirée du marché en raison de sa toxicité pour les humains.

En outre, lorsque les végétaux sont stressées ou endommagées, par exemple lors d’une attaque de ravageurs, leurs concentrations de pesticides naturels augmentent considérablement, mais rarement jusqu’à des concentrations toxiques pour l’homme.

La racine de manioc, par exemple, une culture vivrière majeure en Afrique et en Amérique du Sud, résiste assez bien aux parasites et aux maladies, mais contient du cyanure à des niveaux si élevés que seul un processus laborieux de lavage, de broyage, de fermentation et de chauffage peut le rendre comestible. L’intoxication chronique au cyanure est endémique dans de nombreuses régions africaines mangeuses de manioc.

Les intoxications au Datura, plante sauvage invasive intoxique les consommateurs de produits bio dans nos pays occidentaux. Comme les farines de sarrasin ou les haricots bio.

Les végétaux développent des pesticides naturels qui sont responsables couramment de mycoses, mycoses pulmonaires, dermatophytes, candidoses, méningites, Kératites, Septicémies etc…

 

Dans les pesticides naturels, on trouve des toxines naturelles qui classent certains végétaux « probablement cancérigène ». Le soja, le basilic, l’estragon, basilic, l’anis ou le fenouil par exemple le sont, comme le soleil, l’alcool ou la viande rouge.

 

Le chou et le brocoli contiennent un produit chimique qui se décompose en substances imitant le comportement de la dioxine dans l’organisme. La dioxine provoque des anomalies congénitales chez les rongeurs à des doses extrêmement basses.

 

Pesticide naturel ou synthétique. Quelle différence ?

Les non-scientifiques, les médias, ont tendance à penser que les pesticides sont uniquement synthétiques et à les qualifier de toxiques, en ignorant le fait que tout pesticide naturel est également toxique à une dose donnée.

La dichotomie polémique entretenue par les écolo-fascistes entre « naturel » ou « Artificiel » ou « synthétique » crée une montagne d’ignorance.

 

Par exemple, la toxine de tomate, présente une concentration plus proche du seuil de toxicité chez l’homme que 1000 fois des toutes les traces de résidus de pesticides synthétiques cumulées.

Les toxines naturelles peuvent également ont les mêmes mécanismes de toxicité que les toxines synthétiques telles que la dioxine.

 

Ironiquement, les agriculteurs biologiques sont légalement autorisés à utiliser des pesticides naturels (bio-sourcés), tels que la roténone, que les Indiens utilisaient comme poison pour tuer les animaux, ou les pyréthrines des plantes de chrysanthème. 

Les pesticides autorisés en bio n’ayant pas été testés aussi complètement que les pesticides synthétiques, leur innocuité par comparaison ne doit pas être présumée ou ignorée.

En résumé, les pesticides d’origine végétale représentent la grande majorité des pesticides diététiques auxquels les humains sont exposés et comportent donc un risque égal, voire supérieur, à ceux fabriqués par l’homme.

 

Même si ces produits chimiques naturels sont aussi cancérigènes ou dangereux que les produits synthétiques, cela ne veut pas dire que les uns et les autres nous tuent. La plupart des pesticides, naturels ou synthétiques, ne posent pas de problèmes, car les expositions humaines sont faibles et tout est dans la dose.

Tout ce que vous mangez du supermarché, du marché du magasin bio ou de votre jardin est rempli de pesticides.

De nombreux aliments ordinaires ne satisfont pas aux critères réglementaires utilisés pour agrémenter les pesticides synthétiques.

Les pesticides naturels sont dans les pommes, les bananes, les betteraves, les choux de Bruxelles, le chou vert, les raisins, les melons, les oranges, le persil, les pêches et ces fruits et légumes ne sont pas interdits. 

Il ne viendrai pas à l’idée de les interdire, mais si leurs pesticides naturels devaient passer un test de nocivité identique à ce que subit un pesticide synthétique avant son agrément de mise sur le marché. Ces fruits et légumes ne passeraient pas les tests et éliminés de suite.

 

Parallèlement, les pesticides de synthèse ont considérablement réduit le coût des cultures vivrières, ce qui constitue une avancée majeure en matière de nutrition et donc de santé.

 

En 1997, les instituts de recherche sur le cancer des États-Unis et du Canada piloté par le plus grand biologiste du monde (Bruce Ames) ont publié une importante étude pluriannuelle de toutes les publications scientifiques faisant état de tout lien entre le cancer chez l’homme et les résidus de pesticides dans les aliments. Ils n’ont pas trouvé une seule preuve crédible liant les deux.

Ils ont conclu que 30% des cancers humains sont dus à la consommation de tabac, provenant d’une plante naturelle, et que 35% des cancers sont causés par une mauvaise alimentation, principalement un excès de graisse et de cholestérol, des substances naturelles.

 

Il n’existe pas de risque démontré pour la santé de manger des fruits et des légumes traités avec des pesticides légalement autorisés aux doses légales.

 

Le venin de Cobra est « naturel ». Quelqu’un se soucie de la dose ? C’est dilué un puissant anti-douleur et anti diabétique.

Oubliez les débats absurdes ou les écolo-gauchistes vous dirigent en faisant une distinction entre pesticides naturels ou de synthèse. Les écolos sont anti capitalistes et veulent diaboliser les productions humaines, c’est pour cela qu’ils font la distinction.

Posez toujours le débat sur les pesticides sur l’angle de la dose. C’est le seul approprié. Le reste c’est de la politique interventionniste pour chasser pour caresser l’électeur bobo qui se prend pour sauveur de la planète en éteignant sa cigarette sur le trottoir en entrant dans le magasin bio.

Le pesticide synthétique n’a qu’un danger. La dose. Que la dose et pas ses distinctions intrinsèques.

 

Par Spartacus Lequidam

Vidéos du journal l’Opinion pour compléter :

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/definition-pesticides-qu-est-que-c-est-197557

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/quels-sont-avantages-inconvenients-pesticides-197704

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/l-agriculture-bio-utilise-t-elle-pesticides-198030

 

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La Chine va-t-elle bientôt s’effondrer comme s’est effondrée l’ex-URSS ?

Le 1er octobre, c’est donc le 70e anniversaire du bilan du Parti communiste chinois à la tête du pays depuis 1949. Pas certain que la Chine fête un 75eme anniversaire avec lui….

 

À la différence de l’Union soviétique à ce stade, la Chine semble prospérer en apparence. Du moins si vous écoutez les médias affligeants à l’analyse économique de moules journalistiques.

La Chine est souvent comparée à l’économie Américaine, mais en réalité elle en est bien loin.

La productivité Américaine est 2 fois plus efficiente avec 4 fois moins de population que la Chine et une démographie plus dynamique.

Son esprit d’initiative la fait renouveler ses forces économiques en permanence. La Chine plus forte que les USA est juste une chimère des journaux de gauche ou on préfère s’auto-persuader des fantasmes anti-Américains primaires, se bercer d’illusions et nier la réalité.

 

La vérité est tout autre, en Chine ça explose de partout.

Guerre économique, démographie, mauvaise productivité, dette, crise de Hong Kong, camps de Ouïghours, Xi Jingping le dictateur, disparitions de milliardaires, cyber-surveillance orwellienne, fuite des cerveaux, fuite des capitaux occidentaux, corruption endémique.

Ça se lézarde de partout. Il faut juste deviner par quel bout le pays va s’écrouler.

 

 

Le miracle Chinois est bien derrière.

La grande croissance chinoise des années 90 et 2000 a été alimenté par une main-d’œuvre nombreuse et jeune, une urbanisation rapide, des investissements d’infrastructure à grande échelle, la libéralisation des marchés et la mondialisation.

Ces facteurs favorables sont en train de se retourner et s’inversent négativement. La démographie, les investissements et les marchés potentiels se resserrent tous. A cela il faut ajouter une guerre commerciale avec la plus grande économie du monde et son premier client, les USA.

 

Dans la réalité la situation économique de la Chine n’est pas très optimiste. Xi le dirigeant actuel apparaît comme un dictateur sans scrupule qui tranche avec les années d’ouverture à l’occident des années Deng Xiaoping et l’ouverture aux marchés libres.

Les manifestations pour la liberté à Hong Kong, durent depuis plusieurs mois, et la propagande a de plus en plus de mal à la cacher à la population intérieure du pays. L’impact de la crise est très négatif sur l’économie et l’image de la Chine. Hong Kong est la plaque tournante du commerce international du pays. La dictature se fait visible à la Chine et au monde entier.

Les chiffres de propagande ne dupent plus personne

Les chiffres économiques affabulateurs de la Chine ont vécu, plus personne ne croit la propagande des données officielles venant du gouvernement Chinois.

Les analystes économistes des compagnies de notation sur la Chine rassemblent aujourd’hui des données alternatives, comme les données de transfert bancaires, la consommation d’énergie, du fret ferroviaire, jusqu’aux photos prises depuis l’espace.

La conclusion est bien différente de la parole du gouvernement Chinois. L’économie chinoise plafonne et se retourne, et pas du bon coté.

Les chiffres du PIB chinois sont faux à plus de 3 points des pourcentages annoncés.

Les entreprises Américaines. Européennes se détournent de plus en plus leurs activités de la Chine, en raison de l’intensification de la guerre commerciale entre les USA et la Chine. Les milliardaires fuient, les chercheurs les scientifiques veulent terminer leurs carrières aux USA.

25% des entreprises Américaines ont déclaré baisser leurs investissements au cours de l’année 2018.

Discrètement le gouvernement Chinois essaye de « rattraper » les investisseurs Américains par des mesures exceptionnelles désespérées, en exemptant les produits pour les américains de droits de douane.

La banque centrale chinoise a quant à elle injecté depuis le début de l’année 126 milliards équivalent dollars dans l’économie. Une folie financière à charge des générations futures.

La dette dépasse déja les 300 % du PIB, 15% de l’endettement mondial. A cela on ignore la dette hors bilan et cachée secrète des régions Chinoises qui s’ajoute.

La corruption entraîne les fonds d’investissement de l’état vers les entreprises de l’état, déjà les plus endettées du monde, et les moins dynamiques avec des ratios de remboursement ubuesques et de l’autre détruisant le potentiel privé qui ne trouve lui se trouve bloqué de financements disponibles.

Un entreprise chinoise 100% privée emprunte a 9%. Ce qui fragilise les rentabilités et promet des augmentations de coûts alors que les concurrences des pays émergements à la Chine se réveillent dans tous les domaines.

Les immeubles des grandes villes se vident et derrière les façades de verre, les bureaux vides sont plus nombreux que les bureaux remplis.

En chine, l’inflation fait un grand retour. Le prix du porc augmente depuis des mois et il est maintenant près de 50% (le double) plus élevé qu’il ne l’était il y a un an.

Essayez d’imaginer l’impact psychologique du doublement du prix de la viande en un an en France et dites vous bien que les chinois sont comme les Français. Ils doutent de leur gouvernement avec ce genre de résultat.

 

La démographie se retourne négativement.

La Chine a un terrible problème démographique, c’est peut être le plus important problème. Les résultats des politiques de l’enfant unique a fait avorter des générations entières de filles et favorisé la conception d’enfants masculins. Il en résulte un déséquilibre démographique. Un faussé plein d’hommes vieux et incapables de trouver une épouse et des jeunes moins nombreux qui auront la charge de porter la charge et le fardeau social de générations vieillissantes elles plus nombreuses.

 

Une société frustrée, fichée et forcée à la sédentarité.

Les systèmes communistes ne peuvent exister sans une société de gens serviles à l’état. Corée du Nord et Chine on un système de contrôle et d’enregistrement des ménages assez terrifiant. Le système d’enregistrement des ménages « hukou » identifie et détermine le domicile légitime de chaque individu ou il doit rester impérativement, le lieu où il bénéficie de l’enseignement public et des services médicaux. Si vous êtes un Chinois chanceux, c’est Beijing, Shanghai, Guangzhou ou Shenzhen. La plupart des gens ruraux concés dans leur région rurale, cela engendre injustice et frustration. Des échantillons d’ADN, des empreintes digitales, des images de l’iris et des informations sur les groupes sanguins de tous les habitants âgés de 12 à 65 ans sont collectés. Dans la province de Xinjang, la reconnaissance faciale, surveille les déplacements des habitants.

Le dictateur Xi Jingping met en place un système qui sera pleinement opérationnel en 2020 de crédit social coercitif. Chaque Chinois se verra attribuer une note, échelonnée entre 350 et 950 points, Le système repose sur un outil de surveillance de masse et utilisera la coercition et les privations de droits pour redresser les « récalcitrants« .

Ne croyez pas que les Chinois sont dupes et ne rêvent pas de la liberté occidentale.. La frustration latente est une bombe.

 

La corruption endémique

 La corruption est le propre des régimes technocratiques et la Chine en est une caricature. Chaque fois qu’une entreprise remporte un appel d’offre public, c’est qu’elle a payé les fonctionnaires corrompus.

Il faut payer et accepter la corruption des fonctionnaires pour tout. Pour instruire ses enfants dans une école spécialisée. Il est interdit de déménager et il faut payer pour avoir les dérogations. Il faut payer pour travailler dans l’entreprise d’état ou de la province et rétribuer à vie en liquide le fonctionnaire qui t’a donné le travail.

La corruption engendre une société communiste de discriminés et de frustrés du système. Des fonctionnaires très riches au pouvoir de discrimination.

 

Xi Jingping retour à 180° vers une dictature néo-Maoïste

Le PCC a abandonné le pragmatisme et la souplesse intellectuelle de Deng Xiaoping.

Xi Jingping est un pur dictateur, il c’est déjà déclaré dirigeant a vie avec un virage néo-maoïste. Il veut imposer une discipline organisationnelle rigide et un gouvernement fort fondé sur la peur et la terreur. Les erreurs politiques vont être catastrophiques comme toutes les expériences communistes le prouvent.

Au fur et à mesure des contestations que va engendrer le retournement de l’économie, son emprise pour garder le pouvoir va le rendre impopulaire, il ne lui restera que l’ intensification et la répression de ses opposants. Dans un monde Internet. Le mouvement de balancier peut allez plus vite que les périodes passées entraînant un effet spirale négative.

Un régime dépendant de la coercition et de la violence va induire une réduction de l’activité économique, payer d’une résistance populaire croissante, d’une augmentation des coûts et un futur isolement international.

 

La faillite de la Chine est plus proche que l’on croit. Les 70 ans du 1er octobre sont certainement le dernier round avant l’écroulement dans la décennie qui arrive.

Les Chinois en ont mare et sont a bout. Même maintenant en occident on le sait. Le PCC n’arrive même plus à le cacher.

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Pourquoi les USA réfléchissent à acheter le Groenland.

On lit tout et n’importe quoi sur la réflexion des USA à acheter le Groenland.

Bien entendu, dès que le mot « Trump » fait partie d’une équation, les meutes journalistes agissent comment des chiens et hurlent à l’unisson à charge sur la déraison des réflexions des USA.

Encore un constat que le journalisme en France n’est qu’un tribalisme, et que la confiance est rompue. Vous avez lu beaucoup de poncifs, clichés, niaiseries et entendu tout et n’importe quoi. Il faut donc rétablir les vérités.

Nous devons aujourd’hui ne plus prendre l’information des médias anciens, et réfléchir par nous même pour comprendre. Voici donc une vulgarisation de la situation.

 

Histoire du Groenland.

Le Groenland est une région qui a supporté plusieurs périodes de réchauffement-refroidissement dans l’histoire. La préhistoire montre plusieurs périodes de migrations et exils des Amérindiens sur la partie proche du Canada.

Nous savons que la disparition des Groenlandais d’origine indienne Dorset est due à la famine, causée par le refroidissement climatique avant le réchauffement climatique médiéval du xie siècle.

En 982, Erik le Rouge le viking, banni de Norvège explore le pays. Il nomma cette terre « Groenland » qui se traduit par « Pays vert ». D’après Le Roy Ladurie, le Groenland était à l’époque bien plus vert qu’aujourd’hui et un peu plus hospitalier notamment sur les côtes (en raison de l’optimum climatique médiéval).

Le Groenland devient à la descendance d’Erik le Rouge, une colonie du royaume du Danemark et de Norvège avec les îles Féroé.

A la séparation de l’union du Royaume de Danemark et Norvège en 1814, la propriété du Groenland revient au Royaume du Danemark.

Aujourd’hui, les 2 colonies danoises, les îles Féroé et le Groenland sont des provinces autonomes du royaume du Danemark. Elles possèdent un gouvernement qui leur est propre et qui a compétence dans la plupart des domaines politiques, à l’exception de quelques domaines régaliens, comme les affaires étrangères, de la défense et la politique monétaire, qui sont toujours contrôlés par Copenhague.

 

La relation du Groenland avec les USA

La première chose qui saute aux yeux, le Groenland fait partie géographiquement de l’Amérique du Nord.

Les danois ont par le passé vécu un phénomène migratoire vers les USA important. Avec la proximité du Groenland et des Amériques, les Danois ont étés sensibles au rêve Américain. De 1815 à 1914, 15% des Danois (300 000 personnes) émigrent vers les États-Unis et le Canada. Un nombre conséquent. La majorité des familles danoises aujourd’hui ont des branches familiales aux USA.

Après l’invasion du Danemark par l’Allemagne en 1940, les États-Unis déployèrent des forces d’intimidation pour protéger et sauver le Groenland de l’Allemagne. Le Groenland n’a pas été envahi par les nazis. Le Groenland le doit aux Américains.

Depuis lors, les États-Unis ont toujours une présence militaire sur l’île. A Thulé, se trouve la plus importante station d’alerte radar et de suivi par satellite pour la protection du territoire américain. Les bases militaires Américaines au Groenland sont vitales pour la sécurité des USA.

En 1946, l’administration Truman tenta, sans succès, d’acheter 100 millions de dollars l’île entière au Danemark. Ce n’est donc pas une lubie fantasque inventée par Trump, mais une suite des ambitions de l’histoire Américaine. Ils nous ont bien acheté la Louisiane.

 

Le désir d’indépendance.

Le rapport entre le Danemark et le Groenland, c’est en surface géographique le rapport entre la France et la Corse.

Au Groenland, le désir d’indépendance est très fort, en particulier parmi l’élite politique du Groenland. Pour une grande partie des Groenlandais, la question n’est pas de savoir s’ils vont devenir indépendant ou se relier aux USA, mais quand ! Pour eux c’est déjà acté.

 

L’économie du Danemark et l’économie du Groenland

Le Danemark est un paradoxe social, il ne connait pas le chômage. Pays prétendu « socialiste » alors que gouvernement n’interfère pas dans le social des entreprises.

Si le Danemark était socialiste comme le prétend la légende, la France est en comparaison l’union soviétique.

Le Danemark est classé 12eme dans l’indice du classement de la liberté économique. La France est 71eme.

 

Seule la partie fiscale semble socialiste. Le Danemark est après la France le pays le plus fiscalisé du monde. Mais même là, la courbe se croise, là ou les Danois ont entrepris une baisse des fiscalités, la France elle trouve tous les jours de nouvelles taxes à imposer à ses ressortissants.

 

L’économie du Danemark est entièrement dirigée vers l’exportation. 70% de son PIB correspond au commerce extérieur. C’est un petit à l’économie mondialisée sur des marchés de niche et une puissance maritime mondialement reconnue.

 

L’économie du Groenland

55% du budget du gouvernement groenlandais provient du Danemark sous forme d’une subvention globale. Le Groenland est donc un « boulet économique » pour le Danemark qui est un pays qui souffre de l’autre d’une sur-fiscalisation.

Les villes du Groenland ne sont pas reliées par des routes, rendant les déplacements et l’activité économique difficile et coûteuse

 

Les problèmes sociaux dans les communautés isolée, tels que l’alcoolisme et les taux de suicide élevés sont nombreux.

En l’état actuel des choses, aucun de ces coûts ne pourrait être compensé par l’exploitation rentable des ressources naturelles, comme la presse bien pensante le suggère.

Il n’y a que 2 mines en activité au Groenland : la mine de rubis Aappilattoq et la mine d’anorthosite de Qaqortorsuaq. Elles survivent grâce aux subventions et ne sont pas profitables. C’est à peine 1% de l’activité du Groenland.

Le Groenland est en fait mono-industrie, et c’est la pêche qui représente 95% des exportations et de l’activité des habitants.

 

 

Les avantages à fusionner avec les USA

Le Groenland pour se désenclaver, a commencé la construction de trois grands nouveaux aéroports cette année et s’achèveront en 2023 (à Qaqortoq, au sud, à Nuuk, la capitale et à Illulissuaq, au nord).

Pour être rentable ces futurs aéroports doivent impérativement trouver des débouchés en Amérique du Nord. Le Groenland doit trouver des voyageurs d’affaire et de tourisme. Les voyageurs US sont les premiers voyageurs du monde. Un débouché pour le désenclavement.

Les USA n’absorbent seulement que 1% de l’industrie de la pêche Groenlandaise. En fusionnant avec les USA, c’est un débouché énorme qui s’ouvrira à l’industrie traditionnelle et principale du pays.

L’activité minière pourrait être développée. C’est une industrie qui nécessite de gros capitaux et une prise de risque. Les compagnies minières Américaines ont le gout du risque. Là encore cela serait une bonne affaire pour les habitants.

 

Conclusion

Ce n’est pas le 19ème siècle, et le Groenland n’est pas à vendre.

En fin de compte, il appartient à la population du Groenland de déterminer comment et par qui elle souhaite être gouvernée. Et à l’Amérique de valoriser son offre.

Et beaucoup pourraient être étonnés que les Groenlandais acceptent une proposition aussi intéressante.

Paradoxalement, en fait, c’est surtout pour les Américains qu’elle peut poser question. La rentabilité du Groenland. Ce n’est pas pour la semaine prochaine.

 

Par Spartacus Lequidam

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Y a-t-il une vie après la mort ?

Une question qui tourmente toute l’humanité depuis la nuit des temps. Y a-t-il ou non une vie après la mort ?

Vous pensez que la réponse est complexe et que je ne vais pas vous donner la réponse ?

Vous avez tort ! Je vais vous donner une réponse et en fait la réponse est simple mais pourrez-vous l’accepter dans l’intimité profonde ?

Il faut distinguer en premier 2 parties, ou schémas de pensée, partie de gens qui croient en dieu et superstitions et les autres.

 

Ceux qui croient en Dieu.

Pour eux, quels que soient les arguments, c’est religieux et on y croit religieusement. C’est indubitable et quoi que soient les arguments, les logiques, les faits ou les corrélations. C’est une pensée imperméable, mais tout a fait respectable, car c’est de l’ordre de son soi intérieur et de l’intimité individuelle la plus profonde.

Pour eux, c’est un simple jeu de cause et conséquence. La liaison avec la croyance est un tenant et un aboutissant. C’est simple.

Ensuite, il y a ceux pour lesquels l’existence de Dieu ou de divinités est sujet à doute ou à caution, et qui se retrouvent dans une grande incertitude.

Après la vie, est-ce le néant ou autre chose ?

 

Définir la vie avant la mort est une première base de réflexion avant de répondre sur celle qu’elle sera ou pas après la mort.

La vie est physique, c’est la réalité. On touche, on écoute, on sent, on ressent. Notre vie est liée au monde physique.

Pourtant, sommes-nous nous vivants, le monde physique est-il une réalité ?

 

Revoyez vos rêves, pendant votre sommeil. Vous rêvez, dans ces rêves, vous communiquez, vous écoutez et ressentez. Un cauchemar vous fera réveiller en sursaut. Dans le rêve, vous avez eu l’impression de vivre, de voir une réalité, mais au réveil vous vous rendez compte que ce n’était rien, juste une illusion.

Et si la vie n’était aussi que cela ? Une illusion.

Un jeu dont nous ne sommes que des pions comme les objets aléatoires comme dans un jeu vidéo qui aurait la particularité que chaque pion est laissé à lui-même.

Avons-nous de l’humanisme et de la compassion pour des pions d’un jeu vidéo ? On peut les rebrancher, les éliminer, les replacer ailleurs, mais nous n’avons aucune compassion pour eux. Alors si nous sommes cela, et qu’il existe une vie après la mort métaphysique, il n’est pas évident que l’espoir que suscite cette perspective pour certains soit une bonne sortie.

 

Après tout, à bien regarder, cette vie est remplie d’une quantité incalculable d’injustices et de souffrances. Dans notre vie nous ne voyons pas de dieu ou ce qui y ressemble pour les éradiquer. Il n’y a aucune raison qu’après cela change s’il y a une vie ou une autre vie après la mort.

S’il y a une vie après la mort, serait-elle plus juste, moins cruelle ou moins heureuse que celle que l’on vit ? Il n’y a pas de contrat avec personne, et les prophètes et fils de dieu physiques sont tous rongés par les vers de terre de nos jours.

 

La vie se définit par le temps. C’est stupide à dire, mais la vie se définit par le temps. Le passé, le présent et qui fonde les bases du futur. Pourtant les scientifiques nous expliquent que l’univers a eu un début, et aura une fin. L’obsolescence fait partie de l’univers et il y a aura une fin.

Le passé n’est que souvenir mais devient au fur et à mesure un néant. Notre cerveau n’est pas assez élaboré pour tout retenir d’une vie.

 

Ce que l’on a fait le 28 juillet 1999 à 15h32 ?

Cet instant est parti au néant, comme le sera notre vie après la mort. La mémoire terrestre est stockée dans notre monde physique, dans l’hippocampe de notre cerveau. Une fois mort, cette partie comme les autres est cramoisie comme le reste du corps physique. Nous ne l’emmenons pas avec nous.

La vie c’est aussi penser. Mais qu’est-ce que penser ? Nous passons notre présent à réfléchir au futur sur les bases du passé. C’est ce qui nous remplit le temps d’anxiété, ou de sérénité. Mais mort, il n’y a plus de temps. Il n’y a donc plus de peur ou de joies.

 

Alors y a-t-il une vie après la mort ?

La réponse est simple. Il y a le néant. Il n’y a plus de temps, plus de peurs, plus de pensée, plus de vie.

Il n’y a certainement rien après la mort, mais s’il y a quelque chose, ce n’est certainement pas la vie, mais une autre vie ou totalement autre chose.

Même si nous aspirons à l’éternité nous sommes coincés dans un espace-temps qui a commencé et qui finira. Nous sommes comme un ordinateur, lorsque les composants ou les pièces sont cassées. Il peut être recyclé, mais ne sera jamais le même.

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Censure par les gardiens numériques de la vérité et de la haine….

La loi qui impose aux plateformes la censure contre les propos haineux sur les plateformes sociales Internet est gravissime. Les valeurs de la république sont gravement atteintes.

Macron nous fait une politique communiste et notre avenir de citoyens est sombre. Nous entrons dans le dirigisme et la propagande des foules se met en place.

Les élections européennes ont débouché par une représentation de dirigeants non élus, dans un jeu de négociation dans les couloirs de la nomenklatura européenne. Le directivisme collectiviste se met en place. Voici venir une 2eme vague, la censure.

 

Loi de censure : bloquer un discourt de haine, c’est de la haine…

L’exclusion pour des idées c’est de la haine.

Soyons clair. Empêcher la liberté d’expression, empêcher la parole est déjà le premier acte violent qui caractérise la haine.

Notre liberté d’expression est menacée. C’est une dictature qui ne dit pas son nom.

Les lois de censure sont toujours politiques et n’ont rien à faire avec la justice

Le libre arbitre est extrêmement menacé. Notre pays s’enfonce dans le communisme. Ne vous y trompez pas. C’est une censure pure et simple des pensées dissidentes.

Le fait de pouvoir condamner et réduire au silence quelqu’un pour une « haine » définie par l’idéologie des juges et de l’administration est une plaisanterie haineuse.

La France est en train de se transformer en un pays communiste, certes à encore économie de marché, mais de plus en plus ultra dirigiste. Un peu comme la Chine. A la différence, c’est caché sous des métaphores de morale aux « bon sentiments ».

Pas un jour ne passe, sans une nouvelle idée de taxe, de loi d’interdiction et de directivisme. Vous n’avez qu’à ouvrir la radio. C’est même en pire que la Chine, ici la dépense publique représente 57% du PIB, là ou l’état chinois cela représente 40% du PIB. L’état Orwellien est partout.

 

Origine de la censure en France : la loi Gayssot

Bien entendu c’est un communiste qui a mis la première pièce contre la liberté d’expression. (Ce n’est pas un hasard !)

Il a introduit dans la loi le crime de « déni de réalité historique ».

Bien entendu nos zélés fonctionnaires Marxistes en profitent pour agrémenter cette loi de compléments liberticides comme l’irrévérence aux faits historiques. Le délit de blasphème est créé.

La France devient l’égal de l’Arabie Saoudite ou l’Iran, là bas la caricature de Mahomet vous condamne, en France la moquerie historique vous condamne.

 

Les résultats complètements nuls de cette 1ere loi liberticide.

De nos jours, l’antisémitisme est plus important que dans les années 80 date de création de cette loi censée le combattre.

L’antisémitisme n’a pas disparu. C’est un échec total.

La sanctuarisation par la loi entraîne l’idée qu’il existe 2 poids, 2 mesures. Les effets pervers sont pires que ce que cette loi voulait combattre.

 

La sanctuarisation de la Shoah a engendré une spirale des frustrés contre les juifs. Dans les cités, les habitants, souvent issus des pays arabes ou musulmans ont développé l’idée qu’on en fait plus pour les juifs que pour eux. L’antisémitisme c’est développé. A Sarcelles, les juifs qui y vivaient dans les années 80 en paix, ont déserté et ceux qui restent vivent dans la méfiance du ressentiment envers eux.

Quand les idées se font muettes, la contradiction ne peut la pondérer, puisque l’idée ne s’exprime plus au grand jour. Elle devient frustration et violence.

La sanctuarisation entraîne la pensée 2 poids, 2 mesures et la frustration. Les effets pervers sont pires que cette loi voulait combattre.

Une Fémen pisse dans l’église et n’est pas condamnée ? Un journal caricature Mahomet et n’est pas condamné, par contre la caricature de la Shoah l’est ?

La communauté juive de France sans le vouloir, est devenue une cible.

La loi Gayssot en attribuant un statut « à part », elle fait un bouc émissaire des juifs.

Cette loi est pire que le mal qu’elle est censée combattre. Elle motive les ressentiments d’injustice auprès de ceux qui ne peuvent s’exprimer au lieu d’êtres confrontés à la contradiction et s’effacer pour passer à autre chose.

Comme constaté les exemples de lois de censure sont des échecs.

 

Qui gagne avec les lois de censure ?

Les lois de censure, il n’y a qu’un gagnant. La diabolisation des contradicteurs.

En fait, cette loi, comme toutes les lois de censure c’est révélé plus une arme à dessin politique que de lutte contre l’antisémitisme .

Le premier à en avoir fait les frais, c’est l’extrême droite dont le politicien Jean Marie Lepen.

-L’autre gagnant indirect sera le pouvoir des plateformes numériques. Laisser la liberté d’expression aux opérateurs est une folie furieuse et un précédent extrêmement grave pour la société.

Laisser Facebook ou Google le monopole de la vérité et imposer la censure sous excuse de « haine » est une folie furieuse de leur donner un tel pouvoir.

Zukerberg le dirigeant de Facebook est un militant démocrate et il est pressenti pour être dans quelques années un candidat à l’élection présidentielle Américaine.

Par ailleurs, il lance la prochaine monnaie privée de masse le Libra, imaginer qu’un type aux dents si longues et si orgueilleux laissera les idées et les contestations de développer sur lui, ses investissements, ses échecs ou une atteinte a son image laissé par lui sans censure est un leurre.

C’est comme à une époque, armer Ben Laden sous prétexte de lutter contre les Russes, et se plaindre ensuite qu’il a retourné ses armes contre la société qui l’a armé.

Cette loi est une horreur à la liberté d’expression, elle va entraîner des dérives pires que celles censées combattre….

 

Les plateformes numériques deviennent les juges des vérités.

Il vous est maintenant interdit d’exprimer vos idées autre que rose bonbon et exprimer avec du sel de l’humour ou montrer du sarcasme ou vous moquer. Vous devez être « infentillisé » par l’élite et ne plus avoir accès à, la liberté des opinions. Vous êtes considéré comme trop stupide et incapable de faire des discernements par votre propre libre arbitre.

 

Les plateformes numériques vont homogénéiser les idées, mettre fin aux controverses. Éliminer les gens épicés aux avis qui dérangent. Ils vont imposer à penser la même chose et tout le monde devra s’exprimer dans le même sens. Ils vont imposer que tout le monde soi gentil, policé. Ils vont imposer le stalinisme de la pensée.

Facebook Google dans le secret vont imposer les thématiques les idées qui sont les « bonnes » et celles qui sont « mauvaises ».

Les sentiments, les idées relèvent de la subjectivité et il est évident que de multiples associations bien-pensantes vont se prétendre haïes alors qu’elles ne sont que critiquées. Ce qui va pousser les plateformes à l’autocensure.

La distinction entre crime et péché est l’un des fondements du droit occidental. En légiférant sur les opinions, nous devenons une dictature de type Chavez et Maduro.

La civilisation est un état social où les sentiments, les idées comme la haine, la colère ou la jalousie, ne se traduisent pas en crimes. Parce que une société où dès le plus jeune âge, on apprend le respect des autres, et de tous les autres.

La France de Macron et ses sbires socialistes étatistes avec cette loi se comportent en état totalitaire, puisqu’ils ont la prétention de régir les sentiments de leurs citoyens.

Avec cette loi nous devenons un état totalitaire, dans une Europe qui le devient aussi.

Par Spartacus Lequidam

Pour aller plus loin avec les vidéos (en anglais) :

Vidéo de Zukerberg devant Ben Sasse (sénateur Tee Party républicain du Nebraska) contraint de définir un discourt de haine.

Vidéo du chargé de communication Google devant Dan Crenshaw (député libertarien républicain du Texas) obligé de justifier la censure injustifiée de PragerU.

Video de John Stossel qui interroge les censurés des médias sociaux contreversés aux USA

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Déclarer la guerre contre le C02 ? Des victimes économiques considérables pour un gain ecolo nul.

Si vous engagez avec des quidams un dialogue sur le CO2, bien souvent on vous discutera fumée, industrie et autre. On voit bien que l’hystérie climatique est maintenant accaparée par les politiciens, c’est un enjeu politique et que l’information réelle est biaisée de tous les cotés et il faut se faire sa propre impression.

En fait la fumée, l’industrie c’est de la pollution. Le CO2 lui n’est pas un polluant, c’est un gaz inodore, incolore et invisible à nos yeux, issu de la combustion du carbone qui se trouve dans les éléments naturels.

Nous rejetons du CO2 par la respiration. La respiration n’est pas une pollution. Le CO2 ne pollue pas, il faut le différencier des particules fines, des fumées nocives ou des rejets de plastique. Le CO2 n’est pas dangereux pour l’homme même s’il était à un niveau de 10 à 20 fois les niveaux actuels.

Il est nécessaire de vulgariser et essayer de simplifier les faits pour en débattre.

 

Résumé de la pensée unique :

Voici donc la présentation factuelle de ce qui vous est vendu matin, midi et soir médiatiquement et politiquement correct :

Le monde depuis 150 ans a émis du CO2 plus que dans les 1000 ans qui on précédé et cela entraîne un réchauffement climatique. Notre atmosphère a pris 0,02% de CO2 en plus et ne serait plus identique à 99,98% près..

Les traces supplémentaires gazeuses de CO2 dans l’atmosphère provoqueraient selon le GIEC un « effet de serre », qui réchauffe la planète. Le CO2 étant un gaz opaque aux ondes infrarouges dans un spectre invisible à nos yeux.

L’infrarouge fait partie du spectre électromagnétique. C’est la plus grande source d’énergie qui nous vient du soleil.

L’infrarouge est l’onde qui provoque le rayonnement calorifique des matériaux et assure le transport de la chaleur dans l’espace.

Le CO2 bloquerait donc à haute altitude les infrarouges terrestres émis par les matériaux de la terre et le réfléchissement de ceux émis par les rayons de soleil. Le CO2 empêcherait donc d’évacuer dans l’espace l’infrarouge et réchaufferait la terre, ce qui est accusé d’augmenter la température moyenne au sol.

Cette augmentation de température est accusée de créer des tors horribles et affreux au futur sur la terre, et nécessite un interventionnisme étatique et politicien pour enlever des libertés, réduire l’économie de marché qui a tiré son expansion économique pendant des années des matières premières naturelles dites « fossiles », avec des objectifs farfelus de réduction à obtenir dans 20ans à un coût social et économique pharamineux.

Les états, les politiciens, par la force coercitive des impôts, des normes environnementales, et lois liberticides, doivent contraindre les habitants a transférer leurs richesses vers une transformation énergétique et sociétale qui sera dirigé par des politiciens et intellectuels avisés qui ont le sens de la responsabilité et de l’intérêt général et global plus que vous..

C’est le résumé générique du matraquage médiatique quotidien à quelques détails marginaux près.

 

Mais ! car il y a des « mais ». Il existe des controverses quasi non médiatisées sur le CO2 et le réchauffement et le malheur futur de la terre.

 

Les effets positifs du CO2.

a) Le CO2 réduit les zones désertiques et provoque le verdissement..

Lorsque les concentrations de CO2 augmentent, les plantes produisent automatiquement moins de stomates car elles sont alors en mesure d’obtenir suffisamment du CO2 avec moins d’efforts pour transformer de l’eau et le CO2 en glucose par la photosynthèse.

L’énergie économisée à travers les stomates réduit la perte d’eau et permet à la même espèce de plante de survivre et évoluer dans des endroits plus chaud et secs tout en améliorant sa production et sa pousse. Les déserts, les zones arides sont plus propices à l’installation des plantes et donc de la vie. C’est un bienfait pour l’humanité, les pays chauds, les zones désertiques.

La terre verdit partout. La vie s’étend encore plus partout. La verdure augmente l’oxygène et nous vivons mieux dans un air plus respirable. Les terres arides impropres à la vie deviennent plus rares. La biologie le dit : les plantes poussent mieux dans des conditions plus chaudes, plus humides.

Les augmentations de CO2 provoquent donc une augmentation de la quantité d’arbres et de plantes.

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b) Le CO2 améliore la qualité de nos aliments et la productivité agricole

Les plantes se nourrissent du CO2. Elles produisent du glucose à partir d’un mélange de gaz carbonique( CO2) et d’eau (H2O) par un processus chimique. Processus que l’on distingue par la couleur verte des plantes et des arbres.

Pour briser les liaisons atomiques du CO2 et de l’eau il faut de l’énergie. C’est pour cela que les réactions photosynthétiques des arbres et plantes sont surtout majoritairement dans l’infrarouge.

Et justement un réchauffement climatique augmente la quantité d’infrarouge de notre environnement. L’effet de serre est donc une bonne nouvelle pour la productivité mondiale agricole et les carences alimentaires. Les plantes absorbent le CO2 et le transforme en nutrition de plus en plus quantitative et qualitative.

Mettez une lampe infrarouge au dessus de vos tomates, elles seront plus juteuses, belles et sucrées.

Dans les serres industrialisées, on ajoute du CO2 pour favoriser et amplifier l’effet du blocage de l’infrarouge par les vitres et augmenter le rendement et la floraison des plantes.

En résumé le CO2 augmente la vie, le développement de la vie il est favorable à la vie, aux fruits, aux légumes, aux animaux et aux hommes. Et en plus, il fait effet levier sur la nature et incite les plantes à son élimination . Le CO2 engendre un cycle vertueux écologique de destruction créative.

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c)Le CO2 fait faiblir les événements climatiques éoliens.

Le vent se forme de la différence de température entre deux masses atmosphériques. La terre étant recouverte au 2/3 d’océans, la puissance des vents dépend de la différence de température entre les océans et l’atmosphère du Nord et du Sud à l’équateur.

Comme la terre et les mers se réchauffent par le CO2, la différence est réduite et nous assisterons demain à moins de catastrophes climatiques dues aux vents.

Les ouragans, les cyclones, les tempêtes seront moins fréquents et plus faibles si la terre se réchauffe. Une chaleur plus importante sur terre nous est bénéfique. Nous aurons moins de populations et victimes sinistrées par les vents.

Les catastrophes climatiques venteuses sont au contraire plus faible dans une atmosphère plus chaude. A l’inverse d’une propagande médiatique qui ne fait aucun effort pour vérifier.

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d)Le CO2 fait refroidir la température au niveau du sol.

Vous êtes tellement conditionné médiatiquement que cette information va vous épater. Mais vous pourrez verifier.

Il faut savoir aussi que les arbres et les plantes remplissent des fonctions climatiques. Ils absorbent le carbone, qu’ils extraient de l’atmosphère, créant un effet de refroidissement.

Ils puisent l’eau du sol, et de l’environnement qui s’évapore dans l’atmosphère, créant des nuages ​​bas reflétant les rayons chauds du soleil connu sous le nom d’évapotranspiration,

Voyez la corrélation de la pluie abondante et la végétation dans les zones végétales, type Amazonie ou Jungles asiatiques ou africaines.

Le refroidissement par évapotranspiration est un important frein a l’augmentation des températures dues à l’effet de serre et limite mécaniquement celui ci. Il n’y aura donc pas d’augmentation sur terre exagérée des températures avec cette régulation naturelle. Argument souvent ignoré, le CO2 régule à la hausse et aussi à la baisse les températures terrestres.

Il n’agit pas dans un seul sens comme le laissent supposer les apparences qu’on vous impose. Le réchauffement climatique est bloqué dans sa progression par l’évapotranspiration naturelle de la nature et les températures ne peuvent monter que modérément sur terre. Le CO2 est vertueux, il contribue aussi a réduire la température qu’on l’accuse d’avoir créé.

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e)Les conclusions du GIEC sur le CO2 sont contestées

Le GIEC n’est pas un organisme scientifique mais un organisme statistique. Pour faire une statistique sur le climat il faut des données et une assiette de calculs fiables.

Les données de base des températures du GIEC avant 1970 sont des températures « redressées », Il n’existait pas avant des balises de relevé ni de thermomètres de précision ni en quantité suffisantes. Le climat est extrêmement complexe. Nul ne peut appréhender le climat dans sa complexité, scientifiques, statisticiens et encore moins les gouvernants. Toute tentative rationnelle et globale de prévision du climat est voué à l’échec.

Le GIEC n’a pu et ne pourra parvenir à la compréhension détaillée de l’ensemble du mécanisme qui fait passer d’une moyenne de température à une autre rationnellement. Les changements climatiques sont multifactoriels et fabuleusement complexes. La « crise climatique » est un affront à la science et à la logique.

Toutes les prévisions du GIEC d’hier sur notre époque, se sont avérées fausses. Sur les 100 modélisations informatiques qu’il produit annuellment, absolument aucune n’a été confirmée par les mesures réelles…

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f) Les résultats de la guerre contre le CO2 sont nuls

La cour de compte européenne l’a écrit : « Nous sommes parvenus à la conclusion qu’aucun des programmes CSC a réussit (CSC= Captage et Stockage du Carbone) ».

Ils ont dépensé 2,1 milliard pour dire qu’on ne pouvait pas capter et stoker le CO2.

Avez vous la notion des chiffes ? 2,1 milliard.

C’est l’équivalent du dernier chiffre d’affaire publié de Amazon (2015) en France sur 12 millions de clients (Vous avez noté que c’est « Chiffre d’affaire » pas bénéfices ou marge)..

Vous n’auriez pas fait un meilleur usage de cet argent au lieu de leur donner à dépenser à des madame Irma du climat européen ? Même au niveau étatique, si l’Europe avait donné cet argent à la France, qui manque cruellement de prisons, nous aurions put financer l’ouverture de 42 prisons de 6000 places et ne plus être un pays condamné par la cour des droits de l’homme.

Il ont réussit l’exploit à dépenser 2,1 milliard pour dire qu’on ne pouvait pas capter et stoker le CO2, et vous croyez qu’ils ont compris et conclus ?

C’est pas pour autant qu’il est indiqué une fin de gabegie et qu’ils ont abandonné les subventions qui dans 8 ou 10 ans donneront le même résultat de la cour des comptes européenne.

Peut-on faire pire ? Ils en sont capables, le climat est une « excuse » qui absout les gabegies et la responsabilité.

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g) La transition énergétique est une fable

Condamner les générations futures à vivre dans un monde caractérisé par la pénurie d’énergie et la pauvreté énergétique, à un moment où notre abondance d’énergie et nos prouesses technologiques promettent d’ouvrir des opportunités inimaginables est assez scandaleux intellectuellement.

L’éolien et le solaire sont des énergies intermittentes et ne peuvent pas être autonomes sans une forme d’alimentation de secours fossile. La construction d’éoliennes et de panneaux solaires nécessite de grandes quantités de métaux de terres rares tels que le dysprosium, l’indium, le néodyme et le tellure, mines polluantes et matières énergivores a extraire. La surface foncière nécessaire pour fonctionner est ubuesque. L’énergie solaire nécessite plus de 18 hectares pour faire un seul Mégawatt. La route solaire dans l’Orne inspirée par Ségolène Royal a produit 140Mgw soit une recette de revente a EDF de 7 000€ pour 5 Millions d’investissements. (Cherchez la rentabilité)

L’éolien et le solaire ne sont ni rentables, ni écologiques. Le poids d’impôts, de taxes et de contraintes sur les individus est déraisonné.

Les impacts économiques négatifs des restrictions sur les émissions de CO2 dans une tentative de transformation en une économie éolienne et solaire sont une escroquerie.

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Pourquoi avoir peur d’un réchauffement climatique ?

Les humains ont tout aussi bien évolué à l’Équateur, en Afrique, en Océanie où il a toujours fait chaud.

Pourtant, les Français, les Canadiens et les Suédois s’inquiètent d’un probable réchauffement climatique limité ou il y ont tout a gagner et rien a perdre. Un anxiogène mal placé.

C’est un problème de schéma de pensée politique. Déclarer une « urgence climatique » fait la manchette et aide les politiciens et les militants à se sentir mieux. Mais c’est une rhétorique vide qui ignore la réalité économique et les bienfaits du CO2. Qui surfe sur l’ignorance et la confusion entre pollution et CO2.

Le climat est par essence imprévisible. Aucune statistique météorologique ne vous donne la température moyenne exacte a court, moyen et long terme. Modeler le climat conformément à un idéal utopique lié à une moyenne de température tout aussi utopique est autant arrogant qu’impossible. Par contre pour les esprits collectivistes qui ne considèrent les individus que comme des masses, c’est une incroyable excuse à imposer un collectivisme sur les individus.

L’alarmisme est forcé, il est totalement disproportionné mais en phase avec leur conflit d’intérêt intellectuel de bien profiter des subventions et de la notoriété mondiale qui va avec et fournit un espoir collectiviste aux gauchistes orphelins de l’idéologie socialo-communiste qui c’est écroulé sans avoir eu son Nuremberg.

Les rapports du GIEC ne sont qu’une excuse pour les va-t-en guerre anticapitalistes, décroissants et collectivistes. Une déclaration de guerre contre le CO2, un ennemi invisible, et qui en plus nous est tellement profitable est une folie qui n’attire que ces derniers. Qu’importe les victimes humaines inutiles d’un recul économique massif, ils veulent la guerre aux individus par l’intermédiaire du CO2.

Si les partisans de la réduction de l’utilisation des combustibles fossiles étaient sincères, si cela était une « urgence absolue », et s’ils avaient compris les conclusions du GIEC, ils feraient pression pour augmenter la part du nucléaire dans le monde. Énergie qui ne produit pas de CO2.
Pourquoi ne le font-ils pas ?

Simplement parce qu’ils savent en leur fond intérieur, que le climat n’est qu’une excuse. Et que l’urgence est feinte.

Parce que l’exagération du réchauffement de la planète et le changement climatique véhicule une effroyable arrière-pensée.

Parce qu’ils veulent mettre fin au capitalisme et socialiser le monde parce qu’ils pensent savoir mieux. Pour cela ils sont prêt a détruire les économies, appauvrir les populations des pays développés, limiter les libertés, instaurer le totalitarisme étatiste.

Le jour où les gens auront réalisé ce qu’implique en effet pervers leurs prescriptions anti CO2, comme le mur de Berlin, cette idéologie s’écroulera. Mais comme l’idéologie communiste qui se prétendait être « humaniste » et une « avancée pour l’homme » elle aura fait des dégâts inversement proportionnels à la promesse de départ comme toutes les idéologies collectivistes se concluent toujours.

Si les pays du monde tentent de réaliser les réductions demandées de CO2, une Bérézina économique généralisée éclatera et des millions de personnes seront poussées à la pauvreté dans un monde ou les ressources agricoles seront de moins en moins développé. Les taxes et les contraintes sur CO2 auront une influence plus négative pour les personnes à faible revenu plus que plus les riches. L’analyse froide des coûts/avantages à laisser le CO2 tranquille est largement en faveur de le laisser tranquille.

La vie a prospéré sur une planète ou plus chaude ou plus plus glacée que aujourd’hui. Depuis les premières civilisations, nous nous sommes toujours adaptées aux changements climatiques. Nous nous adaptons chaque année des températures négatives froides de l’hiver à celles chaudes de l’été. Élévation des températures de 40° ou plus à 6 mois d’intervalle.

Ce serait impossible a s’adapter pareillement à une température moyenne de 2 ou 3° en dizaines d’année, voire siècle, aujourd’hui à cause du CO2, alors que nous avons la technologie, la science et des hommes dans l’espace ?

C’est le biais qu’on bien compris une grande majorité silencieuse, mais qui ne sait pas l’exprimer et est diabolisée, censurée lorsqu’elle s’exprime dans les médias traditionnels.

La guerre contre le C02 est absurde.

Par Spartacus Lequidam

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Biodiversité menacée. Encore une énième Fake-news écolo.

La bio-diversité menacée. « Un million d’espèces végétales et animales menacées. »

Il est totalement impossible que vous ayez raté cette information. On vient de vous la bombarder en matraquage média intensif sans aucune vérification ni esprit critique de cette étude. Aucune investigation en vérification. Pas un seul commentateur ne met en parenthèse les chiffres qui vous sont assénés comme des vérités évangéliques.

 

Selon un nouveau rapport des Nations Unies, un million d’espèces animales et végétales sont « menacées » par l’activité humaine.

Selon les auteurs du rapport, la solution proposée par la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) consiste à apporter des « transformations en profondeur liées à des facteurs économiques, sociaux, politiques et technologiques » dans notre relation avec la nature.

Il faut bien comprendre que les Nations Unies n’ont pas plus de déontologie que n’importe quel organisme gouvernemental, multinationale ou groupe de pression revendicatif. 

En résumé des gens en conflit d’intérêt avec leur objet de revenus et de subventions qui ont commandité un rapport en fournissant l’approche et la conclusion que devait avoir ce rapport.

 

Ce sont des gens aux profils intellectuels qui se croient dépositaire d’une mission divine de changer la société et n’hésitent pas a franchir le seuil de la désinformation par la communication de statistiques biaisées qui tiennent scientifiquement sur la surface d’un confetti. Ce sont des fonctionnaires qui se prennent pour le gouvernement du monde et qui s’autorisent a se croire des grands planificateurs centraux, et veulent diriger le monde par la manipulation des foules et de l’information. Dailleurs c’est écrit dans le rapport de ces bureaucrates planificateurs, ils veulent dixit : « transformer le monde« .

 

1-Les sources statistiques de cette étude

1ere interrogation

Quelqu’un connaît le nombre d’espèces connues de plantes et animaux ?

 

La vérité est que personne ne connaît. La plus grande diversité d’espèces est celle des insectes. Les insectes sont si nombreux qu’aucun scientifique ne peut les connaître tous.

Un spécialiste des papillons Français ne connaît pas tous les papillons de France et découvre des nouvelles espèces quotidiennement…Alors au niveau mondial, et en plus que les papillons, petit agrégat des insectes.

De plus, il y a très peu de spécialistes des insectes sur terre (entomologistes).

 

Il est impossible de connaître le nombre d’insectes. Les estimations du nombre de catégories d’insectes vont de 1 million à 30 millions d’espèces. Et ce n’est qu’une catégorie d’espèce.

 

2eme Interrogation « répertorié » et « estimé » ce n’est pas pareil.

Si pour les moustiques, la marge d’erreur est élevée, on pourrait penser que pour les autres espèces c’est plus simple, puisque les chiffres ne vont pas du simple au double, or en fait en creusant on se rend compte que tout est estimation au doigt mouillé.

Les Champignons : il y aurait selon cette étude 0,61 million d’espèces. En vérité les répertoriés sont inférieurs à 0,4 millions soit 7% de l’estimation, Un marge d’erreur de 93%.

Les animaux  : il y aurait selon cette étude 7,7 millions d’espèces animaux. Nous en avons répertorié officiellement 1 million, soit 12%. Une marge d’erreur de 88%.

 

Le nombre d’espèces répertoriées, est nettement plus réduit que le nombre d’espèces estimées.

 

2-Le fond de l’étude

Ça veut dire quoi « menacé » ?

Menacé est un mot fourre-tout qui nécessite des précisions que le rapport donne ainsi :

Il s’agit d’un ensemble de trois catégories différentes : « vulnérable« , « en danger » et « en danger critique d’extinction« .

Si une espèce est en danger critique d’extinction, cela signifie qu’elle doit faire face à l’un des facteurs suivants : déclin de la population d’au moins 80%, fragmentation grave de son habitat ou présence d’un seul site, population de 250 spécimens matures au maximum, risque d’extinction à l’état sauvage de 50% d’ici trois générations ou dix ans.

Selon l’estimation 2 464 animaux et 2 104 plantes répondent à au moins un de ces critères.

 

En résumé, un peu moins de 5 000 espèces, environ 0,05% des 10 millions de celles que le rapport extrapole d’exister.

Les groupes de plantes les plus touchés selon eux sont les cycadales, les dicotylédoneset 5% des conifères. Les amphibiens sont le groupe d’animaux les plus touchés, avec près de 10% d’entre eux menacés d’extinction.

 

Extinction de masse ou vaste propagande anxiogène ?

La situation de certaines espèces est certainement en danger critique, Darwin l’a découvert bien avant l’ONU, le rapport lui est est un cas classique de la communication politique culpabilisante de l’homme avec des effets d’annonce et de réalité totalement inventé.

 

Les catégories sont floues, les commentaires et titres annonciateurs d’une extinction de masse laisse à penser au monde un problème grave, du style qu’il ne restera presque plus rien du monde naturel dans quelques années. C’est juste faux.

 

La réalité, est que seule une extrême petite partie des espèces est sérieusement menacée d’extinction, et sur des bases et références douteuses et extrapolées avec des mages d’erreurs infinies.

 

De plus, le monde est vaste et seul un nombre relativement restreint de personnes étudient ces questions. Cela signifie que seule une fraction de ces espèces est en cours d’étude et d’évaluation et même dans ce cas, nous ne savons que quelques groupes de population très limités pour chaque espèce.

 

En fait, loin de demander la réorganisation complète de la société, certains des risques pour ces espèces sont assez faciles à contrôler par le bon sens.

 

 

 

C’est quoi la bio-diversité ?

Ces moustiques qui vous apportent cette si belle diversité.

Qui apportent la dingue, la malaria, la maladie de chaga, la maladie du sommeil, le chikungunya ou le paludisme et oblige la moitié de la population non industrialisée (proche de la nature) a vivre sous moustiquaire et une durée de vie plus limité qu’au japon ou Suisse les pays les plus industrialisés du monde.

Ces joyeux serpents, qui sont si beaux et si merveilleusement multicolores.

Ces serpents corail, pythons qui piquent chaque année 5,56 millions de personnes soit une personne toutes les 6 secondes dans le monde. Regrettez vous ce manque de diversité de ne pas en voir dans le parc ou vous promenez vos enfants ?

Et ces charmants caïman et crocodiles et requins qu’ils ont de si belles dents. 

Et ces gens, qui se sont fait bouffer le pied, quels ingrats à ne pas apprécier cette « for-mi-dable » nature et bio diversité. Au nom du sauvetage de la bio-diversité que les écolos pour être en phase avec leurs convictions en adoptent tous un bien gros dans leur baignoire.

La vérité est immorale à entendre pour les « bien pensants ». Eux qui ne sont que des bobos des villes, totalement décalé de la réalité qui se lavent avec du Tahiti douche, prennent du coca dans le réfrigérateur, utilisent le dernier Smartphone, et fantasment une nature idéalisée totalement abstraite et rêvée ou ils y ont jamais mis les pieds et qui ne ressemble pas a ça.

La nature n’est belle que dominée par l’homme, mais attention ne le dites pas, vous allez passer pour immoral.

La clémentine a été faite par l’idée de l’abbé Clément de mélanger génétiquement orange et mandarine, c’est son idée pas celle de la nature.

Les fraises ont été découvertes blanches et rachitiques en Amérique, elles sont devenues nombreuses, sucrées et diverses que par l’agronomie et la prise en main de la nature par l’homme.

Le Chien est un loup que l’homme a fait évoluer et n’est pas une création naturelle.

Mais surtout ne leur dites pas la vérité… Ils ne sont pas prêt à l’entendre.

Vous allez vous faire taxer d’être un affreux vilain.

Les bobos prennent les études anxiogènes d’organismes qui vivent de la peur et l’envie de transformer le monde pour argent comptant. Dur comme du béton armé ils y croient comme des chrétiens croient l’évangile.

Ils pensent la nature comme elle est comme au jardin botanique ou au zoo. Selon eux, il faut culpabiliser les populations, au nom de leur point de vue, et au diable la réalité des autres.

Ils sont a des centaines de kilomètres de ceux qui vivent dans la terreur des orang-outans, et souhaitent vivre de leurs palmier comme les agriculteurs de la beauce vivent des plantations de colza.

Ils n’imaginent pas que 40% de la population terrestre qui est contrainte de dormir avec une moustiquaire et que ces gens si prochent de la nature, ne rêvent d’une eradication des moustiques dans leur village en brousse. Quelle ingratitude d’être si près et ne pas apprécier la nature sauvage.

Les bio-diversitovores n’aiment pas ces gens des pays pauvres, qui se foutent de la « bio-diversité » et qui « osent » couper les arbres pour essayer de vivre comme des occidentaux. Détruire les moustiques et adopter la climatisation.

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Grâce au CO2 de la Chine et l’Inde, la planète augmente sa verdure

Vous entendez chaque matin si vous écoutez RMC, un sermon quotidien de Jean Jacques Bourdin. Il vous fait son speacth quotidien de prosélytisme écologiste contre le méchant CO2. Ce matraquage a haute dose m’a fait essayer d’autres stations. C’est pas mieux ailleurs. C’est le même endoctrinement partout. Une uniformité confondante et absconse a faire pleurer. La France médiatique est mono-colore confondante.

Hélas même si les matinales sont remplies de 90% de journalistes gauchistes a la pensée unique écolo-fascistes et vous le matraquent en bombardement médiatique massif comme un monstre polluant. Le CO2 n’est pas un polluant et n’en sera pas un.

L’emprunte carbone pour les médias, les gauchistes et les totalitaristes de la terre est l’excuse absolue pour contraindre et emmerder les gens. Il faut dire que les médias se nourrissent de l’information et plus c’est anxiogène plus c’est rentable et plus ils sont intéresses.

Avant il y avait le social comme excuse permanente à l’ingérence et le totalitarisme, mais avec les résultats désastreux du socialisme sur terre, l’écologie est devenue leur nouvelle marotte et l’excuse de la pauv’ planète terre massacrée par les méchants capitalistes est leur nouvelle marotte anti-capitaliste qui fonde leur schéma de pensée.

Qu’importe la qualité de statistiques, nouveau moyen moderne de manipulation de la psychologie des foules, du moment qu’il y a un logo « ONG » et que c’est catastrophiste, les fakes stats, les fakes pétitions, les discourts d’enfants activistes de 16 ans vous sont assénés comme des vérités.

Les communicants des ONG, même si leur politique représentative en pays pauvre a été de demander des faveurs sexuelles en Haïti ou aux Philippines comme » Oxfam« , ou connues pour manipuler le faits comme « Greenpeace« . Ils sont prêt a vous conter des prophéties apocalyptiques.

La NASA vient de publier un rapport dont vous trouverez un résumé sur ce lien. L’étude montre que les deux pays émergents avec plus peuplés du monde entraînent l’augmentation de verdissement sur la terre.

Des données satellitaires récentes prises entre 2000 et 2017 révèlent une tendance importante au verdissement remarquablement importante en Chine et en Inde et se chevauche les terres cultivées du monde entier.

La Chine à elle seule représente 25% de l’augmentation nette globale de la superficie foliaire avec seulement 6,6% de la superficie végétalisée mondiale. 

En Chine, le verdissement écologique provient des forêts (42%) et des terres cultivées (32%), en Inde, elle provient principalement de terres cultivées (82%) avec une contribution mineure des forêts (4,4%).

La Chine est en train d’élaborer des programmes ambitieux de conservation et d’extension des forêts dans le but d’atténuer la dégradation des sols, la pollution de l’air et le changement climatique. La production alimentaire en Chine et en Inde a augmenté de plus de 35% depuis 2000, principalement en raison d’une augmentation des superficies récoltées résultant de cultures multiples facilitées par l’utilisation d’engrais et l’irrigation des eaux de surface et souterraines.

Le rapport de la NASA précise : «Globalement, le verdissement de la planète au cours des deux dernières décennies représente une augmentation de la surface foliaire des plantes et des arbres équivalente à la superficie couverte par toutes les forêts tropicales amazoniennes. 

Il y a maintenant plus de deux millions de kilomètres carrés de superficie supplémentaire de feuilles vertes par an, par rapport au début des années 2000, soit une augmentation de 5%. »

La Chine et l’Inde représentent qu’un tiers du verdissement par CO2 de la planète, mais ne couvrent que 9% des terres de la planète recouvertes de végétation. 

Selon le rapport : «Dès que les gens réalisent qu’il y a un problème, ils ont tendance à le régler. En Inde et en Chine, dans les années 70 et 80, la perte de végétation n’était pas bonne. dans les années 90, les gens l’ont compris; et aujourd’hui les choses se sont améliorées. Les humains sont incroyablement résistants. C’est ce que nous voyons dans les données satellitaires. »

En un mot le marché social (main invisible) prend en charge les problèmes mieux que les gouvernements.

C’est un point saillant qui renforce la pertinence de l’adaptation humaine naturelle et en ordre spontané.

La cause du changement climatique reste obscure, en dépit des récits du GIEC qui c’est toujours trompé sur ses prévisions. Nous n’avons aucune communication de sa part sur le verdissement qui transforme le CO2 en chlorophylle et le réduit naturellement. Il est vrai que l’alarmisme climatique est sa raison d’être. Faire savoir qu’il existe une machine naturelle qui réduit le CO2, n’est ni bon pour lui ni pour les politiciens interventionnistes qui désirent se croire utile.

Le CO2 n’est pas un polluant. Et l’accroissement du CO2, comme démontré ci-dessus, est une bonne chose pour l’humanité. Et avec les cultures, les plantes sont le meilleurs moyen de lutter contre les propagations de CO2. La boucle se ferme sans politique étatiste et de contrainte écologique.

Enfin, il convient de noter le paradoxe que cet incroyable verdissement planétaire le serait moins sans les combustibles fossiles. Pétrole et charbon, combustible que les écolo-fascistes ont désignés comme l’horreur absolue.

Les émissions de combustibles fossiles créent des avantages supplémentaires, contribuant à l’écologisation de la Terre. C’est donc formidable. Ne culpabilisez pus lorsque que vous prenez une voiture diesel. Faites aussi la différence entre CO2 non nuisible sur l’homme et la pollution comme les particules ou les fumées qui elles le sont. 

Une étude publiée en 2017 dans le magazine Nature a révélé que la masse mondiale de plantes terrestres avait augmenté de 31% au cours du 20ème siècle. Les déserts africains s’épanouissent grâce aux combustibles fossiles.

Hélas pour la France qui n’a pas connu les nomenklaturas communistes, nous connaissons aujourd’hui une élite qui veut faire croire qu’elle peut gèrer la nature à sa place, alors qu’au pouvoir, ils n’ont jamais géré un budget sans déficit depuis 30 ans.

Heureusement que la chine et l’Inde sont là pour chercher la prospérité et créer du CO2 et verdir la terre, pendant que l’élite Française emmerde le monde a réduire la prospérité et le CO2 en idéalisme chimérique. 

Pendant que des Français en jaune manifestent sur des rond points contre des taxes écolos contre le CO2 qui détruisent le travail, les chinois et indiens nous vendent des panneaux solaires et créent de leur coté un CO2 qui compense nos résultats nuls sur sa limitation au coûts pharaoniques. Nous ressemblons de plus en plus à l’URSS qu’une élite intellectuelle technocratique entraîne vers la misère, au nom d’une planification irrationnelle alors que eux deviennent de plus en plus capitalistes et s’éloignent des politiques interventionnistes d’état.

Les fanatiques écolos anti-CO2 sont tellement allés loin, ont réussit a modifier tellement le sens des vérités dans la manipulation des foules. Sont ils capables de se remettre en cause?

Merci, merci  au CO2 de verdir notre planète. 

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« Pourquoi » le communisme n’est-il pas aussi détesté que le nazisme ?

Pourquoi avons-nous laissé faire une compassion plus faible pour le communisme que le Nazime ? Pourquoi des partis qui se réfutent à cette idéologie en France trouvent une telle complaisance ?

Quand vous décrivez des personnes ou des régimes particulièrement mauvais, pourquoi utilisez vous le terme « Nazi » ou « Fasciste », mais jamais « Communiste » ?

Le communisme a causés plus de souffrances, pourquoi le terme « Communiste » donne beaucoup moins un sentiment de dégoût que le terme « Nazi » ?

Les Communistes ont tué 70 millions de personnes rien qu’en Chine,

Plus de 20 millions dans l’Union Soviétique (Sans compter les 5 millions d’Ukrainiens).

victim ok kmers rouges Les communistes Français du PCF ont formés idéologiquement et intellectuellement la quasi totalité des cadres Cambodgiens a Paris dont Pol Pot, Hô Chi Minh, Son Sen, Hou Yuon , Ieng Thirith. Personnes qui ont engendré une épuration humaine d’au moins 2 millions de morts par une idéologie formatée à Paris. 1 Cambodgien sur 3 est mort par leur responsabilité.

L’Union des étudiants khmers de Paris ont suivit les formations politiques de l’université populaire du Parti Communiste Français. C’est bien en France à Science Po qu’a été présenté le mémoire de Hou Yuon de transformation du Cambodge « la paysannerie du Cambodge et ses projets de modernisation ». Elle a bien été écrite 100% en français en 1954. Pas au Cambodge.

Le PCF est responsable d’incitation aux politiques totalitaristes qui ont engendré le génocide au titre, à minima, du 3eme cercle de l’ordre de la complicité des responsabilités.

Et les communistes ont mis en servitude des nations entières en Russie, Vietnam, Chine, toute l’Europe de l’Est, la Corée du Nord, Cuba et une grande partie de l’Asie Centrale, l’Angola.

Ils ont ruiné la vie de plus d’1 000 000 000 de personnes.

Alors pourquoi le Communisme n’a pas la même et terrible réputation que le Nazisme ?

Raison numéro 1 : La gauche domine l’enseignement.

staline-coco-amourUne grande partie des enseignants sont majoritairement favorables aux idées de gauche ou sont intellectuellement proche des mouvements de gauche, l’histoire dans les programmes scolaires et universitaires est largement orienté pour ne pas souligner trop le communisme.

Tout est fait pour réduire ou minimiser ou faire ignorer la connaissance des actes Communistes.

Alors que tous les partis de l’échelle politique de gauche, droite et autres détestent le Nazisme et enseignent sa terrible histoire, la gauche majoritaire dans le corpus enseignant ou corpus médiatique, n’a jamais diabolisé le communisme autan que le Nazisme.

Presque personne n’apprend l’histoire répugnante du communisme tel qu’il est réellement.

Raison numéro 2 : Les Communistes ont surtout tué leur peuple.

Des assassins en communautés fermées. Les Nazis, eux, n’ont pas tué que des allemands.

L’opinion médiatique remarque bien moins les génocides et meurtres de masses au sein d’un même groupe, alors qu’envers des tiers, le meurtre d’étrangers est beaucoup plus médiatique.

C’est pourquoi, par exemple, les noirs tuant des millions d’autres noirs en Afrique n’ont pas provoqué une attention particulière de « l’opinion mondiale » par rapport à des conflits moins meurtriers.

Raison numéro 3 : L’absence d’images.

Les images des goulags russes, ou des laogaï chinois communistes contrastent avec les images nombreuses des camps Nazis.

Les Allemands ont étés envahis par des armées étrangères, et les gouvernements n’ont pu cacher les horreurs.

A contrario, les Russes, les Chinois, les Coréen du Nord ont surtout tué leur peuple. Les images ont étés mieux contrôlées et les images frappantes sont aujourd’hui plus absentes.

 

 

meltingpot-communistesRaison numéro 4 : Les Nazis ont fait l’Holocauste.

L’Holocauste est un événement passé tellement unique et affreux, l’énorme attention qui lui a été portée a aidé à construire une échelle de valeur qui voudrait dire que le Nazisme est pire que le Communisme.

L’idée même de l’horreur de l’holocauste vous laisse médusé et suffoqué même encore aujourd’hui.

Le fait d’envoyer à la mort les Juifs, les tziganes, les Polonais, les handicapés hommes, femmes, enfants, et bébés du continent européen dans une froideur humaine si diabolique est terrible.

Les Communistes qui ont tué bien plus de personnes que les génocides Nazis. Pourtant les génocides Nazis ont tendance a faire oublier ceux des communistes.

Raison numéro 5 : Le communisme est un fantasme idéaliste.

Le Communisme est basé sur de charmantes théories utopiques égalitaristes, le Nazisme est basé sur d’atroces théories de domination de races les unes sur les autres.

Les intellectuels de gauche en général, les comprenant, sont séduits par les mots, pour des intellectuels les mots et les idées importent plus que les actions.

Ils vivent souvent dans des vies plus fantasmées que réelles. Par exemple, ils fantasment qu’ils aident avec l’argent des autres « les pauvres », en irrationnel, mais quand on leur demande quel ami concrètement avec leur argent ils ont aidé, ca reste marginal et minimaliste.

C’est pour cette raison qu’ils ne donnent pas autant d’importance aux horribles génocides des communistes comparés aux semblables actions horribles des Nazis.

censure2Raison numéro 6 : Une vérité qui dérange et la censurent.

Il n’y a qu’a regarder l’absence de publications. Si les gens étaient mis face à l’inadéquation entre les objectifs humanistes revendiqués et les conséquences, la vulgarisation des résultat ferait rechigner les naïfs à participer à l’aventure communiste.

Ils censurent pour protéger leur idéologie et refusent d’assumer ou en débattre et sont dans le déni total.

Leur censure n’a qu’une motivation. La censure est surtout un aveu et une panique de la peur de se voir en complicité intellectuelle avec le crime communiste, objet dénoncé de cet article…

Collusion-communiste-maoIls excommunient les « mauvais communistes » en disant qu’ils ne représentent pas le « vrai » communisme mais par opposition voient en revanche les atrocités Nazies comme le résultat logique et inévitable du Nazisme.

Ils transfèrent les échecs patents sur les autres, et éternelles excuses idiotes, les USA, les riches, l’oligarchie pour dédouaner sans cesse leur idéologie de sa responsabilité.

Aujourd’hui ils voient les privations et la famine au Venezuela, et pourtant ils font signe de ne pas la voir. Ils soutiennent un gouvernement qui truque les élections et affame son peuple par pure préférence idéologique au sort des victimes de cette idéologie.

Raison numéro 7 : Les Allemands ont RECONNU pas les communistes.

Les Allemands ont reconnu les crimes des Nazis, ils ont pris la responsabilité sur eux et ont tenté de les expier.

Les Russes n’ont rien fait de semblable pour les atrocités de Lénine ou Staline.

Au contraire, Lénine, le père du Communisme Soviétique, est vénéré presque partout en Russie.

En Russie même c’est un tabou et les gens nient ou refusent le sujet, par xénophobie ou implication, l’holocauste de Stalinien.

Encore plus en Chine qui a eu le plus immense tueur et esclavagiste de masse de tous, Mao Zedong.

Mao le plus grand assassin connu de la planète est toujours vénéré en Chine.

renminbiLa monnaie Chinoise a même sa tête dessus.

Tant que la Russie et la Chine le Vietnam, Cuba, et la Corée du Nord ne reconnaîtront pas les crimes que leur pays a commis sous le Communisme, ceux-ci resteront moins connus que les crimes de l’Allemagne sous Hitler.

Raison numéro 8 : Le Whataboutisme comme système d’évitement des questions qui gênent.

Lorsque les Goulags ont commencés à être connus, les soviétiques ont engendré une politique systémique pour détourner la question. Les Américains l’on nommé « whataboutism » de l’anglais « what about…(qu’en est il de…) ». Technique que vous retrouvez chez tous les militants communistes et gauchistes de la terre.

Vous parlez des millions de morts du communisme, le communiste se lance toujours dans un hors sujet « qu’en est il de .. » en parlant d’un conflit qui n’a rien a voir. En accusant en général, les Américains ou le grand capital ou n’importe quoi du moment que ça le détourne de son paradoxe entre idéologie et résultat de son idéologie qu’il se nie même à lui-même.

StalineHumaniteEt la Raison numéro 9 : La gauche est complaisante avec ses criminels.

Selon la vision de la gauche, la dernière guerre « légitime » était la Seconde Guerre Mondiale, la guerre contre le Nazisme Allemand et le fascisme Japonais.

Toutes les autres contre le communisme ne le seraient pas.

La gauche n’a jamais vu la guerre contre le communisme comme une « bonne » guerre.

Par exemple, la guerre Américaine contre le communisme Vietnamien a été présentée comme immorale.

boudarel2Boudarel militant communiste Français immonde tortionnaire responsable de 130 camps de ré-éducation assassin entre 1 à 8 personnes par jour a tué à bout touchant les prisonniers des Viêt Minh (même des Français). Après conflit Il a été recueilli en France par le PCF et protégé et ils lui ont même trouvé un emploi dans l’éducation nationale universitaire.

Aujourd’hui nous voyons bien avec le militant assassin Batisti que la France a protégé et protège encore des criminels communistes.

Tant que la gauche, et toutes les institutions influencées par la gauche, ferment les yeux sur l’atrocité dont le communisme a fait preuve, on continuera à vivre dans un monde immoral.

Il est encore temps de renvoyer les communistes devant leur Nuremberg.

Il y a des coupables en France qui doivent répondre.

La France peut montrer l’exemple. Nous devons imposer le procès du PCF sur ses responsabilités.

Renvoyer les formateurs idéologues du PCF a Paris aux juges Cambodgiens qui viennent de condamner en 2018 les gens qu’ils ont formés a Paris.

Renvoyer à l’Italie les 14 militants assassins qui sont venus se réfugier en France.

Chasser le prosélytisme militant communiste de l’occupation militante dans nos écoles et livres de classe.

De dé-communister les institutions, dé-communister les programmes d’histoire, de dé-communister le monopole de raisonnement dans sciences sociales et économiques de notre pays et permettre de retrouver la liberté de pensée.

Il est temps d’instruire nos enfants de ce qu’est le communisme. Une abjection totalement similaire au nazisme.

Liens pour en savoir plus :

La france pépinière des dictateurs

Non repentance du communisme

Indochine : toute la gauche a protégé le tortionnaire stalinien Boudarel

Quand le PCF négociait avec les Allemands

Quand les communistes aimaient les nazis

Moi et ma famille ont fuit le communisme quand j’avais 6 ans

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Venezuela : le libérateur et le dictateur

Cela a été long à venir Un nouveau président par intérim c’est déclaré. Le Venezuela sous la direction de Maduro s’est effondré. Une faillite sans appel.

La situation des gens :

Des pénuries alimentaires. La majeure partie de la population du Venezuela vit dans la pauvreté et déambule dans les rues à la recherche de bennes à ordures dans l’espoir que la nourriture puisse être mélangée aux ordures des quartiers de la nomenklatura d’état.

 

Les parents quittent leurs enfants dans des orphelinats parce qu’ils ne peuvent les nourrir.

Pas de papier toilette. Les médicaments sont extrêmement rares, le taux de meurtres est le plus élevé au monde.

L’inflation est supérieure à 1 000 000 % (ce n’est pas une faute de frappe ! Un million de %), Un record mondial qui donne à l’ancien président zimbabwéen, Robert Mugabe, l’apparence d’un génie de l’économie à coté de Maduro.

Depuis 1999, 3 millions de Vénézuéliens ont fui en Colombie, au Chili, au Pérou et en Équateur. Pour eux, il vaut mieux commencer dans un nouveau pays que rester au Venezuela et mourir de faim.. 

 

La criminalité monte en flèche alors que les masses subissent une pauvreté accablante. Les seules personnes qui disposent de protections et de dispositions sont celles au pouvoir.

Une douzaine d’œufs coûte 700 000 bolivars, l’équivalent d’une semaine et demi de salaire officiel.

Pannes d’électricité. Élections truquées pour maintenir le tyran au pouvoir.

 

Vous avez une nouvelle affiche d’un énième test et de l’échec du socialisme : le Venezuela.

Le Venezuela reste riche en une ressource particulière : le pétrole. Mais même cela ne marche pas. La production a de sérieux problèmes, elle a chuté de près de 800 000 barils par jour en 2018. à peine un an plus tôt. La structure de son gouvernement socialiste tue ce pays et son peuple.

 

L’illégitimité de Maduro

Le 10 janvier, le mandat présidentiel de Nicolás Maduro a pris fin.

Le dictateur a été élu à chaque fois au moyen d’élections frauduleuses.

En 2018, Maduro a organisé de nouvelles élections, mais cette fois, elles ont été boycottées par l’opposition après l’emprisonnement des principaux dirigeants de l’opposition. Les politiciens qui pouvaient facilement battre l’autocrate Maduro dans une élection libre et juste ont été emprisonnés. 

Cette farce de dernière élection au Venezuela a été rejeté par la communauté internationale. 50 pays ont officiellement déclaré qu’ils ne reconnaîtront pas la prétendue élection de Nicolas Maduro et ont indiqué qu’ils ne le reconnaîtraient pas comme président légitime du Venezuela à compter du 10 janvier 2019.

L’opposition, le Conseil de sécurité des Nations Unies, la Cour inter-américaine des droits de l’homme, l’OEA, ont demandé à l’Assemblée nationale du Venezuela, élue lors des dernières élections libres, de combler le vide du pouvoir exécutif en raison de l’absence de légitimité du dictateur Maduro.

Maduro a utilisé tous les moyens possibles et imaginables à sa disposition pour tenter de fermer l’Assemblée nationale et son opposition démocratique. A cette fin, il a inventé une fausse Assemblée nationale constituante, bourrée à craquer avec sa nomenklatura d’acolytes Marxistes, les plus et obséquieux et profiteurs de la dictature.

Cela n’a pas réussi. L’Assemblée nationale défend non seulement sa légalité, mais également sa propre existence, dernier vestige républicain du Venezuela face à la dictature de Maduro.

L’Assemblée nationale, est la principale institution démocratique qui reste face à la dictature

 

 Mercredi 23 janvier, à l’occasion de l’anniversaire de l’éviction du dictateur militaire Marcos Perez Jimenez en 1958, le président de l’Assemblée nationale du Venezuela, Juan Guaido, a prêté serment devant une foule nombreuse qui a envahit les rues de Caracas. 

Juan Guaido est maintenant le nouveau président face au dictateur Nicolas Maduro et à son emprise autoritaire sur les pouvoirs.

Les Vénézuéliens en ont enfin assez du socialisme comme tous ceux qui y ont goutté.

Une fois de plus, le socialisme a amené à la pauvreté généralisée, aux souffrances dues à la misère, à un taux de criminalité élevé et à la famine aux mains d’un despote Marxiste et autoritaire comme a chaque fois que le communisme s’abat sur un pays. 

Donald Trump, Bolsonaro et 12 autres pays, dont la plupart en Amérique du Sud, n’ont pas tardé à annoncer leur soutien à Juan Guaido, président légitime par intérim en attendant de prochaines élections libres. Merkel devrait enboiter le pas.

De toute évidence, le dictateur Maduro voit les choses différemment, et il a réagi à l’annonce de Trump en coupant les liens diplomatiques avec les États-Unis et en ordonnant à nos diplomates de quitter le pays dans les 72 heures.

 

Cependant, Maduro a toujours le soutien de l’armée, comme tout dictateur, il a installé des loyalistes pour contrôler l’armée tout en révoquant les opposants en son sein. Mais jusque quand va telle tenir devant les évidences ? Plus personne ne veut de lui sauf ceux qui en tirent des avantages.

 

 

Combien de temps Juan Guaido pourra-t-il rester en dehors des intimidations et des prisons de Maduro ? 

Le Venezuela va-il vers la guerre civile ou des élections libres ?

Le temps nous dira bientôt, mais pour le bien des Vénézuéliens, espérons une transition pacifique du pouvoir vers un monde dégagé des éternels résultats du communisme. Un autocrate et une nomenklatura qui se sert sur le dos du peuple.

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Retraites des privilégiés : le diable se cache dans les cotisations sociales de l’état

Pour ceux qui ne comprennent pas les privilèges, les iniquités et les inégalités sociales les voici expliquées le plus clairement du monde par les chiffres froids et concrets.

Les cotisations :

Un salarié du secteur privé est abondé entre 15,45% et 23,2% (cotisations salariales et patronales) (avec complémentaires) en pourcentage de sa rémunération par son employeur, pour son assurance retraite. (les petites lignes que personne ne lit sur la feuille de salaire).

Voici la cotisation de l’état avec ses obligés :

Un fonctionnaire est abondé pour la retraite par l’état employeur à 74,28%

Un militaire lui est abondé pour la retraite à 126,04%.

La croissance est exponentielle : il y a 10 ans, en 2009, les taux étaient respectivement de 58,47% et 108,39%. Plus de 20% de croissance en seulement 10 ans. L’absence de caisse cantonnée avec une balance entre recettes et dépenses autorise une dépense pour les castes de l’état démesurée.

Chacun peut le constater.

Les affiliés à des caisses :

Un fonctionnaire territorial ou hospitalier affilié à la CNRACL l’état employeur fournit une cotisation retraite de 41,48%.

Un agent SNCF affilié à la CPRPSNCF la cotisation de la société est de 46,43%.

Un agent EDF affilié à la CINIEG est à 52,58%.

Comme vous le constatez, l’état est pharaoniquement généreux pour l’assurance retraite des ses obligés et des entreprises publiques qu’il gère…

L’état est entre 3 et 8 fois plus généreux avec ses collaborateurs que le droit commun..

C’est une montagne de différence de traitement…

C’est odieux !

Mais d’où vient l’argent de ces généreuses cotisations ?

La réponse est simple, il n’y a rien qui sort de la poche de l’état qui ne soit prélevé de votre poche…

Tout est pris dans vos impôts, cotisations, taxes sur les factures du secteur marchand.

L’état employeur ne paye pas les charges sociales de ses salariés, comme la vache ne paye pas la taxe sur le lait.

L’argent de l’état est un jeu a somme nulle, ou ces cotisations pharaoniques sont autant de pouvoir d’achat qui vous est arraché par la force de l’obligation.

Aucun privilégié de l’état ne peut avoir ces avantages sociaux sans que quelqu’un d’autre ne les payent.

 

A contrario, les agents EDF, RATP ou SNCF ont eu une carrière avec l’exception d’être exonérée de cotisations pour le chômage, alors qu’on a demandé aux cotisants du secteur privé de prendre en charge le secteur du spectacle…

 

Payer pour le service régalien de l’état est une chose, mais payer le double pour une gestion inconsistante, est irresponsable.

Le secteur privé ne peut pas concurrencer les avantages injustes des secteurs économiques gérés par l’État et cette ponction pour les privilèges de ses agents et sa gestion honteuse.

 

Les droits ?

Les inégalités les plus injustes sont celles des droits différenciés.

Il est difficile de faire une liste des discriminations que subissent les adhérants au régime général tellement les privilèges sont nombreux dans les régimes spéciaux de l’état.

Voici un patchwork incomplet :

 

Privilège de faible pénalité de décote : Si vous n’avez pas votre nombre équitable d’années vous aurez une « décote », mais pas la même ! Les fonctionnaires qui pourtant ont des carrières plus linéaires du fait de la stabilité de leur emploi sera moins pénalisante.

Pire quand c’est « décote » pour les salariés du privé, c’est « surcote » pour ceux du public. Le fonctionnaire a bénéficie plus jeune de la décote et une surcote plus jeune. Ainsi lorsqu’à 63 ans un fonctionnaire passe en surcote, le salarié du privé est en décote. Il est prévu a terme une égalité, mais qu’au futur… (pas besoin de dessin ?)

 

Privilèges de cumuls : Si vous cumulez 2 emplois dans le secteur privé, par exemple un job la semaine et un job le week-end vous avez 2 rémunérations dans le secteur privé, mais savez vous qu’on ne tiendra compte que d’une seule « limitée » au seuil sécurité sociale indépassable ?

Pas pour eux, les élus, fonctionnaires et bénéficiaires de régimes spéciaux. Vous connaissez sûrement le Français champion du monde toutes catégories cumulard d’une foultitude de régimes spéciaux, François Hollande ? Et bien vous aurez beau avoir autant d’emplois privés ou fictifs dans le secteur privé du droit commun, jamais vous ne cumulerez comme lui, Vous n’en avez pas le droit, eux les privilégiés des régimes spéciaux, Oui.

 

Privilège d’une pension qui ne correspond en rien a la carrière réelle.

Le grade détermine la pension des privilégiés des régimes spéciaux, pas la fonction exercée. Par exemple en France il est versé largement 3 fois plus de pension au grade de préfets, qu’il n’y a jamais eu de préfets en fonction en France…

 

Privilège de fraude tolérée de sa pension

Le « coup du chapeau », c’est une évolution de grade pour poste fictif, en toute fin de carrière pour calculer favorablement la pension de l’intéressé. Dans le ministère de l’économie et des finances, 24% des fonctionnaires changent de grade dans la dernière année, mais à l’intérieur de cette statistique, 75% des haut fonctionnaires de ce même ministère sont « gradés » pendant cette période.

On note une augmentation de grade dans le ministère des anciens combattants 50% des fonctionnaires, la poste 40%, l’intérieur 33%, la défense 30%, l’aviation civile 23% comme à la recherche publique, l’équipement et le logement, 15%, la justice 14% et l’éducation nationale 9%. (Chiffres de 2013) mais avec le gouvernement Hollande et Macron, pro-technocrates le chiffre a certainement évolué en pire.

Cette fraude ou manipulation est entrée dans les mœurs des privilégiés, tolérée elle semble être d’un faible coût pour l’administration qui l’octroie, pour quelques mois, comme une augmentation de salaire indiciaire, mais génère une terrible charge sur la société par une amplification de la pension qui sera versée pendant des dizaines d’années, une spoliation scandaleuse des contribuables français.

 

Privilèges de bonifications de droits à gogo :

Pour les instituteurs fonctionnaires, le temps passé à l’école normale à partir de l’âge de 18 ans est considéré comme une durée de service effectif. Un privilège qui permettra a ses bénéficiaires de partir plus jeune que les autres à la retraite.

Un partie des fonctionnaires de la police nationale, de l’administration pénitentiaire, des douanes, de la navigation aérienne des militaires se voient crédités de 30 ans de service alors qu’ils n’en ont effectué que 25…Il peuvent donc gagner par rapport à tous les autres gagner 5 années de travail en moins pour obtenir leur retraite.

6 ans = 8 ans pour le service hors Europe. Vivre sous les cocotiers nécessite tellement cela. Vous aurez en plus une meilleure pension si vous y restez.

Allez je vous réserve la plus caricaturale anecdote pour la fin. Un retraité de la SNCF qui décide de terminer sa carrière de retraité à la Martinique ou La réunion bénéficiera comme un fonctionnaire d’une pension majorée en fonction de « droits acquis » copiés sur le droit des fonctionnaires. Mais savez vous que dans ces DOM-TOM il n’y a même pas de trains et il n’y en a jamais eu sur ces îles ? Pitoyable n’est-ce pas ?

Alors, oui il faudrait une réforme des régimes spéciaux, mais pas élaborée par des technocrates en conflit d’intérêt, eux mêmes aux régimes spéciaux.

Nous regardons sous nos yeux en ce moment le pire du pire.

Ce gouvernement a réussit l’exploit non seulement de faire une non-réforme, mais en plus de céder aux corporations les pires déjà favorisées en rien l’universalisme de l’excuse pour la demande de réforme.

Dramatique !

 

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Comble de l’assistanat: rembourser des préservatifs

Les gilets jaunes veulent savoir « ou va le pognon » en voici un exemple.

Le 10 décembre 2018 les préservatifs vont être remboursés par les assurances maladie et les complémentaires santé sur « prescription médicale ».

 

Distribution :

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Par curiosité je suis allé au petit Intermarché le plus proche, pour avoir une idée du coût actuel du préservatif. La boite est à 4,89€ les 28 soit 0,35€ l’unité sans aucune promotion et semble être le coeur de cible. Ce n’est peut-être pas le dernier modèle extra-fin nervuré, au goût de fraise, aérodynamique profilé, mais bon, ça doit faire le boulot pour pas cher.

Les prix moyen évolue semble t-il en distribution entre 0,25€ – 0,50€ le préservatif, voire plus selon si vous voulez des options, une taille XXL ou la préférence d’une marque connue.

J’imagine les concurrents, Carrefour, Auchan, Cora ou Leclerc, les discounters et autre, être dans une même fourchette à des différences de quelque centimes.

Les pharmaciens, parapharmaciens ont eux aussi des préservatifs à moins de 0,50€ en offrant un conseil. Eux aussi ne vendent pas forcement le préservatif a prix inabordable.

Pour les timides on peut se faire livrer par Internet, les prix sont similaires et il y en a même qui annoncent à 0,15€ le préservatif.

 

Un préservatif offert se trouve partout. Absolument partout.

Vous pouvez en trouver facilement dans le monde associatif. Toutes les associations de planning familial, les associations familiales, les associations de prévention du sida ou maladie vénériennes, les centres de dépistage, les centres médico-sociaux, dans les services hospitaliers concernés

Les jeunes peuvent en trouver dans toutes les infirmeries scolaires, en plus de conseils d’utilisation et de prévention par des infirmières scolaires professionnellement formées pour cela. Dans les points écoute-jeunes, dans les centres d’animation ou les MJC.

Dans les boites de nuit, les bars de nuit, les stations service et devantures de pharmacies vous trouvez des distributeurs automatiques prêt a vous protéger.

De nombreuses personnes ont des préservatifs dans un tiroir ou le portefeuille et socialement, personne ne refuse de vous en donner un pour vous protéger. Même un patron capitaliste ou un syndicaliste Bolchevique, ils vous en donneront tous un gratuitement.

Bref l’excuse que c’est trop cher est bidon. Les préservatifs on peut en trouver un peu partout, gratuits ou très peu cher. Même pour un pauvre. l’argent est un faux problème.

 

La boite qui va être remboursée par la sécu :

La boîte de 6, 12 ou 24 préservatifs masculins pourra être prescrite par un médecin ou une sage-femme et sera délivrée en pharmacie, sur présentation de l’ordonnance. Ce remboursement ne concernera que les préservatifs Éden « made in Japan » diffusés par le groupe français Majorelle spécialisé en revente d’articles en urologie et gynécologie.

Le préservatif Éden sera remboursé à hauteur de 60% sur la base d’un prix de vente de 1,30€ TTC la boîte de 6, et de 2,60€ TTC la boîte de 12, de 5,20€ TTC la boîte de 24 .

Cela fait 0,21€ le préservatif conventionné. Même si on trouve des préservatifs à 0,13€ sur Internet, l’objet de l’article ne sera pas de dire qu’il est trop cher ou contester sa qualité. Il est dans le prix de marché. Il n’est ni trop cher ni bon marché. Il est certainement d’un rapport qualité/prix acceptable.

Ce remboursement ne concernera qu’une seule marque, c’est donc un monopole. Le remboursement par l’assurance maladie concernera les hommes et les femmes.

 

Les arguments pour rembourser les préservatifs.

Agnès Buzyn, la ministre de la Santé, affirme que le remboursement renforcera la lutte contre les infections sexuellement transmissibles (IST), actuellement en progression ou en recrudescence. C’est le cas des infections à chlamydia, de la syphilis, de la gonococcie. Quant au VIH-sida, de nombreuses idées reçues continuent à circuler sur son mode de transmission, et un séropositif sur quatre ignorerait qu’il est atteint de la maladie, selon un rapport de l’Onusida publié le 22 novembre. La décision fait suite à un avis favorable rendu par la Haute Autorité de santé en juin dernier.

 

Est-ce vraiment approprié ?

Bien entendu, il faut lutter contre les transmissions de ces maladies par le préservatif. C’est même indispensable. Mais va t-on réellement limiter ces maladies parce que c’est remboursé  ? Est ce réellement un problème de remboursement ou de prévention, de formation sociale ou de comportement individuel ?

En quoi une ordonnance pour aller en chercher dans une officine ou un pharmacien et aller se faire rembourser va changer la donne des personnes ciblées ? En quoi un préservatif sur ordonnance change la donne d’un préservatif gratuit ? Le médecin ne peut il pas indiquer l’adresse du planning familial du bout de la rue ? Voire ne peut on pas fournir aux médecins des boites en stock de base sur demande pour amorcer le besoin de ses patients qu’il perçoit comme fragiles ou incapables d’en voir l’utilité et l’usage. Et une personne qui rencontre une autre attend t-elle d’avoir un rendez vous chez le médecin avant d’avoir une relation sexuelle ?

Nous l’avons vu, ce n’est absolument pas un problème d’argent. C’est un problème d’éducation, de prévention et de société.

 

Quel sera le coût ?

Là la ministre ne répond pas. Le magasine LSA expose que le marché du préservatif en France tourne autour de 70 millions d’euros. Quelle sera la part de marché du préservatif sur ordonnance ?

20, 30, 50% du marché ? On ne sait pas, mais en tout cas plusieurs millions.

A cela s’ajoute pour la collectivité des assurances maladie et des complémentaires, les remboursements des consultations. Le prix de la consultation, c’est 25€. Combien de gens iront chercher chez un médecin des préservatifs au lieu d’aller au supermarché ? 10 millions, 20 millions de consultations a rembourser ? Plus ? La encore une belle addition de plusieurs millions.

A cela va s’ajouter le marché d’opportunité. Un marché d’opportunité, c’est un marché ou en fait l’acheteur n’en a pas vraiment ou réellement besoin, mais en prend pour un futur éventuel puisque c’est gratuit et remboursé. Des migrants qui ont une famille à l’étranger vont en commander chez le médecin pour toute la famille resté au Bled. Des gens qui envisagent un jour un coup de canif au contrat vont en profiter pour s’équiper à chaque consultation comme les abus de prescription des boites de paracétamol. Combien cela va additionner, 10 millions, 30 millions ?

En résumé nous allons tous rembourser des préservatifs, des consultations qui s’agrègent, créer une inflation d’une demande chez les médecins pour des articles que chacun peut se payer, alors que c’est un problème de prévention et une réponse hors sujet.

Mais la « haute autorité de santé, la ministre et moult personnes vont se gargariser de contribuer à la lutte contre les maladies avec l’argent de la collectivité. La démagogie ordinaire de l’assistanat à outrance masque les vrais problèmes.

Peut -on prescrire sans compter et être indifférent aux aspects économiques ?

En amont les cotisations pèsent sur les revenus, les dettes s’accumulent par des CSG et CDRS s’ajoutent sur les cotisants, les mutuelles pèsent de plus en plus lourd sur nos concitoyens. En Aval les services des urgences débordent, les personnels professionnels qualifiés sont débordés, notre pays est sous équipé en IRM par rapport à nos voisins et que fait on avec l’argent ?

 

On offre des capotes que chacun peut se payer. C’est politiquement visible et médiatique mais en réalité faussement social.

Assister les gens jusque dans leur intimité, sur le compte de tous ceux qui payent les cotisations, il arrive un moment ou il faut se poser la question «  ou va le pognon ? », «  est ce réellement nécessaire ? » et «  peut on faire autrement ? » a t-on réellement évalué les incidences sur le coût caché qui s’accumule sur la société qui paye ?

Responsable devant les médias pour l’image, irresponsable dans les cotisations cachées dans la masse des cotisants.

La prévention ce n’est pas un appel à l’assitanat de tous, mais à la responsabilité de tous, et en plus c’est moins cher pour tous, et quand chacun est responsable c’est sécurisant pour tous.

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Les « ressources naturelles et limitées » n’existent pas. Seules les ressources cornucopiennes existent.

Le cornucopien c’est l’explication du pourquoi les analyses Maltusiennes ne se sont jamais produites. C’est la réfutation du Maltusianisme.

Une règle économique intangible prouvée par tout ce qui c’est passé et se passera. Malheureusement, ce le cornucopien ne fait pas partie de l’enseignement économique en France, les sciences sociales, économiques et politiques sont tellement orientées en France que ce qui n’est pas Marxiste ou Keynésien, comme le cornucopien est totalement inexistant des livres économiques.

En France tout le monde connaît le théoriste Malthus, personne ne connaît le cornucopien qui explique, démontre pourquoi les Maltusiens se sont toujours trompés et leurs apocalypses statistiques de ressources naturelles limités ont étés réfutées par les faits.

Le cornucopien est un théorie liée à l’économie de marché qui prouve que les innovations technologiques permettront à l’humanité de subvenir éternellement à ses besoins matériels, eux-mêmes considérés comme source de progrès et de développement.

C’est une règle économique qui réfute le schéma de pensée et la modélisation économique, généralement des écologistes, mais pas seulement eux.

1980 – Le pari de Julian Simon, contre Paul Ralf Ehrlich. Cornucopien versus Malthusiens.

Julian Simon économiste cornucopien fut confronté dans un débat public en 1980 à Paul Ralf Enrich le lobbyiste écologiste le plus puissant des états unis de l’époque.

Selon la théorie développée par les « ressources naturelles limitées », Enrich argumentait comme aujourd’hui en France, Jadot, Macron Hulot et 98% de toute notre élite, 98% nos politiciens et la pensée unique dominante de 75% des gens.

Julian Simon l’économiste argumentait que les ressources ne sont pas « naturelles » et donc de ce fait pas « limitées ».

Paul Ralf Ehrlich soutenait que comme elles étaient rares, les prix aller augmenter, et qu’il fallait contraindre et diriger les populations vers les transformations sociétales. (Ça vous fait pas penser à la France de l’élite et la pensée sermonnée imposée?)

L’écologiste a présenté un futur modélisé sur pénuries et prix des ressources. Simon a donc proposé face à l’absence de compréhension de l’économie un pari de 10 000$ à Ehrlich. De choisir 5 ressources de son choix et qu’il était certain que toutes ne seraient pas « épuisées », et que « toutes » les prix dans une décennie allaient baisser.

Ehrlich sur de sa logique Malthusienne a accepté le pari et a choisit une liste de cinq métaux librement. Il se croyait certain de gagner. Il a choisit ceux qui lui semblait les plus à même de devenir de plus en plus rare.

Simon a gagné le pari, Ehrlich a été stupéfait et raillé. Les prix des 5 métaux ont fortement baissé au cours de cette décennie.

Fort de sa victoire, en 1990 Simon a proposé à Ehrlich de re-parier et de re-choisir librement la ressource qu’il voulait pour la décennie suivante. Ehrlich refusa un 2eme pari. Mais hélas cette leçon n’a jamais fait l’objet d’une ligne dans les livres d’économie de nos enfants et aujourd’hui en 2018 notre population mal informée croit que les ressources sont naturelles et limitées..

Il est vrai qu’expliquer cela c’est comme expliquer que la terre est ronde a un paysan du 10eme siècle, alors que tout semble faire penser logiquement cartésienne qu’elle est plate. Il faut prendre de la hauteur et comprendre comment fonctionne l’économie de marché, et ce qu’est réellement une ressource.

Il n’y a pas de « ressources naturelles ».

La notion semble loufoque mais ne l’est pas.

Julian Simon a gagné son pari, car il savait que ce que certains appellent « Ressources naturelles » ne sont jamais des « ressources naturelles ». Qu’une ressource ne fonctionne pas comme une bouteille de vin ou une fois consommé le litre, il n’y a plus rien.

Vous devez admettre que le bois, le fer ou du pétrole. Ces matériaux ont été créés par la nature, c’est pourquoi on les appelle «ressources naturelles». Mais dans la réalité l’association d’usage du mot « ressource » avec « naturelle » n’est pas la logique réelle. Au contraire, une ressource est anti-naturelle.

Il est vrai que la nature a créé ces matériaux, mais la nature ne les a jamais transformés en ressources.

La transformation d’une ressource, d’un matériaux n’est pas et n’a jamais été le fruit de la nature. Cela résulte exclusivement de la créativité, de l’intellect et des efforts de l’homme.

Le minerai de fer, n’est qu’une roche particulièrement riche en oxydes de fer. A l’état brut et naturel, la roche est inutile. Elle ne sert à rien.

La roche est devenue utile et ressource parce que les humains ont découvert que les oxydes de fer peuvent être transformés en fer en acier qui servent à des fins humaines.

La technologie a compris, inventé comment extraire les oxydes des roches pour les transformer en fer ou en acier.

Sans la créativité humaine, l’esprit et les efforts de transformation, le minerai de fer ne serait pas une ressource.

Pour résumé, ce qui fait la ressource, ce n’est pas la nature, mais l’homme.

En réalité, une « ressource naturelle » est en fait une « ressource humaine », c’est une des origine de l’incompréhension des malthusiens écologistes. On dit que la « ressource est cornucopienne. »

Le caractère d’un matériau en tant que ressource c’est l’ingéniosité humaine qui le décide et certainement pas la nature.

En conséquence, ce fait est vrai même pour la terre. Pour la grande majorité de l’existence humaine, la terre et la nature ne sont que le territoire sur lequel nous, comme toutes les autres créatures terrestres, marchons, nous reposons et dormons.

Maintenant que vous avez compris la différence de notion de la ressource, à la fois simple et surprenante. Une fois saisie, cette vérité est indéniable. L’implication dans le schéma de raisonnement économique change du tout au tout.

L’implication de la notion de ressource cornucopienne dans la pensée économique.

L’implication de voir la « ressource humaine (cornucopienne) » et non pas « naturelle » comme il est suggéré dans le langage courant est un changement total sur les conséquences de raisonnement.

La démonstration de Simon est à la fois simple et surprenante. Une fois saisie, la vérité engendre une ouverture d’esprit sur les ressources bien différenciée.

Les implications sont profondes, l’une des conséquence est la prise de conscience du fait que la quantité de ressources sur terre n’est pas fixe. Les ressources ne sont jamais épuisées.

Bien que la quantité de matière, la quantité de matière atomique sur la Terre soit fixe (sauf pour ce qui est livré par les météores, les astéroïdes et les astronautes), la quantité de ressources peut et doit augmenter à cause par la créativité et des efforts humains. Ce fait, à son tour, signifie que tant que les humains seront suffisamment incités à faire preuve de créativité, nous ne manquerons jamais de ressources ni ne subirons même un épuisement significatif de celles-ci.

Cette prédiction de Julian Simon contredit totalement non seulement la compréhension populaire, mais également les opinions de nombreux scientifiques.

L’opinion populaire, politique et professionnelle se trompe en supputant que les ressources sont créées par la nature. La nature ne fait rien pour mettre plus de pétrole, de magnésium, de bauxite et des ressources «naturelles» dans le sol et dans les mers, cet épuisement est caduque puisque les ressources ne sont pas « naturelles ».

Nous épuisons des réserves de matière première quotidiennement. Mais ce ne sont pas des ressources. C’est juste de la matière première.

Ce raisonnement conduit écolos, élite, politique à la conclusion que le seul moyen d’éviter une pénurie de ressources est de ralentir le taux de croissance économique, voire peut-être même d’arrêter complètement la croissance et se priver de matière première existante.

Quand vous prenez conscience par les faits des « réserves cornucopiennes »

Ça vous semble encore ambigu ? Vous êtes tellement attaché à la notion de ressources = matière première ou matière naturelle que vous n’imaginez pas qu’une ressource est dissocié de la nature et de ses réserves pré-supposées limitées pas vrai? Vous vivez sur une terre plate, le niveau à bulle, le mètre, la planche plate, l’horizon, le schéma logique en jeu à somme nulle qui fait le quotidien de chaque instant de votre vie, tout vous amène à croire qu’elle est plate, mais vous savez bien parce que vous êtes instruit qu’elle est ronde.

Les faits sont têtus. Les prévisions des ressources cornucopiennes illimités sont prouvées, les prévisions des tarissements des ressources naturelles ou Malthusiennes ne se sont jamais réalisé. Pas une seule fois.

La ligne de raisonnement Malthusienne des ressources naturelles sont contredites par les faits intangibles: les approvisionnements mondiaux en produits de base industriels n’ont pas diminué à l’ère industrielle, mais ont au contraire augmenté. Nous savons que ce fait est vrai car les prix des produits industriels ajustés en fonction de l’inflation sont beaucoup plus bas aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a près de deux siècles .

La baisse des prix est un puissant indice de l’augmentation de l’offre par rapport à la demande. Ainsi, malgré l’énorme augmentation de la demande de produits industriels (alimentée à la fois par la croissance économique et la croissance démographique) au cours des deux derniers siècles, la chute des prix réels des produits industriels indique une augmentation colossale de leur offre.

Le paradoxe : la croissance économique crée et augmente les ressources à l’inverse des utopies de décroissance.

Voici une implication encore plus étonnante et paradoxale des théories démontrées cornucopiennes: la croissance économique empêche l’épuisement des ressources au lieu de les engendrer.

La croissance le fait en nous enrichissant et, par conséquent, en nous accordant plus de temps et de moyens pour l’éducation des personnes qui appliqueront leur esprit à la tâche de trouver des moyens de produire des résultats en utilisant moins de matières première ou de trouver et d’extraire des ressources.

La croissance économique nous libère du piège malthusien. Cela permet ainsi à un nombre croissant d’esprits créatifs de survivre à l’âge adulte, puis d’interagir les uns avec les autres. Cette interaction croissante des esprits humains est elle-même créative car, à mesure que différentes idées se font concurrence et coopèrent, des idées nouvelles et meilleures se forment.

Alors maintenant quand vous entendrez un écolo, un décroissant, un gauchiste, un journaliste, un prof, un intello vous parler de réduction des ressources naturelles, vous saurez que cette personne ne connaît pas la science économique et ne pense qu’en jeu à somme nulle.

Vous prendrez aussi conscience que ces gens nous dirigent et nous influencent pour dépenser notre argent en direction de chimères. Vous pourrez aussi penser que ceux qui disaient que la terre était ronde, étaient minoritaires, mais avaient raison…

Vous verrez expliquer les réserves cornucopiennes a des gens qui croient que les réserves sont naturelles, c’est comme expliquer à l’archevêque de Paris que dieu n’existe pas.

C’est tellement remettre en cause son shéma de pensée quotidien.

Pour aller plus loin :

Video (Français) Pourquoi, selon Julian Simon, nos ressources sont-elles illimitées ?

Video (Anglais) Julian Simon explique sa compréhansion des ressources et du développement humain

Video Anglais) Julian Simon explique pourquoi les ressources ne dépendent pas de la nature.

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Transition énergétique. Une planification collectiviste que Mao ne pourrait pas renier

Le zèle de la France sur la lutte contre le CO2 est une folie furieuse. Une absence de raison evidente. Une hérésie totalitaire digne des plus grandes planifications communistes.

La transition énergétique. Une destruction économique à grande échelle pour une hypothèse générée par une modélisation tirée par les cheveux. Ce que nous sommes certains de réaliser avec la transformation énergétique, c’est une perte économique de plusieurs milliards pour les Français, un endettement massif, des taxes disproportionnées, la non linéarité de notre production énergétique, les fondements de notre industrie, et la remise en cause de notre système social, ainsi que la destruction de notre paysage.

Vous pouvez faire le parallèle avec les plans quinquennaux de Mao du grand bon en avant, ou une élite « sait » et vous impose de changer votre vie.

En Chine, la planification du grand bon en avant, sous Mao Tsé thoug , l’élite et l’établishment avaient décidé que les petits oiseaux c’était le mal absolu. Il fallait les détruire. C’étaient des nuisibles. Et croyez le, comme aujourd’hui, les sources d’information en 1958 vous en faisaient le sermon quotidien. En France, les gauchistes Français vantaient les mérites de la planification d’état Chinoise comme aujourd’hui ils vantent les planifications etatistes. La diabolisation des oiseaux était à son paroxysme.

Le résultat fut l’inverse de l’espéré, une destruction de l’économie rurale car sans oiseaux, d’autres nuisibles avaient pris la place pire qu’eux.

Ne voyez vous pas le parallèle avec le pétrole ?

Le pétrole, c’est pour l’etablisment le mal absolu. Il faut le détruire, c’est un nuisible. La diabolisation est a son paroxysme. A la place vous aurez des éoliennes non constructibles sans un subventionnement ou un passe droit, et qui produisent une électricité à 82€ le MW/h alors que le prix de marché moyen européen est à 45€ le MW/h.

Ne voyez vous pas le parallèle avec le grand bon en avant ? Un parallèle entre les fours à acier en Chine que l’on retrouve aujourd’hui dans les campagnes et ces éoliennes qui poussent partout et qu’on retrouvera demain rouillées. Une population mise a contribution auquel l’élite avait décidé que la production d’acier était le Graal. Chaque personne devait jeter dans des fours ses gamelles pour produire un acier de si mauvaise qualité qu’il ne valait rien, comme aujourd’hui vous êtes imposé à participer à la production d’éoliennes.

Savez vous qu’on ne sait rein du réchauffement climatique. Rien de rien.

La concordance entre accroissement du CO2 et réchauffement est supposée corellation. Mais concordance n’est pas corrélation. Voire corrélation à l’envers, le réchauffement faire produire plus de CO2.

Une hypothèse ou c’est fourvoyé l’élite, l’etablishment les partis et leurs églises les médias et leurs sermons quotidiens.

Reposer pragmatiquement la question de l’influence du CO2 sur le climat a tellement d’implications et d’intérêts pharaoniques que le débat est atomisé, écrasé par les intérêts de la nomenklatura d’état.

Chacun peut remarquer que remettre en cause l’hypothèse modélisée du GIEC, c’est comme expliquer au Cardinal de Paris que dieu n’existe pas.

Imaginez la caste devant la destruction économique, les milliards dépensées en pure perte de la « transition énergétique » leur démontrer que cette planification d’état est une planification de type communiste, que Mao ne renierait pas.

Les implications sont terribles si nous revenons au pragmatisme, et que nous prenions les modèles théoriques du GIEC pour ce qu’ils sont.

Des modèles hypothétiques empiriques et aucunement une certitude ou une réalité…

Le climat et les températures ont tellement d’agrégats, que le prévoir, c’est comme demander de prévoir l’économie et la parité du dollar en 2050.  Des nobels en économie refuseraient car ils n’auraient la prétention de le deviner.

L’élite c’est fourvoyée, en prenant ces hypothèses pour argent comptant. Elle engendre un tel impact économique social qu’elle ne pourra jamais l’admettre. Leur remise en cause est totale.

 

La plupart des gens comptent sur les médias pour avoir leur opinion sur le dioxyde de carbone (CO 2 ) dans l’atmosphère. Les reportages en 1986 indiquaient qu’en 1990 serait le début de l’apocalypse. Bien évidemment cela ne c’est pas produit.

Une large majorité croit encore à la peur du CO 2. 

Il n’existe toujours aucune preuve du prétendu réchauffement de la planète par le CO 2 de l’homme.

Même si l’on adopte les hypothèses, il n’y a rien d’autre que des hypothèses.

La politique Française de transition énergétique visant à éviter les émissions anthropiques de CO 2n’a aucun sens. Cela entraîne des charges folles, autodestructrices, Une destruction en règle de l’économie Française, du pouvoir d’achat des Français, de la nature et les paysages. 

Il s’agit d’un préjudice économique de plusieurs milliards d’€euros, à grande échelle donc l’impact est terriblement négatif.

Pas d’augmentation de la température globale du CO 2 au cours des quinze dernières années

Selon les données officielles, il n’y a pas eu d’augmentation globale de la température au cours des quinze dernières années, ce qui peut être attribué aux émissions de CO 2 . 

 

Il y toujours eu des fluctuations de température dans l’histoire de la terre.

Les variations de température de l’atmosphère ont toujours existé de manière considérable dans les temps pré-industriels. Il y avait des périodes de glace et des périodes chaudes. La science attribue cela aux éruptions solaires et au magnétisme, à l’activité volcanique, aux modifications de l’inclinaison de l’axe de la Terre, à la formation de vapeur d’eau et de nuages, au méthane, aux courants océaniques, aux rayonnements cosmiques, etc. 

Même aujourd’hui, ces facteurs sont erratiques, en partie rectifiés, en partie contraires à la température de l’atmosphère. Même si le CO 2 , qui n’a pas été prouvé, a un effet sur la température, il serait noyé sous l’effet de tous les autres facteurs.

 

Fluctuations également dans la proportion de CO 2 naturel dans l’atmosphère

Même la grande majorité du CO 2 naturel a toujours fluctué considérablement dans le passé. En manipulant la très faible proportion de CO 2 anthropique, aucune influence notable sur la température de l’atmosphère ne peut avoir lieu en relation avec les fluctuations de la proportion nettement plus importante de CO 2 naturel et les fluctuations aléatoires des autres facteurs déterminants pour le climat.

Incidemment, l’effet de refroidissement provoqué par la réduction de CO 2 risquerait de se produire précisément lorsque la nature reviendra au refroidissement.

 

Un modèle économique scientifiquement déguisé

La thèse a été établie pour la première fois en 1988 par le politicien et homme d’affaires Al Gore avec un certain nombre de co-investisseurs liés aux cercles onusiens. 

Dès le début, les thèses du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) se caractérisaient par un manque de caractère scientifique et une contrefaçon flagrante. Cela a commencé avec la mission fondatrice du GIEC, unilatérale, non illimitée et donc non scientifique.

Manipulations, contrefaçons, réinterprétations au nom d’une prétendue science

Le « mensonge de la courbe en forme de crosse de hockey », connue sous le nom de « Climategate » sont des manipulations sur ordinateur d’une manière très peu scientifique.

 

Aucune majorité de scientifiques ne décide du bien ou mal,

On le répète encore et encore, les 97% des scientifiques qui ont accepté la thèse du CO 2 n’ont rien a voir avec la recherche sur le climat.

Richard Tol, professeur des aspects économiques du changement climatique à l’Université d’Amsterdam, a mené une enquête approfondie sur la source de cette affirmation et a découvert qu’elle était totalement folle.

Pour avoir une place dans un université ou obtenir un financement universitaire, faire partie d’une pétition du GIEC est un avantage pour les scientifiques signataires.

Qu’un nombre de scientifiques qui croient que quelque chose est correct ou faux, n’a pas de valeur scientifique. Ce qu’il faut, c’est une démonstration scientifique pas un avis moral sur un sujet hors de vos points de compétence.

Les déclarations stupéfiantes des membres du GIEC. Le Professeur Steven Schneider, un auteur principal du GIEC, c’est exprimé publiquement avec ces propos

« C’est la raison pour laquelle nous devons annoncer des scénarios de poursuite de l’horreur, faire des déclarations dramatiques simplistes et ne pas mentionner nos doutes. Pour attirer l’attention, il faut des déclarations dramatiques et aucun doute sur ce qui est dit. Chacun de nous chercheurs doit décider dans quelle mesure il veut être honnête ou plutôt efficace. « 

Vous trouvez cette manière de présenter les choses scientifique ?

 

 

La pétition Lindzen de 300 scientifiques indépendants 2017 qui ont averti Trump

Des centaines de scientifiques indépendants, dont plusieurs lauréats du prix Nobel, ont protesté à plusieurs reprises contre ces thèses du GIEC. Cela est particulièrement clair dans la pétition du 23 février 2017 de 300 scientifiques américains indépendants dirigée par le célèbre professeur du MIT Richard Lindzen :

« Le dioxyde de carbone est un engrais végétal et non un poison »

 

« Nous soutenons des contrôles efficaces, abordables et directs, des polluants environnementaux courants, mais le dioxyde de carbone n’est pas un polluant. Au contraire, il existe de nombreuses preuves claires et sans équivoque que l’augmentation des niveaux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est très utile pour l’environnement afin d’améliorer les rendements des cultures et de mieux faire pousser d’autres plantes qui constituent la source de nourriture pour toute la vie. C’est un engrais végétal et non un poison « .

 

Cela a peut-être contribué à ce que les États-Unis a annoncé qu’ils se retiraient de l’Accord de Paris afin de disposer d’une marge de manœuvre suffisante pour le CO 2 , tout en approuvant l’émission de polluants environnementaux réels avec des lois sévères et, comme on le sait depuis la crise du diesel, des mesures d’application rigoureuses empêcher savoir. Les Américains ont choisit ! La lutte contre la pollution, pas contre le CO2.

 

Les milliards gaspillés par une élite Française trop zélée.

Les grandes nations comme les États-Unis, la Chine et l’Inde se comportent différemment de l’Europe et la France.

Étant donné que le gouvernement américain et d’autres grands États, tels que la Chine et l’Inde, sont passifs en ce qui concerne le CO 2 , il n’y a aucune raison de penser qu’ils seraient totalement indifférents aux conséquences négatives des émissions de CO 2 assumées par les alarmistes, sciemment et volontairement, exposer leur peuple et leur avenir à des dangers tels que les alarmistes les associent au CO 2 .

 

L’accord de Paris ne limite pas les émissions de CO 2

Contrairement au Protocole de Kyoto, qui prévoyait une limitation quantitative des émissions de CO 2 mais dont l’omission n’était nullement pénalisée, l’Accord de Paris ne prévoit plus de restriction quantitative. Sinon, peu de pays auraient adhéré.

Chaque membre doit simplement faire des déclarations qui sonnent bien, sans se soumettre à aucune restriction sérieuse. 

Comme dans le protocole de Kyoto, ils n’ont aucun risque à craindre s’ils n’atteignent pas leurs propres objectifs quantitatifs.

2 ans après l’accord de Paris, aucun pays signataire a tenu ses engagements. La honte suprême, Les USA qui ont refusé de les signer eux ont diminué leur rejets de CO2, c’est dire si c’est comique.

 

 

Dans son zèle aveugle, l’Europe et la France en particulier deviennent de plus en plus solitaires.

La question du CO 2 et de la protection du climat est abordée presque quotidiennement dans les médias. Il domine la politique. Il affecte massivement l’industrie automobile, le secteur de l’énergie, la classe moyenne et les consommateurs, et détruit la nature et le paysage. 

Un tel zèle aveugle est inconnu dans la plupart des autres pays. Les Pays-Bas viennent de cesser de promouvoir l’énergie éolienne. L’Espagne et la République tchèque n’investissent plus dans les énergies alternatives et la Suède envisage de revenir au nucléaire,

La transition énergétique en France est la seule au monde a réduire une industrie qui ne produit pas de CO2 pour le remplacer par un fardeau d’énergie aléatoires aussi dramatique.

La France stupéfié et la France aliénée

La France stupéfiée est en train de voir son travail, son pouvoir d’achat et ses libertés s’estomper, pendant que la France aliénée des villes bobos est aveuglée par l’idéologie.

Il est certain que la France est en train de détruire son industrie énergétique performante et la compétitivité de ses entreprises.

D’autres États ne se feront pas autant détruire par leur élite pour le CO 2

Les grands pays industrialisés, tels que les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon et d’autres pays dotés de capacités de recherche physique et météorologique solides ne compromettront pas la croissance économique et la compétitivité internationale en limitant les émissions de CO 2 . 

Le CO 2 n’est pas nocif, mais qu’il a des effets bénéfiques sur la végétation. C’est l’une des raisons pour lesquelles tous les efforts Français de réduction des émissions de CO 2 sont inutiles et vides de sens.

 

64 pays construisent en 2018 de nouvelles centrales électriques au charbon

Voici un exemple actuel : il y a actuellement plusieurs centaines de centrales au charbon en construction dans 64 pays, les mines de charbon se rouvrent partout dans le monde et on emmerde la liberté de circulation des Français.

C’est irresponsable.

La France élitiste poursuit la destruction de son économie dans une planification de type communiste

Avec l’élimination de la production d’électricité traditionnelle au moyen de l’énergie renouvelable, les anciens partis et l’élite veulent également poursuivre la destruction du fonds de roulement du pays par milliards, la destruction de la la capacité nucléaire moderne engendrera pénuries et coupures électriques.

Cela représente des centaines de milliards de dollars de dommages, au détriment des contribuables et des consommateurs, alors que d’autres pays développent cette capacité à grande échelle.

 

En résumé :

La transition écologique, énergétique et la lutte contre le CO2 est motivé par des statistiques hypothétiques modélisées dans des conditions extrêmement obscures et fondé sur la manipulation par la peur.

Il n’existe aucune preuve concluante et scientifiquement reconnue que les émissions de CO 2 ont une incidence importante sur la température de l’atmosphère. Les affirmations non prouvées de scientifiques et d’institutions proches du GIEC sont contredites par les conclusions contradictoires d’au moins autant de scientifiques indépendants et de lauréats du prix Nobel.

Les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon et l’Inde, leurs habitants ne sont pas harcelés ni obligés d’entrer dans une guerre pour réduire leurs émissions de CO2

En vertu de l’Accord de Paris, les principaux pays industrialisés tels que les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon et même l’Inde n’ont pris aucun engagement convaincant en matière de réduction des émissions de CO 2 et n’ont aucun moyen de les inciter à le faire. 

Dans les sciences empiriques, le principe selon lequel celui qui supporte la charge de la preuve repose sur des affirmations ou des thèses s’écartant d’une connaissance antérieurement valide. Il doit donc prouver ses thèses de manière scientifiquement reconnue ou falsifier l’état des connaissances. 

Par conséquent, les représentants de l’état actuel des connaissances ne sont pas obligés de réfuter de nouvelles thèses, car cela constituerait un renversement inadmissible de la charge de la preuve. 

Les alarmistes du climat sont incapables de fournir des preuves de la catastrophe climatique causée par le CO 2 anthropique depuis trente ans. Ce qu’ils offrent ne sont que du vulgaires modèles. 

Les modélisations ne sont pas des preuves. Il est doncirresponsable de mener des politiques énergétiques et environnementales aussi vastes et irréversibles sur une base aussi fragile. 

Maintenant, il s’agit de prévenir et d’arrêter de dégâts et de faire prendre conscience que le pays est devenu un pays collectiviste dirigé par une nomenklatura hors sol.

L’une des principales leçons de notre histoire, qui a vu tant de millions de vies innocentes sacrifiées dans le cadre de programmes visant à améliorer le sort de l’humanité, est la suivante : méfiez-vous de l’élite et des intellectuels.

Ils doivent faire l’objet d’une suspicion particulière lorsqu’ils cherchent à imposer des solutions collectivistes. Jamais rien n’est sorti de bon.

 

 

Pour aller plus loin :

Coût réel de l’énergie éolienne

Pétition lindzen

Rapport de l’ONU Rapport de l’ONU sur les changements climatiques : un choix entre « Mad Max et Hunger Games »

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Robert n’est pas dans la cible

Voici donc la réponse du gouvernement à la fiscalisation à outrance de l’état de la voiture et des taxes : des subventions.

 

Robert vit dans un village de montagne, il est artisan savonnier. Il fabrique du savon local et des cosmétiques dans son atelier et va le vendre aux marchés touristiques et marchés locaux dans les grandes villes, il a aussi quelques magasins de commerce local et de souvenirs comme clients. Il paye ses impôts, il a une famille des enfants, il n’est pas pauvre, il n’est pas riche. Il n’emmerde personne et il a une bonne reconnaissance sociale à travers ses amis, ses clients, son entourage et ses relations. Il ne fait pas de politique, il n’a pas le temps.

 

Robert vit aussi avec son époque, c’est un artisan moderne aussi, il a un petit site Internet marchand qu’il gère seul.

Ce n’est pas Amazon ou Cdiscount, mais ça participe à consolider son chiffre d’affaire, surtout l’hiver ou les marchés ont moins de touristes et les déplacements pour exposer ses savons ne sont pas toujours rentables.

 

L’activité de Robert est saisonnière. L’été quand les touristes sont là, c’est le plein boom, il fait plutôt du commerce. L’hiver le chiffre est plus bas et il réalise plus de fabrication.

En fait son bilan indique qu’il est rentable 6 mois sur 12. Les mois d’hiver, il travaille à perte et en été il doit générer assez de trésorerie pour vivre l’hiver.

Le carburant est pour lui une dépense contrainte et indispensable qui le désenclave de son village. Il est à bout des taxes, que des Énarques suffisants lui ont mis dans le pif.

 

Voici donc les mesures d’Édouard Philippe pour l’aider.

« surprime » à la conversion automobile

Il a un 4×4 Robert. Un Toyota pick-up hard-top de quelques années. Il faut dire que dans un village de montagne, pour transporter du savon sur des routes enneigées l’hiver, une voiture électrique, un vélo électrique ou la marche à pied ça ne fonctionne pas.

Là ou une voiture classique a une durée moyenne de vie de 10 ans, un 4×4 dépasse souvent les 20 ans. C’est du à la conception, à la résistance de ce type de véhicule.

Son véhicule est diesel de 5 ans.

Non, là ou il vit il ne prendra pas une Clio ou une voiture électrique. Ce serait s’acheter des problèmes. Pour lui le Pick-up est indispensable. Alors non il ne changera pas celui ci. En plus il vient d’investir dans un aménagement hard top de celui-ci, il n’a pas de trésorerie disponible pour changer de voiture.

La belle subvention de la prime à la conversion. C’est pas pour lui.

 

-Indemnité kilométrique élargie pour les gros rouleurs.

Il faut dire qu’avec les lacets en montagne, il roule Robert. Des kilomètres il en fait.

L’indemnité kilométrique, c’est ce truc qu’on rempli sur la feuille d’impôt et qui nécessite de prendre en compte ses frais réels.

Les frais réels sur une feuille d’impôt, c’est le bâton pour se faire battre. C’est le genre de truc qui te fait remarquer du fisc et qui te fait passer pour un dépiquant tueur d’enfant si tu calcules mal. Une case à se faire redresser fiscalement et prendre plein de pénalités.

Dans la réalité concrète, 50% de ceux qui pourraient bénéficier des déductions kilométriques y renoncent. En plus l’indemnité kilométrique est élargie que pour les petites voitures à bobo parisien.

Vous imaginez Robert avec une Twingo pour porter son étalage de savon au marché ?

La belle subvention de l’indemnité kilométrique. C’est pas pour lui.

 

-chèque énergie élargi

Le chèque énergie est une subvention pour les opportunistes. Ça concerne les gens qui gagnent mois de 7700€ par an et c’est pour leurs frais de chauffage. En France 75% de ceux qui y ont droit ne le savent même pas ou n’y ont pas recours. C’est juste un fichier pour pauvres. Un genre de concept affligeant étatique qui fait bien comprendre bureaucratiquement aux pauvres qu’ils sont pauvres.

Le chèque énergie. Ce n’est donc pas pour Robert.

 

-Le chèque carburant à la charge des régions.

C’est une somme de 20 euros par mois accordée sous condition de ressources par la région aux salariés, sous conditions.

Pas de chance Robert. C’est un chèque a discrimination de population. Il n’est réservé qu’aux salariés et fonctionnaires. C’est pas possible pour les indépendants, les artisans.

Un joyeux concept de l’inégalité professionnelle.

Il a pas de chance Robert, il n’y a pas droit.

 

Une prime à la casse pour remplacer la chaudière au fioul.

Robert il a une chaudière à fioul. Ici en haut de la montagne pas de gaz. Alors par quoi, la remplacer la chaudière ? Il n’y a que l’électricité.

La prime nécessite une transformation par un professionnel. Robert, pour monter 10 radiateurs et quelques prises électriques, avec ses doigts en or, en une matinée il les monte des radiateurs électriques. Un professionnel, pour lui c’est n’importe quoi. Il va mettre moins de temps à les poser qu’a déposer un dossier bureaucratique. Il a pas besoin qu’on lui dise quoi faire Robert. Il a depuis longtemps pesé le pour et le contre du chauffage au fioul. Personne ne pose dans sa buanderie une cuve à fioul pour le plaisir ou la décoration.

Le problème avec l’électricité, en montagne, le poids de la neige sur les sapins fait tomber ceux-ci sur les fils électriques. Chaque année Robert a droit à sa coupure électrique. Ici c’est pas Paris, l’accès avec 25 cms de neige sur la route, les réparations de remise en route ça peut demander plusieurs jours. En plus la chaudière à fioul de Robert, elle fonctionne très bien.

Non décidément, Robert il n’y aura pas droit à la subvention.

 

Alors qu’en retenir ?

Que Robert ne réclame rien. Mais qu’il en a raz le bol que l’état vienne l’emmerder pour dilapider le pognon en subventions à la con.

Que toutes ces subventions soi-disant pour inciter à mieux consommer l’énergie sont surtout une motivation a chercher des petits privilèges par l’état.

Cela signifie que l’état crée des incitations à se faire subventionner au lieu d’inciter à travailler.

Que l’opportunité d’être dans la bonne cible est plus payant que de gagner l’argent par son travail et être autonome.

Qu’au lieu de modifier les choses, les subventions ne créent qu’une inflation de demandes, et de taxes pour les couvrir.

Triste France qui forme à pleurer sa subvention, triste élite décalée, triste état, triste soviétisation de la société

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Les oubliés de la politique. Les gens autonomes et responsables.

Si la politique reflète des valeurs largement défendues, beaucoup ne s’y reconnaissent plus.

Les gens autonomes ne peuvent pas passer 40 heures par semaine à étudier les modalités de toutes les politiques proposées à tous les niveaux.

De l’état et par les médias, ils sélectionnent principalement que ce qui reflète leurs préoccupations et leurs priorités éducation, famille, mais surtout le travail.
Les politiques macro-économiques de croissance ou de redistribution des revenus les laissent dubitatifs.
Ces gens oubliés veulent être autonomes, libres. Ils veulent des fonctions reconnues ou des emplois décents.
Ils sont responsables de leur vie, de ce qui leur arrive et ne se défaussent pas et n’accusent jamais ou rarement le «système» ou des forces extérieures de leur sort.

Une personne responsable ne fait confiance à personne pour s’occuper de lui plus que lui même. De la société actuelle ils constatent le contraste avec eux. Ils sont tristes et déplorent l’énorme manque de responsabilité personnelle et individuelle qui manque à beaucoup de gens.
Ils ne sont pas socialistes, ils ne sont pas un produit de son environnement. Ils créent eux même leur propre environnement.
Pour eux vous êtes responsable de votre vie…
Si par exemple vous ne pouvez pas trouver d’emploi, vous devez peut-être économiser pour changer de domaine, déménager, vous remettre en question, prendre intellectuellement en charge la prise en compte de vos lacunes et votre correction individuelle dans une remise en cause.
Mais certainement pas le spectacle quotidien de se lamenter pitoyablement sur son propre sort.

Pour eux, vous ne pouvez compter sur personne réellement sauf à la marge ou en agrégats. Vous devez pouvoir le faire vous-même et personne ne vous traitera comme vous voulez être traité.

Cette perspective est admirable pour ce qu’elle dit sur la force de caractère de l’individu, mais nuancées sur la foi en la communauté. Ils sont profondément cyniques à propos de leurs représentants élus.

Ils se plaignent du baratin et de promesses auxquelles ils ne croient pas ou plus. Pour eux la politique n’est qu’une mauvaise blague.
Beaucoup hésitent à discuter de politique, sachant à quel point le sujet peut diviser. Quand ils expriment une opinion politique, cela a généralement trait à l’inefficacité, au manque de confiance et à l’absence de toute réalité des gouvernants.

Ils sont humiliés et pris pour des enfants tous les jours par l’état et les castes non-autonomes.
-On réduit la vitesse à 80, on taxe le carburant? Eux sont les premiers à subir.
Ils ont besoin d’un véhicule pour rouler. On invoque le nombre de mort sur les routes pour les contraindre. Mais eux mêmes s’ils roulent à 95 au lieu de 90, ils n’ont jamais tué personne et mis en danger autrui et s’arrêtent au feu rouge.
-On veut taxer le sel, l’alcool ou les sodas. Eux sont les premiers à payer et subir.
Eux ne mettent pas leur santé en jeu. Ils mangent des schips, boivent du coca, ou une bière les jours sans excès, comme aussi des tomates locales ou du jardin et de l’eau. Ils n’ont besoin de personne pour leur dire de bien manger, mais c’est pas pour autant qu’ils vont se priver de tout.

-On surtaxe leur électricité, leur gaz. Eux sont les premiers à payer et subir. Mais eux font attention et ferment la lumière quand ils sortent d’une pièce et n’utilisent pas plus d’eau chaude .

-Le gouvernement taxe pour remplir des déficits qu’il creuse jours après jours. Eux sont les premiers à payer et subir.
Mais eux savent gérer leurs budgets. Ils ne sont pas à découvert. Ils savent économiser et dépenser à bon escient. Ils ont rarement besoin d’un crédit, et s’ils en ont un, il est remboursé rubis sur l’ongle. Le comportement des politiciens de dépenser plus qu’ils ont, leur est inconcevable.

-Pour eux les aides sociales sont nécessaires pour certaines parties de la population, pour les handicapés, les gens touchés par une intempérie ou un malheur.
Les cotisations sociales augmentent directement et indirectement. Ils sont les premier à subir.
Mais eux n’ont jamais abusé. Il n’ont jamais de leur vie été quémander au médecin un arrêt maladie de complaisance. Ils s’auto-soignent pour les petits rhumes et payent eux même le sirop pour les remettre d’aplomb . Ils vont voir le médecin que, et uniquement que si c’est nécessaire. Ils ne lui demandent jamais d’ajouter une boite de doliprane à l’ordonnance pour bénéficier de paracétamol sur le compte de la société en réserve chez soi.

-Ils sont carrément hostiles à ce qu’ils considèrent comme le profit indécent sur le social. Ils sont les premier à comprendre que c’est eux qui le payent et le subissent.
La personne qui fait un autre bébé pour obtenir plus d’argent alors qu’elle n’ai pas capable de faire vivre décemment ses premiers les choque.
Le HLM donné à un migrant alors que ce dernier ne veut pas vivre à l’Européenne les choque.

Mais il y a une chose qui les choque le plus, c’est le socialisme et la sociale démocratie subie, c’est son fruit: la résilience du sens des responsabilités.

Eux ont une attitude positive et un sens des responsabilités face à des situations de crise qu’ils subissent. Eux sont invisibles. Ils ne se plaignent pas.

Mais ce qui est grave, c’est que ces gens soient les oubliés.
Aucun politicien ne fait rien pour leur permettre d’améliorer leur vie, leur vie leur autonomie.
Au contraire, c’est sur eux que les gouvernant depuis des années s’acharnent.
Les politiciens, sont des décalés de leurs réalités.

Ils ne s’aligneront pas sur des valeurs collectivistes. Ils ne veulent pas être transformés ni « moulés » dans un gloubiboulga ou on leur dit comment il faut penser ou vivre. Ils savent ce qui se passe dans la vie quotidienne des gens normaux car eux ce sont des gens normaux.

S’ils se méfient des gouvernants et de l’état, c’est qu’il fait tout le contraire de leurs valeurs intimes de vouloir l’autonomie, la liberté et la responsabilité.
En fait ce sont des gens ordinaires oubliés de politiciens déconnectés et politisés qui veulent transformer leur vie au lieu de s’adapter à eux et se remettre en question.

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Le GIEC. Plus c’est gros, plus c’est con plus c’est anxiogène plus ça passe !

Fakes news vous matraqueront ils. En France dans les médias on a remplacé les religions par des sermons sur le réchauffement.

« arguments fallacieux » et « douteux » comme argument d’autorité vous diront ils avec des liens dans des journaux qui portent la bonne parole intouchable, pour balayer les critiques sur laquelle repose leur idéologie de contrainte sur les autres.

Le déni à tout prix.

Il est plus facile pour eux de diaboliser et négationner les critiques que de répondre à tous les arguments point par point ou à la marge.

Ils font beaucoup d’effort pour vous le matraquer de vous dire de ne pas prendre en importance ce qui conteste leur bible..

La température de la surface de la mer représente 70% de la surface de la Terre, mais les mesures proviennent de navires qui se trouvent dans des ports absolument pas représentatif de la haute mer.

C’est un argument fallacieux ? As t-il été inventé ? Une fake news ?

Oui ou non ?

Bien sur que non !

Ils saliront la source « pas fiable à leurs yeux », Ils censureront. Ils feront tout pour refuser le débat et pas que cela sorte. Le lobbying ecolo-faschiste a déjà commencé comme ici ou aucun argument contradictoire réel et donfirmé n’existe.

Discréditer les sources, c’est plus facile pour eux que de répondre aux arguments.

Lâchez votre intolérance, les ecolo-faschistes et gauchistes, vous avez trouvé la résistance à vos balivernes et mensonges ubuesques sur votre nouvelle religion.

Vous avez chaque matin les 98% de journalistes de gauche pour vous, qui vous le matraquent matin, midi et soir. C’est forcément parole d’évangile cette bible GIEC, C’est certainement le Dieu Vert de gris qu’il l’a écrit. C’est incontestable. Puisqu’on vous le dit à la radio, c’est que c’est vrai. Puisqu’on vous dit que les infos contradictoires c’est Satan.

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques des Nations Unies a donc annoncé dans un nouveau rapport que le monde n’avait que 12 ans pour opérer des changements radicaux.

Le concept des rapports du GIEC est a peu près le même principe anxiogène pour se faire publier et disposer de buzz.

Un scénario catastrophe et des échéance catastrophiques. Cette fois ci, tremblez braves gens vous allez mourir dans d’affreuses souffrance et dixit le rapport « sans précédent en termes d’échelle », « il faut réduire le réchauffement climatique ou de subir une catastrophe climatique irréversible ».

Ce dernier rapport affirme que si les nations du monde ne prennent pas de mesures majeures pour réduire les émissions de carbone, nous manquerons la dernière occasion de réduire la hausse des températures, en signant essentiellement l’épitaphe de la mort de l’humanité. Rien de moins.

Les médias sont consternés. Bourdin, Apathie et les joyeux journalistes intello-bobos chaque matin vous présentent les premiers de la classes du lobby des écolo-faschistes avec des questions bien mielleuses, avec des question bien anti-libertés systématiques du genre « mais qu’attendez vous ̶p̶o̶u̶r̶ ̶s̶u̶p̶p̶r̶i̶m̶e̶r̶ ̶d̶e̶s̶ ̶l̶i̶b̶e̶r̶t̶é̶s̶ pour faire quelque chose » ?

Gare à la caricature de celui qui dit « : rien à ce sujet » ou c’est de la « niaiserie pour bobos ». Il sera caricaturé et en général les contradicteurs ne seront jamais invités. Et s’ils l’étaient, ils seraient catégorisés.

C’est comme critiquer un noir vous êtes classé raciste, critiquer un étranger classé xénophobe, se prétendre libéral, classé matérialiste, critiquer un choix social, classé d’être inhumain, etc… Ne pas être de gauche, dans les professions diplômées de sciences humaines et sociales c’est subir la diabolisation.

Le rapport de l’ONU préconise de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degrés au cours des 10 prochaines années.

Pour atteindre cet objectif, les gouvernements doivent bien sûr apporter des modifications « rapides et profondes » à leurs industries énergétiques en passant à des sources d’énergie renouvelables et en supprimant progressivement la production de charbon, tout en obligeant les constructeurs automobiles à augmenter la production de voitures électriques. Le lobby ecolo-faschiste a déjà mis en France un ministre médiatique démissionnaire démago qui nous a infligé une promesse d’interdiction totale pour 2040.

Comme les nations du monde peuvent réduire leurs émissions de carbone d’un million de tonnes par an, le rapport de l’ONU note que le dépassement de l’objectif de température nous mettra tout de même sur la bonne voie pour sauver la planète, à condition que tout le monde colle au plan d’ensemble.

Ce dernier rapport sur le climat suit le concept intello gauchiste qui consiste à utiliser le changement climatique comme voie vers le socialisme mondial pour amener les gouvernements souverains et l’économie internationale à s’appuyer sur une cabale marxiste qui dicterait ce que les pays peuvent fabriquer et ce que les gens peuvent acheter et comment. Hier ils utilisaient l’excuse « sociale », mais comme les pays socialistes ont tous fait faillite, ils ne se déclarent plus « socialistes » mais « écologistes » et l’excuse de contrainte sur les individus n’est plus le social, mais l’écologie.

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Ne riez pas, vous n’avez pas le droit. Ils vous stigmatiseront. Faites simplement rappel à vos souvenirs et le parallèle de leurs prédictions.

Le rapport de l’ONU a été publié 12 ans seulement après qu’Al Gore eut déclaré qu’il ne restait que 10 ans pour sauver la planète. Vous devriez tous être morts. Vous ne l’êtes pas ?

Il y a 36 ans après que l’ONU elle-même a déclaré que nous avions 20 avant de cuire. Vous devriez tous être rôtis. Vous ne l’êtes pas ?

Dans les années 1970-80, on nous avait dit que la surpopulation et un âge de glace à venir qui épuiseraient nos ressources et provoqueraient une famine massive. Vous êtes mort de famine et congelé ? A cette époque, les conseils des intellos-bobos gauchistes consistaient pour les classes moyennes et supérieures de cesser d’avoir des enfants et de consommer les ressources.

Dans les années 1980-90, le réchauffement de la planète est devenu le nouveau coupable en affirmant que nos villes côtières seraient submergées d’ici la fin du siècle. Vous êtes morts noyés et Nice est sous les eaux ? La solution proposée ? La hausse massive des prix et des taxes pour les producteurs d’énergie et les consommateurs afin de les convaincre de réduire leur « empreinte carbone ».

story climatCombien faut il de prédictions nostradamiques du GIEC débiles et fausses pour comprendre qu’on se fou de vous ?

La gravité de prendre tous les gens pour des cons.

Tout le monde souffre dans ce climat anxiogène de peur. Quand des groupes d’experts des Nations Unies, des universités et des escrocs du GIEC exposent des scénarios catastrophiques et utilisent des données sorties du chapeau pour avertir des « dernières chances » et des « points de basculement » pour arrêter l’apocalypse, comment le public est-il censé savoir ce qui est vrai ou faux du réchauffement climatique ?

D’autres détruisent tout simplement la réputation de tout collègue qui ose remettre en cause l’évangile du réchauffement climatique. Un débat et une recherche raisonnée est l’épine dorsale d’une bonne science, et pour le GIEC n’a aucune place lorsque le véritable objectif est d’imposer un résultat ou imposer un comportement particulier à la population.

Les écologistes semblent perplexes devant le fait que les gens ne se préoccupent pas davantage de la question. Peut-être seraient-ils plus attentifs si on ne leur mentait pas si effrontément.

La base de donnée HadCRUT4 est une supercherie. Les rapports une arnaque malheureusement bien médiatisée.

La base HadCRUT4 base principale de l’ensemble de données sur la température mondiale utilisé par le GIEC pour formuler ses scénario apocalyptiques sur le « réchauffement planétaire provoqué par l’homme » est si complexe et dynamique qu’il est impossible de le modéliser ajoutées aux erreurs de données inventées et improbables, que les rapports du GIEC sont en conclusion qu’une gigantesque arnaque pour bobos gauchistes prêt à croire comme leur idéologie que l’homme doit être dominé.

Plus de 70 problèmes majeurs sont identifiés, couvrant tout le processus, de la mesure des températures à la création de l’ensemble de données, en passant par les données (telles que les moyennes) et sa publication éventuelle. Bref et en résumé. Toute la base de donnée sur laquelle travaillent les « experts » et les rapports est corrompue.

Quelques exemples des sources totalement foireuses du GIEC :

-Une station d’observation signale la température mensuelle de Colombia ville des USA à une moyenne supérieure à 80 °C toute l’année. :-))

-Une station d’observation signale qu’a l’île de Saint-Kitts, une île des Caraïbes une température mensuelle moyenne de 0°C. :-))

-En 1978, à Apto Uto Colombie, la station signale des températures moyenne mensuelle entre 81,5 °et 83,4 °C. :-))

-Une station roumaine indique une température moyenne de -46 °C en septembre et en novembre passe à +10 °C. :-))

-La température de la surface de la mer représente 70% de la surface de la Terre, mais les mesures proviennent de navires enregistrés à 100 km à l’intérieur des terres. D’autres se trouvent dans des ports absolument pas représentatifs de la haute mer. Absurde !

-Les températures pour l’ensemble de la totalité l’hémisphère Sud pour le 19eme et début 20eme siècle sont calculées à partir d’un seul et unique point en Indonésie. :-))

-En mai 1861, la couverture mondiale n’était que de 12%, l’essentiel de la soi-disant couverture mondiale provient de l’Europe, et de ses ports commerciaux. Calculer des moyennes à partir de ces données et les qualifier de « moyennes globales ». Absurde.

-Faute de données du passé, quelques stations ont donc une grande influence sur ce qui est censé être soi-disant « mondial ». Manipulation.

-Quand il n’y a pas de données entre périodes, on les invente. L’ajustement l̶a̶ ̶m̶a̶n̶i̶p̶u̶l̶a̶t̶i̶o̶n̶ des données vise à inventer un enregistrement de la température qui aurait été obtenu entre les périodes.

-La quantité de données est liée au mesures de données disponibles. La couverture globale de 50% n’a été atteinte qu’en 1906 et les données de l’hémisphère sud sont rare et se comptent sur moins que les doigts d’une main.

Une faible densité de données dissimule des hypothèses farfelues et douteuses et des données de température mal ajustées exagérèrent délibérément le réchauffement.

C’est con ? Oui c’est con !

Mais les médias vous font passer ça pour la vérité et les bobos achètent les yeux fermés.

Le calcul des températures correctes et fiables nécessiterait une énorme quantité de données détaillées, de temps et d’efforts, qui dépasse le cadre du GIEC et à moins de revenir dans le passé, certainement impossible.

La conclusion est que l’ensemble des études du GIEC montrent un réchauffement exagéré et que les moyennes mondiales sont fausses.

Dans tous les cas, un grand nombre de climatologues ont tenté, soit volontairement, soit sans le savoir, de faire avancer le programme de la gauche. Certains ont admis avoir manipulé des données pour renforcer le danger.

D’autres détruisent tout simplement la réputation de tout collègue qui ose remettre en cause l’évangile du réchauffement climatique. Un débat et une recherche raisonnés, l’épine dorsale d’une bonne science, n’ont aucune place lorsque le véritable objectif est d’imposer un résultat ou un comportement particulier à la population.

Les ONG, les groupes écolos mentent effrontément et avec une telle redondance que c’est devenu ridicule.

Scott Armstrong le sage :

En 2007, le professeur Scott Armstrong de Wharton de l’University of Pennsylvania a lancé un défi au GIEC. Parier 10 000 $ sur les températures au cours de la prochaine décennie. La proposition proposée était de comparer le modèle de réchauffement global standard du Royaume-Uni avec la prédiction d’Armstrong de ne pas augmenter du tout.

L’argent serait allé à la charité. Le GIEC a refusé le pari. Ils ont déclaré : « le GIEC ne souhaite tout simplement pas participer à un pari financier.  » . Aujourd’hui Scott Armstrong a publié les chiffres et gagné le pari. La charité a perdu 10 000$.

Armstrong ajoute que, si le GIEC n’est pas satisfait des résultats et pense qu’ils sont simplement dus à la chance, il est heureux de renouveler le pari pour la prochaine décennie.

Le GIEC n’a pas encore répondu.

Armstrong n’a jamais été interviewé par Bourdin ou France2 et le pari n’a pas fait une ligne dans le Monde ou le Figaro ou Libération.

On comprend.

Quelques sources:
https://changera.blogspot.com/2017/09/werner-munter-rechauffement-lhomme-ny.html

https://cei.org/blog/ipcc-overestimates-climate-sensitivity-study

 

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Trump Anxiety Desorder, la maladie du journaliste et des médias.

Une nouvelle maladie mentale est apparue. Les Américains la nomment la « Trump anxety desorder ».

C’est certainement la première fois que vous en entendez parler en France. Il faut dire que cette maladie touche beaucoup les médias et journalistes et quand on est dans la souffrance. Il y a des personnes qui cachent leur maladie. En l’occurrence pour les médias et journalistes, c’est le déni de réalité qui est la cause de l’absence de l’information. Être touché par la « Trump Anxiety Desorder » pour un journaliste, c’est comme une péripatéticienne qui aurait la Blennorragie (chaud de pisse), c’est incompatible avec l’hygienne du métier et pas professionnel.

C’est l’an dernier, que des psychiatres de la Harvard Medical School et de la Yale School of Medicine ont établit la pathologie TAD (Trump Anxiety Desorder).

Si la terre médiatique toute entière est touchée, on situe l’épicentre à Washington.

La thérapeute Elisabeth LaMotte du centre de conseil et de psychothérapie de Washington DC est l’une de celle qui diagnostique le plus cette maladie parmi ses clients. Elle a déclaré « il y a une «anxiété collective» qui s’est accrue depuis l’élection de Trump.» https://ijr.com/2018/07/1112538-trump-derangement-syndrome-spike/

Une pathologie de troubles anxieux TAD est spécifique à un climat sociopolitique imprévisible. Les symptômes sont « un état mental dans lequel une personne se conduit de manière exagérément folle à cause de son aversion pour Donald Trump » au point où elle abandonne toute logique et raison. Les symptômes de cette maladie peuvent être très variés, allant d’explosions hystériques à une rupture mentale complète. »

Cette maladie de l’aversion à une personne pourrait être bénigne, mais malheureusement de nombreux symptômes se manifestent dans la société. Notamment des actes d’intimidation et d’agression à l’encontre des partisans de Donald Trump au USA.

La maladie entraîne des « Refus de servir », « refus d’être agréable », « discrimination et même des violence et des coups ».

Les principaux touchés par la maladie sont les gauchistes et particulièrement les intellos de gauche. Les professions qui ne vivent pas dans l’autonomie ou la recherche d’une autonomie individuelle en dénombrent de nombreux malades.

La maladie sévit plus fortement dans les professions proches de l’état ou en dépendances de l’état et subventionnées. On note aussi de nombreux touchés dans les professionnels diplômés de sciences sociales et politiques comme les « journalistes ».

Les journalistes sont gravement « touchés » et la fréquence et l’intensité du syndrome entraîne des crises croissantes hystériques.

Il faut dire que ces crises sont grandement exacerbées par la consommation constante et sans répit de propagande haineuse dans l’entre soi d’une profession à 95% composé de gauchistes.

Aujourd’hui, les médias grand public ne sont pas les voix de la prudence et la neutralité de l’information juste et équitable, mais le total contraire, les développeurs de la maladie hystérique.

Aucun média n’est épargné même en France. De TF1 à L’express en passant par le Point et autres.

Les médias gauchistes sont eux 100% touchés. Libération, le Nouvel Obs, France2, France Inter ou l’humanité n’ont même pas un seul journaliste qui ne soit pas atteint.

Les plus grands journalistes connus sont gravement touchés. Bourdin, Appatie, Cohen, Lapix ont la TAD. Pour eux la science ne peut plus rien.

Le résultat est un mouvement de masse déterminé à salir Trump, loin de la réserve et de la réalité et complètement obsédés.

Toute cette hystérie repose sur presque rien. À la base, les médias traditionnels refusent d’accepter la perte d’Hillary Clinton. Ils ont dit qu’elle gagnerait facilement. Ils vous l’on matraqué matin midi et soir. Comment ont-ils pu se tromper tous collégialement?

Leur réponse est qu’ils ont élevé leurs clichés et leurs certitudes si haut, que la retombée sur terre leur engendre la maladie.

Si la vérité comptait pour les médias, leur récit serait le suivant: «les gens de gauche n’acceptent toujours pas la victoire de Trump». N’acceptent pas que leurs clichés soient mis en brèche.

Mais les symptômes sous-jacents du TAD sont antérieurs à l’élection de Trump, c’est juste la pathologie de gauche qui est devenue plus visible.

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Pourquoi n’y a-t-il pas aujourd’hui un État Palestinien????

Même si cela vous surprend comme réponse, elle est pourtant d’une simplicité limpide,

Les arabes ont toujours refusé cette solution.

Pas une fois, mais 5 fois !

5 fois proposé. 5 fois refusé par les arabes.

La réponse est surprenante si vous écoutez les médias, vous pensez que Israël refuse obstinément, et a toujours refusé un nouvel état.

Beaucoup pensent que si Israël permettait aux Palestiniens d’avoir leur propre État, il y aurait la paix au Moyen-Orient.

Pas vrai ?

C’est le discourt lignifiant de ce que vous entendez de partout, de l’ONU, de l’AFP, des diplomates européens, des médias et de la plupart des intellos de gauche.

Mais si je vous aviez les faits historiques entre les mains et intellectualisiez qu’Israël a déjà offert aux Palestiniens un état qui leur est propre, et pas seulement une fois, mais à cinq reprises ?

Peut être verriez vous les choses différemment ?

Ne ne croyez pas qu’a 5 reprises il ya eu une opportunité d’un état Palestinien ?

 

Passons en revue les faits historiques incontestables :

Après l’éclatement de l’Empire ottoman après la première guerre mondiale, la Grande-Bretagne a pris le contrôle de la majeure partie du Moyen-Orient, y compris de la région qui constitue aujourd’hui Israël.

Dix-sept ans plus tard, en 1936, les Arabes se sont rebellés contre les Britanniques et contre leurs voisins juifs.

 

-1936 Rejet numéro 1 :

Les Britanniques forment alors une commission d’enquête et un groupe de travail, la Commission de Lord Peel, pour étudier la cause des troubles de la région.

La commission conclu que la raison de la violence est que deux peuples, juifs et arabes, veulent gouverner et contrôler la même terre.

La Commission Peel a conclu que la solution serait de créer deux États indépendants, l’un pour les Juifs et l’autre pour les Arabes. Une solution à deux états. La division proposée était fortement en faveur des Arabes. Les Britanniques leur ont offert 80% du territoire aux arabes, les Juifs, les 20% restants. Pourtant, malgré la petite taille de leur État proposé, les Juifs ont voté démocratiquement pour accepter cette offre. Mais les Arabes l’ont rejeté et ont repris leur rébellion violente.

Rejet numéro 1. Les arabes refusent.

 

-1947 Rejet numéro 2 :

Dix ans plus tard, en 1947, les Britanniques ont demandé aux Nations Unies de trouver une nouvelle solution aux tensions persistantes. À l’instar de la Commission Peel, l’ONU a décidé que la meilleure façon de résoudre le conflit était de diviser la terre.

Le 7 novembre 1947, l’ONU a voté pour créer deux États. La Palestine devait être divisée en huit parties : trois devaient devenir des divisions juives et trois des divisions arabes. La septième, la ville de Jaffa, devait devenir une enclave arabe à l’intérieur du territoire juif, le régime international de Jérusalem, qui était la huitième division, devait être administré par le Conseil de tutelle des Nations Unies.

Les Juifs ont acceptent l’offre. Les Arabes l’ont rejeté, mais cette fois-ci, ils l’ont fait en lançant une guerre civile officielle.

Rejet numéro 2. Les arabes refusent.

 

Le conflit juifs-arabes démarre après en 1948, également nommée, « guerre de Palestine » ou « al-Nakba (« la Catastrophe ») ».

La Jordanie, l’Égypte, l’Irak, le Liban et la Syrie rejoignent le conflit au prétexte de défendre les populations arabes de Palestine.

Ils échouent. Les juifs gagnent la guerre et construisent une nouvelle nation autonome. C’est la fondation de l’État d’Israël.

La plupart des terres mises en réserve par l’ONU pour créer un État arabe, la Cisjordanie et Jérusalem-Est, deviennent alors des territoires occupés. Occupé non par Israël, mais par la Jordanie.

1948 aura 2 conséquences, qui portent encore à conséquences aujourd’hui :

-les réfugiés Palestiniens. Les Palestiniens quittent le pays sur les ordres de leurs propres chefs et dans l’espérance d’un retour. La guerre terminée, état d’Israël créé, ils se verront refuser le retour.

-L’exode des juifs du monde arabe. La vie dans les sociétés arabes deviennent plus difficile et les juifs quittent ces pays devenus hostilles aux juifs.

 

-1967 Rejet numéro 3 :

Vingt ans plus tard, en 1967, les Arabes, menés cette fois par l’Égypte et rejoints par la Syrie et la Jordanie, déclarent la guerre à l’État juif.

Le conflit de 1967, connu sous le nom de guerre des six jours, s’est soldé par une victoire stupéfiante pour Israël. Jérusalem et la Cisjordanie, ainsi que la zone connue sous le nom de bande de Gaza, sont tombées entre les mains d’Israël. Le gouvernement Israélien est divisé sur quoi faire avec ce nouveau territoire. La moitié d’entre eux ont voulu rendre la Cisjordanie à la Jordanie et Gaza en Égypte en échange de la paix. L’autre moitié voulait le donner aux Arabes de la région, qui avaient commencé à se considérer comme des Palestiniens, dans l’espoir qu’ils finiraient par y construire leur propre État.

Aucune des deux initiatives n’a été très loin. Quelques mois plus tard, la Ligue arabe s’est réunie au Soudan et a publié son tristement célèbre « Trois No »Â : « Pas de paix avec Israël ». Pas de reconnaissance d’Israël. Pas de négociations avec Israël. Une fois encore, une solution à deux États a été rejetée par les Arabes, faisant de ce rejet le numéro trois.

Rejet numéro 3 : la ligue arabe refuse.

 

-2000 Rejet numéro 4 :

En 2000, le premier ministre israélien, Ehud Barak rencontra a Camp David le chef de l’Organisation de libération de la Palestine, Yasser Arafat pour négocier un nouveau traité à deux États. le chef de l’Organisation de libération de la Palestine. Le but est de négocier un nouveau traité à deux États. Ehud Barak propose à Arafat un État palestinien à la place de la bande de Gaza et 94% de la Cisjordanie avec Jerusalem Est pour Capitale. Mais le leader palestinien rejette cette offre.

Selon les mots du Président américain de l’époque, Bill Clinton,  » Arafat resta 14 jours et dit ‘ non ‘ à toutes propositions « . Au lieu de négocier, les palestiniens lancèrent une série d’attaques suicides sanglantes tuant plus de 1000 israéliens.

Rejet numéro 4 : Yasser Arafat refuse.

 

-2008 Rejet numéro 5.

En 2008, Israël tenta de nouveau. Le Premier Ministre Ehud Olmert alla encore plus loin que Ehud Barak en allongeant le traité de paix jusqu’à inclure des territoires supplémentaires. Olmert offre un retrait quasi total de la Cisjordanie, avec un contrôle des principales colonies juives. Il propose d’indemniser les Palestiniens avec des terres israéliennes équivalant à 5,8% de la Cisjordanie, d’une route liant la bande de Gaza, à la Cisjordanie.

Il a également proposé de se retirer des quartiers arabes de Jérusalem-Est, d’en abandonner le contrôle, et de placer la vieille ville, abritant les lieux saints les plus sensibles de Jérusalem, sous contrôle international.

Rejet numéro 5 : Mamoud Abbas refuse.

 

Depuis, Israël quitta totalement la bande de Gaza, laissant aux palestiniens le total contrôle de la zone. Plutôt que de développer le territoire pour le bien de son peuple, les palestiniens transformèrent Gaza en un camp terroriste, depuis lequel ils bombardent Israël, qui réplique régulièrement.

En conclusion :

A chaque fois qu’Israël accepta la création d’un État palestinien, les palestiniens ont rejeté l’offre, souvent avec violence. Si la paix au Moyen-Orient est voulue par tous, la réponse n’est probablement pas de faire pression sur Israël pour qu’un nouvel accord d’État palestinien soit proposé. La réponse est probablement de faire pression sur les palestiniens et les pays arabes qui soutiennent pour qu’ils acceptent enfin l’existence de l’État d’Israël.

Les Palestiniens sont aujourd’hui victimes de la posture du refus systématique d’avoir un pays. N’est il pas important d’en prendre conscience?

C’est certainement pas comme cela qu’on vous avait exposé la situation dans notre presse de 90% de journalistes de gauche pro-Palestiniens par mimétisme idéologique de caste ?

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Comment le revenu de base universel a créé la main invisible du marché régulateur

Vous l’ignorez sûrement, mais le revenu universel n’est pas une invention d’un quelconque socialiste ou libéral, ni une idée moderne, mais une idée qui a été déjà expérimentée pendant 40 années à grande échelle il y a 240 ans. Son expérimentation, et les conséquences économiques au réel ont engendré la graine et les racines de l’économie moderne.

Malthus, Ricardo, Marx, Polanyi, Smith et même Nixon y ont puisé matière à débattre et en découler des lois et initiatives économiques.

1795 la première loi dite : loi de Speenhamland

Le revenu de base n’est pas une innovation. Le premier essai répertorié connu, a démarré dans les années 1790 dans le conté de Speenhamland en Angleterre.

A cette époque de guerres Napoléoniennes, le temps et la météorologie a tourné, la pluie abondante pendant quelques années de suite, (on accusait pas le réchauffement climatique à cette époque :-)) ) eurent pour conséquence une inflation sur les céréales. Le grain de blé, base de la nutrition de cette époque est devenu inabordable pour les franges de la population les moins aisées.

La pauvreté a augmenté, et même parmi les ceux qui avaient un travail et exerçaient une activité.

Une loi à Speenhamland fut édictée. Un revenu universel pour les agriculteurs, pour acheter du pain fut instauré. Elle a divisé le revenu universel en trois subventions. Pour ceux qui pouvaient travailler, ceux qui ne pouvaient pas, et pauvres oisifs et personnes handicapées.

Démarré à Speenhamland elle fut étendue à toute l’Angleterre l’année suivante.

La loi imposa que chaque homme puisse acheter trois pains de gallon par semaine (environ 4,5kg de pain), plus un pain et demi pour tous les autres membres de sa famille. Cela signifiait qu’un couple avec trois enfants pouvait ramener à la maison l’équivalent de plus de 12,5Kg de pain par semaine.

Cette loi de revenu universel dura 40 ans et eu des conséquences aux antipodes de ses buts initiaux. En 1834, un rapport de la Commission royale sur le fonctionnement des lois sur les pauvres de 1832 qualifia le système Speenhamland de « système universel de paupérisme », et en 1834 l’Angleterre mettra fin au revenu universel.

Le système permettait aux employeurs, de payer des salaires inférieurs au salaire de subsistance, aux salariés de réclamer moins, car le revenu universel compensait la différence et maintenait leurs travailleurs en vie.

L‘Angleterre toute entière, la gueule de bois, décréta que le programme avait totalement échoué et désastreux. Il fut abrogé « tout le monde était d’accord ». Un ressenti d’échec qui servit de base à la science économique Anglaise et ensuite mondiale.

La réalité, le revenu universel a engendré des effets pervers terribles, le surendettement, l’oisiveté, la dépendance, la dévalorisation de la valeur du travail la lutte des classes entre ceux qui finançaient et ceux qui recevaient sans rien faire et en aucun cas a mis fin a la misère ni offert de meilleurs revenus aux gens. Le revenu de base tourna au cauchemar, engendra un nombre de démunis encore plus grand et n’a jamais réduit la misère ou le mal vivre.

Pendant ces 40 années et après, le système a causé beaucoup de débats et monopolisé tous le politiciens de l’époque. Les commentateurs de droite déploraient que la distribution encourageait les classes laborieuses à se reproduire, cela freinait l’innovation dans l’agriculture et coûtait à la collectivité trop d’argent. Les commentateurs de gauche s’indignait du fait qu’elle fournissait aussi une subvention aux agriculteurs riches, qui étaient libres de profiter de l’inflation des biens sans répercuter les augmentations de salaires.

De ces 40 années, les grands théoriciens connus de l’économie y ont puisés des arguments.

Thomas Malthus a postulé que les subventions à la pauvreté incitaient les couples à faire des enfants, au delà du raisonnable en créant une surpopulation, et les déresponsabilisaient de leurs possibilités réelles financières de les élever.

Son contemporain David Ricardo exposa que le modèle de Speenhamland était un revenu invitant à l’imprudence, la déresponsabilisation individuelle et de l’autre dévalorisant les travailleurs manuels de l’industrie.

Adam Smith contemporain de ces années s’en inspira pour montrer l’efficience du marché et de la « main invisible ».

Karl Marx quelques années plus tard a attaqué le système Speenhamland , dans « Das capital ». il chercha à démontrer que les allocations de solidarité sont une incitation à maintenir à un bas niveau les salaires.

Bien plus tard en 1968, les économistes Karl Polanyi et Gary Bekker se sont invectivés sur l’analyse du comportement automatique de l’individu de cette période, comportement calculateur et rationnel envers toujours son intérêt.

En 1969, le président républicain Richard Nixon cherchait à conquérir les votes des gens moins aisés. Il préparait un nouveau programme radical de réduction de la pauvreté « the Family Assistance Plan », lorsqu’un conseiller lui envoya une note sur l’expérience de Speenhamland.

Nixon avait initialement prévu que chaque famille pauvre de quatre personnes en Amérique avec zéro revenu recevrait 1600 dollars par an (l’équivalent d’environ 11000 dollars aujourd’hui), plus des bons alimentaires. Le revenu disparaîtrait à mesure si le gain individuel augmente.

La seule chose qui a survécu de cette ébauche de plan fut la peur de Nixon, inspirée par Speenhamland, d’avoir été un concept pour satisfaire les pauvres oisifs. L’idée que les gens se comportent moins bien et sont moins volontaires lorsqu’ils sont protégés des conséquences.

En avril, le gouvernement finlandais a décidé de mettre en pause un programme de revenu universel de base initié en 2017 sur un échantillon aléatoire de 2 000 chômeurs âgés de 25 à 58 ans sans aucune condition.

Le ministre finlandais des Finances, Petteri Orpo, a argumenté que le programme rendait les gens « passifs ».

Que conclure du revenu universel de base ?

Les propositions de revenu universel de base échouent toujours pour de nombreuses raisons. 

L’universalité tend à diriger les ressources vers les personnes qui n’en ont pas besoin, tout en augmentant la dépendance et en diminuant le travail au sein de la population vraiment démunie.

Les exigences d’un travail rémunéré jouent sur la volonté individuelle, et aident bien plus les personnes dans la pauvreté à atteindre par eux même l’autosuffisance.

La lacune la plus apparente dans l’idée de revenu universel de base est le manque d’exigences de travail.

De plus, la grande majorité de nos concitoyens admettent mal que les gens ne soeint pas obligés de travailler en échange d’avantages sociaux.

Malgré les objectifs admirables de l’offre sur le papier du revenu universel de base, la réalité est que ce revenu réduit le travail, la volonté d’autonomie, augmente la dépendance, et surcharge le contribuable.

Quand le travail n’est, ni plus ni moins « noble » que la collecte d’un revenu universel, c’est toute la prospérité générale qui s’écroule.

Le revenu universel de base a un point commun avec le communisme. La dissuasion pour l’ambition, l’autonomie et la prise de risques.

Les Français septiques qui croient au revenu universel devraient retenir les leçons de 1834 ou aussi l’écroulement de la productivité des anciens pays de l’Est, ou chacun avait un emploi, mais en réalité, sur 10, 2 travaillaient et 8 regardaient, puisqu’à la fin, comme avec le revenu universel ou tout le monde a un revenu garanti, personne n’est motivé.

Quelques sources

http://www.berkshirerecordoffice.org.uk/this-months-highlight/this-months-highlight-2011/speenhamland-system-1795/

https://en.wikipedia.org/wiki/Speenhamland_system

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Parlement européen. La gamelle est meilleure quand on n’a pas à justifier les frais.

La semaine dernière, le lundi 2 juillet 2018, le « Bureau » du Parlement européen a rejeté les propositions visant à renforcer les règles concernant les dépenses des députés.

Vous ne la saviez pas ? Lors d’une réunion tardive, à huis clos à Bruxelles, le jour du match à 17h Belgique-Japon et pendant le match Bresil-Mexique, pendant la coupe du monde en période de départ en vacances, en nombre très faible sans perturbateurs éventuels, l’organe directeur du Parlement a rejeté de modestes propositions visant à introduire à minima une pseudo éthique de responsabilité dans la manière dont les élus peuvent utiliser l’argent.

La proposition demandait seulement de conserver les documents de dépenses, et de déposer à un comptable agréé les factures et justificatifs de dépenses. Une demande, comme vous voyez extraordinaire! Une demande que font des milliers, de chefs d’entreprises, de commerciaux, de techniciens, de chargés de mission, de personnes en déplacement ou personnes qui ont des frais pour travailler.

Avec la GEA «General Expenditure Allowance (Allocation générale de dépenses)» , chaque député obtient 4 300 euros par mois, pour couvrir ses frais de fonctionnement, les frais de transport eux sont une autre allocation différenciée de 4243 euros par an.

Le GEA est « soi-disant » destiné à louer un bureau et assurer les frais de gestion de bureau, les frais téléphoniques et postaux, ainsi que l’achat, l’exploitation et la maintenance de matériel informatique et informatique».

Une enquête séreuse menée l’année dernière par un consortium de journalistes d’investigation dénommé « The MEPs Project » a révélé des abus généralisés du système, avec des bureaux fantômes, des paiements de loyers versés aux partis politiques nationaux ou même des comptes personnels des députés.

Le président du PE, Antonio Tajani, et ses collègues ont  voté contre l’ obligation pour les députés européens de conserver de déposer les reçus de leurs dépenses à un organisme comptable. Ils ont également rejeté la certification des comptes par un commissaire aux compte ou organisme agréé.

Dans la même logique ils ont même rejeté le retour obligatoire des fonds non dépensés à la fin du mandat d’un député. La seule mesure qu’ils ont approuvée est que les députés conservent un compte bancaire séparé pour leurs paiements de dépenses. Vaste blague !

Voici à titre anecdotique l’extrait de visite du parlement d’un blogeur gauchiste invité un jour à Strasbourg:

 20140716_124712« La cantine de l’institution, présente les plats et entrées du jour avec des prix, défiant toute concurrence. Les prix (le plat le plus cher du plus cher était à 7 ,60 euros, l’entrée la plus chère à 2 euros).

En vrac : roulades florentines au parmesan, filet de poulet avec pommes bourgognes et carottes vapeur, croquette aux parmesans, saucisses de tofu sauce méridionale avec ses légumes vapeur, confit d’agneau avec chicon.Un salade bar, des desserts et des boissons, toujours proposés à un tout petit prix. Quasi aucun produit bio à la cantine du Parlement Européen, diététiquement, que quelques yaourts et des jus de fruits. Ils dînent dans un 5 étoiles tous les jours.. »

parlement européen

 

Même si on ne sait s’il faut rire ou pleurer, le sujet principal n’est pas là.

Ce qui choque c’est le concept intellectuel totalement décalé de la société de ces gens.

Elle va mourir du socialisme, ou de son métastase, la social-démocratie.

L’Europe est en train de créer une soviétisation de la société, ou une nomenklatura décide le sort des gens, mais s’exonère pour elle même.

Elle n’est plus libérale.

Ce n’est plus qu’une bureaucratie totalement décalée des peuples.

Elle impose que les normes, mais dans le réel, les gens voient bien qu’appliquées concrètement, elles sont contradictoires, inadaptées, voire farfelues.

Le parlement européen ne défend plus le marché libre, mais le marché protégé du copinage. Les lobbys écolos ou socialistes sont toujours une « bonne excuse » pour exclure, normer, entraver le marché libre et le libre échange.

Les gens comprennent que les normes ne sont plus que des barrières à la concurrence.

Qu’une majorité d’entre elles sont encouragées par le copinage, a remplacé la vraie concurrence.

 

Le décalage avec la société civile est effarent.

Ces gens harcèlent de bureaucratie, de normes, de contraintes, de contrôles, de procédures, de privation de libertés de tous les habitants d’Europe.

Et le minimum du minimum, ils se le refusent à eux même? Soit simplement justifier leurs dépenses…

Ces gens là ignorent les contraintes subies par une PME si sur une facture Bulgare, il manque le numéro de TVA intracommunautaire.

Ces gens là ignorent que la moindre PME en France harcèle ses techniciens, ses commerciaux, personnels en déplacements pour justifier le moindre café, et est redressée par l’URSAFF si elle rembourse les frais sans justificatifs pour « salaire déguisé ».

Ces gens là ignorent les contraintes subies par le marin pêcheur ne mesure pas la taille du poisson.

Ces gens là ignorent les contraintes subies par l’éleveuse de chèvre qui a une porte de 0,9 au lieu de 1m, donc soi disant pas assez large pour faire rentrer ses chèvres.

Ces gens là ignorent que l’artisan qui a transféré le virement de sa TVA un jour trop tard, est pénalisé d’office.

Chaque corps de métier doit tout justifier. Chaque corp de métier doit adapter les normes européennes dont 2 sur 3 sont plus farfelues les unes que les autres…

Par le passé, en 2008, la Cour de justice européenne a contraint et obligé le Parlement européen à publier un rapport d’audit interne exposant  l’abus généralisé des dépenses par les députés européens.

Tous partis confondus le rapport démontre sans mentionner aucun nom, que les députés ont alloué leurs allocations pour les secrétaires et les assistants dans des entreprises familiales y compris des paiements effectués aux assistants des députés qui n’étaient même pas accrédités pour travailler au Parlement. À l’époque, lorsque le système de rémunération était différent, il y avait aussi des primes de fin d’année valant près de 20 fois le salaire mensuel versé aux assistants, juste pour que les députés puissent utiliser leur allocation annuelle complète.

Certains partis aujourd’hui sont poursuivit, mais ce n’est pas du fait des députés mais de la cour de justice.

Ce type de comportement, qui ne change pas au fil des ans, par les plus hauts échelons du Parlement européen la mentalité est assez navrante.

Au départ, créer une assemblée directement élue pour examiner les décisions réglementaires et budgétaires de la Commission européenne et des États membres était une bonne idée. Il ne faut pas oublier que les graves critiques émises chaque année jusqu’en 2017 par l’organisme comptable de l’UE et les États membres comme la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Suède n’ont pas été suivies d’effets.

En pratique, cependant, nous devons conclure que le Parlement Européen ne fait pas son travail. C’est une honte !

Ils ne se sont pas rendu compte que c’est ce spectacle qui a engendré et engendre la méfiance et le vote du Bexit. Cette assemblée est la première coupable de la défiance du peuple Anglais et de plus en plus d’autres. Les députés européens tous partis confondus, sont des décalés de la réalité des habitants de l’Europe. Non seulement ils ne l’intègrent pas, mais en plus ça continue.

Le Parlement européen a montre un appétit obsessionnel pour des dépenses toujours plus élevées sans tenir compte des intérêts des contribuables et il n’y a pas de règlement trop fou pour les députés européens ;

Le Parlement a approuvé le «principe de précaution», une approche soviétisante bureaucratique intellectuelle de fonctionnaire ou de refus du changement fondée sur le refus du risque et à faire preuve de prudence, même s’il n’y a aucune preuve de préjudice à quiconque.

Ne parlons du spectacle absolument indigent et hautement stupide de déplacer le Parlement entre Bruxelles et Strasbourg une fois par mois et ces des salaires élevés pour les eurodéputés  ou des nombreux autres scandales auxquels le Parlement européen a été mêlé au fil des ans. 

Dans sa décision sur le traité de Lisbonne, la Cour constitutionnelle allemande a  déclaré  que le PE n’était « pas suffisamment apte » à prendre des « décisions représentatives sur la base de la majorité », du moins tant qu’il n’y avait « pas de représentation européenne uniforme ». C’est improbable que cela arrive un jour.

Avec tout cela en tête, nous devrions nous demander pourquoi ne pas supprimer 80% de parlementaires du Parlement européen qui ne servent à rien et se remplissent les poches a décider la taille du concombre à nos frais.

Ces gens détruisent les libertés et le libre-échange. Ils soviétisent la société européenne, et se comportent comme une nomenklatura.

Triste représentation.

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Iran-deal: quels politiciens européens occidentaux ont touché les pots de vin ???

La décision du président Donald Trump de se retirer du fragile accord nucléaire Iranien vient de faire un rebond inattendu. Les Iraniens n’ont pas envie de laisser les rats quitter le navire comme ça, et l’on fait savoir clairement.

L’information n’a pas fait une ligne dans les médias et la presse bobo Française, mais l’Internet permet de piocher des infos ailleurs sur terre.

En se retirant de l’accord Iranien, mécaniquement, les sanctions envers l’Iran se réimposent. Et parmi elles, il y a des menaces de sanctions économiques contre les pays commerçants avec l’Iran…

Cela n’a pas échappé aux pontes du pays et le ministre iranien des Affaires étrangères a émis sa propre menace par une révélation.

Le chargé de communication du ministre des affaires érangères Iranien HJ Ansari Zarif a déclaré: « Si les Européens arrêtent de commercer avec l’Iran et ne font pas pression sur les Etats-Unis, nous révélerons quels politiciens occidentaux et combien d’argent ils ont reçu pendant les négociations nucléaires pour faire de l’IranDeal« .

L’accusation de Zarif selon laquelle plusieurs dirigeants européens ont été essentiellement soudoyés pour accepter l’accord avec l’Iran est tout à fait plausible.

Rappelons qu’après la conclusion de l’accord iranien par Obama et les Européens, en 2015, beaucoup notamment aux USA s’étonnaient  qu’en échange, ils ne ferment pas une seule installation nucléaire et ne touchait pas les infrastructures.

C’est là bien la raison de Trump de dénoncer l’accord Iranien, l’infrastructure nucléaire reste intacte. Pour Trump, l’infrastructure en place permet pour une sortie après l’expiration de l’accord vers une nucléarisation pour cet état dont on ne peut avoir confiance.

Par rebond politique, Trump peut être plus informé qu’on le croit, sait peut être que certains politiciens opposants démocrates qui l’on précédé, ont touché la galette généreuse des Iraniens et en dénonçant l’accord, il les pousse dans une bombe a retardement de la corruption qu’il déclenchera le moment venu. Et par là même quelques Européens.

La question reste posée. Quels dirigeants politiques européens (et Français) ont touché ? Pourquoi tant de dirigeants européens ont-ils signé un si mauvais accord ?

Alors qu’est-ce que cet accord passé a permis aux pays occidentaux d’obtenir ?

La réponse est double: en ce qui concerne le programme nucléaire de l’Iran, l’Occident n’a rien obtenu.

En ce qui concerne les opportunités d’affaires, cela a été très lucratif.

Et pour les politiciens, pour le ministre Iranien ce sont des pots de vin.

Le Bruno Le Maire notre ministre français des Finances, a déclaré: «Voulons-nous que les Etats-Unis soient le gendarme économique de la planète ? Ou voulons nous, nous Européens, dire : Nous avons des intérêts économiques, nous voulons continuer à faire du commerce avec l’Iran dans le cadre d’un accord stratégique ? »

Les fanfaronnades médiatiques de Bruno Le Maire sur l’indépendance de la France vis avis des états-unis sont bonnes médiatiquement pour des effets de postures devant la presse à bobos.

La redescente les pieds sur terre des intérêts économiques, va laisser la greule de bois au ministre en carton mou.

Si vous voulez un début de réponse pour Bruno Le Maire voici quelques réalités :

-Le PIB américain occupe la 1ere place mondiale et représente 25% du PIB mondial.

-L’Iran est 29ème, ce qui représente moins de 0,4% du PIB mondial.

 

Quelques sources :

https://www.commdiginews.com/politics-2/iran-bribe-european-diplomats-102278/

https://www.americanthinker.com/blog/2018/05/top_iranian_adviser_threatens_to_expose_those_who_took_bribes_to_make_the_iran_deal_happen.html

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Nous sommes ignorants, l’état encore plus.

Voici quelques questions:

En 1980, aurait-il été possible de connaître tous les biens services et politiques que nous aurions à notre disposition 30 ans plus tard?

Qui aurait pensé que nous aurions des téléphones portables, des écrans LCD partout et la technologie Bluetooth, de petits ordinateurs puissants, des forums sur Internet, des avions avec une capacité de 525 passagers, des librairies en ligne ou que les entreprises en ressources immatérielles auraient plus de valeur que les industries lourdes tel l’automobile ou l’acier?

Que les Allemands de l’Est, Tchèques ou Polonais qu’on pensait passés au communisme pour toujours, seraient 30 ans plus tard les pays les plus anti-communistes  que les habitants des pays des blocs de l’Ouest qui ne l’ont pas subit?

Cette liste pourrait être étendue à des milliers de biens, services, politiques auxquels on n’aurait pas pensé en 1980. Devant cette ignorance humaine grossière, qui devrait contrôler les biens et services précurseurs?

Notre ignorance est aggravée par le fait qu’une grande partie de ce que nous pensons savoir n’est pas vraie. La Scientométrie est l’étude de la mesure et de l’analyse de la science, de la technologie et de l’innovation. Les conclusions de cette science montrent que les faits sont rarement anticipés des années en amont. Que des erreurs majeures d’anticipation ont lieu régulièrement.

L’ignorance de l’anticipation du futur peut être dévastatrice individuellement pais aussi collectivement.

Dire que vous avez acheté une maison. Était-ce la meilleure affaire que vous auriez pu obtenir? Y avait-il une autre maison dans votre budget qui aurait eu besoin de moins de réparations importantes 10 ans plus tard et avec des voisins plus sympathiques et un environnement meilleur et plus sûr pour vos enfants?

Et la personne que vous avez épousé et fait des enfants avec ? N’y avait-il pas une autre personne à votre disposition qui aurait fait pour vous un(e) conjoint(e) plus agréable et compatible?

Et votre métier, avez-vous choisit la facilité d’un statut à la prise de risque individuelle ? N’y avait-il pas un autre choix que celui qui vous a enfermé dans un shéma de pensée ou votre libre arbitre est devenu « limité », et ne pensiez plus qu’en prisonnier corporatiste qu’a envier ceux qui sont plus libres dans un marécage des idéologies socialistes qui se résume a haïr la réussite et la richesse individuelle?

L’investissement et les choix de l’état sont ils de l’intérêt général ? Bull,  Super Phénix, Avions renifleurs, plan calcul, nationalisations stratégiques revendues a pertes, voiture électrique Mia, financement a perte d’éoliennes sont des choix  publics entrainent encore des milliards de dettes sur nos générations et les générations futures. N’aurions pas pu moins taxer et laisser aux Français l’argent utilisé pour financer des démagogies ?

Vous le voyez, l’état est irresponsable et son interventionnisme coupable. Il est incapable et irresponsable d’avoir pris ces décisions.

L’essentiel est que l’ignorance est omniprésente. Le pire type d’ignorance est de ne pas savoir à quel point nous sommes ignorants.

Cela conduit à la prétention dévastatrice de la connaissance qui fait partie intégrante de la vision des élites intellectuelles et souverainistes ou gauchistes et des politiciens étatistes.

Étant donné qu’il est impossible pour quiconque de prédire l’avenir, toute réglementation gouvernementale doit être extrêmement léger afin de ne pas saboter l’avenir de nos enfants et le progrès technologique.

Il est bien mieux pour le secteur privé de prendre des risques que le secteur public. Les conséquences sont moins gravent et n’entraîne pas des taxes et des dettes pour toute la population.

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L’homme en crise

Qu’est-ce que vont devenir les hommes? Rien de bon si les tendances actuelles féministes se poursuivent.

Nous vivons à une époque où les féministes caricaturent l’homme en un misogyne harceleur. Les hommes sont condamnés pour des torts plus perçus que réels.

Les abus sexuel qui sont marginaux sont amplifiés par les « #balacetonporc » et autres études totalement baisées d’inégalité homme-femme.

Les hommes, sont maintenant tous coupables de «masculinité », ils sont des vilains qui s’attaquent aux femmes et les agressent. Regarder des jambes galbées parce qu’elles se présentent a vous, vous fait passer pour un satire.

 

Maintenant, la question est, qu’est-ce qui est et vont devenir les hommes, les « mâles » ?

Rien de bon si les tendances de culpabilisation actuelles se poursuivent.

Pourtant a y regarder de plus près, les femmes sont plus autonomes et «égales» que jamais ils n’ont été par le passé. Elles sont bien plus libres et favorisées maintenant dans de nombreux domaines.

Être une femme aujourd’hui, c’est être le bénéficiaire de décennies de mouvements d’émancipation et de libération de la personnalité et de la parole.

Les hommes, ont été laissés pour compte. Aucun mouvement correspondant n’a émergé pour les aider à se diriger vers une pleine émancipation et liberté.

De nombreuses choses mettent les hommes moins bénéficiaires socialement que les femmes.

Les filles surpassent les garçons à l’école à tous les niveaux universitaires.

Les hommes meurent plus jeunes.

Les hommes sont plus obèses,

Les hommes se suicident beaucoup plus fréquemment.

Les hommes sont incarcérés ou condamnés à un taux beaucoup plus élevé que les femmes.

Moins d’hommes terminent leurs études secondaires et vont à l’université.

Plus de garçons sont diagnostiqués avec une hyperactivité.

Les hommes ont maintenant des QI plus faibles que les femmes.

Les jeunes hommes vivent avec leurs parents plus longtemps que les femmes.

Dans la mode, les libertés des femmes sont plus larges.

La propagande de l’écart salarial homme-femme exagérée par des études a charges qui leur sont complaisantes, cache une révolution d’une évolution logarithmique peut signalée. Entre 1980 et 2015, les hommes en âge de travailler n’ayant que des diplômes d’études secondaires ont vu leur salaire horaire réel stagner alors qu’au cours des 35 dernières années, les femmes diplômées du secondaire ont vu leurs salaires augmenter de 30%.

 

Les programmes scolaires écrits par des égalitaristes idéologiques, enseignent aux garçons qu’être comme les filles. L’homme ne doit plus prendre de risque, se « limiter » de ses instinct de conquête. Les médias martèlent que les femmes sont des victimes, les hommes sont des oppresseurs.

Les hommes et les femmes ont besoin les uns des autres. On ne peut pas exister sans l’autre. C’est la biologie élémentaire, mais c’est aussi la réalité que nous avons vécue avec nos parents, nos frères et sœurs et nos amis. Les hommes ne sont pas des femmes.

Le faire croire amènera à l’échec.

Les « bonobos » sont les singes à l’ADN le plus près de l’homme. Dans leurs réserves, si on leur fourni des jouets, les femelles prennent naturellement poupées et les jouets de camion de pompier sont pris par les mâles. Les « bonobos » eux, ne sont pas influencés par les idéologies égalitaristes, ni les médias.

Il y a certainement de l’espoir, mais il faudra que les hommes restent des hommes et résister à la stigmatisation de leur virilité.

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Trump, et la baisse spectaculaire du chômage aux USA

Une vague d’optimisme a balayé le monde des affaires américaines… De France on ne se rend pas compte a quel point la baisse du chômage dans ce pays est spectaculaire.

De nouvelles usines, de nouveaux équipements et des mises à niveau d’usines qui stimulent la croissance économique, stimulent la création d’emplois et augmentent les salaires de manière significative.

Les média Français souffrent du prisme du Trump Bashing et refusent de reconnaître à quel point aux USA la situation actuelle est meilleure aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a un an sous Barack Obama.

Malgré tout le déni des 90% de journalistes de gauche Français, voici le résultat brut de la politique Intérieure sur l’embauche dans ce pays :

Le taux de chômage nominal officiel est descendu à 4,1%. Il a diminué de 2% au cours de la seule dernière année.

C’est le plus bas depuis 17 ans. Aux USA comme en France il faut prendre les références des chiffres du chômage avec prudence, car de nombreux Américains ont dû prendre des emplois de subsistance et/ou ont renoncé à chercher du travail au cours des dernières années. Le U-6 par contre est très intéressant.

Le taux de chômage réel U-6 est à 8,1%. (Le U-6 est le taux non-retravaillé statistiquement incluant tous les types de classes de gens comptabilisés au chômage) un chiffre incroyablement bien meilleur que son sommet de 17% sous Barack Obama.

Le chômage a diminué pour les travailleurs dans tous les niveaux d’éducation. Parmi les diplômés du secondaire qui n’ont jamais fréquenté l’université et qui ont 25 ans et plus, il a atteint son plus bas niveau. Le Bureau of Labor Statistics indique que le taux de chômage des travailleurs noirs et hispaniques a chuté au plus bas depuis 1972. C’était il y a 45 ans ! Des générations complètes de défavorisés n’avaient jamais connu une telle demande d’embauche et le plein emploi.

Les personnes dépendantes de « food stamp »Â ont diminué de plus de 2 millions en 2017. Les « food Stamp » sont des bons d’achat à échanger dans les commerces alimentaires pour les personnes et familles à faible ou aucun revenu, les migrants et les étudiants vivant dans le pays pour se nourrir.

L’économie, revitalisée par l’enthousiasme des perspectives d’avenir, se développe à nouveau. L’indice de confiance des consommateurs du Conference Board est à son plus haut niveau depuis 17 ans et l’Indice des perspectives de l’Association nationale des manufacturiers est à sa moyenne annuelle la plus élevée de son histoire.

La Federal Reserve Bank d’Atlanta a publié une estimation de la croissance du PIB 2018 d’un taux de 5,4%. Comme dans les années glorieuses.

Les commandes de fabrication et la production sont les plus fortes depuis 2004.

Même le journal expert en misérabilisme, de gauche, le New York Times a dû admettre : « Une vague d’optimisme a balayé les chefs d’entreprise américains et commence à se traduire par des investissements dans de nouvelles usines, équipements et mises à niveau d’usines qui stimulent la croissance économique, stimulent la création d’emplois. et peut enfin augmenter les salaires de manière significative. « (On ne peut qu’imaginer les grincements de dents qui ont eu lieu avant de publier cette seule phrase.)

Les perspectives de croissance continue sont suralimentées par le passage républicain de la réforme fiscale. La baisse de l’impôt sur les sociétés de 38 à 21% et la fin de centaines de niches fiscales. La réforme Trump est une réduction fiscale de 1,5 milliard de dollars en réductions d’impôt dont 60% reviendra indirectement aux familles. La nouvelle déclaration fiscale pour tous les habitants va maintenant ne tenir que sur une seule page.

Selon les estimations les plus récentes du Département du Trésor, 90% des personnes verront, dès février 2018 une augmentation de leur salaire net. Une autre étude conclut que plus d’un million de travailleurs recevront des augmentations de salaire en 2018.

Les entreprises ont commencé à anticiper la baisse de l’impôt sur les sociétés de 38 à 21%. 300 entreprises ont annoncé des augmentations de salaire, des primes

Voici quelques extraits dans la liste que vous pouvez parcourir : lien

AT & T a annoncé qu’elle donnerait des primes de 1 000 $ à plus de 200 000 de ses employés non cadres, et qu’elle investirait 1 milliard de dollars dans ses réseaux américains.

Alaska Airlines primes de 1000 $ pour 22 000 employés.

Walmart, l’un des plus grands employeurs du pays, augmente salaires, primes et avantages société.

Wells Fargo et Fifth Third Bancorp se sont engagées à augmenter leur salaire minimum à 15 $ l’heure.

Comcast a annonçé des primes de 1000 $ à plus de 100 000 employés.

Boeing a déclaré qu’elle va donner 300 millions de dollars dans des entreprises caritatives et des investissements dans la société civile.

Le PIB a atteint 3% au cours des deux derniers trimestres de 2017. (Au cours des 32 trimestres de la « reprise » d’Obama, il n’a enregistré que deux fois un PIB de plus de 3%).

Les entreprises américaines ont créé plus de 1,7 million de nouveaux emplois, dont près de 160 000 emplois manufacturiers et 58 000 autres emplois dans l’exploitation minière et l’exploitation forestière. L’extraction de pétrole et de gaz dont la réglementation anti-libérale interdisait l’exportation a été ouverte.

En décembre, 1,5 million de barils ont été exportés hors des États-Unis. La guerre des prix avec les pays producteurs de l’OPEP qui devait mettre l’industrie pétrolière des gaz de Schiste Américaine à genoux a fait l’inverse. Elle a stimulé l’innovation, les embauches et les seuils de rentabilité ont étés abaissés. Le tribulations à la baisse de l’OPEP, n’ont servi qu’a mettre les pays de l’OPEP dans la difficulté.

Les salaires ont progressé en taux annualisé de 2,9%, soit le rythme le plus rapide en plus de huit ans. Une plus grande partie est liée à la concurrence. Comme de plus en plus d’entreprises sont en concurrence pour l’embauche sur le marché du travail ou de moins en moins de travailleurs sont au chômage, en payant des salaires plus élevés, il font tout pour garder des salariés qui peuvent trouver un emploi immédiatement sur le marché.

Au 1er janvier, les accords patronaux devant l’embellie du marché ont augmenté le salaire minimum dans 18 états.

L’abolition des réglementations restrictives de l’interventionnisme d’état les 10 industries les plus réglementées a profité au marché de l’emploi.

La croissance économique est stimulée par les réductions record des réglementations gouvernementales et de nouvelles mesures de responsabilisation. L’administration Trump élimine 22 règlements pour chaque nouveau créé.

 

En résumé, Trump est un nationaliste libéral. Si son programme nationaliste est critiquable, la baisse des impôts, la baisse des réglementations et le moindre interventionnisme d’état qui représente sa partie libérale montre que pour l’emploi Trump a fait des bons choix.

Cameron en Angleterre avait appliqué une politique similaire lorsqu’il était arrivé au pouvoir et réduit le chômage Anglais drastiquement.

En France chaque politicien fait semblant de se soucier du bien-être du peuple en pondant une nouvelle loi de taxes chaque jour pour n’importe quel prétexte. On vous prétend que la lutte contre le chômage est la priorité, mais on s’occupe du Nutella et pour éviter la fable d’une apocalypse climatique, on distribue des ampoules LED gratuites sans compter, à des opportunistes pour les revendre « pas gratuitement » sur « leboncoin ».

En France copier une politique économique libérale qui fonctionne, en plus celle de l’épouventail à bobos « Trump »Â …. Quelle horreur pour nos technocrates, et nos intellos Keynésiens.

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Coup d’état en Chine. Xi Jinping devient président a vie…

Le président chinois Xi Jingping a récemment annoncé qu’il allait briguer un troisième mandat, ce qui nécessite une modification de la constitution chinoise car elle ne prévoit que deux mandats.

Dimanche, le Parti communiste chinois a fait un grand pas en arrière et est revenu au culte de la personnalité comme aux pires périodes de l’ancien autocrate dictateur Mao Zedong. La chine retourne dans une longue lignée de dictateurs chinois….

Le parti communiste Chinois a annoncé dimanche que la constitution chinoise supprimerait la limite de deux mandats de cinq ans imposée à Xi, le secrétaire général du parti, ouvrant la voie pour qu’il devienne président à vie.

L’agence de presse officielle Xinhua a déclaré que l’obligation pour le président et le vice-président de la Chine de ne pas remplir plus de deux mandats consécutifs a été retirée de la constitution.

Dimanche après la libéralisation des années de libéralisation de Deng Xiaoping, la Chine vient de renouer avec la dictature.

Deng Xiaoping a libéralisé le pays, introduit les ZES (zones spéciales) de libre échange qui ont engendré une croissance élevée au pays et mis des limites aux pouvoir des dirigeants par l’obligation de ne pas pouvoir briguer plus de 2 mandats consécutifs a la tête de l’exécutif. Deng Xiaoping avait enlevé dans les esprits le pilier social qui fait le fondement du communisme, la jalousie. Il avait créé un slogan à la gloire de l’effort et l’enrichissement « Il est glorieux de s’enrichir »

Xi Jinping est évidemment derrière la décision de supprimer la limite actuelle de deux mandats.

Xi Jinping depuis 2013 par ses magouilles a obtenu plus de pouvoir que n’importe quel dirigeant chinois depuis Mao, il a éliminé ses rivaux par en faisant des changements dans le parti pour ne laisse aucune place a un successeur éventuel en modifiant les règles du gouvernement. Xi Jinping a inventé une campagne anti-corruption pour dégager ses rivaux politiques, et concentrer le pouvoir entre ses mains, il a ces dernières années brisé la convention post-Mao selon laquelle le pouvoir devrait être partagé entre un groupe de dirigeants fidèles aux différentes factions du parti communiste. Il a purgé ces 3 dernières années plus de 1,3 million de cadres et fonctionnaires, et il a placé ses alliés dans les postes-clés.

Son dernier mandat incarne une répression tout azimut contre les avocats, les dissidents, les religieux ainsi qu’une censure d’État omniprésente sur Internet.

Il a monopolisé tous les postes. Il détient actuellement les 3 postes du pouvoir: secrétaire général du parti, président du gouvernement et chef de la commission militaire centrale qui dirige l’Armée. Il est aussi le membre principal du Comité permanent du Politburo, composé de sept membres, la dictature collective qui dirige la Chine.

Comme tout autocrate communiste, il profite a fond de ses pouvoirs pour vivre dans la luxure. Xi Jinping est le premier dirigeant à résider dans la résidence de Mao à l’intérieur de l’enceinte fortifiée de Pékin. Il a fait fermer le musée de l’enceinte fortifiée pour en faire sa nouvelle résidence.

Rappelons que Mao a pris le pouvoir en 1949 et a brutalement transformé la nation en imposant le régime communiste. Dans le processus, le système communiste a causé la mort, par la répression politique et la famine, de plus de 60 millions de Chinois.

Le dictateur chinois a régné à travers un culte de la personnalité qui lui a accordé un pouvoir illimité sous un régime totalitaire jusqu’à sa mort en 1976.

-Le média social chinois, WeChat, a été contraint de désactiver la section des commentaires pour le journal officiel du Parti, le People’s Daily, afin d’étouffer les commentaires négatifs sur le changement constitutionnel.

-L’édition d’outre-mer du Quotidien du Peuple a également été obligé de prendre un article sur les limites de mandat de leadership changé, en le remplaçant par un autre article qui n’a pas mentionné le changement.

170717-china-winnie-pooh-ban-feature-Les médias sociaux chinois viennent d’interdire depuis ce week-end les images de Winnie l’Ourson, l’ours de dessins animés des histoires d’enfants souvent utilisé pour moquer Xi Jinping.

Les changements constitutionnels qui viennent de se passer dimanche dernier sont conçus pour introduire la « direction à vie » de Xi Jinping en tant que dirigeant suprême et la fin des réformes démocratique introduites par Deng Xiaoping dans les années 80.

Les implications politiques sont énormes. Xi Jinping deviendra le dirigeant chinois le plus puissant depuis Mao Zedong.  Sous sa direction, la Chine a renforcé son armée et a étendu son rôle.

Xi Jinping a un mépris pour le droit international, la construction en cours d’îles artificielles destinées à accueillir des installations militaires qui étendent artificiellement ses frontières maritimes montre qu’il est plutôt belliqueux.

Il a menacé les Taïwanais directement, il a prévenu les Taïwanais qui seraient tentés par une séparation définitive de leur île du territoire national chinois que son gouvernement « a les moyens pour vaincre les tentatives séparatistes en faveur de l’indépendance taïwanaise ».

Il est également juste de supposer que le désir du pouvoir de Xi Jinping ne fera que croître, comme l’histoire et le communisme l’ont souvent démontré…. Avec des résultats si désastreux 

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Gabegie : les LED « gratuites », « pas gratuites » pour ceux qui payent leur électricité

L’état a décidé de faire du dumping sur le marché libre de l’ampoule LED. Vous vous rappelez la belle pub bien chère qui passait aux heures de grande écoute ?

Des millions d’ampoules ont étés données gratuitement en dumping de la valeur réelle.

Selon les conditions de ressources définies par le Ministère de l’Environnement.

Le pack de 5, 15 ou 25 ampoules à LED a été proposé à un prix qui dépend des ressources du ménage. Le Dumping a été de 70% du prix selon le ministère du collectivisme écologique.

Quand votre argent sert à faire le spectacle, et le paraître, et dépenser sans compter des millions d’ampoules LED chinoises pour les opportunistes, les informés et les profiteurs d’effets d’aubaine, pour acheter la bonne conscience du bobos-écolo qui croit qu’avec ça il rendra la planète plus verte.

L’indécence avec l’argent des abonnés à l’énergie n’a pas de prix. Vous vous plaignez que le gaz et l’électricité augmente ? Comme vous ne lisez pas la facture, vous ne cherchez pas « où va l’argent ». La réponse est simple. Cet argent est foutu en l’air pour donner des ampoules LED à des gens qui n’ont pas demandé à se faire assister.

Évidemment, le pays a 2000 milliards de dette et avec son bilan il n’est pas venu l’idée que l’état ne pouvait pas se permettre une gabegie sans compter. Chaque année à partir de début octobre le budget est à charge des générations suivantes, et 2000 milliards d’engagement hors bilan non inclus dans la dette.

Évidemment avec un si bonne gestion la distribution gratuite d’ampoules est un acte «  sôôôOOOcial et SOOOOôôoôoôlidaire  » ou « écOOOOôôoôlogique », ces mots vaseline qui permettent toutes les ponctions et taxes pour générer toutes les gabegies irresponsables.
EDF a tellement que ça à faire, que de de donner des ampoules gratuites

L’argent pour payer ces ampoules vient des taxes ponctionnées sur les factures des distributeurs d’énergie.

La distribution a été donnée par exemple à EDF. Fournisseur d’énergie en monopole historique.

Pour rappel, EDF est une entreprise contrôlée par l’état à 85%. EDF est une entreprise d’état quasi faillite dont hors frais de fonctionnement, l’endettement abyssal représente 52% de son chiffre d’affaires. Elle a repris en plus le boulet industriel AREVA, entreprise encore plus en faillite. Son futur est compromis par un projet EPR Anglais, jugé par la presse économique, comme vendu en dessous du prix de revient.

L’entreprise est tellement engagée et endettée qu’elle ne peut faire aucun investissement. Savez vous que pour « garder ses actionnaires », cette entreprise est obligée d’emprunter pour payer les dividendes….

Et l’actionnaire principal est l’état, c’est le plus vorace de tous les actionnaires Français.

Et qu’en matière de solidarité, les employés ne payent pas de cotisations sociales sur le chômage et sont particulièrement favorisés par des statuts sociaux en dehors du droit commun, qui plus est, déficitaire et compensé par les régimes généraux des salariés à la sécu.

Sur Internet une société bouffeuse de subventions et au chiffre d’affaire corrélé à la gamelle de l’impôt et taxes écolos, « GEO PLC » a proposé les ampoules gratuites.

On se demande tant tout y amène, si cette société (en suspicion légitime), ne sert pas d’écran à financer légalement les « amis utiles » pour le compte de politiciens. On lit sur la page internet le financement d’associations toutes très proche du think Tank Terra nova comme l’AJE lobby du PS qui regroupe tous les journalistes spécialistes de l’environnement. Ou la mise en avant de Pierre Radane un militant engagé gauchiste membre de Terra Nova, ou l’institut Montaigne proche de Macron.

Cette remarque accusatrice narquoise en suspicion de filous déguisés en bon samaritain n’engage que moi. On doute que l’association « Anticor » remplie de gauchistes Terra Nova daigne faire enquête sur des « amis ». On doute que le « conseil de la concurence » placard à recaser les Enarques de l’état se charge du dumping de l’état. Évidemment !
L’état ne peut dilapider aux 4 vents des ampoules subventionnées sans qu’il prenne l’argent à quelqu’un.

Et le quelqu’un c’est toute la population qui paye sa facture d’énergie, comme l’étudiant à qui pour des économies on vient de lui retirer 5€ d’APL, le salarié a qui on prélève la moitié de ses revenus en assurances sociales, l’employeur a qui on prend 34% de taxes sur les bénéfices pour le motiver a délocaliser, le contractuel précaire de l’état qui a du mal à transformer son 8eme CDD en CDI.
Où vont terminer les ampoules ?

Les écolos purs et durs et convaincus se sont pas jeté sur l’offre, si se sont de « vrais écolos » ils n’ont pas attendu la gratuité pour s’équiper.

Le mot « ampoule gratuites » est surtout une incitation primaire pour les opportunistes. Les gens de bon sens informés et surtout opportunistes, ont sentis la bonne affaire et ont profité de « l’effet d’aubaine »….. Il est évident que la subvention a attiré dans des proportions importantes des gens qui n’étaient pas censés en profiter, qui multiplie la dépense inutile pou un résultat que le marché libre et non subventionné aurait trouvé de lui même.

 

Les 2/3 de la distribution a profité à la population qui mettra les ampoules dans la cave ou le grenier comme ampoule de rechange et vendra le solde sur Leboncoin ou en vente dans le prochain vide grenier bric a brac du quartier.

Les 2/3 des ampoules subventionnées se retrouvent sur le marché gris et informel.
Pourquoi ? Simplement parce que la propriété privée incite sans que l’état intervienne à économiser par soi-même l’énergie. La majorité utilisent déjà l’éclairage avec parcimonie, quand ils ont besoin et ferment la lumière en sortant des pièces.

Ils n’ont pas besoin interventionnisme de l’état pour comprendre qu’a court terme, laisser la lumière ouverte dans toutes les pièces de la maison peut être plus pratique que de l’éteindre en changeant de pièce, mais ils savent qu’à un moment donné, ils vont devoir payer le gâchis.

C’est une loi capitaliste. Vous vous sentez motivé pour prendre soin de ce qui vous appartient parce que c’est votre propriété. Et bien pour ces mêmes raisons de bon sens ces gens n’ont pas besoin d’incitation de l’état pour acheter des ampoules LED.

De toute façon, la majorité de ceux qui en ont profité auraient acheté quand même des ampoules LED, offre subventionnée ou pas.

-Les spéculateurs: On signale des secrétaires comptables dans les EPAD (maison de retraite) avoir incité les résidents qui ne payent pas d’impôt faire à leur place les demandes d’ampoules « gratuites », pour constituer leur futur stock à revendre sur le marché gris. Ces locataires ne s’occupent pas des ampoules, et laisseront la secrétaire revendre sur le marché gris.

Les parents qui ont utilisé les enfants ou le grand-père.

Nombreux qui ne payent pas d’impôt, voir peu d’intérêt pour les LED ont été utilisés pour commander ces LED et les redonner dans des cadres familiaux.
On a tellement besoin de se priver d’emplois marchands et recettes fiscales, que l’état peut se permettre du dumping !

En fait les plus lésés seront tous les contribuables et l’état.

Ceux qui financent les subventions. Et inclus les pauvres, qui doivent payer des prix graduellement augmentés des taxes écolos dans leurs factures d’électricité, non seulement pour leur vrai besoins, mais en plus pour créer du chômage et de la distribution aux plus informés.

Une fois parce qu’avec son argent il aura distribué sans compter ce que chacun peut se payer. Et de l’autre comme c’est sans transaction marchande, l’état n’encaissera pas de TVA, là ou, si les ampoules avaient étés vendues dans l’échange libre de l’offre et la demande. Ce sont donc un coût et des recettes fiscales en moins pour l’état et des impôts a compenser ailleurs…

En second ce sont des milliers d’emplois qui ne seront pas créés et un marché de l’ampoule déstabilisé et des marges d’entreprises réduites…

Il faut bien comprendre que la vente d’ampoule fait vivre des milliers de personnes. Les sociétés comme Philips, Osram, Luxen, Xanlite etc, seront privées d’un marché d’acquisition et donc embaucheront moins…

Des petites entreprises spécialisées ne vivent que, et exclusivement du marché de l’ampoule. L’intervention de l’état menace directement leur pérennité. Eux ne seront pas subventionnées en cas de faillite.

Les dizaines de distributeurs grand public, Leroy Merlin, Castorama, Leclerc, Bricodépot, Brico-privé, etc., seront privé d’un développement des ventes sur le segment, c’est donc encore moins d’emplois à créer dans leurs rayons ampoules.

Pour la petite histoire, Mr Wang, industriel Thaïlandais informé par les appels d’offre du ministère de l’écologie, a choisi de construire près de Francfort en Allemagne une usine de LED européenne au lieu de la France où il court le risque d’avoir un concurrent qui fait du dumping avec l’argent du contribuable et l’insécurité d’un état qui intervient sans prendre en compte les préjudices commerciaux qu’il engendre la réduction artificielle de la demande d’ampoules LED.

Si l’état se vante d’être à l’avant-garde du combat écologique, c’est qu’il y a une grande facilité à se montrer généreux avec l’argent et l’effort des autres.

La démonstration spectacle, effet d’annonce, où il s’agit plus d’impressionner que de convaincre, est aberrante.

Évidement ce spectacle ne s’adresse qu’à un public déjà convaincu principalement de gauche pro-écolo, dont le profil est plutôt Marxiste, socialiste et statutaire qui croient que « ça ne coûte rien, c’est l’état qui paie » et plutôt favorable au totalitarisme d’état.

Il s’agit plus de faire monter la mode écolo, que d’éveiller les consciences, certainement rincer au passage quelques « amis qui peuvent un jour être utile ».

le discours économique ne trouve pas sa place. Et ses rares formés à l’économie des effets pervers de l’incitation et l’interventionnisme de l’état n’ont pas droit à la parole.

 

La vitre cassée de Bastiat ne fait pas partie de la formation de l’élite….

Il serait temps de demander des comptes. Au lieu de cela, ils sont déjà en train de chercher a renouveler pour 2018 la gabegie de 2017.

Les opportunistes sont déjà sur le coup. Les abonnés à l’énergie qui croyaient acheter du courant électrique sont déjà en train de payer la facture des gabegies au nom de l’écologie sans le savoir.

 

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Pourquoi financer l’ONU, cette guignolade vendue aux lobbys ?

Vous pourriez penser que les condamnations de l’ONU concernent les dictatures ?

Que cette assemblée dirige ses condamnations envers les pays aux normes morales et antidémocratiques les plus élémentaires ?

Comme la Corée du nord, le Zimbabwe ou le Venezuela, l’Arabie Saoudite ?

 

A l’ONU cette assemblée de technocrates surpayés ne fait qu’une chose. Ils consacrent la grande majorité de leur temps à condamner Israël et les alliés d’Israël.

Ils sont des milliers a bouffer la gamelle des subventions des pays donateurs et ne foutent rien.

Le Président peut proposer qu’une résolution soit adoptée sans être mise aux voix. Ce qui démontre a quel point c’est une assemblée peu démocratique.

Les statistiques sont sans appels et démontrent a quel point l’ONU est un organisme sous occupation lobby anti-Américain, anti-Israélien et gauchistes.

 

—ONU : Conseil des droits de l’homme :

50% des résolutions du conseil des droits de l’homme sont de condamnations de « Israël ».

En 10 ans, de juin 2006 à juin 2016, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a publié 135 résolutions dont le chiffre impressionnant de 68 uniquement contre Israël.

 

Rappelons aussi que cette même assemblée a nommé à la tête d’un « groupe » l’Arabie Saoudite, alors que le pays prévoit notamment d’exécuter et de crucifie les opposants politiques et la persécution des minorités. L’Arabie Saoudite, pays qui exécute à la cadence de une personne tous les deux jours c’est même porté candidate à la présidence du Conseil des droits de l’homme.

Sic !

 

—ONU : assemblée générale des nations unies

85% des résolutions de l’assemblée générale des nations unies sont de condamnations de « Israël ».

L’assemblée générale des nations unies, l’un des six organes principaux de l’ONU, a émis 97 résolutions de 2012 à 2015, dont 83 visaient Israël. Au cas ou vous douteriez de la non-partialité.

 

ONU : UNESCO

L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture adopte des résolutions contre Israël systématiquement pour les motifs les plus ridicules les uns que les autres.

Elles sont tellement nombreuses sur ce pays qu’il est difficile de trouver des statistiques.

L’UNESCO est l’exemple type d’un organisme totalement infiltré des lobbys anti-israéliensd’une partialité stupide. La plupart des forums multilatéraux de l’UNESCO ne sont que de la politique politicienne de lobbys gauchistes. Le site internet unesco.org compte 4 millions de pages dont une majorité à charge de Israël !

 

C’est là que réside la grande ironie des Nations Unies, alors que c’est sur terre un équivalent de la ville fictive de Mos Eisley(*) et qu’elle vote à plusieurs reprises pour condamner les États-Unis et Israël, les tyrannies qui constituent son corps continuent d’opprimer leurs propres peuples y sont les principaux lobbys ne se font jamais condamner.

 

Parmi ceux qui ont voté la semaine dernière pour condamner les États-Unis pour avoir reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et déplacé son ambassade à Jérusalem, il y avait la Corée du Nord, l’Iran, le Yémen et le Venezuela. Ne riez pas. :-))

Alors pourquoi notre pays surendetté, continue a financer à hauteur de 5,6% le budget de cette assemblée de bras cassés et payer des joueurs de pipeau qui remplissent des rapports qui disent tout et son contraire et qui se croit utile aux monde alors qu’elle n’est utile qu’a la gamelle de ses membres.

L’ONU est une assemblée qui ne sert à rien. L’ONU n’a quasi rien fait en ce qui concerne la Syrie. L’ONU a mis plus d’un an a faire voter une résolution contre le massacre des Rohingya au Myanmar avec 33 voix dans une majorité d’abstentions indifférentes.. Elle a envoyé courageusement un « ambassadeur ». C‘est sur ! les forces de sécurité Birmanes vont avoir tellement peur de lui qu’ils vont arrêter de tuer les Rohingyas, arrêter de violer leurs femmes et filles, ne plus poser des mines antipersonnel et ne plus incendier leurs villages.

L’ONU a toujours été un fantasme imaginaire, une imitation de la Société des Nations qui a été a son époque tout aussi improductive.

C’est une organisation démodée qui a survécu à un monde du 19eme siècle et n’a pas plus d’utilité aujourd’hui qu’elle avait autrefois.

Il n’y a aucune raison pour que des pays démocratiques continuent à faire des chèques pour être indifférents à des régimes les plus odieux et condamnent avant tout des démocraties.

 

Au moins aux USA avec l’arrivée de Trump, des gens se posent enfin la question de continuer de financer ce machin. L’idée est partie va faire son chemin….Une idée de rupture de process éculés du passé.

Quand les USA avec 22% du budget couperont les vivres d’une institution qui les insulte et insulte ses alliés. Croyez le ou pas. Le machin s’il fait faillite fera pour le contribuable des économies de papiers.

Les vers du lobby pro-palestinien qui ont détourné l’objet de cette institution feront pourrir dans la pomme de l’ONU qui constituent leur gamelle…

 

 

(*)Mos Eisley est une ville dans l’univers fictif de Star Wars . Situé sur la planète Tatooine.

Obi-Wan Kenobi décrit la ville dans une réplique, comme une « ruche misérable d’écume et de vilenie  ».

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Paris capitale de la honte, qui idolâtre le « Che » un psychopathe meurtrier…

La maire de Paris, socialiste a fait une exposition sur le « Ché » qui ne passe plus comme elle serait passé dans les années 80. Internet est passé par la et les sources d’informations sont plus diversifiées. Le monde a changé et le socialo-communisme ne peut plus nous imposer ses chimères et mensonges.

Le Ché en train de tuer
Le Ché en train d’exécuter une famille

 

Sur Twitter, jeudi 28 décembre, la maire de Paris a qualifié le révolutionnaire marxiste Argentin d’« icône romantique », à l’occasion d’une exposition consacrée au « Che » en plus financé sur fond public (la Marie de Paris) et se trouve sur une propriété publique payé par le contribuable. Un éloge d’un criminel, fanatique tueur de masse en omission de ces crimes.

Paris est sali avec ce communiqué de sa maire et cette exposition une infamie. Pourquoi pas une exposition à l’éloge de Hitler ? Pol Pot ? Cette exposition est un immondice qui discrédite notre pays au yeux du monde.

Un bourreau guérillero qui tue par principe sans limite, sans règle ? Une « icône romantique » ? C’est une seconde humiliation pour les victimes.

 

Le Ché tire
Le Ché menace avec son arme

On est toujours éberlué de contempler cette gauche qui trouve l’inspiration et voue tant d’amour et d’adoration pour les tyrans meurtriers, les tarés les plus répugnants de l’histoire.

L’humanité en son temps avait déjà fait l’éloge de Adolphe Hitler au nom du pacte germano-soviétique et les membres du PCF de Paris ont proposé à l’arrivée des Allemands dans Paris leurs services.

Les socialo-communistes font toujours fait l’éloge des meurtriers de masse. Le dictateur russe Joseph Staline a même fait l’objet de poèmes, lui qui a massacré des dizaines de millions de personnes. Mao Zedong, Pol Pot ou Castro sont des exemples de leurs admirations successives comme aujourd’hui ils encensent le Venezuela, et les affameurs Maduro et Chavez.

 

Le Ché arme au poing
Le Ché arme au poing

Une figure gauchiste a acquis un statut d’icône populaire avec la gauche post-soixante-huitarde, Ernesto « Che » Guevara, le médecin argentin devenu guérillero dont le visage a orné en son temps les tee-shirts de millions de hippies et d’étudiants formatés par l’éducation nationale.

Les profs de cette éducation nationale à majorité complaisants aux idéologies socialistes ont fabriqué un enseignement d’une fake-histoire et leurs dénis idéologiques ont censuré la réalité de ces monstres socialistes.

La gauche toute entière a revisité l’histoire et transformé un type sadique et monstrueux en mythe révolutionnaire.

Aujourd’hui les gens ne savent pas les vérités sur le socialisme, le résultat du socialisme et les icônes socialistes quasi tous des monstres aux pulsions criminelles. Le Ché encensé comme icône et ses crimes sont quasis inconnu du public en est la preuve de la bienveillance envers les idéologies socialistes de l’éducation nationale. C’est dramatique.

La gauche a réussit a faire croire que le Che était un combattant de la liberté qui menait des soldats révolutionnaires dans la bataille contre leurs oppresseurs dans des pays pauvres du monde entier, de Cuba au Congo en passant par la Bolivie.

Le Che ordonne une exécution

Le Che ordonne une exécution

La réalité est bien plus sombre. Le Ché était un psychopathe meurtrier qui prenait plaisir à torturer et tuer. Après avoir aidé Fidel Castro à Cuba à renverser le régime de Fulgencio Batista, Castro nomma Guevara ministre des Finances, et il décima rapidement l’économie cubaine en embrassant les politiques socialistes et sa propre ignorance économique.

Guevara a également été placé en charge de la tristement célèbre prison de La Cabana à La Havane, où il a supervisé tortures et meurtres à la chaîne et sans procès. Après des arrestations et des interrogatoires superficiels, sans procès, les pelotons d’exécution du Che alignèrent des milliers de paysans cubains hommes, femmes et enfants qui ne comprenaient rien à ce qui leur arrivait contre les murs de la prison et les exécutèrent comme des ennemis de l’État.

 

Les intello-gauchistes toujours dans le déni de l’idéologie criminogène du communisme prétendent souvent que, bien que sa brutalité ait parfois été un peu excessive, le peuple cubain adorait toujours Guevara. Rien n’est plus faux. En fait, Cuba est un État policier et le Che en était le cofondateur. Les Cubains « l’aiment » de la même manière que les Roumains aimaient « Nicolae Ceausescu et les Allemands de l’Est » aimaient l’architecte du Mur de Berlin Erich Honecker.

Exécution Sierra Maestra troupes de Castro et Che

Exécution Sierra Maestra troupes de Castro et Che

Savez ce qui arrive à Cuba, aux Cubains qui osent dire du mal de ce monstre de « Ché » ? Ils sont arrêtés. Quand il était encore vivant, ils ont étaient exécutés ou rassemblés dans des camps de travail forcé. Donc oui, tout les Cubains aiment le « Ché ». C’est la loi qui l’exige par la terreur coercitive. Malheur à ceux qui désobéissent à la sécurité de l’État. Dire la vérité sur le « Ché » c’est risquer la mort.

Les gauchistes idolâtrent Guevara malgré le fait qu’il était l’instrument d’oppression brutale de Castro sur les paysans de Cuba, malgré le fait qu’il a écrasé la liberté de parole, le libre arbitre et emprisonné et torturé les homosexuels sans pitié.

En contraste avec le succès militaire qu’il a vu à Cuba sous Castro, lorsque Guevara a fuit Cuba et tenté de mener des rébellions insurrectionnelles à travers le monde, il s’est montré incompétent. Cette incompétence a finalement conduit à sa propre mort en Bolivie.

Bien que le Che soit venu en Bolivie pour mener une autre révolution, il n’y a pas un seul exemple documenté d’un paysan bolivien qui a rejoint son armée. Absolument aucun, contrairement aux textes revisités et enjolivés de wikipedia. La vérité est que son groupe en Bolivie frappait et terrorisait partout ou il passait et ses hommes violaient les femmes des villages.

Le Ché exécuté
Le Ché arreté et exécuté

Plutôt que d’être considéré comme un héros libérateur, les Boliviens le considéraient à juste titre comme un intrus tyrannique. Le maire de La Higuera, la petite ville où Guevara a été traqué, capturé et abattu. C’est le maire qui a appelé les autorités à révéler que Guevara se cachait dans leur petite ville.

C’était en plus un lâche qui a tenté de vendre ses adjoints pour essayer de se sauver de la mort. A son arrestation, plaidant pour sa vie. Quand le Che c’est rendu, voyant ses acolytes exécutés sommairement, il a crié : « moi suis Che Guevara, et moi il ne faut pas me tuer, j’ai plus de valeur pour vous vivant que mort ». Il demandait la vie pour lui, sans inclure ses camarades de révolution.

Devant les monstruosités qu’il avait fait en Bolivie, il a été exécuté, mitraillé comme lui exécutait ses victimes. Sans procès par les soldats des villages qu’il avait pillé auparavant. Ils n’ont pas tenu compte de ses suppliques.

 

Raoul Castro baillonne un prisonnier pour que le Che l'exécute.

Raoul Castro bâillonne un prisonnier pour execution

Le « Ché » est exemple concret du révisionnisme historique subit et organisé par la mainmise idéologique socialiste sur l’école et les programmes scolaires. Le « Ché » est un témoignage du succès des idéologues qui occupent l’éducation nationale arrivent à faire passer des monstres pour des icones dans nos écoles.

Les hordes d’étudiants manipulées par les forces politisées des syndicats, partis de gauche à l’école dans les années 70 et 80 ont porté fièrement des chemises et T-shirt arborant le visage d’un homme farouchement opposé à tant de principes et de croyances qu’ils prétendaient chérir.

Ils ont réussit à faire passer le Che comme un révolutionnaire qui s’est battu pour les pauvres et les opprimés, alors qu’il était un tyran psychotique qui se délectait de la torture et du sang, écrasait la liberté de parole et massacrait ses opposants politiques, réels ou imaginaires. Ces sycophantes profs gauchistes sont ce que le dictateur soviétique Vladimir Lénine a appelé des « idiots utiles ». Le « Ché » est révélateur de ce que le dissident russe Alexandre Soljenitsyne a écrit : « Le socialisme conduit à une destruction totale de l’esprit critique humain ».

L’éducation nationale politisé est particulièrement responsable de la censure de la réalité qui ont fabriqué cette fake-histoire négationniste des crimes et criminels socialistes qui se sont suivit durant des années.

 

C’est également avec beaucoup d’ironie que les capitalistes que nous sommes pouvons noter que le « Che », l’icône de la révolution socialiste à travers le monde, a généré des richesses incalculables pour ceux qui colportent des marchandises capitalistes contenant son image sur des T-shirts.

Les familles des victimes du « Ché », qui ont perdu, tel un père, tel un frère, tel un enfant de ses balles, doivent savoir que tous les Français ne ressemblent pas a cette caste d’intello-gauchistes manipulateurs idéologues qui organisent des expositions idolâtres pour un tel taré.

Recevez nos excuses et confusion d’avoir de tels gens a des postes si élevés comme la maire de Paris si pathétique. Excusez nous d’avoir dans notre pays des gens qui font passer l’idéologie avant le réel et refusent la contradiction. Ils ne représentent qu’une catégorie de Français.

Toutes nos pensées pour les victimes.

Quelques sources :

http://www.washingtonexaminer.com/che-guevara-was-an-evil-possibly-psychopathic-idiot/article/2636959

http://www.latercera.com/noticia/creo-una-gigantesca-mentira-alrededor-del-che-jacobo-machover-escritor-cubano-califica-asesino-ernesto-guevara-50-anos-muerte/

https://www.amazon.fr/face-cach%C3%A9e-du-Che/dp/2200617682/

https://www.dreuz.info/2017/09/18/la-verite-sur-le-criminel-profiteur-misogyne-parasite-et-hypocrite-che-guevara-cest-motus-et-bouche-cousue/

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Incroyable ! Quelle surprise! La capitale d’Israël est Jérusalem…

Des poules découvrent une paire de ciseaux. Marrez vous et lisez les journaux de la bien bien-pensance actuellement sur Israël. Que de circonvolutions sémantiques font ils pour nier l’évidence qu’ils seront tous obligé d’admettre dans quelques temps.

Au cas ou vous l’ignoreriez tous, Jérusalem est la capitale d’Israël. POINT.

Que ça ne plaise pas à l’ONU, les bolcheviques antisémites ou les socialos marxistes journalistes. C’est la réalité. L’ONU, relayé par l’establishment, les médias et les politiciens mielleux sans conviction, deviennent furieux quand les faits ne correspondent pas à leurs choix et illusions. Mais ça c’est indéniable. Pas une fiction. Jérusalem est la capitale de Israel.

La réaction de l’Establishment étatiste subventionné et de gauche complaisante aux Palestiniens est hallucinante…. La capacité à salir Trump par l’establishment subventionné et majoritaire des bobos intellectuello gauchistes complaisante à la partie palestinienne jusque qu’au déni est hallucinante….

Leur capacité à marteler une inexactitude relève de l’indécence et d’une volonté hallucinante a affirmer des faits qu’ils savent faux, comme si c’était une vérité.

C’est comme si la presse, les journalistes, les politiciens, les commentateurs vous rendaient compte d’une partie de football alors que les joueurs jouent sur le terrain au Rugby.

Les journaux ne font pas de l’information mais de la propagande. Nous savons que les journalistes sont une caste qui vote à gauche, mais en plus ne fait même pas de l’information mais du déni de réalité quand les faits dérangent le camp de la bien-pensance.

La chose la plus visible et sans aucune équivoque au Moyen-Orient, à part les effusions de sang, c’est la pauvreté, la tyrannie, le totalitarisme etc. Et le plus étrange est la description à charge de Israël sans refléter la réalité et d’excuser les pays arabes. Israël étant le lieux ou les arabes du moyen-orient sont le plus en sécurité et vivent le plus dans une vraie démocratie.

israel3L’annonce de Trump (quoique en plus essentiellement symbolique) que les États-Unis vont reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël fait sensation dans ce monde fermé plein de ses certitudes.

Avant même que vous puissiez débattre de savoir si c’est une bonne ou mauvaise décision, l’establishment médiatique a décidé pour de vous ingurgiter et vous éclairer que d’un point de vue biaisé de leurs convictions en faisant déni de réalité. Les braillards de l’information réunis veulent vous faire ignorer ou minimiser la réalité factuelle.

Jérusalem est la capitale d’Israël. La Knesset, le parlement israélien, se réunit là-bas. Les Israéliens l’appellent leur capitale pour la même raison qu’ils prétendent que deux plus deux égalent quatre. C’est juste factuel. Vrai. C’est comme si on déniait aux Français de décider que Paris n’était pas la capitale de la France alors que tous les Français voulaient et pensaient que la capitale c’est Paris.

Ce qui rend la décision de Trump controversée, c’est que tout le monde avait accepté de prétendre que ce n’était pas « soi-disant » la capitale pour protéger « le processus de paix ».

israel1Le « processus de paix »  :-))  :-))

Vous savez, cette vaste blague appelée « le processus de paix » miroir d’illusions derrière lequel se réfugient ceux qui font passer leurs illusions idéalisées à la place de la réalité.

« le processus de paix » si vous avez fait l’effort de vous informer ailleurs qu’en France, ne correspond aucunement à une quelconque réalité. Il n’y a tout simplement pas de processus de paix, sauf dans les canards en papier encré, pour allumer le feu pour amuser la galerie.

Mahmoud Abbas, le président palestinien finit sa douzième année de « son mandat officiel de quatre ans », a refusé de rencontrer les Israéliens pour discuter de quoi que ce soit depuis 6 ans. Israël même si ces faits sont sans appels et qu’il est plus simpliste d’accuser ce pays, n’est pas responsable de l’illusion de cette pantalonnade en impasse nommée « processus de paix »…

Une partie de la responsabilité du retour à la réalité nié, bien sûr, appartient aux lâches diplomates et politiciens et l’ONU, qui ont construit pour se donner bonne figure de leur interventionnisme ou non interventionnisme, une illusion autour de ce qu’ils voulaient être vrai plutôt que de ce qui se passe réellement. L’établissement a cherché à gérer l’illusion en éloignant et stigmatisant Israël. En faisant croire que Israël était la partie la plus obstinée du « processus de paix » alors que dans les faits, c’est bien plus compliqué. L’administration Obama de gauche a choisi une posture politique de ne pas opposer son veto au Conseil de sécurité. résolution déclarant Jérusalem-Est « territoire occupé ».

Cela impliquait qu’en droit international, et dans la fiction du déni de l’ONU que le Mur des Lamentations et le quartier juif de Jérusalem appartenaient en réalité aux Palestiniens, ce qui est un fantasme insensé et ridicule.

israel5Le déni de réalité est la façon dont les politiciens et médias serviles ont présenté la situation réelle .

Dans le discours après l’annonce de Trump, Abbas a longuement parlé de l’histoire de Jérusalem en tant que ville musulmane et chrétienne. Il n’a fait aucune mention du fait que c’est aussi et surtout une ville juive célèbre, s’étant établie comme la capitale de l’ancien Israël 1000 ans avant la naissance du Christ.

Les médias de la pensée unique investis dans l’irréalité insistent sur le fait que le mouvement va aggraver « le soi-disant conflit du Moyen-Orient ».

Des livres entiers sont dédiés au conflit du Moyen-Orient, comme si le conflit israélo-palestinien était le seul conflit de la région. Dites-le aux centaines de milliers de Syriens morts ou aux millions de personnes déplacées par la guerre civile là-bas. Dites-le à ceux qui meurent au Yémen, pour une guerre par procuration entre l’Iran et l’Arabie saoudite. Entre les gens qui meurent d’un conflit entre Sunnites et Chiites au Liban.

Les médias arrivent a faire passer le conflit israélo-palestinien comme la source de tous les problèmes de la région. Est-ce que la guerre entre l’Iran et l’Irak, qui a coûté la vie à plus d’un million de personnes, oul le combat contre l’État palestinien ? Qu’en est-il de la guerre civile au Liban ? La campagne de répression ethnique de la Turquie contre les Kurdes ? De la guerre Saoudo-Yeménite ?

Retour à la réalité après des années de fiction.

Ceux qui vendent l’idée que le conflit du Moyen-Orient c’est Israël, sont ceux qui ont toujours défendu les totalitarismes. Les experts occidentaux et les activistes profondément investis dans le « processus de paix » qui ne veulent pas être au chômage et continuer à loger gratis dans les beaux hôtels de Genève et ceux qui veulent tirer profit et manipuler le soi-disant « vote arabe » pleurent qu’un grand pays comme les USA reconnaissent ce qu’ils niaient jusque présent.

En favorisant le fantasme plutôt que sur les faits, l’équilibre du pouvoir dans la région a changé en faveur de l’Iran, O Bama en levant les sanctions et donnant à l’Iran des centaines de milliards de dollars pensait que les Iraniens rejoindraient la communauté des nations. Au lieu de cela, ils ont empoché l’argent et sont maintenant sur un chemin de une bombe nucléaire.

israel4En raison de cette nouvelle réalité, les vieilles fictions sont un luxe que les adversaires régionaux de l’Iran ne peuvent plus se permettre. C’est pourquoi l’Arabie Saoudite, financière palestinienne de longue date, se rapproche de plus en plus d’Israël, parce qu’Israël est devenu soudainement plus précieux dans le nouveau conflit du Moyen-Orient que ne l’étaient par le passé les Palestiniens.

Trump n’a pas fait grand chose. Il tient juste compte de la réalité du terrain. Trump n’est pas un intellectuel de gauche qui place l’idéologie avant la réalité. Contrairement aux journaux qui vous le disent et martèlent. Les plus ridicules sont ceux qui ont fait croire depuis tant d’années qu’un pays de 2 parties croupionne grandes comme un département Français, qui plus est séparés par 43kms, ou la démocratie n’existe pas, ou il n’ y pas de pétrole ou de banques, ou d’industrie deviendrait un pays prospère comme la Suisse ou Hong Kong.

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Les leçons des plus grandes croissances économiques des 40 dernières années

La croissance est le plus grand moyen connu d’amélioration dans la vie de l’ensemble des populations. Une croissance économique forte signifie toujours une plus grande prospérité pour tous les citoyens.

Quelques règles à savoir :
Une croissance économique constante de 10% entraine un doublement du pouvoir d’achat de en 7 ans.
Une croissance économique constante de 5% entraine un doublement du pouvoir d’achat en 14 ans.
Une croissance économique constante de 1% entraine un doublement du pouvoir d’achat en 66 ans.
Le taux de croissance de la France est de 1.2%.

Voici quelques exemples les plus significatifs :
Exemple 1 : La Chine : les ZES (Zones Economiques Spéciales) et FTZ (zones de libre-échange).
30 années à 25,8 % de croissance en moyenne de 1980 à 2010. …
En 1980, les secteurs d’état sont démantelés et s’ouvrent les premières zones économiques spéciales sous l’impulsion de Deng Xiaoping et le renoncement à l’idéologie égalitariste.
Ces zones bénéficient d’une autonomie totale et ont proposé aux entreprises étrangères des conditions préférentielles (droits de douane faibles, libre rapatriement des investissements et des bénéfices, pas d’impôts pendant les 10 premières années d’implantation, puis impôts très faible avec statut d’extra-territorialité pour les cadres qui viennent travailler.

shenzhen
Shenzhen, Guang Zhou, Zhuhai, Shantou, Xiamen sont 5 exemple des 15 grandes ZES de la chine.
L’exemple de Shenzhen la plus emblématique, est passé d’un village pêcheurs en 1980 à une mégapole grande comme la Belgique  et cœur économique de la chine. Aujourd’hui c’est 10 millions d’habitants et 28 000 usines de plus de 100 personnes dont les fameuses usines de Foxconn ou 400 000 personnes travaillent à Shenzhen sur ses 1 million de salariés au monde.
En 2013 une étude basée sur les revenus déclarés par les entreprises des ZES chinoises indique que le revenu moyen annuel des travailleurs de ces ZES est entre 12 800€ et 22 000€ selon la ZES, sachant qu’en chine une grande partie des revenus sont au noir ou « non-déclarés », de nombreux chinois qui fabriquent vos produits quotidiens sont plus riches que de nombreux Français qui croient encore que la Chine est un pays de bas salaires généralisés.

-Comment les chinois en sont arrivés là? La liberté économique capitaliste à l’intérieur de mégapoles. La réhabilitation de la notion de profit, la fin de la planification de l’économie par l’état. Et un slogan pour le faire admettre « Il est glorieux de s’enrichir ».

 Exemple 2 : Hong Kong : fin des droits de douane et des taxes sur les revenus extérieurs.
65 années à une moyenne de 7% par an entre 1951 et 2016.
Hong Kong ne prélève aucun droit de douane et n’impose aucun quota. Il n’y a pas de restrictions sur la propriété étrangère et les étrangers peuvent investir dans une entreprise locale et détenir jusqu’à 100% du capital.

hong-kong

L’impôt sur les revenus tirés des activités hors de Hong Kong est de 0%, il n’y a donc aucun impôt sur les sociétés dans ce cas. Seules les entreprises exerçant à Hong Kong sont soumises à l’impôt société local de 16,5 %.
Hong Kong au fil des ans est devenu le centre d’une activité de services liés à la finance, la logistique, le conseil et le commerce sur les marchés internationaux entre les entreprises du monde entier et l’Asie dont la Chine ou Taiwan.
Le pays est devenu avec sa croissance la deuxième économie planétaire, après les Etats-Unis, mais devant le Japon, l’Allemagne et l’Angleterre.
Hong Kong en 1950 est le refuge des chinois des secteurs marchands chassés de leurs métiers par le communisme planificateur de la Chine continentale. Le pays étant trop petit et enclavé, pour assurer des débouchés, et d’une industrie textile naissante, le gouvernement protectoral choisit de tout miser sur l’import-export et décide l’abrogation de nombreux droits de douane.
-Comment Hong-Kong en est arrivés là? Le choix du libre-échange par la déréglementation douanière.

 
Exemple 3 : le Chili : Système de retraite et secteur marchand restauré.
6,5% de moyenne pendant 34 ans avec des pointes à 8,7% dans les années1990.  De 1981 à 2014 une croissance ininterrompue.
Ces années de croissances seront appelées le « miracle économique du jaguar ».

santiago
En 1979 le système de retraite par répartition est défaillant. Les cotisations sont détournées par les fonctionnaires corrompus, mis en place par l’ancien régime qui veulent saper l’économie et l’état a du mal à payer les retraites. Sur les propositions d’un anodin ministre du travail de l’époque « José Pinerai ». Il est mis fin aux systèmes de retraite par répartition et il est remplacé par un système de compte épargne individuel qui assure pour sa retraite un retrait mensuel inaliénable de son épargne, et cas de décès, le solde du compte-épargne aux ayants droit.
Le niveau de retraite, n’est plus déterminé par la corporation ou l’arbitraire d’un système d’état, mais par la somme d’argent qu’il a mis de pendant ses années travaillées sur son compte épargne-retraite individuel.
L’effet inattendu sera une pour le pays une incroyable élévation du niveau de vie général. Les fonds de pension créés pour le système de retraite Chilien sont contraints d’investir 90% de leurs ressources dans des entreprises Chiliennes, et associé à la privatisation du secteur autrefois collectivisé, ont engendré un dopage qui industrialisera le pays et en fera le pays le fiable et riche économiquement du continent. Aujourd’hui encore le Chili a un endettement faible et une richesse par habitant élevée comparé à tous ses pays voisins.
-Comment le Chili en est arrivé là? Le choix de l’assurance retraite par fonds de pension.

 

Exemple 4 : la Russie : La Flat-Tax

6,7% de moyenne pendant 6 ans
Entre 2001 et 2007, la Russie a connu une croissance économique moyenne de 6,7 %.
A la fin des années 90  les russes font le constat que les recettes de l’impôt progressif au fil du temps est devenu une usine à gaz. La dette du pays est insoutenable. Les seuils de progressivité et la discrimination que cela implique est de moins en moins accepté. La progressivité encourage la bureaucratie, l’optimisation fiscale complexe, le travail au noir, et le recouvrement est devenu complexe.

Janvier 2001, la Russie  dérèglemente sa fiscalité, devenant ainsi la première grande économie à adopter un impôt au pourcentage uniforme. Un taux d’imposition forfaitaire unique de 13% est adopté.

La Flat-tax a transformé la mentalité des individus. Elle a normalisé l’acte de payer ses impôts. Elle a brisé le sentiment de certains individus à se sentir spoliés et encouragé l’envie de s’enrichir et libéré la consommation qui a provoqué un boom économique. La réduction drastique de la dette qui en fait encore à partir de cette époque un pays très peu endetté.
En 2013 un acteur-entrepreneur Français très connu a demandé à bénéficier de ce système attractif et mille fois moins complexe que le code des impôts Français.
-Comment la Russie a réussi à avoir un taux créé de croissance élevée? Le choix de la simplification par la déréglementation fiscale.

 

 

Croissance2
Qu’en conclure ?

Qu’en France, la mise en place de la dérèglementation fiscale et la Flat tax unique sans n’a pas été essayé.

Qu’un système de retraite par épargne-retraite individuel ou l’état n’intervient pas n’est pas à l‘ordre du jour en France alors qu’ils se mettent en place partout ailleurs.

Les droits de douane sont toujours élevés et complexe, que les profits réalisés à l’étranger sont toujours fiscalisés, que l’investissement étranger vers les secteurs marchand n’est pas favorisé.
Que ce n’est pas demain la veille que nous aurons une croissance forte, puisque notre classe politique ne veut pas sortir de l’interventionnisme de l’état et tout diriger de la vie à la mort de nos concitoyens….

La croissance de la France est en 2016 classée 136 ème du monde sur 176 pays décomptés. C’est-à-dire dans les derniers.

Le Ministre des Finances de Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert, a demandé à un marchand ce que le gouvernement pourrait faire pour promouvoir la croissance des affaires. Il répondit : «Laissez-nous faire, laissez passer les grains« , (l’état taxait le commerce des grains et semences).  La société  à cette  époque, avec 25 millions d’habitants, vivait de famine en crise de subsistances ».

À partir du moment où la liberté a été instaurée (la révolution Française supprime définitivement les douanes intérieures), la famine ne fut plus après jamais qu’un lointain souvenir de la royauté…

Même l’histoire se mêle aux exemples qu’il est nécessaire de déréglementer et sortir de l’interventionnisme d’état.

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charlie über alles

J’avais pondu ceci en 1/4 d’heure, d’une seule traite, le 12/01/2015, soumis à la modération le 13 et publié le 14/2015 sur C4N
– qui est ce tiers qui juge de l’incohérence des propos d’autrui, à moins que lui même . . .- il est désormais autorisé d’uriner n’importe où, n’importe comment, n’importe quand

HALTE À LA CHARLIE MANIA

Désormais critiquer Charlie c’est un blasphème !
Rire de Charlie est et peut vous causer de l’urticaire !
Charlie est personna grata, les autres non !
Rien n’existe sans Charlie !
Aujourd’hui Charlie est notre maitre à penser à tout, tout prêt !
Même si vous n’aimez pas Charlie, aimez-le !
Charlie est gentil, tout les autres sont méchants, tous y compris vous !
Si vous ne pensez pas comme Charlie, soyez maudit !
Lynch veille si vous dites du mal de Charlie
Tout vous sera pardonné si vous louez Charlie (pas trop cher tout de même) !
Charlie est le Ying et le Yang !
Point de salut sans Charlie !
Si vous voulez récupérer Charlie, rackez !
Charlie nous sauvera tous, même si on n’y croit pas ?
Faites ce que vous voulez, Charlie veille !
Les millions de Charlie ne seront pas perdus pour tout le monde !
Votre liberté s’arrête à celle de Charlie, autrement dit, oubliez la !
Seule la gauche-de-la-bien-pensance peut parler au nom de Charlie !
Saint Charlie ne priez pas pour nous ou alors discrètement !
Je suis bouleversement charlivari(é) !
On peut rire de tout mais pas avec n’importe quel Charliot !
Big Charlie veille sur vous !
Seule la pensée Charlie peut sauver l’humanité !
Charlie est la lumière de l’existence, rien d’autre n’existe !
Je ne crois en rien d’autre que Charlie !
Tous les matins en me rasant je me regarde en rêvant à Charlie !
Si vous oubliez votre prière à Charlie, lui ne vous oubliera pas !
Charlie est omnipotent (impo(r)tent?) et vous sauvera demain, j’ai dit demain !
La gauche a récupéré Charlie, il est son étendard et son symbole !
Utiliser Charly à des fins personnelles est autorisé d’interdiction !
Seuls les grands prêtres autoproclamés de la nouvelle religion Charlie peuvent parler en son nom !
Le sacrilège suprême c’est de parler en mal de Charlie !
La profanation des reliques de Charlie est soumise à déclaration préalable !
Vous pouvez rire de Charlie mais seulement à vos risques et périls !
Si vous riez de vous même prenez garde que ce ne soit pas en contradiction avec les nouvelles lois de Charlie!Avant de rire de Charlie vous devez déposer un dossier pour obtenir la permission (temporaire) !
Seules les personnes autorisées à s’autoriser ont le droit de rire, en ce qui concerne Charlie il faut une autorisation spéciale !
Aucune autre religion que Charlie n’est tolérée !
Aucune autre doctrine politique que Charlie n’est tolérée !
La charlisisation de la société est en marche, rien ne pourra l’arrêter !
Vive les lendemains charliesques qui chantent !
La célèbre formule de benito mussolini doit être modifiée comme ceci :
Tout dans l’État-Charlie, rien contre l’État-Charlie, rien hors de l’État-Charlie.
Charlie vous demande à tous de déraison garder !
La charlimania à haute dose décérèbre !
Les charliphyles et les charliphobes sont à mettre dans le même panier !
L’aubaine de la charlimania tombe à pic pour certains !
Charlie est un soporifique pour oublier la situation catastrophique de l’économie !
La prescription de suppositoires charlifiques n’est autorisée que les jours grévés !
Charlie est une bénédiction pour relever le niveau d’impopularité d’incertain !
La meilleure façon de parler c’est de charlifier !
Le charlivisme est incompatible avec toute démonstration de modération et/ou de tolérance !
Les charlivistes sont les adorateurs de Charlie, ils suivent ses préceptes aveuglément !
Le charlivisme est la nouvelle religion d’état !
Toute personne critiquant le charlivisme encoure des poursuites !
La critique de Charlie est interdite même de façon indirecte !
CHARLIE ÜBER ALLES, telle est la nouvelle devise de la ripoublique
Charlie détient le monopole du coeur, à ce titre il faut demander la permission d’en avoir
Seul Charlie est solidaire, universel et fraternel, les autres, NON!
Seul Charlie s’oppose à la tiranie, à l’esclavage, à la pensée inique, rejoignez-le !
Heureusement que Charlie existe, notre économie va redémarrer très fortement, la preuve : Charlie Hebdo.
Si vous n’être pas d’accord avec les moutons estampillés Charlie, vous risquez des problèmes!
Les islamistes assassins n’existent pas, seuls les barbares assassins existent, Charlie dixit !
LA CHARLIA EST EN MARCHE, DORMEZ BIEN BRAVES GENS !

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Nazisme et Communisme deux faces de la même pièce

Le nazisme et le communisme sont deux faces de la même pièce, mais il n’est qu’à la mode dans notre société de ne mépriser qu’une seule face.
Les deux idéologies sont les 2 faces de la même pièce des idéologies totalitaires.
Pour la plupart des gauchistes et l’enseignement général, le Troisième Reich d’Hitler reste l’expression ultime de la haine raciste et meurtrière. Pourtant, parmi les pires assassins de masse du 20e siècle, Adolf Hitler est en troisième position et distancé d’une marge conséquente.
Selon la plupart des estimations historiques, Hitler a assassiné six millions de Juifs et cinq millions d’autres (prisonniers politiques, tziganes, témoins de Jéhovah, homosexuels, asociaux, apatrides, et prisonniers de droit commun). , ce qui porte son génocide total à 11 millions.
Le total de Joseph Staline est classiquement mis à 20 millions de morts, (prisonniers politiques, syndicalistes, arrestations préventives, exemples pour de montrer la terreur, quotas d’innocents à interner, innocents jugés arbitrairement, les déportés, les commerçants, les peuples des Pays baltes, de Pologne , d’Ukraine, de Biélorussie, de Moldavie, de Crimée, les Tatars, les Caucasiens, les Ingouches, les Tchétchènes) certains historiens disent que c’est certainement le double, les déportés n’étant pas tous comptés.
Mao Tsé Toung fut le plus grand monstre cruel et despote que la terre a connu. Il dépasse les génocides de Hitler et Staline cumulé. Mao est responsable de 40 à 77 millions de personnes tuées, avec l’écart en raison d’un argument historique en cours sur la question de savoir si la famine massive de millions dans la grande famine de la Chine (1958-1961) était intentionnelle ou non. La plupart des historiens se penchent vers le nombre plus élevé.
Mao et Staline étaient les superstars du communisme, mais il y a d’autres massacres comme Pol Pot et les Khmers rouges, qui ont régné le Cambodge de 1975-1979 et ont tué deux millions de personnes aboutissant à la mort de à 20 % de sa population. Les cadres Khmers ont étés formés à Paris au sein du PCF. Le PCF n’a jamais eu à répondre de sa responsabilité dans cette horreur et les intellectuels et médias de gauche ont eu une bienveillance complaisante envers ce parti qui a du sang sur les mains.

Il importe également pour les gauchistes que la culture de l’ignorance sur ce qu’étaient la réalité des fondateurs du communisme, Karl Marx et Friedrich Engels, des racistes et antisémitismes avoués soit caché.
Dans une lettre à Engels, en référence à son concurrent politique socialiste Ferdinand Lassalle, Marx a écrit: « Il est clair pour moi que Lassalle, comme le prouve sa formation crânienne et ses cheveux, descend des Noirs qui ont rejoint l’exode d’Egypte de Moïse, en je suppose que sa mère ou grand-mère du côté paternel se soit croisée avec un nègre. Maintenant, cette union du judaïsme et une substance noire basique doit produire un produit particulier. »
En 1887, Paul Lafargue candidat à un siège de conseil dans un quartier parisien du zoo de Vincennes, qui était le beau-fils de Marx, était l’objet de moqueries racistes de la part de Marx et comparé à un singe sorti du zoo de son quartier.
Marx était un antisémite, dans son essai intitulé «Sur la question juive», publié en 1844. Marx a publié: « Quel est le dieu du juif mondain? L’argent. La lettre de change est le vrai dieu du juif. Son dieu n’est qu’une lettre de change… La nationalité chimérique du juif est la nationalité du marchand ».
La vérité sur Marx est totalement effacée dans l’instruction des Européens et des autres peuples.
Alors, pourquoi Hitler, par opposition à Mao ou Staline, est la seule incarnation du mal qui nous est exposé à longueur de journée par les médias et l’éducation nationale ou sont concentré les gauchistes?
Parce que la gauche n’a jamais complètement rejeté sa croyance en la philosophie du communisme et dans sa vision égalitariste, collectiviste. . Les gauchistes utilisent les nazis comme un épouvantail mais jamais le communisme qu’ils considèrent comme une radieuse imagerie romantique du genre Robin-des-bois.
Une telle tolérance méprisable par les médias est notre quotidien. Le journal l’humanité qui a chanté les louanges et pleuré sur la mort de Staline est aujourd’hui le journal le plus subventionné au numéro en France.
Les journaux comme « le monde diplomatique, ou le « parti de gauche ont une attitude de déni de la dictature sur le Venezuela, dont l’implosion révèle de l’indécence de ces idiots utiles de gauche qui ont salué le «socialisme du 21ème siècle» qui dévient à la nouvelle tyrannie totalitaire la plus abjecte sous nos yeux.
La même tyrannie totalitaire sévit en Corée du Nord ou Zimbabwe.
Pour les sympathisants et les partisans communistes et front de gauche, rien de tout cela n’a d’importance…..C’est une abjection !
La raison pour laquelle ils ne condamnent pas la barbarie du communisme est qu’ils accordent une attention énorme aux mots et aux idées. Ils trouvent que les idées du communisme sont louables et attrayantes. L’idéologie leur est plus importante que Les résultats concrets de la pratique du communisme en situation réelle. Les gauchistes du monde entier continuent à célébrer les idées du communisme, car pour eux l’idéal communisme est plus important que les souffrances subies par les individus de leur idéologie.
Socialement, il nous est interdit de stigmatiser ou d’être désobligeant sur les groupes minoritaires. Il est immoral de prendre une minorité comme bouc émissaire des malheurs du monde. L’idéologie communiste ne fait que distiller la haine de minorités et réclament l’élimination groupes sociaux comme les riches ou les bourgeois. Pour ces mêmes raisons de stigmatisation et d’appels à la haine de minorités, les idéologies racistes, les idéologies de Daech, ou les nazis nous semblent toutes nauséabondes.
La culture de gauche et les idées communistes sont présentes depuis des décennies. La lecture des archives de l’ex-URSS ont confirmé avec des preuves irréfutables de la coopération entre les soviétiques et les communistes Français jusqu’en 1989.
Le port du t-shirt du monstre assassin Che Guevara ne pose pas de problèmes intellectuels à ces gens, mais celui de Hitler les fait bondir.
Tout l’état et les institutions d’état sont infiltrés et influencés par la gauche, principalement l’éducation nationale et son programme scolaire diffuse un endoctrinement au Marxisme est la règle.
Le BAC ES est quasi un diplôme en socialisme. Et les théories doctrinaires de Karl Marx sont l’incontournable de ce diplôme comme d’autres et nos enfant subissent les obligatoires dissertations absurdes de ses théories périmées et réfutées par les résultats pratique des essais Marxistes.
La confusion morale est un élément nécessaire des gens de gauche.
Ainsi, 100 ans et 100 millions de décès plus tard, la gauche Française communisme reste intacte.
Socialisme et déni font la paire…

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Sécurité sociale. asymétrie d’information et mythe idéologique

La sécurité sociale vous avez tous un avis là dessus mais qu’en savez vous en dehors des clichés et mythes qu’on vous impose depuis l’enfance ?

La sécurité sociale est un exemple d’asymétrie d’information. Certainement l’une des pire car face à la réalité, l’idéologie est plus forte que le raisonnement.

 

L’asymétrie d’information

L’asymétrie d’information est en économie un échange ou l’un des participant dispose d’informations pertinentes que l’autre n’a pas.

L’exemple le plus connu est celui du « vendeur de véhicule d’occasion d’occasion », qui fausse ou dissimule une partie des informations, en vue d’amener plus facilement une transaction avec un acheteur.

L’asymétrie d’information est un pilier de notre vie sociale. Les conséquences ne sont pas neutres, La Nobel Georges Akerlof conclus dans sa thèse Nobel, que l’asymétrie d’information provoque un problème de « sélection adverse » .

Pas besoin d’être Nobel pour comprendre que quand vous n’avez pas toute l’information d’un produit ou service que vous achetez, Vous pensez que c’est le meilleur rapport qualité/prix mais en réalité si vous aviez eu connaissance d’un autre choix et informé de la réalité de celui que vous avez acheté vous en auriez fait un autre,

Tirole le Nobel Français avec des exemples d’aiguillages et de trains, démontre lui que l’asymétrie d’information change les comportements. Que l’environnement social modifie le comportement rationnel. Dans la réalité si vous saviez, étiez correctement informé et preniez le temps de comprendre, il y a longtemps que la France serait passé pour la santé à la mutuelle privée et la retraite au fond de pension.

La sécurité sociale. Les clichés et l’information réelle.

Voici donc les mythes dans lequel vous vivez et la réalité :

Mythe 1 : la Sécurité sociale est un acquis social plébiscité par tous les Français

La réalité :

Le modèle social français, ce sont des gens qui paient, d’autres qui en bénéficient, rien de plus. Ce mythe permet d’entretenir l’illusion d’un modèle social fondé sur une redistribution acquise au terme d’une lutte acharnée contre des puissants. La démagogie sur les « droits sociaux » s’en trouve confortée, tout comme la légitimité d’un pouvoir politique qui usurpe son statut de protecteur des plus faibles.

En réalité, il n’en est rien. C’est le travailleur seul qui finance sa protection sociale. Et il le fait dans des proportions qu’il connaît mal en raison de l’opacité qui caractérise le financement des services sociaux. L’administration et les intéressés n’ont pas intérêt à se montrer transparents dans la mesure où la piètre performance de ses services serait mise à nu, ce qui changerait  notre opinion sur « le modèle social que le monde nous envie ».

Instaurée de façon autoritaire en octobre 1945 sous l’influence du Parti communiste et des syndicats, destinée à remplacer les assurances sociales privées qui existaient auparavant (dont un certain nombre seront nationalisées), étendue progressivement à presque toute la population, elle n’a jamais été confirmée par le suffrage universel. Ce n’est donc en rien un « acquis social », et elle n’a jamais été plébiscitée par quiconque.

On peut parler en ce qui concerne la Sécurité sociale de « coup d’État », car les ordonnances de 1945 relèvent du non-droit (en mai 1946, la proposition de Constitution de la IVe République est rejetée par référendum ; il y a un « trou » constitutionnel sur la période 1945-1946). Un précédent avait été créé en 1941, par le régime de Pétain, qui détourne alors les provisions des assurances sociales vieillesse pour les donner aux « vieux travailleurs »Â : c’est l’origine des retraites par répartition.

La sécurité socialempute le pouvoir d’achat réel des salariés qui se voient obligés d’affecter la moitié de leur rémunération pour renflouer des caisses de la Sécurité sociale insuffisamment performantes. Il conviendrait au contraire de soumettre ces caisses à un régime de libre-concurrence pour laisser les employés affecter le fruit de leur travail librement.

 

Mythe 2 : la Sécurité sociale, c’est l’État

La réalité :

L’organisation de la Sécurité sociale est par construction indépendante de l’État. Le Code de la Sécurité sociale est juxtaposé à la Constitution. Les Caisses, l’URSSAF sont de droit privé (comme des mutuelles qu’elles sont en réalité), avec mission de « service public ».

Il n’y a pas en France d’assurance maladie étatique comme dans certains pays. Une assurance maladie étatique aurait au moins l’avantage de fournir une couverture minimale dont les coûts seraient maîtrisés, tout en laissant par ailleurs le mutualisme et l’assurance privée se développer librement et couvrir la grande majorité des personnes.

Cependant, on peut parler d’étatisation rampante de l’assurance maladie durant ces dernières années. L’exécutif des Caisses est désigné par le gouvernement, Les représentants aux conseils d’administration sont majoritaires de régimes spéciaux les comptes de la Sécurité Sociale sont formatés par le ministère avant d’être présentés au Parlement (censé exercer un contrôle), et la fixation des taux de cotisation échappe aux partenaires sociaux. L’État fixe le prix des médicaments, la rémunération des médecins, leur numerus clausus, décide de l’agrément des cliniques privées…

Il y a par ailleurs un grand nombre d’organismes de nature juridique différente mais dits « de sécurité sociale » : on compte plus de 1 000 organismes différents (les caisses à elles seules comptant plus de 100 000 employés), et même un « musée de l’assurance maladie » et un « Comité d’histoire de la Sécurité sociale », sans parler des « Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie », « Haute autorité de santé ».

 

Mythe 3  : Grâce à la Sécurité sociale, le système de santé français est un des meilleurs au monde

La réalité :

Le système de santé n’a rien à voir avec la Sécurité sociale, qui n’a jamais soigné personne, et qui se contente de « gérer » des flux monétaires, en prélevant les uns et en indemnisant les autres. Le progrès technique en matière de médecine n’est pas de son fait, pas davantage la compétence du personnel médical.

Le système de santé français n’est pas le meilleur du monde (voir le scandale du sang contaminé dans les années 80, ou la canicule de 2003), mais s’il était aussi mal en point que la branche maladie, et aussi fossilisé que l’organisation de la Sécurité sociale, on pourrait légitimement s’inquiéter.

Il y a heureusement un système de santé privé plus efficace et moins coûteux que le public. Les médecins (autres que ceux de l’hôpital public) ne sont pas des fonctionnaires, bien qu’ils soient de plus en plus prisonniers (volontaires) des contraintes que leur impose l’organisation de la SS (depuis 1971 le « conventionnement » les oblige à pratiquer les tarifs SS), tout comme les « assurés » assujettis.

Le système de santé français, est de plus en plus menacé dans son ensemble par la SS, « assureur public », qui n’a pas d’autre moyen pour essayer de contrôler les dépenses que de limiter l’offre de soins en imposant règlementation sur règlementation (dossier médical personnel, dispositif de médecin traitant, parcours de soins, plafonds pour les dépenses de santé, ticket modérateur, CSG, CRDS, etc.). On peut d’ailleurs noter que ces contraintes ne sont pas conformes à l’ordonnance du 19 octobre 1945, qui énonçait le principe selon lequel le patient aurait le libre choix absolu du praticien, les honoraires de ce dernier étant fixés par entente directe avec le médecin.

 

Mythe 4 : La Sécurité sociale assurance maladie est universelle : tout le monde y a droit

La réalité :

Ceux qui ne cotisent pas n’ont droit à rien.

En pratique, soit les non-cotisants ont suffisamment de moyens (diplomates, rentiers, inactifs…) et peuvent se payer une assurance privée à un prix intéressant (bien moins cher que ce que paie un assujetti à la SS) ; soit ils sont trop pauvres et peuvent bénéficier (sous certaines conditions et pour un certain temps) de la CMU (Couverture maladie universelle) instaurée en 2000.

Une particularité de l’assurance maladie française est d’étendre sa couverture à ceux qu’on appelle les« ayants droit » du cotisant (les enfants, le conjoint), qui en bénéficient sans devoir cotiser en contrepartie (ce qui n’est pas le cas avec les assurances privées). Ce système faussement généreux fait donc payer à la collectivité les choix personnels des couples (j’ai le « droit » d’avoir des enfants, et la société « doit » s’occuper d’eux). Il explique une partie du déficit (pour un seul cotisant, il peut y avoir un grand nombre d’ayants droit).

 

Mythe 5  : Cotiser est une façon de faire preuve de solidarité, cela permet à ceux qui n’ont pas les moyens d’être quand même couverts, grâce à la CMU.

La réalité :

La CMU n’est pas prélevée sur les cotisations sociales, mais de l’impôt. Cotiser ne vous rend donc pas « solidaire » envers les plus pauvres. La CMU, d’invention récente, est comparable aux systèmes américains Medicare et Medicaid, plus anciens. Les femmes seules, les jeunes de – de 25ans n’ayant jamais travaillé, les chômeurs de plus de deux ans de chômage, les indépendants ayant fait faillite ou cessé faute d’actif, n’ont droit à rien. Pire, les artisans ne réalisant pas assez pour se nourrir sont même taxé de cotisations obligatoire sans aucune solidarité à attendre. Ils sont même poursuivit après leur faillite et endettés de force.

 

Mythe 6 : La Sécurité sociale a permis à une large population de se soigner.

La réalité :

Cette affirmation est une pétition de principe qui fait fi de la réalité historique.

Historiquement, les médecins ont toujours soigné même ceux qui n’avaient pas de ressources pour payer leurs honoraires. Le serment d’Hippocrate le prévoit : « je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera ». Dans le passé, il n’y avait pas de tarif conventionné : les médecins adaptaient leurs honoraires aux moyens de leur patient, ils pratiquaient ainsi une solidarité directe au niveau le plus proche du terrain. Vous pouvez relire tout Zola, vous ne trouverez pas d’exemple d’un médecin qui ait refusé des soins à un malade sous prétexte que celui-ci ne pouvait pas payer.

 

Mythe 7 : La Sécurité sociale a moins de frais de gestion qu’une mutuelle.

L’assurance maladie obligatoire, c’est quatorze régimes obligatoires et 90 opérateurs qui gèrent ces régimes. Pour la partie mutuelles, c’est environ plus de 550 organismes privés décomptés.
C’est l’argument à la mode en ce moment. En fait les études qui le démontrent sont absurdes, et en plus en on se demande sur quels bases ouvertes ils ont estimé leurs bases de calcul, sachant que la sécurité sociale est un organisme qui ne publie pas et ne diffuse pas des bilans détaillés.

En fait il n’y a actuellement aucune comparaison possible entre mutuelle et sécurité sociale, car ce n’est pas le même métier, ni les mêmes sources de financement ni les mêmes soins à rembourser….

C’est comme comparer des frais de gestion du 1er et second œuvre du bâtiment.

Des frais de gestion d’une mutuelle sont structurels sans rapport avec la masse financière ou humaine à gérer. 

Si vous faites un virement de 1000€, c’est 0,10€ de frais. Si vous faites un virement de 100€ c’est toujours 0,1€ de frais. Les frais de gestion sont une donnée structurelle. C’est pas une variable sur laquelle développer une argumentation.

La sécu prend en charge les soins au 1er euro, les mutuelles prennent en charge le complément. Gestion et frais structurels n’ont rien a voir.

Par ailleurs dans la sécu le recouvrement des fonds est caché par l’état qui collecte certaines taxe à sa place sur les alcools, taxes douanières ou CSG, CRDS qui ont des coûts mais ne sont pas comptés à son budget, mais qui sont à charge de la collectivité.

Mythe 8 : (assurance maladie) la sécu est moins chère.

La réalité :

Une assurance maladie privée offre les mêmes prestations pour nettement moins cher,même pour un smicard la sécu est bien trop chère.

Le coût de l’assurance maladie pour un salarié smicard, (SMIC au 01/01/2017 :1 480 Euros) Le total des charges santé retenues de la sécurité sociale sont 0,75% part salarié, 13,14% part employeur, 7,5% CSG, 0,5% CRDS. Soit une cotisation complète de 327€ par mois, soit annuellement 3924€. (calcul hors maladie complémentaire (mutuelle)).

Un expatrié qui n’a pas droit à la sécu paye un forfait entre 200 et 380€ selon son age comprenant a la fois sécu et mutuelle, et indifféremment de ses revenus.

La comparaison est d’autant plus favorable aux assurances privées que le salaire de l’assuré est élevé (puisque la prime est fixe et non proportionnelle au salaire). Pour un cadre ou un travailleur indépendant qui gagnent bien leur vie, les cotisations prélevées au titre de l’assurance maladie représentent souvent de 10 000 à 15 000 Euros par an, alors qu’avec 2000 Euros ils peuvent avoir une assurance santé privée équivalente.

 

Mythe 9 : Les taux de remboursement de la Sécurité sociale sont excellents

La réalité :

Ils sont parmi les plus bas d’Europe.

Il est notoire que l’optique et les soins dentaires sont très mal remboursés (quelques euros pour les lunettes ou les lentilles). Le taux de remboursement moyen des médicaments est un des plus bas d’Europe : France 54 %,  65 % en Italie, 71 % en Suède, et 90 % au Royaume-Uni. Il en est de même pour les soins médicaux et les soins hospitaliers.

L’impact est d’autant plus important que les dépenses de santé représentent en France 9,5 % du PIB, en tête des pays européens (avec l’Allemagne). On est bien loin de l’ambition d’origine de la SS qui était de rembourser les frais médicaux à 80 %.

 

Mythe 10 L’employeur paye une partie des cotisations sociales, ce qui est un avantage appréciable pour le salarié

La réalité :

Les cotisations sociales, tant salariales que patronales, font partie du salaire.

Les cotisations sociales sont séparées fictivement en cotisations salariales et cotisations patronales. En réalité, les cotisations patronales n’appartiennent pas au patron, elles font partie des avantages et appartiennent donc au salarié. C’est un point confirmé par la législation européenne, qui définit une rémunération comme étant « le salaire ou traitement ordinaire de base ou minimum, et tous autres avantages payés directement ou indirectement, en espèces ou en nature, par l’employeur au travailleur en raison de l’emploi de ce dernier. » (point 2 de l’article 141, ex article 119, du traité d’Amsterdam).

Le salarié serait largement gagnant à toucher son salaire complet et à s’assurer librement par lui-même. Le fait que ce soit le patron (en fait la SS) qui décide à sa place ressortit d’un paternalisme digne du XIXe siècle (« si on les laisse libres, ils ne s’assureront pas », « si on leur donne leur salaire complet, ils vont aller tout dépenser au bistrot »). Étonnamment, on estime que le salarié est assez responsable pour aller voter et décider ainsi de l’avenir de son pays, mais pas pour adhérer de lui-même à une assurance !

 

Mythe 11 : Le fameux « trou » de la Sécurité sociale est un faux problème : il existe depuis des décennies et on ne s’en porte pas plus mal

La réalité :

Le choix politique a été de vivre à crédit en reportant sur les générations futures la charge du remboursement des déficits (car le trou correspond à une dette auprès de créanciers français et internationaux qu’il faudra bien rembourser).

L’assurance maladie française, c’est 23 réformes (toutes inefficaces), une dette de 100 milliards d’Euros, des déficits de plusieurs milliards d’Euros chaque année.

La Sécurité sociale vit sur le mythe que les ressources collectives sont illimitées. Le « trou », se transforme en gouffre irréversible tant que les créanciers gardent un minimum de confiance.

La sécurité sociale épouse la pensée de la dinde du théorème de la dinde. Du point de vue de la dinde, l’idée qu’elle se fait de la vie peut se résumer à « on va me nourrir tous les jours jusqu’à ma mort naturelle, et cela ne changera jamais ». Chaque jour qui passe semble confirmer ce point de vue. Mais un jour, avant la fin de sa vie vient son exécution.

Une dette un jour doit être remboursée ! Ce jour là arrivera indubitablement.

 

Mythe 12 : Il est plus économique d’avoir en France une caisse unique plutôt que de multiples assurances privées. Il y a des économies d’échelle, il n’y a pas de frais de publicité, pas d’impôt, etc.

La réalité :

Monopole ne signifie pas économie ! Pourquoi l’assurance maladie de la SS est-elle plus chère qu’une assurance santé privée ?

Une caisse unique à adhésion forcée présente tous les inconvénients du monopole : inefficacité, prix excessifs faute de concurrence, files d’attente, irresponsabilité, etc.

Ses coûts de gestion,  ne tiennent pas compte, outre tous les inconvénients intrinsèques du monopole, des gaspillages, de la désorganisation, des effectifs pléthoriques, des détournements (tous les mois la presse sort des affaires de fraude portant parfois sur des dizaines de millions d’Euros). Ses coûts de gestion n’incluent pas les coûts reportés à l’état pour la collecte des taxes indirectes.

Un petit pourcentage d’une somme colossale reste une somme colossale. La situation de monopole de la SS lui permet de ne pas gérer la dépense : elle ne peut que la subir, ou la refuser préalablement. Ce ne sont pas les frais de gestion qui importent, mais bien ce que l’ensemble du dispositif coûte à chacun et lui rapporte. Et là, les chiffres sont éloquents.

Un exemple de gabegie pharaonique. Un rapport de la cours des compte indique qu’il y a 72 millions de personnes comptabilisées affiliées aux caisses de la  sécurité sociale alors qu’en réalité nous ne sommes que 66 millions d’habitants.

A raison d’un coût par habitant de 2789€ d’indemnisation, les 6 millions d’indemnisés inconnus coûtent 17 milliards.

 

Mythe 13 : En matière d’assurance maladie, il n’existe pas d’offre alternative à celle de la Sécurité sociale

La réalité :

Ne pas confondre monopole de droit et monopole de fait !

De même qu’avant la SS existaient des « sociétés de secours mutuel » et des assurances sociales, il existe aujourd’hui des mutuelles et des assurances privées qui font de l’assurance santé. Le monopole forcé n’est en rien un monopole « naturel ». Les expatriés disposent du choix d’une sécu privée. Les frontaliers Suisses expriment tous l’envie de ne pas retourner au système public Français après avoir goutté au système privé Suisse.

 

Mythe 14 : La Sécurité sociale doit être considérée simplement comme une assurance

La réalité :

Elle en a le nom, elle y ressemble, mais ce n’en est pas une ! Elle mélange de façon illisible certaines caractéristiques qui la rapprochent de l’assurance et d’autres de la solidarité.

La Sécurité sociale assurance maladie n’est pas une assurance, car elle ignore volontairement le risque, et ceci dès l’origine (1945), ce qui rend impossible la mutualisation des risques qui est le fait de l’assurance (la distinction entre l’assurance maladie et l’assurance vieillesse n’est intervenue qu’en 1967 !). Avec la Sécurité sociale assurance maladie, il n’y a pas de « prime » mais des prélèvements proportionnels aux revenus, qui s’apparentent davantage à un impôt, il n’y a aucun rapport entre ce qu’on verse et ce qu’on reçoit, ni de « contrat »Â c’est un arbitraire complet qui règne, au bon vouloir des fonctionnaires et des gestionnaires. Faute de prime et de contrat, on ne peut pas parler d’assurance.

Ce n’est pas qu’une question de définition ou de technique, on a là la raison profonde qui fait que la Sécurité sociale ne peut remplir son rôle (prétendu) d’assurance sociale. Elle se limite à être un système idéologique de redistribution. En général, les discussions autour de la Sécurité sociale ne se placent pas longtemps sur le terrain économique, assurantiel ou médical, elles tournent très vite à l’idéologie : pour ses adeptes, la Sécurité sociale est justifiée non parce qu’elle serait efficace, mais parce qu’elle est « Ã©galitaire ». Mais l’égalité, les principaux bénéficiaires ont une lecture particulière.

 

Mythe 15  : La Sécurité sociale est indispensable, car les assurances privées ne peuvent pas prendre en charge les maladies graves, les patients âgés, l’hospitalisation, etc., elles ne peuvent assurer que les personnes sans risques majeurs. La santé est un domaine par nature non rentable.

La réalité :

Les assurances privées remboursent frais médicaux, hospitalisation, etc., à 100 % des frais réels. Pour l’hospitalisation, il peut y avoir un plafond par exemple 1 500 000 Euros dans le cas de la compagnie IHI, ce qui fait que même avec des soins intensifs à 2 000 Euros/jour on est pris en charge.

Comme son nom l’indique, l’assurance maladie est d’abord et avant tout une question d’assurance,une technique qui est maîtrisée depuis longtemps, alors que la Sécurité sociale ne fait pas de l’assurance, mais de la redistribution aveugle et clientéliste.

L’existence d’assurances privées plus efficaces et moins coûteuses démontre que la santé est un domaine rentable.

 

Les opposants au système privé souhaitent en réalité condamner le profit pour perpétuer un système redistributif faillitaire par fanatisme idéologique.

Vous trouverez ces gens dans la partie gauche de l’échiquier politique, une vision dirigiste et totalitaire de la société n’admet pas votre volonté de liberté individuelle de choix.

 

Le contrôle), et la fixation des taux de cotisation échappe aux partenaires sociaux. L’État fixe le prix des médicaments, la rémunération des médecins, leur numerus clausus, décide de l’agrément des cliniques privées…

Il y a par ailleurs un grand nombre d’organismes de nature juridique différente mais dits « de sécurité sociale » : on compte plus de 1 000 organismes différents (les caisses à elles seules comptant plus de 100 000 employés), et même un « musée de l’assurance maladie » et un « Comité d’histoire de la Sécurité sociale », sans parler des « Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie », « Haute autorité de santé ».

La France gagnerait a être un peu mieux informée….

Le mot  » Sécurité Sociale  » est un terme connoté historiquement, et malheureusement idéologiquement ce qui provoque une vision idolâtrique passionnée.

 

Le vrai mot qui colle à la réalité est « assurance maladie » et « assurance retraite ».

En fait, si n’êtes pas employeur, ou comptable vous ne savez pas ce que vous payez, vous ne savez pas grand chose sur ce que vous rembourse la sécu. Votre feuille de paye ne veut rien dire et le brut de brut vous est caché.

Vous ne connaissez aucun de ses dirigeants avec un budget de 450 milliards alors que vous connaissez le dirigeant de Renault qui gère 10 fois moins.

Vous ne savez pas quels sont les autres solutions d’assurance santé qui existent sur terre.

Vous ne savez tellement peu sauf les clichés qu’on vous impose. Il serait peut temps de vous réveiller et demander des comptes à ceux qui les cachent…

Et encore cette partie n’expose que la santé….

La partie assurance retraite c’est encore pire !

La sécurité sociale est issue d’un autre temps. Franco-Française,  elle est inadapté à la mondialisation et l’internationalisation des parcours humains. Elle est inadapté aux emplois du futur qui s’annoncent. 

D’autres pays ont introduit la concurrence privée dans le domaine de la santé et ça marche mieux que chez nous et c’est plus économique et efficace!

Les Allemands, les Suisses ou les Néerlandais sont-ils moins bien soignés que les Français ?

Si les gens avaient l’information réelle! Si!

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Sirley leon

On a coupé la main et l’avant bras de Sirley à la machette.

Mon nom est Shirley Avila Léon, je suis cubaine et je vis à Cuba. J’ai été élu délégué à l’Assemblée municipale du Pouvoir Populaire à Cuba par les habitants de mon quartier en Juin 2005, dans le quartier rural, Citrons, circonscription n ° 37, dans la municipalité province Majibacoa Las Tunas. 

L’Assemblée, qui est contrôlée dans la réalité par le Parti communiste de Cuba, en théorie devrait être l’entité qui régit l’organe de pays. L’Assemblée est composée de 81 districts, avec plus de 50.000 habitants.

Le séminaire pour l’exercice des fonctions comme délégué, a duré deux jours, mon caractère et  paysanne d’origine, a engendré de bonnes relations avec tout le monde. Je suis intéressée par la vie des citoyens en général, qui est tellement subie que ces personnes manquent d’ espoir de sortir de cette misère, humaine, spirituelle et morale. Je dis cela parce de ce que ces phrases sont la rue. Elles sont récurrente et c’est l’expression du peuple. 

Dès les premières réunions, je remarquai le double langage des leaders absolument pas intéressés par les gens, les plus gros problèmes étaient bureaucratiques, parce qu’avec la corruption, le système ne fonctionne pas.

Avant 1992, ma région était l’ une des plus productives de la province, il y avait des écoles primaires, mais après la planification hydraulique commandé par Fidel Castro, les 3 écoles ont été démolies pour construire un barrage hydraulique en mettant une partie de la population sans – abri.

160726_sirley_2_eggerLes enfants depuis, marchaient plus de 9 kilomètres à travers les routes difficiles, pour assister à l’école la plus proche, les parents occupés à accompagner leurs enfants n’avaient pas le temps de cultiver la terre en dépit de la pauvreté abjecte dans laquelle ils vivaient. 

Certains on préféré quitter la région vers le Calixto, dans les villages de Las Tunas, et d’ autres endroits où il y a une école, en laissant les fermes abandonnées.

Les agriculteurs n’ont pas le droit à une retraite et n’ont le droit de se retirer ou changer de métier, la vie professionnelle est contrôlée par l’état, Entendre leurs histoires est déprimant,

Confiants dans la phrase de Fidel Castro que les médias répètent en boucle, sur le concept de révolution pour changer tout ce qui doit être changé, j’ai donné ma parole aux paysans de se battre pour eux, tout en changeant leurs conditions de vie. 

Ignorant le visage de monstre, ne réalisant pas encore l’absence de droits et de la dictature qui existe à Cuba, capable de tout pour rester au pouvoir, et qui expose publiquement que le pouvoir émane du peuple, je me suis donné la tâche de récréer la scolarité dans mon district, besoin si nécessaire. Pendant six mois , j’ai effectué les démarches à la municipalité et la province. 

Dans les premiers mois de 2006, sans résultat local, je suis allé au Conseil d’ État, la construction de l’école a été adoptée dans le même semestre. 

À ma grande surprise, après avoir obtenu cette promesse, les gens ont commencé à me dévoiler leurs problèmes et  m’ont demandé de plus en plus les représenter.

 sirley-2Lors d’ une réunion, je fus accusé par le président de celle– ci, d’être un chef de file anti-révolutionnaire, parce que j’avais exigé la municipalité de respecter l’engagement d’acheter des tomates, des légumes et des fruits aux producteurs qui, , pourrissaient dans les champs, les affectant économiquement, tandis que les personnes dans toutes les villes manquaient de nourriture et vivaient des famines. 

Il a dénoncé mon comportement au siège provincial du Parti communiste de Cuba, et qui a immédiatement entraîné des représailles.

Ils ont commencé des campagnes de stigmatisation contre moi par le régime, mais cela a donné un résultat inverse et le peuple a eu encore plus confiance en moi.

L’école a été construite et ouverte en 2007-2008, les dirigeants de la province ne me pardonnèrent jamais d’avoir passé au dessus d’eux pour obtenir cette construction. 

Je me suis ensuite fait remarqué, par mon souci de résoudre le non-paiement aux agriculteurs, de trouver des logements dans des cas critiques de pauvreté, et une lutte contre le manque de sérieux des engagements envers les agriculteurs. 

Dans l’année scolaire 2010 – 2011, après trois ans, l’école a été fermée par décision du gouvernement, indépendamment des caractéristiques du quartier par lequel elle a été construite: routes impraticables, la distance de la plus proche de la même école, et la participation économique des parents. 

Le motif étant une décision venue des échelons supérieurs du pouvoir.

Je n’ai pas perdu de temps. J’ai cherché un soutien dans les organisations de masse et politique, toutes les ONG, je suis allé 12 fois devant le Conseil d’ État en neuf mois.

Les parents des enfants concernés, ont décidé de ne pas à les envoyer aux écoles trop éloignée de plusieurs kilomètres et ils ont étés soumis aux menaces et la répression par le Ministère de l’ éducation et d’ autres entités telles que la protection des mineurs, le procureur, la police nationale révolutionnaire et le parti communiste de Cuba. 

Les autorités ont été menacés d’enlever les enfants et les loger les dans une école pour enfants handicapés, qu’ils ont réquisitionné.  Une guerre psychologique a commencé et les parents ont été menacés très sérieusement. Ils ont même étés interdit de me rencontrer. 

La dernière fois que je suis allé au Conseil d’ État, à défaut d’être reçu par Raul Castro ou quelqu’un de décisionnaire, je me suis arrêté à l’ une des couloir, à l’ entrée du bâtiment, dans le but qu’un ministre, soit intéressé.

Il n’a fallut pas beaucoup de temps avant l’apparition d’un citoyen prétendant être le chef de la sécurité du Conseil d’Etat. Quand je lui avais expliqué ce que je faisais, il m’a demandé de l’accompagner, et m’a amené devant le chef du service de l’aide à la population, En fait j’ai été expulsée et menacé, Il ne fallait pas que je revienne sinon je serais accusé de crimes contre la sécurité de l’État.

Déçue, sanglotante, je suis allé à la rédaction du journal Granma, en leur demandant de publier, au titre de délégué représentante des habitants, je voulais une entrevue avec Raul Castro ou Ricardo Alarcon. 

En quelques jours, la réponse a été qu’ils ne pouvaient pas publier . Je fut ensuite menacés par les dirigeants de la province et la municipalité sans attendre.

Ils ont exhorté à renoncer à mon statut de délégué. En me voyant défendre fermement mes principes et le soutien du quartier. Ils ont manœuvré pour imposer une autre personne qui a été refusée par les habitants. Ils ont alors fait disparaître le quartier administrativement, Ils m’ont menacés d’un contrôle fiscal poussé.

Certaine de ne pas avoir commis un quelconque crime fiscal, je suis allé voir à Holguin, à la recherche de journalistes indépendants qui ignoraient mes tracasseries,

sirley_1_eggerJe voulais dénoncer ces violations des droits de l’ homme commises dans ma province. Le 8 Septembre 2012, je l’ ai signalé à Radio Marti, j’ai fait face à la dictature, qui ne se soucie que sur les pouvoirs et privilèges. 

Je ne fait pas de politique, mais la dictature totalitaire des Castro est l’ une les plus corrompue et criminelle du monde. Je ne pense pas qu’il y  existe un gouvernement parfait, mais je suis sûr, impliquant toutes les personnes, nous pouvons construire un gouvernement démocratique, respectant les libertés et des droits constitutionnels. 

J’ai milité dans le groupe d’opposition comme UNPACU, et j’ai soutenu les grèves de la faim de Luis E. Losada (23 jours) et Angel Yunier (critique) dans Granma. J’ai décidé d’organiser les gens qui pensaient comme moi, afin que nous puissions nous protéger contre le régime et en même temps défendre les droits du peuple et de convaincre ceux qui doutaient que nous pourrions en effet changer la dictature en un État de droit.

Pour tout ce que je l’ai décrit ci-dessus, j’ai été la victime de plusieurs tentatives de meurtre, on a tenté de m’éliminer physiquement, j’ai subit des actes de vandalisme contre ma terre, mes animaux, et ma propriété, organisé par le régime et sa politique par la police dans le cadre de son intention de m’éliminer. 

La jeune Yudisleidy Lopez Rodriguez m’a alerté sur le fait que la police politique avait offert une récompense et absolution à des criminels de droit communs dangereux de me tuer. 

Yudisleidy a été tuée le 26 Septembre 2014 pour décrier publiquement une attaque sur moi, le matin, tentative ou je suis sortie indemne par l’incendie de mon lit. Son assassinat a était couvert comme soi-disant un crime passionnel….

sirley-3Le 24 mai 2015, je fus attaqué dans ma maison par Osmani Carrión, envoyé par la Sécurité d’ État de m’assassiner. 

Il m’a attaqué avec une machette, il a coupé ma main gauche et mon bras droit et mutilé mes deux genoux.  Grâce à la présence d’un enfant sur les lieux des événements et grâce à Dieu qui a protégé ma vie pour que je puisse être ici aujourd’hui et que d’offrir mon témoignage il ne m’a pas coupé la tête. 

Je suis actuellement aux États-Unis avec un visa médical afin de recevoir un traitement pour cette dernière attaque. La plus sévère que j’ai endurée, Je vais retourner à Cuba dès que je récupère. (*)

Je remercie tous les gens merveilleux qui me ont donné cette opportunité de laisser mon témoignage,

Témoignage de Shirley Avila Léon lu au VOC 10 juin 2016 Washington DC

 

A ceux qui sont dans le déni des crimes Cubains…Vous pouvez toujours essayer de serrer la main de Sirley, Elle n’en a plus, On lui a coupé à la machette.

*Sirley est retournée à Cuba le 17 septembre 2016.

Dailly signal Sirley leon

On a coupé la main de Sirleyà la machette

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Venezuela en pays du tiers monde. Comment en est-on arrivé là ?

Comment le Venezuela, un pays si riche dans les années soixante, en est devenu un pays du tiers monde ?

venezuela23Une étude réalisée par trois centres académiques vénézuéliens signale que 73% des foyers vivent au-dessous du seuil de pauvreté, alors que leur proportion était de 44% en 1998, année où le Chavisme prit le pouvoir. Electricité rationnée, pire qu’en Afrique, pillages, pénuries de masse, rationnements….

Le Venezuela, vitrine du socialisme du 21eme siècle, figure maintenant à la première place de l’indice de misère établi par l’agence d’analyse économique Bloomberg. La situation est vouée à se dégrader davantage : le FMI prévoit une chute du PIB de 8% en 2016 après deux années consécutives de déclin (4% en 2014 et 10% en 2015).
L’inflation a atteint 275% en 2015 et s’achemine vers 720% pour l’année en cours. Un record planétaire.

Nouveau tiers-monde, désespoir et violence.
La crise économique déferle sur le pays. Les gens doivent résister à des pénuries généralisées de produits de base.
L’administration Maduro a commencé le rationnement de l’électricité, les villes sont plongées dans l’obscurité pendant quatre heures par jour.
Le plus important producteur alimentaire du Venezuela « Polar » dépose le bilan. Connu pour sa bière, qui produit également des aliments, sauces et pâtes à tartiner, il licencie directement 10 000 personnes, et 300 000 indirectement dans les franchises, et services.

Le 26 Avril, les gens sont descendus dans les rues dans trois états du Venezuela, pour piller les magasins et pour trouver de la nourriture.
Maracaibo est devenue une ville du tiers monde, dans l’État de Zulia comme à Carabobo, un état dans le centre du Venezuela, les Vénézuéliens ont attaqué les pharmacies, les centres commerciaux, les supermarchés et commerces alimentaires, les camions avec de la nourriture …

Dans Caracas , la capitale vénézuélienne, trois quartiers de la ville viennent juste de subir les mêmes pillages.

De la nourriture pour 15 Jours…
Les employés de supermarchés sont agressés, ils doivent faire face aux Vénézuéliens en colère qui viennent dans les magasins pour découvrir qu’il y a si peu à acheter…

Les achats sont rationnés par un système d’empreinte digitale pour d’acquérir la nourriture misérable réglementée pour deux semaines.
Des millions de personnes doivent se tenir dans les longues queues pendant des heures, juste pour acheter des produits de base.
L’état qui a monopolisé et nationalisé les supermarchés, a 300 jours de retard sur les délais de paiement des fournisseurs. En plus, les prix contrôlés par le gouvernement, ne reflètent pas le prix de fabrication. Les producteurs locaux sont en faillite, et les fournisseurs étrangers, impayés ne livrent plus.

Des maladies telles que la gastrite sont apparues, les intoxications alimentaires de nourriture avariée, les parasites touchent les plus faibles par centaines.

L’histoire de la faillite du Venezuela :
La crise actuelle du Venezuela a deux explications principales.
L’une est la dépendance du pays au pétrole, l’autre est le socialisme.

Voici l’histoire et les raisons pour lesquelles le Venezuela est une catastrophe économique et un pays en voie de tiers-mondialisation.

Dans les années 70, les politiques libérales économiques mises en œuvre permettent au Venezuela de croître plus rapidement que tout autre pays dans le monde comme une sorte de Chine de son temps.
A cette époque c’est le pays le plus évolué de l’Amérique Latine. L’interventionnisme d’état aura tout bousillé.

1973-Choc pétrolier mondial provoqué par l’OPEP, le pays a le plus haut revenu par habitant d’Amérique du Sud. Le niveau de vie approche les pays d’Europe.

1974-Le candidat Perez, promet le bonheur au peuple avec un programme de nationalisation du pétrole. Il sera élu.

1976-Le président Perez nationalise la production de pétrole en accrochant le pays à la dépendance à la rente pétrolière.

1989-Avec la fin de la guerre du golfe et la baisse des revenus du pétrole, le second mandat de Perez sera une catastrophe économique et sociale. Le  » Caracazo « une série de manifestations, d’émeutes engendrera 3000 morts.

1992: le colonel Hugo Chávez et d’autres officiers de l’armée organisent un coup d’Etat en Février et un autre en Novembre. Une centaine de morts..

1994: Après avoir passé deux ans en prison, Chávez et les autres meneurs sont graciés par le président de gauche de l’époque, Rafael Caldera.

1998: Les électeurs de la classe moyenne, veulent une « remise en ordre du pays» et une «main forte» pour lutter contre la criminalité. Déçus par une crise économique qui s’enlise, provoquée par une baisse des prix du pétrole, ils élisent Chavez comme président.

1999 : Chavez modifie la constitution pour avoir le contrôle de l’économie, et le droit d’ingérence dans les libertés et le secteur privé. 49 lois liberticides donnent au gouvernement le contrôle total, la libre entreprise n’existe plus. La justice devient politisée.

2001: Face à la dérive marquée vers le collectivisme, des milliers de Vénézuéliens dans les rues manifestent contre Chavez. Le président déclare que son gouvernement mène une «révolution pacifique, mais armée ».

2002: Une manifestation massive laisse 17 morts et Chávez est chassé du pouvoir par un coup d’Etat dirigé par l’entrepreneur Pedro Carmona qui s’auto-proclamé « président ». Chávez revient au pouvoir 72 heures après avoir été évincé.

bolivar2003: Après une grève de deux mois qui ne parvient pas à expulser Chávez du pays, le président impose le contrôle des changes, encore maintenu aujourd’hui.
Depuis 13 ans, les Vénézuéliens n’ont pas eu un marché légal des changes. Le prix du Bolívar (Bs) est passé de 900 unités à 1,2 millions d’unités par dollar, sans que les réserves du pays n’augmentent.
En 2003 la 2eme guerre du Golfe fait monter les cours du brut, créant pour l’état et Chavez un formidable réservoir financier pour acheter les votes et des clientèles électorales.

2004: Chávez fait voter un référendum binaire qui ratifie son mandat, bien que l’opposition affirme que le vote a été truqué. Les observateurs internationaux septiques n’ont pas étés invités à observer cette élection. Dans la même année, Chávez crée le «Alternative bolivarienne pour les Amériques » (ALBA), comme une alternative à l’ALENA, la zone de libre -échange proposée par les États-Unis.
ALBA comprend les pays d’Amérique centrale et des Caraïbes, le Venezuela y vend son pétrole à prix réduits avec une période de carence de deux ans et une période de paiement de 20 ans.

A man carries toilet paper at a supermarket in Caracas 2005: Chávez défait une opposition divisée qui décide de s’abstenir aux élections législatives, avec seulement 10% du vote de la population. Le président contrôle le Parlement dans son ensemble, ainsi que les pouvoirs judiciaires et exécutifs.

2006: Chávez remporte l’élection présidentielle encore une fois avec 62% des voix.
Le prix du pétrole passe les100 $ US, où il restera au-dessus pendant près de sept ans. Il affirme tout au long de sa campagne que «ceux qui ont voté pour Chávez a également voté pour le socialisme. »

2007: Immédiatement après sa réélection, Chávez commence une politique agressive de la confiscation et d’expropriation des entreprises privées. Il a pour but de contrôler l’industrie alimentaire et les médias, et introduit des réformes constitutionnelles qui rendent pratiquement le Venezuela un pays communiste.
Alarmés, les Vénézuéliens votent non au référendum constitutionnel. Chávez reconnaît sa défaite, mais note qu’il va continuer quand même continuer ses politiques interventionnistes.
Logiquement, comme dans tous les pays où le marché ne fixe pas les prix de lui-même, les pénuries de produits essentiels viennent à manquer. L’industrie alimentaire est l’une des plus durement touchés.

2008: le pétrole est à son maximum 140 $ US par baril.
Chávez détruit l’industrie manufacturière privée du Venezuela avec le contrôle des changes, en empêchant les échanges internationaux en devises étrangères pour les achats de fournitures et de matières premières essentielles.
Pour l’agriculture et les produits de base, c’est l’inverse, les fonctionnaires de la nomenklatura peuvent disposer de devises puisqu’ils agissent pour l’état…Très vite, le pays du soleil ou tout pousse rapidement est inondé d’importations agricoles d’état. La surfacturation et la corruption abondent.

2009: Après une chute importante des prix du pétrole, l’économie souffre. Chávez, cependant, passe un amendement qui lui permet d’être réélu indéfiniment. Il augmente également la dette du pays. La Chine prend de vastes secteurs de l’économie vénézuélienne.
Le gouvernement qui en 1998 avait 800 000employés est comptabilisé à 3 millions de fonctionnaires.
Chavez annonce qu’il va importer des centrales électriques de Cuba pour 40 milliards US $. L’argent, a fini en Andorre et en Suisse dans la famille et les proches de Chavez.

venezuela242011: Chávez annonce au peuple qu’il a le cancer, mais se déclare candidat aux élections présidentielles de l’année prochaine. Son plan de dépenses est si accès sur la dépense, qu’il aurait fallu un prix du pétrole à 150 $ US, de plus que le prix du marché à l’époque.
La différence était couverte par de la dette.

2012: Chavez remporte l’élection présidentielle, mais apparaît en public deux fois après sa victoire: deux jours après l’élection et le 8 Décembre, quand il annonce qu’il doit subir à nouveau une intervention chirurgicale. Il ajoute que s’il ne peut pas terminer son mandat, son héritier Nicolas Maduro devrait détenir le pouvoir. Chávez meurt le 5 Avril 2013, et Maduro remporte l’élection présidentielle un mois plus tard, bien que le résultat soit à nouveau controversé . Maduro le nouveau président maintient « 21st Century socialisme » et continue à détruire le secteur productif Venezuela.

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2013: Maduro ne prend aucune mesure et imprime en folie furieuse des montagnes de billets, ce qui augmente le déficit budgétaire du pays en priant que les prix du pétrole augmentent.
La masse monétaire augmente dix fois dans les trois années Maduro, un processus qui conduit à une inflation galopante et fait du bolivar une monnaie sans valeur.

2014: L’étranglement économique de Maduro sur les importations entraîne des pénuries de médicaments et de nourriture. Le pouvoir d’achat est détruit par l’inflation.

2015-Le parti au pouvoir perd les élections législatives. Maduro s’accroche au pouvoir comme un mollusque au rocher.

2016: Les pannes d’électricité se généralisent à travers le pays. L’incompétence et la corruption des autorités sont mises à nu. 76% des Vénézuéliens sont tombés dans la pauvreté. Le gouvernement Maduro est rejeté par 85% de la population. Il n’y a même plus d’argent pour imprimer les billets. Les fonctionnaires ne doivent plus travailler que 2 jours par semaine.
Non, le Venezuela n’est pas victime d’un blocus ou d’un embargo. Il n’y a pas de méchant impéria-liste à blâmer pour la mise en jachère du pays….
Ce pays a découvert le « socialisme du 21eme siècle ». Il est tout aussi pourri que ceux de 19 et 20 eme siècles.

Le pire c’est qu’en France, actuellement, la gauche continue, bille en tête, vaille que vaille de la réalité, à réclamer qu’on emprunte globalement le même trajet du mirage socialiste à «dormir debout».

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