
François Holande a ÂŤÂ oubliĂŠÂ Âť de lire le joli poĂŞme du ÂŤÂ rĂŠsistant  qui vient d’ĂŞtre honorĂŠ des fastes de la rĂŠpublique au panthĂŠon. Pourtant un politicien ÂŤÂ poète , il est surpenant de ne pas mettre en avant devant son corp son poème et son meilleur succès.
Peut ĂŞtre n’avez vous jamais lu ce poème  Le Drapeau  de Jean Zay le ÂŤÂ panthĂŠonĂŠÂ Âť ?
Il est donc normal pour une information libre et transparente que vous en soyez informĂŠ.
Plus que la posture polÊmique, le mieux est de lire les Êcrits de cette  PanthÊonade  pour vous faire vote libre arbitre si ce type devait être enterrÊ au PanthÊon.
« Le drapeau de Jean Zay »
Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là .
Quinze cent mille dans mon pays, Quinze millions dans tous les pays.
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille hommes morts pour cette saloperie tricoloreâŚ
Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maÎtresse,
Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cĹurâŚ
Quâest ce que câest que cette loque pour laquelle ils sont morts ?
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille morts pour cette saloperie.
Quinze cent mille ĂŠventrĂŠs, dĂŠchiquetĂŠs,
AnĂŠantis dans le fumier dâun champ de bataille,
Quinze cent mille qui nâentendront plus jamais,
Que leurs amours ne reverront plus jamais.
Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières
Sans planches et sans prièresâŚ
Est-ce que vous ne voyez pas comme ils ĂŠtaient beaux, rĂŠsolus, heureux
De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ?
Ils ne sont plus que des pourrituresâŚ
Pour cette immonde petite guenille !
Terrible morceau de drap coulĂŠ Ă ta hampe, je te hais fĂŠrocement,
Oui, je te hais dans lââme, je te hais pour toutes les misères que tu reprĂŠsentes
Pour le sang frais, le sang humain aux odeurs âpres qui gicle sous tes plis
Je te hais au nom des squelettes⌠Ils Êtaient Quinze cent mille
Je te hais pour tous ceux qui te saluent,
Je te hais à cause des peigne-culs, des couillons, des putains,
Qui traĂŽnent dans la boue leur chapeau devant ton ombre,
Je hais en toi toute la vieille oppression sĂŠculaire, le dieu bestial,
Le dĂŠfi aux hommes que nous ne savons pas ĂŞtre.
Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel,
Le blanc livide de tes remords.
Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer Ă grand coup
Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts.
Et nâoublie pas, malgrĂŠ tes gĂŠnĂŠraux, ton fer dorĂŠ et tes victoires,
Que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.
Et c’est ce type aux propos outrageants et publics sur le drapeau Français qu’on met au panthĂŠon. Un personnage qui insulte les gens parce qui le drapeau Français.Â
Ou est tu gĂ´Ă´Ă´Ă´che morale qui poursuit ceux qui ÂŤÂ utilisent les mauvais mots .Â
C’est combien la condamnation pour « outrage au drapeau »Â ?
Jean Zay, le gauchiste pour qui le drapeau français ĂŠtait une  saloperie tricolore  avec laquelle il se torchait vient de recevoir Ă titre posthume la consĂŠcration.Â
Hollande après saluer Castro, les dictateurs des pĂŠtros-nation Arabes, nous envoie au panthĂŠon un type qui crachait dans la soupe de la France qui le nourrissait…..
Les annĂŠes Hollande, resterons dans l’histoire les annĂŠes de l’indĂŠcence.