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Le fascisme est socialiste et a toujours ÊtÊ socialiste.

Les Antifa ignorent les origines du racisme, ils imaginent que c’est de droite, Rien n’est plus faux et mensonger, les racines idÊologiques du fascisme, et surtout, un grand malentendu sur les principes collectivistes que le mouvement de socialisme autoritaire a promulguÊs. Pour mieux comprendre cette idÊologie, il est nÊcessaire de connaÃŽtre en profondeur la vie, les croyances et les principes à la fois de ses dirigeants politiques (comme Benito Mussolini) et de ses dirigeants philosophiques (comme Giovanni Gentile).

Mussolini Êtait un militaire, journaliste et homme politique italien qui a ÊtÊ membre du Parti socialiste italien pendant 14 ans. En 1910, il est nommÊ rÊdacteur en chef de l’hebdomadaire La Lotta di Classe (La lutte des classes), et l’annÊe suivante, il publie un essai intitulÊ ÂĢ Le Trentin vu par un socialiste Âģ. Son journalisme et son activisme politique l’ont conduit à la prison, mais peu après sa libÊration, le Parti socialiste italien, de plus en plus fort et ayant remportÊ une importante victoire au Congrès de Reggio Emilia, l’a nommÊ à la tÃĒte du journal milanais Avanti !

Cet intense activisme politique est suivi de la Première Guerre mondiale, qui marque un tournant dans la vie de Mussolini. Au dÊbut, le leader du Parti socialiste faisait partie d’un mouvement anti-interventionniste, qui s’opposait à la participation de l’Italie à la Première Guerre mondiale. Cependant, il a ensuite rejoint le groupe interventionniste, ce qui lui a valu d’ÃĒtre expulsÊ du Parti socialiste.

Mussolini a participÊ à la guerre et a profitÊ du mÊcontentement du peuple italien, en raison des quelques avantages obtenus par le traitÊ de Versailles. Il en a ensuite reprochÊ à ses anciens camarades du Parti socialiste, et c’est à ce moment-là qu’il a commencÊ la formation des Fasci Italiani di Combattimento, qui deviendront plus tard le Parti fasciste italien.

S’appuyant fortement sur les sentiments nationalistes qui ont fleuri à la suite du combat, Mussolini est arrivÊ au pouvoir par la main de la violence, luttant contre les socialistes traditionnels et se cachant dans le cÊlèbre escadron des chemises noires. Ce n’est qu’alors que le complexe idÊologique du fascisme commencera à prendre forme.

Qui est le père du fascisme ?

Pratiquement tout le monde sait que Karl Marx est le père idÊologique du communisme et du socialisme et qu’Adam Smith est le père du capitalisme et du libÊralisme Êconomique. Savez-vous, en revanche, qui est l’esprit derrière le fascisme ? Il est fort probable que non, et je peux vous dire d’avance que le philosophe derrière le fascisme Êtait aussi un socialiste avouÊ.

Giovanni Gentile, philosophe nÊo-hÊgÊlien, Êtait l’auteur intellectuel de la ÂĢ doctrine du fascisme Âģ, qu’il a Êcrite en collaboration avec Benito Mussolini. Les sources d’inspiration de Gentile Êtaient des penseurs tels que Hegel, Nietzsche, et aussi Karl Marx.

Gentile est allÊ jusqu’à dÊclarer que ÂĢ le fascisme est une forme de socialisme, en fait, c’est sa forme la plus viable Âģ. L’une des rÊflexions les plus courantes à ce sujet est que le fascisme est lui-mÃĒme un socialisme fondÊ sur l’identitÊ nationale.

Gentile croyait que toute action privÊe devait ÃĒtre orientÊe pour servir la sociÊtÊ. Il Êtait contre l’individualisme, pour lui il n’y avait pas de distinction entre intÊrÃĒt privÊ et intÊrÃĒt public. Dans ses postulats Êconomiques, il a dÊfendu le corporatisme d’État obligatoire, voulant imposer un État autarcique (essentiellement la mÃĒme recette qu’Hitler utilisera des annÊes plus tard).

Un aspect fondamental de la logique de Gentile est que la dÊmocratie libÊrale Êtait nuisible parce qu’elle Êtait centrÊe sur l’individu, ce qui a conduit à l’Êgoïsme. Il a dÊfendu la ÂĢ vraie dÊmocratie Âģ dans laquelle l’individu doit ÃĒtre subordonnÊ à l’État. En ce sens, il a promu des Êconomies planifiÊes dans lesquelles c’Êtait le gouvernement qui dÊterminait quoi, combien et comment produire.

Gentile et un autre groupe de philosophes ont crÊÊ le mythe du nationlisme socialiste, dans lequel un pays bien dirigÊ par un groupe supÊrieur pouvait subsister sans commerce international, tant que tous les individus se soumettaient aux desseins du gouvernement. L’objectif Êtait de crÊer un État corporatif. Il faut se rappeler que Mussolini Êtait issu du Parti socialiste italien traditionnel, mais en raison de la rupture avec ce mouvement marxiste traditionnel, et en raison du fort sentiment nationaliste qui prÊvalait à l’Êpoque, les bases de la crÊation du nouveau ÂĢ socialisme nationaliste Âģ, qui ils ont appelÊ le fascisme, ont ÊtÊ renversÊs.

Le fascisme a nationalisÊ l’industrie de l’armement, cependant, à la diffÊrence du socialisme traditionnel, il ne considÊrait pas que l’État devait possÊder tous les moyens de production, mais plutôt qu’il devait les dominer. Les propriÊtaires d’industries pouvaient ÂĢ conserver Âģ leurs entreprises, tant qu’ils servaient les directives de l’État. Ces propriÊtaires d’entreprises Êtaient supervisÊs par des agents publics et payaient des impôts ÊlevÊs. Essentiellement, la ÂĢpropriÊtÊ privÊeÂģ n’Êtait plus une chose. Il institue Êgalement l’impôt sur la fortune, la confiscation des biens des congrÊgations religieuses et l’abolition des rentes Êpiscopales. L’Êtatisme Êtait la clÊ de tout, grÃĸce au discours nationaliste et collectiviste, tous les efforts des citoyens devaient ÃĒtre en faveur de l’État.

Fascisme : l’antithèse du libÊralisme et du capitalisme

Le fascisme prÊtendait s’opposer au capitalisme libÊral, mais aussi au socialisme international, d’oÚ le concept d’une ÂĢ troisième voie Âģ, la mÃĒme position qui sera dÊtenue par le pÊronisme argentin des annÊes plus tard. Cette opposition au socialisme international et au communisme est prÊcisÊment ce qui a causÊ tant de confusion dans la localisation idÊologique du fascisme, du nazisme et aussi du pÊronisme. Après s’ÃĒtre opposÊes à la gauche marxiste internationaliste traditionnelle, celles-ci ont ÊtÊ attribuÊes au courant des mouvements d’ultra-droite, alors que la vÊritÊ est que, comme cela a ÊtÊ dÊmontrÊ, leurs politiques Êconomiques centralisÊes obÊissaient à des principes collectivistes et socialistes, s’opposant ouvertement au capitalisme et au marchÊ libre, favorisant nationalisme et autarcie.

En ce sens, comme l’a Êtabli le philosophe crÊateur de l’idÊologie fasciste, Giovanni Gentile, le fascisme est une autre forme de socialisme, ÂĢ ce n’Êtait pas une bataille de la gauche contre la droite, mais une lutte entre diffÊrentes idÊologies de gauche, un internationaliste et un nationaliste. Âģ

En fait, en 1943, Benito Mussolini a promu la ÂĢ socialisation de l’Êconomie Âģ, Êgalement connue sous le nom de socialisation fasciste ; pour ce processus, Mussolini a demandÊ l’avis du fondateur du Parti communiste italien, Nicola Bombacci ; le communiste Êtait le principal auteur intellectuel du ÂĢ Manifeste de VÊrone Âģ, la dÊclaration historique avec laquelle le fascisme a promu ce processus de ÂĢ socialisation Âģ Êconomique pour approfondir l’anticapitalisme et l’autarcisme, et dans laquelle l’Italie est devenue connue sous le nom de ÂĢ RÊpublique sociale italienne Âģ.

Le 22 avril 1945 à Milan, le leader fasciste dÊclarera ce qui suit :

« Nos programmes sont dÊfinitivement à la hauteur de nos idÊes rÊvolutionnaires et ils appartiennent à ce qu’on appelle en rÊgime dÊmocratique la ÂĢ gauche Âģ ; nos institutions sont le rÊsultat direct de nos programmes et notre idÊal est l’État travailliste. Dans ce cas, il ne fait aucun doute : nous sommes la classe ouvrière en lutte pour la vie et la mort, contre le capitalisme. Nous sommes les rÊvolutionnaires à la recherche d’un nouvel ordre. S’il en est ainsi, invoquer l’aide de la bourgeoisie en brandissant le pÊril rouge est une absurditÊ. Le vrai Êpouvantail, le vrai danger, la menace contre laquelle nous luttons sans relÃĸche, vient de la droite. Il n’est pas du tout dans notre intÊrÃĒt d’avoir la bourgeoisie capitaliste comme alliÊe contre la menace du pÊril rouge, mÃĒme au mieux ce serait une alliÊe infidèle, qui essaie de nous faire servir ses fins, comme elle a fait plus que une fois avec un certain succès. J’Êpargnerai les mots car c’est totalement superflu. En fait, elle est nuisible, car elle nous fait confondre les types de vÊritables rÊvolutionnaires de quelque couleur que ce soit, avec l’homme de rÊaction qui utilise parfois notre langage mÃĒme. « 

Six jours après cette dÊclaration qui confirme que le fascisme est socialiste, Benito Mussolini serait capturÊ et fusillÊ.

Son corps sera pendu à une balustrade en public.

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Venezuela en pays du tiers monde. Comment en est-on arrivÊ là ?

Comment le Venezuela, un pays si riche dans les annÊes soixante, en est devenu un pays du tiers monde ?

venezuela23Une Êtude rÊalisÊe par trois centres acadÊmiques vÊnÊzuÊliens signale que 73% des foyers vivent au-dessous du seuil de pauvretÊ, alors que leur proportion Êtait de 44% en 1998, annÊe oÚ le Chavisme prit le pouvoir. ElectricitÊ rationnÊe, pire qu’en Afrique, pillages, pÊnuries de masse, rationnements….

Le Venezuela, vitrine du socialisme du 21eme siècle, figure maintenant à la première place de l’indice de misère Êtabli par l’agence d’analyse Êconomique Bloomberg. La situation est vouÊe à se dÊgrader davantage : le FMI prÊvoit une chute du PIB de 8% en 2016 après deux annÊes consÊcutives de dÊclin (4% en 2014 et 10% en 2015).
L’inflation a atteint 275% en 2015 et s’achemine vers 720% pour l’annÊe en cours. Un record planÊtaire.

Nouveau tiers-monde, dÊsespoir et violence.
La crise Êconomique dÊferle sur le pays. Les gens doivent rÊsister à des pÊnuries gÊnÊralisÊes de produits de base.
L’administration Maduro a commencÊ le rationnement de l’ÊlectricitÊ, les villes sont plongÊes dans l’obscuritÊ pendant quatre heures par jour.
Le plus important producteur alimentaire du Venezuela « Polar » dÊpose le bilan. Connu pour sa bière, qui produit Êgalement des aliments, sauces et pÃĸtes à tartiner, il licencie directement 10 000 personnes, et 300 000 indirectement dans les franchises, et services.

Le 26 Avril, les gens sont descendus dans les rues dans trois Êtats du Venezuela, pour piller les magasins et pour trouver de la nourriture.
Maracaibo est devenue une ville du tiers monde, dans l’État de Zulia comme à Carabobo, un Êtat dans le centre du Venezuela, les VÊnÊzuÊliens ont attaquÊ les pharmacies, les centres commerciaux, les supermarchÊs et commerces alimentaires, les camions avec de la nourriture …

Dans Caracas , la capitale vÊnÊzuÊlienne, trois quartiers de la ville viennent juste de subir les mÃĒmes pillages.

De la nourriture pour 15 Jours…
Les employÊs de supermarchÊs sont agressÊs, ils doivent faire face aux VÊnÊzuÊliens en colère qui viennent dans les magasins pour dÊcouvrir qu’il y a si peu à acheter…

Les achats sont rationnÊs par un système d’empreinte digitale pour d’acquÊrir la nourriture misÊrable rÊglementÊe pour deux semaines.
Des millions de personnes doivent se tenir dans les longues queues pendant des heures, juste pour acheter des produits de base.
L’Êtat qui a monopolisÊ et nationalisÊ les supermarchÊs, a 300 jours de retard sur les dÊlais de paiement des fournisseurs. En plus, les prix contrôlÊs par le gouvernement, ne reflètent pas le prix de fabrication. Les producteurs locaux sont en faillite, et les fournisseurs Êtrangers, impayÊs ne livrent plus.

Des maladies telles que la gastrite sont apparues, les intoxications alimentaires de nourriture avariÊe, les parasites touchent les plus faibles par centaines.

L’histoire de la faillite du Venezuela :
La crise actuelle du Venezuela a deux explications principales.
L’une est la dÊpendance du pays au pÊtrole, l’autre est le socialisme.

Voici l’histoire et les raisons pour lesquelles le Venezuela est une catastrophe Êconomique et un pays en voie de tiers-mondialisation.

Dans les annÊes 70, les politiques libÊrales Êconomiques mises en œuvre permettent au Venezuela de croÃŽtre plus rapidement que tout autre pays dans le monde comme une sorte de Chine de son temps.
A cette Êpoque c’est le pays le plus ÊvoluÊ de l’AmÊrique Latine. L’interventionnisme d’Êtat aura tout bousillÊ.

1973-Choc pÊtrolier mondial provoquÊ par l’OPEP, le pays a le plus haut revenu par habitant d’AmÊrique du Sud. Le niveau de vie approche les pays d’Europe.

1974-Le candidat Perez, promet le bonheur au peuple avec un programme de nationalisation du pÊtrole. Il sera Êlu.

1976-Le prÊsident Perez nationalise la production de pÊtrole en accrochant le pays à la dÊpendance à la rente pÊtrolière.

1989-Avec la fin de la guerre du golfe et la baisse des revenus du pÊtrole, le second mandat de Perez sera une catastrophe Êconomique et sociale. Le  » Caracazo « une sÊrie de manifestations, d’Êmeutes engendrera 3000 morts.

1992: le colonel Hugo ChÃĄvez et d’autres officiers de l’armÊe organisent un coup d’Etat en FÊvrier et un autre en Novembre. Une centaine de morts..

1994: Après avoir passÊ deux ans en prison, ChÃĄvez et les autres meneurs sont graciÊs par le prÊsident de gauche de l’Êpoque, Rafael Caldera.

1998: Les Êlecteurs de la classe moyenne, veulent une ÂĢ remise en ordre du paysÂģ et une ÂĢmain forteÂģ pour lutter contre la criminalitÊ. DÊçus par une crise Êconomique qui s’enlise, provoquÊe par une baisse des prix du pÊtrole, ils Êlisent Chavez comme prÊsident.

1999 : Chavez modifie la constitution pour avoir le contrôle de l’Êconomie, et le droit d’ingÊrence dans les libertÊs et le secteur privÊ. 49 lois liberticides donnent au gouvernement le contrôle total, la libre entreprise n’existe plus. La justice devient politisÊe.

2001: Face à la dÊrive marquÊe vers le collectivisme, des milliers de VÊnÊzuÊliens dans les rues manifestent contre Chavez. Le prÊsident dÊclare que son gouvernement mène une ÂĢrÊvolution pacifique, mais armÊe ».

2002: Une manifestation massive laisse 17 morts et ChÃĄvez est chassÊ du pouvoir par un coup d’Etat dirigÊ par l’entrepreneur Pedro Carmona qui s’auto-proclamÊ ÂĢ prÊsident Âģ. ChÃĄvez revient au pouvoir 72 heures après avoir ÊtÊ ÊvincÊ.

bolivar2003: Après une grève de deux mois qui ne parvient pas à expulser ChÃĄvez du pays, le prÊsident impose le contrôle des changes, encore maintenu aujourd’hui.
Depuis 13 ans, les VÊnÊzuÊliens n’ont pas eu un marchÊ lÊgal des changes. Le prix du Bolívar (Bs) est passÊ de 900 unitÊs à 1,2 millions d’unitÊs par dollar, sans que les rÊserves du pays n’augmentent.
En 2003 la 2eme guerre du Golfe fait monter les cours du brut, crÊant pour l’Êtat et Chavez un formidable rÊservoir financier pour acheter les votes et des clientèles Êlectorales.

2004: ChÃĄvez fait voter un rÊfÊrendum binaire qui ratifie son mandat, bien que l’opposition affirme que le vote a ÊtÊ truquÊ. Les observateurs internationaux septiques n’ont pas ÊtÊs invitÊs à observer cette Êlection. Dans la mÃĒme annÊe, ChÃĄvez crÊe le ÂĢAlternative bolivarienne pour les AmÊriques » (ALBA), comme une alternative à l’ALENA, la zone de libre -Êchange proposÊe par les États-Unis.
ALBA comprend les pays d’AmÊrique centrale et des Caraïbes, le Venezuela y vend son pÊtrole à prix rÊduits avec une pÊriode de carence de deux ans et une pÊriode de paiement de 20 ans.

A man carries toilet paper at a supermarket in Caracas 2005: ChÃĄvez dÊfait une opposition divisÊe qui dÊcide de s’abstenir aux Êlections lÊgislatives, avec seulement 10% du vote de la population. Le prÊsident contrôle le Parlement dans son ensemble, ainsi que les pouvoirs judiciaires et exÊcutifs.

2006: ChÃĄvez remporte l’Êlection prÊsidentielle encore une fois avec 62% des voix.
Le prix du pÊtrole passe les100 $ US, oÚ il restera au-dessus pendant près de sept ans. Il affirme tout au long de sa campagne que ÂĢceux qui ont votÊ pour ChÃĄvez a Êgalement votÊ pour le socialisme. »

2007: ImmÊdiatement après sa rÊÊlection, ChÃĄvez commence une politique agressive de la confiscation et d’expropriation des entreprises privÊes. Il a pour but de contrôler l’industrie alimentaire et les mÊdias, et introduit des rÊformes constitutionnelles qui rendent pratiquement le Venezuela un pays communiste.
AlarmÊs, les VÊnÊzuÊliens votent non au rÊfÊrendum constitutionnel. ChÃĄvez reconnaÃŽt sa dÊfaite, mais note qu’il va continuer quand mÃĒme continuer ses politiques interventionnistes.
Logiquement, comme dans tous les pays oÚ le marchÊ ne fixe pas les prix de lui-mÃĒme, les pÊnuries de produits essentiels viennent à manquer. L’industrie alimentaire est l’une des plus durement touchÊs.

2008: le pÊtrole est à son maximum 140 $ US par baril.
ChÃĄvez dÊtruit l’industrie manufacturière privÊe du Venezuela avec le contrôle des changes, en empÃĒchant les Êchanges internationaux en devises Êtrangères pour les achats de fournitures et de matières premières essentielles.
Pour l’agriculture et les produits de base, c’est l’inverse, les fonctionnaires de la nomenklatura peuvent disposer de devises puisqu’ils agissent pour l’Êtat…Très vite, le pays du soleil ou tout pousse rapidement est inondÊ d’importations agricoles d’Êtat. La surfacturation et la corruption abondent.

2009: Après une chute importante des prix du pÊtrole, l’Êconomie souffre. ChÃĄvez, cependant, passe un amendement qui lui permet d’ÃĒtre rÊÊlu indÊfiniment. Il augmente Êgalement la dette du pays. La Chine prend de vastes secteurs de l’Êconomie vÊnÊzuÊlienne.
Le gouvernement qui en 1998 avait 800 000employÊs est comptabilisÊ à 3 millions de fonctionnaires.
Chavez annonce qu’il va importer des centrales Êlectriques de Cuba pour 40 milliards US $. L’argent, a fini en Andorre et en Suisse dans la famille et les proches de Chavez.

venezuela242011: ChÃĄvez annonce au peuple qu’il a le cancer, mais se dÊclare candidat aux Êlections prÊsidentielles de l’annÊe prochaine. Son plan de dÊpenses est si accès sur la dÊpense, qu’il aurait fallu un prix du pÊtrole à 150 $ US, de plus que le prix du marchÊ à l’Êpoque.
La diffÊrence Êtait couverte par de la dette.

2012: Chavez remporte l’Êlection prÊsidentielle, mais apparaÃŽt en public deux fois après sa victoire: deux jours après l’Êlection et le 8 DÊcembre, quand il annonce qu’il doit subir à nouveau une intervention chirurgicale. Il ajoute que s’il ne peut pas terminer son mandat, son hÊritier Nicolas Maduro devrait dÊtenir le pouvoir. ChÃĄvez meurt le 5 Avril 2013, et Maduro remporte l’Êlection prÊsidentielle un mois plus tard, bien que le rÊsultat soit à nouveau controversÊ . Maduro le nouveau prÊsident maintient « 21st Century socialisme » et continue à dÊtruire le secteur productif Venezuela.

pilage-venezuela

2013: Maduro ne prend aucune mesure et imprime en folie furieuse des montagnes de billets, ce qui augmente le dÊficit budgÊtaire du pays en priant que les prix du pÊtrole augmentent.
La masse monÊtaire augmente dix fois dans les trois annÊes Maduro, un processus qui conduit à une inflation galopante et fait du bolivar une monnaie sans valeur.

2014: L’Êtranglement Êconomique de Maduro sur les importations entraÃŽne des pÊnuries de mÊdicaments et de nourriture. Le pouvoir d’achat est dÊtruit par l’inflation.

2015-Le parti au pouvoir perd les Êlections lÊgislatives. Maduro s’accroche au pouvoir comme un mollusque au rocher.

2016: Les pannes d’ÊlectricitÊ se gÊnÊralisent à travers le pays. L’incompÊtence et la corruption des autoritÊs sont mises à nu. 76% des VÊnÊzuÊliens sont tombÊs dans la pauvretÊ. Le gouvernement Maduro est rejetÊ par 85% de la population. Il n’y a mÃĒme plus d’argent pour imprimer les billets. Les fonctionnaires ne doivent plus travailler que 2 jours par semaine.
Non, le Venezuela n’est pas victime d’un blocus ou d’un embargo. Il n’y a pas de mÊchant impÊria-liste à blÃĸmer pour la mise en jachère du paysâ€Ļ.
Ce pays a dÊcouvert le ÂĢ socialisme du 21eme siècle Âģ. Il est tout aussi pourri que ceux de 19 et 20 eme siècles.

Le pire c’est qu’en France, actuellement, la gauche continue, bille en tÃĒte, vaille que vaille de la rÊalitÊ, à rÊclamer qu’on emprunte globalement le mÃĒme trajet du mirage socialiste à ÂĢdormir deboutÂģ.

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Croissance: Flat Tax contre impôt progressif.

Nous avons une culture de l’impôt progressif en France. L’impôt progressif est nÊ du manifeste communiste. Avec une France ou la gauche vit clôturÊe à l’intÊrieur des services publics, l’Êducation nationale n’a jamais exposÊ les autres formes possible de l’impôt, et si elle l’a exposÊ dans les cours d’Êconomie, c’est obligatoirement à charge, caricatural, biaisÊ par l’influence idÊologique des programmes politisÊs de gauche.

Les lacunes Êconomiques des Français est patente et sous influence de partis pris Êtatistes. Les Français souffrent de l’absence de l’instruction en Êconomie sur la « servitude engendrÊe par l’Êtat », le « principe du risque »,  « l’Êconomie du ruissellement ». Chacun peut se rappeler qu’un prof d’Êconomie c’est prÊsentÊ à l’Êlection prÊsidentielle sous une Êtiquette Marxiste, et que cette corporation votre à 80% à gauche. L’influence sur les programmes des professeurs très politisÊs de gauche entraÃŽne de fortes lacunes Êconomiques.  Sic…

 La Flat Tax, c’est comme le libÊralisme, ce n’est pas enseignÊ dans les livres Êconomiques Français, ou la prioritÊ est donnÊe à Keynes et autres Êconomistes Êtatistes.

L’impôt à taux unique (flat tax en Anglais) est un système qui impose tous les membres d’un groupe, citoyens ou entreprises le mÃĒme taux d’imposition.

Un impôt progressif est un impôt dont le taux s’accroÃŽt en fonction de la valeur de l’ÊlÊment taxÊ, (appelÊ base d’imposition ou assiette). En d’autres termes, plus la valeur de l’ÊlÊment sur lequel est assujetti l’impôt est importante, plus le taux appliquÊ à cette valeur pour calculer l’impôt va ÃĒtre important.

L’impôt progressif est typiquement une idÊe de gauche, qui considère que l’Êtat est plus utile à la sociÊtÊ que l’individu ou l’entreprise dans l’utilisation de l’argent.

Cette idÊe tranche avec le libÊralisme qui considère que l’argent utilisÊ par son propriÊtaire directement est plus utile à la sociÊtÊ, parce que l’argent utilisÊ par l’Êtat n’agit pas pour le bien commun mais pour le compte de politiques rÊpondant à des groupes d’intÊrÃĒts.

L’argent utilisÊ par l’Êtat est immoralement distribuÊ puisque la sÊlection Êtatique discrimine les uns par rapport aux autres. Pour les libÊraux, la dÊpense de l’argent par son propriÊtaire rÊpond mieux sa demande d’intÊrÃĒt gÊnÊral. L’impôt progressif est inique puisqu’il introduit une inÊgalitÊ en droits (fiscaux) entre les individus.

Prenons par exemple pour illustrer l’exemple l’ordre des dons aux associations du ministère des finances rubrique « gestion des finances publiques » livre jaune dont la source est publique: Lien de tÊlÊchargement officiel

Les dons ne sont pas prioritairement donnÊs aux associations d’utilitÊ publique gÊnÊrales, mais en premier pour ses obligÊs.  

1er don de Bercy rÊalisÊ avec l’argent de nos impôts:

29,5 millions pour l’ALPAF – ASSOCIATION POUR LE LOGEMENT DU PERSONNEL DES ADMINISTRATIONS FINANCIÈRES. Association sÊlective rÊservÊe aux fonctionnaires de Bercy. C’est la plus grosse dotation publique a une association en France!

2eme don de Bercy rÊalisÊ avec l’argent de nos impôts:

28,4 millions d’â‚Ŧuros pour l’EPAF – EDUCATION ET PLEIN AIR FINANCES Association sÊlective rÊservÊe aux vacances des fonctionnaires du ministère des finances. C’est la 2eme plus grosse dotation publique a une association en France!

3eme don de Bercy rÊalisÊ avec l’argent de nos impôts:

9,8 millions d’â‚Ŧuros pour l’AGRAF – POUR LA GESTION DE LA RESTAURATION DES ADMINISTRATIONS FINANCIÈRES. Association sÊlective rÊservÊe aux repas des fonctionnaires du ministère des finances.

4eme don de Bercy rÊalisÊ avec l’argent de nos impôts:

6,01 million d’â‚Ŧuros pour l’ATSCAF – ASSOCIATION TOURISTIQUE SPORTIVE ET CULTURELLE DES ADMINISTRATIONS FINANCIÈRES. Association sÊlective rÊservÊe aux repas des fonctionnaires du ministère des finances.

5eme don de Bercy rÊalisÊ avec l’argent de nos impôts:

1,2 million PLACE DES ARTS BIBLIOTHÈQUE DISCOTHÈQUE. (bien cher pour une bibliothèque!….Des livres en or ?)

Cette simple observation indique la partialitÊ de l’Êtat. La première association non sÊlective envers ses obligÊs, dans l’ordre des dons est 5eme.

Vous pouvez tÊlÊcharger le livre jaune des subventions des ministères en France, vous constaterez pratiquement pour pratiquement tous les ministères et vous rendre compte qui sont les 21 167 associations qui reçoivent ces 1,2 milliards de redistribution.

Les 2 tiers sont une ode au clientÊlisme !

En apartÊ, ces avantages indirects dont bÊnÊficient les fonctionnaires de Bercy par l’intermÊdiaire des associations les plus ÂĢ riches de France Âģ sont bien entendu hors cotisations sociales. Le salariÊ bÊnÊficiant d’un vÊhicule de fonction, qui doit payer CSG, CRDS et avantage en nature sur la Kangoo de fonction apprÊciera….

L’exemple prÊcÊdent expose que l’argent de l’Êtat va en prioritÊ pour ses obligÊs. Nous constatons tous que les subventions associatives du pays sont donnÊes par les ministères sont ultra-clientÊlistes. Le corporatisme ou la redistribution de copinage n’est pas l’intÊrÃĒt gÊnÊral. C’est l’Êvidence mÃĒme. Un individu donnerai son argent a une association qui rÊpondrai avant tout a son intÊrÃĒt personnel, et pas pour un groupe administratif qui en dispose pour sÊlectionner des prioritÊs clientÊlistes.

Comme vous le constatez, l’argent public est toujours utilisÊ par l’Êtat en premier pour un groupe de pression bien avant ÂĢ l’intÊrÃĒt gÊnÊral Âģ. Les rÊgimes spÊciaux en sont un autre tÊmoignage dans les choix diffÊrentiels de la redistribution Êtatiste. Chaque fonctionnaire Français dispose du double de cotisation « part patronale » pour lui que n’importe quel salariÊ du privÊ Français. Les politiciens majoritairement issu de la fonction publique n’ont aucun intÊrÃĒt a montrer cette injustice, puisqu’ils sont de loin les champions de monde d’avantages en nature non dÊclaratifs.

L’argent du contribuable utilisÊ par lui est plus utile à l’Êconomie qu’utilisÊ par l’Êtat ou il est largement dÊversÊ par clientÊlisme (socialisme).

L’argent utilisÊ par le contribuable librement est directement utilisÊ pour son intÊrÃĒt, et son intÊrÃĒt est une sociÊtÊ harmonieuse. Donc l’intÊrÃĒt gÊnÊral. L’argent personnel ruisselle dans l’Êconomie, il est dÊpensÊ librement et par le libre arbitre individuel, alors que l’impôt est une dÊpense subie et contrainte et la dÊpense est rÊalisÊe par d’autres sans votre concentement.

En rÊalitÊ l’impôt progressif engendre de nombreux effets pervers dans un marchÊ libre. Il accentue les monopoles, rÊduit l’innovation, dÊcourage l’initiative, et encourage les niches fiscales.

Celui qui est soumis à l’impôt progressif subit une atteinte à la libre concurrence entre les individus et provoque un avantage concurrentiel sur les situations acquises au dÊtriment des nouveaux entrants. Les firmes anciennes n’ont pas a redouter sa concurrence, il ne peut accumuler du Capital pour les concurrencer, puisque plus il gagne plus le pourcentage de sa valeur ajoutÊe est confisquÊe par l’Êtat pour reverser aux intÊrÃĒts des groupes de pression et des obligÊs de l’Êtat.

Le nouveau venu sur un marchÊ libre Êprouve des difficultÊs pour Êtendre son affaire contre les situations Êtablies. En ce sens, la fiscalitÊ progressive entrave le progrès Êconomique et favorise la rigiditÊ sociale. C’est une forme de privilège offert aux rentes de situations de ceux qui sont en place. L’impôt progressif empÃĒche l’ascenseur social de fonctionner. Plus tu gagnes moins le rendement du travail paye. L’Impôt progressif entrave l’initiative. 

Les taux progressifs passent les seuils de la spoliation et l’Êtat le sait et donc, inonde de ÂĢ niches fiscales Âģ la lÊgislation, pour adoucir et faire accepter la progressivitÊ. Ce qui revient à rembourser par des chèques à ceux qui tombent dans la bonne case des personnes qui ne sont pas forcement les plus pertinentes dans une redistribution. 

Chaque niche fiscale est à chaque fois une atteinte à la libre concurrence, et dÊfavorise ceux qui ne sont pas dans les bonnes cases des niches fiscales par rapport à d’autre. En France celui qui investi dans les œuvres d’art a moins de prÊlèvement que celui qui investi dans sa PME.

L’ÊquitÊ demeure une caractÊristique de l’impôt uniforme, la Flat Tax. Par exemple, un contribuable qui gagne 1500â‚Ŧ contribue au mÃĒme taux d’imposition que quelqu’un qui gagne 15 000â‚Ŧ. Le contribuable qui gagne 15 000 â‚Ŧ paie plus de taxes simplement parce que son revenu est plus ÊlevÊ, cependant, le contribuable paie sur un pied d’ÊgalitÊ à 100% à celui qui gagne 1 500â‚Ŧ. Le rÊgime fiscal n’est pas discriminent selon le niveau de revenu, tout le monde paie au mÃĒme niveau de pourcentage.

Les expÊriences de la Flat Tax. 

La Flat Tax a retournÊ positivement l’Êconomie des pays ou elle a ÊtÊ adoptÊ par des succès Êconomiques et fiscaux inespÊrÊs.

Partout ou la Flat Tax c’est imposÊ, les gains fiscaux pour l’Êtat se sont amplifiÊs, la Flat Tax a limitÊ les niches fiscales. L‘Êvasion fiscale a fortement diminuÊ, le travail au noir c’est estompÊ, l »acceptation de l’impôt a progressÊ, le recouvrement c’est facilitÊ, l’ascenseur social a donnÊ plus de riches et l’Êconomie plus forte a augmentÊ le pouvoir d’achat des plus pauvres.

Partout ou la Flat Tax c’est imposÊ, elle a transformÊ la mentalitÊ des individus. Elle a normalisÊ l’acte de payer ses impôts. Elle a engendrÊ un changement comportemental. Elle a brisÊ le sentiment de certains individus à se sentir spoliÊs. Cette mesure a transformÊ l’Êconomie de chaque pays ou elle est arrivÊe.

La conformitÊ volontaire des dÊclaration a augmentÊ, faisant bÊnÊficier l’Êtat de la perte impliquÊ par la mÊthode progressive.

La Flat Tax

Avant la chute du mur de Berlin, la Flat Tax n’existait que dans les pays à faible imposition, Jersey, Hong Kong, Guernesey, Jamaïque, Tuvalu, Grenade.

L’Estonie mis en place le premier impôt forfaitaire en 1994, la Lituanie et la Lettonie ont suivi peu après. ImmÊdiatement après la mise en place (25%), une croissance forte est arrivÊe. En 2005 ces pays ont baissÊ à 21% leurs taux, les bienfaits Êconomiques ayants rÊpondu à l’appel.

Ce sont ces petits pays Baltes excÊdÊs de l’expÊrience communiste, qui ont les premiers en Europe dÊcidÊ de jeter les premiers le manifeste communiste à la poubelle et donc la source idÊologique de l’impôt progressif pour le remplacer par la Flat Tax.

En Janvier 2001, la Russie a remplacÊ une structure tarifaire progressive classique avec un taux d’imposition forfaitaire unique de 13%.  En 2002 la croissance du pays a fait un bon de 5%. Les ressources de l’impôt a progressÊ de manière spectaculaire de +26% en 2001, +21% en 2002, +12% en 2003 pour atteindre une vitesse de croisière vive, avec une croissance supÊrieure au PIB. La simplification des dÊclarations de revenu devenue plus simple, la productivitÊ des services fiscaux c’est amÊliorÊ fortement par des procÊdures de contrôles et de recouvrement simplifiÊes, plus rapides et moins contentieuses.

europe-flat-tax3Pourquoi les recettes de l’Êtat augmentent avec la Flat Tax ?

– La simplification du calcul de son impôt, sur une base fixe entraÃŽne une libÊration du pouvoir d’achat et un choc de consommation.

  • La simplification des dÊclarations de revenu entraÃŽne une productivitÊ meilleure des services fiscaux par des procÊdures de recouvrement simplifiÊes, plus rapides et moins contentieuses.

  • La simplification Êconomise le coÃģt financier, et administratif, voire juridique de se conformer aux complexes niches et règlements.

  • L’impôt est acceptÊ plus facilement, chacun sait que son voisin est prÊlevÊ du mÃĒme pourcentage. Les effets de seuils n’existent plus. Le sentiment de spoliation est diminuÊ.

  • La haine ÂĢ anti-riche Âģ diminue, l’imaginaire des revenus des autres n’est plus ÂĢ extrapolÊ Âģ, mais compris.

  • L’Êvasion fiscale diminue, les taux très ÊlevÊs pour les plus hautes tranches d’imposition responsables de la fuite des capitaux sont lissÊs. 

  • Le travail au noir diminue, là ou il y avait une demande de travail non dÊclarÊ, la demande c’est transformÊe en volontÊ de lÊgalitÊ.

  • Les fausses dÊclarations sont rares, les niches fiscales ont pratiquement disparues, sauf une pour les très très bas revenus

  • L’ascenseur social est libÊrÊ.

  • Le pays devient attractif pour les investisseurs et les Êtrangers qui subissent l’impôt progressif.

  • L’insÊcuritÊ fiscale disparaÃŽt.

  • La double imposition est ÊliminÊe.

  • Les flux financiers sont libÊrÊs de la bureaucratie, des charges de gestion et cela entraÃŽne de forts investissements et de nombreux emplois nouveaux voient le jour.

Aujourd’hui la Flat Tax a dÊmontrÊ à 100% que c’est une rÊussite totale et qu’elle produit au moins 5 annÊes de croissance forte ! 52 pays l’on adoptÊ aujourd’hui. Principalement les anciens pays de l’Est. Ces pays ont utilisÊ la Flat Tax pour nous rattraper rapidement après l’expÊrience communiste. 

Il n’existe pas d’impôt plus Êgalitaire que la Flat Tax. Son adoption entraÃŽne une croissance Êconomique forte immÊdiate, des emplois.

La Flat Tax crÊerait environ un million d’emplois et une forte croissance en France si elle Êtait adoptÊe, comme cela a ÊtÊ le cas dans absolument tous les pays ou elle a ÊtÊ adoptÊ. Contrairement aux thÊories de Keynes, qui utilise la dÊpense publique pour crÊer un boom de croissance et qui laisse une dette sur les gÊnÊrations suivantes, la Flat Tax ne coÃģte rien aux gÊnÊrations suivantes pour faire le boom de croissance, et entraÃŽne en plus une diminution des dettes. 

Alors pourquoi nos politiciens ne la proposent ils pas?

La rÊponse est assez claire. Ils prÊfèrent de façon nihiliste à proposer la pauvretÊ et le chômage pour tous à une richesse inÊgalement partagÊe….

Et mÃĒme s’ils savent pertinemment que la Flat Tax crÊerait de la croissance, ils ont peur d’exposer des idÊes neuves Êconomiques face à la misÊrable et piteuse formation Êconomique Êtatiste et gauchiste post marxiste subie par tous les Français par l’instruction biaisÊe depuis 70 ans de l’Êducation nationale.

Et vous?

PrÊfÊrez vous de la croissance forte, moins de chômage et de l’autre des riches au mÃĒme niveau d’imposition que vous ou alors pas de croissance, plus de chômage de masse et avoir des privilèges fiscaux en pourcentage sur les riches ?

Pour en savoir plus sur 1,2 milliards de clientÊlisme :  Liste des 20167 subventions Êtatiques en France  (Fichier excel).

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