Je propose qu’on dÃĐshabille entiÃĻrement la France de toutes ses entreprises privÃĐes, ne laissant à la rÃĐpublique qu’une coquille vide, un grand cimetiÃĻre de chÃīmeurs par millions, que l’Etat ne saura plus comment nourrir.
Les lois sâempilent, les conditions empirent, et les jurisprudences nous sont de plus en plus dÃĐfavorables. Il nous faut maintenant justifier de la non-augmentation des salariÃĐs ! Le droit du travail, les CHSCT, les impÃīts et taxes, plus rien nâest à notre avantage.
Je propose donc que chacun dâentre nous, les preneurs de risques, les faiseurs de rÊves, les crÃĐateurs, les magiciens qui savent convaincre les investisseurs, partions de France, que nous allions sous dâautres cieux employer dâautres femmes et dâautres hommes, en les payant mieux que leur industrie locale ne les paie, parce que nous conserverons nos clients habituels, aux tarifs habituels.
Je propose quâon dÃĐshabille entiÃĻrement la France de toutes ses entreprises privÃĐes, ne laissant à la RÃĐpublique quâune coquille vide, un grand cimetiÃĻre de chÃīmeurs par millions, que lâÃtat ne saura plus comment nourrir. Lorsquâune femme veut que son mari ingrat constate de visu lâimportance rÃĐelle de ses efforts quotidiens et de sa prÃĐsence discrÃĻte, il lui suffit de quitter le foyer une semaine pour que lâhomme pleure. Il faut faire de mÊme avec nos entreprises. Il faut vider la France, la vider de ses employeurs, la vider de ses riches, la vider de ceux qui travaillent de janvier à aoÃŧt pour payer les impÃīts. Il faut que nous partions tous, afin dâassÃĐcher une bonne fois pour toute les ressources financiÃĻres de cet Ãtat qui distribue à vau-lâeau le fruit de notre travail. Et des millions pour lâAME. Et des millions pour les ÂŦ rÃĐfugiÃĐs Âŧ. Et des millions pour les chÃīmeurs. Et des millions par-ci, par-là . Des subventions aux associations. Des subventions à la presse collaborationniste.
Nous ne voulons plus payer sans choisir oÃđ va notre argent. Car câest bien de notre argent quâil sâagit ! Nous ne voulons plus prendre de risques et dÃĐvelopper des entreprises pour nourrir des syndicats et employer des invirables. Mais comme nous voulons rester dans la lÃĐgalitÃĐ, et puisque la grÃĻve de lâimpÃīt est interdite, alors nous devons partir. Quitter la France. Vider les ressources de la RÃĐpublique qui nous hait tant. Montrer à la France à quoi elle ressemblerait sans nous.
Partons.
Laissons les clefs à JuppÃĐ, Sarkozy, Hollande, Valls, MÃĐlenchon, etc.
Regardez ce quâest devenue lâAlgÃĐrie aprÃĻs notre dÃĐpart.
Ãa vous donnera une idÃĐe de ce qui attend la France lorsque nous serons partis.
Partons, et recommençons ailleurs.
Nous savons le faire.
Je trouve mÊme que câest motivant.
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