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Nous sommes ignorants, l’Êtat encore plus.

Voici quelques questions:

En 1980, aurait-il ÊtÊ possible de connaÎtre tous les biens services et politiques que nous aurions à notre disposition 30 ans plus tard?

Qui aurait pensÊ que nous aurions des tÊlÊphones portables, des Êcrans LCD partout et la technologie Bluetooth, de petits ordinateurs puissants, des forums sur Internet, des avions avec une capacitÊ de 525 passagers, des librairies en ligne ou que les entreprises en ressources immatÊrielles auraient plus de valeur que les industries lourdes tel l’automobile ou l’acier?

Que les Allemands de l’Est, Tchèques ou Polonais qu’on pensait passÊs au communisme pour toujours, seraient 30 ans plus tard les pays les plus anti-communistes  que les habitants des pays des blocs de l’Ouest qui ne l’ont pas subit?

Cette liste pourrait ÃĒtre Êtendue à des milliers de biens, services, politiques auxquels on n’aurait pas pensÊ en 1980. Devant cette ignorance humaine grossière, qui devrait contrôler les biens et services prÊcurseurs?

Notre ignorance est aggravÊe par le fait qu’une grande partie de ce que nous pensons savoir n’est pas vraie. La ScientomÊtrie est l’Êtude de la mesure et de l’analyse de la science, de la technologie et de l’innovation. Les conclusions de cette science montrent que les faits sont rarement anticipÊs des annÊes en amont. Que des erreurs majeures d’anticipation ont lieu rÊgulièrement.

L’ignorance de l’anticipation du futur peut ÃĒtre dÊvastatrice individuellement pais aussi collectivement.

Dire que vous avez achetÊ une maison. Était-ce la meilleure affaire que vous auriez pu obtenir? Y avait-il une autre maison dans votre budget qui aurait eu besoin de moins de rÊparations importantes 10 ans plus tard et avec des voisins plus sympathiques et un environnement meilleur et plus sÃģr pour vos enfants?

Et la personne que vous avez ÊpousÊ et fait des enfants avec ? N’y avait-il pas une autre personne à votre disposition qui aurait fait pour vous un(e) conjoint(e) plus agrÊable et compatible?

Et votre mÊtier, avez-vous choisit la facilitÊ d’un statut à la prise de risque individuelle ? N’y avait-il pas un autre choix que celui qui vous a enfermÊ dans un shÊma de pensÊe ou votre libre arbitre est devenu ÂĢ limitÊ Âģ, et ne pensiez plus qu’en prisonnier corporatiste qu’a envier ceux qui sont plus libres dans un marÊcage des idÊologies socialistes qui se rÊsume a haïr la rÊussite et la richesse individuelle?

L’investissement et les choix de l’Êtat sont ils de l’intÊrÃĒt gÊnÊral ? Bull,  Super PhÊnix, Avions renifleurs, plan calcul, nationalisations stratÊgiques revendues a pertes, voiture Êlectrique Mia, financement a perte d’Êoliennes sont des choix  publics entrainent encore des milliards de dettes sur nos gÊnÊrations et les gÊnÊrations futures. N’aurions pas pu moins taxer et laisser aux Français l’argent utilisÊ pour financer des dÊmagogies ?

Vous le voyez, l’Êtat est irresponsable et son interventionnisme coupable. Il est incapable et irresponsable d’avoir pris ces dÊcisions.

L’essentiel est que l’ignorance est omniprÊsente. Le pire type d’ignorance est de ne pas savoir à quel point nous sommes ignorants.

Cela conduit à la prÊtention dÊvastatrice de la connaissance qui fait partie intÊgrante de la vision des Êlites intellectuelles et souverainistes ou gauchistes et des politiciens Êtatistes.

Étant donnÊ qu’il est impossible pour quiconque de prÊdire l’avenir, toute rÊglementation gouvernementale doit ÃĒtre extrÃĒmement lÊger afin de ne pas saboter l’avenir de nos enfants et le progrès technologique.

Il est bien mieux pour le secteur privÊ de prendre des risques que le secteur public. Les consÊquences sont moins gravent et n’entraÃŽne pas des taxes et des dettes pour toute la population.

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Et pendant qu’on pleure, ils nous font les poches !

Le 10 janvier (samedi dernier, donc), au lendemain de la dernière tuerie qui achevait cette semaine barbare, pendant que la France en Êtat de choc descendait spontanÊment en masse dans les rues, prÊfigurant la manifestation historique du lendemain, que faisaient Manuel Valls et SÊgolène Royal ? Je vous le donne en mille : ils signaient entre deux mouchoirs et en douce le dÊcret lançant la construction de la ligne à grande vitesse (LGV) Poitiers-Limoges. Une ineptie à 2 milliards d’euros !

115 km de voies au prix du platine. Contre l’avis nÊgatif du Conseil d’État dÊbut dÊcembre. Contre la mise en garde de la Cour des comptes en octobre dernier, laquelle dÊnonçait dÊjà et en pure perte ÂĢ les folles dÊrives du TGV Âģ. Un rapport qui Êtablissait que ÂĢ le maillage extrÃĒmement large du territoire – pour satisfaire tous les Êlus — est une hÊrÊsie Êconomique. Les TGV desservent ainsi 230 gares en France, un outil d’amÊnagement du territoire ruineux. Âģ

Une commission nommÊe ÂĢ MobilitÊ 21 Âģ avait pourtant ÊtÊ chargÊe par le gouvernement de ÂĢ fixer en 2013 des prioritÊs aux grands projets d’infrastructures Âģ, comme le rappelle Le Figaro. Et elle a rendu sur cette ligne un avis nÊgatif. Qu’importe. Comme le confie le dÊputÊ UDI Bertrand Pancher au quotidien, il s’agit là à l’Êvidence d’ÂĢ une dÊcision guidÊe par l’intÊrÃĒt particulier qui prend le pas sur l’intÊrÃĒt gÊnÊral Âģ.

L’intÊrÃĒt particulier d’un certain François Hollande assurÊment, qui se vit toujours en prÊsident du conseil gÊnÊral de Corrèze. Hollande qui ne voudrait pas fÃĸcher sa marraine Bernadette Chirac, qui crèvera elle aussi les griffes plantÊes dans son fauteuil d’Êlue. Hollande qui s’est rabibochÊ avec SÊgolène Royal, qui lui sert dÊsormais de soldat à tout faire et à qui il ne refuse rien, pas plus le fiasco de l’Êcotaxe que ses caprices ferroviaires.

Des gares vides, il n’en manque pas sur le trajet de nos TGV. Vendôme, ChÃĸtellerault, Le Creusot, pour ne citer qu’elles, ou encore celle du Futuroscope de Poitiers, par exemple, qui ne voit parfois passer en hiver qu’un seul voyageur par jour. Le groupe ferroviaire SNCF et RFF traÃŽne dÊjà un boulet de 44 milliards d’euros de dettes. Certaines lignes sont dÊficitaires à plus de 80 %. Et qu’importeÂĢ l’Êcologie Âģ dont on nous rebat pourtant les oreilles. Avant que n’Êclatent les tueries islamistes, la France a vÊcu un pic de pollution, particulièrement aigu dans la vallÊe de Chamonix. On a mÃĒme interrompu un moment le trafic des camions les plus pollueurs sous le tunnel du Mont-Blanc. S’inquiète-t-on alors du ferroutage moribond ? Non. On continue de s’Êcharper sur le tracÊ du TGV Lyon-Turin.

Un problème ? Aucun. Comme l’a dit François Hollande pour les emplois aidÊs :ÂĢ Pas grave, c’est l’État qui paye. Âģ Mais dis-moi, mon gros, c’est qui, ÂĢ l’État Âģ ?

Source Marie Delarue

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France versus Angleterre et dÊficit publics

DÊficits publics:

Les coÃģts de l’Etat Britannique ont baissÊ de 40% depuis 2010.

Le Chancelier de l’Êchiquier britannique a dÊvoilÊ son projet Êconomique la semaine dernière. Cet ÂĢ Autumn Statement Âģ est politiquement très important à cause des Êlections en perspective. Ce moment offre l’opportunitÊ au Chancelier de commenter la situation Êconomique et de persuader les dÊputÊs d’avoir confiance en lui. Il lui donne aussi l’occasion de passer en revue les rÊformes accomplies.

 

Un Etat de plus en plus petit

C’est dans le domaine des dÊpenses publiques qu’on retrouve les statistiques les plus frappantes. Depuis son Êlection en 2010, le gouvernement britannique cherchait à faire d’importantes Êconomies et il semble qu’il ait rÊussi. Il a trouvÊ des Êconomies très importantes à faire dans la baisse des allocations des actifs et la rÊforme de l’Etat.

Les dÊpenses publiques en % du PIB

  La France Le Royaume-Uni
2012 57.1 46.7
2013 56.4 45.3
2014 56.5 41.5
2015 56.1 40.5
2016 55.5 39.5
2017 54.5 38.2
2018   36.9
2019   36
2020   35.2

Ce qui est plus frappant est le fait que l’objectif en 2020 est de descendre à 35% du PIB alors que le Royaume-Uni Êtait à46.7 % en 2001. Cela veut dire que les dÊpenses publiques britanniques seront au niveau le plus bas depuis 80 ans ! Ce qui veut dire qu’en 2020 l’Etat britannique dÊpensera moins qu’il dÊpensait avant la deuxième guerre mondiale.
De plus, George Osborne a rÊvÊlÊ que les coÃģts administratifs de la fonction publique ont baissÊ de 40 % depuis 2010. Il se vantait de cette Êvolution en disant, ÂĢ nous avons montrÊ que nous pouvons rÊaliser les Êconomies sans nuire aux services publiques si on est prÃĒt à faire des rÊformesâ€Ļ les Êconomies et les rÊformes Âģ.

Les impôts de plus en plus bas

Pour faire passer la pilule de toutes ces Êconomies, Osborne a encore une fois fait baisser les impôts. Il rÊduit l’un des plus connus, le ÂĢ Stamp Duty Âģ (les droit d’enregistrement qu’on paye quand on achète une propriÊtÊ). Les rÊformes signifient que 98% des gens dÊpenseront moins sur le ÂĢ Stamp Duty Âģ. Les autres rÊformes incluent l’abolition du taux de 55% sur les droits de succession ce qui plaira aux plus ÃĸgÊs, un groupe Êlectoral clÊ pour les Conservateurs. Finalement pour les familles, Osborne a supprimÊ la taxe sur les billets d’avion d’enfants ce qui rendra moins chers les voyages pour une famille.

Les propriÊtaires et les plus ÃĸgÊs profiteront de ces dispositions annoncÊes par ce discours. Les banques et les grandes entreprises multinationales en pÃĸtiront . Osborne a annoncÊ l’instauration d’une ÂĢ Diverted Profits Tax Âģ nommÊe aussi la ÂĢ Google Tax Âģ. En gros, il y aura un nouveau taux pour tout revenu gagnÊ au Royaume-Uni mais qui est taxÊ ailleurs. Il vise ainsi à rÊduire les pertes de l’Êvasion fiscale. ÂĢ Les impôts bas mais les impôts qu’on paye, Âģ affirme le Chancelier.

Publication iref

 

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L’Êtat n’est vÊritablement providentiel que pour une seule catÊgorie de Français : les fonctionnaires.

C’est que dans notre beau pays. Le secteur privÊ sue sang et eau pour leur garantir un nombre ahurissant de privilèges, du reste très soigneusement cachÊs.

C’est  dans ce pays, qui voue un culte dÊlirant à l’ÊgalitÊ, que se trouvent en rÊalitÊ concentrÊes les plus grandes disparitÊs possibles en matière de droits (en dehors de la CorÊe du Nord et de Cuba).

Il y a d’un cotÊ ceux qui les ont tous les avantages, et de l’autre ceux qui les leur payent par leurs impôts et leurs charges.

 

Par charitÊ nous ne mentionnerons pas plus que ça les enseignants à qui il faut bien deux semaines de ÂĢ travail Âģ, pour approcher des trente-cinq heures quand ils ne sont pas tout simplement en vacances (deux semaines toutes les six, plus deux mois l’ÊtÊ). Attardons-nous un peu sur ces salaires, prÊtendument de misère, qui sont servis aux forçats du service public. Ils ne sont infÊrieurs au privÊ que dans les postes de cadre dirigeants, et ce pour une raison simple : il y a moins de dirigeants dans les entreprises que dans l’administration. À armÊe mexicaine : salaires mexicainsâ€Ļ Pour la masse des agents, souvent sans qualification, ou si peu, il vaut bien mieux ÂĢ travailler Âģ dans le public : sans ÃĒtre bien meilleure, la paye y est au moins garantie à vie !

 Autre injustice et non des moindres : les rÊgimes de retraite. Au nom de la pÊnibilitÊ de leurs tÃĸches harassantes, les salariÊs du public partent bien plus tôt que dans le privÊ. Comme ils n’ont pas d’accident de carrière (comprendre de pÊriode de chômage), ils arrivent avant les autres au nombre de trimestres requis.

 

Mais l’injustice ne s’arrÃĒte pas en si bon chemin. Leurs pensions sont aussi bien supÊrieures (1 500 â‚Ŧ en moyenne contre 1 100 â‚Ŧ, soit un tiers de plus). Là oÚ le salariÊ du privÊ verra ses 25 meilleures annÊes prises en compte pour le calcul de sa pension, le fonctionnaire lui, se la verra calculer sur ses six derniers mois d’activitÊ. En ce domaine, ne nous leurrons pas ! Bien entendu une bonne partie des 6 derniers mois seront faussÊs par une ÂĢ promotion Âģ clientÊliste, pour permettre une retraite, qui ne correspondra en rien à la carrière.

 

Rocard, pourtant socialiste, avait dÊjà pointÊ ces injustices diffÊrenciÊs du doigt en 1990. Il y a 23ans, et quelque mille milliards de dettes plus tardâ€ĻRien n’a ÊvoluÊ et la diffÊrence empire.

 

 

Toute cette gÊnÊrositÊ de l’État envers ses servants à un coÃģt, et celui-ci est dÊmentiel. La source de nos dÊficits n’est pas tant à rechercher dans la fraude fiscale que dans le dÊtournement massif de fonds publics auquel se livre chaque annÊe l’État, aux bÊnÊfices exclusifs des fonctionnaires.

 

Si le travail est si cher, c’est aussi et surtout parce que les rÊgimes gÊnÊraux (ceux des salariÊs du privÊ) sont appelÊs à contribution pour financer les largesses consenties aux rÊgimes spÊciaux, des fonctionnaires et assimilÊs : EDF, SNCF, RATP et autres monopoles publics ou groupes de pression aux pouvoir de nuisance politique ou mÊdiatique, type les intermittents du spectacle -1,5 milliards d’assurance chômage, pour seulement 100 000 bÊnÊficiaires.

 

Dernier exemple en date: le pillage ÊhontÊ des Caisses d’Allocations Familiales. La branche famille n’est pas dÊficitaire en raison des largesses, pourtant sujettes à caution, dont le système fait preuve à l’Êgard des nouveaux arrivants d’outre-MÊditerranÊe qui se trouvent pris en charge, avec leur nombreuse descendance, bien avant d’avoir commencÊ à cotiser.

Son dÊficit est uniquement causÊ par la rapacitÊ de l’État qui pique dans le tronc des familles, pour alimenter sa boÃŽte à promesse non financÊe.

 

Les faux droits ainsi garantis aux fonctionnaires et assimilÊs sont à l’origine de la diminution consÊquente des prestations servies aux autres, mais, bien plus graves, ils sont aussi à l’origine à l’injustice du chômage de masse.

En effet, et nous avons trop souvent tendance à l’oublier, le poids de cette ÂĢ protection Âģ sociale repose principalement sur l’employeur : d’oÚ un coÃģt du travail prohibitif, des dÊlocalisations à rÊpÊtition, une dÊsindustrialisation galopante et au final le chômage record qui dÊcoule de tout cela.

Quel l’on ne s’y trompe pas, ce n’est pas la faute de la mondialisation si nous avons plus de trois millions de chômeurs.

Il n’y a pas de dumping social qui vaille. Il n’y a là que les consÊquences d’un système d’irresponsabilitÊ gÊnÊralisÊe oÚ l’argent public est joyeusement dilapidÊ au profit Êlectoral (dans le meilleur des cas) d’une petite clique d’Êlus. Que les victimes de ce ÂĢ transfert Âģ de richesse subissent leur sort sans broncher, est à mettre au nombre des miracles produits par l’acharnement à ne jamais enseigner l’Êconomie aux enfants et à l’uniformitÊ de la pensÊe journalistique qui conduit 90% de cette profession à voter à gauche.

Seulement à trop tirer sur la corde, elle finit par se voir avant de se rompre. Nous en sommes prÊcisÊment aujourd’hui, au stade qui prÊcède la rupture.

 

Les salariÊs du privÊ voient clairement que ce qui leur a toujours ÊtÊ prÊsentÊ comme du social ont bien compris que le mot social n’est en rÊalitÊ qu’une ponction sans fin qui leur garantit de moins en moins de droits, et d’argent dans la poche pour le seul profit des obligÊs de l’Êtat..

Vos cotisations du privÊ, Êtant assises sur votre salaire : plus vous gagnez, plus vous cotisez et moins vous serez remboursÊ ou indemnisÊ.

 

Elle n’est pas belle la vie chez fonctionnaires socialistes ? Encore un petit effort dans cette solidaritÊ unidirectionnelle.

 

La sociÊtÊ française est de plus en plus contaminÊe dans son ensemble par l’esprit de la fonction publique tant le poids de celle-ci est prÊgnant. Il l’est plus encore au niveau de la reprÊsentation nationale. Les fonctionnaires et autres salariÊs du secteur parapublic sont sur-reprÊsentÊs dans les fonctions politiques.

Les intellectuels, les partis politiques, les syndicats sont tous dirigÊs ou presque tous employÊs de l’État, leurs intÊrÃĒts se confondent avec ceux des gouvernants.

Comment voulez-vous que des dirigeants, qui n’ont comme seul horizon professionnel que celui de fonctionnaire, se mettent à ÃĒtre raisonnables et intelligents à remettent en cause leurs intÊrÃĒts individuels?

De ce fait, la politique est naturellement portÊe à protÊger cette classe dominante de fonctionnaires et à voter ou faire voter des lois au dÊtriment de la sociÊtÊ civile…

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Les chiffres! Les chiffres! Rien que des chiffres pour comprendre!

Les chiffres valent mieux qu’un long discourt.

  • Le total des impôts et des ressources annuelles de l’Êtat est de 376 milliards.
  • Le triple net rÊel des ressources de l’Êtat est de 219 milliards. (-subventions aux collectivitÊs, -participation CEE, – impôt nÊgatif ).
  • Les dÊpenses annuelles de l’Êtat sont de 294 milliards.
  • Le dÊficit annuel de l’Êtat est de 79 milliards. Chaque annÊe  27% du budget n’est pas provisionnÊ.
  • Ça fait 40 ans d’affilÊe qu’on a des budgets en dÊficit.
  • Le dernier trimestre de chaque annÊe, la France vit à crÊdit. Les fonctionnaires sont payÊs par l’emprunt.
  • 0.1% de croissance envisagÊe. Il faut 2.5% de croissance pour simplement commencer a rembourser de la dette.
  • Pour la première fois depuis la guerre, le pouvoir d’achat a baissÊ en 2012. -0.4% pour les mÊnages, et -1% pour les seuls ou cÊlibataires.
  • 46.7% des foyers Français ne payent pas d’impôts sur le revenu.

 

  • Les dÊpenses publiques annuelles hexagonales depuis 1973 ont gÊnÊrÊ une dette qui augmente en permanence:
  • – en 2010 : 1 094 milliards d’euros
  • – en 2011 : 1 119 milliards d’euros
  • – en 2012 : 1 149 milliards d’euros
  • Les collectivitÊs locales, ont contractÊ 174 milliards de dettes.
  • 5500 villes ont contractÊs pour 24 milliards d’emprunts dit « toxiques ».
  • L’État est caution, à hauteur de plus de 170 milliards d’euros pour AREVA, EDF, ADP, GDF, France TÊlÊcom, La Poste, SNCF, etc….Toutes ces entreprises ne sont pas en forme.
  • L’Êtat est garant des dÊpôts bancaires. Les banques Françaises ont de mauvais bilans.
  • La France est le premier pays emprunteur d’Europe.
  • La dette cumulÊe entraÃŽne chaque annÊe 60 milliards d’euros d’intÊrÃĒts, nous empruntons  pour les payer…

 

  • La SÊcuritÊ Sociale, accumule un dÊficit à hauteur de 210 milliards d’euros.
  • La Caisse Maladie a vendu la totalitÊ de son patrimoine immobilier elle n’a plus aucun actif.
  • Les retraites n’ont jamais ÊtÊ provisionnÊes.  900 milliards d’euros pour les fonctionnaires, 3600 milliards pour celles du secteur privÊ.
  • Il y a 2.2 millions de fonctionnaires actif pour 2.3 millions de fonctionnaires en retraite. En rÊgimes dÊrogatoires spÊciaux.
  • Il faut 3 cotisants actifs pour financer 70% de la pension d’un retraitÊ dans le privÊ.
  • Il faut 5 cotisants actifs pour financer 70% de la pension d’un retraitÊ dans le public.
  • 500 000 nouveaux retraitÊs en 2012. En 2003 il y en avait 125 000. La croissance  annuelle est à 2 chiffres. 
  • Le rÊgime par rÊpartition en dessous de 3 cotisants pour 1 retraitÊ n’est pas viable. Avec l’Êvolution dÊmographique elle est obligatoirement condamnÊe.

 

  • L’Êcole et l’enseignement supÊrieur reprÊsentent ensemble 150 milliards (hors social et retraite). Soit 69% des ressources triple net de l’Êtat (219 milliards).
  • Il ne reste que 69 milliards pour payer la totalitÊ des services de l’Êtat. Administration, aide publique, culture, dÊfense, Êcologie, Êconomie, justice, outre mer, travail, logement sport, sÊcuritÊ etc…Largement insuffisant.
  • 63% des enfants d’enseignants obtiennent un diplôme au moins Êgal à bac + 3, contre 52% des enfants de cadres.
  • 98 000 enseignants (+5%) sont payÊs à autre chose qu’enseigner et  n’ont pas de classe affectÊe.
  •  260.000 Êtudiants Êtrangers sont formÊs par la France.
  • 50.000 nouveaux Êtudiants Êtrangers s’ajouteront en 2013.

 

  • Il y a 5 millions de chômeurs toutes catÊgories confondues.
  • l’assurance chômage c’est 36 milliards d’euros, dont 27 pour les allocations et 9 pour le fonctionnement.
  • Notre pays comptabilise 26 millions d’actifs de 65 millions d’individus.
  • 5,3 millions ont un emploi à vie: fonctionnaire d’Etat, Territoriaux,de santÊ, et rÊgimes spÊciaux…)
  • 1 jeune sur 4 sorti de l’Êducation nationale est inemployable en l’Êtat, et dÊmarre chômeur dans la vie.
  • 6,3 millions de personnes « vivent » des minima CMU-RSA, prÊvision de 7 millions en fin d’annÊe.

 

  • Le code du travail comporte plus de 10 000 articles, 2800 pages, 8 tomes, classÊes en Livres, Titres, Chapitres, Sections, et Paragraphes, et en dernier les articles, (celui de la Suisse n’en possède que 54 articles).
  • 3,6 millions d’entreprises en France. 63% ont moins de 10 ans.
  • 67% des entreprises Françaises ont 0 salariÊs.
  • 82% des nouvelles embauches sont des CDD.
  • Les embauche en CDI ont chÃģtÊs de 10% en un an.
  • La feuille de paye avait 23 lignes fin 2012.

 

  • Le dÊficit des allocations familiales est de 2.2 milliards.
  • 33% des allocations et prestations sociales d’ayants droit ne sont pas rÊclamÊes.
  • Notre pays est le plus grand paradis social d’Europe  pour les plus pauvres de la terre.
  • En AlgÊrie, le salaire mensuel  mÊdian est de 80â‚Ŧ, au Mali de 36â‚Ŧ. Quand un migrant de ces pays arrive, il bÊnÊficie de l’allocation ATA de 336â‚Ŧ, l’accès au logement prioritaire, la santÊ AME est gratuite.
  •  Seuls 12% des immigrÊs lÊgaux hors CEE viennent pour le travail. l’immigration peu qualifiÊe est majoritaire.
  • 88% des immigrÊs lÊgaux hors CEE viennent pour d’autres raisons, regroupement, mariage etc…
  • La France accorde  2 millions de Visa par An.

 

  • 62% des entreprises de moins de 2,5 millions d’euros de chiffre d’affaires n’ont qu’un seul partenaire bancaire.
  • 60.000 entreprises ont dÊposÊ le bilan en 2012, en hausse de 2,7% par rapport à 2011.
  • Le dÊficit commercial Français 2012 est de 67,5 milliards d’euros. record historique.
  • Notre pays est un enfer fiscal pour les investisseurs, la cession des plus values est taxÊe dans certains cas à 64.9% et doivent ÃĒtre comparÊs aux 0% en Suisse, Belgique, ou Pays bas.
  • Plongeon du  capital risque investi en France 9.7 milliards en 2011, 6 milliards en 2012.
  • Plongeon des investissements Êtranger en capital risque. passage de 50% à 30% des capitaux levÊs en un an.
  • l’investissement dans les entreprises a reculÊ de 0,5% en 2012.

 

On ÊtÊ exclus de ces chiffres le PIB, puisque c’est un agrÊgat artificiel ,qui  biaise la rÊalitÊ Êconomique utilisÊ par les politiciens pour masquer la rÊalitÊ Êconomique.

La richesse d’un pays n’est pas mesurable, il n’existe pas d’instrument pour mesurer le bÊnÊvolat, le travail au noir, les travaux personnels et la dÊprÊciation.

 

Qu’en conclure?…….Normalement la faillite de l’Êtat est proche.

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