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Savez vous que le mûˋtier de patron n’est pas percepteur ?

Dûˋcouverte fondamentale dans la science de l’infantilisation des massesô !

Au pays ou les contribuables directs sont en voie de disparition. Qui va dûˋcouvrir que le mûˋtier de patron n’est pas percepteurô ?

La France, quel pays incroyable. Le patron s’occupe de tout pour vous.

Assurance retraite, Assurance santûˋ, assurance chûÇmage mutuelle complûˋmentaire, impûÇts, taxes, TVA, c’est le patronô le percepteur.

ô 

Votre retraite c’est le patron qui cotise pour vous.

Dans quelques temps il sera mûˆme obligûˋ de tenir ô¨ô votreô ô£ livret compte pûˋnibilitûˋ.

La santûˋ obligatoire c’est la patron qui cotise pour vous.

La mutuelle complûˋmentaire c’est encore le patron au 1er janvier qui devra en avoir la charge obligatoire.

Votre assurance chûÇmage, c’est encore le patron qui le fait û  votre place.

Les impûÇtsô ? 60% de la population n’est mûˆme plusô contribuable direct.

Pour ceux qui restent, avec l〙impûÇt û  la source, leô patronô va bientûÇtô progresser dans le rûÇle du fonctionnaire percepteur unique et total dans quelques mois.

Les congûˋs payûˋsô ? C’est l’employeur qui thûˋsaurise et gû´re la marge compensûˋe annuelle, vous ne vous occupez de rien. Rien de rien.

Vousô voici vivre dans cette catûˋgorie sociale qui vit sans rien contribuer ,sans rien penser sans rien choisir de son propre libre arbitre,ô directement responsable de rien, et profiter de la redistribution sans rûˋflûˋchir.

Et c’est le patron chargûˋ d’y penser pour vousô gratuitement.

ô 

Les ImpûÇts.

û‡a y est c’est FOR-MI-DABLE.

En cette pûˋriode d’arrivûˋe des feuilles d〙impûÇts, voici un nouveau cadeau.

Vous ûˆtes de plus en plus nombreux a toucher une ûˋniû´me exonûˋration de tranche, que vous avez vous mûˆme financûˋ avec votre argent par les augmentations successives de TVA que vous subissez de l’autre.

Vous allez donc ûˆtre plusieurs millions û ô ne plus payer d〙impûÇts. Vous n’ûˆtes plus des vrais ô¨ô contribuablesô ô£. Non non non. Vous ûˆtes des « nontribuables« . Des exclus de la participation directe û  la vie de la sociûˋtûˋ. Pas besoin de niche fiscale pour les non-assujettis.

Vous ne contribuez plus a rien du tout directement.

Vous avez maintenant l’honneur d’ûˆtre encore plus nombreux û  faire partie des 60% de la population clientûˋlisûˋ fiscale.

Qu’importe la paye. Pas d〙impûÇts.

ô 

Quel est la raison de cette disparition fiscaleô ?

La dette aurait disparueô ? û‰videment Non.

Il y aurait eu disparitions de fonctionnaires û  payerô ? Non. Ils augmentent toujours.

L’ûˋtat ferait des terribles ûˋconomiesô ? Non. Le dûˋficit public augmente toujours.

Les dûˋpenses seraient contenuesô ? Non. Chaque annûˋe l’ûˋtat emprunte plus.

Alors comment ce fait-ilô ?

J’ai bien moi vil capitaliste une vûˋritûˋ û  dire avec mes mots, mais vous n’allez pas apprûˋcier.

Mon explication est simple, ô¨ô On vous infantilise et on vous prend pour des burnes.ô ô£ ô¨ô Moins vous voyez l’argent circuler directement plus vous vous en foutez, moins vous ûˆtes responsables.ô Moins vous en avez la gestion moins vous serez tentûˋ de rûˋflûˋchir au rapport/qualitûˋ prix de ce que l’on vous prendô ô£.

Pour les politiciens et les groupes de pression, dûˋpenser l〙argent sans que le peuple compteô est facteur de rûˋ-ûˋlection politique, et c’est tellement plus facile de clientûˋliser.

ô 

Clientûˋliser par corporations ou groupes sociaux

En fait vous trouvez tous ô¨ô normalô ô£ qu’en gagnant moins certains soientô ô¨ô privilûˋgiûˋsô ô£.

Vous ûˆtes tous pour l’abolition des privilû´ges, mais avec plein d〙exceptions aux rû´gles gûˋnûˋralesô ?

En fait bûˋnûˋficier d’un ô¨ô petit privilû´geô ô£ exonû´re la contradiction û  la volontûˋ d’ûˋquitûˋ pour tous.

Si les contribuables ne sont plus des contribuables et que la majoritûˋ de la population est exonûˋrûˋ d〙impûÇts sur le revenu alors qui paye, puisque les dûˋpenses n’ont pas diminuûˋesô ?

En fait c’est la TVA, sorte de Flat tax sur les biens de consommation qui vient d’ûˆtre augmentûˋ. En fait pour ô¨ô clientûˋliserô des classes moyennesô ô£ l’ûˋtatô compense le manque û  gagner sur la TVA. Donc sur tous les individus.ô TVA qui inclue bien entendu les plus pauvres.

Et qui va rûˋcupûˋrer chez vous l’argent compensatoire de vos exonûˋrations fiscales de masseô ?ô L’entrepriseô !ô Le patron.

ô 

Qui perûÏoit quoiô ?

Les patrons FranûÏais sont les percepteurs de tout.

Au nom de quoi se serait û  votre employeur de cotiser a votre assurance retraiteô ?ô Vous ûˆtes trop sot pour le faire vous mûˆmeô ? Et votre futur livret pûˋnibilitûˋ, c’est a lui de le tenir et d’en rendre compteô ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut ûˆtre prûˋfûˋreriez vous cotiser û  la caisse des Sûˋnateurs qu’û  la caisse des agriculteursô ?

ô 

Au nom de quoi se serait û  votre employeur de cotiser û  votre assurance santûˋô ?Vous ûˆtes trop sot pour le faire vous mûˆmeô ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut ûˆtre prûˋfûˋreriez vous cotiser û  la sûˋcu des fonctionnaires sans carence que la CPAM avec une carence de 3 joursô ?

ô 

Au nom de quoi se serait û  votre employeur de cotiser a votre assurance chûÇmageô ?Vous ûˆtes trop sot pour le faire vous mûˆmeô ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut ûˆtre prûˋfûˋreriez vous disposer d’un suivit comme les û‰narques d’unô emploi û  vie mûˆme aprû´s un licenciementô pour faute graveô ?

ô 

Au nom de quoi se serait û  votre employeur de cotiser a votre mutuelle complûˋmentaireô ?ô Vous ûˆtes trop sot pour le faire vous mûˆmeô ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut ûˆtre prûˋfûˋrez vous cotiser plus pour des remboursements dentaires que pour les remboursements optiquesô ?

ô 

Au nom de quoi se serait û  votre employeur de payer vos impûÇtsô ?ô Vous avez ûˋtûˋs jusque prûˋsent trop sot pour le faire vous mûˆmeô ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut ûˆtre prûˋfûˋrez vous ne pas expliquer les revenus de votre foyer û  votre employeurô ?

ô 

Le patron et l’entreprise ne sontô pas rûˋmunûˋrûˋs pour de tels services. Savez vous le but d’une entreprise n’est pas de se substituer a vos responsabilitûˋs individuellesô ?

Le coû£t comptable de la gestion des salaires est loin d’ûˆtre anodine, pour l’employeur. C’est aussi, une des plus grande source de conflits sociaux et de litiges, de redressements fiscaux ou sociaux.

û‡û  ne rapporte rien û  l’entreprise, et s’impliquer dans la perception c’est de l’autre perdre de l’efficience et de l’ûˋnergie pour gagner et faire fructifier des marchûˋs. Handicaper leô job rûˋel de l’entreprise, faire du business.

Les coû£ts cachûˋs de la perception par l’entreprise rendent nos entreprises les moins compûˋtitives d〙Europe.

Le but d’une entreprise, c’est de crûˋer de la richesse. Pas de faire vivre cette grande fictionô û  travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dûˋpens de tout le mondeô par son intermûˋdiaire ni d’en payer les coû£ts.

Les assurances sociales, si sociales soient elles et lûˋgalement forcûˋe, sont elle un droit que la Libertûˋ de les choisir soit lûˋgalement dûˋtruite en contraignant le patron et le salariûˋs a ûˆtre les moutons de dûˋcisions technocratiquesô ? Et les salariûˋs sont ils si ignares pour ne pas savoir les gûˋrer eux mûˆmeô ? Quel contrat lie l’employeur û  la perception de l’ûˋtatô ?

Rien la relation est forcûˋe, elle n’estô pas contractuelle et n’est acceptûˋe rûˋciproquement.

Les fonctionnaires percepteurs de l’ûˋtat travaillent-ils gratuitementô ? Pourquoi la personne morale devrait faire un travail pour lequel elle n’est pas rûˋmunûˋrûˋô ?

C’est pas pour ûÏa que l’entrepreneur c’est mis û  son compte. Pourquoi chronophager le temps de l’entreprise û ô des obligations qui ne la concerne pasô ?ô 

Apparemment cette maniû´re de fonctionner en dûˋsimplication sociale des individus comme objectif de vie est assez surprenante û  voir lorsqu’on a la vision de l’employeur.

û‡a vous plaûÛt de faire partie de la congrûˋgation des ignorants volontaires qui ne veut pas savoir ce que vous payez.

Combien payez vous pour vos assurances socialeô ? û‡a vous fait plaisir de ne pas savoir et vivre dans l〙ignoranceô ?ô 

ô 

Et si l’employeur vous verserait votre salaire completô ?

Vous seriez plus responsable. Impliquûˋ individuellement. Amenûˋ û  vous intûˋresser û  ce que vous payez, et donc un citoyen plus impliquûˋ.

De lû  û  penser que les monopoles, le corporatisme, les corporations n’aimeraient pas û  rendre des comptes, il n’y a qu’un pas…

ô 

L’ûˋtat donne bien le droit de vote û  tous mais refuse votre salaire completô ?

Savez vous que le mûˋtier de patron n’est pas percepteurô ?

Il est temps de changer d’univers. Le monde de Oui-oui n’est pas la France.

Trop, c’est trop. Le salariûˋ devrait empocherô son salaire complet.

Tout le monde a û  gagner û  le faire. L’employeur et le salariûˋ.

Sauf les rentiers des prûˋlû´vements contraints et obligatoires qui comptent sur votre ignorance et votre mimûˋtisme d’indiffûˋrence.

Lors d’un forum sur Internet, certaines objections inattendues sur le montant du salaire m’ont interpellûˋ sur la mûˋconnaissance du salaire. Les tenants et aboutissants de la rûˋmunûˋration m’ont indiquûˋ que bien des gens n’ont aucune notion de la structure d’un salaire comme de la valeur des charges payûˋes, voire mûˆme du comment de la crûˋation de la fixation des prix de la valeur ajoutûˋe.

Le salaire dûˋfinit dans l’ûˋconomieô :

-Du point de vue du salariûˋ, le salariûˋ, loue sa force de travail û  son employeur, et transforme un certain nombre de produits, ou services dont le droit de propriûˋtûˋ appartient û  l’entreprise. Il attend û  la fin du mois les revenus de la location de sa force de travail pour vivre.

-Pour le point de vue de l’entreprise, l’employûˋ est payûˋ pour la force de travail qu’il a amenûˋ dans l’entreprise.

Pour l’entreprise le paiement du salaire est une avance sur la vente du produit ou du service finit. En effet, en payant la force de travail du salariûˋ, l’entreprise propriûˋtaire du produit ou service finit, a achetûˋ le service de la force de travail du salariûˋ sans avoir la certitude que la transformation va ûˆtre vendue. Le paiement d’un salaire est donc un risque pour l’entreprise. Ce qui se traduit simplement, par une prise de risque pour l’entreprise que le salariûˋ ne prend pas.

Beaucoup de gens comprennent le salaire comme ce qu’a coû£tûˋ le salariûˋ au patron. Vous retrouvez cette dûˋfinition partout. Cette dûˋfinition malheureuse a ûˋtûˋ adoptûˋe û  la fois par le patronat, les syndicats et la population. Voire mûˆme par ceux qui intellectualisent la diffûˋrence entre ô¨ô personne moraleô ô£ et ô¨ô personne physiqueô ô£, par facilitûˋ de langage, bien que cela soit une rûˋalitûˋ faussûˋe.

L’employeur ou le patron est un travailleur comme les autres dans l’entreprise. Il reûÏoit une rûˋmunûˋration pour gûˋrer l’entreprise et diriger les autres travailleurs.

La grande proportion de nos compatriotes vivant dans des monopoles publics, de tarification publique ou salariûˋs protûˋgûˋs et n’ont pas la notion intellectuelle de la gûˋnûˋration de la valeur ajoutûˋe. Pour eux, le processus est incomprûˋhensible de leur point de vue, ils n’ont jamais ûˋtûˋ confrontûˋs aux notions de valeur rûˋellement perûÏue de leur travail.

Il s’imaginent que les prix sont formûˋs par le ô¨ô dieu actionnaireô ô£ qui additionne les coû£ts supportûˋs par l’entreprise et le profit des actionnaires. Vous le voyez tous les jours dans les rûˋactions des protûˋgûˋs et statutaires.

En rûˋalitûˋ, cette maniû´re de voir est fausse. La valeur ajoutûˋe correspond û  la valeur de ce que dûˋcide librement le client pour acheter le produit final en le mettant en concurrence. C’est un jeu d’ajustement qui nûˋcessite une adaptation des coû£ts.

Les cotisations patronales n〙appartiennent pas û  l’employeur, elles font partie des avantages et appartiennent donc au salariûˋ. C〙est confirmûˋ par la lûˋgislation europûˋenne, qui dûˋfinit une rûˋmunûˋration comme ûˋtant ô¨ô le salaire ou traitement ordinaire de base ou minimum, et tous autres avantages payûˋs directement ou indirectement, en espû´ces ou en nature, par l’employeur au travailleur en raison de l’emploi de ce dernier.ô ô£ (point 2 de l〙article 141, ex article 119, du traitûˋ d〙Amsterdam).

Les consommateurs dûˋcident donc de la vraie valeur des produits fabriquûˋs, donc indirectement de la valeur des salaires.

Quand l’employeur paye un salariûˋ, il dispose pour le rûˋmunûˋrer de la valeur que le client donnera pour le travail rûˋalisûˋ. C’est une vûˋritûˋ ûˋlûˋmentaire ûˋconomique.

Le salaire est dûˋconnectûˋ du client, il est formalisûˋ par un contrat entre salariûˋ et employeur. Le salariûˋ souhaite la rûˋgularitûˋ de son revenu quelque soit le rûˋsultat de l’entreprise.

Le revenu de l’entrepreneur, de l’actionnaire n’ont pas la sûˋcuritûˋ dont dispose le salariûˋ. Si l’objet des ventes le salariûˋ reûÏoit des rûˋmunûˋrations supplûˋmentaires, mais si l’objet des ventes est invendable, les salaires ne peuvent plus ûˆtre payûˋs.

Il est faux de croire que le profit est prûˋlevûˋ au dûˋtriment des salaires, le profit est accordûˋ par le client, il est extrûˆmement variable.

Le salaire de la feuille de paye.

(Les chiffres prûˋsentûˋs sont concrets et vûˋrifiûˋs en cas gûˋnûˋral, le salaire pouvant varier suivant certaines rûˋductions, aides, convention collectives, corps de mûˋtier, fonctions ou rûˋgion ou l〙on se trouve.)

Un problû´me vient de la prûˋsentation tronquûˋe de la feuille de paye. Elle informe de tout et de rien, elle occulte dans sa prûˋsentation la rûˋalitûˋ du revenu du salariûˋ. ConnaûÛtre la vûˋritûˋ sur les revenus rûˋels de son travail est aujourd’hui impossible pour une trû´s grande majoritûˋ de FranûÏais. Les FranûÏais ont renoncûˋ û  la comprûˋhension de cette derniû´re, il faudrait une formation complû´te pour la lire.

Alors pour informer, il faut donc entrer dans son logiciel û  feuille de paye pour trouver tous les ûˋlûˋments cachûˋs derriû´re. L’informatique donne toutes les rûˋponses.

-Le SMIC Brutô :ô 1ô 430,22゘

-Le SMIC Netô 1120,43ô ã‚˜

-Le SMIC Brut de Brut (salaire complet)ô : 2242,58゘

-Le SMIC disponible 1194,99゘

-Le salaire Brut est une base de calcul des salaires.

-Le salaire Net est le salaire officiel rûˋmunûˋrûˋ.

-Le salaire Complet est la somme payûˋe toutes charges incluses sur les salaires par l’employeur.

-Le salaire disponible, est le montant du virement sur le compte bancaire que le salariûˋ reûÏoit rûˋellement hors CSG et CRDS ô¨ô non dûˋductibleô ô£.

Au 20/10/2013, un SMICARD a sur son salaire COMPLET,ô 1047,59゘ ponctionnûˋ par sa protection sociale.

Voici l’ensemble des prûˋlû´vements que subit le salaire complet en comptabilitûˋ pour une entreprise: (Cotisation retraite rûˋgime de base part patronale, cotisation rûˋgime de base part salariale, cotisation retraite rûˋgime supplûˋmentaire part patronale, cotisation retraite rûˋgime supplûˋmentaire part salariale, assurance maladie part patronale, assurance maladie part salariale (-CSG dûˋductible), contribution de solidaritûˋ, assurance dûˋcû´s/invaliditûˋ part salariale, assurance dûˋcû´s/invaliditûˋ part patronale, amortissement de la visite mûˋdicale obligatoire, assurance maladie complûˋmentaire part salariale, assurance maladie complûˋmentaire part patronale, ImpûÇt logement, taxe formation, cotisations URSSAF, CSG, CRDS)

Un inventaire û  la Prûˋvert.

47% des revenus du SMICARD sont de la ponction sociale.

L’ûˋcart en pourcentage est le mûˆme pour un revenu 2 SMIC, moindre au delû  de 4 SMIC û  cause des plafonnements.

Le SMICARD paye donc par anô 12 571゘ô en charges directes sur son salaire. Le tout sans compter les taxes indirectes qu’il paye pour cette mûˆme protection sur les tabacs, mutuelles, EDF, boissons sucrûˋes, jeux etc..

Le salaire du SMICARD est amputûˋ d’environ la moitiûˋ par les cotisations sociales. La vision sociale actuelle considû´re le SMICARD comme un ignare incapable de choisir de lui mûˆme ses assurances sociales.

Cette vision collectiviste vûˋcue par nos compatriotes salariûˋs est une insulte û  leur dignitûˋ, et leur libre arbitre.

Chaque SMICARD se retourne contre l’employeur sur la faiblesse de ses revenus, mais en rûˋalitûˋ la moitiûˋ de son salaire est prûˋlevûˋ par les cotisations sociales. Il serait peut ûˆtre temps qu’il se retourne sur ceux qui sont responsable des 47% de prûˋlû´vement de son salaire, et qu’il sache ce que les responsables appointûˋs et en font.

Chaque Smicard devrait se poser la question, pourquoi les personnels des organismes de prûˋlû´vement sociaux, ont prûˋfûˋrûˋ pour se protûˋger pour la retraite ont choisit pour eux des rûˋgimes spûˋciaux adossûˋes û  la capitalisation (CPPOSS) bien diffûˋrents du rûˋgime gûˋnûˋral qu’ils gû´rent.