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IsraĂŤl: un SMS et allez vous faire vacciner.

Alors que les systèmes de santÊ du monde entier ont ÊtÊ confrontÊs à des dÊfis sans prÊcÊdent, IsraÍl est devenu le leader des pays vaccinÊs, en grande partie grâce à Magen David Adom.

A la diffĂŠrence des pays occidentaux, les services d’urgence de ce pays sont  sous traitĂŠs  par une association. Magen David Adom.

Elle est principalement composĂŠ de bĂŠnĂŠvoles et compte plus de 10 000 personnes qui offrent plus d’un million d’heures-homme par an.

Il y a 3,1 mÊdecins actifs pour 1000 habitants en IsraÍl, un ratio plus ÊlevÊ que dans les pays occidentaux, (comme la France 3,1/1000).

Il y a nettement beaucoup moins d’infirmières, 5,1 infirmières pour 1000 habitants, comparĂŠ Ă  la moyenne des pays de l’OCDE de 8,7 infirmières pour 1000 habitants ou la France Ă  9,9 pour 1000habitants.

Pour compenser, IsraĂŤl utilise beaucoup plus des assistants mĂŠdicaux, et les urgences ne sont pas a charge des secus, mais d’une association. Ce particularisme, fait que l’organisation IsraĂŠlienne est en matière de gestion de crise et d’urgence l’une des meilleure du monde.

La vaccination montre a quel point cela fait la diffĂŠrence.

Les patients arrivent dans les centres de vaccination montĂŠs en extĂŠrieurs ou dans les stades de football, les bĂŠnĂŠvoles se dĂŠplacent dans les maisons de retraite.

Les patients glissent leur carte d’assurance et obtiennent un numĂŠro. Lorsque leur numĂŠro est appelĂŠ, les bĂŠnĂŠvoles les escortent jusqu’aux cabines de vaccination oĂš des mĂŠdecins, des infirmières et des assistants mĂŠdicaux formĂŠs specialement Ă  l’injection du vaccin leur font l’injections du vaccin Pfizer/BioNTech dans leurs bras.

IsraĂŤl est le leader mondial du taux de vaccination par habitant. CommencĂŠ depuis le 19 dĂŠcembre, aujourd’hui plus de 20% de la population du pays de 10 millions d’habitants soit environ 2 millions d’habitants, ont dĂŠjĂ  reçu la première dose du vaccin Covid-19 :

Depuis le 14 janvier, 400 000 personnes ont reçu la seconde.

Au cours des dernières semaines, le pays a rĂŠussit a vacciner 150 000 personnes par jour. La prioritĂŠ est allĂŠe aux personnes de plus de 60 ans et aux agents de santĂŠ, cependant, afin d’ĂŠviter de gaspiller des injections qui pourraient gâcher, elles sont aussi administrĂŠes aux personnes au bon endroit au bon moment. Par exemple, si vous accompagnez une personne qui se fait vacciner mĂŞme si vous n’ĂŞtes pas âgĂŠ, et que vous ĂŞtes en avance au rendez vous, vous y passez aussi, il n’y ‘a pas de temps a perdre, l’important c’est de vacciner.

IsraĂŤl s’est ĂŠgalement engagĂŠ Ă  rĂŠserver une deuxième dose Ă  tous ceux qui ont reçu la première. Les rendez-vous du 2eme vaccin est prĂŠvus 21 jours au jour, à l’heure et la minute après le premier vaccin.

Si vous avez ĂŠtĂŠ vaccinĂŠ le 2 janvier Ă  15h47, vous avez un nouveau rendez vous le 23 janvier Ă  15h47 prĂŠcise au mĂŞme endroit. Et des SMS vous seront renvoyĂŠ en rappel une semaine avant, une journĂŠe avant, 12h avant, une heure avant.

 

Le 7 janvier, le Premier ministre israĂŠlien Benjamin Netanyahu a annoncĂŠ que le pays avait conclu un accord avec Pfizer pour livrer plus de vaccins, dans le but de vacciner tous les citoyens de plus de 16 ans d’ici la fin du mois de mars.

 Nous serons le premier pays au monde à Êmerger du coronavirus , a dÊclarÊ Netanyahu

Les efforts de vaccination d’IsraĂŤl se dĂŠroulent parallèlement Ă  une augmentation rapide des cas de coronavirus.

Les cas positifs de Covid-19 dans le pays ont atteint leur plus haut niveau en dÊbut 2021, avec environ 7 000 personnes testÊes positives chaque jour .

IsraÍl fait Êgalement face à une nouvelle Êlection en mars . Un dÊploiement agressif de la vaccination sera probablement un coup de pouce pour Netanyahu.

L’une des particularitĂŠ d’IsraĂŤl, c’est que les services d’urgence ne sont pas Ă  la charge des sĂŠcus(HMO)

La population d’IsraĂŤl a 4 secus universelles (HMO)et chacun choisit la sienne. Si tout le monde peut aller dans n’importe quel hĂ´pital ou clinique, les sĂŠcus disposent d’un parc de cliniques ou hĂ´pitaux en propre.

Le système universel est financĂŠ par une taxe sur les salaires de 5% et l’ĂŠtat rĂŠparti au prorata du nombre d’adhĂŠrents la taxe. Ces 4 secus sont les plus est numĂŠrisĂŠes au monde. Cela facilite le suivi et la communication avec les usagĂŠs.

Tous les citoyens israĂŠliens sont inscrits dans l’une des 4 sĂŠcus (HMO) pour leurs soins. Chacun est numĂŠrisĂŠ et a un numĂŠro d’identification un peu en la France Ă  la diffĂŠrence, c’est que chacun choisit sa secu (HMO) et peut passer d’une Ă  l’autre selon les options que chacune des 4 offre en plus des soins primaires obligatoires.

Les sĂŠcus se sont mis en harmonie avec l’association Magen David Adom pour une mise en place du système de distribution le plus efficace pour faire sortir le vaccin dans les communautĂŠs, employant leurs infirmières, mĂŠdecins et bĂŠnĂŠvoles formĂŠs de Magen David Adom pour administrer les vaccins,

Dès que les HMO et l’association MDA ont obtenu des informations du ministère de la SantĂŠ sur la façon d’administrer les vaccins, ils ont commencĂŠ Ă  organiser les employĂŠs et l’infrastructure dont ils disposaient sur la meilleure façon de le faire.

Des arènes comme le Pais Ă  JĂŠrusalem, ou la place Rabin, au centre de Tel Aviv . Les thÊâtres et les centres culturels, autrement vides en raison des restrictions pandĂŠmiques, ont ĂŠtĂŠ convertis en sites de vaccination. Un parc dans la ville de Raanana, oĂš un HMO a louĂŠ un endroit près d’un lac artificiel pour que les gens puissent attendre dehors et dans les maisons de retraite.

La communication est un autre ÊlÊment clÊ de la riposte vaccinale : indiquer aux gens exactement oÚ aller et quand.

C’est pas comme la farce en France ou c’est le patient qui doit appeler pour trouver un centre.

Les IsraĂŠliens sont habituĂŠs Ă  recevoir des communications par SMS en gĂŠnĂŠral, de la part des HMO, ce qui a contribuĂŠ Ă  faciliter la communication sur la vaccination.

Par Spartacus Lequidam

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Qui est Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’actuel prĂŠsident de l’OMS ?

 

L’OMS passe aux yeux de l’opinion non concernĂŠe, comme une autoritĂŠ universelle dont le jugement n’a jamais ĂŠtĂŠ remis en question.

Les politiciens font appel Ă  sa parole, Ă  sa supposĂŠe infaillibilitĂŠ scientifique et politique. Ils se tournent vers ses analyses, qui sont considĂŠrĂŠes comme incontestables par l’acronyme OMS, comme si l’organisation ĂŠtait une ĂŠglise de Scientologie, et ce que le prophète  OMS  dit ĂŠtait la parole de Dieu.

Les bureaucrates et technocrates de tous les pays suivent le doigt sur la couture du pantalon les  recommandations de l’OMS , gage d’une excuse toute faite, et ĂŠvite de rĂŠflĂŠchir par soi-mĂŞme.

 

Mais qui est Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’actuel prĂŠsident de l’OMS ?

Tedros Adhnom Ghebreyesus est un homme politique et ancien fonctionnaire du rĂŠgime communiste dictatorial d’Éthiopie, oĂš il a ĂŠtĂŠ ministre de la SantĂŠ.

Membre fondateur de la Ligue Marxiste-lĂŠniniste du Tigray et son bras armĂŠ le parti du Front de libĂŠration du peuple du Tigray, un parti socialiste marxiste a visĂŠe gĂŠnocidaire des classes bourgeoises. Une enquĂŞte d’investigation de la BBC a montrĂŠ que dans les annĂŠes 80, l’argent de l’aide humanitaire servait a acheter des armes en laissant crever de faim les rĂŠgions non soumises au marxisme.

En 2017, cet homme est devenu directeur gĂŠnĂŠral de l’OMS, soutenu par la Chine, bien qu’il soit accusĂŠ d’avoir masquĂŠ trois ĂŠpidĂŠmies mortelles de cholĂŠra sous le nom de  diarrhĂŠe aqueuse aiguÍ . Alors qu’il a ĂŠtĂŠ ĂŠlu Ă  Genève, des groupes ĂŠthiopiens manifestaient devant le siège de l’ONU pour dĂŠnoncer sa complicitĂŠ avec le rĂŠgime ĂŠthiopien, alliĂŠ du Venezuela, de Cuba et de la Chine. Le rĂŠgime ĂŠthiopien a commis d’innombrables violations ĂŠpouvantables des droits de l’homme, le gĂŠnocide des minoritĂŠs, les massacres de manifestants, la torture des dissidents et les arrestations politiques et les dĂŠtournements de fonds humanitaires.

Ce monsieur est arrivĂŠ au pouvoir Ă  l’OMS grâce au vote des membres de l’Union africaine. La plupart de ces pays sont souvent gouvernĂŠs par des dictatures violentes, ou ils restreignent les droits et libertĂŠs. Ils souffrent ĂŠgalement d’une corruption endĂŠmique et structurelle. De plus, ce monsieur a ĂŠtĂŠ nommĂŠ secrĂŠtaire gĂŠnĂŠral de l’OMS grâce au lobbying et au soutien explicite du rĂŠgime communiste chinois.

La première chose que ce monsieur a faite lorsqu’il est devenu prĂŠsident de l’OMS a ĂŠtĂŠ de nommer Robert Mugabe ambassadeur de bonne volontĂŠ de l’organisation dans le monde.

Oui, vous avez bien lu : Robert Mugabe, le dictateur africain qui sous sa prÊsidence a fait reculer le nombre de mÊdecins pour 100 000 de 14 à la fin des annÊes 1990 à 0,8 à la fin de son mandat.

Le plus cruel dictateur d’afrique assoiffĂŠ de sang dominĂŠ par le meurtre, les effusions de sang, la torture et l’intimidation Ă  grande ĂŠchelle, corrompu, qui, en plus de promouvoir le nettoyage ethnique tribal et de pratiquer la torture et le crime, ĂŠtait un fervent partisan de la Chine et promoteur corrompu de la Chine pour son contrĂ´le des matières premières sur ce continent. Mugabe a quand mĂŞme ÊtĂŠ en poste 5 jours avant que la pression des ONG et des USA ne le fasse reculer.

 

Ce monsieur, ancien ministre des Affaires ĂŠtrangères de l’Éthiopie et maintenant directeur gĂŠnĂŠral de l’OMS, est un autre pion du rĂŠgime communiste Ă  PĂŠkin sur la scène mondiale, tout comme Mugabe l’ĂŠtait autrefois.

La Chine est le principal partenaire commercial de l’Éthiopie et a ĂŠgalement investi plusieurs millions de dollars dans les infrastructures en Éthiopie, qui deviendront un ĂŠlĂŠment essentiel de la nouvelle route de la soie.

Parmi les autres services rendus Ă  ses amis de PĂŠkin, ce monsieur a opposĂŠ son veto Ă  Taiwan, l’archi-rival de la Chine communiste, lors des sessions de l’OMS d’ĂŞtre un membre. Mais pire encore, en 2019 il a coupĂŠ à Tawain les accès aux donnĂŠes de santĂŠ de l’OMS.

Et tandis que Taiwan a mis en garde en janvier contre le danger de contagion en Chine, l’OMS a exhortĂŠ Ă  ne pas restreindre les vols et le commerce avec ses alliĂŠs de PĂŠkin.

Non seulement soutient non discret des interets de la Chine Ă  l’OMS, mais en plus criminel, ce monsieur, a refusĂŠ de dĂŠclarer le COVID-19 une pandĂŠmie jusqu’au 10 mars, mĂŞme s’il s’ĂŠtait dĂŠjĂ  largement rĂŠpandu dans les pays europĂŠens. L’Italie s’ĂŠtait dĂŠjĂ  effondrĂŠe. L’Espagne ĂŠtait au milieu d’une propagation virale et le COVID-19 s’installait en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. L’Asie est infectĂŠe depuis plus d’un mois et le virus commençait Ă  ĂŞtre dĂŠtectĂŠ dans les AmĂŠriques. Par consĂŠquent, personne n’a compris le retard de la part de l’OMS. À moins que cela n’ait rien Ă  voir avec la guerre contre le virus mais qu’il soit liĂŠ Ă  la guerre de propagande, dans laquelle les communistes sont de dangereux experts.

TaĂŻwan n’a pas attendu l’OMS et a stoppĂŠ le virus Ă  temps, utilisĂŠ la meilleure politique du monde, mais cet homme nous a privĂŠ de l’expĂŠriance et la vigilence de ce pays.

La Chine a cachĂŠ au monde les origines de l’ĂŠpidĂŠmie et a faussĂŠ le nombre de cas et de dĂŠcès. Mais il a gagnĂŠ la bataille de la propagande parce que l’OMS, c’est-Ă -dire son Directeur gĂŠnĂŠral, a louĂŠ sa transparence et son efficacitĂŠ dans le monde.

Le soutien de l’OMS Ă  la Chine a provoquĂŠ d’innombrables dĂŠcès et infections dans le reste du monde et est dĂŠjĂ  devenu l’une des raisons de la crise ĂŠconomique brutale qui vient de se dĂŠrouler.

Au lieu de demander sa dĂŠmission et remettre en cause Tedros Adhanom, dans un tweet Macron se fend d’avoir eu avec le prĂŠsident de l’OMS une conversation très riche et chaleureuse.

Affligeant.

Il ne faudra pas oublier

C’est l’OMS qui a critiquĂŠ officiellement Trump pour avoir appliquĂŠ des restrictions de voyage en Chine.

C’est la mĂŞme OMS qui a Ă  plusieurs reprises fĂŠlicitĂŠ la Chine pour son incroyable  transparence  alors que la vĂŠritĂŠ est que les mensonges Chinois ont coĂťtĂŠ des dizaines de milliers de vies.

Et c’est la mĂŞme OMS qui a qualifiĂŠ les mensonges chinois d’ĂŠvangile, dĂŠclarant le 14 janvier que  les autoritĂŠs chinoises n’ont trouvĂŠ aucune preuve claire de la transmission interhumaine du nouveau coronavirus .

Par Spatacus Lequidam

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la sante aux ĂŠtats unis

AntiamĂŠricanisme dĂŠmythifiĂŠ . Part1 la SantĂŠ

Tout dans cet article informatif, qui vous surprendra est vÊrifiÊ et vÊrifiable.

Cet article va  dÊsembrouiller  le clichÊ antiamÊricain qui vous conditionne, par la pensÊe unique. Les faits sont les faits, et les rÊsultats de la mÊdecine AmÊricaine est une des meilleures au monde. Vous allez être ÊclairÊ et ÊtonnÊ.

 

Il tellement devenu une habitude de cracher sur les USA dans la pensée unique des médias, qu’ils ne se rendent plus compte de la réalité. Le manque de diversité culturelle et intellectuelle des journalistes Français préférant présenter à charge des USA en permanence et passer sous silence le meilleur de ce pays par mimétisme de caste a complètement faussé la réalité.

Toutes les affirmations de cet article sont  sourcÊes  les liens sont en bas de page.

 

1- Est-on bien moins bien ou mieux soignÊ aux USA ?

Ce qui importe dans la santé, c’est le résultat.

La lutte contre les cancers est plus efficiente. La prévention des maladies est efficace. Le choix et l’offre des médicaments est beaucoup plus large. Les hôpitaux sont mieux équipés.

Quelques exemples que les états unis surpassent l’Europe et la France dans les soins.

-90% des patientes américaines atteintes d’un cancer du sein vivent au moins cinq ans après le traitement, contre un taux de survie de seulement 85% dans les autres pays de l’OCDE.

-80% des femmes américaines ont reçu un dépistage « opportun » du cancer du col de l’utérus, contre seulement 73% des femmes des autres pays de l’OCDE.

La performance supérieure de l’Amérique en matière de soins contre le cancer est incontestable.

Une étude de 2017 sur l’épidémiologie et la santé a révélé que, par rapport à la Grande-Bretagne, le Canada et la France, les États-Unis ont enregistré de meilleurs taux de survie pour le cancer de la prostate et de l’estomac, ainsi que pour le cancer du sein.

Les États-Unis ont les taux de survie à cinq ans les plus élevés pour le cancer du sein, du côlon, du poumon et de la prostate.

Les taux de mortalité américains 30 jours après une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral (AVC) sont nettement inférieurs à ceux de la plupart des autres pays de l’OCDE. Source étude internationale American Medical Association.

90% des Américains nécessitant une intervention chirurgicale sont en mesure de planifier dans un délai d’un mois après avoir été informés qu’ils ont besoin de l’opération. C’est le plus court temps d’attente et la meilleure productivité du monde.

 

Il y a des limites inhĂŠrentes Ă  toute comparaison de pays Ă  pays. Il existe de grandes diffĂŠrences entre les pays dans les modes de vie, la gĂŠnĂŠtique et les facteurs environnementaux.

Par exemple, la population Américaine a plus de gens notoirement en surpoids . Le taux d’obésité aux États-Unis est 3eme plus élevé parmi les 36 pays membres de l’OCDE. C’est aussi le facteur déterminant qui mine l’espérance de vie des Américains.

L’obésité engendre plus de maladies, telles que le diabète, les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux.

Plus d’un Américain sur 10 souffre de diabète, une situation qui engendre des coûts énormes sur le système de santé. La prévalence de l’obésité et du diabète n’affecte en rien la qualité des soins ou de gestion du système, à moins que la « solution » soit de cesser de traiter autant de diabétiques l’Amérique dépensera toujours plus, et l’obésité est une des raisons des coûts plus élevés.

 

L’offre est plus développée puisqu’il n’y a pas un « monopole du payeur ». Les négociations sur le prix des médicaments sur ordonnance menées dans les systèmes à payeur unique type sécurité sociale Française, engendre un refus d’achat de médicaments dont le prix dépasse les montants fixés et donc limite l’offre dans nos pays européens par rapport aux USA.

Les hĂ´pitaux sont mieux ĂŠquipĂŠs et plus utilisĂŠs.

Les quatre graphiques suivants sans commentaires montrent le nombre et l’utilisation d’appareils d’IRM et de Scanners dans les pays occidentaux.

Les USA sont quasi toujours devant.

Par rapport au cliché anti-américain : en ce qui concerne les maladies coûteuses, la lutte contre le cancer, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux et autres l’Amérique obtient des résultats supérieurs et soigne nettement mieux ses malades en offrant plus de choix de médicaments et des hôpitaux mieux équipés. Mais le mode de vie entraîne plus d’autres maladies comme les diabètes liées au surpoids.

 

 

2-Les coĂťts de la santĂŠ

Les soins de santé aux États-Unis sont chers, principalement parce qu’ils utilisent beaucoup de main-d’œuvre plus qualifiée, qui coûte plus cher aux États-Unis que dans d’autres pays. Le temps d’étude supérieure (minimum 9 ans) pour obtenir les diplômes de médecine sont plus longs et complets que dans les autres pays.

Les États-Unis représentent 41% des dépenses mondiales en médicaments, contre 13% pour les cinq plus grands pays européens réunis et 11% pour la Chine.

Les nĂŠgociations sur le prix des mĂŠdicaments d’ordonnance menĂŠes par les autres pays occidentaux comme en France, organisent un concept en une gestion de  refus d’achat  de mĂŠdicaments et moyens pour les assurĂŠs par le conventionnement de la sĂŠcuritĂŠ sociale, et privent les habitants de ces pays de la disponibilitĂŠ des nouveaux nombreux mĂŠdicaments qui peuvent amĂŠliorer le sort des patients. Les USA en marchĂŠ libre diffèrent de ce principe de monopole « conventionnĂŠ ou invisible » pour les patients comme en France.

4 des 5 plus grosses multinationales pharmaceutiques du monde sont Américaines. Les coûts de développement proviennent principalement des revenus provenant des États-Unis. Le patient Américain paye les coûts de développement et d’investissement de mise sur les marchés des nouveaux médicaments pour le monde entier. Les médicaments sont plus chers qu’en Europe.

 

En France, par exemple, la sécurité sociale ne conventionne que 23% des nouveaux médicaments, tandis que les régimes d’assurance privés Américains couvrent 84% des nouveaux médicaments.

L’offre abondante peut laisser des individus à supporter des frais de leur poche pour avoir accès aux meilleures thérapies innovantes qui ne sont pas encore une diffusion en volume pour être compétitifs. Mais au moins les médecins ont un accès à des propositions d’offre et de choix plus complètes pour leurs patients.

 

 

3-EspĂŠrance de vie.

L’espĂŠrance de vie est excellente aux USA.

Ne dites jamais cela en public, sinon vous passerez pour fou. Il faut dire que Google et les publications mĂŠdiatiques ne manquent pas pour prouver le contraire. Un conditionnĂŠ en gĂŠnĂŠral n’accepte pas la contradiction de ses certitudes mĂŞme en face des preuves.

 

Quand on compare, l’espĂŠrance de vie de la France et qu’on en fait un argument, c’est comme si les Luxembourgeois se moquaient de l’espĂŠrance de vie de la France. En France, on vit plus vieux en rĂŠgion Parisienne que dans le Grand Est. C’est pareil aux USA, mais en plus Ă  une ĂŠchelle d’un pays qui fait la moitiĂŠ du continent. On vit plus vieux dans le New-Jersey qu’au Mississippi.

 

Si chaque ĂŠtat AmĂŠricain ĂŠtait comptĂŠ comme un pays (il y en a 50), le New-Jersey, le Massachusetts, le Connecticut seraient les pays Ă  la meilleure espĂŠrance de vie du monde…

La comparaison est loin d’ĂŞtre ridicule, le Minnesota a autant de population que la Suède ou le Danemark, les gens y meurent plus vieux qu’en Suède et Danemark qui sont pourtant classĂŠs dans le top du monde devant l’AmĂŠrique tout entière…

La diffĂŠrence d’espĂŠrance de vie de la moyenne aux USA n’est en aucun cas liĂŠe au système de santĂŠ mais aux comportements, comme la prise d’opiacĂŠs et les suicides. C’est une moyenne. Plusieurs ĂŠtats Americains onr une plus grande espĂŠrance de vie que les autres pays occidentaux.

 

4-Taux de mortalitĂŠ infantile

Pour la mortalitĂŠ infantile, vous ne pouvez ĂŠviter la caricature sur les statistiques nĂŠgatives du taux de mortalitĂŠ plus ĂŠlevĂŠ que d’autres pays occidentaux.

C’est mĂŞme un argument majeur de l’antiamĂŠricanisme que vous avez tous entendu…

 

Le gros problème, c’est qu’en fonction du pays, elle n’est pas comptabilsĂŠe pareil.

 

En France, Belgique ou l’Espagne ne compte dans les statistiques de mortalitĂŠ que les bĂŠbĂŠs nĂŠs après 22 semaines de gestation soit de 140 jours après la naissance jusque la fin de la 1ere annĂŠe.

En Pologne, en Allemagne un bĂŠbĂŠ doit peser au minimum plus de 1kg pour compter comme une naissance vivante dans les statistiques. On compte les enfants nĂŠs vivants, on exclut les enfants morts nĂŠs.

Dans les statistiques de mortalité infantile, aux États Unis la définition de la mortalité est prise au jour de la naissance. Ce qui modifie la totalité des effets d’annonce diabolisant antiaméricains qui vous sont imposés.

 

La vĂŠritĂŠ est qu’en ajustant au niveau amĂŠricain les donnĂŠes, c’est Ă  dire mortalitĂŠ dès la naissance sans pondĂŠration comme les pays qui excluent le temps de gestation (France) comme le poids, l’AmĂŠrique se retrouve dans le top 3 avec une mortalitĂŠ au plus haut niveau et les pays qui se gargarisent d’en avoir une plus faible comme la France passent au dessous.

A contrario, les États-Unis ont le taux le plus ĂŠlevĂŠ du monde de naissances avant terme. Les professionnels de la santĂŠ amĂŠricains, dĂŠpensent des centaines de milliers de dollars en moyens pour sauver la vie d’un bĂŠbĂŠ prĂŠmaturĂŠ plus que tout autre pays au monde.

 

 

 

5-Les Américains disposent-ils tous d’une assurance maladie et peuvent ils tous être soignés ?

Aujourd’hui, plus de 91% des Américains ont une assurance maladie d’une manière ou d’une autre. Un peu plus de la moitié des Américains sont couverts par une mutuelle ou assurance employeur ou par un membre de leur famille. (Salariés, employeurs, enfants).

Les autres cas hors employeur sont :

-18% (60 millions) ont une couverture par le biais de Medicare, un programme fournit par la sécurité sociale (la sécurité sociale aux USA, c’est l’assurance retraite) qui couvre à 100% toutes les personnes âgées de plus de 65 ans et les personnes handicapées (hors optique et dentaire).

-17% ont une couverture par le biais de Medicaid, un programme qui couvre les personnes à faible revenu. Le système a ÊtÊ copiÊ dans le monde entier, en France, le gouvernement Français a copiÊ le principe avec la CMU.

-5% achètent une couverture maladie sur le marché individuel, soit Obamacare, soit directement auprès d’une compagnie d’assurance.

 

 

6-DÊtail des 30 millions de  non-assurÊs  qui font le clichÊ antiamÊricain mÊdiatique.

Environ 9% des Américains, (30 millions) n’ont pas d’assurance maladie officielle.

-Plus de la moitié d’entre eux, (55%) sont principalement du « non recours ». La transition ou mobilité sociale joue. Certains attendent d’avoir un job et un employeur, ou alors une maladie concrète pour s’inscrire aux droits qu’offre a tous Medicaid.

En examinant les données, les analystes de l’AEI ont noté qu’environ 15 millions d’Américains non assurés sont éligibles à une couverture Medicaid. Il manque juste aux USA un service d’inscription automatique des personnes sans couverture d’assurance à Medicaid actuellement en phase de préparation pour combler cette lacune.

-4 millions de personnes sont éligibles à une assurance parrainée par l’employeur, mais ne s’inscrivent pas et ne remplissent pas les papiers de l’assurance de leur employeur.

-4 millions sont des 100% illégaux aux USA ou migrants économiques (sauf femmes enceintes). Les migrants légaux qui n’ont pas 5 ans de présence aux USA et n’ayant pas pris d’assurance individuelle ou mutuelle employeur sont inadmissibles à une couverture sociale Medicare ou Medicaid financée par les contribuables (les vrais réfugiés politiques persécutés, les exilés Cubains n’ont pas à attendre 5 ans).

-4,5 millions ont des revenus annuels élevés ou rentiers qui dépassent les 400% du niveau de pauvreté fédéral (103 000 $) et ne sont pas admissibles à Medicaire ou Medicaid et refusent sciemment d’avoir une assurance privée et payent leurs soins de leur poche.

-2,5 millions de personnes non assurées sont de pauvres Américains qui vivent dans des États qui n’ont pas étendu la prise en charge gratuite de Medicaid. C’est un problème de blocage Américano-américain politique qui serait résolu par des mesures ciblées et qui n’ont jamais été faites.

 

La loi fĂŠdĂŠrale oblige tous les hĂ´pitaux Ă  but non lucratif Ă  traiter les patients Medicare et Medicaid. Les clichĂŠs Anti-amĂŠricains qu’adorent caricaturer les journalistes gauchistes comme France5 qui expliquent que les hĂ´pitaux refusent les patients sont juste stupides et des cas rares et exceptionnels de malveillance mais n sont pas la rĂŠalitĂŠ. Medicare et Medicaid reprĂŠsentent 50% de tous les soins fournis par les hĂ´pitaux. Par consĂŠquent, Il serait ĂŠconomiquement suicidaire pour les hĂ´pitaux de refuser ces patients.

La loi fĂŠdĂŠrale oblige tous les hĂ´pitaux dotĂŠs de services d’urgence Ă  fournir un  examen  et un  traitement stabilisateur  Ă  toute personne qui se prĂŠsente, indĂŠpendamment de sa capacitĂŠ de payer et mĂŞme de son statut d’immigration.

Par rapport aux clichés anti-américain : tous les Américains sont assurés ou assurables et personne ne reste dans la rue sans rien. Il n’existe pas d’américains qui ne peuvent pas bénéficier d’une couverture maladie.

 

 

5-Obamacare, pourquoi un Êchec ?

Une promesse pour les  non-assurÊs  dÊvoyÊe vers les  dÊjà assurÊs  par les politiciens.

Obamacare (Loi sur les soins abordables) est une assurance publique subventionnée qui a été présenté par le président Obama comme une tentative généreuse d’assurer les personnes en difficulté « non assurées ». Le problème est venu de suite, car dans la société ceux qui ne sont pas assurés sont généralement aussi les gens qui ne votent pas, et les politiciens ne roulent pas pour eux.

La promesse idéaliste de dépenser beaucoup d’argent pour les gens qui ne votent pas, à été dévoyée par les politiciens démocrates associés à Obama, qui eux on voulu étendre la loi pour transformer les populations qui votent en passagers clandestins des supposés avantages de Obamacare pour tous les salariés, mais néanmoins capables de disposer d’une assurance ou mutuelle classique.

En déviant du but initial de ne cibler que les extrêmes pauvres, et prenant en charge les « déjà assurables individuellement » et que cette assurance remplacerait une mutuelle privée classique Obamacare c’est dévoyé.

Les gens venus de l’assurance privée employeur ou individuelle ont découvert en remplacement une prise en charge bien inférieure, une franchise élevée, une offre de soins avec moins de médecins et hôpitaux conventionnés, et en général les hôpitaux les moins réputés. Beaucoup en adoptant Obamacare ont été contraint de changer de médecin.

 

Exemple, 42% de cardiologues et de cancÊrologues en moins.

Exemple les facturations mÊdicales surprises souvent liÊes à des urgences ou circonstances, le patient reçoit une facture lourde parce que non couverte et agrÊÊ par Obamacare.

Un peu moins cher qu’une assurance privée, mais toujours moins bonne.

Des mutuelles privées comme Aetna, Humana ou UnitedHealth Group, non subventionnées, avant Obamacare spécialisées dans la couverture des soins des personnes modestes, avec des marges extrêmement faibles, offraient une meilleure prise en charge. Leurs marges étaient compensées par les volumes, et ils se sont retirés du marché à l’arrivée d’Obamacare imposé, qui a enlevé leurs parts de marché.

 

Obamacare est un échec. Il n’a pas résolu le problème des non recours, et en plus a créé une situation de plus mauvaise qualité que l’assurance privée pour ceux qui l’ont adopté.

 

Obamacare a créé une situation pire qu’au point de départ. L’enfer est pavé de bonnes intentions.

 

 

 

 

Par Spartacus Lequidam

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Blog : www.lequidampost.fr

 

Quelques sources contributives à la crÊation de cet article :

https://www.justfacts.com/healthcare

https://www.brookings.edu/policy2020/votervital/current-debates-in-health-care-policy-a-brief-overview/

https://www.heritage.org/health-care-reform/commentary/americans-get-more-their-health-care-dollars-we-can-do-better

https://www.manhattan-institute.org/issues-2020-drug-prices-account-for-minimal-healthcare-spending

https://spectator.org/making-a-bigger-mess-of-medicaid/

https://www.healthcare.gov/immigrants/lawfully-present-immigrants/

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Coronavirus. L’exemple de la Corée du Sud

Le Coronavirus montre que comparĂŠ Ă  eux, nous sommes un pays communiste qui s’ignore avec une planification tchnocratique de santĂŠ digne de l’ex-URSS …

 

Vous allez vite comprendre :

Comparez (en utilisant un traducteur) le site du ministère de la santÊ CorÊen du Sud  http://ncov.mohw.go.kr/

Et le site du ministère de la santÊ Français : https://solidarites-sante.gouv.fr/

 

Sur l’un vous savez en toute transparence, combien de test effectués, au détail par région, le nombre de gens infectés au détail et les risques encourus dans chaque région, en toute transparence.

Sur le Français vous avez des infos basiques et la photo sans aucun intérêt d’un ministre et 2 secrétaires d’état en mal de notoriété qui se font de la pub.

 

Pendant que Bruno Lemaire faisait une loi communiste sur le contrĂ´le des prix de solutions hydro-alcooliques, totalement dĂŠcalĂŠe rĂŠquisitionnait par la force des masques pour les employĂŠs administratifs de Bercy les CorĂŠens organisaient un dĂŠpistage de masse et imposaient le port des masques dans tous les commerces.

 

Les Coréens ont mis 50 stations libres d’accès de test gratuits ou il faut 10 minutes pour savoir si on est infecté ou porteur de la maladie. Vous trouverez sur le site du ministère en temps réel le nombre de gens qui se sont fait tester. Au moment de faire l’article ils sont 287 000.

 

Il a été demandé aux mutuelles et assurances santé d’envoyer à leurs adhérents les règles d’hygiène et prévention, par mail et SMS.

Messages simples faisant appel à la responsabilitÊ individuelle  Portez un masque pour vous dÊplacer, utilisez frÊquemment le lavage des mains, Êloignez vous des gens et ne vous embrassez pas. .

 

Une directive a demandĂŠ aux ĂŠtablissements en contact avec le public, que les personnels portent tous des masques. Tous les employĂŠs des commerces portent des masques.

 

Les restos, les lieux de réunion, ont un message devant chaque porte « Pas de masque, pas d’entrée », mais les commerces sont restés ouverts, pas de destruction économique, pas de confinement.

 

Une cellule spéciale du ministère a été chargée d’enquêter sur les déplacements des personnes infectées et proposer le test de dépistage aux relations rencontrées par les infectés.

Des appels publics ont ĂŠtĂŠ fait pour retrouver les personnes ayant ĂŠtĂŠ en contact avec les personnes infectĂŠes.

 

Les aéroport ont contrôlé l’immigration et les personnes venant de Chine, ou pays a risque doivent remplir un questionnaire de santé. S’ils présentent des symptômes ils sont testés.

Les personnes à risque, malades et personnes âgÊes ont ÊtÊ placÊes en zone à visites limitÊes.

 

Le pays a prÊ-rÊquisitionnÊ  les salles des fêtes et de sport pour une transformation en centre santÊ de quarantaine pour les personnes prÊsentant de lÊgers symptômes du coronavirus.

 

Ce pays plus touché que les autres au départ est celui qui s’en sort le mieux, a réussit à la contenir et est en route vers l’éradication. La Corée n’a pas agressé sa population de lois liberticides et d’entraves aux libertés comme les Chinois.

La CorĂŠe fait reculer le dĂŠveloppement du virus mieux que tous les autres pays sans confinement des masses.

Nous copions en France l’exemple coercitif d’une dictature Chinoise, comme l’Italie le fait aussi.

 

Nous ferions mieux de copier l’exemple d’une dĂŠmocratie transparente comme celle de la CorĂŠe du Sud qui a ĂŠvitĂŠ le confinement et prĂŠservÊ l’ĂŠconomie Ă  ses concitoyens, que l’exemple d’une autocratie qui ment et a mĂŞme exclus ceux qui ont dĂŠvoilÊ la maladie.

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Pesticides, comprendre pour sortir de l’hystérie obscurantiste écolo-médiatique

Nous vivons actuellement une pĂŠriode dĂŠtestable ou un lobby (ĂŠcologistes) a envahi les mĂŠdias et la raison pour faire place au sensationnel culpabilisant.

Un dĂŠbat mĂŠdiatique qui cherche Ă  capter l’auditeur, le tĂŠlĂŠspectateur ou le vote des bobos et la diabolisation de l’industrie chimique et le capitalisme.

Les pesticides sont un exemple assez caricatural quand on prend le temps de rentrer dans la rĂŠalitĂŠ et sortir des clichĂŠs imposĂŠs basĂŠs sur la mĂŠconnaissance et l’ignorance gĂŠnĂŠrale du sujet.

 

Origine des pesticides et ĂŠvolution.

Les vĂŠgĂŠtaux dans l’esprit commun ont l’image d’ĂŞtres incapables, immobiles, passifs, vulnĂŠrables Ă  l’attaque d’une multitude d’organismes pathogènes. Les expressions populaires incluant des fruits et lĂŠgumes reflètent bien cet ĂŠtat d’esprit.  Compter pour des prunes ,  bĂŞte comme chou ,  a la noix .

La rĂŠalitĂŠ est que la vĂŠgĂŠtation est vivante, dotĂŠs d’ADN et de l’envie de survivre.

Au cours de l’ĂŠvolution, les plantes ont dĂŠveloppĂŠ des moyens pour survivre.

Pour faire face elles ont dĂŠveloppĂŠ des mĂŠcanismes de dĂŠfense au cours de l’histoire ĂŠvolutive des vĂŠgĂŠtaux contre les champignons, les insectes et les animaux. Certaines visibles comme des piquants, ou d’autres invisibles comme les substances chimiques.

Pour se protĂŠger, les vĂŠgĂŠtaux se sont donc mises Ă  produire des produits chimiques, des toxines, des substances dĂŠfensives complexes. Les pesticides.

Les pesticides sont liĂŠ Ă  leur ĂŠvolution, leur complexification, leur diversification depuis plusieurs millions d’annĂŠes.

 

Les pesticides sont Ă  99,9% naturels

L’exposition de l’homme Ă  des pesticides d’origine naturelle est sans commune mesure Ă  l’exposition des pesticides d’origine humaine.

Contrairement Ă  la perception que vous impose le monde ĂŠcolo-mĂŠdiatique, les 99,9% des pesticides consommĂŠs par l’homme ont une origine naturelle. 

Les quantitĂŠs de rĂŠsidus de pesticides synthĂŠtiques dans les aliments sont insignifiantes par rapport Ă  la quantitĂŠ de pesticides naturels produits par les fruits et lĂŠgumes eux-mĂŞmes.

Des dizaines de milliers de ces pesticides naturels ont ÊtÊ dÊcouverts et chaque espèce de plante en produit au moins une vingtaine au minimum. Par exemple, le chou à lui seul en compte 120 (y compris les produits de dÊgradation).

La concentration des pesticides dans les aliments se mesure Ă  l’ĂŠchelle du ppb de l’anglais part per billion (partie par milliards (1 ppb = 0,000 000 001 = (10-9)).

 

En alimentation mĂŠditerranĂŠenne, nous consommons une moyenne de 10 000 pesticides et produits de dĂŠcomposition naturels au cours de notre vie.

Nous consommons 1 500 ppb de pesticides naturels par jour, pour 0,09 ppb par jour de pesticides synthĂŠtiques (crĂŠes par l’homme).

 

Pesticides et humains.

Les vĂŠgĂŠtaux comme les humains font partie de l’histoire de l’ĂŠvolution.

Les dĂŠfenses que les humains ont dĂŠveloppĂŠes sont gĂŠnĂŠralement de type gĂŠnĂŠral car le nombre de pesticides naturels est très important et variĂŠ. Les dĂŠfenses gĂŠnĂŠrales offrent une protection contre les pesticides Ă  la fois naturels et synthĂŠtiques, ce qui permet aux humains d’ĂŞtre bien protĂŠgĂŠs contre les toxines alimentaires Ă  faible dose.

Les plantes, elles développent et raffinent leurs armes chimiques depuis 500 millions d’années. Les plantes, elles ont développé leurs pesticides naturel les plus efficaces pour dissuader les prédateurs, elles ont laissé leur héritage à leur descendance.

D’autre part, les humains, ont ĂŠvoluĂŠ il y a moins d’un million d’annĂŠes, eux n’ont pas eu le temps de se transformer en une  harmonie toxique  avec tous les vĂŠgĂŠtaux de leur rĂŠgime alimentaire. En fait, très peu de fruits et lĂŠgumes que nous mangeons aujourd’hui existaient Ă  l’ĂŠpoque des chasseurs-cueilleurs.

Notre alimentation a radicalement changĂŠ au cours des derniers milliers d’annĂŠes. Nous consommons des fruits et lĂŠgumes sĂŠlectionnĂŠs ou amĂŠliorĂŠs, rĂŠcemment introduits dans des cultures vivrières que ne connaissaient pas nos ancĂŞtres, comme par exemple le cafĂŠ, le cacao, le thĂŠ, les pommes de terre, les tomates, le maĂŻs, les avocats, les mangues, les olives, les kiwis.

En outre, les lÊgumes crucifères tels que le chou, le brocoli, le chou frisÊ et le chou-fleur sont popularisÊs que depuis le Moyen Age. La sÊlection naturelle fonctionne beaucoup trop lentement pour que les humains puissent dÊvelopper une rÊsistance aux toxines naturelles.

 

Nous pouvons facilement extraire de nombreux pesticides naturels, mais nous avons besoin de davantage de produits chimiques synthĂŠtiques pour protĂŠger les cultures des insectes nuisibles. D’autre part, nous pouvons ĂŠgalement augmenter les niveaux de pesticides naturels.

 

Les allergies, les eczÊmas, après contact aux plantes ou pollens sont les consÊquences de la chimie naturelle des plantes.

Par exemple, quelques variĂŠtĂŠs de cĂŠleri provoquent des ĂŠruptions cutanĂŠes et des brĂťlures chez les personnes qui s’exposent au soleil par la suite.

Une variĂŠtĂŠ de pomme de terre dĂŠveloppant des toxines naturelles a dĂť ĂŞtre retirĂŠe du marchĂŠ en raison de sa toxicitĂŠ pour les humains.

En outre, lorsque les végétaux sont stressées ou endommagées, par exemple lors d’une attaque de ravageurs, leurs concentrations de pesticides naturels augmentent considérablement, mais rarement jusqu’à des concentrations toxiques pour l’homme.

La racine de manioc, par exemple, une culture vivrière majeure en Afrique et en AmĂŠrique du Sud, rĂŠsiste assez bien aux parasites et aux maladies, mais contient du cyanure Ă  des niveaux si ĂŠlevĂŠs que seul un processus laborieux de lavage, de broyage, de fermentation et de chauffage peut le rendre comestible. L’intoxication chronique au cyanure est endĂŠmique dans de nombreuses rĂŠgions africaines mangeuses de manioc.

Les intoxications au Datura, plante sauvage invasive intoxique les consommateurs de produits bio dans nos pays occidentaux. Comme les farines de sarrasin ou les haricots bio.

Les vĂŠgĂŠtaux dĂŠveloppent des pesticides naturels qui sont responsables couramment de mycoses, mycoses pulmonaires, dermatophytes, candidoses, mĂŠningites, KĂŠratites, SepticĂŠmies etc…

 

Dans les pesticides naturels, on trouve des toxines naturelles qui classent certains vĂŠgĂŠtaux  probablement cancĂŠrigène . Le soja, le basilic, l’estragon, basilic, l’anis ou le fenouil par exemple le sont, comme le soleil, l’alcool ou la viande rouge.

 

Le chou et le brocoli contiennent un produit chimique qui se dĂŠcompose en substances imitant le comportement de la dioxine dans l’organisme. La dioxine provoque des anomalies congĂŠnitales chez les rongeurs Ă  des doses extrĂŞmement basses.

 

Pesticide naturel ou synthÊtique. Quelle diffÊrence ?

Les non-scientifiques, les mĂŠdias, ont tendance Ă  penser que les pesticides sont uniquement synthĂŠtiques et Ă  les qualifier de toxiques, en ignorant le fait que tout pesticide naturel est ĂŠgalement toxique Ă  une dose donnĂŠe.

La dichotomie polĂŠmique entretenue par les ĂŠcolo-fascistes entre  naturel  ou  Artificiel  ou  synthĂŠtique  crĂŠe une montagne d’ignorance.

 

Par exemple, la toxine de tomate, prĂŠsente une concentration plus proche du seuil de toxicitĂŠ chez l’homme que 1000 fois des toutes les traces de rĂŠsidus de pesticides synthĂŠtiques cumulĂŠes.

Les toxines naturelles peuvent ĂŠgalement ont les mĂŞmes mĂŠcanismes de toxicitĂŠ que les toxines synthĂŠtiques telles que la dioxine.

 

Ironiquement, les agriculteurs biologiques sont lÊgalement autorisÊs à utiliser des pesticides naturels (bio-sourcÊs), tels que la rotÊnone, que les Indiens utilisaient comme poison pour tuer les animaux, ou les pyrÊthrines des plantes de chrysanthème. 

Les pesticides autorisĂŠs en bio n’ayant pas ĂŠtĂŠ testĂŠs aussi complètement que les pesticides synthĂŠtiques, leur innocuitĂŠ par comparaison ne doit pas ĂŞtre prĂŠsumĂŠe ou ignorĂŠe.

En rĂŠsumĂŠ, les pesticides d’origine vĂŠgĂŠtale reprĂŠsentent la grande majoritĂŠ des pesticides diĂŠtĂŠtiques auxquels les humains sont exposĂŠs et comportent donc un risque ĂŠgal, voire supĂŠrieur, Ă  ceux fabriquĂŠs par l’homme.

 

Même si ces produits chimiques naturels sont aussi cancÊrigènes ou dangereux que les produits synthÊtiques, cela ne veut pas dire que les uns et les autres nous tuent. La plupart des pesticides, naturels ou synthÊtiques, ne posent pas de problèmes, car les expositions humaines sont faibles et tout est dans la dose.

Tout ce que vous mangez du supermarchĂŠ, du marchĂŠ du magasin bio ou de votre jardin est rempli de pesticides.

De nombreux aliments ordinaires ne satisfont pas aux critères rÊglementaires utilisÊs pour agrÊmenter les pesticides synthÊtiques.

Les pesticides naturels sont dans les pommes, les bananes, les betteraves, les choux de Bruxelles, le chou vert, les raisins, les melons, les oranges, le persil, les pêches et ces fruits et lÊgumes ne sont pas interdits. 

Il ne viendrai pas Ă  l’idĂŠe de les interdire, mais si leurs pesticides naturels devaient passer un test de nocivitĂŠ identique Ă  ce que subit un pesticide synthĂŠtique avant son agrĂŠment de mise sur le marchĂŠ. Ces fruits et lĂŠgumes ne passeraient pas les tests et ĂŠliminĂŠs de suite.

 

Parallèlement, les pesticides de synthèse ont considÊrablement rÊduit le coÝt des cultures vivrières, ce qui constitue une avancÊe majeure en matière de nutrition et donc de santÊ.

 

En 1997, les instituts de recherche sur le cancer des États-Unis et du Canada pilotĂŠ par le plus grand biologiste du monde (Bruce Ames) ont publiĂŠ une importante ĂŠtude pluriannuelle de toutes les publications scientifiques faisant ĂŠtat de tout lien entre le cancer chez l’homme et les rĂŠsidus de pesticides dans les aliments. Ils n’ont pas trouvĂŠ une seule preuve crĂŠdible liant les deux.

Ils ont conclu que 30% des cancers humains sont dus Ă  la consommation de tabac, provenant d’une plante naturelle, et que 35% des cancers sont causĂŠs par une mauvaise alimentation, principalement un excès de graisse et de cholestĂŠrol, des substances naturelles.

 

Il n’existe pas de risque démontré pour la santé de manger des fruits et des légumes traités avec des pesticides légalement autorisés aux doses légales.

 

Le venin de Cobra est  naturel . Quelqu’un se soucie de la dose ? C’est diluĂŠ un puissant anti-douleur et anti diabĂŠtique.

Oubliez les dĂŠbats absurdes ou les ĂŠcolo-gauchistes vous dirigent en faisant une distinction entre pesticides naturels ou de synthèse. Les ĂŠcolos sont anti capitalistes et veulent diaboliser les productions humaines, c’est pour cela qu’ils font la distinction.

Posez toujours le dĂŠbat sur les pesticides sur l’angle de la dose. C’est le seul appropriĂŠ. Le reste c’est de la politique interventionniste pour chasser pour caresser l’ĂŠlecteur bobo qui se prend pour sauveur de la planète en ĂŠteignant sa cigarette sur le trottoir en entrant dans le magasin bio.

Le pesticide synthĂŠtique n’a qu’un danger. La dose. Que la dose et pas ses distinctions intrinsèques.

 

Par Spartacus Lequidam

VidĂŠos du journal l’Opinion pour complĂŠter :

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/definition-pesticides-qu-est-que-c-est-197557

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/quels-sont-avantages-inconvenients-pesticides-197704

https://www.lopinion.fr/video/decryptage/l-agriculture-bio-utilise-t-elle-pesticides-198030

 

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Y a-t-il une vie après la mort ?

Une question qui tourmente toute l’humanitĂŠ depuis la nuit des temps. Y a-t-il ou non une vie après la mort ?

Vous pensez que la rÊponse est complexe et que je ne vais pas vous donner la rÊponse ?

Vous avez tort ! Je vais vous donner une rĂŠponse et en fait la rĂŠponse est simple mais pourrez-vous l’accepter dans l’intimitĂŠ profonde ?

Il faut distinguer en premier 2 parties, ou schĂŠmas de pensĂŠe, partie de gens qui croient en dieu et superstitions et les autres.

 

Ceux qui croient en Dieu.

Pour eux, quels que soient les arguments, c’est religieux et on y croit religieusement. C’est indubitable et quoi que soient les arguments, les logiques, les faits ou les corrĂŠlations. C’est une pensĂŠe impermĂŠable, mais tout a fait respectable, car c’est de l’ordre de son soi intĂŠrieur et de l’intimitĂŠ individuelle la plus profonde.

Pour eux, c’est un simple jeu de cause et consĂŠquence. La liaison avec la croyance est un tenant et un aboutissant. C’est simple.

Ensuite, il y a ceux pour lesquels l’existence de Dieu ou de divinités est sujet à doute ou à caution, et qui se retrouvent dans une grande incertitude.

Après la vie, est-ce le nÊant ou autre chose ?

 

DĂŠfinir la vie avant la mort est une première base de rĂŠflexion avant de rĂŠpondre sur celle qu’elle sera ou pas après la mort.

La vie est physique, c’est la rĂŠalitĂŠ. On touche, on ĂŠcoute, on sent, on ressent. Notre vie est liĂŠe au monde physique.

Pourtant, sommes-nous nous vivants, le monde physique est-il une rÊalitÊ ?

 

Revoyez vos rĂŞves, pendant votre sommeil. Vous rĂŞvez, dans ces rĂŞves, vous communiquez, vous ĂŠcoutez et ressentez. Un cauchemar vous fera rĂŠveiller en sursaut. Dans le rĂŞve, vous avez eu l’impression de vivre, de voir une rĂŠalitĂŠ, mais au rĂŠveil vous vous rendez compte que ce n’ĂŠtait rien, juste une illusion.

Et si la vie n’ĂŠtait aussi que cela ? Une illusion.

Un jeu dont nous ne sommes que des pions comme les objets alĂŠatoires comme dans un jeu vidĂŠo qui aurait la particularitĂŠ que chaque pion est laissĂŠ Ă  lui-mĂŞme.

Avons-nous de l’humanisme et de la compassion pour des pions d’un jeu vidĂŠo ? On peut les rebrancher, les ĂŠliminer, les replacer ailleurs, mais nous n’avons aucune compassion pour eux. Alors si nous sommes cela, et qu’il existe une vie après la mort mĂŠtaphysique, il n’est pas ĂŠvident que l’espoir que suscite cette perspective pour certains soit une bonne sortie.

 

Après tout, Ă  bien regarder, cette vie est remplie d’une quantitĂŠ incalculable d’injustices et de souffrances. Dans notre vie nous ne voyons pas de dieu ou ce qui y ressemble pour les ĂŠradiquer. Il n’y a aucune raison qu’après cela change s’il y a une vie ou une autre vie après la mort.

S’il y a une vie après la mort, serait-elle plus juste, moins cruelle ou moins heureuse que celle que l’on vit ? Il n’y a pas de contrat avec personne, et les prophètes et fils de dieu physiques sont tous rongĂŠs par les vers de terre de nos jours.

 

La vie se dĂŠfinit par le temps. C’est stupide Ă  dire, mais la vie se dĂŠfinit par le temps. Le passĂŠ, le prĂŠsent et qui fonde les bases du futur. Pourtant les scientifiques nous expliquent que l’univers a eu un dĂŠbut, et aura une fin. L’obsolescence fait partie de l’univers et il y a aura une fin.

Le passĂŠ n’est que souvenir mais devient au fur et Ă  mesure un nĂŠant. Notre cerveau n’est pas assez ĂŠlaborĂŠ pour tout retenir d’une vie.

 

Ce que l’on a fait le 28 juillet 1999 Ă  15h32 ?

Cet instant est parti au nĂŠant, comme le sera notre vie après la mort. La mĂŠmoire terrestre est stockĂŠe dans notre monde physique, dans l’hippocampe de notre cerveau. Une fois mort, cette partie comme les autres est cramoisie comme le reste du corps physique. Nous ne l’emmenons pas avec nous.

La vie c’est aussi penser. Mais qu’est-ce que penser ? Nous passons notre prĂŠsent Ă  rĂŠflĂŠchir au futur sur les bases du passĂŠ. C’est ce qui nous remplit le temps d’anxiĂŠtĂŠ, ou de sĂŠrĂŠnitĂŠ. Mais mort, il n’y a plus de temps. Il n’y a donc plus de peur ou de joies.

 

Alors y a-t-il une vie après la mort ?

La rĂŠponse est simple. Il y a le nĂŠant. Il n’y a plus de temps, plus de peurs, plus de pensĂŠe, plus de vie.

Il n’y a certainement rien après la mort, mais s’il y a quelque chose, ce n’est certainement pas la vie, mais une autre vie ou totalement autre chose.

MĂŞme si nous aspirons Ă  l’ĂŠternitĂŠ nous sommes coincĂŠs dans un espace-temps qui a commencĂŠ et qui finira. Nous sommes comme un ordinateur, lorsque les composants ou les pièces sont cassĂŠes. Il peut ĂŞtre recyclĂŠ, mais ne sera jamais le mĂŞme.

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Grâce au CO2 de la Chine et l’Inde, la planète augmente sa verdure

Vous entendez chaque matin si vous ĂŠcoutez RMC, un sermon quotidien de Jean Jacques Bourdin. Il vous fait son speacth quotidien de prosĂŠlytisme ĂŠcologiste contre le mĂŠchant CO2. Ce matraquage a haute dose m’a fait essayer d’autres stations. C’est pas mieux ailleurs. C’est le mĂŞme endoctrinement partout. Une uniformitĂŠ confondante et absconse a faire pleurer. La France mĂŠdiatique est mono-colore confondante.

HĂŠlas mĂŞme si les matinales sont remplies de 90% de journalistes gauchistes a la pensĂŠe unique ĂŠcolo-fascistes et vous le matraquent en bombardement mĂŠdiatique massif comme un monstre polluant. Le CO2 n’est pas un polluant et n’en sera pas un.

L’emprunte carbone pour les mĂŠdias, les gauchistes et les totalitaristes de la terre est l’excuse absolue pour contraindre et emmerder les gens. Il faut dire que les mĂŠdias se nourrissent de l’information et plus c’est anxiogène plus c’est rentable et plus ils sont intĂŠresses.

Avant il y avait le social comme excuse permanente Ă  l’ingĂŠrence et le totalitarisme, mais avec les rĂŠsultats dĂŠsastreux du socialisme sur terre, l’ĂŠcologie est devenue leur nouvelle marotte et l’excuse de la pauv’ planète terre massacrĂŠe par les mĂŠchants capitalistes est leur nouvelle marotte anti-capitaliste qui fonde leur schĂŠma de pensĂŠe.

Qu’importe la qualitĂŠ de statistiques, nouveau moyen moderne de manipulation de la psychologie des foules, du moment qu’il y a un logo  ONG  et que c’est catastrophiste, les fakes stats, les fakes pĂŠtitions, les discourts d’enfants activistes de 16 ans vous sont assĂŠnĂŠs comme des vĂŠritĂŠs.

Les communicants des ONG, mĂŞme si leur politique reprĂŠsentative en pays pauvre a ĂŠtĂŠ de demander des faveurs sexuelles en HaĂŻti ou aux Philippines comme » Oxfam« , ou connues pour manipuler le faits comme « Greenpeace« . Ils sont prĂŞt a vous conter des prophĂŠties apocalyptiques.

La NASA vient de publier un rapport dont vous trouverez un rĂŠsumĂŠ sur ce lien. L’ĂŠtude montre que les deux pays ĂŠmergents avec plus peuplĂŠs du monde entraĂŽnent l’augmentation de verdissement sur la terre.

Des donnÊes satellitaires rÊcentes prises entre 2000 et 2017 rÊvèlent une tendance importante au verdissement remarquablement importante en Chine et en Inde et se chevauche les terres cultivÊes du monde entier.

La Chine à elle seule représente 25% de l’augmentation nette globale de la superficie foliaire avec seulement 6,6% de la superficie végétalisée mondiale. 

En Chine, le verdissement ĂŠcologique provient des forĂŞts (42%) et des terres cultivĂŠes (32%), en Inde, elle provient principalement de terres cultivĂŠes (82%) avec une contribution mineure des forĂŞts (4,4%).

La Chine est en train d’ĂŠlaborer des programmes ambitieux de conservation et d’extension des forĂŞts dans le but d’attĂŠnuer la dĂŠgradation des sols, la pollution de l’air et le changement climatique. La production alimentaire en Chine et en Inde a augmentĂŠ de plus de 35% depuis 2000, principalement en raison d’une augmentation des superficies rĂŠcoltĂŠes rĂŠsultant de cultures multiples facilitĂŠes par l’utilisation d’engrais et l’irrigation des eaux de surface et souterraines.

Le rapport de la NASA prÊcise : Globalement, le verdissement de la planète au cours des deux dernières dÊcennies reprÊsente une augmentation de la surface foliaire des plantes et des arbres Êquivalente à la superficie couverte par toutes les forêts tropicales amazoniennes. 

Il y a maintenant plus de deux millions de kilomètres carrÊs de superficie supplÊmentaire de feuilles vertes par an, par rapport au dÊbut des annÊes 2000, soit une augmentation de 5%. 

La Chine et l’Inde reprĂŠsentent qu’un tiers du verdissement par CO2 de la planète, mais ne couvrent que 9% des terres de la planète recouvertes de vĂŠgĂŠtation. 

Selon le rapport : ÂŤDès que les gens rĂŠalisent qu’il y a un problème, ils ont tendance Ă  le rĂŠgler. En Inde et en Chine, dans les annĂŠes 70 et 80, la perte de vĂŠgĂŠtation n’ĂŠtait pas bonne. dans les annĂŠes 90, les gens l’ont compris; et aujourd’hui les choses se sont amĂŠliorĂŠes. Les humains sont incroyablement rĂŠsistants. C’est ce que nous voyons dans les donnĂŠes satellitaires. Âť

En un mot le marchÊ social (main invisible) prend en charge les problèmes mieux que les gouvernements.

C’est un point saillant qui renforce la pertinence de l’adaptation humaine naturelle et en ordre spontané.

La cause du changement climatique reste obscure, en dĂŠpit des rĂŠcits du GIEC qui c’est toujours trompĂŠ sur ses prĂŠvisions. Nous n’avons aucune communication de sa part sur le verdissement qui transforme le CO2 en chlorophylle et le rĂŠduit naturellement. Il est vrai que l’alarmisme climatique est sa raison d’ĂŞtre. Faire savoir qu’il existe une machine naturelle qui rĂŠduit le CO2, n’est ni bon pour lui ni pour les politiciens interventionnistes qui dĂŠsirent se croire utile.

Le CO2 n’est pas un polluant. Et l’accroissement du CO2, comme dĂŠmontrĂŠ ci-dessus, est une bonne chose pour l’humanitĂŠ. Et avec les cultures, les plantes sont le meilleurs moyen de lutter contre les propagations de CO2. La boucle se ferme sans politique ĂŠtatiste et de contrainte ĂŠcologique.

Enfin, il convient de noter le paradoxe que cet incroyable verdissement planĂŠtaire le serait moins sans les combustibles fossiles. PĂŠtrole et charbon, combustible que les ĂŠcolo-fascistes ont dĂŠsignĂŠs comme l’horreur absolue.

Les ĂŠmissions de combustibles fossiles crĂŠent des avantages supplĂŠmentaires, contribuant Ă  l’ĂŠcologisation de la Terre. C’est donc formidable. Ne culpabilisez pus lorsque que vous prenez une voiture diesel. Faites aussi la diffĂŠrence entre CO2 non nuisible sur l’homme et la pollution comme les particules ou les fumĂŠes qui elles le sont. 

Une ĂŠtude publiĂŠe en 2017 dans le magazine Nature a rĂŠvĂŠlĂŠ que la masse mondiale de plantes terrestres avait augmentĂŠ de 31% au cours du 20ème siècle. Les dĂŠserts africains s’ĂŠpanouissent grâce aux combustibles fossiles.

HĂŠlas pour la France qui n’a pas connu les nomenklaturas communistes, nous connaissons aujourd’hui une ĂŠlite qui veut faire croire qu’elle peut gèrer la nature Ă  sa place, alors qu’au pouvoir, ils n’ont jamais gĂŠrĂŠ un budget sans dĂŠficit depuis 30 ans.

Heureusement que la chine et l’Inde sont lĂ  pour chercher la prospĂŠritĂŠ et crĂŠer du CO2 et verdir la terre, pendant que l’ĂŠlite Française emmerde le monde a rĂŠduire la prospĂŠritĂŠ et le CO2 en idĂŠalisme chimĂŠrique. 

Pendant que des Français en jaune manifestent sur des rond points contre des taxes ĂŠcolos contre le CO2 qui dĂŠtruisent le travail, les chinois et indiens nous vendent des panneaux solaires et crĂŠent de leur cotĂŠ un CO2 qui compense nos rĂŠsultats nuls sur sa limitation au coĂťts pharaoniques. Nous ressemblons de plus en plus Ă  l’URSS qu’une ĂŠlite intellectuelle technocratique entraĂŽne vers la misère, au nom d’une planification irrationnelle alors que eux deviennent de plus en plus capitalistes et s’ĂŠloignent des politiques interventionnistes d’ĂŠtat.

Les fanatiques ĂŠcolos anti-CO2 sont tellement allĂŠs loin, ont rĂŠussit a modifier tellement le sens des vĂŠritĂŠs dans la manipulation des foules. Sont ils capables de se remettre en cause?

Merci, merci  au CO2 de verdir notre planète. 

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Le GIEC. Plus c’est gros, plus c’est con plus c’est anxiogène plus ça passe !

Fakes news vous matraqueront ils. En France dans les mĂŠdias on a remplacĂŠ les religions par des sermons sur le rĂŠchauffement.

ÂŤ arguments fallacieux Âť et ÂŤ douteux Âť comme argument d’autoritĂŠ vous diront ils avec des liens dans des journaux qui portent la bonne parole intouchable, pour balayer les critiques sur laquelle repose leur idĂŠologie de contrainte sur les autres.

Le dĂŠni Ă  tout prix.

Il est plus facile pour eux de diaboliser et nĂŠgationner les critiques que de rĂŠpondre Ă  tous les arguments point par point ou Ă  la marge.

Ils font beaucoup d’effort pour vous le matraquer de vous dire de ne pas prendre en importance ce qui conteste leur bible..

La tempĂŠrature de la surface de la mer reprĂŠsente 70% de la surface de la Terre, mais les mesures proviennent de navires qui se trouvent dans des ports absolument pas reprĂŠsentatif de la haute mer.

C’est un argument fallacieux ? As t-il ĂŠtĂŠ inventĂŠ ? Une fake news ?

Oui ou non ?

Bien sur que non !

Ils saliront la source ÂŤ pas fiable Ă  leurs yeux Âť, Ils censureront. Ils feront tout pour refuser le dĂŠbat et pas que cela sorte. Le lobbying ecolo-faschiste a dĂŠjĂ  commencĂŠ comme ici ou aucun argument contradictoire rĂŠel et donfirmĂŠ n’existe.

DiscrĂŠditer les sources, c’est plus facile pour eux que de rĂŠpondre aux arguments.

Lâchez votre intolÊrance, les ecolo-faschistes et gauchistes, vous avez trouvÊ la rÊsistance à vos balivernes et mensonges ubuesques sur votre nouvelle religion.

Vous avez chaque matin les 98% de journalistes de gauche pour vous, qui vous le matraquent matin, midi et soir. C’est forcĂŠment parole d’évangile cette bible GIEC, C’est certainement le Dieu Vert de gris qu’il l’a ĂŠcrit. C’est incontestable. Puisqu’on vous le dit Ă  la radio, c’est que c’est vrai. Puisqu’on vous dit que les infos contradictoires c’est Satan.

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques des Nations Unies a donc annoncĂŠ dans un nouveau rapport que le monde n’avait que 12 ans pour opĂŠrer des changements radicaux.

Le concept des rapports du GIEC est a peu près le même principe anxiogène pour se faire publier et disposer de buzz.

Un scĂŠnario catastrophe et des ĂŠchĂŠance catastrophiques. Cette fois ci, tremblez braves gens vous allez mourir dans d’affreuses souffrance et dixit le rapport ÂŤ sans prĂŠcĂŠdent en termes d’ĂŠchelle Âť, ÂŤ il faut rĂŠduire le rĂŠchauffement climatique ou de subir une catastrophe climatique irrĂŠversible Âť.

Ce dernier rapport affirme que si les nations du monde ne prennent pas de mesures majeures pour rĂŠduire les ĂŠmissions de carbone, nous manquerons la dernière occasion de rĂŠduire la hausse des tempĂŠratures, en signant essentiellement l’ĂŠpitaphe de la mort de l’humanitĂŠ. Rien de moins.

Les mĂŠdias sont consternĂŠs. Bourdin, Apathie et les joyeux journalistes intello-bobos chaque matin vous prĂŠsentent les premiers de la classes du lobby des ĂŠcolo-faschistes avec des questions bien mielleuses, avec des question bien anti-libertĂŠs systĂŠmatiques du genre ÂŤ mais qu’attendez vous ĚśpĚśoĚśuĚśrĚś ĚśsĚśuĚśpĚśpĚśrĚśiĚśmĚśeĚśrĚś ĚśdĚśeĚśsĚś ĚślĚśiĚśbĚśeĚśrĚśt̜Ê̜sĚś pour faire quelque chose Âť ?

Gare Ă  la caricature de celui qui dit ÂŤ : rien Ă  ce sujet Âť ou c’est de la ÂŤ niaiserie pour bobos Âť. Il sera caricaturĂŠ et en gĂŠnĂŠral les contradicteurs ne seront jamais invitĂŠs. Et s’ils l’ĂŠtaient, ils seraient catĂŠgorisĂŠs.

C’est comme critiquer un noir vous ĂŞtes classĂŠ raciste, critiquer un ĂŠtranger classĂŠ xĂŠnophobe, se prĂŠtendre libĂŠral, classĂŠ matĂŠrialiste, critiquer un choix social, classĂŠ d’ĂŞtre inhumain, etc… Ne pas ĂŞtre de gauche, dans les professions diplĂ´mĂŠes de sciences humaines et sociales c’est subir la diabolisation.

Le rapport de l’ONU prĂŠconise de limiter le rĂŠchauffement climatique Ă  1,5 degrĂŠs au cours des 10 prochaines annĂŠes.

Pour atteindre cet objectif, les gouvernements doivent bien sĂťr apporter des modifications ÂŤ rapides et profondes Âť Ă  leurs industries ĂŠnergĂŠtiques en passant Ă  des sources d’ĂŠnergie renouvelables et en supprimant progressivement la production de charbon, tout en obligeant les constructeurs automobiles Ă  augmenter la production de voitures ĂŠlectriques. Le lobby ecolo-faschiste a dĂŠjĂ  mis en France un ministre mĂŠdiatique dĂŠmissionnaire dĂŠmago qui nous a infligĂŠ une promesse d’interdiction totale pour 2040.

Comme les nations du monde peuvent rĂŠduire leurs ĂŠmissions de carbone d’un million de tonnes par an, le rapport de l’ONU note que le dĂŠpassement de l’objectif de tempĂŠrature nous mettra tout de mĂŞme sur la bonne voie pour sauver la planète, Ă  condition que tout le monde colle au plan d’ensemble.

Ce dernier rapport sur le climat suit le concept intello gauchiste qui consiste Ă  utiliser le changement climatique comme voie vers le socialisme mondial pour amener les gouvernements souverains et l’économie internationale Ă  s’appuyer sur une cabale marxiste qui dicterait ce que les pays peuvent fabriquer et ce que les gens peuvent acheter et comment. Hier ils utilisaient l’excuse ÂŤ sociale Âť, mais comme les pays socialistes ont tous fait faillite, ils ne se dĂŠclarent plus ÂŤ socialistes Âť mais ÂŤ ĂŠcologistes Âť et l’excuse de contrainte sur les individus n’est plus le social, mais l’ĂŠcologie.

.

Ne riez pas, vous n’avez pas le droit. Ils vous stigmatiseront. Faites simplement rappel Ă  vos souvenirs et le parallèle de leurs prĂŠdictions.

Le rapport de l’ONU a ĂŠtĂŠ publiĂŠ 12 ans seulement après qu’Al Gore eut dĂŠclarĂŠ qu’il ne restait que 10 ans pour sauver la planète. Vous devriez tous ĂŞtre morts. Vous ne l’ĂŞtes pas ?

Il y a 36 ans après que l’ONU elle-mĂŞme a dĂŠclarĂŠ que nous avions 20 avant de cuire. Vous devriez tous ĂŞtre rĂ´tis. Vous ne l’ĂŞtes pas ?

Dans les annĂŠes 1970-80, on nous avait dit que la surpopulation et un âge de glace Ă  venir qui ĂŠpuiseraient nos ressources et provoqueraient une famine massive. Vous ĂŞtes mort de famine et congelĂŠ ? A cette ĂŠpoque, les conseils des intellos-bobos gauchistes consistaient pour les classes moyennes et supĂŠrieures de cesser d’avoir des enfants et de consommer les ressources.

Dans les annĂŠes 1980-90, le rĂŠchauffement de la planète est devenu le nouveau coupable en affirmant que nos villes cĂ´tières seraient submergĂŠes d’ici la fin du siècle. Vous ĂŞtes morts noyĂŠs et Nice est sous les eaux ? La solution proposĂŠe ? La hausse massive des prix et des taxes pour les producteurs d’ĂŠnergie et les consommateurs afin de les convaincre de rĂŠduire leur ÂŤ empreinte carbone Âť.

story climatCombien faut il de prĂŠdictions nostradamiques du GIEC dĂŠbiles et fausses pour comprendre qu’on se fou de vous ?

La gravitĂŠ de prendre tous les gens pour des cons.

Tout le monde souffre dans ce climat anxiogène de peur. Quand des groupes d’experts des Nations Unies, des universitĂŠs et des escrocs du GIEC exposent des scĂŠnarios catastrophiques et utilisent des donnĂŠes sorties du chapeau pour avertir des ÂŤ dernières chances Âť et des ÂŤ points de basculement Âť pour arrĂŞter l’apocalypse, comment le public est-il censĂŠ savoir ce qui est vrai ou faux du rĂŠchauffement climatique ?

D’autres dĂŠtruisent tout simplement la rĂŠputation de tout collègue qui ose remettre en cause l’ĂŠvangile du rĂŠchauffement climatique. Un dĂŠbat et une recherche raisonnĂŠe est l’épine dorsale d’une bonne science, et pour le GIEC n’a aucune place lorsque le vĂŠritable objectif est d’imposer un rĂŠsultat ou imposer un comportement particulier Ă  la population.

Les ĂŠcologistes semblent perplexes devant le fait que les gens ne se prĂŠoccupent pas davantage de la question. Peut-ĂŞtre seraient-ils plus attentifs si on ne leur mentait pas si effrontĂŠment.

La base de donnĂŠe HadCRUT4 est une supercherie. Les rapports une arnaque malheureusement bien mĂŠdiatisĂŠe.

La base HadCRUT4 base principale de l’ensemble de donnĂŠes sur la tempĂŠrature mondiale utilisĂŠ par le GIEC pour formuler ses scĂŠnario apocalyptiques sur le ÂŤ rĂŠchauffement planĂŠtaire provoquĂŠ par l’homme Âť est si complexe et dynamique qu’il est impossible de le modĂŠliser ajoutĂŠes aux erreurs de donnĂŠes inventĂŠes et improbables, que les rapports du GIEC sont en conclusion qu’une gigantesque arnaque pour bobos gauchistes prĂŞt Ă  croire comme leur idĂŠologie que l’homme doit ĂŞtre dominĂŠ.

Plus de 70 problèmes majeurs sont identifiĂŠs, couvrant tout le processus, de la mesure des tempĂŠratures Ă  la crĂŠation de l’ensemble de donnĂŠes, en passant par les donnĂŠes (telles que les moyennes) et sa publication ĂŠventuelle. Bref et en rĂŠsumĂŠ. Toute la base de donnĂŠe sur laquelle travaillent les ÂŤ experts Âť et les rapports est corrompue.

Quelques exemples des sources totalement foireuses du GIEC :

-Une station d’observation signale la tempĂŠrature mensuelle de Colombia ville des USA Ă  une moyenne supĂŠrieure Ă  80 °C toute l’annĂŠe. :-))

-Une station d’observation signale qu’a l’île de Saint-Kitts, une ĂŽle des CaraĂŻbes une tempĂŠrature mensuelle moyenne de 0°C. :-))

-En 1978, à Apto Uto Colombie, la station signale des tempÊratures moyenne mensuelle entre 81,5 °et 83,4 °C. :-))

-Une station roumaine indique une tempÊrature moyenne de -46 °C en septembre et en novembre passe à +10 °C. :-))

-La tempĂŠrature de la surface de la mer reprĂŠsente 70% de la surface de la Terre, mais les mesures proviennent de navires enregistrĂŠs Ă  100 km Ă  l’intĂŠrieur des terres. D’autres se trouvent dans des ports absolument pas reprĂŠsentatifs de la haute mer. Absurde !

-Les températures pour l’ensemble de la totalité l’hémisphère Sud pour le 19eme et début 20eme siècle sont calculées à partir d’un seul et unique point en Indonésie. :-))

-En mai 1861, la couverture mondiale n’ĂŠtait que de 12%, l’essentiel de la soi-disant couverture mondiale provient de l’Europe, et de ses ports commerciaux. Calculer des moyennes Ă  partir de ces donnĂŠes et les qualifier de ÂŤ moyennes globales Âť. Absurde.

-Faute de donnĂŠes du passĂŠ, quelques stations ont donc une grande influence sur ce qui est censĂŠ ĂŞtre soi-disant ÂŤ mondial Âť. Manipulation.

-Quand il n’y a pas de donnĂŠes entre pĂŠriodes, on les invente. L’ajustement lĚśaĚś ĚśmĚśaĚśnĚśiĚśpĚśuĚślĚśaĚśtĚśiĚśoĚśnĚś des donnĂŠes vise Ă  inventer un enregistrement de la tempĂŠrature qui aurait ĂŠtĂŠ obtenu entre les pĂŠriodes.

-La quantitĂŠ de donnĂŠes est liĂŠe au mesures de donnĂŠes disponibles. La couverture globale de 50% n’a ĂŠtĂŠ atteinte qu’en 1906 et les donnĂŠes de l’hĂŠmisphère sud sont rare et se comptent sur moins que les doigts d’une main.

Une faible densitÊ de donnÊes dissimule des hypothèses farfelues et douteuses et des donnÊes de tempÊrature mal ajustÊes exagÊrèrent dÊlibÊrÊment le rÊchauffement.

C’est con ? Oui c’est con !

Mais les mÊdias vous font passer ça pour la vÊritÊ et les bobos achètent les yeux fermÊs.

Le calcul des températures correctes et fiables nécessiterait une énorme quantité de données détaillées, de temps et d’efforts, qui dépasse le cadre du GIEC et à moins de revenir dans le passé, certainement impossible.

La conclusion est que l’ensemble des études du GIEC montrent un réchauffement exagéré et que les moyennes mondiales sont fausses.

Dans tous les cas, un grand nombre de climatologues ont tentĂŠ, soit volontairement, soit sans le savoir, de faire avancer le programme de la gauche. Certains ont admis avoir manipulĂŠ des donnĂŠes pour renforcer le danger.

D’autres dĂŠtruisent tout simplement la rĂŠputation de tout collègue qui ose remettre en cause l’ĂŠvangile du rĂŠchauffement climatique. Un dĂŠbat et une recherche raisonnĂŠs, l’épine dorsale d’une bonne science, n’ont aucune place lorsque le vĂŠritable objectif est d’imposer un rĂŠsultat ou un comportement particulier Ă  la population.

Les ONG, les groupes ĂŠcolos mentent effrontĂŠment et avec une telle redondance que c’est devenu ridicule.

Scott Armstrong le sage :

En 2007, le professeur Scott Armstrong de Wharton de l’University of Pennsylvania a lancĂŠ un dĂŠfi au GIEC. Parier 10 000 $ sur les tempĂŠratures au cours de la prochaine dĂŠcennie. La proposition proposĂŠe ĂŠtait de comparer le modèle de rĂŠchauffement global standard du Royaume-Uni avec la prĂŠdiction d’Armstrong de ne pas augmenter du tout.

L’argent serait allĂŠ Ă  la charitĂŠ. Le GIEC a refusĂŠ le pari. Ils ont dĂŠclarĂŠ : ÂŤ le GIEC ne souhaite tout simplement pas participer Ă  un pari financier.  » . Aujourd’hui Scott Armstrong a publiĂŠ les chiffres et gagnĂŠ le pari. La charitĂŠ a perdu 10 000$.

Armstrong ajoute que, si le GIEC n’est pas satisfait des rĂŠsultats et pense qu’ils sont simplement dus Ă  la chance, il est heureux de renouveler le pari pour la prochaine dĂŠcennie.

Le GIEC n’a pas encore rĂŠpondu.

Armstrong n’a jamais ĂŠtĂŠ interviewĂŠ par Bourdin ou France2 et le pari n’a pas fait une ligne dans le Monde ou le Figaro ou LibĂŠration.

On comprend.

Quelques sources:
https://changera.blogspot.com/2017/09/werner-munter-rechauffement-lhomme-ny.html

https://cei.org/blog/ipcc-overestimates-climate-sensitivity-study

 

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Sécurité sociale. asymétrie d’information et mythe idéologique

La sĂŠcuritĂŠ sociale vous avez tous un avis lĂ  dessus mais qu’en savez vous en dehors des clichĂŠs et mythes qu’on vous impose depuis l’enfance ?

La sĂŠcuritĂŠ sociale est un exemple d’asymĂŠtrie d’information. Certainement l’une des pire car face Ă  la rĂŠalitĂŠ, l’idĂŠologie est plus forte que le raisonnement.

 

L’asymĂŠtrie d’information

L’asymĂŠtrie d’information est en ĂŠconomie un ĂŠchange ou l’un des participant dispose d’informations pertinentes que l’autre n’a pas.

L’exemple le plus connu est celui du  vendeur de vĂŠhicule d’occasion d’occasion , qui fausse ou dissimule une partie des informations, en vue d’amener plus facilement une transaction avec un acheteur.

L’asymĂŠtrie d’information est un pilier de notre vie sociale. Les consĂŠquences ne sont pas neutres, La Nobel Georges Akerlof conclus dans sa thèse Nobel, que l’asymĂŠtrie d’information provoque un problème de  sĂŠlection adverse  .

Pas besoin d’ĂŞtre Nobel pour comprendre que quand vous n’avez pas toute l’information d’un produit ou service que vous achetez, Vous pensez que c’est le meilleur rapport qualitĂŠ/prix mais en rĂŠalitĂŠ si vous aviez eu connaissance d’un autre choix et informĂŠ de la rĂŠalitĂŠ de celui que vous avez achetĂŠ vous en auriez fait un autre,

Tirole le Nobel Français avec des exemples d’aiguillages et de trains, dĂŠmontre lui que l’asymĂŠtrie d’information change les comportements. Que l’environnement social modifie le comportement rationnel. Dans la rĂŠalitĂŠ si vous saviez, ĂŠtiez correctement informĂŠ et preniez le temps de comprendre, il y a longtemps que la France serait passĂŠ pour la santĂŠ Ă  la mutuelle privĂŠe et la retraite au fond de pension.

La sĂŠcuritĂŠ sociale. Les clichĂŠs et l’information rĂŠelle.

Voici donc les mythes dans lequel vous vivez et la rÊalitÊ :

Mythe 1 : la SÊcuritÊ sociale est un acquis social plÊbiscitÊ par tous les Français

La rÊalitÊ :

Le modèle social français, ce sont des gens qui paient, d’autres qui en bĂŠnĂŠficient, rien de plus. Ce mythe permet d’entretenir l’illusion d’un modèle social fondĂŠ sur une redistribution acquise au terme d’une lutte acharnĂŠe contre des puissants. La dĂŠmagogie sur les  droits sociaux  s’en trouve confortĂŠe, tout comme la lĂŠgitimitĂŠ d’un pouvoir politique qui usurpe son statut de protecteur des plus faibles.

En réalité, il n’en est rien. C’est le travailleur seul qui finance sa protection sociale. Et il le fait dans des proportions qu’il connaît mal en raison de l’opacité qui caractérise le financement des services sociaux. L’administration et les intéressés n’ont pas intérêt à se montrer transparents dans la mesure où la piètre performance de ses services serait mise à nu, ce qui changerait  notre opinion sur « le modèle social que le monde nous envie ».

Instaurée de façon autoritaire en octobre 1945 sous l’influence du Parti communiste et des syndicats, destinée à remplacer les assurances sociales privées qui existaient auparavant (dont un certain nombre seront nationalisées), étendue progressivement à presque toute la population, elle n’a jamais été confirmée par le suffrage universel. Ce n’est donc en rien un « acquis social », et elle n’a jamais été plébiscitée par quiconque.

On peut parler en ce qui concerne la SĂŠcuritĂŠ sociale de  coup d’État , car les ordonnances de 1945 relèvent du non-droit (en mai 1946, la proposition de Constitution de la IVe RĂŠpublique est rejetĂŠe par rĂŠfĂŠrendum ; il y a un  trou  constitutionnel sur la pĂŠriode 1945-1946). Un prĂŠcĂŠdent avait ĂŠtĂŠ crĂŠĂŠ en 1941, par le rĂŠgime de PĂŠtain, qui dĂŠtourne alors les provisions des assurances sociales vieillesse pour les donner aux « vieux travailleurs »Â : c’est l’origine des retraites par rĂŠpartition.

La sécurité socialempute le pouvoir d’achat réel des salariés qui se voient obligés d’affecter la moitié de leur rémunération pour renflouer des caisses de la Sécurité sociale insuffisamment performantes. Il conviendrait au contraire de soumettre ces caisses à un régime de libre-concurrence pour laisser les employés affecter le fruit de leur travail librement.

 

Mythe 2 : la Sécurité sociale, c’est l’État

La rÊalitÊ :

L’organisation de la Sécurité sociale est par construction indépendante de l’État. Le Code de la Sécurité sociale est juxtaposé à la Constitution. Les Caisses, l’URSSAF sont de droit privé (comme des mutuelles qu’elles sont en réalité), avec mission de « service public ».

Il n’y a pas en France d’assurance maladie étatique comme dans certains pays. Une assurance maladie étatique aurait au moins l’avantage de fournir une couverture minimale dont les coûts seraient maîtrisés, tout en laissant par ailleurs le mutualisme et l’assurance privée se développer librement et couvrir la grande majorité des personnes.

Cependant, on peut parler d’étatisation rampante de l’assurance maladie durant ces dernières annĂŠes. L’exĂŠcutif des Caisses est dĂŠsignĂŠ par le gouvernement, Les reprĂŠsentants aux conseils d’administration sont majoritaires de rĂŠgimes spĂŠciaux les comptes de la SĂŠcuritĂŠ Sociale sont formatĂŠs par le ministère avant d’être prĂŠsentĂŠs au Parlement (censĂŠ exercer un contrĂ´le), et la fixation des taux de cotisation ĂŠchappe aux partenaires sociaux. L’État fixe le prix des mĂŠdicaments, la rĂŠmunĂŠration des mĂŠdecins, leur numerus clausus, dĂŠcide de l’agrĂŠment des cliniques privĂŠes…

Il y a par ailleurs un grand nombre d’organismes de nature juridique différente mais dits « de sécurité sociale » : on compte plus de 1 000 organismes différents (les caisses à elles seules comptant plus de 100 000 employés), et même un « musée de l’assurance maladie » et un « Comité d’histoire de la Sécurité sociale », sans parler des « Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie », « Haute autorité de santé ».

 

Mythe 3  : Grâce à la SÊcuritÊ sociale, le système de santÊ français est un des meilleurs au monde

La rÊalitÊ :

Le système de santé n’a rien à voir avec la Sécurité sociale, qui n’a jamais soigné personne, et qui se contente de « gérer » des flux monétaires, en prélevant les uns et en indemnisant les autres. Le progrès technique en matière de médecine n’est pas de son fait, pas davantage la compétence du personnel médical.

Le système de santé français n’est pas le meilleur du monde (voir le scandale du sang contaminé dans les années 80, ou la canicule de 2003), mais s’il était aussi mal en point que la branche maladie, et aussi fossilisé que l’organisation de la Sécurité sociale, on pourrait légitimement s’inquiéter.

Il y a heureusement un système de santé privé plus efficace et moins coûteux que le public. Les médecins (autres que ceux de l’hôpital public) ne sont pas des fonctionnaires, bien qu’ils soient de plus en plus prisonniers (volontaires) des contraintes que leur impose l’organisation de la SS (depuis 1971 le « conventionnement » les oblige à pratiquer les tarifs SS), tout comme les « assurés » assujettis.

Le système de santé français, est de plus en plus menacé dans son ensemble par la SS, « assureur public », qui n’a pas d’autre moyen pour essayer de contrôler les dépenses que de limiter l’offre de soins en imposant règlementation sur règlementation (dossier médical personnel, dispositif de médecin traitant, parcours de soins, plafonds pour les dépenses de santé, ticket modérateur, CSG, CRDS, etc.). On peut d’ailleurs noter que ces contraintes ne sont pas conformes à l’ordonnance du 19 octobre 1945, qui énonçait le principe selon lequel le patient aurait le libre choix absolu du praticien, les honoraires de ce dernier étant fixés par entente directe avec le médecin.

 

Mythe 4 : La SÊcuritÊ sociale assurance maladie est universelle : tout le monde y a droit

La rÊalitÊ :

Ceux qui ne cotisent pas n’ont droit à rien.

En pratique, soit les non-cotisants ont suffisamment de moyens (diplomates, rentiers, inactifs…) et peuvent se payer une assurance privĂŠe Ă  un prix intĂŠressant (bien moins cher que ce que paie un assujetti Ă  la SS) ; soit ils sont trop pauvres et peuvent bĂŠnĂŠficier (sous certaines conditions et pour un certain temps) de la CMU (Couverture maladie universelle) instaurĂŠe en 2000.

Une particularitĂŠ de l’assurance maladie française est d’étendre sa couverture Ă  ceux qu’on appelle les ayants droit  du cotisant (les enfants, le conjoint), qui en bĂŠnĂŠficient sans devoir cotiser en contrepartie (ce qui n’est pas le cas avec les assurances privĂŠes). Ce système faussement gĂŠnĂŠreux fait donc payer Ă  la collectivitĂŠ les choix personnels des couples (j’ai le « droit » d’avoir des enfants, et la sociĂŠtĂŠ « doit » s’occuper d’eux). Il explique une partie du dĂŠficit (pour un seul cotisant, il peut y avoir un grand nombre d’ayants droit).

 

Mythe 5  : Cotiser est une façon de faire preuve de solidarité, cela permet à ceux qui n’ont pas les moyens d’être quand même couverts, grâce à la CMU.

La rÊalitÊ :

La CMU n’est pas prĂŠlevĂŠe sur les cotisations sociales, mais de l’impĂ´t. Cotiser ne vous rend donc pas  solidaire  envers les plus pauvres. La CMU, d’invention rĂŠcente, est comparable aux systèmes amĂŠricains Medicare et Medicaid, plus anciens. Les femmes seules, les jeunes de – de 25ans n’ayant jamais travaillĂŠ, les chĂ´meurs de plus de deux ans de chĂ´mage, les indĂŠpendants ayant fait faillite ou cessĂŠ faute d’actif, n’ont droit Ă  rien. Pire, les artisans ne rĂŠalisant pas assez pour se nourrir sont mĂŞme taxĂŠ de cotisations obligatoire sans aucune solidaritĂŠ Ă  attendre. Ils sont mĂŞme poursuivit après leur faillite et endettĂŠs de force.

 

Mythe 6 : La SÊcuritÊ sociale a permis à une large population de se soigner.

La rÊalitÊ :

Cette affirmation est une pĂŠtition de principe qui fait fi de la rĂŠalitĂŠ historique.

Historiquement, les médecins ont toujours soigné même ceux qui n’avaient pas de ressources pour payer leurs honoraires. Le serment d’Hippocrate le prévoit : « je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera ». Dans le passé, il n’y avait pas de tarif conventionné : les médecins adaptaient leurs honoraires aux moyens de leur patient, ils pratiquaient ainsi une solidarité directe au niveau le plus proche du terrain. Vous pouvez relire tout Zola, vous ne trouverez pas d’exemple d’un médecin qui ait refusé des soins à un malade sous prétexte que celui-ci ne pouvait pas payer.

 

Mythe 7 : La SĂŠcuritĂŠ sociale a moins de frais de gestion qu’une mutuelle.

L’assurance maladie obligatoire, c’est quatorze rĂŠgimes obligatoires et 90 opĂŠrateurs qui gèrent ces rĂŠgimes. Pour la partie mutuelles, c’est environ plus de 550 organismes privĂŠs dĂŠcomptĂŠs.
C’est l’argument Ă  la mode en ce moment. En fait les ĂŠtudes qui le dĂŠmontrent sont absurdes, et en plus en on se demande sur quels bases ouvertes ils ont estimĂŠ leurs bases de calcul, sachant que la sĂŠcuritĂŠ sociale est un organisme qui ne publie pas et ne diffuse pas des bilans dĂŠtaillĂŠs.

En fait il n’y a actuellement aucune comparaison possible entre mutuelle et sĂŠcuritĂŠ sociale, car ce n’est pas le mĂŞme mĂŠtier, ni les mĂŞmes sources de financement ni les mĂŞmes soins Ă  rembourser….

C’est comme comparer des frais de gestion du 1er et second œuvre du bâtiment.

Des frais de gestion d’une mutuelle sont structurels sans rapport avec la masse financière ou humaine à gérer. 

Si vous faites un virement de 1000€, c’est 0,10€ de frais. Si vous faites un virement de 100€ c’est toujours 0,1€ de frais. Les frais de gestion sont une donnée structurelle. C’est pas une variable sur laquelle développer une argumentation.

La sécu prend en charge les soins au 1er euro, les mutuelles prennent en charge le complément. Gestion et frais structurels n’ont rien a voir.

Par ailleurs dans la sécu le recouvrement des fonds est caché par l’état qui collecte certaines taxe à sa place sur les alcools, taxes douanières ou CSG, CRDS qui ont des coûts mais ne sont pas comptés à son budget, mais qui sont à charge de la collectivité.

Mythe 8 : (assurance maladie) la sÊcu est moins chère.

La rÊalitÊ :

Une assurance maladie privÊe offre les mêmes prestations pour nettement moins cher,même pour un smicard la sÊcu est bien trop chère.

Le coût de l’assurance maladie pour un salarié smicard, (SMIC au 01/01/2017 :1 480 Euros) Le total des charges santé retenues de la sécurité sociale sont 0,75% part salarié, 13,14% part employeur, 7,5% CSG, 0,5% CRDS. Soit une cotisation complète de 327€ par mois, soit annuellement 3924€. (calcul hors maladie complémentaire (mutuelle)).

Un expatriĂŠ qui n’a pas droit Ă  la sĂŠcu paye un forfait entre 200 et 380€ selon son age comprenant a la fois sĂŠcu et mutuelle, et indiffĂŠremment de ses revenus.

La comparaison est d’autant plus favorable aux assurances privées que le salaire de l’assuré est élevé (puisque la prime est fixe et non proportionnelle au salaire). Pour un cadre ou un travailleur indépendant qui gagnent bien leur vie, les cotisations prélevées au titre de l’assurance maladie représentent souvent de 10 000 à 15 000 Euros par an, alors qu’avec 2000 Euros ils peuvent avoir une assurance santé privée équivalente.

 

Mythe 9 : Les taux de remboursement de la SÊcuritÊ sociale sont excellents

La rÊalitÊ :

Ils sont parmi les plus bas d’Europe.

Il est notoire que l’optique et les soins dentaires sont très mal remboursés (quelques euros pour les lunettes ou les lentilles). Le taux de remboursement moyen des médicaments est un des plus bas d’Europe : France 54 %,  65 % en Italie, 71 % en Suède, et 90 % au Royaume-Uni. Il en est de même pour les soins médicaux et les soins hospitaliers.

L’impact est d’autant plus important que les dépenses de santé représentent en France 9,5 % du PIB, en tête des pays européens (avec l’Allemagne). On est bien loin de l’ambition d’origine de la SS qui était de rembourser les frais médicaux à 80 %.

 

Mythe 10 L’employeur paye une partie des cotisations sociales, ce qui est un avantage appréciable pour le salarié

La rÊalitÊ :

Les cotisations sociales, tant salariales que patronales, font partie du salaire.

Les cotisations sociales sont séparées fictivement en cotisations salariales et cotisations patronales. En réalité, les cotisations patronales n’appartiennent pas au patron, elles font partie des avantages et appartiennent donc au salarié. C’est un point confirmé par la législation européenne, qui définit une rémunération comme étant « le salaire ou traitement ordinaire de base ou minimum, et tous autres avantages payés directement ou indirectement, en espèces ou en nature, par l’employeur au travailleur en raison de l’emploi de ce dernier. » (point 2 de l’article 141, ex article 119, du traité d’Amsterdam).

Le salarié serait largement gagnant à toucher son salaire complet et à s’assurer librement par lui-même. Le fait que ce soit le patron (en fait la SS) qui décide à sa place ressortit d’un paternalisme digne du XIXe siècle (« si on les laisse libres, ils ne s’assureront pas », « si on leur donne leur salaire complet, ils vont aller tout dépenser au bistrot »). Étonnamment, on estime que le salarié est assez responsable pour aller voter et décider ainsi de l’avenir de son pays, mais pas pour adhérer de lui-même à une assurance !

 

Mythe 11 : Le fameux « trou » de la Sécurité sociale est un faux problème : il existe depuis des décennies et on ne s’en porte pas plus mal

La rÊalitÊ :

Le choix politique a été de vivre à crédit en reportant sur les générations futures la charge du remboursement des déficits (car le trou correspond à une dette auprès de créanciers français et internationaux qu’il faudra bien rembourser).

L’assurance maladie française, c’est 23 réformes (toutes inefficaces), une dette de 100 milliards d’Euros, des déficits de plusieurs milliards d’Euros chaque année.

La SÊcuritÊ sociale vit sur le mythe que les ressources collectives sont illimitÊes. Le  trou , se transforme en gouffre irrÊversible tant que les crÊanciers gardent un minimum de confiance.

La sécurité sociale épouse la pensée de la dinde du théorème de la dinde. Du point de vue de la dinde, l’idée qu’elle se fait de la vie peut se résumer à « on va me nourrir tous les jours jusqu’à ma mort naturelle, et cela ne changera jamais ». Chaque jour qui passe semble confirmer ce point de vue. Mais un jour, avant la fin de sa vie vient son exécution.

Une dette un jour doit être remboursÊe ! Ce jour là arrivera indubitablement.

 

Mythe 12 : Il est plus économique d’avoir en France une caisse unique plutôt que de multiples assurances privées. Il y a des économies d’échelle, il n’y a pas de frais de publicité, pas d’impôt, etc.

La rÊalitÊ :

Monopole ne signifie pas économie ! Pourquoi l’assurance maladie de la SS est-elle plus chère qu’une assurance santé privée ?

Une caisse unique à adhésion forcée présente tous les inconvénients du monopole : inefficacité, prix excessifs faute de concurrence, files d’attente, irresponsabilité, etc.

Ses coĂťts de gestion,  ne tiennent pas compte, outre tous les inconvĂŠnients intrinsèques du monopole, des gaspillages, de la dĂŠsorganisation, des effectifs plĂŠthoriques, des dĂŠtournements (tous les mois la presse sort des affaires de fraude portant parfois sur des dizaines de millions d’Euros). Ses coĂťts de gestion n’incluent pas les coĂťts reportĂŠs Ă  l’ĂŠtat pour la collecte des taxes indirectes.

Un petit pourcentage d’une somme colossale reste une somme colossale. La situation de monopole de la SS lui permet de ne pas gérer la dépense : elle ne peut que la subir, ou la refuser préalablement. Ce ne sont pas les frais de gestion qui importent, mais bien ce que l’ensemble du dispositif coûte à chacun et lui rapporte. Et là, les chiffres sont éloquents.

Un exemple de gabegie pharaonique. Un rapport de la cours des compte indique qu’il y a 72 millions de personnes comptabilisĂŠes affiliĂŠes aux caisses de la  sĂŠcuritĂŠ sociale alors qu’en rĂŠalitĂŠ nous ne sommes que 66 millions d’habitants.

A raison d’un coĂťt par habitant de 2789€ d’indemnisation, les 6 millions d’indemnisĂŠs inconnus coĂťtent 17 milliards.

 

Mythe 13 : En matière d’assurance maladie, il n’existe pas d’offre alternative à celle de la Sécurité sociale

La rÊalitÊ :

Ne pas confondre monopole de droit et monopole de fait !

De mĂŞme qu’avant la SS existaient des  sociĂŠtĂŠs de secours mutuel  et des assurances sociales, il existe aujourd’hui des mutuelles et des assurances privĂŠes qui font de l’assurance santĂŠ. Le monopole forcĂŠ n’est en rien un monopole  naturel . Les expatriĂŠs disposent du choix d’une sĂŠcu privĂŠe. Les frontaliers Suisses expriment tous l’envie de ne pas retourner au système public Français après avoir gouttĂŠ au système privĂŠ Suisse.

 

Mythe 14 : La SÊcuritÊ sociale doit être considÊrÊe simplement comme une assurance

La rÊalitÊ :

Elle en a le nom, elle y ressemble, mais ce n’en est pas une ! Elle mélange de façon illisible certaines caractéristiques qui la rapprochent de l’assurance et d’autres de la solidarité.

La SĂŠcuritĂŠ sociale assurance maladie n’est pas une assurance, car elle ignore volontairement le risque, et ceci dès l’origine (1945), ce qui rend impossible la mutualisation des risques qui est le fait de l’assurance (la distinction entre l’assurance maladie et l’assurance vieillesse n’est intervenue qu’en 1967 !). Avec la SĂŠcuritĂŠ sociale assurance maladie, il n’y a pas de « prime » mais des prĂŠlèvements proportionnels aux revenus, qui s’apparentent davantage Ă  un impĂ´t, il n’y a aucun rapport entre ce qu’on verse et ce qu’on reçoit, ni de « contrat »Â c’est un arbitraire complet qui règne, au bon vouloir des fonctionnaires et des gestionnaires. Faute de prime et de contrat, on ne peut pas parler d’assurance.

Ce n’est pas qu’une question de dĂŠfinition ou de technique, on a lĂ  la raison profonde qui fait que la SĂŠcuritĂŠ sociale ne peut remplir son rĂ´le (prĂŠtendu) d’assurance sociale. Elle se limite Ă  ĂŞtre un système idĂŠologique de redistribution. En gĂŠnĂŠral, les discussions autour de la SĂŠcuritĂŠ sociale ne se placent pas longtemps sur le terrain ĂŠconomique, assurantiel ou mĂŠdical, elles tournent très vite Ă  l’idĂŠologie : pour ses adeptes, la SĂŠcuritĂŠ sociale est justifiĂŠe non parce qu’elle serait efficace, mais parce qu’elle est « ĂŠgalitaire ». Mais l’ĂŠgalitĂŠ, les principaux bĂŠnĂŠficiaires ont une lecture particulière.

 

Mythe 15  : La Sécurité sociale est indispensable, car les assurances privées ne peuvent pas prendre en charge les maladies graves, les patients âgés, l’hospitalisation, etc., elles ne peuvent assurer que les personnes sans risques majeurs. La santé est un domaine par nature non rentable.

La rÊalitÊ :

Les assurances privées remboursent frais médicaux, hospitalisation, etc., à 100 % des frais réels. Pour l’hospitalisation, il peut y avoir un plafond par exemple 1 500 000 Euros dans le cas de la compagnie IHI, ce qui fait que même avec des soins intensifs à 2 000 Euros/jour on est pris en charge.

Comme son nom l’indique, l’assurance maladie est d’abord et avant tout une question d’assurance,une technique qui est maîtrisée depuis longtemps, alors que la Sécurité sociale ne fait pas de l’assurance, mais de la redistribution aveugle et clientéliste.

L’existence d’assurances privées plus efficaces et moins coûteuses démontre que la santé est un domaine rentable.

 

Les opposants au système privÊ souhaitent en rÊalitÊ condamner le profit pour perpÊtuer un système redistributif faillitaire par fanatisme idÊologique.

Vous trouverez ces gens dans la partie gauche de l’ĂŠchiquier politique, une vision dirigiste et totalitaire de la sociĂŠtĂŠ n’admet pas votre volontĂŠ de libertĂŠ individuelle de choix.

 

Le contrĂ´le), et la fixation des taux de cotisation ĂŠchappe aux partenaires sociaux. L’État fixe le prix des mĂŠdicaments, la rĂŠmunĂŠration des mĂŠdecins, leur numerus clausus, dĂŠcide de l’agrĂŠment des cliniques privĂŠes…

Il y a par ailleurs un grand nombre d’organismes de nature juridique différente mais dits « de sécurité sociale » : on compte plus de 1 000 organismes différents (les caisses à elles seules comptant plus de 100 000 employés), et même un « musée de l’assurance maladie » et un « Comité d’histoire de la Sécurité sociale », sans parler des « Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie », « Haute autorité de santé ».

La France gagnerait a ĂŞtre un peu mieux informĂŠe….

Le mot  » SĂŠcuritĂŠ Sociale  » est un terme connotĂŠ historiquement, et malheureusement idĂŠologiquement ce qui provoque une vision idolâtrique passionnĂŠe.

 

Le vrai mot qui colle Ă  la rĂŠalitĂŠ est « assurance maladie » et « assurance retraite ».

En fait, si n’ĂŞtes pas employeur, ou comptable vous ne savez pas ce que vous payez, vous ne savez pas grand chose sur ce que vous rembourse la sĂŠcu. Votre feuille de paye ne veut rien dire et le brut de brut vous est cachĂŠ.

Vous ne connaissez aucun de ses dirigeants avec un budget de 450 milliards alors que vous connaissez le dirigeant de Renault qui gère 10 fois moins.

Vous ne savez pas quels sont les autres solutions d’assurance santĂŠ qui existent sur terre.

Vous ne savez tellement peu sauf les clichĂŠs qu’on vous impose. Il serait peut temps de vous rĂŠveiller et demander des comptes Ă  ceux qui les cachent…

Et encore cette partie n’expose que la santĂŠ….

La partie assurance retraite c’est encore pire !

La sĂŠcuritĂŠ sociale est issue d’un autre temps. Franco-Française,  elle est inadaptĂŠ Ă  la mondialisation et l’internationalisation des parcours humains. Elle est inadaptĂŠ aux emplois du futur qui s’annoncent. 

D’autres pays ont introduit la concurrence privĂŠe dans le domaine de la santĂŠ et ça marche mieux que chez nous et c’est plus ĂŠconomique et efficace!

Les Allemands, les Suisses ou les NÊerlandais sont-ils moins bien soignÊs que les Français ?

Si les gens avaient l’information rĂŠelle! Si!

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GrĂŠviculture d’octobre : une riche moisson

D’excellents esprits, et mĂŞme de moins bons, se prĂŠoccupent ces derniers temps de ce qu’on persiste Ă  appeler le « modèle social français ». Le « refonder », disent les uns, le « rĂŠformer » – ah ce mot « rĂŠforme » qu’on utilise toujours, par facilitĂŠ – le « revisiter » ou peut-ĂŞtre le replâtrer Ă  l’intĂŠrieur, le ravaler Ă  l’extĂŠrieur.

Les mêmes bons esprits gagneraient sans doute à replacer le problème dans sa dimension rÊelle.

Le fait mĂŞme de parler de « modèle », et de modèle « français » !, renvoie en effet Ă  une connotation mortifère d’invariance.

Ce ne sont pas les salariĂŠs, encore moins les travailleurs indĂŠpendants, qui s’expriment, ce sont les centrales syndicales, la plus lourde ĂŠtant la vieille CGT.

Or, en face, ce ne sont mĂŞme pas les reprĂŠsentants du peuple qui lĂŠgifèrent. On pourrait alors, si tel ĂŠtait le cas, parler de dĂŠmocratie. Au contraire, les projets de lois ne sont, en façade, poussĂŠs par les ministres qui communiquent sur ce qu’ils sortent des placards de leurs administrations. Il semblerait donc plus lĂŠgitime de parler de technocratie.

Or, on doit constater que, tout se joue, au mĂŠpris de l’opinion populaire, entre les cercles de ce pouvoir technocratique, Ă  peine entravĂŠs des contestations essentiellement « conservatrices » oĂš l’on retrouve Ă  l’œuvre les sections syndicales.

Observons ainsi le calendrier des prochaines grèves à venir.

Le 1er octobre une partie, la partie cĂŠgĂŠtiste, des personnels des hĂ´pitaux et de l’action sociale suivra, dans toute la France, ce jeudi un mot d’ordre de grève nationale lancĂŠe par la CGT et le mouvement syndical SUD. Rappelons que depuis Anicet Le Pors et le gouvernement Mauroy (1981-1984) on affecte de croire que ces personnels constituent une « fonction publique hospitalière » alors mĂŞme qu’ils ne bĂŠnĂŠficient pas des multiples avantages des salariĂŠs de l’État. Ceci ouvre ĂŠvidemment un champ de revendications constantes et qui ne peuvent pas aboutir, en particulier s’agissant de la durĂŠe hebdomadaire du travail.

À partir du 5 octobre, pour ceux des mĂŠdecins gĂŠnĂŠralistes de libre exercice qui suivent les mots d’ordre de MG France, et dès le 3 octobre pour les affiliĂŠs de 4 autres syndicats mĂŠdicaux, les cabinets des grĂŠvistes, tant gĂŠnĂŠralistes que spĂŠcialistes, seront fermĂŠs.

Soulignons que quelque 500 000 professionnels de santĂŠ de notre pays, sans relever non plus du cas des fonctionnaires, se trouvent de plus en plus assujettis aux contraintes d’une administration toute puissante.

Ceci dĂŠcoule du simple fait que leurs syndicats ont signĂŠ des conventions avec l’assurance-maladie monopoliste. Celle-ci est, fictivement, gĂŠrĂŠe par le ministère de la SantĂŠ. Mais notoirement en fait elle est contrĂ´lĂŠe par le ministère des Finances. Aujourd’hui ils protestent contre les nouvelles « mesures », prĂŠsentĂŠes pour des « rĂŠformes » de Marisol Touraine.

Le 8 octobre 2015 est annoncĂŠe aussi, pour toute la journĂŠe une grève « gĂŠnĂŠrale et nationale » dĂŠcidĂŠe par les centrales syndicales CGT, FSU et Solidaires. Ces bureaucraties appellent indistinctement tous les salariĂŠs, des secteurs publics et privĂŠs, Ă  faire grève ce jour pour contester ce qu’ils appellent « les rĂŠformes du gouvernement concernant l’emploi ».

Certes, on peut douter de l’adhĂŠsion des intĂŠressĂŠs Ă  de tels mots d’ordre. Mais il est un fait que ce mouvement Ă  vocation Ă  perturber les administrations, les services publics, les ĂŠcoles, une partie des entreprises privĂŠes et par consĂŠquent la vie quotidienne de très nombreuses familles.

Les dĂŠsordres, notamment dans les transports, devraient commencer le 7 octobre Ă  19 heures et durer jusqu’au 9 octobre Ă  8 heures dans les transports publics urbains, les taxis monopolistes, le chemin de fer, les crèches, les Êcoles maternelles et primaires, l’enseignement ĂŠtatique secondaire, les bibliothèques, la poste, diverses administrations, y compris dans certaines villes et communautĂŠs de villages le ramassage des ordures etc.

Ne surestimons pas Ă  l’avance comme les mĂŠdias le font trop souvent, l’impact rĂŠel de « la grève ». Mais ne sous-estimons pas non plus la volontĂŠ de nuire et de montrer une capacitĂŠ de nuisance qui, s’agissant des enseignants de la FSU, prĂŠtend se dresser, aux cĂ´tĂŠs de la CGT et de son flanc gauche « Sud Solidaires » contre les timides dĂŠrives nĂŠolibĂŠrales du gouvernement.

De telles alertes sont lancĂŠes pour rĂŠpondre Ă  une double prĂŠoccupation : d’une part il s’agit faire piĂŠtiner sinon reculer les pouvoirs publics, et d’abord le parti socialiste, dans la voie « sociale-rĂŠformiste », qu’ils affectent d’avoir plus ou moins choisie. Reconnaissons que dans la pratique, ils ne s’y sont guère engagĂŠs. Or, d’autre part, plus subtilement, tous ces blocages tendent Ă  intimider les grosses entreprises. En effet, une partie de leurs dirigeants pense que seule la majoritĂŠ actuelle peut, Ă  moindres frais en termes de conflits sociaux, procĂŠder aux « nĂŠcessaires rĂŠformes ».

Or, parmi celles-ci la libertĂŠ de « l’ouverture des magasins le dimanche », prĂŠvue par la Loi Macron, quoique restreinte Ă  des zones ĂŠvaluĂŠes administrativement donc arbitrairement « touristiques », va donner lieu le 15 octobre Ă  une grève de certains salariĂŠs des commerces de Paris Ă  laquelle les appellent plusieurs bureaucraties syndicales. Cet ĂŠpisode sera peut-ĂŞtre le plus intĂŠressant, dans la mesure oĂš, culturellement, cette libĂŠralisation provoque aussi de nombreuses rĂŠticences « droitières ».

Au total, la France ne pourra pas faire l’ĂŠconomie d’une remise en cause de ces blocages et de ces chantages, oĂš la vieille CGT stalinienne joue le rĂ´le moteur, ou plutĂ´t de frein moteur, Ă  l’encontre de la modernisation du pays.

JG Malliarakis    http://www.insolent.fr/

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Climat : une grand-messe pour des prunes

Après les conférences de Rio, Kyoto, Copenhague et Cancun dont on se demande toujours à quoi elles ont servi, c’est au tour de la France d’organiser à Paris, en décembre prochain, sous l’égide de l’ONU, une grand-messe sur le climat nommée COP 21.
Les dirigeants de 195 pays y sont attendus, accompagnés de centaines de conseillers et d’invités plus ou moins experts en matière de climat. Un petit séjour à Paris, tous frais payés, ça ne se refuse pas !

L’objectif de cette conférence est de trouver un accord, afin de maintenir le réchauffement mondial en deçà de 2 °C. Objec­tif très ambitieux, car on voit mal la Chine accepter de réduire sa production pour faire plaisir à Nicolas Hulot. De toute façon, quel que soit le résultat de cette conférence, ce sera un beau coup de pub pour le président français…
Pour un simple quidam, le réchauffement de la planète n’est pas aussi évident que le prétendent les experts du GIEC, du moins localement. L’été 2014 fut particulièrement frais et pluvieux et, en février 2015, une vague de froid sans précédent s’abattit sur l’est des États-Unis.

Est-il réellement utile d’organiser ce genre de conférences pour débattre d’un phénomène aussi naturel que le réchauffement de la planète ? Car les cycles de réchauffement existent depuis la nuit des temps. Ils sont suivis généralement par des périodes de refroidissement se renouvelant tous les 600 ans.
Le Groënland (le pays vert) n’a pas toujours été recouvert de glace. Quand les Vikings l’ont découvert en 982, c’était une terre couverte de prairies et d’animaux. Le journaliste et météorologue Laurent Cabrol rappelle dans un livre savoureux que l’on a cueilli des fraises en janvier 1290 en Alsace. Dans la Vallée de la Mort en Californie, durant l’été 1913, on enregistra une température de plus de 57°, record jamais égalé.

Les canicules sont un phénomène climatique vieux comme le monde. Les chroniqueurs parlent de la canicule de 1636 ou de celle de 1718 qui fit, paraît-il, 700 000 morts. Plus près de nous on se rappelle les canicules de 1976, de 1983 et de 2003. Les étés de mon enfance étaient souvent torrides, accompagnés de longues périodes de sécheresse et de restrictions d’eau. ça ne faisait pas la une des journaux. Aujourd’hui, le moindre phénomène climatique est analysé, commenté, dramatisé.
Ce qui est étonnant, c’est de voir avec quelle facilité les chefs d’États se sont laissés entraîner, par naïveté ou par opportunisme, dans cette lutte contre un changement climatique imprévisible.

Autre débat : les populations sont-elles responsables du réchauffement de la planète ? Rien n’est moins sûr ! Quand les arbres poussaient au Groën­land, ce n’est certainement pas les populations d’alors qui étaient la cause de ce réchauffement.

Des villes comme Paris, Londres et même Bangkok sont moins polluées aujourd’hui qu’il y a 50 ans.
Le guide valaisan Werner Mun­ter, spécialiste mondialement reconnu des avalanches, affirme que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement de la planète. Sans remettre en cause le réchauffement actuel, il se base sur l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années : « Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu 5 pics de températures comparables à celui que nous vivons aujourd’hui. […] Quand les scientifiques du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques, dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement de la planète. » Et le guide de conclure : « C’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation, nous avons changé le climat ! »

Personnellement, je fais davantage confiance aux observations et au bon sens de cet homme de montagne qui vit en pleine nature plutôt qu’aux experts du GIEC assis derrière leur ordinateur.
Le vrai problème de la planète ne serait-il pas plutôt sa surpopulation et, par conséquent, la construction de villes et villages dans des zones impropres à l’habitat ? Plutôt que d’échanger des paroles stériles sur une improbable montée des mers, ne serait-il pas plus utile d’organiser des campagnes de planning familial en Afrique et dans certains pays d’Asie ?

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Savez vous que le mĂŠtier de patron n’est pas percepteur ?


Savez vous que le mĂŠtier de patron n’est pas percepteur ?

DĂŠcouverte fondamentale dans la science de l’infantilisation des masses !

Au pays ou les contribuables directs sont en voie de disparition. Qui va dĂŠcouvrir que le mĂŠtier de patron n’est pas percepteur ?

La France, quel pays incroyable. Le patron s’occupe de tout pour vous.

Assurance retraite, Assurance santĂŠ, assurance chĂ´mage mutuelle complĂŠmentaire, impĂ´ts, taxes, TVA, c’est le patron le percepteur.

 

Votre retraite c’est le patron qui cotise pour vous.

Dans quelques temps il sera même obligÊ de tenir  votre  livret compte pÊnibilitÊ.

La santĂŠ obligatoire c’est la patron qui cotise pour vous.

La mutuelle complĂŠmentaire c’est encore le patron au 1er janvier qui devra en avoir la charge obligatoire.

Votre assurance chĂ´mage, c’est encore le patron qui le fait Ă  votre place.

Les impĂ´ts ? 60% de la population n’est mĂŞme plus contribuable direct.

Pour ceux qui restent, avec l’impôt à la source, le patron va bientôt progresser dans le rôle du fonctionnaire percepteur unique et total dans quelques mois.

Les congĂŠs payĂŠs ? C’est l’employeur qui thĂŠsaurise et gère la marge compensĂŠe annuelle, vous ne vous occupez de rien. Rien de rien.

Vous voici vivre dans cette catÊgorie sociale qui vit sans rien contribuer ,sans rien penser sans rien choisir de son propre libre arbitre, directement responsable de rien, et profiter de la redistribution sans rÊflÊchir.

Et c’est le patron chargĂŠ d’y penser pour vous gratuitement.

 

Les ImpĂ´ts.

Ça y est c’est FOR-MI-DABLE.

En cette pĂŠriode d’arrivĂŠe des feuilles d’impĂ´ts, voici un nouveau cadeau.

Vous ĂŞtes de plus en plus nombreux a toucher une ĂŠnième exonĂŠration de tranche, que vous avez vous mĂŞme financĂŠ avec votre argent par les augmentations successives de TVA que vous subissez de l’autre.

Vous allez donc ĂŞtre plusieurs millions à ne plus payer d’impĂ´ts. Vous n’ĂŞtes plus des vrais  contribuables . Non non non. Vous ĂŞtes des « nontribuables« . Des exclus de la participation directe Ă  la vie de la sociĂŠtĂŠ. Pas besoin de niche fiscale pour les non-assujettis.

Vous ne contribuez plus a rien du tout directement.

Vous avez maintenant l’honneur d’ĂŞtre encore plus nombreux Ă  faire partie des 60% de la population clientĂŠlisĂŠ fiscale.

Qu’importe la paye. Pas d’impĂ´ts.

 

Quel est la raison de cette disparition fiscale ?

La dette aurait disparue ? Évidement Non.

Il y aurait eu disparitions de fonctionnaires à payer ? Non. Ils augmentent toujours.

L’ĂŠtat ferait des terribles ĂŠconomies ? Non. Le dĂŠficit public augmente toujours.

Les dĂŠpenses seraient contenues ? Non. Chaque annĂŠe l’ĂŠtat emprunte plus.

Alors comment ce fait-il ?

J’ai bien moi vil capitaliste une vĂŠritĂŠ Ă  dire avec mes mots, mais vous n’allez pas apprĂŠcier.

Mon explication est simple,  On vous infantilise et on vous prend pour des burnes.   Moins vous voyez l’argent circuler directement plus vous vous en foutez, moins vous ĂŞtes responsables. Moins vous en avez la gestion moins vous serez tentĂŠ de rĂŠflĂŠchir au rapport/qualitĂŠ prix de ce que l’on vous prend .

Pour les politiciens et les groupes de pression, dĂŠpenser l’argent sans que le peuple compte est facteur de rĂŠ-ĂŠlection politique, et c’est tellement plus facile de clientĂŠliser.

 

ClientĂŠliser par corporations ou groupes sociaux

En fait vous trouvez tous  normal  qu’en gagnant moins certains soient  privilĂŠgiĂŠs .

Vous ĂŞtes tous pour l’abolition des privilèges, mais avec plein d’exceptions aux règles gĂŠnĂŠrales ?

En fait bĂŠnĂŠficier d’un  petit privilège  exonère la contradiction Ă  la volontĂŠ d’ĂŠquitĂŠ pour tous.

Si les contribuables ne sont plus des contribuables et que la majoritĂŠ de la population est exonĂŠrĂŠ d’impĂ´ts sur le revenu alors qui paye, puisque les dĂŠpenses n’ont pas diminuĂŠes ?

En fait c’est la TVA, sorte de Flat tax sur les biens de consommation qui vient d’ĂŞtre augmentĂŠ. En fait pour  clientĂŠliser des classes moyennes  l’ĂŠtat compense le manque Ă  gagner sur la TVA. Donc sur tous les individus. TVA qui inclue bien entendu les plus pauvres.

Et qui va rĂŠcupĂŠrer chez vous l’argent compensatoire de vos exonĂŠrations fiscales de masse ? L’entreprise ! Le patron.

 

Qui perçoit quoi ?

Les patrons Français sont les percepteurs de tout.

Au nom de quoi se serait Ă  votre employeur de cotiser a votre assurance retraite ? Vous ĂŞtes trop sot pour le faire vous mĂŞme ? Et votre futur livret pĂŠnibilitĂŠ, c’est a lui de le tenir et d’en rendre compte ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut ĂŞtre prĂŠfĂŠreriez vous cotiser Ă  la caisse des SĂŠnateurs qu’Ă  la caisse des agriculteurs ?

 

Au nom de quoi se serait à votre employeur de cotiser à votre assurance santÊ ?Vous êtes trop sot pour le faire vous même ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut être prÊfÊreriez vous cotiser à la sÊcu des fonctionnaires sans carence que la CPAM avec une carence de 3 jours ?

 

Au nom de quoi se serait à votre employeur de cotiser a votre assurance chômage ?Vous êtes trop sot pour le faire vous même ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut ĂŞtre prĂŠfĂŠreriez vous disposer d’un suivit comme les Énarques d’un emploi Ă  vie mĂŞme après un licenciement pour faute grave ?

 

Au nom de quoi se serait à votre employeur de cotiser a votre mutuelle complÊmentaire ? Vous êtes trop sot pour le faire vous même ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut être prÊfÊrez vous cotiser plus pour des remboursements dentaires que pour les remboursements optiques ?

 

Au nom de quoi se serait à votre employeur de payer vos impôts ? Vous avez ÊtÊs jusque prÊsent trop sot pour le faire vous même ?

Oui mais si on vous laisse faire, peut être prÊfÊrez vous ne pas expliquer les revenus de votre foyer à votre employeur ?

 

Le patron et l’entreprise ne sont pas rĂŠmunĂŠrĂŠs pour de tels services. Savez vous le but d’une entreprise n’est pas de se substituer a vos responsabilitĂŠs individuelles ?

Le coĂťt comptable de la gestion des salaires est loin d’ĂŞtre anodine, pour l’employeur. C’est aussi, une des plus grande source de conflits sociaux et de litiges, de redressements fiscaux ou sociaux.

Çà ne rapporte rien Ă  l’entreprise, et s’impliquer dans la perception c’est de l’autre perdre de l’efficience et de l’ĂŠnergie pour gagner et faire fructifier des marchĂŠs. Handicaper le job rĂŠel de l’entreprise, faire du business.

Les coĂťts cachĂŠs de la perception par l’entreprise rendent nos entreprises les moins compĂŠtitives d’Europe.

Le but d’une entreprise, c’est de crĂŠer de la richesse. Pas de faire vivre cette grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dĂŠpens de tout le monde par son intermĂŠdiaire ni d’en payer les coĂťts.

Les assurances sociales, si sociales soient elles et lĂŠgalement forcĂŠe, sont elle un droit que la LibertĂŠ de les choisir soit lĂŠgalement dĂŠtruite en contraignant le patron et le salariĂŠs a ĂŞtre les moutons de dĂŠcisions technocratiques ? Et les salariĂŠs sont ils si ignares pour ne pas savoir les gĂŠrer eux mĂŞme ? Quel contrat lie l’employeur Ă  la perception de l’ĂŠtat ?

Rien la relation est forcĂŠe, elle n’est pas contractuelle et n’est acceptĂŠe rĂŠciproquement.

Les fonctionnaires percepteurs de l’ĂŠtat travaillent-ils gratuitement ? Pourquoi la personne morale devrait faire un travail pour lequel elle n’est pas rĂŠmunĂŠrÊ ?

C’est pas pour ça que l’entrepreneur c’est mis Ă  son compte. Pourquoi chronophager le temps de l’entreprise à des obligations qui ne la concerne pas ? 

Apparemment cette manière de fonctionner en dĂŠsimplication sociale des individus comme objectif de vie est assez surprenante Ă  voir lorsqu’on a la vision de l’employeur.

Ça vous plaît de faire partie de la congrégation des ignorants volontaires qui ne veut pas savoir ce que vous payez.

Combien payez vous pour vos assurances sociale ? Ça vous fait plaisir de ne pas savoir et vivre dans l’ignorance ? 

 

Et si l’employeur vous verserait votre salaire complet ?

Vous seriez plus responsable. ImpliquĂŠ individuellement. AmenĂŠ Ă  vous intĂŠresser Ă  ce que vous payez, et donc un citoyen plus impliquĂŠ.

De lĂ  Ă  penser que les monopoles, le corporatisme, les corporations n’aimeraient pas Ă  rendre des comptes, il n’y a qu’un pas…

 

L’ĂŠtat donne bien le droit de vote Ă  tous mais refuse votre salaire complet ?

Savez vous que le mĂŠtier de patron n’est pas percepteur ?

Il est temps de changer d’univers. Le monde de Oui-oui n’est pas la France.

Trop, c’est trop. Le salariĂŠ devrait empocher son salaire complet.

Tout le monde a Ă  gagner Ă  le faire. L’employeur et le salariĂŠ.

Sauf les rentiers des prĂŠlèvements contraints et obligatoires qui comptent sur votre ignorance et votre mimĂŠtisme d’indiffĂŠrence.

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Êtes-vous pauvre ? Mesures de la pauvreté et impact sur le taux de pauvreté

Etes-vous pauvre ? Cette question en apparence simple est en rĂŠalitĂŠ assez complexe ! En effet, d’un point de vue statistique, pour ĂŞtre capable de dĂŠfinir si une personne est pauvre, il faut ĂŞtre capable de dĂŠfinir un niveau (ou un seuil) prĂŠcis en dessous duquel une personne est alors considĂŠrĂŠe comme pauvre (et au dessus duquel elle ne l’est pas). Mais comment justement fixer ce niveau et comment l’ajuster dans le temps ? Est-on pauvre lorsque l’on dispose de moins 1000 euros par mois ? Est-on pauvre lorsque l’on est moins riche qu’un certain pourcentage de la population ? Est-on pauvre lorsqu’on ne peut pas s’acheter de la viande au moins une fois par semaine ? Avec ces trois questions, le Captain’ vient d’introduire indirectement trois mĂŠthodes diffĂŠrentes pour mesurer la pauvretĂŠ : (1) la mesure monĂŠtaire absolue (un niveau de vie infĂŠrieur Ă  x euros par mois, avec un seuil qui s’ajuste dans le temps en prenant en compte l’inflation), (2) la mesure monĂŠtaire relative (un niveau de vie infĂŠrieur Ă  x% du niveau de vie mĂŠdian des habitants de votre pays) et (3) la mesure de la pauvretĂŠ en tant que privation (ou mesure en conditions de vie). Chaque mĂŠthode a ses avantages et ses inconvĂŠnients, et selon le choix de la mesure et du seuil, le nombre de pauvre dans un pays peut drastiquement augmenter ou diminuer. C’est parti pour le grand test : « Etes-vous pauvre 2015 ? » !

Selon les derniers chiffres de l’INSEE, 14,3% de la population française est pauvre, soit environ 8,6 millions de personnes (source : « PauvretĂŠ en 2012 : comparaisons rĂŠgionales – INSEE« ). Selon l’INSEE, vous ĂŞtes « pauvre » si votre niveau de vie est infĂŠrieur Ă  987 euros par mois. Donc si vous gagnez le SMIC (1096 euros net en 2012), vous n’ĂŞtes pas pauvre ; et ce mĂŞme si vous habitez tout seul Ă  Paris et que votre loyer est de 700 euros (ce qui peut ĂŞtre discutable…) ! Si vous touchez uniquement le Revenu de SolidaritĂŠ Active (RSA – 467 euros par mois), vous ĂŞtes alors considĂŠrĂŠ comme pauvre (lĂ  dessus, peu de discussions possibles) !

Mais comment est calculĂŠ ce seuil de 987 euros ? Le seuil de pauvretĂŠ en France est dĂŠfini par l’INSEE comme ĂŠtant ĂŠgal Ă  60% du niveau de vie mĂŠdian de la population française : c’est donc une mesure relative, qui dĂŠpend directement du revenu mĂŠdian du pays. Pour illustrer cela, supposons alors un pays avec 21 habitants, ayant chacun le niveau de vie suivant (voir tableau ci-dessous). Pour simplifier, on suppose alors que chaque habitant est cĂŠlibataire et sans enfant, en ĂŠvitant ainsi les problĂŠmatiques relatives aux unitĂŠs de consommation (pour plus d’infos Ă  ce sujet, voir « La mesure de la pauvretĂŠ – INSEE« ).

seuil-pauvrete-60

La première ĂŠtape consiste donc Ă  calculer le niveau de vie mĂŠdian. Dans notre exemple, le niveau de vie mĂŠdian est de 1500 euros, ce qui signifie que 10 habitants ont un revenu supĂŠrieur Ă  ce niveau et 10 habitants ont un revenu infĂŠrieur. Pour dĂŠfinir le seuil de pauvretĂŠ, on multiplie ensuite 1500 par 60%, ce qui nous donne un seuil Ă  900 euros. Ensuite, sont considĂŠrĂŠs comme pauvres tous les habitants ayant un niveau de vie infĂŠrieur Ă  900 euros (soit dans notre cas 5 habitants – et donc un taux de pauvretĂŠ de 23,8%). La prise en compte d’un seuil de pauvretĂŠ en fonction d’un niveau relatif de niveau de vie permet donc d’ĂŠvaluer une notion de pauvretĂŠ Ă  un moment donnĂŠ et pour un pays donnĂŠ.

Mais il y a aussi tout de mĂŞme pas mal de limites Ă  cette mesure. Supposons que du jour au lendemain, une croissance incroyable touche notre pays, et que le niveau de vie de l’ensemble des habitants double. Dans cette situation, avec un seuil de pauvretĂŠ dĂŠfini de manière relative, il y aura toujours autant de pauvre dans notre pays : le seuil de pauvretĂŠ passant Ă  1800 euros, les pauvres d’avant sont toujours pauvres (au sens statistique) et ce malgrĂŠ le fait que leur niveau de vie ait doublĂŠ. A l’inverse, il est possible de voir une baisse du taux de pauvretĂŠ dans un pays si les pauvres restent aussi pauvres (en euros) mais que les plus riches deviennent moins riches (une baisse du niveau de vie mĂŠdian pouvant entraĂŽner une baisse du taux de pauvretĂŠ, mĂŞme sans hausse du niveau de vie rĂŠel des plus pauvres). Ces deux exemples sont assez extrĂŞmes, mais illustre tout de mĂŞme assez simplement les problĂŠmatiques relatives Ă  l’utilisation d’un seuil relatif.

De plus, il est important de faire bien attention Ă  ne pas tirer de conclusions hâtives lors des comparaisons internationales du taux de pauvretĂŠ. Par exemple un pays « A » oĂš l’ensemble des habitants a le mĂŞme niveau de vie (500 euros par mois par exemple) sera considĂŠrĂŠ comme ayant 0% de taux de pauvretĂŠ, tandis qu’un pays « B » oĂš l’habitant le plus pauvre a un niveau de vie de 1000 euros mais oĂš il existe de plus fortes inĂŠgalitĂŠs pourrait avoir par exemple un taux de pauvretĂŠ de 20%…. Pourtant, les non-pauvres du pays « A » seraient tous pauvres dans le pays « B » (Ă  un ajustement de revenu mĂŠdian près) ! Le taux de pauvretĂŠ mesurĂŠ d’une manière relative se rapproche donc davantage d’une mesure des inĂŠgalitĂŠs dans un pays donnĂŠ que d’une rĂŠelle mesure de la pauvretĂŠ (mĂŞme si les deux mesures peuvent ĂŞtre liĂŠes).

PlutĂ´t qu’une mesure relative, il est aussi possible de mesurer la pauvretĂŠ monĂŠtaire de manière absolue : c’est Ă  dire en utilisant un niveau fixe dans le temps (avec simple ajustement pour l’inflation) ne dĂŠpendant pas de la richesse moyenne ou mĂŠdiane d’un pays. Les Etats-Unis utilisent par exemple principalement une mesure monĂŠtaire absolue pour dĂŠfinir le taux de pauvretĂŠ. Le seuil de pauvretĂŠ a ĂŠtĂŠ dĂŠfini en 1963 comme ĂŠtant ĂŠgal Ă  trois fois le montant d’un rĂŠgime alimentaire minimum, et est ajustĂŠ chaque annĂŠe pour prendre en compte l’inflation. Par exemple, s’il faut au minimum 300$ par mois pour pouvoir se nourrir correctement aux USA, le seuil de pauvretĂŠ sera fixĂŠ Ă  900$. Cela nous donne donc une mesure absolue de la pauvretĂŠ, qui est par la suite ajustĂŠe en fonction de la situation familiale et du nombre d’enfant (source : « How the Census Bureau Measures Poverty« ). Par exemple, un individu seul avec un niveau de vie infĂŠrieur Ă  12.119$ par an (1009$ par mois) sera considĂŠrĂŠ comme pauvre aux USA.

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En utilisant cette mesure monĂŠtaire absolue du seuil de pauvretĂŠ, le taux de pauvretĂŠ aux Etats-Unis est relativement stable, ce qui signifie que le niveau de vie des pauvres augmente Ă  peu près au mĂŞme niveau que l’inflation. Cependant, si les Etats-Unis utilisaient une mesure relative comme la France, il y a fort Ă  parier que les conclusions seraient très diffĂŠrentes : la hausse des inĂŠgalitĂŠs (cf travaux de Piketty par exemple) aux USA devraient en effet se traduire par une hausse du taux de pauvretĂŠ avec une mesure relative.

Pour les pays en voie de dĂŠveloppement, une mesure de pauvretĂŠ monĂŠtaire absolue souvent utilisĂŠe est celle de 1,25$ PPA par jour (« Banque Mondiale – Ratio de la population pauvre disposant de moins de $1,25 par jour (PPA) (% de la population)« ). L’objectif ici est assez diffĂŠrent, mais cela permet une comparaison internationale entre les pays et la fixation d’objectifs de rĂŠduction de la pauvretĂŠ Ă  l’ĂŠchelle mondiale, comme par exemple, dans le cadre des Objectifs du MillĂŠnaire pour le DĂŠveloppement (OMD) : « Ojectif 1 – RĂŠduire de moitiĂŠ, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est infĂŠrieur Ă  un dollar par jour » (objectif atteint, principalement grâce Ă  la forte croissance en Inde et en Chine – avec ajustement Ă  1,25$ par la suite)

Intuitivement, le Captain’ a donc tendance Ă  prĂŠfĂŠrer la mesure absolue (ajustĂŠe de l’inflation et/ou avec taux de change PPA) plutĂ´t que la mesure relative. En effet, le problème avec la mesure relative est, qu’Ă  part en rĂŠduisant les inĂŠgalitĂŠs, il est très difficile de rĂŠduire le taux de pauvretĂŠ. De plus, Ă  très long-terme, il est possible d’imaginer un monde avec un taux de pauvretĂŠ quasi-nul si l’on mesure cela d’un point de vue absolu (#Bisounours), tandis qu’Ă  part Ă  avoir un monde communiste, la pauvretĂŠ sera toujours prĂŠsente et ne baissera pas vraiment si l’on garde une mesure relative.

Une dernière mĂŠthode consiste non pas Ă  s’appuyer sur des variables monĂŠtaires (niveau de vie, revenu, consommation) mais sur des notions de privations ou de conditions de vie. Une personne est alors considĂŠrĂŠe comme pauvre si elle est privĂŠe d’accès Ă  un certains nombres de biens, de services ou de « capacitĂŠs » (mais pas au sens des « capabilities » d’Amartya Sen) jugĂŠs comme « essentiel ». Selon Eurostat par exemple (source : « Material deprivation statistics« ), une personne est pauvre si elle n’a pas accès au minimum Ă  4 des 9 biens/services/capacitĂŠs :

  1. Etre capable de payer son loyer ou son emprunt hypothĂŠcaire
  2. Pouvoir chauffer suffisamment pour son logement
  3. Partir une semaine en vacance par an
  4. Manger une fois tous les deux jours un repas avec viande, poulet, poisson ou Êquivalent vÊgÊtarien
  5. Faire face à des charges financières imprÊvues
  6. Avoir un tĂŠlĂŠphone (y compris le tĂŠlĂŠphone mobile)
  7. Avoir un tĂŠlĂŠviseur couleur
  8. Avoir une machine Ă  laver
  9. Avoir une voiture

En prenant en compte cette notion de privation, « seulement » 5,1% des français sont alors considĂŠrĂŠs comme pauvre (contre plus de 14% avec la mesure relative de l’INSEE – voir graphique ci-dessous pour un comparatif du taux de privation dans diffĂŠrents pays). De plus, les questions ĂŠtant les mĂŞmes pour l’ensemble des pays, une comparaison internationale est alors plus facile qu’avec la notion de pauvretĂŠ relative (qui dĂŠpend du revenu mĂŠdian du pays) et les problĂŠmatiques de paritĂŠ de pouvoir d’achat sont indirectement intĂŠgrĂŠes. L’INSEE utilise d’ailleurs aussi un indicateur de pauvretĂŠ en condition de vie pour complĂŠter l’approche monĂŠtaire (voir par exemple « INSEE – PauvretĂŠ en conditions de vie« ) qui ressemble pas mal Ă  celui d’Eurostat mais en mettant l’accent sur les restrictions de consommation, les retards de paiements, l’insuffisance des ressources et les difficultĂŠs de logement.

taux-privation

Mais pour revenir au taux de pauvretĂŠ calculĂŠ de manière relative, et pour complĂŠter son argumentation sur « pourquoi le Captain’ n’aime pas trop cet indicateur relatif », voici un comparatif du taux de pauvretĂŠ en Europe en prenant donc en compte le pourcentage de population dans chaque pays ayant un niveau de vie infĂŠrieur Ă  60% du niveau de vie mĂŠdian de ce pays (source : « INSEE« ).

europe-pauvrete-seuil

Avec ce genre d’indicateur, et si l’on ne fait pas attention Ă  la manière dont le taux de pauvretĂŠ est calculĂŠ, on se retrouve Ă  penser que le taux de pauvretĂŠ en Espagne est similaire Ă  celui de la Bulgarie, la Grèce ou la Roumanie… Mais si on regarde le niveau de vie moyen ou le taux de privation (graphique ci-dessus), il est assez simple de voir qu’en rĂŠalitĂŠ, le taux de pauvretĂŠ est nettement infĂŠrieur en Espagne qu’en Bulgarie (et si vous avez voyage dans les deux pays, il y a peu de dĂŠbat lĂ  dessus). Attention, le Captain’ ne dit pas qu’il n’y a pas de pauvre en Espagne ou que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais simplement qu’une carte telle que celle ci-dessus n’a en rĂŠalitĂŠ pas beaucoup de sens (en tout cas en tant que mesure de la pauvretĂŠ).

Conclusion : Un indicateur n’est ni bon ni mauvais : un indicateur sert simplement Ă  mesurer une situation donnĂŠe… Ensuite, pour que cela ait de la valeur, il faut ĂŞtre capable d’analyser et de « faire parler » cet indicateur. Le problème avec le taux de pauvretĂŠ mesurĂŠ de manière relative est que l’interprĂŠtation est assez complexe et que le lien entre « le taux de pauvretĂŠ baisse » et « les pauvres sont moins pauvres » n’est pas direct ! Bien que la mesure des privations ou la mesure absolue aient aussi des dĂŠfauts, cela se rapproche davantage, selon le Captain’, du concept de « taux de pauvretĂŠ » tel qu’il pourrait ĂŞtre imaginĂŠ par un individu n’ayant pas de connaissances poussĂŠes en statistiques ou en ĂŠconomie. Dans le meilleur des mondes, il faudrait donc regarder en parallèle l’ĂŠvolution de ces trois indicateurs, afin d’avoir une meilleure comprĂŠhension globale de la pauvretĂŠ dans un pays donnĂŠ, tout en pouvant comparer l’ĂŠvolution par rapport Ă  ses voisins et ĂŞtre capable de mesurer si la pauvretĂŠ diminue ou non dans le temps. VoilĂ , la prochaine fois qu’un de vos amis vous dira « je suis pauvre en ce moment », vous aurez de quoi argumenter pas mal sur cette notion de pauvretĂŠ relative, absolue ou de privation (le pote relou de base !)…

Source: captaineconomics

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Marx LĂŠnine terreur et cocaĂŻne

Le retour en France ce 10 dĂŠcembre de Serge Lazarevic, heureux dĂŠnouement d’une affaire qui traĂŽnait depuis trop longtemps, nous a rapprochĂŠs de douloureux souvenirs. Au moment de la libĂŠration d’Ingrid Betancourt, par exemple, les Français ont eu l’occasion de comprendre que les rĂŠseaux terroristes, en l’occurrence ceux des Farc se finançaient en partie par les prises d’otages, c’est-Ă -dire par des versements de rançons.

PubliĂŠe le 30 juillet une enquĂŞte du « New York Times » estimait Ă  et ĂŠgard Ă  plus de 105 millions de dollars le montant des rançons encaissĂŠes depuis 2008 par le seul groupe « al-QaĂŻda ». Les Français dĂŠtiendraient ainsi la triste première place avec des paiements cumulĂŠs de 58 millions de dollars, ce qui reprĂŠsentait au change de l’ĂŠtĂŠ dernier la valeur de 43 millions d’euros. Une coĂťteuse et peu honorable mĂŠdaille d’or dont on se passerait bien.

Qu’il s’agisse de ces islamo-terroristes ou de ceux de « l’État islamiste »Â leurs ressources n’ont pas manquĂŠ de se diversifier. Les « djihadistes » d’Irak et de Syrie par exemple s’appuient sur la contrebande du pĂŠtrole, au cours très attractif pour les acheteurs de 20 dollars le baril. Ceci a conduit les AmĂŠricains, engagĂŠs dans la lutte depuis aoĂťt, Ă  entreprendre avec succès de dĂŠtruire par des bombardements les installations de raffinage.

Autre exemple, quand on apprend que la secte Boko Haram au NigĂŠria annonce cyniquement, – ce que d’autres accomplissent plus discrètement, – à savoir qu’elle vend comme esclaves les lycĂŠennes enlevĂŠes par l’organisation on doit bien se reprĂŠsenter qu’il s’agit aussi, pour celle-ci, d’une source de revenus. Et cet ignoble commerce se retrouve dans un grand nombre de rĂŠgions oĂš règne ce mode d’action intrinsèquement pervers.

Par nature le terrorisme considère que tout est permis pour sa cause.

Au dĂŠpart, on retrouve cette idĂŠe commune Ă  beaucoup rĂŠvoltĂŠs qui se veulent des rĂŠvolutionnaires et qui en brandissent les drapeaux. « Eux » et « nous »Â : l’expression conduisait dĂŠjĂ  la ligne de conduite des nihilistes russes, de la secte de NetchaĂŻev. Celle-ci inspira Ă  DotoĂŻevski son roman « les PossĂŠdĂŠs/les DĂŠmons » qui servit, avec les fausses doctrines de Marx, de matrice au lĂŠninisme. « Eux » sont supposĂŠs toujours et en toutes circonstances, des « salauds », des exploiteurs, des ennemis du peuple, hier « fascistes », aujourd’hui « nĂŠo-libĂŠraux ». Donc cela permet Ă  « nous » d’utiliser, en invoquant au dĂŠpart « la Cause » non seulement n’importe quel moyen d’action mais aussi n’importe quelle mĂŠthode de financement.

Le narco-terrorisme en AmĂŠrique latine vient de la sorte au secours de la guĂŠrilla marxiste-lĂŠniniste.

Voici de la sorte ce que je trouve sur l’excellente chronique des ĂŠvĂŠnements courants que met en ligne l’Institut d’Histoire sociale ce 11 dĂŠcembre.

L’AFP, ce 8 dĂŠcembre diffusait une importante nouvelle en provenance de Bogota. Quoique reprise par certains mĂŠdias (« Le Parisien », « L’Express », etc) elle est sans doute passĂŠe inaperçue. Or, elle confirme matĂŠriellement le lien entre cette organisation terroriste d’extrĂŞme gauche et le trafic de drogue.

Plus d’une tonne de cocaĂŻne, attribuĂŠe Ă  la guĂŠrilla communiste des FARC, a ĂŠtĂŠ saisie au sud de la Colombie par les militaires près de la frontière avec l’Équateur, ont annoncĂŠ dimanche les autoritĂŠs colombiennes. « Des unitĂŠs de la marine ont saisi 1 123 kg de chlorhydrate de cocaĂŻne cachĂŠs dans une zone marĂŠcageuse Ă  l’embouchure du fleuve Mira Ă  une quarantaine de kilomètres au sud de Tumaco, dans le dĂŠpartement de NariĂąo. La cache appartient Ă  une unitĂŠ mobile des Forces armĂŠes rĂŠvolutionnaires de Colombie (FARC) »Â indique le communiquĂŠ des Forces navales du Pacifique.

La drogue rĂŠpartie en 1 168 paquets cachĂŠs Ă  l’intĂŠrieur de soixante sacs de fibres vĂŠgĂŠtales noires, atteint sur le marchĂŠ noir international une valeur estimĂŠe Ă  30 millions de dollars, prĂŠcise le communiquĂŠ. La marine colombienne a saisi en une annĂŠe, dans la rĂŠgion Pacifique, plus de trente tonnes de cocaĂŻne, selon la mĂŞme source.

Au total on se reportera Ă  l’ĂŠvaluation de l’agence des Nations Unies pour la lutte contre la drogue et le crime organisĂŠ. Cette institution estime Ă  cet ĂŠgard qu’après la Bolivie, gouvernĂŠe par le « cocalero »Â indianiste et marxiste Evo Morales les zones contrĂ´lĂŠes par la guĂŠrilla en Colombie constituent l’un des principaux producteurs de cocaĂŻne au monde et en ont produit environ 290 tonnes en 2013.

Après cela on aimerait que soient mises en perspective les prétendues révélations sur les méthodes et les mesures que les services de police ou de renseignement des pays occidentaux se trouvent, hélas, amenés à mettre en œuvre pour lutter contre la criminalité et la terreur.

Source: JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/

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Deux suicides de patron par jour!

Quand l’entreprise trĂŠbuche, ils tombent plus violemment et plus bas !.

Si les suicides des salariĂŠs de Orange, la Poste ou Renault font rĂŠgulièrement la une des journaux, il y a une profession qui met bien plus fin Ă  ses jour que toutes les autres, ce sont les dirigeants d’entreprises. Lorsqu’un salariĂŠ se donne la mort, l’information est traitĂŠ dans les journaux comme un fait de sociĂŠtĂŠ alors que le suicide d’un patron est gĂŠnĂŠralement considĂŠrĂŠ comme un simple fait divers.

Le patron est directement exposĂŠ aux alĂŠas. Il a investi ses ĂŠconomies dans son outil de travail. En cas de faillite, il se retrouve sans rien ! Il n’a pas droit aux indemnitĂŠs de chĂ´mage ; et parfois sa maison a ĂŠtĂŠ vendue pour payer les cautions personnelles … Il est alors confrontĂŠ Ă  plusieurs punitions qu’il n’a aucunement mĂŠritĂŠ comme ledĂŠpĂ´t de bilan, les conflits, parfois suivis de divorces, ou dĂŠpressions …

 

L’annĂŠe 2013 s’est avĂŠrĂŠe ĂŞtre une annĂŠe record absolue de dĂŠfaillance d’entreprises, avec des chiffres parallèles aux suicides d’entrepreneurs. Quand une entreprise va mal, la majoritĂŠ pense systĂŠmatiquement aux salariĂŠs mais on oublie la souffrance des patrons.

Plus impliquĂŠs et souvent moins protĂŠgĂŠs, les chefs d’entreprise en situation de faillite ou fermeture vivent plus intensĂŠment que les salariĂŠs ces conclusions comme d’insupportables ĂŠchecs personnels.

Dans l’opinion publique et mĂŠdiatique, le chef d’entreprise n’est jamais dĂŠpeint comme une victime. Et pourtant, confrontĂŠs Ă  une charge de responsabilitĂŠ plus importante que la plupart des salariĂŠs, et mis Ă  rude ĂŠpreuve par la crise ĂŠconomique, ils seraient, selon les calculs de l’Observatoire de la santĂŠ des dirigeants de PME, deux Ă  se suicider chaque jour.

 

C’est chez les agriculteurs indĂŠpendants Ă  leur compte que les taux de suicide sont les plus ĂŠlevĂŠs. EnfermĂŠs dans des campagnes, dans des activitĂŠs adjointe Ă  la solitude, le suicide est l’ĂŠgal du cancer ou des maladies cardiaques comme première cause de mortalitĂŠ de cette profession.

 

Que survienne un imprĂŠvu majeur, et la santĂŠ du chef d’entreprise peut se transformer rapidement en une situation grave. Dans son activitĂŠ de direction le chef d’entreprise dispose du choix de direction de son environnement, et il est rarement confrontĂŠ Ă  subir le choc d’un environnement sur lequel il n’a pas de pouvoir.

Un impayĂŠ, un contrĂ´le fiscal, un client ou salariĂŠ harceleur, la perte soudaine d’un gros client, un accident mortel d’un collaborateur, l’obligation de licencier plusieurs salariĂŠs font perdre Ă  l’entrepreneur ses envies, ses moyens et son assurance.

Deux patrons par jour se suicident en France.

En cas d’ĂŠchec, les dirigeants subissent non seulement le dĂŠpĂ´t de bilan, anĂŠantissement de toute une vie de travail, mais aussi parfois la saisie de leur maison et de leurs biens personnels. Un phĂŠnomène d’autant moins visible que les patrons ont tendance Ă  minimiser leurs problèmes de santĂŠ.

Les spĂŠcialistes de la souffrance au travail considèrent que la souffrance rĂŠsulte d’un ĂŠtat de domination. Le patron ĂŠtant le « dominant », il ne peut pas souffrir. Le dirigeant de PME est dans un management de proximitĂŠ. Lequel se distingue du « management second » en vigueur dans les grandes entreprises.

 

Les suicides de patrons, et notamment des dirigeants de PME, d’artisans ou de commerçants n’ont jamais ĂŠtĂŠ aussi nombreux.

Surendettement, dépôt de bilan, licenciements, contrôles fiscaux sont les premières raisons…

Le phĂŠnomène a pris tellement d’ampleur que de nombreux tribunaux de commerce mettent en place actuellement des cellules psychologiques d’accompagnement Ă  l’ĂŠchec…

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Augmentez les salaires de 80%. Dès la fin du mois.

Augmentez tous les salaires de 80%

Vous pensez Ă  une hĂŠrĂŠsie, un slogan ou de la dĂŠmagogie, ou un mot d’autre d’extrĂŞme gauche?  Non c’est du libĂŠralisme. Compte tenu des critiques de cette doctrine, il est vrai que vous ĂŞtes interloquĂŠs. En plus c’est possible dès maintenant. Ce n’est ni exagĂŠrĂŠ ni irrĂŠaliste. Augmenter tous les salaires NET de 80% est rĂŠalisable dès la fin de ce mois.

Un système paternaliste dĂŠresponsabilisant perdure depuis 1941. La cotisation sur le salaire. En 1941, le rĂŠgime de Vichy a instaurĂŠ les premières cotisations obligatoires. De 11,4% en 1941, elles sont arrivĂŠ Ă  environ 80% en 2013. Et ce n’est qu’une moyenne. Dans le BTP ou d’autres corporations, elles dĂŠpassent le double du salaire net. Elles ont pris 1% par an d’augmentation moyenne pendant 72 ans. Le multiplicateur de coĂťt salarial est passĂŠ de 1,11 en 1941, sous le gouvernement Vichy, Ă  1,80 aujourd’hui. Ce système inflationniste n’a aucune raison de perdurer. Il faut en prendre conscience pour le stopper. La solution c’est le salaire direct. Il responsable, lĂ  ou la cotisation est le summum de la dĂŠresponsabilisation.

Le tribut infligĂŠ au travail est ainsi occultĂŠ par les cotisations. Car toutes les cotisations, aussi bien « patronales » que « salariales » sont prĂŠlevĂŠes sur le coĂťt ĂŠconomique du travail. Recevez maintenant votre salaire rĂŠel. On vous considère comme des enfants irresponsables. Incapables de comprendre une assurance sur la santĂŠ ou la retraite. On a dĂŠresponsabilisĂŠ une gĂŠnĂŠration complète depuis 72 ans. Un système opaque en monopole, perdure et vous n’avez pas accès Ă  ce que vous payez rĂŠellement.

RĂŠpondez simplement Ă  cette question : quelle est la somme exacte que j’ai payĂŠ cette annĂŠe pour ma santĂŠ obligatoire en 2012? Pourtant vous pouvez rĂŠpondre Ă  ce que vous avez payĂŠ pour votre mutuelle, votre assurance voiture. La transparence de ce que vous donnez n’existe pas.

L’employeur n’est ni un agent d’un organisme social, ni un percepteur, ni un salariĂŠ de l’ĂŠtat. Ce n’est pas son mĂŠtier de collecter pour vous les recettes des organismes sociaux. Vous ĂŞtes des gens responsables, vous votez, mais on ne vous autorise pas Ă  dĂŠcider de votre santĂŠ ou votre retraite. Il est temps que les chefs d’entreprises doivent demandent la rĂŠvision des procĂŠdures qui en font percepteurs pour le compte des Urssaf, Assedic, sĂŠcu et autres. Il est temps que la population prenne ses responsabilitĂŠs et assume la rĂŠalitĂŠ de ses dĂŠpenses sociales. L’employeur n’en sera que plus compĂŠtitif.

La vraie libertĂŠ sociale s’appelle le salaire direct. Il libère l’employeur de la bureaucratie et responsabilise l’individu.

 ZĂŠro aides zĂŠro charges  pour l’entreprise ,  je suis responsable de mes intĂŠrĂŞts et assume mes responsabilitĂŠs  pour le salariĂŠ. Telle devrait ĂŞtre une sociĂŠtĂŠ harmonieuse ou l’un ne se dĂŠcharge pas sur l’autre. Les chefs d’entreprises doivent demander la rĂŠvision des procĂŠdures qui les font percepteurs pour le compte des organismes sociaux, les salariĂŠs doivent demander Ă  assumer leurs responsabilitĂŠ envers les organisme sociaux directement. Quand Hollande dĂŠcide le CICE, cela coĂťtera Ă  l’ĂŠtat 20 milliards et ne servira Ă  rien, les 3 entreprises les plus bĂŠnĂŠficiaires du CICE seront EDF, GDF, Vinci, deux monopoles semi ĂŠtatiques et un monopole autoroutier. Le salaire direct aurait un impact immĂŠdiat sur la compĂŠtitivitĂŠ des entreprises sans rien changer Ă  l’ĂŠconomie. Sauf son interprĂŠtation individuelle des coĂťts.

Les cotisations, les taxes, les impĂ´ts sont ou sociaux, ou solidaires, ou de solidaritĂŠ ou verts, ou ĂŠcologiques par leurs nom, mais dans la rĂŠalitĂŠ ce ne sont que de vulgaires taxes et des prĂŠlèvements obligatoires. La sĂŠcuritĂŠ sociale relève de ces mĂŞmes subterfuges de langage. Il faut en finir avec la croyance que parce que les cotisations ont dans leur nom  social  sont du social. La sacralisation de la sĂŠcu est un contre sens. La sĂŠcu n’a jamais soignĂŠ personne, elle ne gère que des flux financiers de cotisants envers des prestataires de santĂŠ. C’est une assurance maladie, ni plus ni moins. Le système qui se voudrait paternaliste pour ne pas ĂŞtre transparent et ne pas montrer ses tares.

RĂŠpondez Ă  la question : Quel est le montant que j’ai payĂŠ en 2012 de charges sociales obligatoire maladie ? Ou retraite? ou ChĂ´mage? Vous ĂŞtes incapables de le savoir. Dans le privĂŠ, le comptable, voir l’employeur peut dĂŠterminer assez prĂŠcisĂŠment. Dans la fonction publique, c’est un mistigri. La transparence n’est pas de mise.

Le salaire direct, c’est le salaire ultra transparent. Pour les salariĂŠs du privĂŠ, il ne devrait pas poser de problèmes, le salaire augmentera de 80%. Pour les fonctionnaires, le salaire devrait lui augmenter de 150%. En effet les rĂŠgimes spĂŠciaux constituent une rĂŠmunĂŠration cachĂŠe importante, ils sont statutaires et diffĂŠrenciĂŠs en droits. Le coĂťt actuel moyen supportĂŠ par l’ĂŠtat sur les bĂŠnĂŠficiaires de rĂŠgimes spĂŠciaux est de 150% du salaire net. C’est une moyenne, le dĂŠputĂŠ a une cotisation cachĂŠe de 300%. Son salaire devrait passer logiquement de 6700 Ă  26800€ par mois.

Le salaire direct aurait un autre avantage. Le passage sans contraintes d’un poste Ă  l’autre et des carrières riches et variĂŠes de diversitĂŠ ou de reclassement facilitĂŠs. Un passage de fonctionnaire Ă  salariĂŠ ou indĂŠpendant ne poserait aucun problème aux employeurs et aux caisses de retraite. 

Le salaire direct permettrai une prise de conscience des rĂŠalitĂŠs. Vous passerez d’une analyse ÂŤla santĂŠ c’est gratuit  Ă   la santĂŠ a un coĂťt .

Le jour oĂš les entreprises verseront directement l’intĂŠgralitĂŠ du coĂťt du travail Ă  leurs employĂŠs, soit une augmentation de la fiche de paye de 80%, ceux-ci militeront nĂŠcessairement pour l’abrogation effective des monopoles sociaux qui nous ruinent tous.

TerminĂŠ le salaire brut, il n’y a plus qu’une ligne sur la feuille de paye. Le choc de simplification c’est le salaire direct.

Pour en savoir plus : http://www.insolent.fr/2013/07/le-choc-liberateur-du-salaire-direct.html

http://lequidampost.fr/cice-du-caviar-au-cochons-les-exoneres-de-cotisations-sociales-toucheront-le-jackpot/

http://lequidampost.fr/augmentez-les-salaires-de-80-des-la-fin-du-mois/

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La transparence, la concurrence, c’est pas « open data » pour vos factures de santĂŠ.

Les pouvoirs publics français font tout pour empĂŞcher le droit des citoyens d’accĂŠder aux donnĂŠes publiques de santĂŠ (Open Data). Ils sont de plus en plus isolĂŠs dans le monde. Pratiquement les derniers au monde.

En France, l’Open data fait peur, on tergiverse, la transparence gêne, on se serre les coudes corporatistes entre copains. Ailleurs dans le monde, aux États-Unis par exemple, l’Open data en santé avance à grands pas.

Les pouvoirs publics sont opposés à l’ouverture des données pour masquer la défaillance de leur action, inutile de dire que les groupes de pression syndicaux de médecins y sont aussi peu favorable. L’élargissement de l’accès aux données de santé pourrait donner l’idée à des petits malins d’interroger les pratiques des professionnels de santé.

Les professionnels de santé disposent depuis 2007 d’un accès rien que pour eux aux données agrégées de l’Assurance-maladie via l’Institut Statistiques des Professionnels de Santé Libéraux (ISPL).

Des dizaines d’études dont le grand public n’a jamais été informé ont ainsi été réalisées par les médecins, pour les médecins. Le citoyen dans tout ça ? Il est prié de ne pas poser trop de questions.

Le débat sur l’Open data en santé est bloqué par les lobbys syndicaux des professionnels de santé.

Pendant ce temps, outre-Atlantique… Obama libère Ă  tout va. En mai, Kathleen Sibelius, secrĂŠtaire d’État du Department of Health and Human Services a annoncĂŠ le lancement d’une plateforme web permettant aux citoyens de comparer la facture pour les prestations les plus courantes dans chaque hĂ´pital du pays.

Vous imaginez bien qu’en France, qu’un outil qui permettrai pour chaque malade en France de savoir quel sera la facture de ses soins et choisir l’hĂ´pital qui lui permettrai de choisir le meilleur rapport qualitĂŠ prix, n’est pas le bienvenu dans l’esprit de ceux qui voient mal.

Les consommateurs n’ont aucune idée de ce que l’hôpital leur facture à eux ou bien à leur assurance pour une procédure donnée comme par exemple le replacement d’une prothèse de genou. Ils ne savent pas non plus quelles peuvent être les différences de tarifs au sein d’une même ville.

La publication de ces donnĂŠes permettrai de combler cette lacune.
L’ĂŠtat d’esprit amĂŠricain est ouvert Ă  la comparaison, bien diffĂŠrent de celui Français, qui fait confiance aux institutions. Une manière d’infantiliser contre le bon sens.

On est pourtant toujours « sans nouvelles » des cent caisses primaires d’Assurance-maladie que l’association  initiative transparence santĂŠ a contactĂŠ il y a maintenant deux semaines pour obtenir des donnĂŠes sur la consommation de Mediator .

Pourquoi l’Assurance-maladie se montre-t-elle si discrète sur les détails de son action dans la gestion de ce dossier ?

Poser la question, c’est un peu y répondre.

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Pourquoi n’y a t-il plus de papier toilette dans les magasins VĂŠnĂŠzuĂŠliens?

Le Venezuela est en rupture du plus fondamental des besoins primaires, du papier toilette. Une crise sans prĂŠcĂŠdent dans le pays. Les consommateurs VĂŠnĂŠzueliens luttent pour trouver du papier toilette depuis plusieurs semaines. Des queues importantes se font sur les produits de base. Les magasins sont en rupture de tout. C’est une catastrophe d’approvisionnement. Quand un magasin est livrĂŠ d’un camion complet, les gens se ruent, parfois cela donne lieu a des batailles rangĂŠes et deux heure après approvisionnement il n’y a plus rien.

La patience s’amenuise chez les consommateurs qui sont confrontĂŠs Ă  ces pĂŠnuries et ces longues files d’attente dans les supermarchĂŠs et les pharmacies.

Le mois dernier, l’indice de raretĂŠ

 du Venezuela a atteint son plus haut niveau depuis 2009, tandis que le taux d’inflation sur 12 mois a augmentĂŠ de près de 30%. Les consommateurs passent plusieurs jours la recherche de simples produits de base, et le s achètent en quantitĂŠ quand ils les trouvent.

Et s’il n’y avait que le papier toilette, les ĂŠglises ne donnent plus d’offrande, le vin, le blĂŠ le pain, les fruits les lĂŠgumes viennent Ă  manquer. C’est une catastrophe d’approvisionnement, et c’est pas près de s’arrĂŞter…..

 

Mais pourquoi en sont ils arrivÊs là ?

A man carries toilet paper at a supermarket in Caracas Il leur arrive exactement la mĂŞme chose que dans tous les pays d’ĂŠconomie administrĂŠe. Ils sont en train de connaĂŽtre ce qu’on connu l’ex-URSS et que connaĂŽt Cuba depuis Castro. Des magasins vides. Des queues importantes devant les magasins. Et le refus de comprendre la règle de base ĂŠconomique, connue de tous: l’interventionnisme ĂŠtatique dĂŠrĂŠgule le marchĂŠ et crèe la pĂŠnurie.

 

 

1-Distribution

La distribution au Venezuela a ĂŠtĂŠ nationalisĂŠ sous Chavez. Le gouvernement a expropriĂŠ des compagnies de distribution ostracisĂŠes et t

axÊes de spÊculatrices, comme les hypermarchÊs Exito, filiale du français Casino, ou le groupe alimentaire Monaca, appartenant au mexicain Gruma.

Ces groupes spoliés sont partis avec leur savoir faire, leurs carnets de fournisseurs, leur centrale d’achat internationale, leurs référencements et leurs méthode de gestion au cordeau.

La concurrence agissait comme un frein contre l’inflation, mais nationalisĂŠ les prix montent en flèche. Certain prix sont ÂŤcontrĂ´lĂŠsÂť par l’ĂŠtat, mais l’ĂŠtat ne peut contrĂ´ler les largeurs de gamme. Les postes dans les magasins devenus ĂŠtatiques ont ĂŠtĂŠ donnĂŠs aux  amis de la rĂŠvolution  en prioritĂŠ. Mais un  ami de la rĂŠvolution  fonctionnarisĂŠ ne fait pas un commerçant avisĂŠ ou un gestionnaire de stock prĂŠvoyant.

 

VENEZUELA-COMMODITIES-SHORTAGE2-ContrĂ´le des changes.

Chavez a renforcĂŠ la mainmise d’état sur l’allocation de dollars US. En AmĂŠrique latine, l’utilisation de dollars permet de se procurer des importations. Il en a interdit la procession. Les PME ne peuvent accĂŠder aux importations, les magasins ĂŠprouvent des difficultĂŠs pour se fournir en devises et donc de marchandise Ă  l’importation. Comme le gouvernement VĂŠnĂŠzuĂŠlien est incontrĂ´lable, et peu dĂŠcrĂŠter une nationalisation sur un coup de tĂŞte d’un dirigeant, la solvabilitĂŠ des entreprises du Venezuela est faible, et les fournisseurs ĂŠtranger exigent un paiement d’avance.

 

VenezuelaGroceryStore33-Inflation

Le Bolivar ne vaut rien. Les ĂŠtatistes au pouvoir n’ont pas compris que crĂŠer de la monnaie pour payer les factures crĂŠait de l’inflation. L’inflation c’est la baisse de la valeur de la monnaie au fur et a mesure qu’il y a production de billets. Le VĂŠnĂŠzuela produit tellement de Bolivar qu’il est le premier pays inflationniste du monde. Le prix du baril de lessive du lundi, vaut 10% de plus en fin de semaine et c’est comme cela toutes les semaines. Celui qui a les moyens achète des stocks et alimente un marchĂŠ noir florissant en ĂŠcoulant ses stock plus tard. Par contre les unitĂŠs de production ne produisent plus rien. La matière première avec de telles variation de cours n’a plus de valeur rĂŠelle, les prix de vente ne peuvent se gĂŠrer correctement. Les usines ferment les unes derrière les autres.

 

4-Produits agricoles

La nationalisation des terres a engendrĂŠ un dĂŠsastre sans prĂŠcĂŠdent dans la production. Il ne suffit pas de prendre la place et le tracteur du paysan pour faire du fonctionnaire qui le remplace un agriculteur avisĂŠ. Le Venezuela c’est une grande partie contiguĂŤ Ă  la foret Amazonienne. Un sol très fertile, un climat tropical avec des tempĂŠratures chaudes, une hydromĂŠtrie importante accentuĂŠ par des prĂŠcipitations violentes.

L’agriculture produit beaucoup, mais nĂŠcessite du travail important par des dĂŠfrichages rĂŠguliers. La nationalisation a engendrĂŠ un abandon de l’entretien des sols que rĂŠalisait auparavant les propriĂŠtaires agricoles privĂŠs, et en peu de temps, les champs sont redevenus des jungles tropicales. Le Venezuela ancien pays producteur aujourd’hui importe son cafĂŠ. Les lĂŠgumes et fruits ont disparus des supermarchĂŠs et s’achètent qu’au noir sur les marchĂŠs privĂŠs.

 

VenezuelaGroceryStore45-Le contrĂ´le des prix

La mainmise de l’ĂŠtat sur toute l’ĂŠconomie a rendu la population dĂŠpendante, bien que de l’autre ĂŠmergence de profiteurs d’un marchĂŠ noir que cette politique a engendrĂŠ, ou de serviteurs zĂŠlĂŠs qui elle seule a le droit d’ouvrir des comptes Ă  l’étranger en dollars.

C’est toujours ce qui est arrivĂŠ et arrive toujours avec ces politiques ĂŠtatistes, le contrĂ´le des prix, gĂŠnère des  faux prix  qui n’ont pas de corrĂŠlation avec l’ĂŠconomie rĂŠelle.

Quand les prix qui sont fixĂŠs en dessous ou au dessus du prix d’ĂŠquilibre du marchĂŠ. C’est une loi ĂŠconomique de base, cela donne toujours lieu Ă  des pĂŠnuries.

 

Le problème de la pĂŠnurie au Venezuela ne fera que s’aggraver, comme il l’a fait au fil des ans dans l’Union soviĂŠtiqueÂť, et dans tous les pays Ă  ĂŠconomie administrĂŠe.

 

Le gouvernement a annoncĂŠ cette semaine qu’il importera 760.000 tonnes de nourriture en plus de 50 millions de rouleaux de papier hygiĂŠnique, sans imaginer que la cause de cette pĂŠnurie c’est lui.

Nicolas Maduro, qui a ĂŠtĂŠ choisi par la mort Hugo ChĂĄvez Ă  poursuivre sa « rĂŠvolution bolivarienne », se contente de crier au loup sur l’opposition ou la CIA. Il semble plus occupĂŠ a crĂŠer une  milice armĂŠe  pour empĂŞcher un changement dĂŠmocratique prĂŠvisible inĂŠvitable.   

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Halte aux clichĂŠs. Un retraitĂŠ aux USA est bien mieux traitĂŠ qu’en France.

La retraite aux USA est justice, rĂŠpartition, publique et universelle.

Il y a un tel anti amĂŠricanisme en France que les gens parlent souvent et ĂŠcrivent sans savoir. C’est affligeant autan que dĂŠconcertant de l’absence de sens critique.

On est toujours FrappĂŠ de l’ignorance des Français sur la retraite des systèmes sociaux aux USA vĂŠhiculĂŠs par l’idĂŠologie, hĂŠlas tellement loin des rĂŠalitĂŠs.

 

Les Français sont persuadĂŠs que les USA disposent d’un rĂŠgime par capitalisation uniquement? qui met dans la rue les vieillards et les malheureux.

Il n’y a rien de plus faux. 

 

La retraite aux USA s’appelle la « Old Age Survivors Insurance », OASI .

La retraite OASI aux USA est publique, par rĂŠpartition et universelle.

Oui Oui, vous avez bien lu! Par rĂŠpartition, universelle et publique.

 

L’assurance retraite OASI est conçue pour permettre un revenu de remplacement Ă  la retraite calibrĂŠ proportionnellement au revenu gagnĂŠ pendant sa carrière. Ni plus ni moins. 

 

Elle est universelle puisqu’elle touche 96% des amĂŠricains. Elle concerne tout le monde, les travailleurs salariĂŠs du public, les travailleurs salariĂŠs du privĂŠ, les professionnels indĂŠpendants.

On peut passer de salariĂŠ du privĂŠ a fonctionnaire ou indĂŠpendant, la retraite est toujours identique et vous suit partout. Elle ne pose aucun problème aux changement de carrière ou d’ĂŠvolutions de vie. Pas de « polypensionnĂŠs »Â aux USA.

 

Les coĂťts de gestion sont 3 Ă  6 fois infĂŠrieurs Ă  la rĂŠpartition Française. Ils reprĂŠsentent 0,6% de la collecte lĂ  ou c’est 1,8% au mieux, 3,5% au pire selon la caisse en France. L’ĂŠconomie de gestion reprĂŠsente pour le peuple AmĂŠricain plusieurs milliards.

Aucune cotisation sur la tranche au dessus de 8900USD par mois.

Le taux de cotisation OASI est universel, Ă  12,4% indiffĂŠrenciĂŠ du salaire complet. A cela s’ajoute une cotisation sur le salaire complet de 1,45% pour  MĂŠdicaire  pour payer aux retraitĂŠs leurs soins mĂŠdicaux.

MĂŠdicaire assure aussi les soins pour les sans emploi, les prĂŠcaires et ceux qui en font la demande. La CMU Française s’en est inspirĂŠe.

 

L’assurance santĂŠ est privĂŠe pour les actifs, souvent nĂŠgociĂŠe en contrats collectifs au niveau de l’entreprise.

 

L’assiette de pension pour calculer l’assurance par rĂŠpartition retraite OASI se fait sur la moyenne des 420 meilleurs revenus professionnels de cotisation. La  dĂŠcote  qui inflige une peine abjecte et scandaleuse aux carrières courtes Françaises, Ă  celui qui a moins cotisĂŠ n’existe pas. Pas plus de  surcote  pour des groupes de pression n’existe.

 

Les rĂŠfĂŠrences de calcul pour ĂŠtablir les pensions sont les 420 meilleurs mois de sa vie. Et non pas des trimestres comme en France.

L’age lĂŠgal de dĂŠpart est dĂŠfinit en fonction de l’annĂŠe de naissance, vous ĂŞtes libre a partir de 62 ans. Pas en fonction de vos annĂŠes de cotisation.

 

 

Exemple chiffrÊ: un salariÊ ayant gagnÊ 1200 USD par mois dans sa vie part à la retraite avec 819 USD par mois, soit un taux de remplacement de 68%. Mieux que les 55% Français du rÊgime gÊnÊral. Si le travailleur amÊricain reste plus et attend 68 ans il part avec 1080 USD un taux de remplacement à 90% de son salaire.

 

Chaque AmĂŠricain est libre d’obtenir plus Ă  la retraite en cotisant aux fonds de pension (retraite complĂŠmentaire) proposĂŠs par les employeurs ou individuellement.

C’est une logique ou au delĂ  d’un certain seuil les haut revenus se dĂŠbrouillent seuls.

 

Les tables de projection sont calculĂŠes Ă  l’avance pour une anticipation sur 75 ans. Les remises en cause sont rares. La peur de ne pas ĂŞtre payĂŠ un jour comme en France n’existe pas. La dernière augmentation de taux de cotisation date de l’ère Reagan.

Les ressources sont excĂŠdentaires chaque annĂŠe, et les rĂŠserves sont placĂŠes en transparence, principalement en obligations d’ĂŠtat et dans des placements rĂŠglementĂŠs sans risques.

 

La mĂŞme règle de droit s’applique Ă  tous. Aucune distorsion ou favoritisme pour quelque raison que ce soit du système existe. Les rĂŠgimes spĂŠciaux sont inexistants, les caisses spĂŠcialisĂŠes ou par corporation n’existent pas. Envisager une dĂŠrogation, mĂŞme partielle, pour un AmĂŠricain relèverait de l’inĂŠgalitĂŠ et de l’injustice. Loin de la pensĂŠe de toute une ĂŠlite Française.

Les pensionnaires de la retraite AmĂŠricaine OASI obtiennent Ă  l’age de la retraite, l’assurance santĂŠ gratuite  MĂŠdacaire . Les pensionnaires retraitĂŠs de OASI ne cotisent pas Ă  la retraite. Les retraites sont versĂŠes brutes.  MĂŠdicaire assure aussi la solidaritĂŠ de la santĂŠ des non travailleurs AmĂŠricains (type CMU) en France.

 

Loin des clichÊs, la retraite aux USA est bien meilleure que pour les retraitÊs et cotisants Français.

La santĂŠ reste a charge pour les actifs, elle est gĂŠnĂŠralement prise dans des accords collectifs d’assurance par les employeurs.

Avec cet article, peut ĂŞtre que vous allez regarder a 2 fois avant de critiquer le système AmĂŠricain. Le monde n’est pas rouge ou noir. C’est plus compliquĂŠ que les clichĂŠs.

Quelques sources: rapport du professeur Jacque Bichot « Enquète sur OASI »

comparez votre feuille de paye a un AmĂŠricain

Un retraitĂŠ aux USA est bien mieux traitĂŠ qu’un retraitĂŠ Français

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Les chiffres! Les chiffres! Rien que des chiffres pour comprendre!

Les chiffres valent mieux qu’un long discourt.

  • Le total des impĂ´ts et des ressources annuelles de l’ĂŠtat est de 376 milliards.
  • Le triple net rĂŠel des ressources de l’ĂŠtat est de 219 milliards. (-subventions aux collectivitĂŠs, -participation CEE, – impĂ´t nĂŠgatif ).
  • Les dĂŠpenses annuelles de l’ĂŠtat sont de 294 milliards.
  • Le dĂŠficit annuel de l’ĂŠtat est de 79 milliards. Chaque annĂŠe  27% du budget n’est pas provisionnĂŠ.
  • Ça fait 40 ans d’affilĂŠe qu’on a des budgets en dĂŠficit.
  • Le dernier trimestre de chaque annĂŠe, la France vit Ă  crĂŠdit. Les fonctionnaires sont payĂŠs par l’emprunt.
  • 0.1% de croissance envisagĂŠe. Il faut 2.5% de croissance pour simplement commencer a rembourser de la dette.
  • Pour la première fois depuis la guerre, le pouvoir d’achat a baissĂŠ en 2012. -0.4% pour les mĂŠnages, et -1% pour les seuls ou cĂŠlibataires.
  • 46.7% des foyers Français ne payent pas d’impĂ´ts sur le revenu.

 

  • Les dĂŠpenses publiques annuelles hexagonales depuis 1973 ont gĂŠnĂŠrĂŠ une dette qui augmente en permanence:
  • – en 2010 : 1 094 milliards d’euros
  • – en 2011 : 1 119 milliards d’euros
  • – en 2012 : 1 149 milliards d’euros
  • Les collectivitĂŠs locales, ont contractÊ 174 milliards de dettes.
  • 5500 villes ont contractĂŠs pour 24 milliards d’emprunts dit « toxiques ».
  • L’État est caution, Ă  hauteur de plus de 170 milliards d’euros pour AREVA, EDF, ADP, GDF, France TĂŠlĂŠcom, La Poste, SNCF, etc….Toutes ces entreprises ne sont pas en forme.
  • L’ĂŠtat est garant des dĂŠpĂ´ts bancaires. Les banques Françaises ont de mauvais bilans.
  • La France est le premier pays emprunteur d’Europe.
  • La dette cumulĂŠe entraĂŽne chaque annĂŠe 60 milliards d’euros d’intĂŠrĂŞts, nous empruntons  pour les payer…

 

  • La SĂŠcuritĂŠ Sociale, accumule un dĂŠficit Ă  hauteur de 210 milliards d’euros.
  • La Caisse Maladie a vendu la totalitĂŠ de son patrimoine immobilier elle n’a plus aucun actif.
  • Les retraites n’ont jamais ĂŠtĂŠ provisionnĂŠes.  900 milliards d’euros pour les fonctionnaires, 3600 milliards pour celles du secteur privĂŠ.
  • Il y a 2.2 millions de fonctionnaires actif pour 2.3 millions de fonctionnaires en retraite. En rĂŠgimes dĂŠrogatoires spĂŠciaux.
  • Il faut 3 cotisants actifs pour financer 70% de la pension d’un retraitĂŠ dans le privĂŠ.
  • Il faut 5 cotisants actifs pour financer 70% de la pension d’un retraitĂŠ dans le public.
  • 500 000 nouveaux retraitĂŠs en 2012. En 2003 il y en avait 125 000. La croissance  annuelle est Ă  2 chiffres. 
  • Le rĂŠgime par rĂŠpartition en dessous de 3 cotisants pour 1 retraitĂŠ n’est pas viable. Avec l’ĂŠvolution dĂŠmographique elle est obligatoirement condamnĂŠe.

 

  • L’ĂŠcole et l’enseignement supĂŠrieur reprĂŠsentent ensemble 150 milliards (hors social et retraite). Soit 69% des ressources triple net de l’ĂŠtat (219 milliards).
  • Il ne reste que 69 milliards pour payer la totalitĂŠ des services de l’ĂŠtat. Administration, aide publique, culture, dĂŠfense, ĂŠcologie, ĂŠconomie, justice, outre mer, travail, logement sport, sĂŠcuritĂŠ etc…Largement insuffisant.
  • 63% des enfants d’enseignants obtiennent un diplĂ´me au moins ĂŠgal Ă  bac + 3, contre 52% des enfants de cadres.
  • 98 000 enseignants (+5%) sont payĂŠs Ă  autre chose qu’enseigner et  n’ont pas de classe affectĂŠe.
  •  260.000 Êtudiants ĂŠtrangers sont formĂŠs par la France.
  • 50.000 nouveaux ĂŠtudiants ĂŠtrangers s’ajouteront en 2013.

 

  • Il y a 5 millions de chĂ´meurs toutes catĂŠgories confondues.
  • l’assurance chĂ´mage c’est 36 milliards d’euros, dont 27 pour les allocations et 9 pour le fonctionnement.
  • Notre pays comptabilise 26 millions d’actifs de 65 millions d’individus.
  • 5,3 millions ont un emploi Ă  vie: fonctionnaire d’Etat, Territoriaux,de santĂŠ, et rĂŠgimes spĂŠciaux…)
  • 1 jeune sur 4 sorti de l’ĂŠducation nationale est inemployable en l’ĂŠtat, et dĂŠmarre chĂ´meur dans la vie.
  • 6,3 millions de personnes « vivent » des minima CMU-RSA, prĂŠvision de 7 millions en fin d’annĂŠe.

 

  • Le code du travail comporte plus de 10 000 articles, 2800 pages, 8 tomes, classĂŠes en Livres, Titres, Chapitres, Sections, et Paragraphes, et en dernier les articles, (celui de la Suisse n’en possède que 54 articles).
  • 3,6 millions d’entreprises en France. 63% ont moins de 10 ans.
  • 67% des entreprises Françaises ont 0 salariĂŠs.
  • 82% des nouvelles embauches sont des CDD.
  • Les embauche en CDI ont chĂťtĂŠs de 10% en un an.
  • La feuille de paye avait 23 lignes fin 2012.

 

  • Le dĂŠficit des allocations familiales est de 2.2 milliards.
  • 33% des allocations et prestations sociales d’ayants droit ne sont pas rĂŠclamĂŠes.
  • Notre pays est le plus grand paradis social d’Europe  pour les plus pauvres de la terre.
  • En AlgĂŠrie, le salaire mensuel  mĂŠdian est de 80€, au Mali de 36€. Quand un migrant de ces pays arrive, il bĂŠnĂŠficie de l’allocation ATA de 336€, l’accès au logement prioritaire, la santĂŠ AME est gratuite.
  •  Seuls 12% des immigrĂŠs lĂŠgaux hors CEE viennent pour le travail. l’immigration peu qualifiĂŠe est majoritaire.
  • 88% des immigrĂŠs lĂŠgaux hors CEE viennent pour d’autres raisons, regroupement, mariage etc…
  • La France accorde  2 millions de Visa par An.

 

  • 62% des entreprises de moins de 2,5 millions d’euros de chiffre d’affaires n’ont qu’un seul partenaire bancaire.
  • 60.000 entreprises ont dĂŠposĂŠ le bilan en 2012, en hausse de 2,7% par rapport Ă  2011.
  • Le dĂŠficit commercial Français 2012 est de 67,5 milliards d’euros. record historique.
  • Notre pays est un enfer fiscal pour les investisseurs, la cession des plus values est taxĂŠe dans certains cas à 64.9% et doivent ĂŞtre comparĂŠs aux 0% en Suisse, Belgique, ou Pays bas.
  • Plongeon du  capital risque investi en France 9.7 milliards en 2011, 6 milliards en 2012.
  • Plongeon des investissements ĂŠtranger en capital risque. passage de 50% Ă  30% des capitaux levĂŠs en un an.
  • l’investissement dans les entreprises a reculĂŠ de 0,5% en 2012.

 

On ĂŠtĂŠ exclus de ces chiffres le PIB, puisque c’est un agrĂŠgat artificiel ,qui  biaise la rĂŠalitĂŠ ĂŠconomique utilisĂŠ par les politiciens pour masquer la rĂŠalitĂŠ ĂŠconomique.

La richesse d’un pays n’est pas mesurable, il n’existe pas d’instrument pour mesurer le bĂŠnĂŠvolat, le travail au noir, les travaux personnels et la dĂŠprĂŠciation.

 

Qu’en conclure?…….Normalement la faillite de l’ĂŠtat est proche.

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