Si vous engagez avec des quidams un dialogue sur le CO2, bien souvent on vous discutera fumĂŠe, industrie et autre. On voit bien que lâhystĂŠrie climatique est maintenant accaparĂŠe par les politiciens, c’est un enjeu politique et que l’information rĂŠelle est biaisĂŠe de tous les cotĂŠs et il faut se faire sa propre impression.
En fait la fumĂŠe, l’industrie c’est de la pollution. Le CO2 lui n’est pas un polluant, c’est un gaz inodore, incolore et invisible Ă nos yeux, issu de la combustion du carbone qui se trouve dans les ĂŠlĂŠments naturels.
Nous rejetons du CO2 par la respiration. La respiration n’est pas une pollution. Le CO2 ne pollue pas, il faut le diffĂŠrencier des particules fines, des fumĂŠes nocives ou des rejets de plastique. Le CO2 nâest pas dangereux pour lâhomme mĂŞme s’il ĂŠtait Ă un niveau de 10 Ă 20 fois les niveaux actuels.
Il est nĂŠcessaire de vulgariser et essayer de simplifier les faits pour en dĂŠbattre.
RÊsumÊ de la pensÊe unique :
Voici donc la prÊsentation factuelle de ce qui vous est vendu matin, midi et soir mÊdiatiquement et politiquement correct :
Le monde depuis 150 ans a Êmis du CO2 plus que dans les 1000 ans qui on prÊcÊdÊ et cela entraÎne un rÊchauffement climatique. Notre atmosphère a pris 0,02% de CO2 en plus et ne serait plus identique à 99,98% près..
Les traces supplĂŠmentaires gazeuses de CO2 dans l’atmosphère provoqueraient selon le GIEC un ÂŤÂ effet de serre , qui rĂŠchauffe la planète. Le CO2 ĂŠtant un gaz opaque aux ondes infrarouges dans un spectre invisible Ă nos yeux.
L’infrarouge fait partie du spectre ÊlectromagnĂŠtique. C’est la plus grande source d’ĂŠnergie qui nous vient du soleil.
L’infrarouge est l’onde qui provoque le rayonnement calorifique des matĂŠriaux et assure le transport de la chaleur dans l’espace.
Le CO2 bloquerait donc Ă haute altitude les infrarouges terrestres ĂŠmis par les matĂŠriaux de la terre et le rĂŠflĂŠchissement de ceux ĂŠmis par les rayons de soleil. Le CO2 empĂŞcherait donc d’ĂŠvacuer dans l’espace l’infrarouge et rĂŠchaufferait la terre, ce qui est accusĂŠ d’augmenter la tempĂŠrature moyenne au sol.
Cette augmentation de tempĂŠrature est accusĂŠe de crĂŠer des tors horribles et affreux au futur sur la terre, et nĂŠcessite un interventionnisme ĂŠtatique et politicien pour enlever des libertĂŠs, rĂŠduire l’ĂŠconomie de marchĂŠ qui a tirĂŠ son expansion ĂŠconomique pendant des annĂŠes des matières premières naturelles dites ÂŤÂ fossiles , avec des objectifs farfelus de rĂŠduction Ă obtenir dans 20ans Ă un coĂťt social et ĂŠconomique pharamineux.
Les ĂŠtats, les politiciens, par la force coercitive des impĂ´ts, des normes environnementales, et lois liberticides, doivent contraindre les habitants a transfĂŠrer leurs richesses vers une transformation ĂŠnergĂŠtique et sociĂŠtale qui sera dirigĂŠ par des politiciens et intellectuels avisĂŠs qui ont le sens de la responsabilitĂŠ et de lâintĂŠrĂŞt gĂŠnĂŠral et global plus que vous..
C’est le rĂŠsumĂŠ gĂŠnĂŠrique du matraquage mĂŠdiatique quotidien Ă quelques dĂŠtails marginaux près.
Mais ! car il y a des  mais . Il existe des controverses quasi non mÊdiatisÊes sur le CO2 et le rÊchauffement et le malheur futur de la terre.
Les effets positifs du CO2.
a) Le CO2Â rĂŠduit les zones dĂŠsertiques et provoque le verdissement..
Lorsque les concentrations de CO2 augmentent, les plantes produisent automatiquement moins de stomates car elles sont alors en mesure dâobtenir suffisamment du CO2 avec moins dâefforts pour transformer de l’eau et le CO2 en glucose par la photosynthèse.
L’ĂŠnergie ĂŠconomisĂŠe Ă travers les stomates rĂŠduit la perte dâeau et permet Ă la mĂŞme espèce de plante de survivre et ĂŠvoluer dans des endroits plus chaud et secs tout en amĂŠliorant sa production et sa pousse. Les dĂŠserts, les zones arides sont plus propices Ă lâinstallation des plantes et donc de la vie. C’est un bienfait pour l’humanitĂŠ, les pays chauds, les zones dĂŠsertiques.
La terre verdit partout. La vie s’ĂŠtend encore plus partout. La verdure augmente lâoxygène et nous vivons mieux dans un air plus respirable. Les terres arides impropres Ă la vie deviennent plus rares. La biologie le dit : les plantes poussent mieux dans des conditions plus chaudes, plus humides.
Les augmentations de CO2 provoquent donc une augmentation de la quantitĂŠ d’arbres et de plantes.
b) Le CO2 amĂŠliore la qualitĂŠ de nos aliments et la productivitĂŠ agricole
Les plantes se nourrissent du CO2. Elles produisent du glucose Ă partir d’un mĂŠlange de gaz carbonique( CO2) et d’eau (H2O) par un processus chimique. Processus que l’on distingue par la couleur verte des plantes et des arbres.
Pour briser les liaisons atomiques du CO2 et de l’eau il faut de l’ĂŠnergie. C’est pour cela que les rĂŠactions photosynthĂŠtiques des arbres et plantes sont surtout majoritairement dans l’infrarouge.
Et justement un rĂŠchauffement climatique augmente la quantitĂŠ d’infrarouge de notre environnement. L’effet de serre est donc une bonne nouvelle pour la productivitĂŠ mondiale agricole et les carences alimentaires. Les plantes absorbent le CO2 et le transforme en nutrition de plus en plus quantitative et qualitative.
Mettez une lampe infrarouge au dessus de vos tomates, elles seront plus juteuses, belles et sucrĂŠes.
Dans les serres industrialisĂŠes, on ajoute du CO2 pour favoriser et amplifier l’effet du blocage de l’infrarouge par les vitres et augmenter le rendement et la floraison des plantes.
En rĂŠsumĂŠ le CO2 augmente la vie, le dĂŠveloppement de la vie il est favorable Ă la vie, aux fruits, aux lĂŠgumes, aux animaux et aux hommes. Et en plus, il fait effet levier sur la nature et incite les plantes Ă son ĂŠlimination . Le CO2 engendre un cycle vertueux ĂŠcologique de destruction crĂŠative.
c)Le CO2 fait faiblir les ĂŠvĂŠnements climatiques ĂŠoliens.
Le vent se forme de la diffĂŠrence de tempĂŠrature entre deux masses atmosphĂŠriques. La terre ĂŠtant recouverte au 2/3 d’ocĂŠans, la puissance des vents dĂŠpend de la diffĂŠrence de tempĂŠrature entre les ocĂŠans et lâatmosphère du Nord et du Sud Ă l’ĂŠquateur.
Comme la terre et les mers se rĂŠchauffent par le CO2, la diffĂŠrence est rĂŠduite et nous assisterons demain Ă moins de catastrophes climatiques dues aux vents.
Les ouragans, les cyclones, les tempĂŞtes seront moins frĂŠquents et plus faibles si la terre se rĂŠchauffe. Une chaleur plus importante sur terre nous est bĂŠnĂŠfique. Nous aurons moins de populations et victimes sinistrĂŠes par les vents.
Les catastrophes climatiques venteuses sont au contraire plus faible dans une atmosphère plus chaude. A l’inverse d’une propagande mĂŠdiatique qui ne fait aucun effort pour vĂŠrifier.
d)Le CO2 fait refroidir la tempĂŠrature au niveau du sol.
Vous ĂŞtes tellement conditionnĂŠ mĂŠdiatiquement que cette information va vous ĂŠpater. Mais vous pourrez verifier.
Il faut savoir aussi que les arbres et les plantes remplissent des fonctions climatiques. Ils absorbent le carbone, qu’ils extraient de l’atmosphère, crĂŠant un effet de refroidissement.
Ils puisent l’eau du sol, et de l’environnement qui s’ĂŠvapore dans l’atmosphère, crĂŠant des nuages ââbas reflĂŠtant les rayons chauds du soleil connu sous le nom d’ĂŠvapotranspiration,
Voyez la corrĂŠlation de la pluie abondante et la vĂŠgĂŠtation dans les zones vĂŠgĂŠtales, type Amazonie ou Jungles asiatiques ou africaines.
Le refroidissement par ĂŠvapotranspiration est un important frein a l’augmentation des tempĂŠratures dues Ă l’effet de serre et limite mĂŠcaniquement celui ci. Il n’y aura donc pas d’augmentation sur terre exagĂŠrĂŠe des tempĂŠratures avec cette rĂŠgulation naturelle. Argument souvent ignorĂŠ, le CO2 rĂŠgule Ă la hausse et aussi Ă la baisse les tempĂŠratures terrestres.
Il n’agit pas dans un seul sens comme le laissent supposer les apparences qu’on vous impose. Le rĂŠchauffement climatique est bloquĂŠ dans sa progression par l’ĂŠvapotranspiration naturelle de la nature et les tempĂŠratures ne peuvent monter que modĂŠrĂŠment sur terre. Le CO2 est vertueux, il contribue aussi a rĂŠduire la tempĂŠrature qu’on l’accuse d’avoir crĂŠĂŠ.
e)Les conclusions du GIEC sur le CO2 sont contestĂŠes
Le GIEC n’est pas un organisme scientifique mais un organisme statistique. Pour faire une statistique sur le climat il faut des donnĂŠes et une assiette de calculs fiables.
Les donnĂŠes de base des tempĂŠratures du GIEC avant 1970 sont des tempĂŠratures ÂŤÂ redressĂŠes , Il n’existait pas avant des balises de relevĂŠ ni de thermomètres de prĂŠcision ni en quantitĂŠ suffisantes. Le climat est extrĂŞmement complexe. Nul ne peut apprĂŠhender le climat dans sa complexitĂŠ, scientifiques, statisticiens et encore moins les gouvernants. Toute tentative rationnelle et globale de prĂŠvision du climat est vouĂŠ Ă l’ĂŠchec.
Le GIEC nâa pu et ne pourra parvenir Ă la comprĂŠhension dĂŠtaillĂŠe de lâensemble du mĂŠcanisme qui fait passer dâune moyenne de tempĂŠrature Ă une autre rationnellement. Les changements climatiques sont multifactoriels et fabuleusement complexes. La « crise climatique » est un affront Ă la science et Ă la logique.
Toutes les prĂŠvisions du GIEC d’hier sur notre ĂŠpoque, se sont avĂŠrĂŠes fausses. Sur les 100 modĂŠlisations informatiques quâil produit annuellment, absolument aucune nâa ĂŠtĂŠÂ confirmĂŠe par les mesures rĂŠellesâŚ
f) Les rĂŠsultats de la guerre contre le CO2 sont nuls
La cour de compte europĂŠenne l’a ĂŠcrit : ÂŤÂ Nous sommes parvenus Ă la conclusion qu’aucun des programmes CSC a rĂŠussit (CSC= Captage et Stockage du Carbone) .
Ils ont dĂŠpensĂŠÂ 2,1 milliard pour dire qu’on ne pouvait pas capter et stoker le CO2.
Avez vous la notion des chiffes ? 2,1 milliard.
C’est l’ĂŠquivalent du dernier chiffre d’affaire publiĂŠ de Amazon (2015) en France sur 12 millions de clients (Vous avez notĂŠ que c’est ÂŤÂ Chiffre d’affaire  pas bĂŠnĂŠfices ou marge)..
Vous n’auriez pas fait un meilleur usage de cet argent au lieu de leur donner Ă dĂŠpenser Ă des madame Irma du climat europĂŠen ? MĂŞme au niveau ĂŠtatique, si lâEurope avait donnĂŠ cet argent Ă la France, qui manque cruellement de prisons, nous aurions put financer l’ouverture de 42 prisons de 6000 places et ne plus ĂŞtre un pays condamnĂŠ par la cour des droits de l’homme.
Il ont rĂŠussit l’exploit Ă dĂŠpenser 2,1 milliard pour dire qu’on ne pouvait pas capter et stoker le CO2, et vous croyez qu’ils ont compris et conclus ?
C’est pas pour autant qu’il est indiquĂŠ une fin de gabegie et qu’ils ont abandonnĂŠ les subventions qui dans 8 ou 10 ans donneront le mĂŞme rĂŠsultat de la cour des comptes europĂŠenne.
Peut-on faire pire ? Ils en sont capables, le climat est une  excuse  qui absout les gabegies et la responsabilitÊ.
g) La transition ĂŠnergĂŠtique est une fable
Condamner les gĂŠnĂŠrations futures Ă vivre dans un monde caractĂŠrisĂŠ par la pĂŠnurie dâĂŠnergie et la pauvretĂŠ ĂŠnergĂŠtique, Ă un moment oĂš notre abondance dâĂŠnergie et nos prouesses technologiques promettent dâouvrir des opportunitĂŠs inimaginables est assez scandaleux intellectuellement.
L’ĂŠolien et le solaire sont des ĂŠnergies intermittentes et ne peuvent pas ĂŞtre autonomes sans une forme dâalimentation de secours fossile. La construction d’ĂŠoliennes et de panneaux solaires nĂŠcessite de grandes quantitĂŠs de mĂŠtaux de terres rares tels que le dysprosium, l’indium, le nĂŠodyme et le tellure, mines polluantes et matières ĂŠnergivores a extraire. La surface foncière nĂŠcessaire pour fonctionner est ubuesque. L’ĂŠnergie solaire nĂŠcessite plus de 18 hectares pour faire un seul MĂŠgawatt. La route solaire dans l’Orne inspirĂŠe par SĂŠgolène Royal a produit 140Mgw soit une recette de revente a EDF de 7 000⏠pour 5 Millions d’investissements. (Cherchez la rentabilitĂŠ)…
L’ĂŠolien et le solaire ne sont ni rentables, ni ĂŠcologiques. Le poids dâimpĂ´ts, de taxes et de contraintes sur les individus est dĂŠraisonnĂŠ.
Les impacts ĂŠconomiques nĂŠgatifs des restrictions sur les ĂŠmissions de CO2 dans une tentative de transformation en une ĂŠconomie ĂŠolienne et solaire sont une escroquerie.
Pourquoi avoir peur d’un rĂŠchauffement climatique ?
Les humains ont tout aussi bien ĂŠvoluĂŠ Ă lâĂquateur, en Afrique, en OcĂŠanie oĂš il a toujours fait chaud.
Pourtant, les Français, les Canadiens et les SuĂŠdois sâinquiètent d’un probable rĂŠchauffement climatique limitĂŠ ou il y ont tout a gagner et rien a perdre. Un anxiogène mal placĂŠ.
C’est un problème de schĂŠma de pensĂŠe politique. DĂŠclarer une ÂŤÂ urgence climatique  fait la manchette et aide les politiciens et les militants Ă se sentir mieux. Mais c’est une rhĂŠtorique vide qui ignore la rĂŠalitĂŠ ĂŠconomique et les bienfaits du CO2. Qui surfe sur l’ignorance et la confusion entre pollution et CO2.
Le climat est par essence imprĂŠvisible. Aucune statistique mĂŠtĂŠorologique ne vous donne la tempĂŠrature moyenne exacte a court, moyen et long terme. Modeler le climat conformĂŠment Ă un idĂŠal utopique liĂŠ Ă une moyenne de tempĂŠrature tout aussi utopique est autant arrogant qu’impossible. Par contre pour les esprits collectivistes qui ne considèrent les individus que comme des masses, c’est une incroyable excuse Ă imposer un collectivisme sur les individus.
L’alarmisme est forcĂŠ, il est totalement disproportionnĂŠ mais en phase avec leur conflit dâintĂŠrĂŞt intellectuel de bien profiter des subventions et de la notoriĂŠtĂŠ mondiale qui va avec et fournit un espoir collectiviste aux gauchistes orphelins de l’idĂŠologie socialo-communiste qui c’est ĂŠcroulĂŠ sans avoir eu son Nuremberg.
Les rapports du GIEC ne sont qu’une excuse pour les va-t-en guerre anticapitalistes, dĂŠcroissants et collectivistes. Une dĂŠclaration de guerre contre le CO2, un ennemi invisible, et qui en plus nous est tellement profitable est une folie qui n’attire que ces derniers. Qu’importe les victimes humaines inutiles d’un recul ĂŠconomique massif, ils veulent la guerre aux individus par l’intermĂŠdiaire du CO2.
Si les partisans de la rĂŠduction de l’utilisation des combustibles fossiles ĂŠtaient sincères, si cela ĂŠtait une ÂŤÂ urgence absolue , et s’ils avaient compris les conclusions du GIEC, ils feraient pression pour augmenter la part du nuclĂŠaire dans le monde. Ănergie qui ne produit pas de CO2.
Pourquoi ne le font-ils pas ?
Simplement parce qu’ils savent en leur fond intĂŠrieur, que le climat n’est qu’une excuse. Et que l’urgence est feinte.
Parce que l’exagĂŠration du rĂŠchauffement de la planète et le changement climatique vĂŠhicule une effroyable arrière-pensĂŠe.
Parce qu’ils veulent mettre fin au capitalisme et socialiser le monde parce qu’ils pensent savoir mieux. Pour cela ils sont prĂŞt a dĂŠtruire les ĂŠconomies, appauvrir les populations des pays dĂŠveloppĂŠs, limiter les libertĂŠs, instaurer le totalitarisme ĂŠtatiste.
Le jour oĂš les gens auront rĂŠalisĂŠ ce quâimplique en effet pervers leurs prescriptions anti CO2, comme le mur de Berlin, cette idĂŠologie s’ĂŠcroulera. Mais comme l’idĂŠologie communiste qui se prĂŠtendait ĂŞtre ÂŤÂ humaniste  et une ÂŤÂ avancĂŠe pour l’homme  elle aura fait des dĂŠgâts inversement proportionnels Ă la promesse de dĂŠpart comme toutes les idĂŠologies collectivistes se concluent toujours.
Si les pays du monde tentent de rĂŠaliser les rĂŠductions demandĂŠes de CO2, une BĂŠrĂŠzina ĂŠconomique gĂŠnĂŠralisĂŠe ĂŠclatera et des millions de personnes seront poussĂŠes Ă la pauvretĂŠ dans un monde ou les ressources agricoles seront de moins en moins dĂŠveloppĂŠ. Les taxes et les contraintes sur CO2 auront une influence plus nĂŠgative pour les personnes Ă faible revenu plus que plus les riches. Lâanalyse froide des coĂťts/avantages Ă laisser le CO2 tranquille est largement en faveur de le laisser tranquille.
La vie a prospĂŠrĂŠ sur une planète ou plus chaude ou plus plus glacĂŠe que aujourdâhui. Depuis les premières civilisations, nous nous sommes toujours adaptĂŠes aux changements climatiques. Nous nous adaptons chaque annĂŠe des tempĂŠratures nĂŠgatives froides de l’hiver Ă celles chaudes de l’ĂŠtĂŠ. ĂlĂŠvation des tempĂŠratures de 40° ou plus Ă 6 mois dâintervalle.
Ce serait impossible a s’adapter pareillement Ă une tempĂŠrature moyenne de 2 ou 3° en dizaines d’annĂŠe, voire siècle, aujourd’hui Ă cause du CO2, alors que nous avons la technologie, la science et des hommes dans l’espace ?
C’est le biais qu’on bien compris une grande majoritĂŠ silencieuse, mais qui ne sait pas l’exprimer et est diabolisĂŠe, censurĂŠe lorsqu’elle s’exprime dans les mĂŠdias traditionnels.
La guerre contre le C02 est absurde.
Par Spartacus Lequidam