La bio-diversitĂŠ menacĂŠe. ÂŤÂ Un million d’espèces vĂŠgĂŠtales et animales menacĂŠes. 
Il est totalement impossible que vous ayez ratÊ cette information. On vient de vous la bombarder en matraquage mÊdia intensif sans aucune vÊrification ni esprit critique de cette Êtude. Aucune investigation en vÊrification. Pas un seul commentateur ne met en parenthèse les chiffres qui vous sont assÊnÊs comme des vÊritÊs ÊvangÊliques.
Selon un nouveau rapport des Nations Unies, un million d’espèces animales et vĂŠgĂŠtales sont « menacĂŠes » par l’activitĂŠ humaine.
Selon les auteurs du rapport, la solution proposĂŠe par la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversitĂŠ et les services ĂŠcosystĂŠmiques (IPBES) consiste Ă apporter des « transformations en profondeur liĂŠes Ă des facteurs ĂŠconomiques, sociaux, politiques et technologiques » dans notre relation avec la nature.
Il faut bien comprendre que les Nations Unies n’ont pas plus de dĂŠontologie que n’importe quel organisme gouvernemental, multinationale ou groupe de pression revendicatif.Â
En rĂŠsumĂŠ des gens en conflit dâintĂŠrĂŞt avec leur objet de revenus et de subventions qui ont commanditĂŠ un rapport en fournissant lâapproche et la conclusion que devait avoir ce rapport.
Ce sont des gens aux profils intellectuels qui se croient dĂŠpositaire d’une mission divine de changer la sociĂŠtĂŠ et n’hĂŠsitent pas a franchir le seuil de la dĂŠsinformation par la communication de statistiques biaisĂŠes qui tiennent scientifiquement sur la surface d’un confetti. Ce sont des fonctionnaires qui se prennent pour le gouvernement du monde et qui s’autorisent a se croire des grands planificateurs centraux, et veulent diriger le monde par la manipulation des foules et de l’information. Dailleurs c’est ĂŠcrit dans le rapport de ces bureaucrates planificateurs, ils veulent dixit : « transformer le monde« .
1-Les sources statistiques de cette ĂŠtude
1ere interrogation
Quelqu’un connaĂŽt le nombre d’espèces connues de plantes et animaux ?
La vĂŠritĂŠ est que personne ne connaĂŽt. La plus grande diversitĂŠ d’espèces est celle des insectes. Les insectes sont si nombreux quâaucun scientifique ne peut les connaĂŽtre tous.
Un spĂŠcialiste des papillons Français ne connaĂŽt pas tous les papillons de France et dĂŠcouvre des nouvelles espèces quotidiennement…Alors au niveau mondial, et en plus que les papillons, petit agrĂŠgat des insectes.
De plus, il y a très peu de spÊcialistes des insectes sur terre (entomologistes).
Il est impossible de connaĂŽtre le nombre d’insectes. Les estimations du nombre de catĂŠgories d’insectes vont de 1 million Ă 30 millions d’espèces. Et ce n’est qu’une catĂŠgorie d’espèce.
2eme Interrogation  rĂŠpertoriĂŠÂ Âť et ÂŤÂ estimĂŠÂ Âť ce n’est pas pareil.
Si pour les moustiques, la marge d’erreur est ĂŠlevĂŠe, on pourrait penser que pour les autres espèces c’est plus simple, puisque les chiffres ne vont pas du simple au double, or en fait en creusant on se rend compte que tout est estimation au doigt mouillĂŠ.
Les Champignons : il y aurait selon cette ĂŠtude 0,61 million d’espèces. En vĂŠritĂŠ les rĂŠpertoriĂŠs sont infĂŠrieurs Ă 0,4 millions soit 7% de l’estimation, Un marge d’erreur de 93%.
Les animaux  : il y aurait selon cette ĂŠtude 7,7 millions d’espèces animaux. Nous en avons rĂŠpertoriĂŠ officiellement 1 million, soit 12%. Une marge d’erreur de 88%.
Le nombre d’espèces rĂŠpertoriĂŠes, est nettement plus rĂŠduit que le nombre dâespèces estimĂŠes.
2-Le fond de l’ĂŠtude
Ăa veut dire quoi ÂŤÂ menacÊ  ?
MenacÊ est un mot fourre-tout qui nÊcessite des prÊcisions que le rapport donne ainsi :
Il s’agit d’un ensemble de trois catĂŠgories diffĂŠrentes : « vulnĂŠrable« , « en danger » et « en danger critique d’extinction« .
Si une espèce est en danger critique dâextinction, cela signifie quâelle doit faire face Ă lâun des facteurs suivants : dĂŠclin de la population dâau moins 80%, fragmentation grave de son habitat ou prĂŠsence dâun seul site, population de 250 spĂŠcimens matures au maximum, risque d’extinction Ă l’ĂŠtat sauvage de 50% d’ici trois gĂŠnĂŠrations ou dix ans.
Selon l’estimation 2 464 animaux et 2 104 plantes rĂŠpondent Ă au moins un de ces critères.
En rĂŠsumĂŠ, un peu moins de 5 000 espèces, environ 0,05% des 10 millions de celles que le rapport extrapole d’exister.
Les groupes de plantes les plus touchĂŠs selon eux sont les cycadales, les dicotylĂŠdoneset 5% des conifères. Les amphibiens sont le groupe d’animaux les plus touchĂŠs, avec près de 10% d’entre eux menacĂŠs d’extinction.
Extinction de masse ou vaste propagande anxiogène ?
La situation de certaines espèces est certainement en danger critique, Darwin l’a dĂŠcouvert bien avant l’ONU, le rapport lui est est un cas classique de la communication politique culpabilisante de l’homme avec des effets d’annonce et de rĂŠalitĂŠ totalement inventĂŠ.
Les catĂŠgories sont floues, les commentaires et titres annonciateurs d’une extinction de masse laisse Ă penser au monde un problème grave, du style qu’il ne restera presque plus rien du monde naturel dans quelques annĂŠes. C’est juste faux.
La rĂŠalitĂŠ, est que seule une extrĂŞme petite partie des espèces est sĂŠrieusement menacĂŠe d’extinction, et sur des bases et rĂŠfĂŠrences douteuses et extrapolĂŠes avec des mages d’erreurs infinies.
De plus, le monde est vaste et seul un nombre relativement restreint de personnes ĂŠtudient ces questions. Cela signifie que seule une fraction de ces espèces est en cours d’ĂŠtude et d’ĂŠvaluation et mĂŞme dans ce cas, nous ne savons que quelques groupes de population très limitĂŠs pour chaque espèce.
En fait, loin de demander la rÊorganisation complète de la sociÊtÊ, certains des risques pour ces espèces sont assez faciles à contrôler par le bon sens.
C’est quoi la bio-diversitĂŠÂ ?
Ces moustiques qui vous apportent cette si belle diversitĂŠ.
Qui apportent la dingue, la malaria, la maladie de chaga, la maladie du sommeil, le chikungunya ou le paludisme et oblige la moitiĂŠ de la population non industrialisĂŠe (proche de la nature) a vivre sous moustiquaire et une durĂŠe de vie plus limitĂŠ quâau japon ou Suisse les pays les plus industrialisĂŠs du monde.
Ces joyeux serpents, qui sont si beaux et si merveilleusement multicolores.
Ces serpents corail, pythons qui piquent chaque annÊe 5,56 millions de personnes soit une personne toutes les 6 secondes dans le monde. Regrettez vous ce manque de diversitÊ de ne pas en voir dans le parc ou vous promenez vos enfants ?
Et ces charmants caĂŻman et crocodiles et requins quâils ont de si belles dents.Â
Et ces gens, qui se sont fait bouffer le pied, quels ingrats à ne pas apprÊcier cette  for-mi-dable  nature et bio diversitÊ. Au nom du sauvetage de la bio-diversitÊ que les Êcolos pour être en phase avec leurs convictions en adoptent tous un bien gros dans leur baignoire.
La vÊritÊ est immorale à entendre pour les  bien pensants . Eux qui ne sont que des bobos des villes, totalement dÊcalÊ de la rÊalitÊ qui se lavent avec du Tahiti douche, prennent du coca dans le rÊfrigÊrateur, utilisent le dernier Smartphone, et fantasment une nature idÊalisÊe totalement abstraite et rêvÊe ou ils y ont jamais mis les pieds et qui ne ressemble pas a ça.
La nature nâest belle que dominĂŠe par lâhomme, mais attention ne le dites pas, vous allez passer pour immoral.
La clĂŠmentine a ĂŠtĂŠ faite par l’idĂŠe de lâabbĂŠ ClĂŠment de mĂŠlanger gĂŠnĂŠtiquement orange et mandarine, c’est son idĂŠe pas celle de la nature.
Les fraises ont ĂŠtĂŠ dĂŠcouvertes blanches et rachitiques en AmĂŠrique, elles sont devenues nombreuses, sucrĂŠes et diverses que par l’agronomie et la prise en main de la nature par l’homme.
Le Chien est un loup que lâhomme a fait ĂŠvoluer et nâest pas une crĂŠation naturelle.
Mais surtout ne leur dites pas la vĂŠritĂŠ… Ils ne sont pas prĂŞt Ă l’entendre.
Vous allez vous faire taxer d’ĂŞtre un affreux vilain.
Les bobos prennent les ĂŠtudes anxiogènes d’organismes qui vivent de la peur et l’envie de transformer le monde pour argent comptant. Dur comme du bĂŠton armĂŠ ils y croient comme des chrĂŠtiens croient lâĂŠvangile.
Ils pensent la nature comme elle est comme au jardin botanique ou au zoo. Selon eux, il faut culpabiliser les populations, au nom de leur point de vue, et au diable la rĂŠalitĂŠ des autres.
Ils sont a des centaines de kilomètres de ceux qui vivent dans la terreur des orang-outans, et souhaitent vivre de leurs palmier comme les agriculteurs de la beauce vivent des plantations de colza.
Ils n’imaginent pas que 40% de la population terrestre qui est contrainte de dormir avec une moustiquaire et que ces gens si prochent de la nature, ne rĂŞvent d’une eradication des moustiques dans leur village en brousse. Quelle ingratitude d’ĂŞtre si près et ne pas apprĂŠcier la nature sauvage.
Les bio-diversitovores n’aiment pas ces gens des pays pauvres, qui se foutent de la ÂŤÂ bio-diversitĂŠÂ Âť et qui ÂŤÂ osent  couper les arbres pour essayer de vivre comme des occidentaux. DĂŠtruire les moustiques et adopter la climatisation.