
Une nouvelle maladie mentale est apparue. Les AmÊricains la nomment la  Trump anxety desorder .
C’est certainement la première fois que vous en entendez parler en France. Il faut dire que cette maladie touche beaucoup les mĂŠdias et journalistes et quand on est dans la souffrance. Il y a des personnes qui cachent leur maladie. En lâoccurrence pour les mĂŠdias et journalistes, c’est le dĂŠni de rĂŠalitĂŠ qui est la cause de l’absence de l’information. Ătre touchĂŠ par la ÂŤÂ Trump Anxiety Desorder  pour un journaliste, c’est comme une pĂŠripatĂŠticienne qui aurait la Blennorragie (chaud de pisse), c’est incompatible avec l’hygienne du mĂŠtier et pas professionnel.
C’est l’an dernier, que des psychiatres de la Harvard Medical School et de la Yale School of Medicine ont ĂŠtablit la pathologie TAD (Trump Anxiety Desorder).
Si la terre mĂŠdiatique toute entière est touchĂŠe, on situe l’ĂŠpicentre Ă Washington.
La thĂŠrapeute Elisabeth LaMotte du centre de conseil et de psychothĂŠrapie de Washington DC est l’une de celle qui diagnostique le plus cette maladie parmi ses clients. Elle a dĂŠclarĂŠ ÂŤ il y a une ÂŤanxiĂŠtĂŠ collectiveÂť qui s’est accrue depuis l’ĂŠlection de Trump.Âť https://ijr.com/2018/07/1112538-trump-derangement-syndrome-spike/
Une pathologie de troubles anxieux TAD est spĂŠcifique Ă un climat sociopolitique imprĂŠvisible. Les symptĂ´mes sont ÂŤÂ un ĂŠtat mental dans lequel une personne se conduit de manière exagĂŠrĂŠment folle Ă cause de son aversion pour Donald Trump  au point oĂš elle abandonne toute logique et raison. Les symptĂ´mes de cette maladie peuvent ĂŞtre très variĂŠs, allant dâexplosions hystĂŠriques Ă une rupture mentale complète. 
Cette maladie de l’aversion Ă une personne pourrait ĂŞtre bĂŠnigne, mais malheureusement de nombreux symptĂ´mes se manifestent dans la sociĂŠtĂŠ. Notamment des actes dâintimidation et dâagression Ă lâencontre des partisans de Donald Trump au USA.
La maladie entraĂŽne des ÂŤÂ Refus de servir , ÂŤÂ refus d’ĂŞtre agrĂŠable , ÂŤÂ discrimination et mĂŞme des violence et des coups .
Les principaux touchĂŠs par la maladie sont les gauchistes et particulièrement les intellos de gauche. Les professions qui ne vivent pas dans lâautonomie ou la recherche dâune autonomie individuelle en dĂŠnombrent de nombreux malades.
La maladie sĂŠvit plus fortement dans les professions proches de lâĂŠtat ou en dĂŠpendances de lâĂŠtat et subventionnĂŠes. On note aussi de nombreux touchĂŠs dans les professionnels diplĂ´mĂŠs de sciences sociales et politiques comme les ÂŤÂ journalistes .
Les journalistes sont gravement ÂŤÂ touchĂŠs  et la frĂŠquence et l’intensitĂŠ du syndrome entraĂŽne des crises croissantes hystĂŠriques.
Il faut dire que ces crises sont grandement exacerbĂŠes par la consommation constante et sans rĂŠpit de propagande haineuse dans l’entre soi d’une profession Ă 95% composĂŠ de gauchistes.
Aujourd’hui, les mĂŠdias grand public ne sont pas les voix de la prudence et la neutralitĂŠ de l’information juste et ĂŠquitable, mais le total contraire, les dĂŠveloppeurs de la maladie hystĂŠrique.
Aucun mĂŠdia n’est ĂŠpargnĂŠ mĂŞme en France. De TF1 Ă L’express en passant par le Point et autres.
Les mĂŠdias gauchistes sont eux 100% touchĂŠs. LibĂŠration, le Nouvel Obs, France2, France Inter ou l’humanitĂŠ n’ont mĂŞme pas un seul journaliste qui ne soit pas atteint.
Les plus grands journalistes connus sont gravement touchĂŠs. Bourdin, Appatie, Cohen, Lapix ont la TAD. Pour eux la science ne peut plus rien.
Le rÊsultat est un mouvement de masse dÊterminÊ à salir Trump, loin de la rÊserve et de la rÊalitÊ et complètement obsÊdÊs.
Toute cette hystĂŠrie repose sur presque rien. à la base, les mĂŠdias traditionnels refusent dâaccepter la perte dâHillary Clinton. Ils ont dit qu’elle gagnerait facilement. Ils vous l’on matraquĂŠ matin midi et soir. Comment ont-ils pu se tromper tous collĂŠgialement?
Leur rĂŠponse est qu’ils ont ĂŠlevĂŠ leurs clichĂŠs et leurs certitudes si haut, que la retombĂŠe sur terre leur engendre la maladie.
Si la vĂŠritĂŠ comptait pour les mĂŠdias, leur rĂŠcit serait le suivant: ÂŤles gens de gauche n’acceptent toujours pas la victoire de TrumpÂť. Nâacceptent pas que leurs clichĂŠs soient mis en brèche.
Mais les symptĂ´mes sous-jacents du TAD sont antĂŠrieurs Ă l’ĂŠlection de Trump, c’est juste la pathologie de gauche qui est devenue plus visible.