
Vous êtes tellement conditionnés depuis l’enfance par une éducation nationale Marxisée que vous n’avez jamais fait attention que le droit de grève n’est pas un vrai droit. Comment pouvez vous croire à lâabsurdité de faire un droit d’un acte de contrainte, voire de violence envers autrui.
En fait la grève est tout le contraire d’un droit. La grève porte atteinte aux principes généraux du droit.
La grève est une action concertée, qui consiste en une cessation du travail par les salariés d’une entreprise. Elle vise à créer des préjudices et entraîne une perte de productivité de l’entreprise.
En faisant pression contre la hiérarchie contractuelle, la grève est un déni de la responsabilité du salarié devant ses engagements et sa propre signature du contrat de travail.
La plupart des Français sont conditionnés et il ne manque jamais de juristes, de politiciens pour rappeler que lâon doit le respect aux grévistes qui font valoir « leurs droits ». L’endoctrinement et le conditionnement doctrinaire en oublie le raisonnement.
La liberté de circuler, d’entreprendre est une liberté fondamentale. La grève est une atteinte à ces libertés fondamentales et évidemment n’est évidemment pas un droit légitime et licite.
La grève est une épreuve de force, une violence, câest une cessation « concertée » du travail.
Le travailleur est lié au travail par un contrat. Contrat que le travailleur et l’employeur ont signé ensemble en leurs âmes et conscience.
Avec ou sans concertation, la grève constitue une rupture unilatérale de ce contrat et devraient en découler les responsabilités habituelles dâune telle rupture : fin du contrat, indemnisation des dommages causés, voire poursuite pénale lorsquâil y a voie de fait, comme accaparation ou blocage de l’outil de travail, piquets de grèves, et obstructions qui constituent une atteinte à la liberté des non-grévistes.
Ne perdons pas de vue en effet que « faire grève » ne veut pas simplement dire sâabstenir de travailler : cela suppose de sâabstenir de travailler dans le cadre dâun « contrat de travail en cours de validité ». En dâautres termes, cela signifie manquer à ses obligations, prévues par le contrat.
Les effets sur la société sont dévastateurs.
Les délocalisations en sont pour une part la conséquence.
Aux dommages visibles, sâajoutent une multitude de dommages invisibles que personne ne peut quantifier : voyage raté, nuit de galère, école sans maître, opération retardée parce que le personnel nâarrive pas à lâheure, marché raté, etc.
Les grèves portuaires ou aéroportuaires qui paralysent les ports et les aéroports sont récurrentes. Ces grèves sont particulièrement nocives pour lâactivité des ports et aéroports et l’investissement en France. De situation privilégiée géographique, la France ne peut les exploiter sans ces grèves répétées de catégories sociale, aussi bien que ceux de nos concurrents.Â
La panne de croissance épouvantable, qui nâa aucune raison dâêtre en France, est accentuée par la « grèviculture ».
Grève versus Look out
L’équivalence est condamnée. Comment considérez vous le lock-out, la grève patronale? Fermer les portes de lâentreprise signifie, de la part de lâentrepreneur, une violation du contrat de travail, même si c’est dont entreprise et qu’il soit la base de l’ensemble de la base de tous les emplois qu’il a créé.
Comment considérer pour l’employeur ce qui est une faute, ne pas considérer l’équivalence pour le salarié ?
Comment exposer que l’entreprise doit strictement respecter le contrat, et l’employé disposer du droit de passer à coté?
La rhétorique collectiviste se fonde sur le prétendu « échange inégal » et supposé dissymétrie entre employeur et salarié pour justifier un droit de grève inconditionnel.
Mais la dissymétrie, c’est bien lâinverse. C’est à bien l’employeur celui a qui ont interdit de se révolter.
La signature et l’engagement contractuel du salarié ne vaut rien t-elle rien?
La législation française fait une abstraction à la liberté des individus contre les intérêts de groupes coalisés dans un acte malveillants envers les autres. La Constitution (marxiste) de 1946 institue ce « faux droit » qui « sâexerce dans le cadre des lois qui le réglementent » alors qu’aucune loi mais un code réglemente le travail.
Il est temps d’admettre que le droit de grève est inconstitutionnel.
La jurisprudence et plusieurs articles du Code du Travail (L 2511-1) ont établi que la grève ne rompt pas le contrat de travail, mais le « suspend ». C’est ridicule.
Pourquoi y revenir ? Apparemment il faudrait sây résigner. pourrait-on priver une nation démocratique de lâune de ses libertés fondamentales ?
Le « droit » de grève est trop souvent l’exemple typique d’un faux droit qui s’exerce au dépens de personnes non consentantes. Dans ce sens il s’agit d’une agression contraire aux principes du droit et la liberté des autres.
Nous nâen avons pas fini avec les grèves.
Après la RATP qui bloque pour n’importe quoi comme cette semaine la ligne A ou B et 2 millions de voyageurs innocents et absolument pas concernés, après Pole emploi le 4 février, ou les aiguilleurs du ciel, les enseignants ou les pilotes d’avion, ou les intermittents, les taxis et tous les privilégiés en monopoles en ont trop abusé. Il faut en finir et supprimer le droit d’agression que constitue ce faux droit.
Certains évoqueront l’illusion d’un service minimum en cas de grève dans les services publics.
Quand il y a un organisme public ou quasi public, en bonne logique, c’est de bénéficier dâun service maximum que devrait faire partie de lâobligation de service public.
Tout autre régime est inadmissible et porte atteinte à la liberté de circuler.
Tout cela fait partie du paysage « social » français.
Pourquoi y revenir ? Apparemment il faut sây résigner : pourrait-on priver une nation démocratique de lâune de ses libertés fondamentales ?
La législation française ne lâentend pas ainsi. Câest la Constitution de 1946 qui institue ce « droit » qui « sâexerce dans le cadre des lois qui le réglementent ».
On attend toujours ces lois, mais la jurisprudence et plusieurs articles du Code du Travail (L 2511-1) ont établi que la grève ne rompt pas le contrat de travail, mais le « suspend ».
Donc, lâemployeur ne peut ni renvoyer le personnel gréviste, ni embaucher un personnel de remplacement, ni attaquer les syndicats grévistes.
Supprimer le droit de grève n’est pas un « drame ».
Dans les autres pays, câest le droit des contrats qui est seul pris en considération, de sorte que la grève est rupture contractuelle.
-Au Japon, les grévistes mettent un brassard pour indiquer quâils sont en grève mais continuent à travailler.
-Aux Ãtats Unis, la première décision du nouveau Président Reagan aura été de licencier plus de 11.000 contrôleurs aériens. Depuis les compagnies aériennes Américaines sont rentables et les Françaises sont connues que pour cela.
-En Angleterre, depuis Madame Thatcher (1982), les grévistes peuvent être licenciés.
-En Suisse, la paix du travail désigne une convention de prévention des conflits sociaux, et la grève est très rare.
-En Allemagne, il ne peut y avoir de grève pendant les périodes de négociation salariale.
Dans la plupart des pays, la grève est interdite dans les services publics ou dans les activités dâutilité publique.Â
Ces pays, néanmoins, ont bénéficié des progrès sociaux aussi bien et même souvent mieux que les autres pays, ce qui condamne lâidée que les grèves étaient nécessaires à ces progrès sociaux.
Par conséquent, dans un cadre légal, le salariat est une relation d’échange, entre un salarié qui vend son travail et un employeur qui achète ce travail, sous les conditions du contrat de travail.
L’interdiction que subit aujourd’hui un employeur de se licencier un salarié au motif qu’il est gréviste est contraire aux droit de vie de la personne morale.
Il est temps de penser a supprimer ce faux droit de grève….