Archive | décembre, 2021

Zemmour piège ses contradicteurs dans le « dilemme du Samaritain ».

Parfois, aider les gens est la pire chose que vous puissiez faire. Zemmour fait la leçon aux intellectuels progressistes et l’extrême gauche qui n’ont pas appris Buchanan à Science Po.

Le « dilemme du Samaritain » c’est quoi ?

L’économiste James Buchanan a inventé l’expression « le dilemme du Samaritain  » pour sa théorie. Il vient de la parabole biblique dans laquelle le marchand généreux a aidé l’homme battu et couché sur la route. Il le voit et paie les factures médicales et le remet sur pied.

Si on s’arrête à cette lecture, c’est une interprétation de gauche, le marchand est bon. Humaniste. C’est une bonne personne. Un « samaritain ».

Sauf qu’il existe une deuxième partie à l’histoire. La fois suivante le Samaritain emprunte la même route, il rencontre 3 autres personnes amis du 1er, qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit. Il les aide.

Il repasse encore et informés que c’est la route du samaritain, c’est ensuite 10 autres personnes qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit qu’il rencontre au nouveau voyage.

A chaque voyage, ils se multiplient. Très vite, le problème devient évident. Le Samaritain se retrouve obligé de dire non. Il doit retirer l’aide. Pour aider, il doit arrêter d’aider.

C’est une décision très difficile. L’aide ne peut pas être illimitée et on ne peut s’attendre à ce qu’elle devienne un abus du donateur et contraire aux intérêts du bénéficiaire.

La famille le lieu de découverte du « dilemme du Samaritain ».

Les parents découvrent cela avec les enfants. À un moment donné, vous devez couper l’aide financière pour les inspirer à l’indépendance. C’est l’un des moments les plus durs de la vie d’un parent : ça va à contre-courant. Les parents doivent mettre fin au soutien afin que l’enfant puisse trouver des façons créatives de vivre de manière autonome. Ils n’aiment pas ça. Les enfants vous remercient plus tard d’avoir fait la bonne chose. Plus tard.

Vous avez 2 enfants, frère et sœur. L’une est gestionnaire avec l’argent, paie ses dettes et a besoin d’un prêt rapide. Aucun problème. L’autre gaspille l’argent, il est en retard sur les factures. Lui prêter de l’argent perpétue le problème. Vous les aimez beaucoup tous les deux, assez pour ne pas permettre de mauvais choix. 

L’aide ne peut pas être illimitée si vous voulez vraiment qu’elle soit utile. Savoir quand et comment le faire est un « art  », pas une science.

Cela nécessite une expérimentation minutieuse au cas par cas. Il y a un moment dans le flux d’aide financière où il cesse d’aider et commence à subventionner l’oisiveté et les abus. Pour la maturité, pour la décence humaine, pour le respect de soi, il faut absolument qu’arrive finalement ce point où l’aide doit s’arrêter complètement.

La leçon s’applique à une vaste gamme de raisons.

La politique migratoire est un sujet auquel cette théorie s’adapte.

Le problème des aides aux migrants est précisément un cas de « dilemme du Samaritain »..

Les habitants de notre pays ont découvert qu’essayer de les aider est une bonne chose, mais que trop d’aide attire davantage. Le problème que vous cherchiez à résoudre s’aggrave. Le peuple de France a compris que tous les habitants du monde vient de partout pour vivre de la bienveillance du pays et ds aides sociales.

Ainsi va-t-il. Aider semble bien. Zemmour est le porte parole du « dilemme du Samaritain ».

Pourquoi les intellectuels comprennent moins vite que la population le « dilemme du Samaritain » qu’engendre les politiques d’aides migratoires ?

La théorie du « dilemme du Samaritain » n’est pas apprise à Science Po d’où les contradicteurs de Zemmour sortent majoritairement.

Les intellectuels et politiciens sont sociologiquement des enfants des sciences humaines et sociales. Plus payés en fonction d’un statut, d’une compétence indifféremment de l’encaissement des factures de son travail.

Une personne dans le commerce ou l’entrepreneuriat sociologiquement plus de droite, est bien plus a même de percevoir le « dilemme du samaritain » qu’un intellectuel de gauche. Toutes les serveuses dans un bar on étés un jour confronté au client qui lui a demandé de faire crédit pour un café qu’il paiera demain. Elle sait que même si la majorité est sincère, que même si c’est un voisin ou un client régulier, il arrive parfois que l’un d’entre eux ne revient pas et qu’en conséquence, lorsque qu’elle se trouve confronté à une telle demande, même comprenant, elle ne peut pas toujours aider sans prendre un risque que cela devienne un habitude ou un impayé.

Le terain et l’expériance du contact social est bien meilleur école pour comprendre « qui est qui’ que ne le sait le meilleur intellectuel diplomé en science sociale ou humaine de notre pays.

Zemmour radical ou contradicteurs pro-migrants irresponsables ?

Ne pas aider les migrants n’est pas une idée si radicale, encore moins cruelle. 

Si vous nettoyez toujours après vos colocataires, ils ne prendront jamais la responsabilité de leurs propres dégâts. Si les personnes qui prennent des risques irresponsables en escaladant la montagne sont toujours secourues aux frais de l’État, les aventuriers ne calculeront jamais correctement les coûts des risques qu’ils encourent. C’est pourquoi les randonneurs doivent payer leur propre sauvetage.

Cela semble cruel ? Pour un irresponsable intellectuel de gauche, mais factuellement pas vraiment. Parfois, vous devez retirer de l’aide pour inciter à une prise de décision appropriée. 

Il n’y a pas de règle absolue sur la quantité d’aide qui est trop d’aide, pas de point précis où vous êtes allé trop loin et avez causé plus du problème que vous essayez de résoudre. 

Pourtant, il est tout à fait insensé de ne pas admettre que le dilemme du Samaritain est réel. 

Elle fait partie de la vie telle que nous la connaissons et elle apparaît partout. C’est le grand problème auquel est confronté quiconque cherche à faire le bien. 

Ce qui nous amène au penchant des progressistes et de l’extrême gauche à tout promettre gratuitement. Soins de santé gratuits.

Des emplois pour toujours. Jamais aucun problème, grâce aux impôts illimités et à l’emprunt public. Pas de limites. Omniprésent, illimité, à jamais générosité ! 

Si vous êtes contre, comme Zemmour, vous êtes méchant vous serez accusé de « raciste. Cruel. Une mauvaise personne. 

Rassurez vous, Vous ne l’êtes pas. Vous êtes juste rationnel qui sait mettre le contradicteur en face de son « dilemme du Samaritain ». Et que derrière l’étiquetage il n’y a pas d’argument rationnel.

https://en.wikipedia.org/wiki/Samaritan%27s_dilemma

https://promarket.org/2021/09/26/buchanan-samaritan-dilemma-economic-history/

Par S Lequidam

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1 milliard de dollars pour concurrencer Twitter et Facebook

Le prochain président des Etats-Unis n’aura pas besoin du monopole des médias progressistes. Il est en train de créer son propre média qui va les concurrencer.

Devinez qui dispose de 1 milliard US$ de cash pour construire un système pour concurrencer Twitter, Facebook et échapper à la censure politique progressiste en monopole des médias progressistes et d’extrême gauche pro-démocrates?

Donald Trump avec sa société « Trump Media & Technology Group (TMTG) ».

Trump a commenté l’engagement de financement :

« Un milliard de dollars US envoie un message important aux Big Tech que la censure et la discrimination politique doivent cesser. L’Amérique est prête pour Truth Social, une plate-forme qui ne discrimine pas sur la base de l’idéologie politique »,

Donnald Trump construit le clone Twitter et Facebook et le message est clair, il en a les moyens. 1 milliards, ce n’est pas une plaisanterie. C’est du concret pour se payer les censeurs.

L’ancien président américain  Trump a obtenu le soutien d’investisseurs anonymes pour le développement de son alternative à Twitter et Facebook : Truth Social.

Donald Trump a obtenu un milliard de dollars US pour financer son réseau social Truth Social. La société nouvellement formée Media & Technology Group (TMGT) de Trump reçoit un soutien financier de la part de Digital World Acquisition Corp. (DWAC). Le capital provient d’un groupe hétérogène d’investisseurs institutionnels.

 Trump a utilisé en effet levier la société « Digital World » une SPAC. Une SPAC se traduit en Français par « Société d’Acquisition à Usage Spécial ». Une SPAC aux USA, c’est un groupe d’investisseurs qui lève des fonds pour une société écran sans activité commerciale juste destiné à lever de l’argent pour un grand projet. La SPAC devient connue pour l’investisseur, généralement pour 10 $ l’action, puis augmente sa valeur au fur et à mesure du nombre d’investisseurs ou des montants qui composent le capital.

 Digital World a initialement levé 239 millions de dollars. Après l’annonce de la fusion avec TMTG, le cours de bourse a plus que décuplé. Une fois que la fusion sera totalement terminée, seule la société de Trump (TMTG) sera cotée en bourse.

Trump devrait recevoir alors des dizaines de millions d’actions gratuites, ce qui devrait représenter une valeur comptable d’au minimum 2 milliards à plusieurs milliards.

Trump a annoncé que pour la création et le fonctionnement il disposait dors et déjà 1 milliard de cash.

 La date de lancement officielle de Truth Social n’a pas encore été fixée. Les médias progressistes jamais en mal de dénigrement on fait les titres pour expliquer qu’un certain nombre de pirates et d’attaquants avaient déjà réussi à accéder au réseau en cours d ‘élaboration. En fait ils se sont attaqué à une version de démonstration imparfaite juste vitrine de démonstration.

Techniquement, la première présentation semblait être basé sur le logiciel libre Mastodon. La presse Maelstrom a gargouillé sur le fait que le code de Mastodon est sous licence.

Dans le réel, personne ne sait. La version définitive s’en inspirera peut être, mais rien n’est écrit, On verra le 1er trimestre 2022.

On l’oublie, mais Donald Trump à lui seul regroupait 81,8 millions d’abonnés sur Twitter.

C’était le 10eme compte en nombre d’abonnés , et le 1er en suivit régulier.

20% des Américains suivaient son compte, et ses Tweets faisaient la une et les commentaires de toutes les presses du monde entier.

Il dispose en plus de son cash, d’une base de fidèles pour le lancement de Truth Social et le potentiel de son nom est un effet levier pour un décollage vertical.

On l’oublie aussi, mais les entreprises sur Internet disparaissent aussi quand un compétiteur arrive. Qui se souvient de Alta-Vista, ou Lycos, les incontournables d’une certaine époque, de AOL ou Netscape ?

Truth Social ira t-il jusque éliminer et remplacer Twitter ou Facebook ?

Va savoir !

 

Par Spartacus Lequidam

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Le fascisme est socialiste et a toujours été socialiste.

Les Antifa ignorent les origines du racisme, ils imaginent que c’est de droite, Rien n’est plus faux et mensonger, les racines idéologiques du fascisme, et surtout, un grand malentendu sur les principes collectivistes que le mouvement de socialisme autoritaire a promulgués. Pour mieux comprendre cette idéologie, il est nécessaire de connaître en profondeur la vie, les croyances et les principes à la fois de ses dirigeants politiques (comme Benito Mussolini) et de ses dirigeants philosophiques (comme Giovanni Gentile).

Mussolini était un militaire, journaliste et homme politique italien qui a été membre du Parti socialiste italien pendant 14 ans. En 1910, il est nommé rédacteur en chef de l’hebdomadaire La Lotta di Classe (La lutte des classes), et l’année suivante, il publie un essai intitulé « Le Trentin vu par un socialiste ». Son journalisme et son activisme politique l’ont conduit à la prison, mais peu après sa libération, le Parti socialiste italien, de plus en plus fort et ayant remporté une importante victoire au Congrès de Reggio Emilia, l’a nommé à la tête du journal milanais Avanti !

Cet intense activisme politique est suivi de la Première Guerre mondiale, qui marque un tournant dans la vie de Mussolini. Au début, le leader du Parti socialiste faisait partie d’un mouvement anti-interventionniste, qui s’opposait à la participation de l’Italie à la Première Guerre mondiale. Cependant, il a ensuite rejoint le groupe interventionniste, ce qui lui a valu d’être expulsé du Parti socialiste.

Mussolini a participé à la guerre et a profité du mécontentement du peuple italien, en raison des quelques avantages obtenus par le traité de Versailles. Il en a ensuite reproché à ses anciens camarades du Parti socialiste, et c’est à ce moment-là qu’il a commencé la formation des Fasci Italiani di Combattimento, qui deviendront plus tard le Parti fasciste italien.

S’appuyant fortement sur les sentiments nationalistes qui ont fleuri à la suite du combat, Mussolini est arrivé au pouvoir par la main de la violence, luttant contre les socialistes traditionnels et se cachant dans le célèbre escadron des chemises noires. Ce n’est qu’alors que le complexe idéologique du fascisme commencera à prendre forme.

Qui est le père du fascisme ?

Pratiquement tout le monde sait que Karl Marx est le père idéologique du communisme et du socialisme et qu’Adam Smith est le père du capitalisme et du libéralisme économique. Savez-vous, en revanche, qui est l’esprit derrière le fascisme ? Il est fort probable que non, et je peux vous dire d’avance que le philosophe derrière le fascisme était aussi un socialiste avoué.

Giovanni Gentile, philosophe néo-hégélien, était l’auteur intellectuel de la « doctrine du fascisme », qu’il a écrite en collaboration avec Benito Mussolini. Les sources d’inspiration de Gentile étaient des penseurs tels que Hegel, Nietzsche, et aussi Karl Marx.

Gentile est allé jusqu’à déclarer que « le fascisme est une forme de socialisme, en fait, c’est sa forme la plus viable ». L’une des réflexions les plus courantes à ce sujet est que le fascisme est lui-même un socialisme fondé sur l’identité nationale.

Gentile croyait que toute action privée devait être orientée pour servir la société. Il était contre l’individualisme, pour lui il n’y avait pas de distinction entre intérêt privé et intérêt public. Dans ses postulats économiques, il a défendu le corporatisme d’État obligatoire, voulant imposer un État autarcique (essentiellement la même recette qu’Hitler utilisera des années plus tard).

Un aspect fondamental de la logique de Gentile est que la démocratie libérale était nuisible parce qu’elle était centrée sur l’individu, ce qui a conduit à l’égoïsme. Il a défendu la « vraie démocratie » dans laquelle l’individu doit être subordonné à l’État. En ce sens, il a promu des économies planifiées dans lesquelles c’était le gouvernement qui déterminait quoi, combien et comment produire.

Gentile et un autre groupe de philosophes ont créé le mythe du nationlisme socialiste, dans lequel un pays bien dirigé par un groupe supérieur pouvait subsister sans commerce international, tant que tous les individus se soumettaient aux desseins du gouvernement. L’objectif était de créer un État corporatif. Il faut se rappeler que Mussolini était issu du Parti socialiste italien traditionnel, mais en raison de la rupture avec ce mouvement marxiste traditionnel, et en raison du fort sentiment nationaliste qui prévalait à l’époque, les bases de la création du nouveau « socialisme nationaliste », qui ils ont appelé le fascisme, ont été renversés.

Le fascisme a nationalisé l’industrie de l’armement, cependant, à la différence du socialisme traditionnel, il ne considérait pas que l’État devait posséder tous les moyens de production, mais plutôt qu’il devait les dominer. Les propriétaires d’industries pouvaient « conserver » leurs entreprises, tant qu’ils servaient les directives de l’État. Ces propriétaires d’entreprises étaient supervisés par des agents publics et payaient des impôts élevés. Essentiellement, la «propriété privée» n’était plus une chose. Il institue également l’impôt sur la fortune, la confiscation des biens des congrégations religieuses et l’abolition des rentes épiscopales. L’étatisme était la clé de tout, grâce au discours nationaliste et collectiviste, tous les efforts des citoyens devaient être en faveur de l’État.

Fascisme : l’antithèse du libéralisme et du capitalisme

Le fascisme prétendait s’opposer au capitalisme libéral, mais aussi au socialisme international, d’où le concept d’une « troisième voie », la même position qui sera détenue par le péronisme argentin des années plus tard. Cette opposition au socialisme international et au communisme est précisément ce qui a causé tant de confusion dans la localisation idéologique du fascisme, du nazisme et aussi du péronisme. Après s’être opposées à la gauche marxiste internationaliste traditionnelle, celles-ci ont été attribuées au courant des mouvements d’ultra-droite, alors que la vérité est que, comme cela a été démontré, leurs politiques économiques centralisées obéissaient à des principes collectivistes et socialistes, s’opposant ouvertement au capitalisme et au marché libre, favorisant nationalisme et autarcie.

En ce sens, comme l’a établi le philosophe créateur de l’idéologie fasciste, Giovanni Gentile, le fascisme est une autre forme de socialisme, « ce n’était pas une bataille de la gauche contre la droite, mais une lutte entre différentes idéologies de gauche, un internationaliste et un nationaliste. »

En fait, en 1943, Benito Mussolini a promu la « socialisation de l’économie », également connue sous le nom de socialisation fasciste ; pour ce processus, Mussolini a demandé l’avis du fondateur du Parti communiste italien, Nicola Bombacci ; le communiste était le principal auteur intellectuel du « Manifeste de Vérone », la déclaration historique avec laquelle le fascisme a promu ce processus de « socialisation » économique pour approfondir l’anticapitalisme et l’autarcisme, et dans laquelle l’Italie est devenue connue sous le nom de « République sociale italienne ».

Le 22 avril 1945 à Milan, le leader fasciste déclarera ce qui suit :

« Nos programmes sont définitivement à la hauteur de nos idées révolutionnaires et ils appartiennent à ce qu’on appelle en régime démocratique la « gauche » ; nos institutions sont le résultat direct de nos programmes et notre idéal est l’État travailliste. Dans ce cas, il ne fait aucun doute : nous sommes la classe ouvrière en lutte pour la vie et la mort, contre le capitalisme. Nous sommes les révolutionnaires à la recherche d’un nouvel ordre. S’il en est ainsi, invoquer l’aide de la bourgeoisie en brandissant le péril rouge est une absurdité. Le vrai épouvantail, le vrai danger, la menace contre laquelle nous luttons sans relâche, vient de la droite. Il n’est pas du tout dans notre intérêt d’avoir la bourgeoisie capitaliste comme alliée contre la menace du péril rouge, même au mieux ce serait une alliée infidèle, qui essaie de nous faire servir ses fins, comme elle a fait plus que une fois avec un certain succès. J’épargnerai les mots car c’est totalement superflu. En fait, elle est nuisible, car elle nous fait confondre les types de véritables révolutionnaires de quelque couleur que ce soit, avec l’homme de réaction qui utilise parfois notre langage même. « 

Six jours après cette déclaration qui confirme que le fascisme est socialiste, Benito Mussolini serait capturé et fusillé.

Son corps sera pendu à une balustrade en public.

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