Archive | novembre, 2018

Les « ressources naturelles et limitées » n’existent pas. Seules les ressources cornucopiennes existent.

Le cornucopien c’est l’explication du pourquoi les analyses Maltusiennes ne se sont jamais produites. C’est la réfutation du Maltusianisme.

Une règle économique intangible prouvée par tout ce qui c’est passé et se passera. Malheureusement, ce le cornucopien ne fait pas partie de l’enseignement économique en France, les sciences sociales, économiques et politiques sont tellement orientées en France que ce qui n’est pas Marxiste ou Keynésien, comme le cornucopien est totalement inexistant des livres économiques.

En France tout le monde connaît le théoriste Malthus, personne ne connaît le cornucopien qui explique, démontre pourquoi les Maltusiens se sont toujours trompés et leurs apocalypses statistiques de ressources naturelles limités ont étés réfutées par les faits.

Le cornucopien est un théorie liée à l’économie de marché qui prouve que les innovations technologiques permettront à l’humanité de subvenir éternellement à ses besoins matériels, eux-mêmes considérés comme source de progrès et de développement.

C’est une règle économique qui réfute le schéma de pensée et la modélisation économique, généralement des écologistes, mais pas seulement eux.

1980 – Le pari de Julian Simon, contre Paul Ralf Ehrlich. Cornucopien versus Malthusiens.

Julian Simon économiste cornucopien fut confronté dans un débat public en 1980 à Paul Ralf Enrich le lobbyiste écologiste le plus puissant des états unis de l’époque.

Selon la théorie développée par les « ressources naturelles limitées », Enrich argumentait comme aujourd’hui en France, Jadot, Macron Hulot et 98% de toute notre élite, 98% nos politiciens et la pensée unique dominante de 75% des gens.

Julian Simon l’économiste argumentait que les ressources ne sont pas « naturelles » et donc de ce fait pas « limitées ».

Paul Ralf Ehrlich soutenait que comme elles étaient rares, les prix aller augmenter, et qu’il fallait contraindre et diriger les populations vers les transformations sociétales. (Ça vous fait pas penser à la France de l’élite et la pensée sermonnée imposée?)

L’écologiste a présenté un futur modélisé sur pénuries et prix des ressources. Simon a donc proposé face à l’absence de compréhension de l’économie un pari de 10 000$ à Ehrlich. De choisir 5 ressources de son choix et qu’il était certain que toutes ne seraient pas « épuisées », et que « toutes » les prix dans une décennie allaient baisser.

Ehrlich sur de sa logique Malthusienne a accepté le pari et a choisit une liste de cinq métaux librement. Il se croyait certain de gagner. Il a choisit ceux qui lui semblait les plus à même de devenir de plus en plus rare.

Simon a gagné le pari, Ehrlich a été stupéfait et raillé. Les prix des 5 métaux ont fortement baissé au cours de cette décennie.

Fort de sa victoire, en 1990 Simon a proposé à Ehrlich de re-parier et de re-choisir librement la ressource qu’il voulait pour la décennie suivante. Ehrlich refusa un 2eme pari. Mais hélas cette leçon n’a jamais fait l’objet d’une ligne dans les livres d’économie de nos enfants et aujourd’hui en 2018 notre population mal informée croit que les ressources sont naturelles et limitées..

Il est vrai qu’expliquer cela c’est comme expliquer que la terre est ronde a un paysan du 10eme siècle, alors que tout semble faire penser logiquement cartésienne qu’elle est plate. Il faut prendre de la hauteur et comprendre comment fonctionne l’économie de marché, et ce qu’est réellement une ressource.

Il n’y a pas de « ressources naturelles ».

La notion semble loufoque mais ne l’est pas.

Julian Simon a gagné son pari, car il savait que ce que certains appellent « Ressources naturelles » ne sont jamais des « ressources naturelles ». Qu’une ressource ne fonctionne pas comme une bouteille de vin ou une fois consommé le litre, il n’y a plus rien.

Vous devez admettre que le bois, le fer ou du pétrole. Ces matériaux ont été créés par la nature, c’est pourquoi on les appelle «ressources naturelles». Mais dans la réalité l’association d’usage du mot « ressource » avec « naturelle » n’est pas la logique réelle. Au contraire, une ressource est anti-naturelle.

Il est vrai que la nature a créé ces matériaux, mais la nature ne les a jamais transformés en ressources.

La transformation d’une ressource, d’un matériaux n’est pas et n’a jamais été le fruit de la nature. Cela résulte exclusivement de la créativité, de l’intellect et des efforts de l’homme.

Le minerai de fer, n’est qu’une roche particulièrement riche en oxydes de fer. A l’état brut et naturel, la roche est inutile. Elle ne sert à rien.

La roche est devenue utile et ressource parce que les humains ont découvert que les oxydes de fer peuvent être transformés en fer en acier qui servent à des fins humaines.

La technologie a compris, inventé comment extraire les oxydes des roches pour les transformer en fer ou en acier.

Sans la créativité humaine, l’esprit et les efforts de transformation, le minerai de fer ne serait pas une ressource.

Pour résumé, ce qui fait la ressource, ce n’est pas la nature, mais l’homme.

En réalité, une « ressource naturelle » est en fait une « ressource humaine », c’est une des origine de l’incompréhension des malthusiens écologistes. On dit que la « ressource est cornucopienne. »

Le caractère d’un matériau en tant que ressource c’est l’ingéniosité humaine qui le décide et certainement pas la nature.

En conséquence, ce fait est vrai même pour la terre. Pour la grande majorité de l’existence humaine, la terre et la nature ne sont que le territoire sur lequel nous, comme toutes les autres créatures terrestres, marchons, nous reposons et dormons.

Maintenant que vous avez compris la différence de notion de la ressource, à la fois simple et surprenante. Une fois saisie, cette vérité est indéniable. L’implication dans le schéma de raisonnement économique change du tout au tout.

L’implication de la notion de ressource cornucopienne dans la pensée économique.

L’implication de voir la « ressource humaine (cornucopienne) » et non pas « naturelle » comme il est suggéré dans le langage courant est un changement total sur les conséquences de raisonnement.

La démonstration de Simon est à la fois simple et surprenante. Une fois saisie, la vérité engendre une ouverture d’esprit sur les ressources bien différenciée.

Les implications sont profondes, l’une des conséquence est la prise de conscience du fait que la quantité de ressources sur terre n’est pas fixe. Les ressources ne sont jamais épuisées.

Bien que la quantité de matière, la quantité de matière atomique sur la Terre soit fixe (sauf pour ce qui est livré par les météores, les astéroïdes et les astronautes), la quantité de ressources peut et doit augmenter à cause par la créativité et des efforts humains. Ce fait, à son tour, signifie que tant que les humains seront suffisamment incités à faire preuve de créativité, nous ne manquerons jamais de ressources ni ne subirons même un épuisement significatif de celles-ci.

Cette prédiction de Julian Simon contredit totalement non seulement la compréhension populaire, mais également les opinions de nombreux scientifiques.

L’opinion populaire, politique et professionnelle se trompe en supputant que les ressources sont créées par la nature. La nature ne fait rien pour mettre plus de pétrole, de magnésium, de bauxite et des ressources «naturelles» dans le sol et dans les mers, cet épuisement est caduque puisque les ressources ne sont pas « naturelles ».

Nous épuisons des réserves de matière première quotidiennement. Mais ce ne sont pas des ressources. C’est juste de la matière première.

Ce raisonnement conduit écolos, élite, politique à la conclusion que le seul moyen d’éviter une pénurie de ressources est de ralentir le taux de croissance économique, voire peut-être même d’arrêter complètement la croissance et se priver de matière première existante.

Quand vous prenez conscience par les faits des « réserves cornucopiennes »

Ça vous semble encore ambigu ? Vous êtes tellement attaché à la notion de ressources = matière première ou matière naturelle que vous n’imaginez pas qu’une ressource est dissocié de la nature et de ses réserves pré-supposées limitées pas vrai? Vous vivez sur une terre plate, le niveau à bulle, le mètre, la planche plate, l’horizon, le schéma logique en jeu à somme nulle qui fait le quotidien de chaque instant de votre vie, tout vous amène à croire qu’elle est plate, mais vous savez bien parce que vous êtes instruit qu’elle est ronde.

Les faits sont têtus. Les prévisions des ressources cornucopiennes illimités sont prouvées, les prévisions des tarissements des ressources naturelles ou Malthusiennes ne se sont jamais réalisé. Pas une seule fois.

La ligne de raisonnement Malthusienne des ressources naturelles sont contredites par les faits intangibles: les approvisionnements mondiaux en produits de base industriels n’ont pas diminué à l’ère industrielle, mais ont au contraire augmenté. Nous savons que ce fait est vrai car les prix des produits industriels ajustés en fonction de l’inflation sont beaucoup plus bas aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a près de deux siècles .

La baisse des prix est un puissant indice de l’augmentation de l’offre par rapport à la demande. Ainsi, malgré l’énorme augmentation de la demande de produits industriels (alimentée à la fois par la croissance économique et la croissance démographique) au cours des deux derniers siècles, la chute des prix réels des produits industriels indique une augmentation colossale de leur offre.

Le paradoxe : la croissance économique crée et augmente les ressources à l’inverse des utopies de décroissance.

Voici une implication encore plus étonnante et paradoxale des théories démontrées cornucopiennes: la croissance économique empêche l’épuisement des ressources au lieu de les engendrer.

La croissance le fait en nous enrichissant et, par conséquent, en nous accordant plus de temps et de moyens pour l’éducation des personnes qui appliqueront leur esprit à la tâche de trouver des moyens de produire des résultats en utilisant moins de matières première ou de trouver et d’extraire des ressources.

La croissance économique nous libère du piège malthusien. Cela permet ainsi à un nombre croissant d’esprits créatifs de survivre à l’âge adulte, puis d’interagir les uns avec les autres. Cette interaction croissante des esprits humains est elle-même créative car, à mesure que différentes idées se font concurrence et coopèrent, des idées nouvelles et meilleures se forment.

Alors maintenant quand vous entendrez un écolo, un décroissant, un gauchiste, un journaliste, un prof, un intello vous parler de réduction des ressources naturelles, vous saurez que cette personne ne connaît pas la science économique et ne pense qu’en jeu à somme nulle.

Vous prendrez aussi conscience que ces gens nous dirigent et nous influencent pour dépenser notre argent en direction de chimères. Vous pourrez aussi penser que ceux qui disaient que la terre était ronde, étaient minoritaires, mais avaient raison…

Vous verrez expliquer les réserves cornucopiennes a des gens qui croient que les réserves sont naturelles, c’est comme expliquer à l’archevêque de Paris que dieu n’existe pas.

C’est tellement remettre en cause son shéma de pensée quotidien.

Pour aller plus loin :

Video (Français) Pourquoi, selon Julian Simon, nos ressources sont-elles illimitées ?

Video (Anglais) Julian Simon explique sa compréhansion des ressources et du développement humain

Video Anglais) Julian Simon explique pourquoi les ressources ne dépendent pas de la nature.

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Transition énergétique. Une planification collectiviste que Mao ne pourrait pas renier

Le zèle de la France sur la lutte contre le CO2 est une folie furieuse. Une absence de raison evidente. Une hérésie totalitaire digne des plus grandes planifications communistes.

La transition énergétique. Une destruction économique à grande échelle pour une hypothèse générée par une modélisation tirée par les cheveux. Ce que nous sommes certains de réaliser avec la transformation énergétique, c’est une perte économique de plusieurs milliards pour les Français, un endettement massif, des taxes disproportionnées, la non linéarité de notre production énergétique, les fondements de notre industrie, et la remise en cause de notre système social, ainsi que la destruction de notre paysage.

Vous pouvez faire le parallèle avec les plans quinquennaux de Mao du grand bon en avant, ou une élite « sait » et vous impose de changer votre vie.

En Chine, la planification du grand bon en avant, sous Mao Tsé thoug , l’élite et l’établishment avaient décidé que les petits oiseaux c’était le mal absolu. Il fallait les détruire. C’étaient des nuisibles. Et croyez le, comme aujourd’hui, les sources d’information en 1958 vous en faisaient le sermon quotidien. En France, les gauchistes Français vantaient les mérites de la planification d’état Chinoise comme aujourd’hui ils vantent les planifications etatistes. La diabolisation des oiseaux était à son paroxysme.

Le résultat fut l’inverse de l’espéré, une destruction de l’économie rurale car sans oiseaux, d’autres nuisibles avaient pris la place pire qu’eux.

Ne voyez vous pas le parallèle avec le pétrole ?

Le pétrole, c’est pour l’etablisment le mal absolu. Il faut le détruire, c’est un nuisible. La diabolisation est a son paroxysme. A la place vous aurez des éoliennes non constructibles sans un subventionnement ou un passe droit, et qui produisent une électricité à 82€ le MW/h alors que le prix de marché moyen européen est à 45€ le MW/h.

Ne voyez vous pas le parallèle avec le grand bon en avant ? Un parallèle entre les fours à acier en Chine que l’on retrouve aujourd’hui dans les campagnes et ces éoliennes qui poussent partout et qu’on retrouvera demain rouillées. Une population mise a contribution auquel l’élite avait décidé que la production d’acier était le Graal. Chaque personne devait jeter dans des fours ses gamelles pour produire un acier de si mauvaise qualité qu’il ne valait rien, comme aujourd’hui vous êtes imposé à participer à la production d’éoliennes.

Savez vous qu’on ne sait rein du réchauffement climatique. Rien de rien.

La concordance entre accroissement du CO2 et réchauffement est supposée corellation. Mais concordance n’est pas corrélation. Voire corrélation à l’envers, le réchauffement faire produire plus de CO2.

Une hypothèse ou c’est fourvoyé l’élite, l’etablishment les partis et leurs églises les médias et leurs sermons quotidiens.

Reposer pragmatiquement la question de l’influence du CO2 sur le climat a tellement d’implications et d’intérêts pharaoniques que le débat est atomisé, écrasé par les intérêts de la nomenklatura d’état.

Chacun peut remarquer que remettre en cause l’hypothèse modélisée du GIEC, c’est comme expliquer au Cardinal de Paris que dieu n’existe pas.

Imaginez la caste devant la destruction économique, les milliards dépensées en pure perte de la « transition énergétique » leur démontrer que cette planification d’état est une planification de type communiste, que Mao ne renierait pas.

Les implications sont terribles si nous revenons au pragmatisme, et que nous prenions les modèles théoriques du GIEC pour ce qu’ils sont.

Des modèles hypothétiques empiriques et aucunement une certitude ou une réalité…

Le climat et les températures ont tellement d’agrégats, que le prévoir, c’est comme demander de prévoir l’économie et la parité du dollar en 2050.  Des nobels en économie refuseraient car ils n’auraient la prétention de le deviner.

L’élite c’est fourvoyée, en prenant ces hypothèses pour argent comptant. Elle engendre un tel impact économique social qu’elle ne pourra jamais l’admettre. Leur remise en cause est totale.

 

La plupart des gens comptent sur les médias pour avoir leur opinion sur le dioxyde de carbone (CO 2 ) dans l’atmosphère. Les reportages en 1986 indiquaient qu’en 1990 serait le début de l’apocalypse. Bien évidemment cela ne c’est pas produit.

Une large majorité croit encore à la peur du CO 2. 

Il n’existe toujours aucune preuve du prétendu réchauffement de la planète par le CO 2 de l’homme.

Même si l’on adopte les hypothèses, il n’y a rien d’autre que des hypothèses.

La politique Française de transition énergétique visant à éviter les émissions anthropiques de CO 2n’a aucun sens. Cela entraîne des charges folles, autodestructrices, Une destruction en règle de l’économie Française, du pouvoir d’achat des Français, de la nature et les paysages. 

Il s’agit d’un préjudice économique de plusieurs milliards d’€euros, à grande échelle donc l’impact est terriblement négatif.

Pas d’augmentation de la température globale du CO 2 au cours des quinze dernières années

Selon les données officielles, il n’y a pas eu d’augmentation globale de la température au cours des quinze dernières années, ce qui peut être attribué aux émissions de CO 2 . 

 

Il y toujours eu des fluctuations de température dans l’histoire de la terre.

Les variations de température de l’atmosphère ont toujours existé de manière considérable dans les temps pré-industriels. Il y avait des périodes de glace et des périodes chaudes. La science attribue cela aux éruptions solaires et au magnétisme, à l’activité volcanique, aux modifications de l’inclinaison de l’axe de la Terre, à la formation de vapeur d’eau et de nuages, au méthane, aux courants océaniques, aux rayonnements cosmiques, etc. 

Même aujourd’hui, ces facteurs sont erratiques, en partie rectifiés, en partie contraires à la température de l’atmosphère. Même si le CO 2 , qui n’a pas été prouvé, a un effet sur la température, il serait noyé sous l’effet de tous les autres facteurs.

 

Fluctuations également dans la proportion de CO 2 naturel dans l’atmosphère

Même la grande majorité du CO 2 naturel a toujours fluctué considérablement dans le passé. En manipulant la très faible proportion de CO 2 anthropique, aucune influence notable sur la température de l’atmosphère ne peut avoir lieu en relation avec les fluctuations de la proportion nettement plus importante de CO 2 naturel et les fluctuations aléatoires des autres facteurs déterminants pour le climat.

Incidemment, l’effet de refroidissement provoqué par la réduction de CO 2 risquerait de se produire précisément lorsque la nature reviendra au refroidissement.

 

Un modèle économique scientifiquement déguisé

La thèse a été établie pour la première fois en 1988 par le politicien et homme d’affaires Al Gore avec un certain nombre de co-investisseurs liés aux cercles onusiens. 

Dès le début, les thèses du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) se caractérisaient par un manque de caractère scientifique et une contrefaçon flagrante. Cela a commencé avec la mission fondatrice du GIEC, unilatérale, non illimitée et donc non scientifique.

Manipulations, contrefaçons, réinterprétations au nom d’une prétendue science

Le « mensonge de la courbe en forme de crosse de hockey », connue sous le nom de « Climategate » sont des manipulations sur ordinateur d’une manière très peu scientifique.

 

Aucune majorité de scientifiques ne décide du bien ou mal,

On le répète encore et encore, les 97% des scientifiques qui ont accepté la thèse du CO 2 n’ont rien a voir avec la recherche sur le climat.

Richard Tol, professeur des aspects économiques du changement climatique à l’Université d’Amsterdam, a mené une enquête approfondie sur la source de cette affirmation et a découvert qu’elle était totalement folle.

Pour avoir une place dans un université ou obtenir un financement universitaire, faire partie d’une pétition du GIEC est un avantage pour les scientifiques signataires.

Qu’un nombre de scientifiques qui croient que quelque chose est correct ou faux, n’a pas de valeur scientifique. Ce qu’il faut, c’est une démonstration scientifique pas un avis moral sur un sujet hors de vos points de compétence.

Les déclarations stupéfiantes des membres du GIEC. Le Professeur Steven Schneider, un auteur principal du GIEC, c’est exprimé publiquement avec ces propos

« C’est la raison pour laquelle nous devons annoncer des scénarios de poursuite de l’horreur, faire des déclarations dramatiques simplistes et ne pas mentionner nos doutes. Pour attirer l’attention, il faut des déclarations dramatiques et aucun doute sur ce qui est dit. Chacun de nous chercheurs doit décider dans quelle mesure il veut être honnête ou plutôt efficace. « 

Vous trouvez cette manière de présenter les choses scientifique ?

 

 

La pétition Lindzen de 300 scientifiques indépendants 2017 qui ont averti Trump

Des centaines de scientifiques indépendants, dont plusieurs lauréats du prix Nobel, ont protesté à plusieurs reprises contre ces thèses du GIEC. Cela est particulièrement clair dans la pétition du 23 février 2017 de 300 scientifiques américains indépendants dirigée par le célèbre professeur du MIT Richard Lindzen :

« Le dioxyde de carbone est un engrais végétal et non un poison »

 

« Nous soutenons des contrôles efficaces, abordables et directs, des polluants environnementaux courants, mais le dioxyde de carbone n’est pas un polluant. Au contraire, il existe de nombreuses preuves claires et sans équivoque que l’augmentation des niveaux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est très utile pour l’environnement afin d’améliorer les rendements des cultures et de mieux faire pousser d’autres plantes qui constituent la source de nourriture pour toute la vie. C’est un engrais végétal et non un poison « .

 

Cela a peut-être contribué à ce que les États-Unis a annoncé qu’ils se retiraient de l’Accord de Paris afin de disposer d’une marge de manœuvre suffisante pour le CO 2 , tout en approuvant l’émission de polluants environnementaux réels avec des lois sévères et, comme on le sait depuis la crise du diesel, des mesures d’application rigoureuses empêcher savoir. Les Américains ont choisit ! La lutte contre la pollution, pas contre le CO2.

 

Les milliards gaspillés par une élite Française trop zélée.

Les grandes nations comme les États-Unis, la Chine et l’Inde se comportent différemment de l’Europe et la France.

Étant donné que le gouvernement américain et d’autres grands États, tels que la Chine et l’Inde, sont passifs en ce qui concerne le CO 2 , il n’y a aucune raison de penser qu’ils seraient totalement indifférents aux conséquences négatives des émissions de CO 2 assumées par les alarmistes, sciemment et volontairement, exposer leur peuple et leur avenir à des dangers tels que les alarmistes les associent au CO 2 .

 

L’accord de Paris ne limite pas les émissions de CO 2

Contrairement au Protocole de Kyoto, qui prévoyait une limitation quantitative des émissions de CO 2 mais dont l’omission n’était nullement pénalisée, l’Accord de Paris ne prévoit plus de restriction quantitative. Sinon, peu de pays auraient adhéré.

Chaque membre doit simplement faire des déclarations qui sonnent bien, sans se soumettre à aucune restriction sérieuse. 

Comme dans le protocole de Kyoto, ils n’ont aucun risque à craindre s’ils n’atteignent pas leurs propres objectifs quantitatifs.

2 ans après l’accord de Paris, aucun pays signataire a tenu ses engagements. La honte suprême, Les USA qui ont refusé de les signer eux ont diminué leur rejets de CO2, c’est dire si c’est comique.

 

 

Dans son zèle aveugle, l’Europe et la France en particulier deviennent de plus en plus solitaires.

La question du CO 2 et de la protection du climat est abordée presque quotidiennement dans les médias. Il domine la politique. Il affecte massivement l’industrie automobile, le secteur de l’énergie, la classe moyenne et les consommateurs, et détruit la nature et le paysage. 

Un tel zèle aveugle est inconnu dans la plupart des autres pays. Les Pays-Bas viennent de cesser de promouvoir l’énergie éolienne. L’Espagne et la République tchèque n’investissent plus dans les énergies alternatives et la Suède envisage de revenir au nucléaire,

La transition énergétique en France est la seule au monde a réduire une industrie qui ne produit pas de CO2 pour le remplacer par un fardeau d’énergie aléatoires aussi dramatique.

La France stupéfié et la France aliénée

La France stupéfiée est en train de voir son travail, son pouvoir d’achat et ses libertés s’estomper, pendant que la France aliénée des villes bobos est aveuglée par l’idéologie.

Il est certain que la France est en train de détruire son industrie énergétique performante et la compétitivité de ses entreprises.

D’autres États ne se feront pas autant détruire par leur élite pour le CO 2

Les grands pays industrialisés, tels que les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon et d’autres pays dotés de capacités de recherche physique et météorologique solides ne compromettront pas la croissance économique et la compétitivité internationale en limitant les émissions de CO 2 . 

Le CO 2 n’est pas nocif, mais qu’il a des effets bénéfiques sur la végétation. C’est l’une des raisons pour lesquelles tous les efforts Français de réduction des émissions de CO 2 sont inutiles et vides de sens.

 

64 pays construisent en 2018 de nouvelles centrales électriques au charbon

Voici un exemple actuel : il y a actuellement plusieurs centaines de centrales au charbon en construction dans 64 pays, les mines de charbon se rouvrent partout dans le monde et on emmerde la liberté de circulation des Français.

C’est irresponsable.

La France élitiste poursuit la destruction de son économie dans une planification de type communiste

Avec l’élimination de la production d’électricité traditionnelle au moyen de l’énergie renouvelable, les anciens partis et l’élite veulent également poursuivre la destruction du fonds de roulement du pays par milliards, la destruction de la la capacité nucléaire moderne engendrera pénuries et coupures électriques.

Cela représente des centaines de milliards de dollars de dommages, au détriment des contribuables et des consommateurs, alors que d’autres pays développent cette capacité à grande échelle.

 

En résumé :

La transition écologique, énergétique et la lutte contre le CO2 est motivé par des statistiques hypothétiques modélisées dans des conditions extrêmement obscures et fondé sur la manipulation par la peur.

Il n’existe aucune preuve concluante et scientifiquement reconnue que les émissions de CO 2 ont une incidence importante sur la température de l’atmosphère. Les affirmations non prouvées de scientifiques et d’institutions proches du GIEC sont contredites par les conclusions contradictoires d’au moins autant de scientifiques indépendants et de lauréats du prix Nobel.

Les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon et l’Inde, leurs habitants ne sont pas harcelés ni obligés d’entrer dans une guerre pour réduire leurs émissions de CO2

En vertu de l’Accord de Paris, les principaux pays industrialisés tels que les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon et même l’Inde n’ont pris aucun engagement convaincant en matière de réduction des émissions de CO 2 et n’ont aucun moyen de les inciter à le faire. 

Dans les sciences empiriques, le principe selon lequel celui qui supporte la charge de la preuve repose sur des affirmations ou des thèses s’écartant d’une connaissance antérieurement valide. Il doit donc prouver ses thèses de manière scientifiquement reconnue ou falsifier l’état des connaissances. 

Par conséquent, les représentants de l’état actuel des connaissances ne sont pas obligés de réfuter de nouvelles thèses, car cela constituerait un renversement inadmissible de la charge de la preuve. 

Les alarmistes du climat sont incapables de fournir des preuves de la catastrophe climatique causée par le CO 2 anthropique depuis trente ans. Ce qu’ils offrent ne sont que du vulgaires modèles. 

Les modélisations ne sont pas des preuves. Il est doncirresponsable de mener des politiques énergétiques et environnementales aussi vastes et irréversibles sur une base aussi fragile. 

Maintenant, il s’agit de prévenir et d’arrêter de dégâts et de faire prendre conscience que le pays est devenu un pays collectiviste dirigé par une nomenklatura hors sol.

L’une des principales leçons de notre histoire, qui a vu tant de millions de vies innocentes sacrifiées dans le cadre de programmes visant à améliorer le sort de l’humanité, est la suivante : méfiez-vous de l’élite et des intellectuels.

Ils doivent faire l’objet d’une suspicion particulière lorsqu’ils cherchent à imposer des solutions collectivistes. Jamais rien n’est sorti de bon.

 

 

Pour aller plus loin :

Coût réel de l’énergie éolienne

Pétition lindzen

Rapport de l’ONU Rapport de l’ONU sur les changements climatiques : un choix entre « Mad Max et Hunger Games »

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Robert n’est pas dans la cible

Voici donc la réponse du gouvernement à la fiscalisation à outrance de l’état de la voiture et des taxes : des subventions.

 

Robert vit dans un village de montagne, il est artisan savonnier. Il fabrique du savon local et des cosmétiques dans son atelier et va le vendre aux marchés touristiques et marchés locaux dans les grandes villes, il a aussi quelques magasins de commerce local et de souvenirs comme clients. Il paye ses impôts, il a une famille des enfants, il n’est pas pauvre, il n’est pas riche. Il n’emmerde personne et il a une bonne reconnaissance sociale à travers ses amis, ses clients, son entourage et ses relations. Il ne fait pas de politique, il n’a pas le temps.

 

Robert vit aussi avec son époque, c’est un artisan moderne aussi, il a un petit site Internet marchand qu’il gère seul.

Ce n’est pas Amazon ou Cdiscount, mais ça participe à consolider son chiffre d’affaire, surtout l’hiver ou les marchés ont moins de touristes et les déplacements pour exposer ses savons ne sont pas toujours rentables.

 

L’activité de Robert est saisonnière. L’été quand les touristes sont là, c’est le plein boom, il fait plutôt du commerce. L’hiver le chiffre est plus bas et il réalise plus de fabrication.

En fait son bilan indique qu’il est rentable 6 mois sur 12. Les mois d’hiver, il travaille à perte et en été il doit générer assez de trésorerie pour vivre l’hiver.

Le carburant est pour lui une dépense contrainte et indispensable qui le désenclave de son village. Il est à bout des taxes, que des Énarques suffisants lui ont mis dans le pif.

 

Voici donc les mesures d’Édouard Philippe pour l’aider.

« surprime » à la conversion automobile

Il a un 4×4 Robert. Un Toyota pick-up hard-top de quelques années. Il faut dire que dans un village de montagne, pour transporter du savon sur des routes enneigées l’hiver, une voiture électrique, un vélo électrique ou la marche à pied ça ne fonctionne pas.

Là ou une voiture classique a une durée moyenne de vie de 10 ans, un 4×4 dépasse souvent les 20 ans. C’est du à la conception, à la résistance de ce type de véhicule.

Son véhicule est diesel de 5 ans.

Non, là ou il vit il ne prendra pas une Clio ou une voiture électrique. Ce serait s’acheter des problèmes. Pour lui le Pick-up est indispensable. Alors non il ne changera pas celui ci. En plus il vient d’investir dans un aménagement hard top de celui-ci, il n’a pas de trésorerie disponible pour changer de voiture.

La belle subvention de la prime à la conversion. C’est pas pour lui.

 

-Indemnité kilométrique élargie pour les gros rouleurs.

Il faut dire qu’avec les lacets en montagne, il roule Robert. Des kilomètres il en fait.

L’indemnité kilométrique, c’est ce truc qu’on rempli sur la feuille d’impôt et qui nécessite de prendre en compte ses frais réels.

Les frais réels sur une feuille d’impôt, c’est le bâton pour se faire battre. C’est le genre de truc qui te fait remarquer du fisc et qui te fait passer pour un dépiquant tueur d’enfant si tu calcules mal. Une case à se faire redresser fiscalement et prendre plein de pénalités.

Dans la réalité concrète, 50% de ceux qui pourraient bénéficier des déductions kilométriques y renoncent. En plus l’indemnité kilométrique est élargie que pour les petites voitures à bobo parisien.

Vous imaginez Robert avec une Twingo pour porter son étalage de savon au marché ?

La belle subvention de l’indemnité kilométrique. C’est pas pour lui.

 

-chèque énergie élargi

Le chèque énergie est une subvention pour les opportunistes. Ça concerne les gens qui gagnent mois de 7700€ par an et c’est pour leurs frais de chauffage. En France 75% de ceux qui y ont droit ne le savent même pas ou n’y ont pas recours. C’est juste un fichier pour pauvres. Un genre de concept affligeant étatique qui fait bien comprendre bureaucratiquement aux pauvres qu’ils sont pauvres.

Le chèque énergie. Ce n’est donc pas pour Robert.

 

-Le chèque carburant à la charge des régions.

C’est une somme de 20 euros par mois accordée sous condition de ressources par la région aux salariés, sous conditions.

Pas de chance Robert. C’est un chèque a discrimination de population. Il n’est réservé qu’aux salariés et fonctionnaires. C’est pas possible pour les indépendants, les artisans.

Un joyeux concept de l’inégalité professionnelle.

Il a pas de chance Robert, il n’y a pas droit.

 

Une prime à la casse pour remplacer la chaudière au fioul.

Robert il a une chaudière à fioul. Ici en haut de la montagne pas de gaz. Alors par quoi, la remplacer la chaudière ? Il n’y a que l’électricité.

La prime nécessite une transformation par un professionnel. Robert, pour monter 10 radiateurs et quelques prises électriques, avec ses doigts en or, en une matinée il les monte des radiateurs électriques. Un professionnel, pour lui c’est n’importe quoi. Il va mettre moins de temps à les poser qu’a déposer un dossier bureaucratique. Il a pas besoin qu’on lui dise quoi faire Robert. Il a depuis longtemps pesé le pour et le contre du chauffage au fioul. Personne ne pose dans sa buanderie une cuve à fioul pour le plaisir ou la décoration.

Le problème avec l’électricité, en montagne, le poids de la neige sur les sapins fait tomber ceux-ci sur les fils électriques. Chaque année Robert a droit à sa coupure électrique. Ici c’est pas Paris, l’accès avec 25 cms de neige sur la route, les réparations de remise en route ça peut demander plusieurs jours. En plus la chaudière à fioul de Robert, elle fonctionne très bien.

Non décidément, Robert il n’y aura pas droit à la subvention.

 

Alors qu’en retenir ?

Que Robert ne réclame rien. Mais qu’il en a raz le bol que l’état vienne l’emmerder pour dilapider le pognon en subventions à la con.

Que toutes ces subventions soi-disant pour inciter à mieux consommer l’énergie sont surtout une motivation a chercher des petits privilèges par l’état.

Cela signifie que l’état crée des incitations à se faire subventionner au lieu d’inciter à travailler.

Que l’opportunité d’être dans la bonne cible est plus payant que de gagner l’argent par son travail et être autonome.

Qu’au lieu de modifier les choses, les subventions ne créent qu’une inflation de demandes, et de taxes pour les couvrir.

Triste France qui forme à pleurer sa subvention, triste élite décalée, triste état, triste soviétisation de la société

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