Le « dilemme du Samaritain » c’est quoi ?
L’économiste James Buchanan a inventé l’expression « le dilemme du Samaritain » pour sa théorie. Il vient de la parabole biblique dans laquelle le marchand généreux a aidé l’homme battu et couché sur la route. Il le voit et paie les factures médicales et le remet sur pied.
Si on s’arrête à cette lecture, c’est une interprétation de gauche, le marchand est bon. Humaniste. C’est une bonne personne. Un « samaritain ».
Sauf qu’il existe une deuxième partie à l’histoire. La fois suivante le Samaritain emprunte la même route, il rencontre 3 autres personnes amis du 1er, qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit. Il les aide.
Il repasse encore et informés que c’est la route du samaritain, c’est ensuite 10 autres personnes qui ont besoin d’argent, de soins médicaux et d’un endroit sûr pour passer la nuit qu’il rencontre au nouveau voyage.
A chaque voyage, ils se multiplient. Très vite, le problème devient évident. Le Samaritain se retrouve obligé de dire non. Il doit retirer l’aide. Pour aider, il doit arrêter d’aider.
C’est une décision très difficile. L’aide ne peut pas être illimitée et on ne peut s’attendre à ce qu’elle devienne un abus du donateur et contraire aux intérêts du bénéficiaire.
La famille le lieu de découverte du « dilemme du Samaritain ».
Les parents découvrent cela avec les enfants. À un moment donné, vous devez couper l’aide financière pour les inspirer à l’indépendance. C’est l’un des moments les plus durs de la vie d’un parent : ça va à contre-courant. Les parents doivent mettre fin au soutien afin que l’enfant puisse trouver des façons créatives de vivre de manière autonome. Ils n’aiment pas ça. Les enfants vous remercient plus tard d’avoir fait la bonne chose. Plus tard.
Vous avez 2 enfants, frère et sœur. L’une est gestionnaire avec l’argent, paie ses dettes et a besoin d’un prêt rapide. Aucun problème. L’autre gaspille l’argent, il est en retard sur les factures. Lui prêter de l’argent perpétue le problème. Vous les aimez beaucoup tous les deux, assez pour ne pas permettre de mauvais choix.
L’aide ne peut pas être illimitée si vous voulez vraiment qu’elle soit utile. Savoir quand et comment le faire est un « art », pas une science.
Cela nécessite une expérimentation minutieuse au cas par cas. Il y a un moment dans le flux d’aide financière où il cesse d’aider et commence à subventionner l’oisiveté et les abus. Pour la maturité, pour la décence humaine, pour le respect de soi, il faut absolument qu’arrive finalement ce point où l’aide doit s’arrêter complètement.
La leçon s’applique à une vaste gamme de raisons.
La politique migratoire est un sujet auquel cette théorie s’adapte.
Le problème des aides aux migrants est précisément un cas de « dilemme du Samaritain »..
Les habitants de notre pays ont découvert qu’essayer de les aider est une bonne chose, mais que trop d’aide attire davantage. Le problème que vous cherchiez à résoudre s’aggrave. Le peuple de France a compris que tous les habitants du monde vient de partout pour vivre de la bienveillance du pays et ds aides sociales.
Ainsi va-t-il. Aider semble bien. Zemmour est le porte parole du « dilemme du Samaritain ».
Pourquoi les intellectuels comprennent moins vite que la population le « dilemme du Samaritain » qu’engendre les politiques d’aides migratoires ?
La théorie du « dilemme du Samaritain » n’est pas apprise à Science Po d’où les contradicteurs de Zemmour sortent majoritairement.
Les intellectuels et politiciens sont sociologiquement des enfants des sciences humaines et sociales. Plus payés en fonction d’un statut, d’une compétence indifféremment de l’encaissement des factures de son travail.
Une personne dans le commerce ou l’entrepreneuriat sociologiquement plus de droite, est bien plus a même de percevoir le « dilemme du samaritain » qu’un intellectuel de gauche. Toutes les serveuses dans un bar on étés un jour confronté au client qui lui a demandé de faire crédit pour un café qu’il paiera demain. Elle sait que même si la majorité est sincère, que même si c’est un voisin ou un client régulier, il arrive parfois que l’un d’entre eux ne revient pas et qu’en conséquence, lorsque qu’elle se trouve confronté à une telle demande, même comprenant, elle ne peut pas toujours aider sans prendre un risque que cela devienne un habitude ou un impayé.
Le terain et l’expériance du contact social est bien meilleur école pour comprendre « qui est qui’ que ne le sait le meilleur intellectuel diplomé en science sociale ou humaine de notre pays.
Zemmour radical ou contradicteurs pro-migrants irresponsables ?
Ne pas aider les migrants n’est pas une idée si radicale, encore moins cruelle.
Si vous nettoyez toujours après vos colocataires, ils ne prendront jamais la responsabilité de leurs propres dégâts. Si les personnes qui prennent des risques irresponsables en escaladant la montagne sont toujours secourues aux frais de l’État, les aventuriers ne calculeront jamais correctement les coûts des risques qu’ils encourent. C’est pourquoi les randonneurs doivent payer leur propre sauvetage.
Cela semble cruel ? Pour un irresponsable intellectuel de gauche, mais factuellement pas vraiment. Parfois, vous devez retirer de l’aide pour inciter à une prise de décision appropriée.
Il n’y a pas de règle absolue sur la quantité d’aide qui est trop d’aide, pas de point précis où vous êtes allé trop loin et avez causé plus du problème que vous essayez de résoudre.
Pourtant, il est tout à fait insensé de ne pas admettre que le dilemme du Samaritain est réel.
Elle fait partie de la vie telle que nous la connaissons et elle apparaît partout. C’est le grand problème auquel est confronté quiconque cherche à faire le bien.
Ce qui nous amène au penchant des progressistes et de l’extrême gauche à tout promettre gratuitement. Soins de santé gratuits.
Des emplois pour toujours. Jamais aucun problème, grâce aux impôts illimités et à l’emprunt public. Pas de limites. Omniprésent, illimité, à jamais générosité !
Si vous êtes contre, comme Zemmour, vous êtes méchant vous serez accusé de « raciste. Cruel. Une mauvaise personne.
Rassurez vous, Vous ne l’êtes pas. Vous êtes juste rationnel qui sait mettre le contradicteur en face de son « dilemme du Samaritain ». Et que derrière l’étiquetage il n’y a pas d’argument rationnel.
https://en.wikipedia.org/wiki/Samaritan%27s_dilemma
https://promarket.org/2021/09/26/buchanan-samaritan-dilemma-economic-history/
Par S Lequidam
Twitter : @lequidampost
Blog : www.lequidampost.fr
]]>Le prochain président des Etats-Unis n’aura pas besoin du monopole des médias progressistes. Il est en train de créer son propre média qui va les concurrencer.
Devinez qui dispose de 1 milliard US$ de cash pour construire un système pour concurrencer Twitter, Facebook et échapper à la censure politique progressiste en monopole des médias progressistes et d’extrême gauche pro-démocrates?
Donald Trump avec sa société « Trump Media & Technology Group (TMTG) ».
Trump a commenté l’engagement de financement :
« Un milliard de dollars US envoie un message important aux Big Tech que la censure et la discrimination politique doivent cesser. L’Amérique est prête pour Truth Social, une plate-forme qui ne discrimine pas sur la base de l’idéologie politique »,
Donnald Trump construit le clone Twitter et Facebook et le message est clair, il en a les moyens. 1 milliards, ce n’est pas une plaisanterie. C’est du concret pour se payer les censeurs.
L’ancien président américain Trump a obtenu le soutien d’investisseurs anonymes pour le développement de son alternative à Twitter et Facebook : Truth Social.
Donald Trump a obtenu un milliard de dollars US pour financer son réseau social Truth Social. La société nouvellement formée Media & Technology Group (TMGT) de Trump reçoit un soutien financier de la part de Digital World Acquisition Corp. (DWAC). Le capital provient d’un groupe hétérogène d’investisseurs institutionnels.
Trump a utilisé en effet levier la société « Digital World » une SPAC. Une SPAC se traduit en Français par « Société d’Acquisition à Usage Spécial ». Une SPAC aux USA, c’est un groupe d’investisseurs qui lève des fonds pour une société écran sans activité commerciale juste destiné à lever de l’argent pour un grand projet. La SPAC devient connue pour l’investisseur, généralement pour 10 $ l’action, puis augmente sa valeur au fur et à mesure du nombre d’investisseurs ou des montants qui composent le capital.
Digital World a initialement levé 239 millions de dollars. Après l’annonce de la fusion avec TMTG, le cours de bourse a plus que décuplé. Une fois que la fusion sera totalement terminée, seule la société de Trump (TMTG) sera cotée en bourse.
Trump devrait recevoir alors des dizaines de millions d’actions gratuites, ce qui devrait représenter une valeur comptable d’au minimum 2 milliards à plusieurs milliards.
Trump a annoncé que pour la création et le fonctionnement il disposait dors et déjà 1 milliard de cash.
La date de lancement officielle de Truth Social n’a pas encore été fixée. Les médias progressistes jamais en mal de dénigrement on fait les titres pour expliquer qu’un certain nombre de pirates et d’attaquants avaient déjà réussi à accéder au réseau en cours d ‘élaboration. En fait ils se sont attaqué à une version de démonstration imparfaite juste vitrine de démonstration.
Techniquement, la première présentation semblait être basé sur le logiciel libre Mastodon. La presse Maelstrom a gargouillé sur le fait que le code de Mastodon est sous licence.
Dans le réel, personne ne sait. La version définitive s’en inspirera peut être, mais rien n’est écrit, On verra le 1er trimestre 2022.
On l’oublie, mais Donald Trump à lui seul regroupait 81,8 millions d’abonnés sur Twitter.
C’était le 10eme compte en nombre d’abonnés , et le 1er en suivit régulier.
20% des Américains suivaient son compte, et ses Tweets faisaient la une et les commentaires de toutes les presses du monde entier.
Il dispose en plus de son cash, d’une base de fidèles pour le lancement de Truth Social et le potentiel de son nom est un effet levier pour un décollage vertical.
On l’oublie aussi, mais les entreprises sur Internet disparaissent aussi quand un compétiteur arrive. Qui se souvient de Alta-Vista, ou Lycos, les incontournables d’une certaine époque, de AOL ou Netscape ?
Truth Social ira t-il jusque éliminer et remplacer Twitter ou Facebook ?
Va savoir !
Par Spartacus Lequidam
Tweeter : @lequidampost
Blog : www.lequidampost.fr
]]>Les Antifa ignorent les origines du racisme, ils imaginent que c’est de droite, Rien n’est plus faux et mensonger, les racines idéologiques du fascisme, et surtout, un grand malentendu sur les principes collectivistes que le mouvement de socialisme autoritaire a promulgués. Pour mieux comprendre cette idéologie, il est nécessaire de connaître en profondeur la vie, les croyances et les principes à la fois de ses dirigeants politiques (comme Benito Mussolini) et de ses dirigeants philosophiques (comme Giovanni Gentile).
Mussolini était un militaire, journaliste et homme politique italien qui a été membre du Parti socialiste italien pendant 14 ans. En 1910, il est nommé rédacteur en chef de l’hebdomadaire La Lotta di Classe (La lutte des classes), et l’année suivante, il publie un essai intitulé « Le Trentin vu par un socialiste ». Son journalisme et son activisme politique l’ont conduit à la prison, mais peu après sa libération, le Parti socialiste italien, de plus en plus fort et ayant remporté une importante victoire au Congrès de Reggio Emilia, l’a nommé à la tête du journal milanais Avanti !
Cet intense activisme politique est suivi de la Première Guerre mondiale, qui marque un tournant dans la vie de Mussolini. Au début, le leader du Parti socialiste faisait partie d’un mouvement anti-interventionniste, qui s’opposait à la participation de l’Italie à la Première Guerre mondiale. Cependant, il a ensuite rejoint le groupe interventionniste, ce qui lui a valu d’être expulsé du Parti socialiste.
Mussolini a participé à la guerre et a profité du mécontentement du peuple italien, en raison des quelques avantages obtenus par le traité de Versailles. Il en a ensuite reproché à ses anciens camarades du Parti socialiste, et c’est à ce moment-là qu’il a commencé la formation des Fasci Italiani di Combattimento, qui deviendront plus tard le Parti fasciste italien.
S’appuyant fortement sur les sentiments nationalistes qui ont fleuri à la suite du combat, Mussolini est arrivé au pouvoir par la main de la violence, luttant contre les socialistes traditionnels et se cachant dans le célèbre escadron des chemises noires. Ce n’est qu’alors que le complexe idéologique du fascisme commencera à prendre forme.
Pratiquement tout le monde sait que Karl Marx est le père idéologique du communisme et du socialisme et qu’Adam Smith est le père du capitalisme et du libéralisme économique. Savez-vous, en revanche, qui est l’esprit derrière le fascisme ? Il est fort probable que non, et je peux vous dire d’avance que le philosophe derrière le fascisme était aussi un socialiste avoué.
Giovanni Gentile, philosophe néo-hégélien, était l’auteur intellectuel de la « doctrine du fascisme », qu’il a écrite en collaboration avec Benito Mussolini. Les sources d’inspiration de Gentile étaient des penseurs tels que Hegel, Nietzsche, et aussi Karl Marx.
Gentile est allé jusqu’à déclarer que « le fascisme est une forme de socialisme, en fait, c’est sa forme la plus viable ». L’une des réflexions les plus courantes à ce sujet est que le fascisme est lui-même un socialisme fondé sur l’identité nationale.
Gentile croyait que toute action privée devait être orientée pour servir la société. Il était contre l’individualisme, pour lui il n’y avait pas de distinction entre intérêt privé et intérêt public. Dans ses postulats économiques, il a défendu le corporatisme d’État obligatoire, voulant imposer un État autarcique (essentiellement la même recette qu’Hitler utilisera des années plus tard).
Un aspect fondamental de la logique de Gentile est que la démocratie libérale était nuisible parce qu’elle était centrée sur l’individu, ce qui a conduit à l’égoïsme. Il a défendu la « vraie démocratie » dans laquelle l’individu doit être subordonné à l’État. En ce sens, il a promu des économies planifiées dans lesquelles c’était le gouvernement qui déterminait quoi, combien et comment produire.
Gentile et un autre groupe de philosophes ont créé le mythe du nationlisme socialiste, dans lequel un pays bien dirigé par un groupe supérieur pouvait subsister sans commerce international, tant que tous les individus se soumettaient aux desseins du gouvernement. L’objectif était de créer un État corporatif. Il faut se rappeler que Mussolini était issu du Parti socialiste italien traditionnel, mais en raison de la rupture avec ce mouvement marxiste traditionnel, et en raison du fort sentiment nationaliste qui prévalait à l’époque, les bases de la création du nouveau « socialisme nationaliste », qui ils ont appelé le fascisme, ont été renversés.
Le fascisme a nationalisé l’industrie de l’armement, cependant, à la différence du socialisme traditionnel, il ne considérait pas que l’État devait posséder tous les moyens de production, mais plutôt qu’il devait les dominer. Les propriétaires d’industries pouvaient « conserver » leurs entreprises, tant qu’ils servaient les directives de l’État. Ces propriétaires d’entreprises étaient supervisés par des agents publics et payaient des impôts élevés. Essentiellement, la «propriété privée» n’était plus une chose. Il institue également l’impôt sur la fortune, la confiscation des biens des congrégations religieuses et l’abolition des rentes épiscopales. L’étatisme était la clé de tout, grâce au discours nationaliste et collectiviste, tous les efforts des citoyens devaient être en faveur de l’État.
Le fascisme prétendait s’opposer au capitalisme libéral, mais aussi au socialisme international, d’où le concept d’une « troisième voie », la même position qui sera détenue par le péronisme argentin des années plus tard. Cette opposition au socialisme international et au communisme est précisément ce qui a causé tant de confusion dans la localisation idéologique du fascisme, du nazisme et aussi du péronisme. Après s’être opposées à la gauche marxiste internationaliste traditionnelle, celles-ci ont été attribuées au courant des mouvements d’ultra-droite, alors que la vérité est que, comme cela a été démontré, leurs politiques économiques centralisées obéissaient à des principes collectivistes et socialistes, s’opposant ouvertement au capitalisme et au marché libre, favorisant nationalisme et autarcie.
En ce sens, comme l’a établi le philosophe créateur de l’idéologie fasciste, Giovanni Gentile, le fascisme est une autre forme de socialisme, « ce n’était pas une bataille de la gauche contre la droite, mais une lutte entre différentes idéologies de gauche, un internationaliste et un nationaliste. »
En fait, en 1943, Benito Mussolini a promu la « socialisation de l’économie », également connue sous le nom de socialisation fasciste ; pour ce processus, Mussolini a demandé l’avis du fondateur du Parti communiste italien, Nicola Bombacci ; le communiste était le principal auteur intellectuel du « Manifeste de Vérone », la déclaration historique avec laquelle le fascisme a promu ce processus de « socialisation » économique pour approfondir l’anticapitalisme et l’autarcisme, et dans laquelle l’Italie est devenue connue sous le nom de « République sociale italienne ».
Le 22 avril 1945 à Milan, le leader fasciste déclarera ce qui suit :
« Nos programmes sont définitivement à la hauteur de nos idées révolutionnaires et ils appartiennent à ce qu’on appelle en régime démocratique la « gauche » ; nos institutions sont le résultat direct de nos programmes et notre idéal est l’État travailliste. Dans ce cas, il ne fait aucun doute : nous sommes la classe ouvrière en lutte pour la vie et la mort, contre le capitalisme. Nous sommes les révolutionnaires à la recherche d’un nouvel ordre. S’il en est ainsi, invoquer l’aide de la bourgeoisie en brandissant le péril rouge est une absurdité. Le vrai épouvantail, le vrai danger, la menace contre laquelle nous luttons sans relâche, vient de la droite. Il n’est pas du tout dans notre intérêt d’avoir la bourgeoisie capitaliste comme alliée contre la menace du péril rouge, même au mieux ce serait une alliée infidèle, qui essaie de nous faire servir ses fins, comme elle a fait plus que une fois avec un certain succès. J’épargnerai les mots car c’est totalement superflu. En fait, elle est nuisible, car elle nous fait confondre les types de véritables révolutionnaires de quelque couleur que ce soit, avec l’homme de réaction qui utilise parfois notre langage même. «
Six jours après cette déclaration qui confirme que le fascisme est socialiste, Benito Mussolini serait capturé et fusillé.
Son corps sera pendu à une balustrade en public.
]]>Alors que les systèmes de santé du monde entier ont été confrontés à des défis sans précédent, Israël est devenu le leader des pays vaccinés, en grande partie grâce à Magen David Adom.
A la différence des pays occidentaux, les services d’urgence de ce pays sont « sous traités » par une association. Magen David Adom.
Elle est principalement composé de bénévoles et compte plus de 10 000 personnes qui offrent plus d’un million d’heures-homme par an.
Il y a 3,1 médecins actifs pour 1000 habitants en Israël, un ratio plus élevé que dans les pays occidentaux, (comme la France 3,1/1000).
Il y a nettement beaucoup moins d’infirmières, 5,1 infirmières pour 1000 habitants, comparé à la moyenne des pays de l’OCDE de 8,7 infirmières pour 1000 habitants ou la France à 9,9 pour 1000habitants.
Pour compenser, Israël utilise beaucoup plus des assistants médicaux, et les urgences ne sont pas a charge des secus, mais d’une association. Ce particularisme, fait que l’organisation Israélienne est en matière de gestion de crise et d’urgence l’une des meilleure du monde.
La vaccination montre a quel point cela fait la différence.
Les patients arrivent dans les centres de vaccination montés en extérieurs ou dans les stades de football, les bénévoles se déplacent dans les maisons de retraite.
Les patients glissent leur carte d’assurance et obtiennent un numéro. Lorsque leur numéro est appelé, les bénévoles les escortent jusqu’aux cabines de vaccination où des médecins, des infirmières et des assistants médicaux formés specialement à l’injection du vaccin leur font l’injections du vaccin Pfizer/BioNTech dans leurs bras.
Israël est le leader mondial du taux de vaccination par habitant. Commencé depuis le 19 décembre, aujourd’hui plus de 20% de la population du pays de 10 millions d’habitants soit environ 2 millions d’habitants, ont déjà reçu la première dose du vaccin Covid-19 :
Depuis le 14 janvier, 400 000 personnes ont reçu la seconde.
Au cours des dernières semaines, le pays a réussit a vacciner 150 000 personnes par jour. La priorité est allée aux personnes de plus de 60 ans et aux agents de santé, cependant, afin d’éviter de gaspiller des injections qui pourraient gâcher, elles sont aussi administrées aux personnes au bon endroit au bon moment. Par exemple, si vous accompagnez une personne qui se fait vacciner même si vous n’êtes pas âgé, et que vous êtes en avance au rendez vous, vous y passez aussi, il n’y ‘a pas de temps a perdre, l’important c’est de vacciner.
Israël s’est également engagé à réserver une deuxième dose à tous ceux qui ont reçu la première. Les rendez-vous du 2eme vaccin est prévus 21 jours au jour, à l’heure et la minute après le premier vaccin.
Si vous avez été vacciné le 2 janvier à 15h47, vous avez un nouveau rendez vous le 23 janvier à 15h47 précise au même endroit. Et des SMS vous seront renvoyé en rappel une semaine avant, une journée avant, 12h avant, une heure avant.
Le 7 janvier, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé que le pays avait conclu un accord avec Pfizer pour livrer plus de vaccins, dans le but de vacciner tous les citoyens de plus de 16 ans d’ici la fin du mois de mars.
« Nous serons le premier pays au monde à émerger du coronavirus », a déclaré Netanyahu
Les efforts de vaccination d’Israël se déroulent parallèlement à une augmentation rapide des cas de coronavirus.
Les cas positifs de Covid-19 dans le pays ont atteint leur plus haut niveau en début 2021, avec environ 7 000 personnes testées positives chaque jour .
Israël fait également face à une nouvelle élection en mars . Un déploiement agressif de la vaccination sera probablement un coup de pouce pour Netanyahu.
L’une des particularité d’Israël, c’est que les services d’urgence ne sont pas à la charge des sécus(HMO)
La population d’Israël a 4 secus universelles (HMO)et chacun choisit la sienne. Si tout le monde peut aller dans n’importe quel hôpital ou clinique, les sécus disposent d’un parc de cliniques ou hôpitaux en propre.
Le système universel est financé par une taxe sur les salaires de 5% et l’état réparti au prorata du nombre d’adhérents la taxe. Ces 4 secus sont les plus est numérisées au monde. Cela facilite le suivi et la communication avec les usagés.
Tous les citoyens israéliens sont inscrits dans l’une des 4 sécus (HMO) pour leurs soins. Chacun est numérisé et a un numéro d’identification un peu en la France à la différence, c’est que chacun choisit sa secu (HMO) et peut passer d’une à l’autre selon les options que chacune des 4 offre en plus des soins primaires obligatoires.
Les sécus se sont mis en harmonie avec l’association Magen David Adom pour une mise en place du système de distribution le plus efficace pour faire sortir le vaccin dans les communautés, employant leurs infirmières, médecins et bénévoles formés de Magen David Adom pour administrer les vaccins,
Dès que les HMO et l’association MDA ont obtenu des informations du ministère de la Santé sur la façon d’administrer les vaccins, ils ont commencé à organiser les employés et l’infrastructure dont ils disposaient sur la meilleure façon de le faire.
Des arènes comme le Pais à Jérusalem, ou la place Rabin, au centre de Tel Aviv . Les théâtres et les centres culturels, autrement vides en raison des restrictions pandémiques, ont été convertis en sites de vaccination. Un parc dans la ville de Raanana, où un HMO a loué un endroit près d’un lac artificiel pour que les gens puissent attendre dehors et dans les maisons de retraite.
La communication est un autre élément clé de la riposte vaccinale : indiquer aux gens exactement où aller et quand.
C’est pas comme la farce en France ou c’est le patient qui doit appeler pour trouver un centre.
Les Israéliens sont habitués à recevoir des communications par SMS en général, de la part des HMO, ce qui a contribué à faciliter la communication sur la vaccination.
Par Spartacus Lequidam
Tweeter : @lequidampost
Blog : www.lequidampost.fr
]]>Sans avertissement préalable, Ron Paul a été empêché d’accéder à la plate-forme où il compte 1,2 million d’abonnés et pour la première fois de sa vie, il a été réduit au silence.
Ron Paul, est un partisan du libertarianisme, il préconise un État fédéral au rôle limité, de faibles impôts, des marchés libres, une politique étrangère non interventionniste ainsi qu’un retour à des politiques monétaires basées sur des métaux (or, argent) pour étalon.
Ses positions républicaines sont proche de Trump sur certains sujets et éloignées sur d’autres.
L’ancien législateur et triple candidat à la présidence américaine, le libertarien Ron Paul, a donc été réduit au silence par Facebook.
Son fils, le sénateur Rand Paul, a souligne dans un Tweet, que la promotion de la liberté est considérée comme une sédition pour Facebook.
La censure des opinions est à l’ordre du jour par les grandes entreprises technologiques.
Pendant la campagne électorale déjà il avait déjà reçu la censure, sa vidéo de Ron Paul Liberty Report, a été censurée sur YouTube en septembre 2019, compte tenu d’un soi-disant viol des « Règles de la communauté » de, pratiques trompeuses et escroqueries. »
Après une enquête plus approfondie on a découvert que ce qui avait commis le péché terrible (défini par Youtube) de ne pas être d’accord avec les directives de l’OMS sur Covid-19. Alors que l’OMS elle-même a modifié à plusieurs reprises ses directives sur la pandémie, les utilisateurs ordinaires ne sont pas autorisés à « Contester l’efficacité des recommandations de l’OMS. ».
Ils ont commencé avec le président Donald Trump et la boule de neige s’est abattue sur le libertarien le plus remarquable des USA : Ron Paul.
Sans avertissement, l’homme de 84 ans n’a pas été autorisé à accéder à la plateforme où il compte 1,2 million d’abonnés.
Lorsque la censure contre le président Trump a commencé, d’innombrables libéraux ont souligné que, comme il s’agissait d’entreprises privées, ils étaient en liberté.
Cependant, comme de plus en plus de personnes sont touchées, la connivence qui existe entre les entreprises et le pouvoir de l’État est évidente.
Comme l’a souligné le secrétaire d’État sortant Mike Pompeo,
Twitter a fonctionné de telle manière qu’il a profité au Parti démocrate et a nui au Parti républicain.
Maintenant, ils font même taire les référents libertariens, comme Ron Paul, qui depuis 1976 a été actif dans la diffusion politique des idées libertariennes et pour la première fois de sa vie a été réduit au silence .
Les nouveaux monopoles
Le corporatisme a nourri les monopoles qui déterminent aujourd’hui à qui se taire. Non seulement ils réduisent le profil des utilisateurs, mais leur refusent lentement l’accès à Internet.
Tout comme à Cuba, où le Parti communiste a le monopole des services et détermine par conséquent qui peut les avoir, dans ce qui était autrefois la terre de la liberté jusqu’à présent, où les exilés du monde ont fui, maintenant il a fait taire les voix.
La campagne du président Trump a même perdu l’utilisation de son courrier électronique pendant plus de deux jours.
Depuis sa campagne électorale de 2016, Trump est accusé par ses opposants d’être un tyran, fasciste, nazi, autoritaire, etc.
Cependant, c’est depuis son départ imminent du pouvoir que les rues de la capitale ont été militarisées et la liberté d’expression limitée. Pas l’inverse.
L’autoritarisme se cache
Cette situation rend le poème de Martin Niemöller plus pertinent que jamais.
« (…) Ils sont d’abord venus chercher les communistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas communiste.
Puis ils sont venus chercher les juifs et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas juif.
Puis ils sont venus chercher les syndicalistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas syndicaliste.
Puis ils sont venus chercher les catholiques et je n’ai rien dit parce que j’étais protestant.
Puis ils sont venus me chercher, mais à ce moment-là, il n’y avait plus personne à qui dire quoi que ce soit. »
L’avertissement de Niemöller est clair : n’attendez pas que l’autoritarisme frappe à votre porte, car il pourrait être trop tard.
La « Big Tech » contre Trump
Trump a rompu avec la figure traditionnelle du président. Il n’est pas diplomate. C’est un homme d’affaires, frontal. C’est pourquoi il a provoqué des passions, de l’amour et de la haine si contradictoires.
Étant une figure si polarisante, ses détracteurs ont applaudi ou sont restés passifs face à la censure à son encontre. Eh bien, ils allèguent qu’il a incité à la violence, à la suite des événements du 6 janvier au Capitole.
Mais son discours montre le contraire, il a appelé à la paix, au respect de l’autorité et en se rappelant qu’il représente le parti de la loi et de l’ordre.
Cependant, les médias de masse ainsi que les réseaux sociaux ont supprimé son message et l’ont accusé de provoquer les émeutes et de justifier la censure à son encontre.
Alléguant qu’il mettait en danger les institutions du pays, la « BIG TECH » s’est attaquée au premier amendement de la Constitution Américaine : la liberté d’expression.
Comme l’a dit Benjamin Franklin, « ceux qui renoncent à la liberté essentielle pour acheter un peu de sécurité temporaire ne méritent ni liberté ni sécurité. »
Par Spartacus Lequidam
Tweeter : @lequidampost
Blog : www.lequidampost.fr
]]>Voici donc une lettre soi-disant écrite par 83 millionnaires pour réclamer plus de taxes.
Pour la presse de gauche qui déteste les réussites, les talents et l’enrichissement, qui fait la promotion de cette manipulation grossière, c’est du caviar.
Ne sont-ils pas de gentils et plein d’idées étatistes ces millionnaires et si désoeuvrés ?
Voici ce qu’ils écrivent :
Les problèmes causés par et révélés par Covid-19 ne peuvent être résolus avec la charité, aussi généreuse soit-elle. Les chefs de gouvernement doivent prendre la responsabilité de lever les fonds dont nous avons besoin et de les dépenser équitablement. Nous pouvons nous assurer de financer adéquatement nos systèmes de santé, nos écoles et notre sécurité grâce à une augmentation d’impôt permanente sur les personnes les plus riches de la planète, des gens comme nous. »
Contrairement à des dizaines de millions de personnes dans le monde, nous n’avons pas à nous soucier de perdre nos emplois, nos maisons ou notre capacité à subvenir aux besoins de nos familles. Nous ne nous battons pas en première ligne de cette urgence et nous sommes beaucoup moins susceptibles d’en être les victimes.
Donc s’il vous plaît. Taxez-nous. Taxez-nous. Taxez-nous. C’est le bon choix. C’est le seul choix.
L’humanité est plus importante que notre argent.
Les signataires »
La raison de cette lettre dictée qui dégouline de clichés est telle, qu’on peut vraiment développer une animosité envers les millionnaires, du moins envers cette mini-minorité pitoyable de ces 83 qui se sont réunis ici pour montrer leur pseudo-altruisme et leur pseudo-bonté en faisant l’apologie de la coercition de l’état et leur absence d’empathie personnelle pour ne pas faire par eux même le bien autour d’eux.
Mais qui sont ces gens qui culpabilisent d’être riche et signent cette lettre lettre pour se faire croire vertueux et plein d’altruisme ?
Rassurez vous, ils ne représentent pas les plus riches, vous n’y Trouverez pas Bill Gates ou Carlos Slim.
Ne croyez pas les médias. Ils ne représentent pas les « millionnaires », mais une minorité de parvenus indécents.
La majorité d’entre eux sont des millionnaires de l’état ou des rentiers.
Les fondateurs d’usines de glace Américaine ont vendu leur affaire. Ils ne vivent que de placements.
Par curiosité allez voir les « français de la liste ».
Les Français sont la caricature de la caricature. Des profiteurs de marché d’état ou factures de services aux sociétés, entreprises ou groupes subventionnés de l’état. IL est vrai qu’avec 57% de prélèvements, l’impôt, c’est leur gamelle.
Beaucoup d’entre eux sont effectivement des désœuvrées, ils ne sont pas sur « société.com », et à l’évidence sont des salariés qui ne savent pas ce qu’est prendre des risques ou monter sa boite sans filet.
Il y en a un qui est un privilégié de la gamelle de l’état comme ancien des sociétés d’états, ex-cadre supérieur d’EDF et de la banque de France. Il a co-fondé une entreprise avec une 1ere commande assurée de son ex-employeur la banque de France et ses contrats sont des services aux entreprises publiques. Il ne paye même pas EDF. L’état et les impôts pour lui c’est jackpot.
Comme si les impôts ou le gouvernement étaient la réponse, En France, ce pays en économie de favoritisme, avec 57% du PIB prélevé devrait selon cette logique être le pays au monde sans aucun pauvre.
Aucun des crétins de ces 83 millionnaires ne se considère auto-responsable et capable du libre arbitre de son argent.
Ces bobos sont ils a ce point désœuvrés de faire quelque chose par eux-même, s’il sont a ce point si préoccupé par les pauvres.
Ils ont l’air plus préoccupés par l’image d’altruisme que d’être des vrais altruistes.
Responsabilité personnelle, aide directe, en fin de compte être en contact direct avec ceux qu’ils voudraient aider, pour ces bobos c’est dégoûtant. Horrible. Il faudrait un état nounou qui les guide pour savoir quoi faire de leur argent.
Il est plus facile d’appeler l’État et le célébrer dans une lettre ouverte et montrer vouloir se décharger de ses responsabilités que d’assumer être quelqu’un de vraiment vertueux.
C’est bien quand on peut se célébrer comme une bonne personne sans jamais rien faire de bien.
L’absurdité de cette lettre est que les 83 millionnaires essaient d’acheter l’absolution pour leur richesse, comme si vous pouviez acheter du caractère, de la conviction, de l’empathie, des principes, de la charité …
Imaginez vous qu’ils ne savant pas quoi faire de leur argent ni décider par eux même ou et comment s’en servir.
Aucun de ces millionnaires ne se considère capable d’initiative et responsable de ce qu’il fait de son propre argent.
S’ils sont si préoccupé par les pauvres, pourquoi ne prennent-ils pas leur argent pour affréter concrètement un container plein de matériels de soins et médicaux pour un dispensaire à Madagascar ou Centrafrique, qu’a signer une lettre ou vous montrez que vous êtes trop stupide pour y penser vous même et un état qui ne le fera pas a votre place.
S’ils sont trop « occupés » il y a des dizaines d’associations, comme le secours catholique ou médecin du monde.
Ou pourquoi pas soutenir la liberté d’expression en offrant directement des sites comme Lequidampost Dreuzinfo ou contrepoints?
Qu’ils n’hésitent pas a me contacter dans les commentaires, mails ou Tweeter. Je me propose de collecter leurs fonds donc ils sont incapables de prendre l’initiative d’utiliser pour le bien et de leur envoyer mon RIB.
Aider je sais ce que c’est, et j’ai pas besoin d’un état pour m’expliquer comment faire.
Qu’ils n’hésitent pas
Mais eux en on même pas le début du commencement de l’idée.
Une lettre aux signatures d’hypocrites désœuvrés.
Même les riches ont chez eux leurs idiots-inutiles.
Pitoyable !
Par Spartacus Lequidam
blog : lequidampost.fr
Tweeter @lequidampost
]]>Paris, c’est une forte concentration de bruits, de voitures, de gens, de béton, de pollution. Les casseurs d’extrême gauche, les Zadistes qui font les nuits-debout, le chantage permanent des employés dans le monopole des transports qui bloquent la liberté de circuler, les manifestations extrémistes qui cassent les commerces, les agressions dans les transports en commun, les difficultés pour se loger sont les maux que chacun peut constater.
Mais ces faits sont réels et il est donc logique que les habitants en souffrent.
La vérité est simple. Paris est une capitale avec une densité par habitant la plus élevé du monde occidental.
PARIS c’est 21 000 habitants au km2.
A coté, Singapour avec la mer qui limite son agglomération, et ses gratte-ciels fait figure de champ à la campagne avec seulement 12000 habitants au km2.
A la densité officielle, s’ajoute les gens qui y habitent et ne figurent pas dans les données officielles de Paris, les « non-déclarés » illégaux ou légaux.
Les milliers d’illégaux dispersés, de la porte d’Aubervilliers ou porte de la Chapelle ne sont pas dans les statistiques du nombre d’habitants.
Les milliers d’étudiants en habitat de passage pour la scolarité, les travailleurs intérimaires ou contrats courts ne sont pas enregistrés comme habitants officiels, mais seulement des logés de passage et ne sont pas inclus dans ces statistiques de densité.
Tout est à Paris. Le gouvernement, les ministères, les grandes écoles, les grands hôpitaux, les sièges sociaux, les lieux culturels, les médias.
L’attractivité et la concentration des activités entraînent des flux urbains énormes pour se rapprocher de Paris.
Les transports en commun de tout le pays y est ultra centralisé. Pour voyager du Havre à Grenoble, vous devez traverser Paris, aussi bien en voiture, train ou bus.
Ultracentralisation qui génère encore plus de monde au kilomètre carré en incluant ces flux nombreux et divers.
Le lieu le plus pollué de Paris n’est pas la rue mais le métro.
Chaque candidat aux prochaines élections en va de sa promesse démagogique de mettre fin aux maux des Parisiens.
Les écolos font rêver d’un fantasme démagogique de promesses d’une ville verte avec des pistes cyclables, de supprimer des voitures. De créer des espaces verts. Ou réduire les voies.
Les bolcheviques la promesse de construire plein de HLM.
La droite d’assurer la sécurité.
La réalité c’est que tous veulent le pouvoir pour le pouvoir et tous ont des promesses démagogiques
Pour planter un arbre, il faut 12 à 15m2 de surface foncière au sol. Et une chance sur 2 qu’il crève dans les 2 ans, le sol est déjà pollué et entre les chiens vont uriner dessus ou les dégradations volontaires si nombreuses. Végétaliser est une farce démagogique pour attirer le bobo.
Le cycliste de la photo prise au mois de mai dernier, plein soleil radieux, vous vante le bonheur du vélo. Je vous confirme, en plein soleil, vêtu loisir, à circulation urbaine réduite avec le Covid, le vélo à Paris, c’est certainement super agréable. Voire génial.
Par contre la photo de novembre sous pluie battante, ce sera trempé jusqu’aux os, malade, le nez qui coule. En janvier à -3° avec verglas ou neige, ce sera bras ou nez casé sur le bitume, vélo plié et pneumonie et regret de ne pas avoir été au chaud dans un véhicule avec une carrosserie ce jour là.
Les promesses de logements HLM, c’est surtout pour les extrêmes gauchistes l’idée inavouée de faire du clientélisme et du favoritisme à l’attribution pour se créer une clientèle durable qui remplace celles pluralistes, et devenir des élus apparatchik a vie.
A moins de construire plus haut ou creuser profond, il n’y a pas de place foncière pour des nouveaux logements dans des surfaces déjà encombrées.
Paris est une ville fermée, pour faire des nouveaux logements ou planter des arbres, il faut enlever des logements ou déplanter des arbres.
A Paris, même la périphérie est saturée.
Il n’y a pas de place pour faire des pistes cyclables dans une ville déjà engorgée de voitures.
On a enlevé les voies sur berge, la photo sans congestion automobile est jolie, sauf que les voitures engendrent des embouteillages encore plus monstres ailleurs. On déplace le problème. C’est tout.
La seule solution, est de régler le problème structurel. L’attractivité et le centralisme de la ville de Paris. Qui fait que tout le monde doit y aller ou y vivre.
Pour gérer la densité sociale ou diminuer le trafic de véhicules, il en faut pas promettre des logements dans une urbanisation déjà bondée, pas plus que réduire les voies empêche les raisons ou motivations de traverser ou se rendre à Paris.
Le problème est structurel. L’attractivité de Paris est sa maladie.
Pour « dé-densifier », pour « réduire le trafic », il faut réduire ce qui amène les gens à vouloir vivre à Paris, à se déplacer à Paris et en harmonie avec eux. Pas en les stigmatisant ou diabolisant ou les éjectant par la coercition.
Pour réduire les problèmes des Parisiens, il faut réduire les raisons de l’attractivité.
C’est à dire s’attaquer au tout état et au Jacobinisme.
C’est à dire enlever le ministère des finances de Bercy, et l’envoyer à Granville, proche des îles Jersey, pour être plus à proximité de l’optimisation fiscale.
Déplacer le ministère de la justice de Paris centre et l’envoyer à Guéret à coté de la maison d’arrêt par exemple.
Déplacer le musée d’Orsay à Bagnère de Bigorre.
Mettre le siège social de France Inter à Roubaix. Pour rapprocher les journalistes militants des inégalités sociales.
Le meilleur exemple pour cette politique écologiste doit être donné par le ministère de l’écologie et du développement durable. S’il allait se mettre à Caunette sur Loquet ville ou il y a le plus d’agriculteurs de France ?
En effet que font ces gens si proches de la nature en plein Paris à contribuer à polluer, prendre de la surface foncière anti-écologique dans une concentration qu’ils détestent ?
Il reste une question, ont-ils plus envie de contraindre les autres aux solutions écolos que se les appliquer à eux-mêmes ?
Par Spartacus Lequidam
blog : lequidampost.fr
Tweeter @lequidampost
]]>L’arbre d’argent magique. L’UE prête donc à l’état Français, et aux autres états européens 750 milliards à rembourser sur 30 ans de 2028 à 2058 avec 4 nouvelles taxes crées.
4 nouvelles taxes
Voici donc la proposition de l’UE aux contribuables européens.
Projet provenant du plan de ressources escomptées que vous pouvez télécharger ici sur le site officiel de la commission européenne: https://ec.europa.eu/info/files/financing-recovery-plan-europe_fr
(copié-collé de la note Européenne au mot près) :
1-Extension des ressources propres fondées sur le système d’échange de quotas d’émission aux secteurs maritime et aérien pour générer 10 milliards d’€ par an.
2-Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières pour lever entre 5 milliards d’€ et 14 milliards d’€ par an.
3-Ressource propre fondée sur les activités des grandes entreprises, qui tirent des bénéfices considérables du marché unique de l’UE, laquelle pourrait, en fonction de sa conception, rapporter quelque 10 milliards d’€ par an.
4-Taxe numérique sur les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel global est supérieur à 750 millions euros pour générer jusqu’à 1,3 milliards d’€ par an.
On remarquera en faisant une simple addition, que les ressources annuelles envisagées pour le remboursement sont à minima de 26,3milliards, et à maxi 35,3 par an soit sur 20 ans entre 526 et 706 milliards. Ça ne fait pas 750 milliards, même dans le cas le plus favorable idéaliste….
On remarquera le manque de courage de ne pas taxer directement les individus mais procéder encore par des taxes indirectes. Pas fous les technocrates, arroser de démagogie écolo pour faire passer à l’opinion la succion à haute dose. Le climat est une source intarissable d’excuses à taxer.
C’est la grande technique, ou on vous fait croire que c’est la vache qui est taxée, pour ne pas que vous puissiez comprendre que vous allez payer le lait plus cher.
Les technocrates de l’UE ont répondu comme les étatistes le font tous: augmentation des dépenses, centralisation, et même collectivisation de la dette. L’argent va aller au bon vouloir de l’état, de ses politiciens et ses fonctionnaires. Nous vivions déjà dans une économie étatiste de favoritisme, ça va être encore plus la fête aux favorisés.
Vous remarquerez que ces taxes sont au futur, à partir de 2028.
Dans 8 ans, Macron ou Merkel ne seront plus au pouvoir, par contre l’argent pour acheter des clientèles va bien arriver au présent pour la dépense publique sans compter.
Un nouveau percepteur, l’UE.
Ces 750 milliards vont être empruntés aux marchés financiers, par la banque centrale européenne. Cette fois ci l’UE va devenir un nouveau percepteur pour se faire rembourser. Quand on commence à lever et collecter des impôts, la souveraineté des gouvernements nationaux est encore plus restreinte, et les finances et libertés des citoyens encore plus limitées..
Maintenant que ‘l’UE va taxer les citoyens, quelqu’un imagine t-il vraiment que Bruxelles, ces politiciens et fonctionnaires vont abandonner ce pouvoir d’en lever plein d’autres d’ici 2058 et en rajouter plusieurs louches?
Le secteur aérien va donc être impacté par les taxes. (2 à 4% du PIB) pour un pays qui construit des avions, et une compagnie nationale en quasi faillite, et pas de compagnie Low-cost représentative, le redressement est mal barré.
Le secteur maritime va être impacté, on ne le sait pas, mais l’économie Maritime de la France représente (14% du PIB).
Dans le 2eme pays qui possède la plus grande face maritime d’Europe, un pays ou les ports sont en retard de trafic international, une concurrence des affréteurs internationaux et une Angleterre Brexitienne libre de l’Europe qui ne demande pas mieux que nous nous tirions ce genre de balle dans le pied pour développer les leurs ports et court-circuiter les ports Européens de la manche ou la mer du Nord.
Les taxes carbone vont permette au reste du monde de profiter encore du pétrole, et faire prospérer leurs économies et les délocalisations des industries européennes. Génial dans le pays qui c’est le plus désindustrialisé d’Europe. Le plein coûtera toujours moitié moins cher aux USA qu’en France.
Les taxes numériques vont alourdir à la fois les entreprises et les consommateurs, qui seront inévitablement répercutée sur les utilisateurs d’Internet et dissuader les investissements et les sièges sociaux des entreprises dématérialisées sans frontières qui chercheront des lieux plus propices à leurs affaires.
Ou ira l’argent ?
Normalement lorsque vous citoyen ou entreprise allez chercher un prêt, vous devez avoir un Business plan, un projet, un bilan prévisionnel d’exploitation, un but, et des garanties, mais pas les états. Eux empruntent au nom des bonnes intentions morales. Créer une relance économique sans qu’aucun d’eux ne sache de quoi il parle, le prévisionnel est élaboré sur un confetti. Le seul projet concret est d’avoir du pognon à dépenser pour passer pour des samaritains.
Voici donc le monde des bonnes intentions. L’argent sera donné aux états et permettra de donner aux politiciens et fonctionnaires à la recherche de courbettes, du pouvoir. Y’aucun projet en face.
Rien de rien de concret et c’est ouvert a n’importe quel projet sulfureux d’avion renifleur ou super-phénix du moment.
Pour ceux qui ignoraient que nous étions sur la voie du communisme et de l »omniprésence destructrice de l’état, l’UE a les pieds sur l’accélérateur de cette perspective.
Un copie-collé du communisme bureaucratique centralisateur et un agissement apparatchik planificateur des technocrates digne de Mao.
Avez vous regardé Bruno Lemaire jouer le seigneur pédant, condescendant, qui n’a jamais rien construit, investi sauf des bavardages et des taxes (GAFA) bâclées et retoquées à coup de pied au cul, qui joue le caïd condescendant, en faisant passer les entreprises victimes des politiques étatistes, en soumis auquel on impose les déshéritas écolo-fascistes comme objectifs.
C’est affligeant.
Comme vous avez commencé à le remarquer, les premiers servis de cet argent pour arroser des politiciens sont ceux qui sont les plus proches de l’état. Air France, Renault là ou l’état est majoritaire, les primes à certaines catégories de fonctionnaires, et le plan de relance va être donné en fonction de celui qui pleure le plus, joue au misérabiliste, le plus près de l’état ou représente une catégorie socioprofessionnelle qui représente un intérêt politique, ou un groupe social plus influent que les autres, comme les artistes ou les médias.
La période de remboursement et taxations est fixée de 2028 à 2058, de sorte que la bombe à retardement explose pour les générations futures. Ceux au travail à partir de 2028 peuvent s’attendre à supporter les coûts pour longtemps.
Pour un pays comme la France, déjà surendetté, surfiscalisé cela promet un malaise et 38 ans de dissertations angoissantes dans les médias, BFM, Cnews ou LCI ont au minimum 2 heures de débat assurés journalières pendant 28 ans.
Les contribuables actuels et futurs n’ont pas finit d’entendre parler de dettes. Le futur c’est 2028, Dans 8 ans.
Ils ne sont pas nés, ne votent pas, ne peuvent pas s’indigner au journal de 20h et n’ont pas leur mot à dire.
Les « pas encore nés » sont déjà taxés pour 30 ans avant même de naître.
Par Spartacus Lequidam
blog: lequidampost.fr
Tweeter @lequidampost
]]>Tout dans cet article informatif, qui vous surprendra est vérifié et vérifiable.
Cet article va « désembrouiller » le cliché antiaméricain qui vous conditionne, par la pensée unique. Les faits sont les faits, et les résultats de la médecine Américaine est une des meilleures au monde. Vous allez être éclairé et étonné.
Il tellement devenu une habitude de cracher sur les USA dans la pensée unique des médias, qu’ils ne se rendent plus compte de la réalité. Le manque de diversité culturelle et intellectuelle des journalistes Français préférant présenter à charge des USA en permanence et passer sous silence le meilleur de ce pays par mimétisme de caste a complètement faussé la réalité.
Toutes les affirmations de cet article sont « sourcées » les liens sont en bas de page.
1- Est-on bien moins bien ou mieux soigné aux USA ?
Ce qui importe dans la santé, c’est le résultat.
La lutte contre les cancers est plus efficiente. La prévention des maladies est efficace. Le choix et l’offre des médicaments est beaucoup plus large. Les hôpitaux sont mieux équipés.
Quelques exemples que les états unis surpassent l’Europe et la France dans les soins.
-90% des patientes américaines atteintes d’un cancer du sein vivent au moins cinq ans après le traitement, contre un taux de survie de seulement 85% dans les autres pays de l’OCDE.
-80% des femmes américaines ont reçu un dépistage « opportun » du cancer du col de l’utérus, contre seulement 73% des femmes des autres pays de l’OCDE.
La performance supérieure de l’Amérique en matière de soins contre le cancer est incontestable.
Une étude de 2017 sur l’épidémiologie et la santé a révélé que, par rapport à la Grande-Bretagne, le Canada et la France, les États-Unis ont enregistré de meilleurs taux de survie pour le cancer de la prostate et de l’estomac, ainsi que pour le cancer du sein.
Les États-Unis ont les taux de survie à cinq ans les plus élevés pour le cancer du sein, du côlon, du poumon et de la prostate.
Les taux de mortalité américains 30 jours après une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral (AVC) sont nettement inférieurs à ceux de la plupart des autres pays de l’OCDE. Source étude internationale American Medical Association.
90% des Américains nécessitant une intervention chirurgicale sont en mesure de planifier dans un délai d’un mois après avoir été informés qu’ils ont besoin de l’opération. C’est le plus court temps d’attente et la meilleure productivité du monde.
Il y a des limites inhérentes à toute comparaison de pays à pays. Il existe de grandes différences entre les pays dans les modes de vie, la génétique et les facteurs environnementaux.
Par exemple, la population Américaine a plus de gens notoirement en surpoids . Le taux d’obésité aux États-Unis est 3eme plus élevé parmi les 36 pays membres de l’OCDE. C’est aussi le facteur déterminant qui mine l’espérance de vie des Américains.
L’obésité engendre plus de maladies, telles que le diabète, les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux.
Plus d’un Américain sur 10 souffre de diabète, une situation qui engendre des coûts énormes sur le système de santé. La prévalence de l’obésité et du diabète n’affecte en rien la qualité des soins ou de gestion du système, à moins que la « solution » soit de cesser de traiter autant de diabétiques l’Amérique dépensera toujours plus, et l’obésité est une des raisons des coûts plus élevés.
L’offre est plus développée puisqu’il n’y a pas un « monopole du payeur ». Les négociations sur le prix des médicaments sur ordonnance menées dans les systèmes à payeur unique type sécurité sociale Française, engendre un refus d’achat de médicaments dont le prix dépasse les montants fixés et donc limite l’offre dans nos pays européens par rapport aux USA.
Les hôpitaux sont mieux équipés et plus utilisés.
Les quatre graphiques suivants sans commentaires montrent le nombre et l’utilisation d’appareils d’IRM et de Scanners dans les pays occidentaux.
Les USA sont quasi toujours devant.
Par rapport au cliché anti-américain : en ce qui concerne les maladies coûteuses, la lutte contre le cancer, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux et autres l’Amérique obtient des résultats supérieurs et soigne nettement mieux ses malades en offrant plus de choix de médicaments et des hôpitaux mieux équipés. Mais le mode de vie entraîne plus d’autres maladies comme les diabètes liées au surpoids.
2-Les coûts de la santé
Les soins de santé aux États-Unis sont chers, principalement parce qu’ils utilisent beaucoup de main-d’œuvre plus qualifiée, qui coûte plus cher aux États-Unis que dans d’autres pays. Le temps d’étude supérieure (minimum 9 ans) pour obtenir les diplômes de médecine sont plus longs et complets que dans les autres pays.
Les États-Unis représentent 41% des dépenses mondiales en médicaments, contre 13% pour les cinq plus grands pays européens réunis et 11% pour la Chine.
Les négociations sur le prix des médicaments d’ordonnance menées par les autres pays occidentaux comme en France, organisent un concept en une gestion de « refus d’achat » de médicaments et moyens pour les assurés par le conventionnement de la sécurité sociale, et privent les habitants de ces pays de la disponibilité des nouveaux nombreux médicaments qui peuvent améliorer le sort des patients. Les USA en marché libre diffèrent de ce principe de monopole « conventionné ou invisible » pour les patients comme en France.
4 des 5 plus grosses multinationales pharmaceutiques du monde sont Américaines. Les coûts de développement proviennent principalement des revenus provenant des États-Unis. Le patient Américain paye les coûts de développement et d’investissement de mise sur les marchés des nouveaux médicaments pour le monde entier. Les médicaments sont plus chers qu’en Europe.
En France, par exemple, la sécurité sociale ne conventionne que 23% des nouveaux médicaments, tandis que les régimes d’assurance privés Américains couvrent 84% des nouveaux médicaments.
L’offre abondante peut laisser des individus à supporter des frais de leur poche pour avoir accès aux meilleures thérapies innovantes qui ne sont pas encore une diffusion en volume pour être compétitifs. Mais au moins les médecins ont un accès à des propositions d’offre et de choix plus complètes pour leurs patients.
3-Espérance de vie.
L’espérance de vie est excellente aux USA.
Ne dites jamais cela en public, sinon vous passerez pour fou. Il faut dire que Google et les publications médiatiques ne manquent pas pour prouver le contraire. Un conditionné en général n’accepte pas la contradiction de ses certitudes même en face des preuves.
Quand on compare, l’espérance de vie de la France et qu’on en fait un argument, c’est comme si les Luxembourgeois se moquaient de l’espérance de vie de la France. En France, on vit plus vieux en région Parisienne que dans le Grand Est. C’est pareil aux USA, mais en plus à une échelle d’un pays qui fait la moitié du continent. On vit plus vieux dans le New-Jersey qu’au Mississippi.
Si chaque état Américain était compté comme un pays (il y en a 50), le New-Jersey, le Massachusetts, le Connecticut seraient les pays à la meilleure espérance de vie du monde…
La comparaison est loin d’être ridicule, le Minnesota a autant de population que la Suède ou le Danemark, les gens y meurent plus vieux qu’en Suède et Danemark qui sont pourtant classés dans le top du monde devant l’Amérique tout entière…
La différence d’espérance de vie de la moyenne aux USA n’est en aucun cas liée au système de santé mais aux comportements, comme la prise d’opiacés et les suicides. C’est une moyenne. Plusieurs états Americains onr une plus grande espérance de vie que les autres pays occidentaux.
4-Taux de mortalité infantile
Pour la mortalité infantile, vous ne pouvez éviter la caricature sur les statistiques négatives du taux de mortalité plus élevé que d’autres pays occidentaux.
C’est même un argument majeur de l’antiaméricanisme que vous avez tous entendu…
Le gros problème, c’est qu’en fonction du pays, elle n’est pas comptabilsée pareil.
En France, Belgique ou l’Espagne ne compte dans les statistiques de mortalité que les bébés nés après 22 semaines de gestation soit de 140 jours après la naissance jusque la fin de la 1ere année.
En Pologne, en Allemagne un bébé doit peser au minimum plus de 1kg pour compter comme une naissance vivante dans les statistiques. On compte les enfants nés vivants, on exclut les enfants morts nés.
Dans les statistiques de mortalité infantile, aux États Unis la définition de la mortalité est prise au jour de la naissance. Ce qui modifie la totalité des effets d’annonce diabolisant antiaméricains qui vous sont imposés.
La vérité est qu’en ajustant au niveau américain les données, c’est à dire mortalité dès la naissance sans pondération comme les pays qui excluent le temps de gestation (France) comme le poids, l’Amérique se retrouve dans le top 3 avec une mortalité au plus haut niveau et les pays qui se gargarisent d’en avoir une plus faible comme la France passent au dessous.
A contrario, les États-Unis ont le taux le plus élevé du monde de naissances avant terme. Les professionnels de la santé américains, dépensent des centaines de milliers de dollars en moyens pour sauver la vie d’un bébé prématuré plus que tout autre pays au monde.
5-Les Américains disposent-ils tous d’une assurance maladie et peuvent ils tous être soignés ?
Aujourd’hui, plus de 91% des Américains ont une assurance maladie d’une manière ou d’une autre. Un peu plus de la moitié des Américains sont couverts par une mutuelle ou assurance employeur ou par un membre de leur famille. (Salariés, employeurs, enfants).
Les autres cas hors employeur sont :
-18% (60 millions) ont une couverture par le biais de Medicare, un programme fournit par la sécurité sociale (la sécurité sociale aux USA, c’est l’assurance retraite) qui couvre à 100% toutes les personnes âgées de plus de 65 ans et les personnes handicapées (hors optique et dentaire).
-17% ont une couverture par le biais de Medicaid, un programme qui couvre les personnes à faible revenu. Le système a été copié dans le monde entier, en France, le gouvernement Français a copié le principe avec la CMU.
-5% achètent une couverture maladie sur le marché individuel, soit Obamacare, soit directement auprès d’une compagnie d’assurance.
6-Détail des 30 millions de « non-assurés » qui font le cliché antiaméricain médiatique.
Environ 9% des Américains, (30 millions) n’ont pas d’assurance maladie officielle.
-Plus de la moitié d’entre eux, (55%) sont principalement du « non recours ». La transition ou mobilité sociale joue. Certains attendent d’avoir un job et un employeur, ou alors une maladie concrète pour s’inscrire aux droits qu’offre a tous Medicaid.
En examinant les données, les analystes de l’AEI ont noté qu’environ 15 millions d’Américains non assurés sont éligibles à une couverture Medicaid. Il manque juste aux USA un service d’inscription automatique des personnes sans couverture d’assurance à Medicaid actuellement en phase de préparation pour combler cette lacune.
-4 millions de personnes sont éligibles à une assurance parrainée par l’employeur, mais ne s’inscrivent pas et ne remplissent pas les papiers de l’assurance de leur employeur.
-4 millions sont des 100% illégaux aux USA ou migrants économiques (sauf femmes enceintes). Les migrants légaux qui n’ont pas 5 ans de présence aux USA et n’ayant pas pris d’assurance individuelle ou mutuelle employeur sont inadmissibles à une couverture sociale Medicare ou Medicaid financée par les contribuables (les vrais réfugiés politiques persécutés, les exilés Cubains n’ont pas à attendre 5 ans).
-4,5 millions ont des revenus annuels élevés ou rentiers qui dépassent les 400% du niveau de pauvreté fédéral (103 000 $) et ne sont pas admissibles à Medicaire ou Medicaid et refusent sciemment d’avoir une assurance privée et payent leurs soins de leur poche.
-2,5 millions de personnes non assurées sont de pauvres Américains qui vivent dans des États qui n’ont pas étendu la prise en charge gratuite de Medicaid. C’est un problème de blocage Américano-américain politique qui serait résolu par des mesures ciblées et qui n’ont jamais été faites.
La loi fédérale oblige tous les hôpitaux à but non lucratif à traiter les patients Medicare et Medicaid. Les clichés Anti-américains qu’adorent caricaturer les journalistes gauchistes comme France5 qui expliquent que les hôpitaux refusent les patients sont juste stupides et des cas rares et exceptionnels de malveillance mais n sont pas la réalité. Medicare et Medicaid représentent 50% de tous les soins fournis par les hôpitaux. Par conséquent, Il serait économiquement suicidaire pour les hôpitaux de refuser ces patients.
La loi fédérale oblige tous les hôpitaux dotés de services d’urgence à fournir un « examen » et un « traitement stabilisateur » à toute personne qui se présente, indépendamment de sa capacité de payer et même de son statut d’immigration.
Par rapport aux clichés anti-américain : tous les Américains sont assurés ou assurables et personne ne reste dans la rue sans rien. Il n’existe pas d’américains qui ne peuvent pas bénéficier d’une couverture maladie.
5-Obamacare, pourquoi un échec ?
Une promesse pour les « non-assurés » dévoyée vers les « déjà assurés » par les politiciens.
Obamacare (Loi sur les soins abordables) est une assurance publique subventionnée qui a été présenté par le président Obama comme une tentative généreuse d’assurer les personnes en difficulté « non assurées ». Le problème est venu de suite, car dans la société ceux qui ne sont pas assurés sont généralement aussi les gens qui ne votent pas, et les politiciens ne roulent pas pour eux.
La promesse idéaliste de dépenser beaucoup d’argent pour les gens qui ne votent pas, à été dévoyée par les politiciens démocrates associés à Obama, qui eux on voulu étendre la loi pour transformer les populations qui votent en passagers clandestins des supposés avantages de Obamacare pour tous les salariés, mais néanmoins capables de disposer d’une assurance ou mutuelle classique.
En déviant du but initial de ne cibler que les extrêmes pauvres, et prenant en charge les « déjà assurables individuellement » et que cette assurance remplacerait une mutuelle privée classique Obamacare c’est dévoyé.
Les gens venus de l’assurance privée employeur ou individuelle ont découvert en remplacement une prise en charge bien inférieure, une franchise élevée, une offre de soins avec moins de médecins et hôpitaux conventionnés, et en général les hôpitaux les moins réputés. Beaucoup en adoptant Obamacare ont été contraint de changer de médecin.
Exemple, 42% de cardiologues et de cancérologues en moins.
Exemple les facturations médicales surprises souvent liées à des urgences ou circonstances, le patient reçoit une facture lourde parce que non couverte et agréé par Obamacare.
Un peu moins cher qu’une assurance privée, mais toujours moins bonne.
Des mutuelles privées comme Aetna, Humana ou UnitedHealth Group, non subventionnées, avant Obamacare spécialisées dans la couverture des soins des personnes modestes, avec des marges extrêmement faibles, offraient une meilleure prise en charge. Leurs marges étaient compensées par les volumes, et ils se sont retirés du marché à l’arrivée d’Obamacare imposé, qui a enlevé leurs parts de marché.
Obamacare est un échec. Il n’a pas résolu le problème des non recours, et en plus a créé une situation de plus mauvaise qualité que l’assurance privée pour ceux qui l’ont adopté.
Obamacare a créé une situation pire qu’au point de départ. L’enfer est pavé de bonnes intentions.
Par Spartacus Lequidam
Tweeter : @lequidampost
Blog : www.lequidampost.fr
Quelques sources contributives à la création de cet article :
https://www.justfacts.com/healthcare
https://www.manhattan-institute.org/issues-2020-drug-prices-account-for-minimal-healthcare-spending
https://spectator.org/making-a-bigger-mess-of-medicaid/
https://www.healthcare.gov/immigrants/lawfully-present-immigrants/
]]>Le Coronavirus montre que comparé à eux, nous sommes un pays communiste qui s’ignore avec une planification tchnocratique de santé digne de l’ex-URSS …
Vous allez vite comprendre :
Comparez (en utilisant un traducteur) le site du ministère de la santé Coréen du Sud http://ncov.mohw.go.kr/
Et le site du ministère de la santé Français : https://solidarites-sante.gouv.fr/
Sur l’un vous savez en toute transparence, combien de test effectués, au détail par région, le nombre de gens infectés au détail et les risques encourus dans chaque région, en toute transparence.
Sur le Français vous avez des infos basiques et la photo sans aucun intérêt d’un ministre et 2 secrétaires d’état en mal de notoriété qui se font de la pub.
Pendant que Bruno Lemaire faisait une loi communiste sur le contrôle des prix de solutions hydro-alcooliques, totalement décalée réquisitionnait par la force des masques pour les employés administratifs de Bercy les Coréens organisaient un dépistage de masse et imposaient le port des masques dans tous les commerces.
Les Coréens ont mis 50 stations libres d’accès de test gratuits ou il faut 10 minutes pour savoir si on est infecté ou porteur de la maladie. Vous trouverez sur le site du ministère en temps réel le nombre de gens qui se sont fait tester. Au moment de faire l’article ils sont 287 000.
Il a été demandé aux mutuelles et assurances santé d’envoyer à leurs adhérents les règles d’hygiène et prévention, par mail et SMS.
Messages simples faisant appel à la responsabilité individuelle « Portez un masque pour vous déplacer, utilisez fréquemment le lavage des mains, éloignez vous des gens et ne vous embrassez pas. ».
Une directive a demandé aux établissements en contact avec le public, que les personnels portent tous des masques. Tous les employés des commerces portent des masques.
Les restos, les lieux de réunion, ont un message devant chaque porte « Pas de masque, pas d’entrée », mais les commerces sont restés ouverts, pas de destruction économique, pas de confinement.
Une cellule spéciale du ministère a été chargée d’enquêter sur les déplacements des personnes infectées et proposer le test de dépistage aux relations rencontrées par les infectés.
Des appels publics ont été fait pour retrouver les personnes ayant été en contact avec les personnes infectées.
Les aéroport ont contrôlé l’immigration et les personnes venant de Chine, ou pays a risque doivent remplir un questionnaire de santé. S’ils présentent des symptômes ils sont testés.
Les personnes à risque, malades et personnes âgées ont été placées en zone à visites limitées.
Le pays a pré-réquisitionné les salles des fêtes et de sport pour une transformation en centre santé de quarantaine pour les personnes présentant de légers symptômes du coronavirus.
Ce pays plus touché que les autres au départ est celui qui s’en sort le mieux, a réussit à la contenir et est en route vers l’éradication. La Corée n’a pas agressé sa population de lois liberticides et d’entraves aux libertés comme les Chinois.
La Corée fait reculer le développement du virus mieux que tous les autres pays sans confinement des masses.
Nous copions en France l’exemple coercitif d’une dictature Chinoise, comme l’Italie le fait aussi.
Nous ferions mieux de copier l’exemple d’une démocratie transparente comme celle de la Corée du Sud qui a évité le confinement et préservé l’économie à ses concitoyens, que l’exemple d’une autocratie qui ment et a même exclus ceux qui ont dévoilé la maladie.
]]>Cette question va à l’encontre de l’air du temps et de la pensée unique que nous impose la société. Elle peut vous valoir un procès en diabolisation si vous osez vous opposer à la biodiversité et la remise en cause d’un principe religieux écolo, « la nature en premier ».
Cette question est loin d’être anodine depuis que le lobby écolo a pris les rennes de la politique, des médias, de l’éducation et même d’un ministère idéologique, et nous conditionne à charge matin midi et soir sur les questions de notre emprise sur l’environnement.
La terre est dominée sans partage par l’homme. L’homme agit autrement que tous les êtres vivant sur terre. Il est totalement différent. L’homme a tellement évolué qu’il n’y a rien d’autre que lui qui lui ressemble. Nous entendons tous les jours que l’homme bon et juste vit en « harmonie avec la nature » mais en fait, vivre en harmonie avec la nature c’est vivre en sauvage. Nous ne vivons pas en harmonie avec la nature, et bien heureusement.
Notre société a tellement évolué, peut-on encore dire que nous faisons partie de la nature?
Bien sur que non!
Nous sommes d’une autre nature, une nature évoluée et évolutive.
Notre évolution nous a rendus « non-naturels », « hors-nature » ou « extra-naturels ».
Notre évolution nous a rendu tellement puissant que rien de naturel sur terre ne nous égale. La réponse aux questions de savoir si nous faisons toujours partie de la nature, et si nous en avons même besoin repose sur une compréhension de ce que nous voulons.
L’homme fait plus qu’utiliser la nature à son profit, il la transforme, il la manipule et crée un monde qui n’a rien de naturel.
Le futur de la terre est une domination, une domination pure et totale. Pas l’utopie écologiste d’un retour à une nature totalement fantasmé et idéalisé.
En fait la nature est hostile lorsque l’homme ne la domine pas. Elle n’est plus faite pour l’homme actuel et ne le sera plus. Nous vivons dans des villes, de béton et de verre, et les fougères sont dans le jardin à l’herbe coupée à la tondeuse, et les serpents on les admire au zoo.
La grande particularité de l’humain, c’est qu’il avance vers l’inconnu. Il n’a pas de point de repère, il n’y a pas d’exemple pour se comparer à ce qu’est réellement un être qui a quitté le naturel. De la même manière, un environnement « humain » est à créer. L’environnement naturel est caduc.
Ce qui nous rend humains en premier lieu, ce qui n’est pas aussi évident qu’il y paraît, c’est un statut totalement différent de tout ce qui existe de naturel.
L’homme du 21eme siècle n’est pas ou plus du tout fait pour vivre dans la nature, il a dépassé le cap. Nous n’avons rien à voir avec l’indien que Colomb a découvert, nous ne pourrions vivre comme lui au milieu de la nature.
Notre statut est celui d’animaux modifiés ou «dénaturés». Nous sommes des créatures qui se sont séparées du monde naturel. L’homme c’est séparé progressivement de la nature initiale.
La nature à l’état brut nous pose plus de problèmes que d’avantages.
L’homme a fait la bombe atomique. L’homme avance sur la route du pouvoir d’un dieu. Actuellement les chercheurs essayent d’allonger la vie comme celles sur le transhumanisme et nous progressons sur l’élimination du vieillissement naturel.
Les plantes poussent sans terre, avec du soleil artificiel qui n’a rien de naturel. Les premiers immeubles en agriculture hydroponique sur plusieurs étages se construisent dans les zones industrielles, même pas à la campagne. A Londres, c’est sous terre que des salades sont produites.
Il y a bien longtemps que nous ne prélevons plus à la nature sauvage nos aliments, les animaux sont domestiqués et les premiers steaks artificiels sans vaches sont en élaboration dans les centres de recherche.
90% des fruits et légumes que nous consommons n’existaient pas sous la forme actuelle il y a seulement 400 ans. Le chihuahua, que promène mamie, c’est l’homme qui a créé cette race comme toutes les races de chien sur la base d’un loup. Les races d’animaux domestiques n’ont pas été créées par la nature Darwiniste, mais par les sélections supra-naturelles de l’homme.
On peut même se passer de la mer et ses poissons à l’état naturel. Le poisson d’élevage et l’aquaculture remplacent le poisson sauvage sur nos étalages dans les pays occidentaux.
Nous n’avons pas besoin de la nature pour faire de la sélection naturelle. La sélection génétique des OGM, de l’ADN sont maîtrisés et transformables à volonté par l’homme. La révolution biologique est de plus en plus pointue.
Nous ne savons pas où nous allons, les écolos paniquent sur notre destination. Ils ont peur du changement et peur de l’inconnu. La peur du risque. Leurs palabres sont anxiogènes. La nostalgie d’un passé en contact avec la nature idéalisé factice qui joue sur une nostalgie romancée.
En réalité, ils vivent en ville, veulent des arbres à Paris en face de chez eux, mais ont peur de faire quelques kilomètres et se déplacer pour se promener au milieu des arbres du bois de Boulogne. Vous les imaginez pousser une charrue?
Ce sont des enfants gâtés de l’abondance. Ils ont inventé le « principe de précaution, c’est la peur du modernisme qui les anime. La nature n’est que l’excuse. Aucun ne se propose de jeter son portable et sa fourchette dans la poubelle à produits électroniques et métaux.
On peut dire que les choix et possibilités de nos progrès technologiques rendent difficile d’imaginer quel futur s’offre à nous.
Elles sont tellement nombreuses et inconnues qu’elles engendrent des réactions de peurs et certains s’auto-persuadent que la croissance ou le rejet du modernisme et un retour a la nature serait salutaire
C’est le coût de la liberté. La liberté engendre la peur du futur pour ceux qui ne sont pas sur d’eux ou habitués à être pris en charge.
Pourquoi préserverions-nous un statu quo avec la nature?
L’argument de la biodiversité à y réfléchir sur le fond, pose aussi une question, c’est pourquoi faire ? Faires des zones musées ou se promèneraient tranquillement les animaux qui ne peuvent suivre notre évolution? Pour se donner bonne conscience ? Pour le paraître proche de la nature ? Par mimétisme écolo?
Pourquoi n’éradiquerions pas tous les moustiques parasites ? Ces sortes d’insectes n’ont que des inconvénients et indispensables à personne. Que le paludisme, c’est 200 million de victimes. Au nom de la biodiversité, laisser le paludisme, chikungunya ou maladie de Chaga décimer les humains?
Il faut admettre la vérité, la nature ce n’est pas les allées du parc ou les bobos promènent leurs enfants dans des poussettes que les écolos essayent de nous faire croire. Les Orangs-Outans, la jungle, les bobos aiment, mais là bas, en Indonésie ou Amazonie. Ils ne veulent pas savoir que les autochtones ont peur de traverser un fleuve et que l’espérance de vie est moindre quand on est un peu trop proche de la « vraie » nature et les efforts nécessaire pour y vivre.
Les grands changements font partie de notre évolution.
Nous devons accepter ce que nous faisons, nous devons accepter notre domination sans précédent.
Non pas que le modernisme n’a pas d’effets pervers parfois indésirables, mais il faut les accepter, tenter de les réduire, comme réduire la pollution mais pas de refuser le modernisme pour autant.
Le changement climatique ? On vit très bien à Las Vegas.
Nous gagnerions à nous adapter au climat qu’essayer de le faire revenir à un état naturel qui va grever notre prospérité, et appauvrir le monde.
Les écolos pensent que les besoins de modernisme sont suffisants et que l’humain doit faire un retour vers la nature et veulent imposer une « décroissance ».
Le PIB a été multiplié par 150 dans le seul dernier siècle. A la fin de notre siècle, elle sera du même ordre. Multiplié par entre 100 et 200 fois selon les facteurs d’innovations techniques de rupture.
C’est dans les pays ou la modernité est apparue que la famine a disparue et le niveau de vie c’est développé.
Vous pouvez facilement résumer les scénarios dans lesquels une hausse de quelque degré est facilement assimilable.
En 2100 le pouvoir humain sur la nature sera tellement augmenté, que l’homme domestiquera le temps sans avoir de pertes de libertés et contraintes comme on lui propose aujourd’hui.
La décroissance que nous impose le pire lobby que la terre connaisse, le lobby écolo-gauchiste, nous promet l’étatisme, le taxatisme, nous rendra pauvre, et fait perdre nos libertés. Le moteur des « excuses » des coercitions est « la nature », mais la nature n’est pas le paradis.
Les arguments en faveur du maintien de la biodiversité sont généralement basés sur la survie, l’économie ou l’éthique.
Les arguments ne fonctionnent qu’a l’anxiogène et la diabolisation de l’humain.
Il est raisonnable de penser qu’avec le temps, la plupart des solutions biologiques, métrologiques pourront être synthétisées autrement que par la décroissance et la technologie que par la contrainte, le totalitarisme et l’étatisme.
La réponse est simple, nous avons changé la nature, et nous ne reviendrons pas en arrière…
L’écologie est la peur de l’inconnu et du changement et une nostalgie idéalisée d’un monde naturel fantasmé…
La nature, c’est joli, une belle image, mais faut pas sur-jouer son importance. A l’état brut elle n’est pas sympa.
]]>Quand la presse Française remplit 50% de ses journaux de copié-collé-déposé d’articles et statistiques clés en main d’ONG militantes gauchistes et écolos et ne fait plus son travail d’analyse neutre et sérieuse, il est bon d’aller chercher par soi même l’information.
Et là la presse Australienne est une richesse d’informations et délivre une vérité qui fait mal à notre presse Française mariée aux écolos-gauchistes.
Les faits sont les faits !
Les feux de brousse sont une caractéristique régulière du calendrier australien, mais les incendies dans les régions de Nouvelle-Galles du Sud et au Queensland ne se sont jamais produits à une telle échelle, et ils ne sont pas liés au changement climatique, mais des conséquences de l’interventionnisme écologique.
Quelle est donc la cause des feux de brousse Australiens ?
Mère Nature a été aidée et encouragée par les écologistes, pour qui quelque chose d’aussi sensé que la gestion de la végétation doit non seulement être empêché mais criminalisé.
Chronologie des faits (avec sources), une histoire un peu moins écolo-compatissante.
-Décembre 2017 : Une semaine avant Noël (décembre 2017), dans la semaine précédant Noël, le ministère fédéral de l’Environnement et de l’Énergie Australien a discrètement publié un projet de plan . Intitulé Stratégie australienne pour la nature 2018-2030, le document de 17 pages visait à « prendre soin de la nature dans l’environnement » contre les menaces telles que le changement climatique, les parasites sauvages, la pollution et le développement urbain.
Pourtant plusieurs voix se sont élevées pressentant les désastres à venir, mais ils n’en ont eu rien à faire. La suite est édifiante.
En mai 2018, le conseil du Queensland (coalition travailliste-écolos) a fait voter une protection spéciale et démesurée sur des espaces de vastes étendues plus grandes que plusieurs départements Français. Une loi au pouvoir renforcé pour contrôler et sanctionner le défrichage dans une décision de la Haute Cour qui affecte 20% de l’État, 330 000 km², soit la superficie égale à la moitié de la France.
Pour ceux qui n’ont plus le souvenir des cours de géographie et voudraient se rendre compte des proportions, le Queensland est une région d’Australie qui fait 1 852 642 km², soit environ 3 fois la France (643 801 km² (outre-mer-inclus)).
Le Queensland est surnommé le « Sunshine State » (« État ensoleillé »), puisque son climat est chaud et se trouve sous les tropiques. En résumé, il fait toujours chaud, et l’absence de précipitations sur une longue période est récurrente. Changement climatique ou pas, cette région a toujours eu des périodes longues de chaleurs et canicules.
Les mois de décembre et janvier sont les plus chauds de l’année et il y fait une moyenne de 30° le jour et 21° la nuit. Sous l’effet de la chaleur, la végétation tout simplement sèche et perd de l’eau et devient un combustible idéal dans une température idéale pour le démarrage de tout embrasement.
A partir de mai 2018, du tout petit propriétaire du papy et mamie, ou paysan qui défriche par brûlage culturel traditionnel ou celui qui fait un pâturage en zone vierge pour quelques moutons sur le tour de sa maison, à l’agriculteur qui faut une saignée anti-feu de brousse, tous étés lourdement sanctionnés s’ils dérogeaient à la loi.
La loi fut appliquée au pied de la lettre. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 600 000 $ le défrichage préventif ce qui dissuade.
Ce qui logiquement de cause a effet est arrivé. Des feux gigantesques. Le changement climatique est un bouc émissaire facile. Ca fait les gros titres à la place des vrais responsables.
La catastrophe des feux Australiens n’est pas la conséquence d’un changement climatique, mais le comportement criminel d’un gouvernement qui a essayé d’acheter des votes verts en créant de vastes étendues de parcs nationaux sans rien gérer de celles-ci et a conduit a faire des régions Australiennes des resserves de carburant végétal sèches.
Ils se sont pliés à une idéologie qui fait obstacle à la réduction des risques et empêche les propriétaires fonciers de défricher la végétation autour de leurs propres propriétés, le tout sous l’emprise du dieu de la« biodiversité ».
Le bilan des brasiers est lourd, un milliard d’animaux tués et 120.000 km² de végétation en cendres.
Si vous voyez les écolos pleurer sur les feux en Australie, en fait ils pleurent les conséquences dont ils sont la cause. La vérité fait mal et ils ne la publient pas en faisant des montagnes sur l’hypocrisie climatique, mais cela cache la cause réelle et sérieuse des feux Australiens.
Deux régions au monde ont adoptés les lois écolo en interdisant le débroussaillage, la déforestation par coupe-feu et les barrages en digue de terre collinaires pour créer des retenues d’eau.
Ce sont le Queensland en Australie et la Californie aux States.
Ces deux régions sont depuis la proie d’incendies gigantesques.
L’alarmisme exagéré des écolos entraîne des lois environnementales aux effets pervers plus nuisibles que ce qu’elles sont sensé combattre. Aujourd’hui l’expérience Australienne montre que cela peut être criminel.
Par Spartacus Lequidam
Tweeter @lequidampost
]]>Pour ceux qui ne comprennent pas les privilèges, les iniquités et les inégalités sociales les voici expliquées le plus clairement du monde par les chiffres froids et concrets.
Les cotisations :
Un salarié du secteur privé est abondé entre 15,45% et 23,2% (cotisations salariales et patronales) (avec complémentaires) en pourcentage de sa rémunération par son employeur, pour son assurance retraite. (les petites lignes que personne ne lit sur la feuille de salaire).
Voici la cotisation de l’état avec ses obligés :
Un fonctionnaire est abondé pour la retraite par l’état employeur à 74,28%
Un militaire lui est abondé pour la retraite à 126,04%.
La croissance est exponentielle : il y a 10 ans, en 2009, les taux étaient respectivement de 58,47% et 108,39%. Plus de 20% de croissance en seulement 10 ans. L’absence de caisse cantonnée avec une balance entre recettes et dépenses autorise une dépense pour les castes de l’état démesurée.
Chacun peut le constater.
Les affiliés à des caisses :
Un fonctionnaire territorial ou hospitalier affilié à la CNRACL l’état employeur fournit une cotisation retraite de 41,48%.
Un agent SNCF affilié à la CPRPSNCF la cotisation de la société est de 46,43%.
Un agent EDF affilié à la CINIEG est à 52,58%.
Comme vous le constatez, l’état est pharaoniquement généreux pour l’assurance retraite des ses obligés et des entreprises publiques qu’il gère…
L’état est entre 3 et 8 fois plus généreux avec ses collaborateurs que le droit commun..
C’est une montagne de différence de traitement…
C’est odieux !
Mais d’où vient l’argent de ces généreuses cotisations ?
La réponse est simple, il n’y a rien qui sort de la poche de l’état qui ne soit prélevé de votre poche…
Tout est pris dans vos impôts, cotisations, taxes sur les factures du secteur marchand.
L’état employeur ne paye pas les charges sociales de ses salariés, comme la vache ne paye pas la taxe sur le lait.
L’argent de l’état est un jeu a somme nulle, ou ces cotisations pharaoniques sont autant de pouvoir d’achat qui vous est arraché par la force de l’obligation.
Aucun privilégié de l’état ne peut avoir ces avantages sociaux sans que quelqu’un d’autre ne les payent.
A contrario, les agents EDF, RATP ou SNCF ont eu une carrière avec l’exception d’être exonérée de cotisations pour le chômage, alors qu’on a demandé aux cotisants du secteur privé de prendre en charge le secteur du spectacle…
Payer pour le service régalien de l’état est une chose, mais payer le double pour une gestion inconsistante, est irresponsable.
Le secteur privé ne peut pas concurrencer les avantages injustes des secteurs économiques gérés par l’État et cette ponction pour les privilèges de ses agents et sa gestion honteuse.
Les droits ?
Les inégalités les plus injustes sont celles des droits différenciés.
Il est difficile de faire une liste des discriminations que subissent les adhérants au régime général tellement les privilèges sont nombreux dans les régimes spéciaux de l’État.
Voici un patchwork incomplet :
Privilège de faible pénalité de décote : Si vous n’avez pas votre nombre équitable d’années vous aurez une « décote », mais pas la même ! Les fonctionnaires qui pourtant ont des carrières plus linéaires du fait de la stabilité de leur emploi sera moins pénalisante.
Pire quand c’est « décote » pour les salariés du privé, c’est « surcote » pour ceux du public. Le fonctionnaire a bénéficie plus jeune de la décote et une surcote plus jeune. Ainsi lorsqu’à 63 ans un fonctionnaire passe en surcote, le salarié du privé est en décote. Il est prévu a terme une égalité, mais qu’au futur… (pas besoin de dessin ?)
Privilèges de cumuls : Si vous cumulez 2 emplois dans le secteur privé, par exemple un job la semaine et un job le week-end vous avez 2 rémunérations dans le secteur privé, mais savez vous qu’on ne tiendra compte que d’une seule « limitée » au seuil sécurité sociale indépassable ?
Pas pour eux, les élus, fonctionnaires et bénéficiaires de régimes spéciaux. Vous connaissez sûrement le Français champion du monde toutes catégories cumulard d’une foultitude de régimes spéciaux, François Hollande ? Et bien vous aurez beau avoir autant d’emplois privés ou fictifs dans le secteur privé du droit commun, jamais vous ne cumulerez comme lui, Vous n’en avez pas le droit, eux les privilégiés des régimes spéciaux, Oui.
Privilège d’une pension qui ne correspond en rien a la carrière réelle.
Le grade détermine la pension des privilégiés des régimes spéciaux, pas la fonction exercée. Par exemple en France il est versé largement 3 fois plus de pension au grade de préfets, qu’il n’y a jamais eu de préfets en fonction en France…
Privilège de fraude tolérée de sa pension
Le « coup du chapeau », c’est une évolution de grade pour poste fictif, en toute fin de carrière pour calculer favorablement la pension de l’intéressé. Dans le ministère de l’économie et des finances, 24% des fonctionnaires changent de grade dans la dernière année, mais à l’intérieur de cette statistique, 75% des haut fonctionnaires de ce même ministère sont « gradés » pendant cette période.
On note une augmentation de grade dans le ministère des anciens combattants 50% des fonctionnaires, la poste 40%, l’intérieur 33%, la défense 30%, l’aviation civile 23% comme à la recherche publique, l’équipement et le logement, 15%, la justice 14% et l’éducation nationale 9%. (Chiffres de 2013) mais avec le gouvernement Hollande et Macron, pro-technocrates le chiffre a certainement évolué en pire.
Cette fraude ou manipulation est entrée dans les mœurs des privilégiés, tolérée elle semble être d’un faible coût pour l’administration qui l’octroie, pour quelques mois, comme une augmentation de salaire indiciaire, mais génère une terrible charge sur la société par une amplification de la pension qui sera versée pendant des dizaines d’années, une spoliation scandaleuse des contribuables français.
Privilèges de bonifications de droits à gogo :
Pour les instituteurs fonctionnaires, le temps passé à l’école normale à partir de l’âge de 18 ans est considéré comme une durée de service effectif. Un privilège qui permettra a ses bénéficiaires de partir plus jeune que les autres à la retraite.
Un partie des fonctionnaires de la police nationale, de l’administration pénitentiaire, des douanes, de la navigation aérienne des militaires se voient crédités de 30 ans de service alors qu’ils n’en ont effectué que 25… Ils peuvent donc gagner par rapport à tous les autres gagner 5 années de travail en moins pour obtenir leur retraite.
6 ans = 8 ans pour le service hors Europe. Vivre sous les cocotiers nécessite tellement cela. Vous aurez en plus une meilleure pension si vous y restez.
Allez je vous réserve la plus caricaturale anecdote pour la fin. Un retraité de la SNCF qui décide de terminer sa carrière de retraité à la Martinique ou La réunion bénéficiera comme un fonctionnaire d’une pension majorée en fonction de « droits acquis » copiés sur le droit des fonctionnaires. Mais savez vous que dans ces DOM-TOM il n’y a même pas de trains et il n’y en a jamais eu sur ces îles ? Pitoyable n’est-ce pas ?
Alors, oui il faudrait une réforme des régimes spéciaux, mais pas élaborée par des technocrates en conflit d’intérêt, eux mêmes aux régimes spéciaux.
Nous regardons sous nos yeux en ce moment le pire du pire.
Ce gouvernement a réussi l’exploit non seulement de faire une non-réforme, mais en plus de céder aux corporations les pires déjà favorisées en rien l’universalisme de l’excuse pour la demande de réforme.
Dramatique !
]]>Il faut dire que Hunter a bien de la chance.
Il gagne 600 000 $ par an. Il travaille pour une société pétrolière Ukrainienne.
Pourtant Hunter ne parle pas Ukrainien. Hunter est Américain et ne parle que Anglais.
Pour donner un ordre de proportion, un administrateur de Exxon Mobil (2eme capitalisation boursière du monde, 6eme chiffre d’affaire du monde) est à coté de lui un « petit joueur » avec seulement 330 000$ par an. Et bien Hunter gagne presque le double de lui.
Le salaire annuel moyen en Ukraine est de 1700 $ par an (notez que c’est par an et pas par mois).
Comme vous le voyez Hunter gagne beaucoup, beaucoup plus que les gens en Ukraine siège de la société pétrolière qui l’emploie comme avocat d’affaires….
Hunter lorsqu’il a été embauché ne connaissait rien au pétrole.
Hunter n’est pas un exemple. Il a été viré de l’Armée pour usage de cocaïne.
Chronologie
Acte 1 Joe Biden demande un limogeage contre l’obtention de l’aide financière Américaine.
A la fin du dernier mandat de O’Bama aux USA, le vice président Joe Biden demande le limogeage du procureur en chef de l’époque en Ukraine, qui enquêtait sur l’entreprise employant Hunter. L’entreprise « Burisma holding » en 2016 juste à la fin de mandat de O’Bama.
A cette époque de conflit avec la Russie, l’Ukraine a terriblement besoin de l’aide Américaine.
À la demande de Joe Biden, vice président de O Bama et chargé des affaires étrangères, le procureur en chef, Viktor Shokin, est licencié immédiatement et l’enquête sur Burisma Holding est close. Joe Biden a eu ce qu’il a exigé pour donner l’aide financière Américaine.
Acte 2 Un livre sort en mars 2018.
« Empires secrets : comment la classe politique américaine cache la corruption et enrichit sa famille et ses amis ».
L’auteur de ce livre Peter Schweizer se pose des questions sur le dernier acte de Joe Biden avant la fin de mandat de Barack O’Bama, le limogeage du procureur Ukrainien. Il découvre que le fils du vice président est employé par « Burisma Holding ».
Hunter Biden, fils de Joe Biden vice président des états unis travaille dans l’entreprise ou son père a demandé au président de l’Ukraine de virer le procureur qui enquêtait sur elle. Il découvre les revenus pharaoniques de Hunter Biden dans l’entreprise Ukrainienne. (50 000$/mois officiel) (83 000$ selon l’agence de presse Halifax)
Acte 2+ une affaire chinoise :
Partant de là, l’auteur du livre pousse le bouchon et enquête sur le fils du vice président. Hunter Biden et découvre, une affaire chinoise.
En 2013, les Chinois envahissent les îles de la mer de Chine méridionale.
La tension est forte entre USA et Chine. O’Bama envoie Air Force Two et son vice président Joe Biden qui lui, emmène avec lui Hunter à bord de l’avion.
Joe Biden s’écrasera devant le bellicisme des Chinois, même la presse de gauche acquise aux démocrates critiquera son manque de négociation. En fait, 12 jours après le voyage, un fond de capital-investissement Chinois est créé avec à la tête Hunter, capitalisé par un prête nom du gouvernement chinois de 1,5 milliards de $. Le fond reçoit une licence commerciale Américaine ce qui est contre nature.
Acte 3 : L’avocat de Trump lit le livre et contacte l’auteur.
La désignation du prochain candidat démocrate est un jeu à 3 prétendants.
Sanders est un vieux, malade et tellement à gauche que Trump ne risque pas grand chose. Waren est aussi une extrémiste clivante très à gauche, et affabulatrice. Elle c’est inventé un passé misérabiliste et tout est faux. Elle n’est ni indienne, et n’a pas subit de licenciement abusif parce qu’elle était enceinte comme elle a prétendu.
Le plus dangereux pour l’élection de 2020 pour Trump, c’est Joe Biden. Un homme de centre gauche qui lui peut rallier les indécis qui font l’élection.
Et…Rudy Giuiliani, l’avocat de Trump qui a lu le livre, s’empresse de lui e-mailer les pages les plus savoureuses…Et en Ukraine on a changé de président.
Acte 4. La conversation téléphonique.
Une conversation téléphonique a eu lieu entre le nouveau président Ukrainien et Donald Trump. Trump demande a ce que le président Ukrainien enquête sur Hunter et sa société « Burisma Holding » car il veut savoir.
Un membre « inconnu » qui se fait appeler « lanceur d’alerte » dénonce Trump comme soi-disant ayant fait pression sur le président Ukrainien en mettant en jeu l’aide Américaine contre des informations sur Hunter. On sait que ce lanceur d’alerte est proche des démocrates, et a travaillé pour Joe Biden.
Acte 5 Lanceur d’alerte
Adam Schift le sénateur démocrate, et président du comité du renseignement chargé de superviser la communauté du renseignement des États-Unis affirme qu’il y a « des preuves plus que circonstancielles » et fait une présentation à charge de la conversation que Trump a eu avec le président Ukrainien Zelensky.
Les démocrates lancent un projet de « destitution » politique et médiatique du président Trump sur la base des faits reportés du lanceur d’alerte.
Il n’y a aucune chance que la destitution aboutisse. Il faudrait un accord du Sénat et le Sénat est à majorité républicain.
Acte 6 Trump contre attaque
Le président Trump ne nie pas avoir demandé au président Ukrainien d’enquêter sur Hunter, et un éventuel conflit d’intérêt. Il nie avoir fait pression par des menaces et livre à la presse la conversation téléphonique de plusieurs minutes qui se révèle chaleureuse, qui ne continent aucune menace. Trump indique que c’est son rôle de vérifier ou va l’argent du contribuable Américain.
Le président Ukrainien Zelensky confirme les propos de Donald Trump officiellement et déclare. « Ce n’était pas un chantage et le budget des armes pour l’Ukraine n’était pas un sujet de conversation« .
Harcelé de questions par les journalistes à tendance démocrate, sur le projet de destitution, Trump répond que c’est une manœuvre politique en coup d’état et dit qu’ils feraient mieux d’aller enquêter sur Hunter en Chine.
Trump contre attaque avec le slogan « where’s Hunter ? » plusieurs fois par Tweet et à la convention de Minneapolis.
A la sortie du rassemblement de la campagne électorale de Trump à Minneapolis, au Minnesota des t-shirts ont commencé à se vendre à la sortie. Les T-shirt, peuvent être achetés sur internet ou dans les shops républicains pour 25$.
Avec la casquette « Make America Great Again » lors de sa première campagne présidentielle, Trump a amassé 45 millions de dollars.
Le T-shirt « where’s Hunter ? » Fera t-il mieux ?
Mais ou est-il Hunter ? Ou est il ?
]]>Un débat médiatique qui cherche à capter l’auditeur, le téléspectateur ou le vote des bobos et la diabolisation de l’industrie chimique et le capitalisme.
Les pesticides sont un exemple assez caricatural quand on prend le temps de rentrer dans la réalité et sortir des clichés imposés basés sur la méconnaissance et l’ignorance générale du sujet.
Origine des pesticides et évolution.
Les végétaux dans l’esprit commun ont l’image d’êtres incapables, immobiles, passifs, vulnérables à l’attaque d’une multitude d’organismes pathogènes. Les expressions populaires incluant des fruits et légumes reflètent bien cet état d’esprit. « Compter pour des prunes », « bête comme chou », « a la noix ».
La réalité est que la végétation est vivante, dotés d’ADN et de l’envie de survivre.
Au cours de l’évolution, les plantes ont développé des moyens pour survivre.
Pour faire face elles ont développé des mécanismes de défense au cours de l’histoire évolutive des végétaux contre les champignons, les insectes et les animaux. Certaines visibles comme des piquants, ou d’autres invisibles comme les substances chimiques.
Pour se protéger, les végétaux se sont donc mises à produire des produits chimiques, des toxines, des substances défensives complexes. Les pesticides.
Les pesticides sont lié à leur évolution, leur complexification, leur diversification depuis plusieurs millions d’années.
Les pesticides sont à 99,9% naturels
L’exposition de l’homme à des pesticides d’origine naturelle est sans commune mesure à l’exposition des pesticides d’origine humaine.
Contrairement à la perception que vous impose le monde écolo-médiatique, les 99,9% des pesticides consommés par l’homme ont une origine naturelle.
Les quantités de résidus de pesticides synthétiques dans les aliments sont insignifiantes par rapport à la quantité de pesticides naturels produits par les fruits et légumes eux-mêmes.
Des dizaines de milliers de ces pesticides naturels ont été découverts et chaque espèce de plante en produit au moins une vingtaine au minimum. Par exemple, le chou à lui seul en compte 120 (y compris les produits de dégradation).
La concentration des pesticides dans les aliments se mesure à l’échelle du ppb de l’anglais part per billion (partie par milliards (1 ppb = 0,000 000 001 = (10-9)).
En alimentation méditerranéenne, nous consommons une moyenne de 10 000 pesticides et produits de décomposition naturels au cours de notre vie.
Nous consommons 1 500 ppb de pesticides naturels par jour, pour 0,09 ppb par jour de pesticides synthétiques (crées par l’homme).
Pesticides et humains.
Les végétaux comme les humains font partie de l’histoire de l’évolution.
Les défenses que les humains ont développées sont généralement de type général car le nombre de pesticides naturels est très important et varié. Les défenses générales offrent une protection contre les pesticides à la fois naturels et synthétiques, ce qui permet aux humains d’être bien protégés contre les toxines alimentaires à faible dose.
Les plantes, elles développent et raffinent leurs armes chimiques depuis 500 millions d’années. Les plantes, elles ont développé leurs pesticides naturel les plus efficaces pour dissuader les prédateurs, elles ont laissé leur héritage à leur descendance.
D’autre part, les humains, ont évolué il y a moins d’un million d’années, eux n’ont pas eu le temps de se transformer en une « harmonie toxique » avec tous les végétaux de leur régime alimentaire. En fait, très peu de fruits et légumes que nous mangeons aujourd’hui existaient à l’époque des chasseurs-cueilleurs.
Notre alimentation a radicalement changé au cours des derniers milliers d’années. Nous consommons des fruits et légumes sélectionnés ou améliorés, récemment introduits dans des cultures vivrières que ne connaissaient pas nos ancêtres, comme par exemple le café, le cacao, le thé, les pommes de terre, les tomates, le maïs, les avocats, les mangues, les olives, les kiwis.
En outre, les légumes crucifères tels que le chou, le brocoli, le chou frisé et le chou-fleur sont popularisés que depuis le Moyen Age. La sélection naturelle fonctionne beaucoup trop lentement pour que les humains puissent développer une résistance aux toxines naturelles.
Nous pouvons facilement extraire de nombreux pesticides naturels, mais nous avons besoin de davantage de produits chimiques synthétiques pour protéger les cultures des insectes nuisibles. D’autre part, nous pouvons également augmenter les niveaux de pesticides naturels.
Les allergies, les eczémas, après contact aux plantes ou pollens sont les conséquences de la chimie naturelle des plantes.
Par exemple, quelques variétés de céleri provoquent des éruptions cutanées et des brûlures chez les personnes qui s’exposent au soleil par la suite.
Une variété de pomme de terre développant des toxines naturelles a dû être retirée du marché en raison de sa toxicité pour les humains.
En outre, lorsque les végétaux sont stressées ou endommagées, par exemple lors d’une attaque de ravageurs, leurs concentrations de pesticides naturels augmentent considérablement, mais rarement jusqu’à des concentrations toxiques pour l’homme.
La racine de manioc, par exemple, une culture vivrière majeure en Afrique et en Amérique du Sud, résiste assez bien aux parasites et aux maladies, mais contient du cyanure à des niveaux si élevés que seul un processus laborieux de lavage, de broyage, de fermentation et de chauffage peut le rendre comestible. L’intoxication chronique au cyanure est endémique dans de nombreuses régions africaines mangeuses de manioc.
Les intoxications au Datura, plante sauvage invasive intoxique les consommateurs de produits bio dans nos pays occidentaux. Comme les farines de sarrasin ou les haricots bio.
Les végétaux développent des pesticides naturels qui sont responsables couramment de mycoses, mycoses pulmonaires, dermatophytes, candidoses, méningites, Kératites, Septicémies etc…
Dans les pesticides naturels, on trouve des toxines naturelles qui classent certains végétaux « probablement cancérigène ». Le soja, le basilic, l’estragon, basilic, l’anis ou le fenouil par exemple le sont, comme le soleil, l’alcool ou la viande rouge.
Le chou et le brocoli contiennent un produit chimique qui se décompose en substances imitant le comportement de la dioxine dans l’organisme. La dioxine provoque des anomalies congénitales chez les rongeurs à des doses extrêmement basses.
Pesticide naturel ou synthétique. Quelle différence ?
Les non-scientifiques, les médias, ont tendance à penser que les pesticides sont uniquement synthétiques et à les qualifier de toxiques, en ignorant le fait que tout pesticide naturel est également toxique à une dose donnée.
La dichotomie polémique entretenue par les écolo-fascistes entre « naturel » ou « Artificiel » ou « synthétique » crée une montagne d’ignorance.
Par exemple, la toxine de tomate, présente une concentration plus proche du seuil de toxicité chez l’homme que 1000 fois des toutes les traces de résidus de pesticides synthétiques cumulées.
Les toxines naturelles peuvent également ont les mêmes mécanismes de toxicité que les toxines synthétiques telles que la dioxine.
Ironiquement, les agriculteurs biologiques sont légalement autorisés à utiliser des pesticides naturels (bio-sourcés), tels que la roténone, que les Indiens utilisaient comme poison pour tuer les animaux, ou les pyréthrines des plantes de chrysanthème.
Les pesticides autorisés en bio n’ayant pas été testés aussi complètement que les pesticides synthétiques, leur innocuité par comparaison ne doit pas être présumée ou ignorée.
En résumé, les pesticides d’origine végétale représentent la grande majorité des pesticides diététiques auxquels les humains sont exposés et comportent donc un risque égal, voire supérieur, à ceux fabriqués par l’homme.
Même si ces produits chimiques naturels sont aussi cancérigènes ou dangereux que les produits synthétiques, cela ne veut pas dire que les uns et les autres nous tuent. La plupart des pesticides, naturels ou synthétiques, ne posent pas de problèmes, car les expositions humaines sont faibles et tout est dans la dose.
Tout ce que vous mangez du supermarché, du marché du magasin bio ou de votre jardin est rempli de pesticides.
De nombreux aliments ordinaires ne satisfont pas aux critères réglementaires utilisés pour agrémenter les pesticides synthétiques.
Les pesticides naturels sont dans les pommes, les bananes, les betteraves, les choux de Bruxelles, le chou vert, les raisins, les melons, les oranges, le persil, les pêches et ces fruits et légumes ne sont pas interdits.
Il ne viendrai pas à l’idée de les interdire, mais si leurs pesticides naturels devaient passer un test de nocivité identique à ce que subit un pesticide synthétique avant son agrément de mise sur le marché. Ces fruits et légumes ne passeraient pas les tests et éliminés de suite.
Parallèlement, les pesticides de synthèse ont considérablement réduit le coût des cultures vivrières, ce qui constitue une avancée majeure en matière de nutrition et donc de santé.
En 1997, les instituts de recherche sur le cancer des États-Unis et du Canada piloté par le plus grand biologiste du monde (Bruce Ames) ont publié une importante étude pluriannuelle de toutes les publications scientifiques faisant état de tout lien entre le cancer chez l’homme et les résidus de pesticides dans les aliments. Ils n’ont pas trouvé une seule preuve crédible liant les deux.
Ils ont conclu que 30% des cancers humains sont dus à la consommation de tabac, provenant d’une plante naturelle, et que 35% des cancers sont causés par une mauvaise alimentation, principalement un excès de graisse et de cholestérol, des substances naturelles.
Il n’existe pas de risque démontré pour la santé de manger des fruits et des légumes traités avec des pesticides légalement autorisés aux doses légales.
Le venin de Cobra est « naturel ». Quelqu’un se soucie de la dose ? C’est dilué un puissant anti-douleur et anti diabétique.
Oubliez les débats absurdes ou les écolo-gauchistes vous dirigent en faisant une distinction entre pesticides naturels ou de synthèse. Les écolos sont anti capitalistes et veulent diaboliser les productions humaines, c’est pour cela qu’ils font la distinction.
Posez toujours le débat sur les pesticides sur l’angle de la dose. C’est le seul approprié. Le reste c’est de la politique interventionniste pour chasser pour caresser l’électeur bobo qui se prend pour sauveur de la planète en éteignant sa cigarette sur le trottoir en entrant dans le magasin bio.
Le pesticide synthétique n’a qu’un danger. La dose. Que la dose et pas ses distinctions intrinsèques.
Vidéos du journal l’Opinion pour compléter :
https://www.lopinion.fr/video/decryptage/definition-pesticides-qu-est-que-c-est-197557
https://www.lopinion.fr/video/decryptage/quels-sont-avantages-inconvenients-pesticides-197704
https://www.lopinion.fr/video/decryptage/l-agriculture-bio-utilise-t-elle-pesticides-198030
]]>
Le 1er octobre, c’est donc le 70e anniversaire du bilan du Parti communiste chinois à la tête du pays depuis 1949. Pas certain que la Chine fête un 75eme anniversaire avec lui….
À la différence de l’Union soviétique à ce stade, la Chine semble prospérer en apparence. Du moins si vous écoutez les médias affligeants à l’analyse économique de moules journalistiques.
La Chine est souvent comparée à l’économie Américaine, mais en réalité elle en est bien loin.
La productivité Américaine est 2 fois plus efficiente avec 4 fois moins de population que la Chine et une démographie plus dynamique.
Son esprit d’initiative la fait renouveler ses forces économiques en permanence. La Chine plus forte que les USA est juste une chimère des journaux de gauche ou on préfère s’auto-persuader des fantasmes anti-Américains primaires, se bercer d’illusions et nier la réalité.
La vérité est tout autre, en Chine ça explose de partout.
Guerre économique, démographie, mauvaise productivité, dette, crise de Hong Kong, camps de Ouïghours, Xi Jingping le dictateur, disparitions de milliardaires, cyber-surveillance orwellienne, fuite des cerveaux, fuite des capitaux occidentaux, corruption endémique.
Ça se lézarde de partout. Il faut juste deviner par quel bout le pays va s’écrouler.
Le miracle Chinois est bien derrière.
La grande croissance chinoise des années 90 et 2000 a été alimenté par une main-d’œuvre nombreuse et jeune, une urbanisation rapide, des investissements d’infrastructure à grande échelle, la libéralisation des marchés et la mondialisation.
Ces facteurs favorables sont en train de se retourner et s’inversent négativement. La démographie, les investissements et les marchés potentiels se resserrent tous. A cela il faut ajouter une guerre commerciale avec la plus grande économie du monde et son premier client, les USA.
Dans la réalité la situation économique de la Chine n’est pas très optimiste. Xi le dirigeant actuel apparaît comme un dictateur sans scrupule qui tranche avec les années d’ouverture à l’occident des années Deng Xiaoping et l’ouverture aux marchés libres.
Les manifestations pour la liberté à Hong Kong, durent depuis plusieurs mois, et la propagande a de plus en plus de mal à la cacher à la population intérieure du pays. L’impact de la crise est très négatif sur l’économie et l’image de la Chine. Hong Kong est la plaque tournante du commerce international du pays. La dictature se fait visible à la Chine et au monde entier.
Les chiffres de propagande ne dupent plus personne
Les chiffres économiques affabulateurs de la Chine ont vécu, plus personne ne croit la propagande des données officielles venant du gouvernement Chinois.
Les analystes économistes des compagnies de notation sur la Chine rassemblent aujourd’hui des données alternatives, comme les données de transfert bancaires, la consommation d’énergie, du fret ferroviaire, jusqu’aux photos prises depuis l’espace.
La conclusion est bien différente de la parole du gouvernement Chinois. L’économie chinoise plafonne et se retourne, et pas du bon coté.
Les chiffres du PIB chinois sont faux à plus de 3 points des pourcentages annoncés.
Les entreprises Américaines. Européennes se détournent de plus en plus leurs activités de la Chine, en raison de l’intensification de la guerre commerciale entre les USA et la Chine. Les milliardaires fuient, les chercheurs les scientifiques veulent terminer leurs carrières aux USA.
25% des entreprises Américaines ont déclaré baisser leurs investissements au cours de l’année 2018.
Discrètement le gouvernement Chinois essaye de « rattraper » les investisseurs Américains par des mesures exceptionnelles désespérées, en exemptant les produits pour les américains de droits de douane.
La banque centrale chinoise a quant à elle injecté depuis le début de l’année 126 milliards équivalent dollars dans l’économie. Une folie financière à charge des générations futures.
La corruption entraîne les fonds d’investissement de l’état vers les entreprises de l’état, déjà les plus endettées du monde, et les moins dynamiques avec des ratios de remboursement ubuesques et de l’autre détruisant le potentiel privé qui ne trouve lui se trouve bloqué de financements disponibles.
Un entreprise chinoise 100% privée emprunte a 9%. Ce qui fragilise les rentabilités et promet des augmentations de coûts alors que les concurrences des pays émergements à la Chine se réveillent dans tous les domaines.
Les immeubles des grandes villes se vident et derrière les façades de verre, les bureaux vides sont plus nombreux que les bureaux remplis.
En chine, l’inflation fait un grand retour. Le prix du porc augmente depuis des mois et il est maintenant près de 50% (le double) plus élevé qu’il ne l’était il y a un an.
Essayez d’imaginer l’impact psychologique du doublement du prix de la viande en un an en France et dites vous bien que les chinois sont comme les Français. Ils doutent de leur gouvernement avec ce genre de résultat.
La démographie se retourne négativement.
La Chine a un terrible problème démographique, c’est peut être le plus important problème. Les résultats des politiques de l’enfant unique a fait avorter des générations entières de filles et favorisé la conception d’enfants masculins. Il en résulte un déséquilibre démographique. Un faussé plein d’hommes vieux et incapables de trouver une épouse et des jeunes moins nombreux qui auront la charge de porter la charge et le fardeau social de générations vieillissantes elles plus nombreuses.
Une société frustrée, fichée et forcée à la sédentarité.
Les systèmes communistes ne peuvent exister sans une société de gens serviles à l’état. Corée du Nord et Chine on un système de contrôle et d’enregistrement des ménages assez terrifiant. Le système d’enregistrement des ménages « hukou » identifie et détermine le domicile légitime de chaque individu ou il doit rester impérativement, le lieu où il bénéficie de l’enseignement public et des services médicaux. Si vous êtes un Chinois chanceux, c’est Beijing, Shanghai, Guangzhou ou Shenzhen. La plupart des gens ruraux concés dans leur région rurale, cela engendre injustice et frustration. Des échantillons d’ADN, des empreintes digitales, des images de l’iris et des informations sur les groupes sanguins de tous les habitants âgés de 12 à 65 ans sont collectés. Dans la province de Xinjang, la reconnaissance faciale, surveille les déplacements des habitants.
Le dictateur Xi Jingping met en place un système qui sera pleinement opérationnel en 2020 de crédit social coercitif. Chaque Chinois se verra attribuer une note, échelonnée entre 350 et 950 points, Le système repose sur un outil de surveillance de masse et utilisera la coercition et les privations de droits pour redresser les « récalcitrants« .
Ne croyez pas que les Chinois sont dupes et ne rêvent pas de la liberté occidentale.. La frustration latente est une bombe.
La corruption endémique
La corruption est le propre des régimes technocratiques et la Chine en est une caricature. Chaque fois qu’une entreprise remporte un appel d’offre public, c’est qu’elle a payé les fonctionnaires corrompus.
Il faut payer et accepter la corruption des fonctionnaires pour tout. Pour instruire ses enfants dans une école spécialisée. Il est interdit de déménager et il faut payer pour avoir les dérogations. Il faut payer pour travailler dans l’entreprise d’état ou de la province et rétribuer à vie en liquide le fonctionnaire qui t’a donné le travail.
La corruption engendre une société communiste de discriminés et de frustrés du système. Des fonctionnaires très riches au pouvoir de discrimination.
Xi Jingping retour à 180° vers une dictature néo-Maoïste
Le PCC a abandonné le pragmatisme et la souplesse intellectuelle de Deng Xiaoping.
Xi Jingping est un pur dictateur, il c’est déjà déclaré dirigeant a vie avec un virage néo-maoïste. Il veut imposer une discipline organisationnelle rigide et un gouvernement fort fondé sur la peur et la terreur. Les erreurs politiques vont être catastrophiques comme toutes les expériences communistes le prouvent.
Au fur et à mesure des contestations que va engendrer le retournement de l’économie, son emprise pour garder le pouvoir va le rendre impopulaire, il ne lui restera que l’ intensification et la répression de ses opposants. Dans un monde Internet. Le mouvement de balancier peut allez plus vite que les périodes passées entraînant un effet spirale négative.
Un régime dépendant de la coercition et de la violence va induire une réduction de l’activité économique, payer d’une résistance populaire croissante, d’une augmentation des coûts et un futur isolement international.
La faillite de la Chine est plus proche que l’on croit. Les 70 ans du 1er octobre sont certainement le dernier round avant l’écroulement dans la décennie qui arrive.
Les Chinois en ont mare et sont a bout. Même maintenant en occident on le sait. Le PCC n’arrive même plus à le cacher.
]]>On lit tout et n’importe quoi sur la réflexion des USA à acheter le Groenland.
Bien entendu, dès que le mot « Trump » fait partie d’une équation, les meutes journalistes agissent comment des chiens et hurlent à l’unisson à charge sur la déraison des réflexions des USA.
Encore un constat que le journalisme en France n’est qu’un tribalisme, et que la confiance est rompue. Vous avez lu beaucoup de poncifs, clichés, niaiseries et entendu tout et n’importe quoi. Il faut donc rétablir les vérités.
Nous devons aujourd’hui ne plus prendre l’information des médias anciens, et réfléchir par nous même pour comprendre. Voici donc une vulgarisation de la situation.
Histoire du Groenland.
Le Groenland est une région qui a supporté plusieurs périodes de réchauffement-refroidissement dans l’histoire. La préhistoire montre plusieurs périodes de migrations et exils des Amérindiens sur la partie proche du Canada.
Nous savons que la disparition des Groenlandais d’origine indienne Dorset est due à la famine, causée par le refroidissement climatique avant le réchauffement climatique médiéval du xie siècle.
En 982, Erik le Rouge le viking, banni de Norvège explore le pays. Il nomma cette terre « Groenland » qui se traduit par « Pays vert ». D’après Le Roy Ladurie, le Groenland était à l’époque bien plus vert qu’aujourd’hui et un peu plus hospitalier notamment sur les côtes (en raison de l’optimum climatique médiéval).
Le Groenland devient à la descendance d’Erik le Rouge, une colonie du royaume du Danemark et de Norvège avec les îles Féroé.
A la séparation de l’union du Royaume de Danemark et Norvège en 1814, la propriété du Groenland revient au Royaume du Danemark.
Aujourd’hui, les 2 colonies danoises, les îles Féroé et le Groenland sont des provinces autonomes du royaume du Danemark. Elles possèdent un gouvernement qui leur est propre et qui a compétence dans la plupart des domaines politiques, à l’exception de quelques domaines régaliens, comme les affaires étrangères, de la défense et la politique monétaire, qui sont toujours contrôlés par Copenhague.
La relation du Groenland avec les USA
La première chose qui saute aux yeux, le Groenland fait partie géographiquement de l’Amérique du Nord.
Les danois ont par le passé vécu un phénomène migratoire vers les USA important. Avec la proximité du Groenland et des Amériques, les Danois ont étés sensibles au rêve Américain. De 1815 à 1914, 15% des Danois (300 000 personnes) émigrent vers les États-Unis et le Canada. Un nombre conséquent. La majorité des familles danoises aujourd’hui ont des branches familiales aux USA.
Après l’invasion du Danemark par l’Allemagne en 1940, les États-Unis déployèrent des forces d’intimidation pour protéger et sauver le Groenland de l’Allemagne. Le Groenland n’a pas été envahi par les nazis. Le Groenland le doit aux Américains.
Depuis lors, les États-Unis ont toujours une présence militaire sur l’île. A Thulé, se trouve la plus importante station d’alerte radar et de suivi par satellite pour la protection du territoire américain. Les bases militaires Américaines au Groenland sont vitales pour la sécurité des USA.
En 1946, l’administration Truman tenta, sans succès, d’acheter 100 millions de dollars l’île entière au Danemark. Ce n’est donc pas une lubie fantasque inventée par Trump, mais une suite des ambitions de l’histoire Américaine. Ils nous ont bien acheté la Louisiane.
Le désir d’indépendance.
Le rapport entre le Danemark et le Groenland, c’est en surface géographique le rapport entre la France et la Corse.
Au Groenland, le désir d’indépendance est très fort, en particulier parmi l’élite politique du Groenland. Pour une grande partie des Groenlandais, la question n’est pas de savoir s’ils vont devenir indépendant ou se relier aux USA, mais quand ! Pour eux c’est déjà acté.
L’économie du Danemark et l’économie du Groenland
Le Danemark est un paradoxe social, il ne connait pas le chômage. Pays prétendu « socialiste » alors que gouvernement n’interfère pas dans le social des entreprises.
Si le Danemark était socialiste comme le prétend la légende, la France est en comparaison l’union soviétique.
Seule la partie fiscale semble socialiste. Le Danemark est après la France le pays le plus fiscalisé du monde. Mais même là, la courbe se croise, là ou les Danois ont entrepris une baisse des fiscalités, la France elle trouve tous les jours de nouvelles taxes à imposer à ses ressortissants.
L’économie du Danemark est entièrement dirigée vers l’exportation. 70% de son PIB correspond au commerce extérieur. C’est un petit à l’économie mondialisée sur des marchés de niche et une puissance maritime mondialement reconnue.
L’économie du Groenland
55% du budget du gouvernement groenlandais provient du Danemark sous forme d’une subvention globale. Le Groenland est donc un « boulet économique » pour le Danemark qui est un pays qui souffre de l’autre d’une sur-fiscalisation.
Les villes du Groenland ne sont pas reliées par des routes, rendant les déplacements et l’activité économique difficile et coûteuse
Les problèmes sociaux dans les communautés isolée, tels que l’alcoolisme et les taux de suicide élevés sont nombreux.
En l’état actuel des choses, aucun de ces coûts ne pourrait être compensé par l’exploitation rentable des ressources naturelles, comme la presse bien pensante le suggère.
Il n’y a que 2 mines en activité au Groenland : la mine de rubis Aappilattoq et la mine d’anorthosite de Qaqortorsuaq. Elles survivent grâce aux subventions et ne sont pas profitables. C’est à peine 1% de l’activité du Groenland.
Le Groenland est en fait mono-industrie, et c’est la pêche qui représente 95% des exportations et de l’activité des habitants.
Les avantages à fusionner avec les USA
Le Groenland pour se désenclaver, a commencé la construction de trois grands nouveaux aéroports cette année et s’achèveront en 2023 (à Qaqortoq, au sud, à Nuuk, la capitale et à Illulissuaq, au nord).
Pour être rentable ces futurs aéroports doivent impérativement trouver des débouchés en Amérique du Nord. Le Groenland doit trouver des voyageurs d’affaire et de tourisme. Les voyageurs US sont les premiers voyageurs du monde. Un débouché pour le désenclavement.
Les USA n’absorbent seulement que 1% de l’industrie de la pêche Groenlandaise. En fusionnant avec les USA, c’est un débouché énorme qui s’ouvrira à l’industrie traditionnelle et principale du pays.
L’activité minière pourrait être développée. C’est une industrie qui nécessite de gros capitaux et une prise de risque. Les compagnies minières Américaines ont le gout du risque. Là encore cela serait une bonne affaire pour les habitants.
Conclusion
Ce n’est pas le 19ème siècle, et le Groenland n’est pas à vendre.
En fin de compte, il appartient à la population du Groenland de déterminer comment et par qui elle souhaite être gouvernée. Et à l’Amérique de valoriser son offre.
Et beaucoup pourraient être étonnés que les Groenlandais acceptent une proposition aussi intéressante.
Paradoxalement, en fait, c’est surtout pour les Américains qu’elle peut poser question. La rentabilité du Groenland. Ce n’est pas pour la semaine prochaine.
Une question qui tourmente toute l’humanité depuis la nuit des temps. Y a-t-il ou non une vie après la mort ?
Vous pensez que la réponse est complexe et que je ne vais pas vous donner la réponse ?
Vous avez tort ! Je vais vous donner une réponse et en fait la réponse est simple mais pourrez-vous l’accepter dans l’intimité profonde ?
Il faut distinguer en premier 2 parties, ou schémas de pensée, partie de gens qui croient en dieu et superstitions et les autres.
Ceux qui croient en Dieu.
Pour eux, quels que soient les arguments, c’est religieux et on y croit religieusement. C’est indubitable et quoi que soient les arguments, les logiques, les faits ou les corrélations. C’est une pensée imperméable, mais tout a fait respectable, car c’est de l’ordre de son soi intérieur et de l’intimité individuelle la plus profonde.
Pour eux, c’est un simple jeu de cause et conséquence. La liaison avec la croyance est un tenant et un aboutissant. C’est simple.
Ensuite, il y a ceux pour lesquels l’existence de Dieu ou de divinités est sujet à doute ou à caution, et qui se retrouvent dans une grande incertitude.
Après la vie, est-ce le néant ou autre chose ?
Définir la vie avant la mort est une première base de réflexion avant de répondre sur celle qu’elle sera ou pas après la mort.
La vie est physique, c’est la réalité. On touche, on écoute, on sent, on ressent. Notre vie est liée au monde physique.
Pourtant, sommes-nous nous vivants, le monde physique est-il une réalité ?
Revoyez vos rêves, pendant votre sommeil. Vous rêvez, dans ces rêves, vous communiquez, vous écoutez et ressentez. Un cauchemar vous fera réveiller en sursaut. Dans le rêve, vous avez eu l’impression de vivre, de voir une réalité, mais au réveil vous vous rendez compte que ce n’était rien, juste une illusion.
Et si la vie n’était aussi que cela ? Une illusion.
Un jeu dont nous ne sommes que des pions comme les objets aléatoires comme dans un jeu vidéo qui aurait la particularité que chaque pion est laissé à lui-même.
Avons-nous de l’humanisme et de la compassion pour des pions d’un jeu vidéo ? On peut les rebrancher, les éliminer, les replacer ailleurs, mais nous n’avons aucune compassion pour eux. Alors si nous sommes cela, et qu’il existe une vie après la mort métaphysique, il n’est pas évident que l’espoir que suscite cette perspective pour certains soit une bonne sortie.
Après tout, à bien regarder, cette vie est remplie d’une quantité incalculable d’injustices et de souffrances. Dans notre vie nous ne voyons pas de dieu ou ce qui y ressemble pour les éradiquer. Il n’y a aucune raison qu’après cela change s’il y a une vie ou une autre vie après la mort.
S’il y a une vie après la mort, serait-elle plus juste, moins cruelle ou moins heureuse que celle que l’on vit ? Il n’y a pas de contrat avec personne, et les prophètes et fils de dieu physiques sont tous rongés par les vers de terre de nos jours.
La vie se définit par le temps. C’est stupide à dire, mais la vie se définit par le temps. Le passé, le présent et qui fonde les bases du futur. Pourtant les scientifiques nous expliquent que l’univers a eu un début, et aura une fin. L’obsolescence fait partie de l’univers et il y a aura une fin.
Le passé n’est que souvenir mais devient au fur et à mesure un néant. Notre cerveau n’est pas assez élaboré pour tout retenir d’une vie.
Ce que l’on a fait le 28 juillet 1999 à 15h32 ?
Cet instant est parti au néant, comme le sera notre vie après la mort. La mémoire terrestre est stockée dans notre monde physique, dans l’hippocampe de notre cerveau. Une fois mort, cette partie comme les autres est cramoisie comme le reste du corps physique. Nous ne l’emmenons pas avec nous.
La vie c’est aussi penser. Mais qu’est-ce que penser ? Nous passons notre présent à réfléchir au futur sur les bases du passé. C’est ce qui nous remplit le temps d’anxiété, ou de sérénité. Mais mort, il n’y a plus de temps. Il n’y a donc plus de peur ou de joies.
Alors y a-t-il une vie après la mort ?
La réponse est simple. Il y a le néant. Il n’y a plus de temps, plus de peurs, plus de pensée, plus de vie.
Il n’y a certainement rien après la mort, mais s’il y a quelque chose, ce n’est certainement pas la vie, mais une autre vie ou totalement autre chose.
Même si nous aspirons à l’éternité nous sommes coincés dans un espace-temps qui a commencé et qui finira. Nous sommes comme un ordinateur, lorsque les composants ou les pièces sont cassées. Il peut être recyclé, mais ne sera jamais le même.
]]>La loi qui impose aux plateformes la censure contre les propos haineux sur les plateformes sociales Internet est gravissime. Les valeurs de la république sont gravement atteintes.
Macron nous fait une politique communiste et notre avenir de citoyens est sombre. Nous entrons dans le dirigisme et la propagande des foules se met en place.
Les élections européennes ont débouché par une représentation de dirigeants non élus, dans un jeu de négociation dans les couloirs de la nomenklatura européenne. Le directivisme collectiviste se met en place. Voici venir une 2eme vague, la censure.
Loi de censure : bloquer un discourt de haine, c’est de la haine…
L’exclusion pour des idées c’est de la haine.
Soyons clair. Empêcher la liberté d’expression, empêcher la parole est déjà le premier acte violent qui caractérise la haine.
Notre liberté d’expression est menacée. C’est une dictature qui ne dit pas son nom.
Les lois de censure sont toujours politiques et n’ont rien à faire avec la justice
Le libre arbitre est extrêmement menacé. Notre pays s’enfonce dans le communisme. Ne vous y trompez pas. C’est une censure pure et simple des pensées dissidentes.
Le fait de pouvoir condamner et réduire au silence quelqu’un pour une « haine » définie par l’idéologie des juges et de l’administration est une plaisanterie haineuse.
La France est en train de se transformer en un pays communiste, certes à encore économie de marché, mais de plus en plus ultra dirigiste. Un peu comme la Chine. A la différence, c’est caché sous des métaphores de morale aux « bon sentiments ».
Pas un jour ne passe, sans une nouvelle idée de taxe, de loi d’interdiction et de directivisme. Vous n’avez qu’à ouvrir la radio. C’est même en pire que la Chine, ici la dépense publique représente 57% du PIB, là ou l’état chinois cela représente 40% du PIB. L’état Orwellien est partout.
Origine de la censure en France : la loi Gayssot
Bien entendu c’est un communiste qui a mis la première pièce contre la liberté d’expression. (Ce n’est pas un hasard !)
Il a introduit dans la loi le crime de « déni de réalité historique ».
Bien entendu nos zélés fonctionnaires Marxistes en profitent pour agrémenter cette loi de compléments liberticides comme l’irrévérence aux faits historiques. Le délit de blasphème est créé.
La France devient l’égal de l’Arabie Saoudite ou l’Iran, là bas la caricature de Mahomet vous condamne, en France la moquerie historique vous condamne.
Les résultats complètements nuls de cette 1ere loi liberticide.
De nos jours, l’antisémitisme est plus important que dans les années 80 date de création de cette loi censée le combattre.
L’antisémitisme n’a pas disparu. C’est un échec total.
La sanctuarisation par la loi entraîne l’idée qu’il existe 2 poids, 2 mesures. Les effets pervers sont pires que ce que cette loi voulait combattre.
La sanctuarisation de la Shoah a engendré une spirale des frustrés contre les juifs. Dans les cités, les habitants, souvent issus des pays arabes ou musulmans ont développé l’idée qu’on en fait plus pour les juifs que pour eux. L’antisémitisme c’est développé. A Sarcelles, les juifs qui y vivaient dans les années 80 en paix, ont déserté et ceux qui restent vivent dans la méfiance du ressentiment envers eux.
Quand les idées se font muettes, la contradiction ne peut la pondérer, puisque l’idée ne s’exprime plus au grand jour. Elle devient frustration et violence.
La sanctuarisation entraîne la pensée 2 poids, 2 mesures et la frustration. Les effets pervers sont pires que cette loi voulait combattre.
Une Fémen pisse dans l’église et n’est pas condamnée ? Un journal caricature Mahomet et n’est pas condamné, par contre la caricature de la Shoah l’est ?
La communauté juive de France sans le vouloir, est devenue une cible.
La loi Gayssot en attribuant un statut « à part », elle fait un bouc émissaire des juifs.
Cette loi est pire que le mal qu’elle est censée combattre. Elle motive les ressentiments d’injustice auprès de ceux qui ne peuvent s’exprimer au lieu d’êtres confrontés à la contradiction et s’effacer pour passer à autre chose.
Comme constaté les exemples de lois de censure sont des échecs.
Qui gagne avec les lois de censure ?
Les lois de censure, il n’y a qu’un gagnant. La diabolisation des contradicteurs.
En fait, cette loi, comme toutes les lois de censure c’est révélé plus une arme à dessin politique que de lutte contre l’antisémitisme .
Le premier à en avoir fait les frais, c’est l’extrême droite dont le politicien Jean Marie Lepen.
-L’autre gagnant indirect sera le pouvoir des plateformes numériques. Laisser la liberté d’expression aux opérateurs est une folie furieuse et un précédent extrêmement grave pour la société.
Laisser Facebook ou Google le monopole de la vérité et imposer la censure sous excuse de « haine » est une folie furieuse de leur donner un tel pouvoir.
Zukerberg le dirigeant de Facebook est un militant démocrate et il est pressenti pour être dans quelques années un candidat à l’élection présidentielle Américaine.
Par ailleurs, il lance la prochaine monnaie privée de masse le Libra, imaginer qu’un type aux dents si longues et si orgueilleux laissera les idées et les contestations de développer sur lui, ses investissements, ses échecs ou une atteinte a son image laissé par lui sans censure est un leurre.
C’est comme à une époque, armer Ben Laden sous prétexte de lutter contre les Russes, et se plaindre ensuite qu’il a retourné ses armes contre la société qui l’a armé.
Cette loi est une horreur à la liberté d’expression, elle va entraîner des dérives pires que celles censées combattre….
Les plateformes numériques deviennent les juges des vérités.
Il vous est maintenant interdit d’exprimer vos idées autre que rose bonbon et exprimer avec du sel de l’humour ou montrer du sarcasme ou vous moquer. Vous devez être « infentillisé » par l’élite et ne plus avoir accès à, la liberté des opinions. Vous êtes considéré comme trop stupide et incapable de faire des discernements par votre propre libre arbitre.
Les plateformes numériques vont homogénéiser les idées, mettre fin aux controverses. Éliminer les gens épicés aux avis qui dérangent. Ils vont imposer à penser la même chose et tout le monde devra s’exprimer dans le même sens. Ils vont imposer que tout le monde soi gentil, policé. Ils vont imposer le stalinisme de la pensée.
Facebook Google dans le secret vont imposer les thématiques les idées qui sont les « bonnes » et celles qui sont « mauvaises ».
Les sentiments, les idées relèvent de la subjectivité et il est évident que de multiples associations bien-pensantes vont se prétendre haïes alors qu’elles ne sont que critiquées. Ce qui va pousser les plateformes à l’autocensure.
La distinction entre crime et péché est l’un des fondements du droit occidental. En légiférant sur les opinions, nous devenons une dictature de type Chavez et Maduro.
La civilisation est un état social où les sentiments, les idées comme la haine, la colère ou la jalousie, ne se traduisent pas en crimes. Parce que une société où dès le plus jeune âge, on apprend le respect des autres, et de tous les autres.
La France de Macron et ses sbires socialistes étatistes avec cette loi se comportent en état totalitaire, puisqu’ils ont la prétention de régir les sentiments de leurs citoyens.
Avec cette loi nous devenons un état totalitaire, dans une Europe qui le devient aussi.
Pour aller plus loin avec les vidéos (en anglais) :
Vidéo de Zukerberg devant Ben Sasse (sénateur Tee Party républicain du Nebraska) contraint de définir un discourt de haine.
Vidéo du chargé de communication Google devant Dan Crenshaw (député libertarien républicain du Texas) obligé de justifier la censure injustifiée de PragerU.
Video de John Stossel qui interroge les censurés des médias sociaux contreversés aux USA
Si vous engagez avec des quidams un dialogue sur le CO2, bien souvent on vous discutera fumée, industrie et autre. On voit bien que l’hystérie climatique est maintenant accaparée par les politiciens, c’est un enjeu politique et que l’information réelle est biaisée de tous les cotés et il faut se faire sa propre impression.
En fait la fumée, l’industrie c’est de la pollution. Le CO2 lui n’est pas un polluant, c’est un gaz inodore, incolore et invisible à nos yeux, issu de la combustion du carbone qui se trouve dans les éléments naturels.
Nous rejetons du CO2 par la respiration. La respiration n’est pas une pollution. Le CO2 ne pollue pas, il faut le différencier des particules fines, des fumées nocives ou des rejets de plastique. Le CO2 n’est pas dangereux pour l’homme même s’il était à un niveau de 10 à 20 fois les niveaux actuels.
Il est nécessaire de vulgariser et essayer de simplifier les faits pour en débattre.
Résumé de la pensée unique :
Voici donc la présentation factuelle de ce qui vous est vendu matin, midi et soir médiatiquement et politiquement correct :
Le monde depuis 150 ans a émis du CO2 plus que dans les 1000 ans qui on précédé et cela entraîne un réchauffement climatique. Notre atmosphère a pris 0,02% de CO2 en plus et ne serait plus identique à 99,98% près..
Les traces supplémentaires gazeuses de CO2 dans l’atmosphère provoqueraient selon le GIEC un « effet de serre », qui réchauffe la planète. Le CO2 étant un gaz opaque aux ondes infrarouges dans un spectre invisible à nos yeux.
L’infrarouge fait partie du spectre électromagnétique. C’est la plus grande source d’énergie qui nous vient du soleil.
L’infrarouge est l’onde qui provoque le rayonnement calorifique des matériaux et assure le transport de la chaleur dans l’espace.
Le CO2 bloquerait donc à haute altitude les infrarouges terrestres émis par les matériaux de la terre et le réfléchissement de ceux émis par les rayons de soleil. Le CO2 empêcherait donc d’évacuer dans l’espace l’infrarouge et réchaufferait la terre, ce qui est accusé d’augmenter la température moyenne au sol.
Cette augmentation de température est accusée de créer des tors horribles et affreux au futur sur la terre, et nécessite un interventionnisme étatique et politicien pour enlever des libertés, réduire l’économie de marché qui a tiré son expansion économique pendant des années des matières premières naturelles dites « fossiles », avec des objectifs farfelus de réduction à obtenir dans 20ans à un coût social et économique pharamineux.
Les états, les politiciens, par la force coercitive des impôts, des normes environnementales, et lois liberticides, doivent contraindre les habitants a transférer leurs richesses vers une transformation énergétique et sociétale qui sera dirigé par des politiciens et intellectuels avisés qui ont le sens de la responsabilité et de l’intérêt général et global plus que vous..
C’est le résumé générique du matraquage médiatique quotidien à quelques détails marginaux près.
Mais ! car il y a des « mais ». Il existe des controverses quasi non médiatisées sur le CO2 et le réchauffement et le malheur futur de la terre.
Les effets positifs du CO2.
a) Le CO2 réduit les zones désertiques et provoque le verdissement..
Lorsque les concentrations de CO2 augmentent, les plantes produisent automatiquement moins de stomates car elles sont alors en mesure d’obtenir suffisamment du CO2 avec moins d’efforts pour transformer de l’eau et le CO2 en glucose par la photosynthèse.
L’énergie économisée à travers les stomates réduit la perte d’eau et permet à la même espèce de plante de survivre et évoluer dans des endroits plus chaud et secs tout en améliorant sa production et sa pousse. Les déserts, les zones arides sont plus propices à l’installation des plantes et donc de la vie. C’est un bienfait pour l’humanité, les pays chauds, les zones désertiques.
La terre verdit partout. La vie s’étend encore plus partout. La verdure augmente l’oxygène et nous vivons mieux dans un air plus respirable. Les terres arides impropres à la vie deviennent plus rares. La biologie le dit : les plantes poussent mieux dans des conditions plus chaudes, plus humides.
Les augmentations de CO2 provoquent donc une augmentation de la quantité d’arbres et de plantes.
b) Le CO2 améliore la qualité de nos aliments et la productivité agricole
Les plantes se nourrissent du CO2. Elles produisent du glucose à partir d’un mélange de gaz carbonique( CO2) et d’eau (H2O) par un processus chimique. Processus que l’on distingue par la couleur verte des plantes et des arbres.
Pour briser les liaisons atomiques du CO2 et de l’eau il faut de l’énergie. C’est pour cela que les réactions photosynthétiques des arbres et plantes sont surtout majoritairement dans l’infrarouge.
Et justement un réchauffement climatique augmente la quantité d’infrarouge de notre environnement. L’effet de serre est donc une bonne nouvelle pour la productivité mondiale agricole et les carences alimentaires. Les plantes absorbent le CO2 et le transforme en nutrition de plus en plus quantitative et qualitative.
Mettez une lampe infrarouge au dessus de vos tomates, elles seront plus juteuses, belles et sucrées.
Dans les serres industrialisées, on ajoute du CO2 pour favoriser et amplifier l’effet du blocage de l’infrarouge par les vitres et augmenter le rendement et la floraison des plantes.
En résumé le CO2 augmente la vie, le développement de la vie il est favorable à la vie, aux fruits, aux légumes, aux animaux et aux hommes. Et en plus, il fait effet levier sur la nature et incite les plantes à son élimination . Le CO2 engendre un cycle vertueux écologique de destruction créative.
c)Le CO2 fait faiblir les événements climatiques éoliens.
Le vent se forme de la différence de température entre deux masses atmosphériques. La terre étant recouverte au 2/3 d’océans, la puissance des vents dépend de la différence de température entre les océans et l’atmosphère du Nord et du Sud à l’équateur.
Comme la terre et les mers se réchauffent par le CO2, la différence est réduite et nous assisterons demain à moins de catastrophes climatiques dues aux vents.
Les ouragans, les cyclones, les tempêtes seront moins fréquents et plus faibles si la terre se réchauffe. Une chaleur plus importante sur terre nous est bénéfique. Nous aurons moins de populations et victimes sinistrées par les vents.
Les catastrophes climatiques venteuses sont au contraire plus faible dans une atmosphère plus chaude. A l’inverse d’une propagande médiatique qui ne fait aucun effort pour vérifier.
d)Le CO2 fait refroidir la température au niveau du sol.
Vous êtes tellement conditionné médiatiquement que cette information va vous épater. Mais vous pourrez verifier.
Il faut savoir aussi que les arbres et les plantes remplissent des fonctions climatiques. Ils absorbent le carbone, qu’ils extraient de l’atmosphère, créant un effet de refroidissement.
Ils puisent l’eau du sol, et de l’environnement qui s’évapore dans l’atmosphère, créant des nuages bas reflétant les rayons chauds du soleil connu sous le nom d’évapotranspiration,
Voyez la corrélation de la pluie abondante et la végétation dans les zones végétales, type Amazonie ou Jungles asiatiques ou africaines.
Le refroidissement par évapotranspiration est un important frein a l’augmentation des températures dues à l’effet de serre et limite mécaniquement celui ci. Il n’y aura donc pas d’augmentation sur terre exagérée des températures avec cette régulation naturelle. Argument souvent ignoré, le CO2 régule à la hausse et aussi à la baisse les températures terrestres.
Il n’agit pas dans un seul sens comme le laissent supposer les apparences qu’on vous impose. Le réchauffement climatique est bloqué dans sa progression par l’évapotranspiration naturelle de la nature et les températures ne peuvent monter que modérément sur terre. Le CO2 est vertueux, il contribue aussi a réduire la température qu’on l’accuse d’avoir créé.
e)Les conclusions du GIEC sur le CO2 sont contestées
Le GIEC n’est pas un organisme scientifique mais un organisme statistique. Pour faire une statistique sur le climat il faut des données et une assiette de calculs fiables.
Les données de base des températures du GIEC avant 1970 sont des températures « redressées », Il n’existait pas avant des balises de relevé ni de thermomètres de précision ni en quantité suffisantes. Le climat est extrêmement complexe. Nul ne peut appréhender le climat dans sa complexité, scientifiques, statisticiens et encore moins les gouvernants. Toute tentative rationnelle et globale de prévision du climat est voué à l’échec.
Le GIEC n’a pu et ne pourra parvenir à la compréhension détaillée de l’ensemble du mécanisme qui fait passer d’une moyenne de température à une autre rationnellement. Les changements climatiques sont multifactoriels et fabuleusement complexes. La « crise climatique » est un affront à la science et à la logique.
Toutes les prévisions du GIEC d’hier sur notre époque, se sont avérées fausses. Sur les 100 modélisations informatiques qu’il produit annuellment, absolument aucune n’a été confirmée par les mesures réelles…
f) Les résultats de la guerre contre le CO2 sont nuls
La cour de compte européenne l’a écrit : « Nous sommes parvenus à la conclusion qu’aucun des programmes CSC a réussit (CSC= Captage et Stockage du Carbone) ».
Ils ont dépensé 2,1 milliard pour dire qu’on ne pouvait pas capter et stoker le CO2.
Avez vous la notion des chiffes ? 2,1 milliard.
C’est l’équivalent du dernier chiffre d’affaire publié de Amazon (2015) en France sur 12 millions de clients (Vous avez noté que c’est « Chiffre d’affaire » pas bénéfices ou marge)..
Vous n’auriez pas fait un meilleur usage de cet argent au lieu de leur donner à dépenser à des madame Irma du climat européen ? Même au niveau étatique, si l’Europe avait donné cet argent à la France, qui manque cruellement de prisons, nous aurions put financer l’ouverture de 42 prisons de 6000 places et ne plus être un pays condamné par la cour des droits de l’homme.
Il ont réussit l’exploit à dépenser 2,1 milliard pour dire qu’on ne pouvait pas capter et stoker le CO2, et vous croyez qu’ils ont compris et conclus ?
C’est pas pour autant qu’il est indiqué une fin de gabegie et qu’ils ont abandonné les subventions qui dans 8 ou 10 ans donneront le même résultat de la cour des comptes européenne.
Peut-on faire pire ? Ils en sont capables, le climat est une « excuse » qui absout les gabegies et la responsabilité.
g) La transition énergétique est une fable
Condamner les générations futures à vivre dans un monde caractérisé par la pénurie d’énergie et la pauvreté énergétique, à un moment où notre abondance d’énergie et nos prouesses technologiques promettent d’ouvrir des opportunités inimaginables est assez scandaleux intellectuellement.
L’éolien et le solaire sont des énergies intermittentes et ne peuvent pas être autonomes sans une forme d’alimentation de secours fossile. La construction d’éoliennes et de panneaux solaires nécessite de grandes quantités de métaux de terres rares tels que le dysprosium, l’indium, le néodyme et le tellure, mines polluantes et matières énergivores a extraire. La surface foncière nécessaire pour fonctionner est ubuesque. L’énergie solaire nécessite plus de 18 hectares pour faire un seul Mégawatt. La route solaire dans l’Orne inspirée par Ségolène Royal a produit 140Mgw soit une recette de revente a EDF de 7 000€ pour 5 Millions d’investissements. (Cherchez la rentabilité)…
L’éolien et le solaire ne sont ni rentables, ni écologiques. Le poids d’impôts, de taxes et de contraintes sur les individus est déraisonné.
Les impacts économiques négatifs des restrictions sur les émissions de CO2 dans une tentative de transformation en une économie éolienne et solaire sont une escroquerie.
Pourquoi avoir peur d’un réchauffement climatique ?
Les humains ont tout aussi bien évolué à l’Équateur, en Afrique, en Océanie où il a toujours fait chaud.
Pourtant, les Français, les Canadiens et les Suédois s’inquiètent d’un probable réchauffement climatique limité ou il y ont tout a gagner et rien a perdre. Un anxiogène mal placé.
C’est un problème de schéma de pensée politique. Déclarer une « urgence climatique » fait la manchette et aide les politiciens et les militants à se sentir mieux. Mais c’est une rhétorique vide qui ignore la réalité économique et les bienfaits du CO2. Qui surfe sur l’ignorance et la confusion entre pollution et CO2.
Le climat est par essence imprévisible. Aucune statistique météorologique ne vous donne la température moyenne exacte a court, moyen et long terme. Modeler le climat conformément à un idéal utopique lié à une moyenne de température tout aussi utopique est autant arrogant qu’impossible. Par contre pour les esprits collectivistes qui ne considèrent les individus que comme des masses, c’est une incroyable excuse à imposer un collectivisme sur les individus.
L’alarmisme est forcé, il est totalement disproportionné mais en phase avec leur conflit d’intérêt intellectuel de bien profiter des subventions et de la notoriété mondiale qui va avec et fournit un espoir collectiviste aux gauchistes orphelins de l’idéologie socialo-communiste qui c’est écroulé sans avoir eu son Nuremberg.
Les rapports du GIEC ne sont qu’une excuse pour les va-t-en guerre anticapitalistes, décroissants et collectivistes. Une déclaration de guerre contre le CO2, un ennemi invisible, et qui en plus nous est tellement profitable est une folie qui n’attire que ces derniers. Qu’importe les victimes humaines inutiles d’un recul économique massif, ils veulent la guerre aux individus par l’intermédiaire du CO2.
Si les partisans de la réduction de l’utilisation des combustibles fossiles étaient sincères, si cela était une « urgence absolue », et s’ils avaient compris les conclusions du GIEC, ils feraient pression pour augmenter la part du nucléaire dans le monde. Énergie qui ne produit pas de CO2.
Pourquoi ne le font-ils pas ?
Simplement parce qu’ils savent en leur fond intérieur, que le climat n’est qu’une excuse. Et que l’urgence est feinte.
Parce que l’exagération du réchauffement de la planète et le changement climatique véhicule une effroyable arrière-pensée.
Parce qu’ils veulent mettre fin au capitalisme et socialiser le monde parce qu’ils pensent savoir mieux. Pour cela ils sont prêt a détruire les économies, appauvrir les populations des pays développés, limiter les libertés, instaurer le totalitarisme étatiste.
Le jour où les gens auront réalisé ce qu’implique en effet pervers leurs prescriptions anti CO2, comme le mur de Berlin, cette idéologie s’écroulera. Mais comme l’idéologie communiste qui se prétendait être « humaniste » et une « avancée pour l’homme » elle aura fait des dégâts inversement proportionnels à la promesse de départ comme toutes les idéologies collectivistes se concluent toujours.
Si les pays du monde tentent de réaliser les réductions demandées de CO2, une Bérézina économique généralisée éclatera et des millions de personnes seront poussées à la pauvreté dans un monde ou les ressources agricoles seront de moins en moins développé. Les taxes et les contraintes sur CO2 auront une influence plus négative pour les personnes à faible revenu plus que plus les riches. L’analyse froide des coûts/avantages à laisser le CO2 tranquille est largement en faveur de le laisser tranquille.
La vie a prospéré sur une planète ou plus chaude ou plus plus glacée que aujourd’hui. Depuis les premières civilisations, nous nous sommes toujours adaptées aux changements climatiques. Nous nous adaptons chaque année des températures négatives froides de l’hiver à celles chaudes de l’été. Élévation des températures de 40° ou plus à 6 mois d’intervalle.
Ce serait impossible a s’adapter pareillement à une température moyenne de 2 ou 3° en dizaines d’année, voire siècle, aujourd’hui à cause du CO2, alors que nous avons la technologie, la science et des hommes dans l’espace ?
C’est le biais qu’on bien compris une grande majorité silencieuse, mais qui ne sait pas l’exprimer et est diabolisée, censurée lorsqu’elle s’exprime dans les médias traditionnels.
La guerre contre le C02 est absurde.
]]>