Sans avertissement préalable, Ron Paul a été empêché d’accéder à la plate-forme où il compte 1,2 million d’abonnés et pour la première fois de sa vie, il a été réduit au silence.
Ron Paul, est un partisan du libertarianisme, il préconise un État fédéral au rôle limité, de faibles impôts, des marchés libres, une politique étrangère non interventionniste ainsi qu’un retour à des politiques monétaires basées sur des métaux (or, argent) pour étalon.
Ses positions républicaines sont proche de Trump sur certains sujets et éloignées sur d’autres.
L’ancien législateur et triple candidat à la présidence américaine, le libertarien Ron Paul, a donc été réduit au silence par Facebook.
Son fils, le sénateur Rand Paul, a souligne dans un Tweet, que la promotion de la liberté est considérée comme une sédition pour Facebook.
La censure des opinions est à l’ordre du jour par les grandes entreprises technologiques.
Pendant la campagne électorale déjà il avait déjà reçu la censure, sa vidéo de Ron Paul Liberty Report, a été censurée sur YouTube en septembre 2019, compte tenu d’un soi-disant viol des « Règles de la communauté » de, pratiques trompeuses et escroqueries. »
Après une enquête plus approfondie on a découvert que ce qui avait commis le péché terrible (défini par Youtube) de ne pas être d’accord avec les directives de l’OMS sur Covid-19. Alors que l’OMS elle-même a modifié à plusieurs reprises ses directives sur la pandémie, les utilisateurs ordinaires ne sont pas autorisés à « Contester l’efficacité des recommandations de l’OMS. ».
Ils ont commencé avec le président Donald Trump et la boule de neige s’est abattue sur le libertarien le plus remarquable des USA : Ron Paul.
Sans avertissement, l’homme de 84 ans n’a pas été autorisé à accéder à la plateforme où il compte 1,2 million d’abonnés.
Lorsque la censure contre le président Trump a commencé, d’innombrables libéraux ont souligné que, comme il s’agissait d’entreprises privées, ils étaient en liberté.
Cependant, comme de plus en plus de personnes sont touchées, la connivence qui existe entre les entreprises et le pouvoir de l’État est évidente.
Comme l’a souligné le secrétaire d’État sortant Mike Pompeo,
Twitter a fonctionné de telle manière qu’il a profité au Parti démocrate et a nui au Parti républicain.
Maintenant, ils font même taire les référents libertariens, comme Ron Paul, qui depuis 1976 a été actif dans la diffusion politique des idées libertariennes et pour la première fois de sa vie a été réduit au silence .
Les nouveaux monopoles
Le corporatisme a nourri les monopoles qui déterminent aujourd’hui à qui se taire. Non seulement ils réduisent le profil des utilisateurs, mais leur refusent lentement l’accès à Internet.
Tout comme à Cuba, où le Parti communiste a le monopole des services et détermine par conséquent qui peut les avoir, dans ce qui était autrefois la terre de la liberté jusqu’à présent, où les exilés du monde ont fui, maintenant il a fait taire les voix.
La campagne du président Trump a même perdu l’utilisation de son courrier électronique pendant plus de deux jours.
Depuis sa campagne électorale de 2016, Trump est accusé par ses opposants d’être un tyran, fasciste, nazi, autoritaire, etc.
Cependant, c’est depuis son départ imminent du pouvoir que les rues de la capitale ont été militarisées et la liberté d’expression limitée. Pas l’inverse.
L’autoritarisme se cache
Cette situation rend le poème de Martin Niemöller plus pertinent que jamais.
« (…) Ils sont d’abord venus chercher les communistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas communiste.
Puis ils sont venus chercher les juifs et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas juif.
Puis ils sont venus chercher les syndicalistes et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas syndicaliste.
Puis ils sont venus chercher les catholiques et je n’ai rien dit parce que j’étais protestant.
Puis ils sont venus me chercher, mais à ce moment-là, il n’y avait plus personne à qui dire quoi que ce soit. »
L’avertissement de Niemöller est clair : n’attendez pas que l’autoritarisme frappe à votre porte, car il pourrait être trop tard.
La « Big Tech » contre Trump
Trump a rompu avec la figure traditionnelle du président. Il n’est pas diplomate. C’est un homme d’affaires, frontal. C’est pourquoi il a provoqué des passions, de l’amour et de la haine si contradictoires.
Étant une figure si polarisante, ses détracteurs ont applaudi ou sont restés passifs face à la censure à son encontre. Eh bien, ils allèguent qu’il a incité à la violence, à la suite des événements du 6 janvier au Capitole.
Mais son discours montre le contraire, il a appelé à la paix, au respect de l’autorité et en se rappelant qu’il représente le parti de la loi et de l’ordre.
Cependant, les médias de masse ainsi que les réseaux sociaux ont supprimé son message et l’ont accusé de provoquer les émeutes et de justifier la censure à son encontre.
Alléguant qu’il mettait en danger les institutions du pays, la « BIG TECH » s’est attaquée au premier amendement de la Constitution Américaine : la liberté d’expression.
Comme l’a dit Benjamin Franklin, « ceux qui renoncent à la liberté essentielle pour acheter un peu de sécurité temporaire ne méritent ni liberté ni sécurité. »
Par Spartacus Lequidam
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]]>Voici donc une lettre soi-disant écrite par 83 millionnaires pour réclamer plus de taxes.
Pour la presse de gauche qui déteste les réussites, les talents et l’enrichissement, qui fait la promotion de cette manipulation grossière, c’est du caviar.
Ne sont-ils pas de gentils et plein d’idées étatistes ces millionnaires et si désoeuvrés ?
Voici ce qu’ils écrivent :
Les problèmes causés par et révélés par Covid-19 ne peuvent être résolus avec la charité, aussi généreuse soit-elle. Les chefs de gouvernement doivent prendre la responsabilité de lever les fonds dont nous avons besoin et de les dépenser équitablement. Nous pouvons nous assurer de financer adéquatement nos systèmes de santé, nos écoles et notre sécurité grâce à une augmentation d’impôt permanente sur les personnes les plus riches de la planète, des gens comme nous. »
Contrairement à des dizaines de millions de personnes dans le monde, nous n’avons pas à nous soucier de perdre nos emplois, nos maisons ou notre capacité à subvenir aux besoins de nos familles. Nous ne nous battons pas en première ligne de cette urgence et nous sommes beaucoup moins susceptibles d’en être les victimes.
Donc s’il vous plaît. Taxez-nous. Taxez-nous. Taxez-nous. C’est le bon choix. C’est le seul choix.
L’humanité est plus importante que notre argent.
Les signataires »
La raison de cette lettre dictée qui dégouline de clichés est telle, qu’on peut vraiment développer une animosité envers les millionnaires, du moins envers cette mini-minorité pitoyable de ces 83 qui se sont réunis ici pour montrer leur pseudo-altruisme et leur pseudo-bonté en faisant l’apologie de la coercition de l’état et leur absence d’empathie personnelle pour ne pas faire par eux même le bien autour d’eux.
Mais qui sont ces gens qui culpabilisent d’être riche et signent cette lettre lettre pour se faire croire vertueux et plein d’altruisme ?
Rassurez vous, ils ne représentent pas les plus riches, vous n’y Trouverez pas Bill Gates ou Carlos Slim.
Ne croyez pas les médias. Ils ne représentent pas les « millionnaires », mais une minorité de parvenus indécents.
La majorité d’entre eux sont des millionnaires de l’état ou des rentiers.
Les fondateurs d’usines de glace Américaine ont vendu leur affaire. Ils ne vivent que de placements.
Par curiosité allez voir les « français de la liste ».
Les Français sont la caricature de la caricature. Des profiteurs de marché d’état ou factures de services aux sociétés, entreprises ou groupes subventionnés de l’état. IL est vrai qu’avec 57% de prélèvements, l’impôt, c’est leur gamelle.
Beaucoup d’entre eux sont effectivement des désœuvrées, ils ne sont pas sur « société.com », et à l’évidence sont des salariés qui ne savent pas ce qu’est prendre des risques ou monter sa boite sans filet.
Il y en a un qui est un privilégié de la gamelle de l’état comme ancien des sociétés d’états, ex-cadre supérieur d’EDF et de la banque de France. Il a co-fondé une entreprise avec une 1ere commande assurée de son ex-employeur la banque de France et ses contrats sont des services aux entreprises publiques. Il ne paye même pas EDF. L’état et les impôts pour lui c’est jackpot.
Comme si les impôts ou le gouvernement étaient la réponse, En France, ce pays en économie de favoritisme, avec 57% du PIB prélevé devrait selon cette logique être le pays au monde sans aucun pauvre.
Aucun des crétins de ces 83 millionnaires ne se considère auto-responsable et capable du libre arbitre de son argent.
Ces bobos sont ils a ce point désœuvrés de faire quelque chose par eux-même, s’il sont a ce point si préoccupé par les pauvres.
Ils ont l’air plus préoccupés par l’image d’altruisme que d’être des vrais altruistes.
Responsabilité personnelle, aide directe, en fin de compte être en contact direct avec ceux qu’ils voudraient aider, pour ces bobos c’est dégoûtant. Horrible. Il faudrait un état nounou qui les guide pour savoir quoi faire de leur argent.
Il est plus facile d’appeler l’État et le célébrer dans une lettre ouverte et montrer vouloir se décharger de ses responsabilités que d’assumer être quelqu’un de vraiment vertueux.
C’est bien quand on peut se célébrer comme une bonne personne sans jamais rien faire de bien.
L’absurdité de cette lettre est que les 83 millionnaires essaient d’acheter l’absolution pour leur richesse, comme si vous pouviez acheter du caractère, de la conviction, de l’empathie, des principes, de la charité …
Imaginez vous qu’ils ne savant pas quoi faire de leur argent ni décider par eux même ou et comment s’en servir.
Aucun de ces millionnaires ne se considère capable d’initiative et responsable de ce qu’il fait de son propre argent.
S’ils sont si préoccupé par les pauvres, pourquoi ne prennent-ils pas leur argent pour affréter concrètement un container plein de matériels de soins et médicaux pour un dispensaire à Madagascar ou Centrafrique, qu’a signer une lettre ou vous montrez que vous êtes trop stupide pour y penser vous même et un état qui ne le fera pas a votre place.
S’ils sont trop « occupés » il y a des dizaines d’associations, comme le secours catholique ou médecin du monde.
Ou pourquoi pas soutenir la liberté d’expression en offrant directement des sites comme Lequidampost Dreuzinfo ou contrepoints?
Qu’ils n’hésitent pas a me contacter dans les commentaires, mails ou Tweeter. Je me propose de collecter leurs fonds donc ils sont incapables de prendre l’initiative d’utiliser pour le bien et de leur envoyer mon RIB.
Aider je sais ce que c’est, et j’ai pas besoin d’un état pour m’expliquer comment faire.
Qu’ils n’hésitent pas
Mais eux en on même pas le début du commencement de l’idée.
Une lettre aux signatures d’hypocrites désœuvrés.
Même les riches ont chez eux leurs idiots-inutiles.
Pitoyable !
Par Spartacus Lequidam
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]]>Paris, c’est une forte concentration de bruits, de voitures, de gens, de béton, de pollution. Les casseurs d’extrême gauche, les Zadistes qui font les nuits-debout, le chantage permanent des employés dans le monopole des transports qui bloquent la liberté de circuler, les manifestations extrémistes qui cassent les commerces, les agressions dans les transports en commun, les difficultés pour se loger sont les maux que chacun peut constater.
Mais ces faits sont réels et il est donc logique que les habitants en souffrent.
La vérité est simple. Paris est une capitale avec une densité par habitant la plus élevé du monde occidental.
PARIS c’est 21 000 habitants au km2.
A coté, Singapour avec la mer qui limite son agglomération, et ses gratte-ciels fait figure de champ à la campagne avec seulement 12000 habitants au km2.
A la densité officielle, s’ajoute les gens qui y habitent et ne figurent pas dans les données officielles de Paris, les « non-déclarés » illégaux ou légaux.
Les milliers d’illégaux dispersés, de la porte d’Aubervilliers ou porte de la Chapelle ne sont pas dans les statistiques du nombre d’habitants.
Les milliers d’étudiants en habitat de passage pour la scolarité, les travailleurs intérimaires ou contrats courts ne sont pas enregistrés comme habitants officiels, mais seulement des logés de passage et ne sont pas inclus dans ces statistiques de densité.
Tout est à Paris. Le gouvernement, les ministères, les grandes écoles, les grands hôpitaux, les sièges sociaux, les lieux culturels, les médias.
L’attractivité et la concentration des activités entraînent des flux urbains énormes pour se rapprocher de Paris.
Les transports en commun de tout le pays y est ultra centralisé. Pour voyager du Havre à Grenoble, vous devez traverser Paris, aussi bien en voiture, train ou bus.
Ultracentralisation qui génère encore plus de monde au kilomètre carré en incluant ces flux nombreux et divers.
Le lieu le plus pollué de Paris n’est pas la rue mais le métro.
Chaque candidat aux prochaines élections en va de sa promesse démagogique de mettre fin aux maux des Parisiens.
Les écolos font rêver d’un fantasme démagogique de promesses d’une ville verte avec des pistes cyclables, de supprimer des voitures. De créer des espaces verts. Ou réduire les voies.
Les bolcheviques la promesse de construire plein de HLM.
La droite d’assurer la sécurité.
La réalité c’est que tous veulent le pouvoir pour le pouvoir et tous ont des promesses démagogiques
Pour planter un arbre, il faut 12 à 15m2 de surface foncière au sol. Et une chance sur 2 qu’il crève dans les 2 ans, le sol est déjà pollué et entre les chiens vont uriner dessus ou les dégradations volontaires si nombreuses. Végétaliser est une farce démagogique pour attirer le bobo.
Le cycliste de la photo prise au mois de mai dernier, plein soleil radieux, vous vante le bonheur du vélo. Je vous confirme, en plein soleil, vêtu loisir, à circulation urbaine réduite avec le Covid, le vélo à Paris, c’est certainement super agréable. Voire génial.
Par contre la photo de novembre sous pluie battante, ce sera trempé jusqu’aux os, malade, le nez qui coule. En janvier à -3° avec verglas ou neige, ce sera bras ou nez casé sur le bitume, vélo plié et pneumonie et regret de ne pas avoir été au chaud dans un véhicule avec une carrosserie ce jour là.
Les promesses de logements HLM, c’est surtout pour les extrêmes gauchistes l’idée inavouée de faire du clientélisme et du favoritisme à l’attribution pour se créer une clientèle durable qui remplace celles pluralistes, et devenir des élus apparatchik a vie.
A moins de construire plus haut ou creuser profond, il n’y a pas de place foncière pour des nouveaux logements dans des surfaces déjà encombrées.
Paris est une ville fermée, pour faire des nouveaux logements ou planter des arbres, il faut enlever des logements ou déplanter des arbres.
A Paris, même la périphérie est saturée.
Il n’y a pas de place pour faire des pistes cyclables dans une ville déjà engorgée de voitures.
On a enlevé les voies sur berge, la photo sans congestion automobile est jolie, sauf que les voitures engendrent des embouteillages encore plus monstres ailleurs. On déplace le problème. C’est tout.
La seule solution, est de régler le problème structurel. L’attractivité et le centralisme de la ville de Paris. Qui fait que tout le monde doit y aller ou y vivre.
Pour gérer la densité sociale ou diminuer le trafic de véhicules, il en faut pas promettre des logements dans une urbanisation déjà bondée, pas plus que réduire les voies empêche les raisons ou motivations de traverser ou se rendre à Paris.
Le problème est structurel. L’attractivité de Paris est sa maladie.
Pour « dé-densifier », pour « réduire le trafic », il faut réduire ce qui amène les gens à vouloir vivre à Paris, à se déplacer à Paris et en harmonie avec eux. Pas en les stigmatisant ou diabolisant ou les éjectant par la coercition.
Pour réduire les problèmes des Parisiens, il faut réduire les raisons de l’attractivité.
C’est à dire s’attaquer au tout état et au Jacobinisme.
C’est à dire enlever le ministère des finances de Bercy, et l’envoyer à Granville, proche des îles Jersey, pour être plus à proximité de l’optimisation fiscale.
Déplacer le ministère de la justice de Paris centre et l’envoyer à Guéret à coté de la maison d’arrêt par exemple.
Déplacer le musée d’Orsay à Bagnère de Bigorre.
Mettre le siège social de France Inter à Roubaix. Pour rapprocher les journalistes militants des inégalités sociales.
Le meilleur exemple pour cette politique écologiste doit être donné par le ministère de l’écologie et du développement durable. S’il allait se mettre à Caunette sur Loquet ville ou il y a le plus d’agriculteurs de France ?
En effet que font ces gens si proches de la nature en plein Paris à contribuer à polluer, prendre de la surface foncière anti-écologique dans une concentration qu’ils détestent ?
Il reste une question, ont-ils plus envie de contraindre les autres aux solutions écolos que se les appliquer à eux-mêmes ?
Par Spartacus Lequidam
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L’OMS passe aux yeux de l’opinion non concernée, comme une autorité universelle dont le jugement n’a jamais été remis en question.
Les politiciens font appel à sa parole, à sa supposée infaillibilité scientifique et politique. Ils se tournent vers ses analyses, qui sont considérées comme incontestables par l’acronyme OMS, comme si l’organisation était une église de Scientologie, et ce que le prophète « OMS » dit était la parole de Dieu.
Les bureaucrates et technocrates de tous les pays suivent le doigt sur la couture du pantalon les « recommandations de l’OMS », gage d’une excuse toute faite, et évite de réfléchir par soi-même.
Mais qui est Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’actuel président de l’OMS ?
Tedros Adhnom Ghebreyesus est un homme politique et ancien fonctionnaire du régime communiste dictatorial d’Éthiopie, où il a été ministre de la Santé.
Membre fondateur de la Ligue Marxiste-léniniste du Tigray et son bras armé le parti du Front de libération du peuple du Tigray, un parti socialiste marxiste a visée génocidaire des classes bourgeoises. Une enquête d’investigation de la BBC a montré que dans les années 80, l’argent de l’aide humanitaire servait a acheter des armes en laissant crever de faim les régions non soumises au marxisme.
En 2017, cet homme est devenu directeur général de l’OMS, soutenu par la Chine, bien qu’il soit accusé d’avoir masqué trois épidémies mortelles de choléra sous le nom de « diarrhée aqueuse aiguë ». Alors qu’il a été élu à Genève, des groupes éthiopiens manifestaient devant le siège de l’ONU pour dénoncer sa complicité avec le régime éthiopien, allié du Venezuela, de Cuba et de la Chine. Le régime éthiopien a commis d’innombrables violations épouvantables des droits de l’homme, le génocide des minorités, les massacres de manifestants, la torture des dissidents et les arrestations politiques et les détournements de fonds humanitaires.
Ce monsieur est arrivé au pouvoir à l’OMS grâce au vote des membres de l’Union africaine. La plupart de ces pays sont souvent gouvernés par des dictatures violentes, ou ils restreignent les droits et libertés. Ils souffrent également d’une corruption endémique et structurelle. De plus, ce monsieur a été nommé secrétaire général de l’OMS grâce au lobbying et au soutien explicite du régime communiste chinois.
La première chose que ce monsieur a faite lorsqu’il est devenu président de l’OMS a été de nommer Robert Mugabe ambassadeur de bonne volonté de l’organisation dans le monde.
Oui, vous avez bien lu : Robert Mugabe, le dictateur africain qui sous sa présidence a fait reculer le nombre de médecins pour 100 000 de 14 à la fin des années 1990 à 0,8 à la fin de son mandat.
Le plus cruel dictateur d’afrique assoiffé de sang dominé par le meurtre, les effusions de sang, la torture et l’intimidation à grande échelle, corrompu, qui, en plus de promouvoir le nettoyage ethnique tribal et de pratiquer la torture et le crime, était un fervent partisan de la Chine et promoteur corrompu de la Chine pour son contrôle des matières premières sur ce continent. Mugabe a quand même été en poste 5 jours avant que la pression des ONG et des USA ne le fasse reculer.
Ce monsieur, ancien ministre des Affaires étrangères de l’Éthiopie et maintenant directeur général de l’OMS, est un autre pion du régime communiste à Pékin sur la scène mondiale, tout comme Mugabe l’était autrefois.
La Chine est le principal partenaire commercial de l’Éthiopie et a également investi plusieurs millions de dollars dans les infrastructures en Éthiopie, qui deviendront un élément essentiel de la nouvelle route de la soie.
Parmi les autres services rendus à ses amis de Pékin, ce monsieur a opposé son veto à Taiwan, l’archi-rival de la Chine communiste, lors des sessions de l’OMS d’être un membre. Mais pire encore, en 2019 il a coupé à Tawain les accès aux données de santé de l’OMS.
Et tandis que Taiwan a mis en garde en janvier contre le danger de contagion en Chine, l’OMS a exhorté à ne pas restreindre les vols et le commerce avec ses alliés de Pékin.
Non seulement soutient non discret des interets de la Chine à l’OMS, mais en plus criminel, ce monsieur, a refusé de déclarer le COVID-19 une pandémie jusqu’au 10 mars, même s’il s’était déjà largement répandu dans les pays européens. L’Italie s’était déjà effondrée. L’Espagne était au milieu d’une propagation virale et le COVID-19 s’installait en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. L’Asie est infectée depuis plus d’un mois et le virus commençait à être détecté dans les Amériques. Par conséquent, personne n’a compris le retard de la part de l’OMS. À moins que cela n’ait rien à voir avec la guerre contre le virus mais qu’il soit lié à la guerre de propagande, dans laquelle les communistes sont de dangereux experts.
Taïwan n’a pas attendu l’OMS et a stoppé le virus à temps, utilisé la meilleure politique du monde, mais cet homme nous a privé de l’expériance et la vigilence de ce pays.
La Chine a caché au monde les origines de l’épidémie et a faussé le nombre de cas et de décès. Mais il a gagné la bataille de la propagande parce que l’OMS, c’est-à-dire son Directeur général, a loué sa transparence et son efficacité dans le monde.
Le soutien de l’OMS à la Chine a provoqué d’innombrables décès et infections dans le reste du monde et est déjà devenu l’une des raisons de la crise économique brutale qui vient de se dérouler.
Au lieu de demander sa démission et remettre en cause Tedros Adhanom, dans un tweet Macron se fend d’avoir eu avec le président de l’OMS une conversation très riche et chaleureuse.
Affligeant.
Il ne faudra pas oublier
C’est l’OMS qui a critiqué officiellement Trump pour avoir appliqué des restrictions de voyage en Chine.
C’est la même OMS qui a à plusieurs reprises félicité la Chine pour son incroyable « transparence » alors que la vérité est que les mensonges Chinois ont coûté des dizaines de milliers de vies.
Et c’est la même OMS qui a qualifié les mensonges chinois d’évangile, déclarant le 14 janvier que « les autorités chinoises n’ont trouvé aucune preuve claire de la transmission interhumaine du nouveau coronavirus ».
Par Spatacus Lequidam
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]]>Le massacre de Katyn est l’un des plus grands crimes de guerre de la Seconde Guerre mondiale.
Entre le 3 avril et le 11 mai 1940, sous les ordres directs de Staline, quelque 22 000 personnes ont été exécutés tous les jours par centaines pendant un mois et demi dans plusieurs Charniers en Pologne, Ukraine et Biélorussie par les forces soviétiques qui pour étendre le communisme par la destruction physique des élites Polonaises, au nom de la lutte des classes.
Les forets de Katyn, Kharkov (Ukraine), Minsk (Biélorussie) Kiev (Ukraine) sont les lieux d’exécution,
Prisonniers de guerre, généraux, gradés militaires, soldats, policiers, fonctionnaires des ministères de la 2eme république Polonaise ont été abattus dans une forêt près de Katyn, un village à 20 kilomètres à l’ouest de Smolensk, on y a retrouvé indifféremment hommes et femmes.
En 1945, sept crânes ont été amenés à l’Institut de médecine légale de Wroclaw.
L’enquête a révélé que l’un des crânes appartenait à une femme.
Les 22 000 personnes prisonnières par les Russes qui sont alliés aux Allemands passent un premier temps dans des lieux d’enregistrement autour de Katyn.
Tous les prisonniers sont soigneusement enregistrés et interrogés de manière approfondie. Les officiers du NKVD savent exactement qui est qui, ceux qui déguisaient leurs identités ou donnaient de fausses informations était torturés.
De nombreux journaux intimes, lettres et autres documents sur les assassinés ont été retrouvés lorsque leurs corps ont été exhumés et permis d’en savoir de nombreux détails.
Certaines notes retrouvées ont été écrites à portée de tir.
Les généraux Polonais prisonniers étaient convaincus que tout le monde serait bientôt libéré ou remis aux Alliés.
Peu de temps auparavant, il y avait eu une vaccination générale contre le choléra, ce qui renforçait la confiance dans leur remise ou leur libération. Sinon, pourquoi gaspilleriez-vous les vaccinations coûteuses?
En vérité, c’était un cynisme perfide des soviétiques pour garder les prisonniers calmes avant leur exécution.
Les transports en wagons a bestiaux partaient tous les jours vers le lieu d’exécution de masse. Certains officiers russes ont proposé de stocker les objets de valeur des prisonniers afin qu’ils ne soient pas endommagés en transit.
Ils n’ont obtenu aucune information sur la destination du voyage. Les trains s’arrêtaient dans les champs de Katyn, pour attendre des bus, et faisaient sortir les gens. Une semaine ou le soleil brillait dans un ciel bleu et une végétation printanière. Certains écrivent sur leur note que c’est un bon instant sans savoir ce qui va leur arriver.
Des étranges bus aux fenêtres peintes sont arrivés. Lors de l’embarquement les montres des prisonniers, les stylos plume, les alliances et autres objets de valeur ont été retirés. Les bus peu de temps après, se sont arrêtes en bord de foret. On a fait descendre les prisonniers et ils ont étés exécutés industriellement par les communistes.
Pour ceux qui ont tendance a oublier que la seconde guerre mondiale a été déclenchée par une alliance entre les nazis et les communistes, il y a des photos qui rappellent que les soldats nazi et soviétiques se donnaient la main.
https://www.youtube.com/watch?v=oA7irWpl_bY
]]>Tout dans cet article informatif, qui vous surprendra est vérifié et vérifiable.
Cet article va « désembrouiller » le cliché antiaméricain qui vous conditionne, par la pensée unique. Les faits sont les faits, et les résultats de la médecine Américaine est une des meilleures au monde. Vous allez être éclairé et étonné.
Il tellement devenu une habitude de cracher sur les USA dans la pensée unique des médias, qu’ils ne se rendent plus compte de la réalité. Le manque de diversité culturelle et intellectuelle des journalistes Français préférant présenter à charge des USA en permanence et passer sous silence le meilleur de ce pays par mimétisme de caste a complètement faussé la réalité.
Toutes les affirmations de cet article sont « sourcées » les liens sont en bas de page.
1- Est-on bien moins bien ou mieux soigné aux USA ?
Ce qui importe dans la santé, c’est le résultat.
La lutte contre les cancers est plus efficiente. La prévention des maladies est efficace. Le choix et l’offre des médicaments est beaucoup plus large. Les hôpitaux sont mieux équipés.
Quelques exemples que les états unis surpassent l’Europe et la France dans les soins.
-90% des patientes américaines atteintes d’un cancer du sein vivent au moins cinq ans après le traitement, contre un taux de survie de seulement 85% dans les autres pays de l’OCDE.
-80% des femmes américaines ont reçu un dépistage « opportun » du cancer du col de l’utérus, contre seulement 73% des femmes des autres pays de l’OCDE.
La performance supérieure de l’Amérique en matière de soins contre le cancer est incontestable.
Une étude de 2017 sur l’épidémiologie et la santé a révélé que, par rapport à la Grande-Bretagne, le Canada et la France, les États-Unis ont enregistré de meilleurs taux de survie pour le cancer de la prostate et de l’estomac, ainsi que pour le cancer du sein.
Les États-Unis ont les taux de survie à cinq ans les plus élevés pour le cancer du sein, du côlon, du poumon et de la prostate.
Les taux de mortalité américains 30 jours après une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral (AVC) sont nettement inférieurs à ceux de la plupart des autres pays de l’OCDE. Source étude internationale American Medical Association.
90% des Américains nécessitant une intervention chirurgicale sont en mesure de planifier dans un délai d’un mois après avoir été informés qu’ils ont besoin de l’opération. C’est le plus court temps d’attente et la meilleure productivité du monde.
Il y a des limites inhérentes à toute comparaison de pays à pays. Il existe de grandes différences entre les pays dans les modes de vie, la génétique et les facteurs environnementaux.
Par exemple, la population Américaine a plus de gens notoirement en surpoids . Le taux d’obésité aux États-Unis est 3eme plus élevé parmi les 36 pays membres de l’OCDE. C’est aussi le facteur déterminant qui mine l’espérance de vie des Américains.
L’obésité engendre plus de maladies, telles que le diabète, les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux.
Plus d’un Américain sur 10 souffre de diabète, une situation qui engendre des coûts énormes sur le système de santé. La prévalence de l’obésité et du diabète n’affecte en rien la qualité des soins ou de gestion du système, à moins que la « solution » soit de cesser de traiter autant de diabétiques l’Amérique dépensera toujours plus, et l’obésité est une des raisons des coûts plus élevés.
L’offre est plus développée puisqu’il n’y a pas un « monopole du payeur ». Les négociations sur le prix des médicaments sur ordonnance menées dans les systèmes à payeur unique type sécurité sociale Française, engendre un refus d’achat de médicaments dont le prix dépasse les montants fixés et donc limite l’offre dans nos pays européens par rapport aux USA.
Les hôpitaux sont mieux équipés et plus utilisés.
Les quatre graphiques suivants sans commentaires montrent le nombre et l’utilisation d’appareils d’IRM et de Scanners dans les pays occidentaux.
Les USA sont quasi toujours devant.
Par rapport au cliché anti-américain : en ce qui concerne les maladies coûteuses, la lutte contre le cancer, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux et autres l’Amérique obtient des résultats supérieurs et soigne nettement mieux ses malades en offrant plus de choix de médicaments et des hôpitaux mieux équipés. Mais le mode de vie entraîne plus d’autres maladies comme les diabètes liées au surpoids.
2-Les coûts de la santé
Les soins de santé aux États-Unis sont chers, principalement parce qu’ils utilisent beaucoup de main-d’œuvre plus qualifiée, qui coûte plus cher aux États-Unis que dans d’autres pays. Le temps d’étude supérieure (minimum 9 ans) pour obtenir les diplômes de médecine sont plus longs et complets que dans les autres pays.
Les États-Unis représentent 41% des dépenses mondiales en médicaments, contre 13% pour les cinq plus grands pays européens réunis et 11% pour la Chine.
Les négociations sur le prix des médicaments d’ordonnance menées par les autres pays occidentaux comme en France, organisent un concept en une gestion de « refus d’achat » de médicaments et moyens pour les assurés par le conventionnement de la sécurité sociale, et privent les habitants de ces pays de la disponibilité des nouveaux nombreux médicaments qui peuvent améliorer le sort des patients. Les USA en marché libre diffèrent de ce principe de monopole « conventionné ou invisible » pour les patients comme en France.
4 des 5 plus grosses multinationales pharmaceutiques du monde sont Américaines. Les coûts de développement proviennent principalement des revenus provenant des États-Unis. Le patient Américain paye les coûts de développement et d’investissement de mise sur les marchés des nouveaux médicaments pour le monde entier. Les médicaments sont plus chers qu’en Europe.
En France, par exemple, la sécurité sociale ne conventionne que 23% des nouveaux médicaments, tandis que les régimes d’assurance privés Américains couvrent 84% des nouveaux médicaments.
L’offre abondante peut laisser des individus à supporter des frais de leur poche pour avoir accès aux meilleures thérapies innovantes qui ne sont pas encore une diffusion en volume pour être compétitifs. Mais au moins les médecins ont un accès à des propositions d’offre et de choix plus complètes pour leurs patients.
3-Espérance de vie.
L’espérance de vie est excellente aux USA.
Ne dites jamais cela en public, sinon vous passerez pour fou. Il faut dire que Google et les publications médiatiques ne manquent pas pour prouver le contraire. Un conditionné en général n’accepte pas la contradiction de ses certitudes même en face des preuves.
Quand on compare, l’espérance de vie de la France et qu’on en fait un argument, c’est comme si les Luxembourgeois se moquaient de l’espérance de vie de la France. En France, on vit plus vieux en région Parisienne que dans le Grand Est. C’est pareil aux USA, mais en plus à une échelle d’un pays qui fait la moitié du continent. On vit plus vieux dans le New-Jersey qu’au Mississippi.
Si chaque état Américain était compté comme un pays (il y en a 50), le New-Jersey, le Massachusetts, le Connecticut seraient les pays à la meilleure espérance de vie du monde…
La comparaison est loin d’être ridicule, le Minnesota a autant de population que la Suède ou le Danemark, les gens y meurent plus vieux qu’en Suède et Danemark qui sont pourtant classés dans le top du monde devant l’Amérique tout entière…
La différence d’espérance de vie de la moyenne aux USA n’est en aucun cas liée au système de santé mais aux comportements, comme la prise d’opiacés et les suicides. C’est une moyenne. Plusieurs états Americains onr une plus grande espérance de vie que les autres pays occidentaux.
4-Taux de mortalité infantile
Pour la mortalité infantile, vous ne pouvez éviter la caricature sur les statistiques négatives du taux de mortalité plus élevé que d’autres pays occidentaux.
C’est même un argument majeur de l’antiaméricanisme que vous avez tous entendu…
Le gros problème, c’est qu’en fonction du pays, elle n’est pas comptabilsée pareil.
En France, Belgique ou l’Espagne ne compte dans les statistiques de mortalité que les bébés nés après 22 semaines de gestation soit de 140 jours après la naissance jusque la fin de la 1ere année.
En Pologne, en Allemagne un bébé doit peser au minimum plus de 1kg pour compter comme une naissance vivante dans les statistiques. On compte les enfants nés vivants, on exclut les enfants morts nés.
Dans les statistiques de mortalité infantile, aux États Unis la définition de la mortalité est prise au jour de la naissance. Ce qui modifie la totalité des effets d’annonce diabolisant antiaméricains qui vous sont imposés.
La vérité est qu’en ajustant au niveau américain les données, c’est à dire mortalité dès la naissance sans pondération comme les pays qui excluent le temps de gestation (France) comme le poids, l’Amérique se retrouve dans le top 3 avec une mortalité au plus haut niveau et les pays qui se gargarisent d’en avoir une plus faible comme la France passent au dessous.
A contrario, les États-Unis ont le taux le plus élevé du monde de naissances avant terme. Les professionnels de la santé américains, dépensent des centaines de milliers de dollars en moyens pour sauver la vie d’un bébé prématuré plus que tout autre pays au monde.
5-Les Américains disposent-ils tous d’une assurance maladie et peuvent ils tous être soignés ?
Aujourd’hui, plus de 91% des Américains ont une assurance maladie d’une manière ou d’une autre. Un peu plus de la moitié des Américains sont couverts par une mutuelle ou assurance employeur ou par un membre de leur famille. (Salariés, employeurs, enfants).
Les autres cas hors employeur sont :
-18% (60 millions) ont une couverture par le biais de Medicare, un programme fournit par la sécurité sociale (la sécurité sociale aux USA, c’est l’assurance retraite) qui couvre à 100% toutes les personnes âgées de plus de 65 ans et les personnes handicapées (hors optique et dentaire).
-17% ont une couverture par le biais de Medicaid, un programme qui couvre les personnes à faible revenu. Le système a été copié dans le monde entier, en France, le gouvernement Français a copié le principe avec la CMU.
-5% achètent une couverture maladie sur le marché individuel, soit Obamacare, soit directement auprès d’une compagnie d’assurance.
6-Détail des 30 millions de « non-assurés » qui font le cliché antiaméricain médiatique.
Environ 9% des Américains, (30 millions) n’ont pas d’assurance maladie officielle.
-Plus de la moitié d’entre eux, (55%) sont principalement du « non recours ». La transition ou mobilité sociale joue. Certains attendent d’avoir un job et un employeur, ou alors une maladie concrète pour s’inscrire aux droits qu’offre a tous Medicaid.
En examinant les données, les analystes de l’AEI ont noté qu’environ 15 millions d’Américains non assurés sont éligibles à une couverture Medicaid. Il manque juste aux USA un service d’inscription automatique des personnes sans couverture d’assurance à Medicaid actuellement en phase de préparation pour combler cette lacune.
-4 millions de personnes sont éligibles à une assurance parrainée par l’employeur, mais ne s’inscrivent pas et ne remplissent pas les papiers de l’assurance de leur employeur.
-4 millions sont des 100% illégaux aux USA ou migrants économiques (sauf femmes enceintes). Les migrants légaux qui n’ont pas 5 ans de présence aux USA et n’ayant pas pris d’assurance individuelle ou mutuelle employeur sont inadmissibles à une couverture sociale Medicare ou Medicaid financée par les contribuables (les vrais réfugiés politiques persécutés, les exilés Cubains n’ont pas à attendre 5 ans).
-4,5 millions ont des revenus annuels élevés ou rentiers qui dépassent les 400% du niveau de pauvreté fédéral (103 000 $) et ne sont pas admissibles à Medicaire ou Medicaid et refusent sciemment d’avoir une assurance privée et payent leurs soins de leur poche.
-2,5 millions de personnes non assurées sont de pauvres Américains qui vivent dans des États qui n’ont pas étendu la prise en charge gratuite de Medicaid. C’est un problème de blocage Américano-américain politique qui serait résolu par des mesures ciblées et qui n’ont jamais été faites.
La loi fédérale oblige tous les hôpitaux à but non lucratif à traiter les patients Medicare et Medicaid. Les clichés Anti-américains qu’adorent caricaturer les journalistes gauchistes comme France5 qui expliquent que les hôpitaux refusent les patients sont juste stupides et des cas rares et exceptionnels de malveillance mais n sont pas la réalité. Medicare et Medicaid représentent 50% de tous les soins fournis par les hôpitaux. Par conséquent, Il serait économiquement suicidaire pour les hôpitaux de refuser ces patients.
La loi fédérale oblige tous les hôpitaux dotés de services d’urgence à fournir un « examen » et un « traitement stabilisateur » à toute personne qui se présente, indépendamment de sa capacité de payer et même de son statut d’immigration.
Par rapport aux clichés anti-américain : tous les Américains sont assurés ou assurables et personne ne reste dans la rue sans rien. Il n’existe pas d’américains qui ne peuvent pas bénéficier d’une couverture maladie.
5-Obamacare, pourquoi un échec ?
Une promesse pour les « non-assurés » dévoyée vers les « déjà assurés » par les politiciens.
Obamacare (Loi sur les soins abordables) est une assurance publique subventionnée qui a été présenté par le président Obama comme une tentative généreuse d’assurer les personnes en difficulté « non assurées ». Le problème est venu de suite, car dans la société ceux qui ne sont pas assurés sont généralement aussi les gens qui ne votent pas, et les politiciens ne roulent pas pour eux.
La promesse idéaliste de dépenser beaucoup d’argent pour les gens qui ne votent pas, à été dévoyée par les politiciens démocrates associés à Obama, qui eux on voulu étendre la loi pour transformer les populations qui votent en passagers clandestins des supposés avantages de Obamacare pour tous les salariés, mais néanmoins capables de disposer d’une assurance ou mutuelle classique.
En déviant du but initial de ne cibler que les extrêmes pauvres, et prenant en charge les « déjà assurables individuellement » et que cette assurance remplacerait une mutuelle privée classique Obamacare c’est dévoyé.
Les gens venus de l’assurance privée employeur ou individuelle ont découvert en remplacement une prise en charge bien inférieure, une franchise élevée, une offre de soins avec moins de médecins et hôpitaux conventionnés, et en général les hôpitaux les moins réputés. Beaucoup en adoptant Obamacare ont été contraint de changer de médecin.
Exemple, 42% de cardiologues et de cancérologues en moins.
Exemple les facturations médicales surprises souvent liées à des urgences ou circonstances, le patient reçoit une facture lourde parce que non couverte et agréé par Obamacare.
Un peu moins cher qu’une assurance privée, mais toujours moins bonne.
Des mutuelles privées comme Aetna, Humana ou UnitedHealth Group, non subventionnées, avant Obamacare spécialisées dans la couverture des soins des personnes modestes, avec des marges extrêmement faibles, offraient une meilleure prise en charge. Leurs marges étaient compensées par les volumes, et ils se sont retirés du marché à l’arrivée d’Obamacare imposé, qui a enlevé leurs parts de marché.
Obamacare est un échec. Il n’a pas résolu le problème des non recours, et en plus a créé une situation de plus mauvaise qualité que l’assurance privée pour ceux qui l’ont adopté.
Obamacare a créé une situation pire qu’au point de départ. L’enfer est pavé de bonnes intentions.
Par Spartacus Lequidam
Tweeter : @lequidampost
Blog : www.lequidampost.fr
Quelques sources contributives à la création de cet article :
https://www.justfacts.com/healthcare
https://www.manhattan-institute.org/issues-2020-drug-prices-account-for-minimal-healthcare-spending
https://spectator.org/making-a-bigger-mess-of-medicaid/
https://www.healthcare.gov/immigrants/lawfully-present-immigrants/
]]>Cette question va à l’encontre de l’air du temps et de la pensée unique que nous impose la société. Elle peut vous valoir un procès en diabolisation si vous osez vous opposer à la biodiversité et la remise en cause d’un principe religieux écolo, « la nature en premier ».
Cette question est loin d’être anodine depuis que le lobby écolo a pris les rennes de la politique, des médias, de l’éducation et même d’un ministère idéologique, et nous conditionne à charge matin midi et soir sur les questions de notre emprise sur l’environnement.
La terre est dominée sans partage par l’homme. L’homme agit autrement que tous les êtres vivant sur terre. Il est totalement différent. L’homme a tellement évolué qu’il n’y a rien d’autre que lui qui lui ressemble. Nous entendons tous les jours que l’homme bon et juste vit en « harmonie avec la nature » mais en fait, vivre en harmonie avec la nature c’est vivre en sauvage. Nous ne vivons pas en harmonie avec la nature, et bien heureusement.
Notre société a tellement évolué, peut-on encore dire que nous faisons partie de la nature?
Bien sur que non!
Nous sommes d’une autre nature, une nature évoluée et évolutive.
Notre évolution nous a rendus « non-naturels », « hors-nature » ou « extra-naturels ».
Notre évolution nous a rendu tellement puissant que rien de naturel sur terre ne nous égale. La réponse aux questions de savoir si nous faisons toujours partie de la nature, et si nous en avons même besoin repose sur une compréhension de ce que nous voulons.
L’homme fait plus qu’utiliser la nature à son profit, il la transforme, il la manipule et crée un monde qui n’a rien de naturel.
Le futur de la terre est une domination, une domination pure et totale. Pas l’utopie écologiste d’un retour à une nature totalement fantasmé et idéalisé.
En fait la nature est hostile lorsque l’homme ne la domine pas. Elle n’est plus faite pour l’homme actuel et ne le sera plus. Nous vivons dans des villes, de béton et de verre, et les fougères sont dans le jardin à l’herbe coupée à la tondeuse, et les serpents on les admire au zoo.
La grande particularité de l’humain, c’est qu’il avance vers l’inconnu. Il n’a pas de point de repère, il n’y a pas d’exemple pour se comparer à ce qu’est réellement un être qui a quitté le naturel. De la même manière, un environnement « humain » est à créer. L’environnement naturel est caduc.
Ce qui nous rend humains en premier lieu, ce qui n’est pas aussi évident qu’il y paraît, c’est un statut totalement différent de tout ce qui existe de naturel.
L’homme du 21eme siècle n’est pas ou plus du tout fait pour vivre dans la nature, il a dépassé le cap. Nous n’avons rien à voir avec l’indien que Colomb a découvert, nous ne pourrions vivre comme lui au milieu de la nature.
Notre statut est celui d’animaux modifiés ou «dénaturés». Nous sommes des créatures qui se sont séparées du monde naturel. L’homme c’est séparé progressivement de la nature initiale.
La nature à l’état brut nous pose plus de problèmes que d’avantages.
L’homme a fait la bombe atomique. L’homme avance sur la route du pouvoir d’un dieu. Actuellement les chercheurs essayent d’allonger la vie comme celles sur le transhumanisme et nous progressons sur l’élimination du vieillissement naturel.
Les plantes poussent sans terre, avec du soleil artificiel qui n’a rien de naturel. Les premiers immeubles en agriculture hydroponique sur plusieurs étages se construisent dans les zones industrielles, même pas à la campagne. A Londres, c’est sous terre que des salades sont produites.
Il y a bien longtemps que nous ne prélevons plus à la nature sauvage nos aliments, les animaux sont domestiqués et les premiers steaks artificiels sans vaches sont en élaboration dans les centres de recherche.
90% des fruits et légumes que nous consommons n’existaient pas sous la forme actuelle il y a seulement 400 ans. Le chihuahua, que promène mamie, c’est l’homme qui a créé cette race comme toutes les races de chien sur la base d’un loup. Les races d’animaux domestiques n’ont pas été créées par la nature Darwiniste, mais par les sélections supra-naturelles de l’homme.
On peut même se passer de la mer et ses poissons à l’état naturel. Le poisson d’élevage et l’aquaculture remplacent le poisson sauvage sur nos étalages dans les pays occidentaux.
Nous n’avons pas besoin de la nature pour faire de la sélection naturelle. La sélection génétique des OGM, de l’ADN sont maîtrisés et transformables à volonté par l’homme. La révolution biologique est de plus en plus pointue.
Nous ne savons pas où nous allons, les écolos paniquent sur notre destination. Ils ont peur du changement et peur de l’inconnu. La peur du risque. Leurs palabres sont anxiogènes. La nostalgie d’un passé en contact avec la nature idéalisé factice qui joue sur une nostalgie romancée.
En réalité, ils vivent en ville, veulent des arbres à Paris en face de chez eux, mais ont peur de faire quelques kilomètres et se déplacer pour se promener au milieu des arbres du bois de Boulogne. Vous les imaginez pousser une charrue?
Ce sont des enfants gâtés de l’abondance. Ils ont inventé le « principe de précaution, c’est la peur du modernisme qui les anime. La nature n’est que l’excuse. Aucun ne se propose de jeter son portable et sa fourchette dans la poubelle à produits électroniques et métaux.
On peut dire que les choix et possibilités de nos progrès technologiques rendent difficile d’imaginer quel futur s’offre à nous.
Elles sont tellement nombreuses et inconnues qu’elles engendrent des réactions de peurs et certains s’auto-persuadent que la croissance ou le rejet du modernisme et un retour a la nature serait salutaire
C’est le coût de la liberté. La liberté engendre la peur du futur pour ceux qui ne sont pas sur d’eux ou habitués à être pris en charge.
Pourquoi préserverions-nous un statu quo avec la nature?
L’argument de la biodiversité à y réfléchir sur le fond, pose aussi une question, c’est pourquoi faire ? Faires des zones musées ou se promèneraient tranquillement les animaux qui ne peuvent suivre notre évolution? Pour se donner bonne conscience ? Pour le paraître proche de la nature ? Par mimétisme écolo?
Pourquoi n’éradiquerions pas tous les moustiques parasites ? Ces sortes d’insectes n’ont que des inconvénients et indispensables à personne. Que le paludisme, c’est 200 million de victimes. Au nom de la biodiversité, laisser le paludisme, chikungunya ou maladie de Chaga décimer les humains?
Il faut admettre la vérité, la nature ce n’est pas les allées du parc ou les bobos promènent leurs enfants dans des poussettes que les écolos essayent de nous faire croire. Les Orangs-Outans, la jungle, les bobos aiment, mais là bas, en Indonésie ou Amazonie. Ils ne veulent pas savoir que les autochtones ont peur de traverser un fleuve et que l’espérance de vie est moindre quand on est un peu trop proche de la « vraie » nature et les efforts nécessaire pour y vivre.
Les grands changements font partie de notre évolution.
Nous devons accepter ce que nous faisons, nous devons accepter notre domination sans précédent.
Non pas que le modernisme n’a pas d’effets pervers parfois indésirables, mais il faut les accepter, tenter de les réduire, comme réduire la pollution mais pas de refuser le modernisme pour autant.
Le changement climatique ? On vit très bien à Las Vegas.
Nous gagnerions à nous adapter au climat qu’essayer de le faire revenir à un état naturel qui va grever notre prospérité, et appauvrir le monde.
Les écolos pensent que les besoins de modernisme sont suffisants et que l’humain doit faire un retour vers la nature et veulent imposer une « décroissance ».
Le PIB a été multiplié par 150 dans le seul dernier siècle. A la fin de notre siècle, elle sera du même ordre. Multiplié par entre 100 et 200 fois selon les facteurs d’innovations techniques de rupture.
C’est dans les pays ou la modernité est apparue que la famine a disparue et le niveau de vie c’est développé.
Vous pouvez facilement résumer les scénarios dans lesquels une hausse de quelque degré est facilement assimilable.
En 2100 le pouvoir humain sur la nature sera tellement augmenté, que l’homme domestiquera le temps sans avoir de pertes de libertés et contraintes comme on lui propose aujourd’hui.
La décroissance que nous impose le pire lobby que la terre connaisse, le lobby écolo-gauchiste, nous promet l’étatisme, le taxatisme, nous rendra pauvre, et fait perdre nos libertés. Le moteur des « excuses » des coercitions est « la nature », mais la nature n’est pas le paradis.
Les arguments en faveur du maintien de la biodiversité sont généralement basés sur la survie, l’économie ou l’éthique.
Les arguments ne fonctionnent qu’a l’anxiogène et la diabolisation de l’humain.
Il est raisonnable de penser qu’avec le temps, la plupart des solutions biologiques, métrologiques pourront être synthétisées autrement que par la décroissance et la technologie que par la contrainte, le totalitarisme et l’étatisme.
La réponse est simple, nous avons changé la nature, et nous ne reviendrons pas en arrière…
L’écologie est la peur de l’inconnu et du changement et une nostalgie idéalisée d’un monde naturel fantasmé…
La nature, c’est joli, une belle image, mais faut pas sur-jouer son importance. A l’état brut elle n’est pas sympa.
]]>Quand la presse Française remplit 50% de ses journaux de copié-collé-déposé d’articles et statistiques clés en main d’ONG militantes gauchistes et écolos et ne fait plus son travail d’analyse neutre et sérieuse, il est bon d’aller chercher par soi même l’information.
Et là la presse Australienne est une richesse d’informations et délivre une vérité qui fait mal à notre presse Française mariée aux écolos-gauchistes.
Les faits sont les faits !
Les feux de brousse sont une caractéristique régulière du calendrier australien, mais les incendies dans les régions de Nouvelle-Galles du Sud et au Queensland ne se sont jamais produits à une telle échelle, et ils ne sont pas liés au changement climatique, mais des conséquences de l’interventionnisme écologique.
Quelle est donc la cause des feux de brousse Australiens ?
Mère Nature a été aidée et encouragée par les écologistes, pour qui quelque chose d’aussi sensé que la gestion de la végétation doit non seulement être empêché mais criminalisé.
Chronologie des faits (avec sources), une histoire un peu moins écolo-compatissante.
-Décembre 2017 : Une semaine avant Noël (décembre 2017), dans la semaine précédant Noël, le ministère fédéral de l’Environnement et de l’Énergie Australien a discrètement publié un projet de plan . Intitulé Stratégie australienne pour la nature 2018-2030, le document de 17 pages visait à « prendre soin de la nature dans l’environnement » contre les menaces telles que le changement climatique, les parasites sauvages, la pollution et le développement urbain.
Pourtant plusieurs voix se sont élevées pressentant les désastres à venir, mais ils n’en ont eu rien à faire. La suite est édifiante.
En mai 2018, le conseil du Queensland (coalition travailliste-écolos) a fait voter une protection spéciale et démesurée sur des espaces de vastes étendues plus grandes que plusieurs départements Français. Une loi au pouvoir renforcé pour contrôler et sanctionner le défrichage dans une décision de la Haute Cour qui affecte 20% de l’État, 330 000 km², soit la superficie égale à la moitié de la France.
Pour ceux qui n’ont plus le souvenir des cours de géographie et voudraient se rendre compte des proportions, le Queensland est une région d’Australie qui fait 1 852 642 km², soit environ 3 fois la France (643 801 km² (outre-mer-inclus)).
Le Queensland est surnommé le « Sunshine State » (« État ensoleillé »), puisque son climat est chaud et se trouve sous les tropiques. En résumé, il fait toujours chaud, et l’absence de précipitations sur une longue période est récurrente. Changement climatique ou pas, cette région a toujours eu des périodes longues de chaleurs et canicules.
Les mois de décembre et janvier sont les plus chauds de l’année et il y fait une moyenne de 30° le jour et 21° la nuit. Sous l’effet de la chaleur, la végétation tout simplement sèche et perd de l’eau et devient un combustible idéal dans une température idéale pour le démarrage de tout embrasement.
A partir de mai 2018, du tout petit propriétaire du papy et mamie, ou paysan qui défriche par brûlage culturel traditionnel ou celui qui fait un pâturage en zone vierge pour quelques moutons sur le tour de sa maison, à l’agriculteur qui faut une saignée anti-feu de brousse, tous étés lourdement sanctionnés s’ils dérogeaient à la loi.
La loi fut appliquée au pied de la lettre. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 600 000 $ le défrichage préventif ce qui dissuade.
Ce qui logiquement de cause a effet est arrivé. Des feux gigantesques. Le changement climatique est un bouc émissaire facile. Ca fait les gros titres à la place des vrais responsables.
La catastrophe des feux Australiens n’est pas la conséquence d’un changement climatique, mais le comportement criminel d’un gouvernement qui a essayé d’acheter des votes verts en créant de vastes étendues de parcs nationaux sans rien gérer de celles-ci et a conduit a faire des régions Australiennes des resserves de carburant végétal sèches.
Ils se sont pliés à une idéologie qui fait obstacle à la réduction des risques et empêche les propriétaires fonciers de défricher la végétation autour de leurs propres propriétés, le tout sous l’emprise du dieu de la« biodiversité ».
Le bilan des brasiers est lourd, un milliard d’animaux tués et 120.000 km² de végétation en cendres.
Si vous voyez les écolos pleurer sur les feux en Australie, en fait ils pleurent les conséquences dont ils sont la cause. La vérité fait mal et ils ne la publient pas en faisant des montagnes sur l’hypocrisie climatique, mais cela cache la cause réelle et sérieuse des feux Australiens.
Deux régions au monde ont adoptés les lois écolo en interdisant le débroussaillage, la déforestation par coupe-feu et les barrages en digue de terre collinaires pour créer des retenues d’eau.
Ce sont le Queensland en Australie et la Californie aux States.
Ces deux régions sont depuis la proie d’incendies gigantesques.
L’alarmisme exagéré des écolos entraîne des lois environnementales aux effets pervers plus nuisibles que ce qu’elles sont sensé combattre. Aujourd’hui l’expérience Australienne montre que cela peut être criminel.
Par Spartacus Lequidam
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]]>Il faut dire que Hunter a bien de la chance.
Il gagne 600 000 $ par an. Il travaille pour une société pétrolière Ukrainienne.
Pourtant Hunter ne parle pas Ukrainien. Hunter est Américain et ne parle que Anglais.
Pour donner un ordre de proportion, un administrateur de Exxon Mobil (2eme capitalisation boursière du monde, 6eme chiffre d’affaire du monde) est à coté de lui un « petit joueur » avec seulement 330 000$ par an. Et bien Hunter gagne presque le double de lui.
Le salaire annuel moyen en Ukraine est de 1700 $ par an (notez que c’est par an et pas par mois).
Comme vous le voyez Hunter gagne beaucoup, beaucoup plus que les gens en Ukraine siège de la société pétrolière qui l’emploie comme avocat d’affaires….
Hunter lorsqu’il a été embauché ne connaissait rien au pétrole.
Hunter n’est pas un exemple. Il a été viré de l’Armée pour usage de cocaïne.
Chronologie
Acte 1 Joe Biden demande un limogeage contre l’obtention de l’aide financière Américaine.
A la fin du dernier mandat de O’Bama aux USA, le vice président Joe Biden demande le limogeage du procureur en chef de l’époque en Ukraine, qui enquêtait sur l’entreprise employant Hunter. L’entreprise « Burisma holding » en 2016 juste à la fin de mandat de O’Bama.
A cette époque de conflit avec la Russie, l’Ukraine a terriblement besoin de l’aide Américaine.
À la demande de Joe Biden, vice président de O Bama et chargé des affaires étrangères, le procureur en chef, Viktor Shokin, est licencié immédiatement et l’enquête sur Burisma Holding est close. Joe Biden a eu ce qu’il a exigé pour donner l’aide financière Américaine.
Acte 2 Un livre sort en mars 2018.
« Empires secrets : comment la classe politique américaine cache la corruption et enrichit sa famille et ses amis ».
L’auteur de ce livre Peter Schweizer se pose des questions sur le dernier acte de Joe Biden avant la fin de mandat de Barack O’Bama, le limogeage du procureur Ukrainien. Il découvre que le fils du vice président est employé par « Burisma Holding ».
Hunter Biden, fils de Joe Biden vice président des états unis travaille dans l’entreprise ou son père a demandé au président de l’Ukraine de virer le procureur qui enquêtait sur elle. Il découvre les revenus pharaoniques de Hunter Biden dans l’entreprise Ukrainienne. (50 000$/mois officiel) (83 000$ selon l’agence de presse Halifax)
Acte 2+ une affaire chinoise :
Partant de là, l’auteur du livre pousse le bouchon et enquête sur le fils du vice président. Hunter Biden et découvre, une affaire chinoise.
En 2013, les Chinois envahissent les îles de la mer de Chine méridionale.
La tension est forte entre USA et Chine. O’Bama envoie Air Force Two et son vice président Joe Biden qui lui, emmène avec lui Hunter à bord de l’avion.
Joe Biden s’écrasera devant le bellicisme des Chinois, même la presse de gauche acquise aux démocrates critiquera son manque de négociation. En fait, 12 jours après le voyage, un fond de capital-investissement Chinois est créé avec à la tête Hunter, capitalisé par un prête nom du gouvernement chinois de 1,5 milliards de $. Le fond reçoit une licence commerciale Américaine ce qui est contre nature.
Acte 3 : L’avocat de Trump lit le livre et contacte l’auteur.
La désignation du prochain candidat démocrate est un jeu à 3 prétendants.
Sanders est un vieux, malade et tellement à gauche que Trump ne risque pas grand chose. Waren est aussi une extrémiste clivante très à gauche, et affabulatrice. Elle c’est inventé un passé misérabiliste et tout est faux. Elle n’est ni indienne, et n’a pas subit de licenciement abusif parce qu’elle était enceinte comme elle a prétendu.
Le plus dangereux pour l’élection de 2020 pour Trump, c’est Joe Biden. Un homme de centre gauche qui lui peut rallier les indécis qui font l’élection.
Et…Rudy Giuiliani, l’avocat de Trump qui a lu le livre, s’empresse de lui e-mailer les pages les plus savoureuses…Et en Ukraine on a changé de président.
Acte 4. La conversation téléphonique.
Une conversation téléphonique a eu lieu entre le nouveau président Ukrainien et Donald Trump. Trump demande a ce que le président Ukrainien enquête sur Hunter et sa société « Burisma Holding » car il veut savoir.
Un membre « inconnu » qui se fait appeler « lanceur d’alerte » dénonce Trump comme soi-disant ayant fait pression sur le président Ukrainien en mettant en jeu l’aide Américaine contre des informations sur Hunter. On sait que ce lanceur d’alerte est proche des démocrates, et a travaillé pour Joe Biden.
Acte 5 Lanceur d’alerte
Adam Schift le sénateur démocrate, et président du comité du renseignement chargé de superviser la communauté du renseignement des États-Unis affirme qu’il y a « des preuves plus que circonstancielles » et fait une présentation à charge de la conversation que Trump a eu avec le président Ukrainien Zelensky.
Les démocrates lancent un projet de « destitution » politique et médiatique du président Trump sur la base des faits reportés du lanceur d’alerte.
Il n’y a aucune chance que la destitution aboutisse. Il faudrait un accord du Sénat et le Sénat est à majorité républicain.
Acte 6 Trump contre attaque
Le président Trump ne nie pas avoir demandé au président Ukrainien d’enquêter sur Hunter, et un éventuel conflit d’intérêt. Il nie avoir fait pression par des menaces et livre à la presse la conversation téléphonique de plusieurs minutes qui se révèle chaleureuse, qui ne continent aucune menace. Trump indique que c’est son rôle de vérifier ou va l’argent du contribuable Américain.
Le président Ukrainien Zelensky confirme les propos de Donald Trump officiellement et déclare. « Ce n’était pas un chantage et le budget des armes pour l’Ukraine n’était pas un sujet de conversation« .
Harcelé de questions par les journalistes à tendance démocrate, sur le projet de destitution, Trump répond que c’est une manœuvre politique en coup d’état et dit qu’ils feraient mieux d’aller enquêter sur Hunter en Chine.
Trump contre attaque avec le slogan « where’s Hunter ? » plusieurs fois par Tweet et à la convention de Minneapolis.
A la sortie du rassemblement de la campagne électorale de Trump à Minneapolis, au Minnesota des t-shirts ont commencé à se vendre à la sortie. Les T-shirt, peuvent être achetés sur internet ou dans les shops républicains pour 25$.
Avec la casquette « Make America Great Again » lors de sa première campagne présidentielle, Trump a amassé 45 millions de dollars.
Le T-shirt « where’s Hunter ? » Fera t-il mieux ?
Mais ou est-il Hunter ? Ou est il ?
]]>Un débat médiatique qui cherche à capter l’auditeur, le téléspectateur ou le vote des bobos et la diabolisation de l’industrie chimique et le capitalisme.
Les pesticides sont un exemple assez caricatural quand on prend le temps de rentrer dans la réalité et sortir des clichés imposés basés sur la méconnaissance et l’ignorance générale du sujet.
Origine des pesticides et évolution.
Les végétaux dans l’esprit commun ont l’image d’êtres incapables, immobiles, passifs, vulnérables à l’attaque d’une multitude d’organismes pathogènes. Les expressions populaires incluant des fruits et légumes reflètent bien cet état d’esprit. « Compter pour des prunes », « bête comme chou », « a la noix ».
La réalité est que la végétation est vivante, dotés d’ADN et de l’envie de survivre.
Au cours de l’évolution, les plantes ont développé des moyens pour survivre.
Pour faire face elles ont développé des mécanismes de défense au cours de l’histoire évolutive des végétaux contre les champignons, les insectes et les animaux. Certaines visibles comme des piquants, ou d’autres invisibles comme les substances chimiques.
Pour se protéger, les végétaux se sont donc mises à produire des produits chimiques, des toxines, des substances défensives complexes. Les pesticides.
Les pesticides sont lié à leur évolution, leur complexification, leur diversification depuis plusieurs millions d’années.
Les pesticides sont à 99,9% naturels
L’exposition de l’homme à des pesticides d’origine naturelle est sans commune mesure à l’exposition des pesticides d’origine humaine.
Contrairement à la perception que vous impose le monde écolo-médiatique, les 99,9% des pesticides consommés par l’homme ont une origine naturelle.
Les quantités de résidus de pesticides synthétiques dans les aliments sont insignifiantes par rapport à la quantité de pesticides naturels produits par les fruits et légumes eux-mêmes.
Des dizaines de milliers de ces pesticides naturels ont été découverts et chaque espèce de plante en produit au moins une vingtaine au minimum. Par exemple, le chou à lui seul en compte 120 (y compris les produits de dégradation).
La concentration des pesticides dans les aliments se mesure à l’échelle du ppb de l’anglais part per billion (partie par milliards (1 ppb = 0,000 000 001 = (10-9)).
En alimentation méditerranéenne, nous consommons une moyenne de 10 000 pesticides et produits de décomposition naturels au cours de notre vie.
Nous consommons 1 500 ppb de pesticides naturels par jour, pour 0,09 ppb par jour de pesticides synthétiques (crées par l’homme).
Pesticides et humains.
Les végétaux comme les humains font partie de l’histoire de l’évolution.
Les défenses que les humains ont développées sont généralement de type général car le nombre de pesticides naturels est très important et varié. Les défenses générales offrent une protection contre les pesticides à la fois naturels et synthétiques, ce qui permet aux humains d’être bien protégés contre les toxines alimentaires à faible dose.
Les plantes, elles développent et raffinent leurs armes chimiques depuis 500 millions d’années. Les plantes, elles ont développé leurs pesticides naturel les plus efficaces pour dissuader les prédateurs, elles ont laissé leur héritage à leur descendance.
D’autre part, les humains, ont évolué il y a moins d’un million d’années, eux n’ont pas eu le temps de se transformer en une « harmonie toxique » avec tous les végétaux de leur régime alimentaire. En fait, très peu de fruits et légumes que nous mangeons aujourd’hui existaient à l’époque des chasseurs-cueilleurs.
Notre alimentation a radicalement changé au cours des derniers milliers d’années. Nous consommons des fruits et légumes sélectionnés ou améliorés, récemment introduits dans des cultures vivrières que ne connaissaient pas nos ancêtres, comme par exemple le café, le cacao, le thé, les pommes de terre, les tomates, le maïs, les avocats, les mangues, les olives, les kiwis.
En outre, les légumes crucifères tels que le chou, le brocoli, le chou frisé et le chou-fleur sont popularisés que depuis le Moyen Age. La sélection naturelle fonctionne beaucoup trop lentement pour que les humains puissent développer une résistance aux toxines naturelles.
Nous pouvons facilement extraire de nombreux pesticides naturels, mais nous avons besoin de davantage de produits chimiques synthétiques pour protéger les cultures des insectes nuisibles. D’autre part, nous pouvons également augmenter les niveaux de pesticides naturels.
Les allergies, les eczémas, après contact aux plantes ou pollens sont les conséquences de la chimie naturelle des plantes.
Par exemple, quelques variétés de céleri provoquent des éruptions cutanées et des brûlures chez les personnes qui s’exposent au soleil par la suite.
Une variété de pomme de terre développant des toxines naturelles a dû être retirée du marché en raison de sa toxicité pour les humains.
En outre, lorsque les végétaux sont stressées ou endommagées, par exemple lors d’une attaque de ravageurs, leurs concentrations de pesticides naturels augmentent considérablement, mais rarement jusqu’à des concentrations toxiques pour l’homme.
La racine de manioc, par exemple, une culture vivrière majeure en Afrique et en Amérique du Sud, résiste assez bien aux parasites et aux maladies, mais contient du cyanure à des niveaux si élevés que seul un processus laborieux de lavage, de broyage, de fermentation et de chauffage peut le rendre comestible. L’intoxication chronique au cyanure est endémique dans de nombreuses régions africaines mangeuses de manioc.
Les intoxications au Datura, plante sauvage invasive intoxique les consommateurs de produits bio dans nos pays occidentaux. Comme les farines de sarrasin ou les haricots bio.
Les végétaux développent des pesticides naturels qui sont responsables couramment de mycoses, mycoses pulmonaires, dermatophytes, candidoses, méningites, Kératites, Septicémies etc…
Dans les pesticides naturels, on trouve des toxines naturelles qui classent certains végétaux « probablement cancérigène ». Le soja, le basilic, l’estragon, basilic, l’anis ou le fenouil par exemple le sont, comme le soleil, l’alcool ou la viande rouge.
Le chou et le brocoli contiennent un produit chimique qui se décompose en substances imitant le comportement de la dioxine dans l’organisme. La dioxine provoque des anomalies congénitales chez les rongeurs à des doses extrêmement basses.
Pesticide naturel ou synthétique. Quelle différence ?
Les non-scientifiques, les médias, ont tendance à penser que les pesticides sont uniquement synthétiques et à les qualifier de toxiques, en ignorant le fait que tout pesticide naturel est également toxique à une dose donnée.
La dichotomie polémique entretenue par les écolo-fascistes entre « naturel » ou « Artificiel » ou « synthétique » crée une montagne d’ignorance.
Par exemple, la toxine de tomate, présente une concentration plus proche du seuil de toxicité chez l’homme que 1000 fois des toutes les traces de résidus de pesticides synthétiques cumulées.
Les toxines naturelles peuvent également ont les mêmes mécanismes de toxicité que les toxines synthétiques telles que la dioxine.
Ironiquement, les agriculteurs biologiques sont légalement autorisés à utiliser des pesticides naturels (bio-sourcés), tels que la roténone, que les Indiens utilisaient comme poison pour tuer les animaux, ou les pyréthrines des plantes de chrysanthème.
Les pesticides autorisés en bio n’ayant pas été testés aussi complètement que les pesticides synthétiques, leur innocuité par comparaison ne doit pas être présumée ou ignorée.
En résumé, les pesticides d’origine végétale représentent la grande majorité des pesticides diététiques auxquels les humains sont exposés et comportent donc un risque égal, voire supérieur, à ceux fabriqués par l’homme.
Même si ces produits chimiques naturels sont aussi cancérigènes ou dangereux que les produits synthétiques, cela ne veut pas dire que les uns et les autres nous tuent. La plupart des pesticides, naturels ou synthétiques, ne posent pas de problèmes, car les expositions humaines sont faibles et tout est dans la dose.
Tout ce que vous mangez du supermarché, du marché du magasin bio ou de votre jardin est rempli de pesticides.
De nombreux aliments ordinaires ne satisfont pas aux critères réglementaires utilisés pour agrémenter les pesticides synthétiques.
Les pesticides naturels sont dans les pommes, les bananes, les betteraves, les choux de Bruxelles, le chou vert, les raisins, les melons, les oranges, le persil, les pêches et ces fruits et légumes ne sont pas interdits.
Il ne viendrai pas à l’idée de les interdire, mais si leurs pesticides naturels devaient passer un test de nocivité identique à ce que subit un pesticide synthétique avant son agrément de mise sur le marché. Ces fruits et légumes ne passeraient pas les tests et éliminés de suite.
Parallèlement, les pesticides de synthèse ont considérablement réduit le coût des cultures vivrières, ce qui constitue une avancée majeure en matière de nutrition et donc de santé.
En 1997, les instituts de recherche sur le cancer des États-Unis et du Canada piloté par le plus grand biologiste du monde (Bruce Ames) ont publié une importante étude pluriannuelle de toutes les publications scientifiques faisant état de tout lien entre le cancer chez l’homme et les résidus de pesticides dans les aliments. Ils n’ont pas trouvé une seule preuve crédible liant les deux.
Ils ont conclu que 30% des cancers humains sont dus à la consommation de tabac, provenant d’une plante naturelle, et que 35% des cancers sont causés par une mauvaise alimentation, principalement un excès de graisse et de cholestérol, des substances naturelles.
Il n’existe pas de risque démontré pour la santé de manger des fruits et des légumes traités avec des pesticides légalement autorisés aux doses légales.
Le venin de Cobra est « naturel ». Quelqu’un se soucie de la dose ? C’est dilué un puissant anti-douleur et anti diabétique.
Oubliez les débats absurdes ou les écolo-gauchistes vous dirigent en faisant une distinction entre pesticides naturels ou de synthèse. Les écolos sont anti capitalistes et veulent diaboliser les productions humaines, c’est pour cela qu’ils font la distinction.
Posez toujours le débat sur les pesticides sur l’angle de la dose. C’est le seul approprié. Le reste c’est de la politique interventionniste pour chasser pour caresser l’électeur bobo qui se prend pour sauveur de la planète en éteignant sa cigarette sur le trottoir en entrant dans le magasin bio.
Le pesticide synthétique n’a qu’un danger. La dose. Que la dose et pas ses distinctions intrinsèques.
Vidéos du journal l’Opinion pour compléter :
https://www.lopinion.fr/video/decryptage/definition-pesticides-qu-est-que-c-est-197557
https://www.lopinion.fr/video/decryptage/quels-sont-avantages-inconvenients-pesticides-197704
https://www.lopinion.fr/video/decryptage/l-agriculture-bio-utilise-t-elle-pesticides-198030
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Le 1er octobre, c’est donc le 70e anniversaire du bilan du Parti communiste chinois à la tête du pays depuis 1949. Pas certain que la Chine fête un 75eme anniversaire avec lui….
À la différence de l’Union soviétique à ce stade, la Chine semble prospérer en apparence. Du moins si vous écoutez les médias affligeants à l’analyse économique de moules journalistiques.
La Chine est souvent comparée à l’économie Américaine, mais en réalité elle en est bien loin.
La productivité Américaine est 2 fois plus efficiente avec 4 fois moins de population que la Chine et une démographie plus dynamique.
Son esprit d’initiative la fait renouveler ses forces économiques en permanence. La Chine plus forte que les USA est juste une chimère des journaux de gauche ou on préfère s’auto-persuader des fantasmes anti-Américains primaires, se bercer d’illusions et nier la réalité.
La vérité est tout autre, en Chine ça explose de partout.
Guerre économique, démographie, mauvaise productivité, dette, crise de Hong Kong, camps de Ouïghours, Xi Jingping le dictateur, disparitions de milliardaires, cyber-surveillance orwellienne, fuite des cerveaux, fuite des capitaux occidentaux, corruption endémique.
Ça se lézarde de partout. Il faut juste deviner par quel bout le pays va s’écrouler.
Le miracle Chinois est bien derrière.
La grande croissance chinoise des années 90 et 2000 a été alimenté par une main-d’œuvre nombreuse et jeune, une urbanisation rapide, des investissements d’infrastructure à grande échelle, la libéralisation des marchés et la mondialisation.
Ces facteurs favorables sont en train de se retourner et s’inversent négativement. La démographie, les investissements et les marchés potentiels se resserrent tous. A cela il faut ajouter une guerre commerciale avec la plus grande économie du monde et son premier client, les USA.
Dans la réalité la situation économique de la Chine n’est pas très optimiste. Xi le dirigeant actuel apparaît comme un dictateur sans scrupule qui tranche avec les années d’ouverture à l’occident des années Deng Xiaoping et l’ouverture aux marchés libres.
Les manifestations pour la liberté à Hong Kong, durent depuis plusieurs mois, et la propagande a de plus en plus de mal à la cacher à la population intérieure du pays. L’impact de la crise est très négatif sur l’économie et l’image de la Chine. Hong Kong est la plaque tournante du commerce international du pays. La dictature se fait visible à la Chine et au monde entier.
Les chiffres de propagande ne dupent plus personne
Les chiffres économiques affabulateurs de la Chine ont vécu, plus personne ne croit la propagande des données officielles venant du gouvernement Chinois.
Les analystes économistes des compagnies de notation sur la Chine rassemblent aujourd’hui des données alternatives, comme les données de transfert bancaires, la consommation d’énergie, du fret ferroviaire, jusqu’aux photos prises depuis l’espace.
La conclusion est bien différente de la parole du gouvernement Chinois. L’économie chinoise plafonne et se retourne, et pas du bon coté.
Les chiffres du PIB chinois sont faux à plus de 3 points des pourcentages annoncés.
Les entreprises Américaines. Européennes se détournent de plus en plus leurs activités de la Chine, en raison de l’intensification de la guerre commerciale entre les USA et la Chine. Les milliardaires fuient, les chercheurs les scientifiques veulent terminer leurs carrières aux USA.
25% des entreprises Américaines ont déclaré baisser leurs investissements au cours de l’année 2018.
Discrètement le gouvernement Chinois essaye de « rattraper » les investisseurs Américains par des mesures exceptionnelles désespérées, en exemptant les produits pour les américains de droits de douane.
La banque centrale chinoise a quant à elle injecté depuis le début de l’année 126 milliards équivalent dollars dans l’économie. Une folie financière à charge des générations futures.
La corruption entraîne les fonds d’investissement de l’état vers les entreprises de l’état, déjà les plus endettées du monde, et les moins dynamiques avec des ratios de remboursement ubuesques et de l’autre détruisant le potentiel privé qui ne trouve lui se trouve bloqué de financements disponibles.
Un entreprise chinoise 100% privée emprunte a 9%. Ce qui fragilise les rentabilités et promet des augmentations de coûts alors que les concurrences des pays émergements à la Chine se réveillent dans tous les domaines.
Les immeubles des grandes villes se vident et derrière les façades de verre, les bureaux vides sont plus nombreux que les bureaux remplis.
En chine, l’inflation fait un grand retour. Le prix du porc augmente depuis des mois et il est maintenant près de 50% (le double) plus élevé qu’il ne l’était il y a un an.
Essayez d’imaginer l’impact psychologique du doublement du prix de la viande en un an en France et dites vous bien que les chinois sont comme les Français. Ils doutent de leur gouvernement avec ce genre de résultat.
La démographie se retourne négativement.
La Chine a un terrible problème démographique, c’est peut être le plus important problème. Les résultats des politiques de l’enfant unique a fait avorter des générations entières de filles et favorisé la conception d’enfants masculins. Il en résulte un déséquilibre démographique. Un faussé plein d’hommes vieux et incapables de trouver une épouse et des jeunes moins nombreux qui auront la charge de porter la charge et le fardeau social de générations vieillissantes elles plus nombreuses.
Une société frustrée, fichée et forcée à la sédentarité.
Les systèmes communistes ne peuvent exister sans une société de gens serviles à l’état. Corée du Nord et Chine on un système de contrôle et d’enregistrement des ménages assez terrifiant. Le système d’enregistrement des ménages « hukou » identifie et détermine le domicile légitime de chaque individu ou il doit rester impérativement, le lieu où il bénéficie de l’enseignement public et des services médicaux. Si vous êtes un Chinois chanceux, c’est Beijing, Shanghai, Guangzhou ou Shenzhen. La plupart des gens ruraux concés dans leur région rurale, cela engendre injustice et frustration. Des échantillons d’ADN, des empreintes digitales, des images de l’iris et des informations sur les groupes sanguins de tous les habitants âgés de 12 à 65 ans sont collectés. Dans la province de Xinjang, la reconnaissance faciale, surveille les déplacements des habitants.
Le dictateur Xi Jingping met en place un système qui sera pleinement opérationnel en 2020 de crédit social coercitif. Chaque Chinois se verra attribuer une note, échelonnée entre 350 et 950 points, Le système repose sur un outil de surveillance de masse et utilisera la coercition et les privations de droits pour redresser les « récalcitrants« .
Ne croyez pas que les Chinois sont dupes et ne rêvent pas de la liberté occidentale.. La frustration latente est une bombe.
La corruption endémique
La corruption est le propre des régimes technocratiques et la Chine en est une caricature. Chaque fois qu’une entreprise remporte un appel d’offre public, c’est qu’elle a payé les fonctionnaires corrompus.
Il faut payer et accepter la corruption des fonctionnaires pour tout. Pour instruire ses enfants dans une école spécialisée. Il est interdit de déménager et il faut payer pour avoir les dérogations. Il faut payer pour travailler dans l’entreprise d’état ou de la province et rétribuer à vie en liquide le fonctionnaire qui t’a donné le travail.
La corruption engendre une société communiste de discriminés et de frustrés du système. Des fonctionnaires très riches au pouvoir de discrimination.
Xi Jingping retour à 180° vers une dictature néo-Maoïste
Le PCC a abandonné le pragmatisme et la souplesse intellectuelle de Deng Xiaoping.
Xi Jingping est un pur dictateur, il c’est déjà déclaré dirigeant a vie avec un virage néo-maoïste. Il veut imposer une discipline organisationnelle rigide et un gouvernement fort fondé sur la peur et la terreur. Les erreurs politiques vont être catastrophiques comme toutes les expériences communistes le prouvent.
Au fur et à mesure des contestations que va engendrer le retournement de l’économie, son emprise pour garder le pouvoir va le rendre impopulaire, il ne lui restera que l’ intensification et la répression de ses opposants. Dans un monde Internet. Le mouvement de balancier peut allez plus vite que les périodes passées entraînant un effet spirale négative.
Un régime dépendant de la coercition et de la violence va induire une réduction de l’activité économique, payer d’une résistance populaire croissante, d’une augmentation des coûts et un futur isolement international.
La faillite de la Chine est plus proche que l’on croit. Les 70 ans du 1er octobre sont certainement le dernier round avant l’écroulement dans la décennie qui arrive.
Les Chinois en ont mare et sont a bout. Même maintenant en occident on le sait. Le PCC n’arrive même plus à le cacher.
]]>Greta Thunberg est une victime… des adultes écolo-fascistes qui l’ont prosélytée et exploitée pour promouvoir l’idéologie de la religion climato-apocalyptique.
La jeune Suédoise de 16 ans a invectivé les dirigeants mondiaux lundi au Sommet de l’ONU pour l’action pour le climat, où elle a sombré dans une crise hystérique en les accusant d’avoir « volé mes rêves et mon enfance avec vos mots vides » au sujet du changement climatique, a-t-elle expliqué à travers des larmes et de la colère.
Les écolos et les gauchistes ont applaudi à ses propos, mais pas un de ces imbéciles n’a vu la détresse d’un enfant malade exploité.
Le discours de Greta Thunberg était un non-sens irrationnel.
Pourtant, les écolo-fascistes ont approuvé l’endoctrinement avec les mensonges et les approximations. Les écolo-fascistes ont poussé des milliers d’enfants dans les rues.
Des politiciens avides de suivre le mouvement se sont émus et prosternés devant les délires orchestrés devant ces manipulations même pas feintes. Dressé des couronnes et même invité à l’Assemblée nationale.
Triste idéologie écologiste qui place l’idéologie devant, et n’hésite pas a démolir la vie d’une gamine qui souffre pour en détourner sa maladie pour un profit politique.
Les médias verts rouges roses n’hésitent pas à la présenter comme une autorité morale irréprochable. Comment en est-on arrivé là ? Une telle indécence à maltraitance à enfant malade ?
L’idéologie rend-elle aveugle au point de nier l’indécence à exposer cette jeune fille qui ferait mieux de vivre dans un cadre plus paisible ?
Qu’importe que les propositions de Thunberg appauvrissent des milliards de personnes tout en les laissant sous le contrôle écrasant des masses aux étatistes.
Il est déjà assez grave d’exploiter un adolescent en bonne santé, mais les écologistes en utilisent une avec plusieurs troubles mentaux. Le syndrome d’Asperger et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC).
Les parents vont publier prochainement un livre qui met en avant ses problèmes mentaux comme la raison de son activisme.
Vous verrez, les journalistes présenteront ses parents sans éprouver aucun malaise, comme ils ont présenté Greta ces dernières semaines.
Vous lirez dans ce livre qu’à 12 ans, cette gamine a arrêté de manger et boire pour cause d’obsession climatique. Mais qui autre que ses parents militants extrémistes ont implanté ces idées angoissantes à un enfant malade Asperger ?
Vous lirez que sa soeur, elle aussi atteinte, pique des colères et casse tout.
Vous lirez que Gretta Thunberg a commencé à avoir des cauchemars angoissants à trois heures du matin.
Elle « aurait décidé » que son inquiétude face au climat devait devenir celle de tous les autres. Comme si, à 12 ans, un enfant malade était capable d’appréhender le monde complexe en libre arbitre et ne pas être sous l’influence des parents ?
Au lieu de diagnostiquer l’obsession et agir en conséquence pour rassurer et faire vivre une vie moins traumatisante, au lieu d’aider leur fille, les parents de Thunberg ont exploité sa peur irrationnelle.
En faire une caricature médiatique et détruire sa vie future. Ses parents l’ont enfermée dans une idéologie avant sa majorité. C’est criminel. C’est odieux.
Les activistes du climat du monde entier se sont associés à l’indécence et ont profité de cet enfant fragile pour en faire un profit politique militant.
Cette gamine victime est sujette aux cauchemars. Au lieu de les apaiser, les militants ont encore amplifié la paranoïa.
Ils ont façonné ses discours, qui peut imaginer qu’une gamine de 16 ans dispose de la notion de plainte à l’ONU sans qu’on lui aie suggérée ?
Ils l’ont déscolarisée.
Ils l’ont fait voyager sur un bateau de bobo avec un seau en plastique issu de l’industrie pétrolière pour uriner au milieu des vagues. Juste pour faire la une des médias verts de gris, et socialistes.
Ils l’ont proposée pour le prix Nobel de la paix pour militantisme. C’est irrationnel.
Abus à personne vulnérable. C’est proprement honteux.
Greta Thunberg, c’est maltraitance sur enfant victime de militants extrémistes, de ses parents.
]]>On lit tout et n’importe quoi sur la réflexion des USA à acheter le Groenland.
Bien entendu, dès que le mot « Trump » fait partie d’une équation, les meutes journalistes agissent comment des chiens et hurlent à l’unisson à charge sur la déraison des réflexions des USA.
Encore un constat que le journalisme en France n’est qu’un tribalisme, et que la confiance est rompue. Vous avez lu beaucoup de poncifs, clichés, niaiseries et entendu tout et n’importe quoi. Il faut donc rétablir les vérités.
Nous devons aujourd’hui ne plus prendre l’information des médias anciens, et réfléchir par nous même pour comprendre. Voici donc une vulgarisation de la situation.
Histoire du Groenland.
Le Groenland est une région qui a supporté plusieurs périodes de réchauffement-refroidissement dans l’histoire. La préhistoire montre plusieurs périodes de migrations et exils des Amérindiens sur la partie proche du Canada.
Nous savons que la disparition des Groenlandais d’origine indienne Dorset est due à la famine, causée par le refroidissement climatique avant le réchauffement climatique médiéval du xie siècle.
En 982, Erik le Rouge le viking, banni de Norvège explore le pays. Il nomma cette terre « Groenland » qui se traduit par « Pays vert ». D’après Le Roy Ladurie, le Groenland était à l’époque bien plus vert qu’aujourd’hui et un peu plus hospitalier notamment sur les côtes (en raison de l’optimum climatique médiéval).
Le Groenland devient à la descendance d’Erik le Rouge, une colonie du royaume du Danemark et de Norvège avec les îles Féroé.
A la séparation de l’union du Royaume de Danemark et Norvège en 1814, la propriété du Groenland revient au Royaume du Danemark.
Aujourd’hui, les 2 colonies danoises, les îles Féroé et le Groenland sont des provinces autonomes du royaume du Danemark. Elles possèdent un gouvernement qui leur est propre et qui a compétence dans la plupart des domaines politiques, à l’exception de quelques domaines régaliens, comme les affaires étrangères, de la défense et la politique monétaire, qui sont toujours contrôlés par Copenhague.
La relation du Groenland avec les USA
La première chose qui saute aux yeux, le Groenland fait partie géographiquement de l’Amérique du Nord.
Les danois ont par le passé vécu un phénomène migratoire vers les USA important. Avec la proximité du Groenland et des Amériques, les Danois ont étés sensibles au rêve Américain. De 1815 à 1914, 15% des Danois (300 000 personnes) émigrent vers les États-Unis et le Canada. Un nombre conséquent. La majorité des familles danoises aujourd’hui ont des branches familiales aux USA.
Après l’invasion du Danemark par l’Allemagne en 1940, les États-Unis déployèrent des forces d’intimidation pour protéger et sauver le Groenland de l’Allemagne. Le Groenland n’a pas été envahi par les nazis. Le Groenland le doit aux Américains.
Depuis lors, les États-Unis ont toujours une présence militaire sur l’île. A Thulé, se trouve la plus importante station d’alerte radar et de suivi par satellite pour la protection du territoire américain. Les bases militaires Américaines au Groenland sont vitales pour la sécurité des USA.
En 1946, l’administration Truman tenta, sans succès, d’acheter 100 millions de dollars l’île entière au Danemark. Ce n’est donc pas une lubie fantasque inventée par Trump, mais une suite des ambitions de l’histoire Américaine. Ils nous ont bien acheté la Louisiane.
Le désir d’indépendance.
Le rapport entre le Danemark et le Groenland, c’est en surface géographique le rapport entre la France et la Corse.
Au Groenland, le désir d’indépendance est très fort, en particulier parmi l’élite politique du Groenland. Pour une grande partie des Groenlandais, la question n’est pas de savoir s’ils vont devenir indépendant ou se relier aux USA, mais quand ! Pour eux c’est déjà acté.
L’économie du Danemark et l’économie du Groenland
Le Danemark est un paradoxe social, il ne connait pas le chômage. Pays prétendu « socialiste » alors que gouvernement n’interfère pas dans le social des entreprises.
Si le Danemark était socialiste comme le prétend la légende, la France est en comparaison l’union soviétique.
Seule la partie fiscale semble socialiste. Le Danemark est après la France le pays le plus fiscalisé du monde. Mais même là, la courbe se croise, là ou les Danois ont entrepris une baisse des fiscalités, la France elle trouve tous les jours de nouvelles taxes à imposer à ses ressortissants.
L’économie du Danemark est entièrement dirigée vers l’exportation. 70% de son PIB correspond au commerce extérieur. C’est un petit à l’économie mondialisée sur des marchés de niche et une puissance maritime mondialement reconnue.
L’économie du Groenland
55% du budget du gouvernement groenlandais provient du Danemark sous forme d’une subvention globale. Le Groenland est donc un « boulet économique » pour le Danemark qui est un pays qui souffre de l’autre d’une sur-fiscalisation.
Les villes du Groenland ne sont pas reliées par des routes, rendant les déplacements et l’activité économique difficile et coûteuse
Les problèmes sociaux dans les communautés isolée, tels que l’alcoolisme et les taux de suicide élevés sont nombreux.
En l’état actuel des choses, aucun de ces coûts ne pourrait être compensé par l’exploitation rentable des ressources naturelles, comme la presse bien pensante le suggère.
Il n’y a que 2 mines en activité au Groenland : la mine de rubis Aappilattoq et la mine d’anorthosite de Qaqortorsuaq. Elles survivent grâce aux subventions et ne sont pas profitables. C’est à peine 1% de l’activité du Groenland.
Le Groenland est en fait mono-industrie, et c’est la pêche qui représente 95% des exportations et de l’activité des habitants.
Les avantages à fusionner avec les USA
Le Groenland pour se désenclaver, a commencé la construction de trois grands nouveaux aéroports cette année et s’achèveront en 2023 (à Qaqortoq, au sud, à Nuuk, la capitale et à Illulissuaq, au nord).
Pour être rentable ces futurs aéroports doivent impérativement trouver des débouchés en Amérique du Nord. Le Groenland doit trouver des voyageurs d’affaire et de tourisme. Les voyageurs US sont les premiers voyageurs du monde. Un débouché pour le désenclavement.
Les USA n’absorbent seulement que 1% de l’industrie de la pêche Groenlandaise. En fusionnant avec les USA, c’est un débouché énorme qui s’ouvrira à l’industrie traditionnelle et principale du pays.
L’activité minière pourrait être développée. C’est une industrie qui nécessite de gros capitaux et une prise de risque. Les compagnies minières Américaines ont le gout du risque. Là encore cela serait une bonne affaire pour les habitants.
Conclusion
Ce n’est pas le 19ème siècle, et le Groenland n’est pas à vendre.
En fin de compte, il appartient à la population du Groenland de déterminer comment et par qui elle souhaite être gouvernée. Et à l’Amérique de valoriser son offre.
Et beaucoup pourraient être étonnés que les Groenlandais acceptent une proposition aussi intéressante.
Paradoxalement, en fait, c’est surtout pour les Américains qu’elle peut poser question. La rentabilité du Groenland. Ce n’est pas pour la semaine prochaine.
La loi qui impose aux plateformes la censure contre les propos haineux sur les plateformes sociales Internet est gravissime. Les valeurs de la république sont gravement atteintes.
Macron nous fait une politique communiste et notre avenir de citoyens est sombre. Nous entrons dans le dirigisme et la propagande des foules se met en place.
Les élections européennes ont débouché par une représentation de dirigeants non élus, dans un jeu de négociation dans les couloirs de la nomenklatura européenne. Le directivisme collectiviste se met en place. Voici venir une 2eme vague, la censure.
Loi de censure : bloquer un discourt de haine, c’est de la haine…
L’exclusion pour des idées c’est de la haine.
Soyons clair. Empêcher la liberté d’expression, empêcher la parole est déjà le premier acte violent qui caractérise la haine.
Notre liberté d’expression est menacée. C’est une dictature qui ne dit pas son nom.
Les lois de censure sont toujours politiques et n’ont rien à faire avec la justice
Le libre arbitre est extrêmement menacé. Notre pays s’enfonce dans le communisme. Ne vous y trompez pas. C’est une censure pure et simple des pensées dissidentes.
Le fait de pouvoir condamner et réduire au silence quelqu’un pour une « haine » définie par l’idéologie des juges et de l’administration est une plaisanterie haineuse.
La France est en train de se transformer en un pays communiste, certes à encore économie de marché, mais de plus en plus ultra dirigiste. Un peu comme la Chine. A la différence, c’est caché sous des métaphores de morale aux « bon sentiments ».
Pas un jour ne passe, sans une nouvelle idée de taxe, de loi d’interdiction et de directivisme. Vous n’avez qu’à ouvrir la radio. C’est même en pire que la Chine, ici la dépense publique représente 57% du PIB, là ou l’état chinois cela représente 40% du PIB. L’état Orwellien est partout.
Origine de la censure en France : la loi Gayssot
Bien entendu c’est un communiste qui a mis la première pièce contre la liberté d’expression. (Ce n’est pas un hasard !)
Il a introduit dans la loi le crime de « déni de réalité historique ».
Bien entendu nos zélés fonctionnaires Marxistes en profitent pour agrémenter cette loi de compléments liberticides comme l’irrévérence aux faits historiques. Le délit de blasphème est créé.
La France devient l’égal de l’Arabie Saoudite ou l’Iran, là bas la caricature de Mahomet vous condamne, en France la moquerie historique vous condamne.
Les résultats complètements nuls de cette 1ere loi liberticide.
De nos jours, l’antisémitisme est plus important que dans les années 80 date de création de cette loi censée le combattre.
L’antisémitisme n’a pas disparu. C’est un échec total.
La sanctuarisation par la loi entraîne l’idée qu’il existe 2 poids, 2 mesures. Les effets pervers sont pires que ce que cette loi voulait combattre.
La sanctuarisation de la Shoah a engendré une spirale des frustrés contre les juifs. Dans les cités, les habitants, souvent issus des pays arabes ou musulmans ont développé l’idée qu’on en fait plus pour les juifs que pour eux. L’antisémitisme c’est développé. A Sarcelles, les juifs qui y vivaient dans les années 80 en paix, ont déserté et ceux qui restent vivent dans la méfiance du ressentiment envers eux.
Quand les idées se font muettes, la contradiction ne peut la pondérer, puisque l’idée ne s’exprime plus au grand jour. Elle devient frustration et violence.
La sanctuarisation entraîne la pensée 2 poids, 2 mesures et la frustration. Les effets pervers sont pires que cette loi voulait combattre.
Une Fémen pisse dans l’église et n’est pas condamnée ? Un journal caricature Mahomet et n’est pas condamné, par contre la caricature de la Shoah l’est ?
La communauté juive de France sans le vouloir, est devenue une cible.
La loi Gayssot en attribuant un statut « à part », elle fait un bouc émissaire des juifs.
Cette loi est pire que le mal qu’elle est censée combattre. Elle motive les ressentiments d’injustice auprès de ceux qui ne peuvent s’exprimer au lieu d’êtres confrontés à la contradiction et s’effacer pour passer à autre chose.
Comme constaté les exemples de lois de censure sont des échecs.
Qui gagne avec les lois de censure ?
Les lois de censure, il n’y a qu’un gagnant. La diabolisation des contradicteurs.
En fait, cette loi, comme toutes les lois de censure c’est révélé plus une arme à dessin politique que de lutte contre l’antisémitisme .
Le premier à en avoir fait les frais, c’est l’extrême droite dont le politicien Jean Marie Lepen.
-L’autre gagnant indirect sera le pouvoir des plateformes numériques. Laisser la liberté d’expression aux opérateurs est une folie furieuse et un précédent extrêmement grave pour la société.
Laisser Facebook ou Google le monopole de la vérité et imposer la censure sous excuse de « haine » est une folie furieuse de leur donner un tel pouvoir.
Zukerberg le dirigeant de Facebook est un militant démocrate et il est pressenti pour être dans quelques années un candidat à l’élection présidentielle Américaine.
Par ailleurs, il lance la prochaine monnaie privée de masse le Libra, imaginer qu’un type aux dents si longues et si orgueilleux laissera les idées et les contestations de développer sur lui, ses investissements, ses échecs ou une atteinte a son image laissé par lui sans censure est un leurre.
C’est comme à une époque, armer Ben Laden sous prétexte de lutter contre les Russes, et se plaindre ensuite qu’il a retourné ses armes contre la société qui l’a armé.
Cette loi est une horreur à la liberté d’expression, elle va entraîner des dérives pires que celles censées combattre….
Les plateformes numériques deviennent les juges des vérités.
Il vous est maintenant interdit d’exprimer vos idées autre que rose bonbon et exprimer avec du sel de l’humour ou montrer du sarcasme ou vous moquer. Vous devez être « infentillisé » par l’élite et ne plus avoir accès à, la liberté des opinions. Vous êtes considéré comme trop stupide et incapable de faire des discernements par votre propre libre arbitre.
Les plateformes numériques vont homogénéiser les idées, mettre fin aux controverses. Éliminer les gens épicés aux avis qui dérangent. Ils vont imposer à penser la même chose et tout le monde devra s’exprimer dans le même sens. Ils vont imposer que tout le monde soi gentil, policé. Ils vont imposer le stalinisme de la pensée.
Facebook Google dans le secret vont imposer les thématiques les idées qui sont les « bonnes » et celles qui sont « mauvaises ».
Les sentiments, les idées relèvent de la subjectivité et il est évident que de multiples associations bien-pensantes vont se prétendre haïes alors qu’elles ne sont que critiquées. Ce qui va pousser les plateformes à l’autocensure.
La distinction entre crime et péché est l’un des fondements du droit occidental. En légiférant sur les opinions, nous devenons une dictature de type Chavez et Maduro.
La civilisation est un état social où les sentiments, les idées comme la haine, la colère ou la jalousie, ne se traduisent pas en crimes. Parce que une société où dès le plus jeune âge, on apprend le respect des autres, et de tous les autres.
La France de Macron et ses sbires socialistes étatistes avec cette loi se comportent en état totalitaire, puisqu’ils ont la prétention de régir les sentiments de leurs citoyens.
Avec cette loi nous devenons un état totalitaire, dans une Europe qui le devient aussi.
Pour aller plus loin avec les vidéos (en anglais) :
Vidéo de Zukerberg devant Ben Sasse (sénateur Tee Party républicain du Nebraska) contraint de définir un discourt de haine.
Vidéo du chargé de communication Google devant Dan Crenshaw (député libertarien républicain du Texas) obligé de justifier la censure injustifiée de PragerU.
Video de John Stossel qui interroge les censurés des médias sociaux contreversés aux USA
La bio-diversité menacée. « Un million d’espèces végétales et animales menacées. »
Il est totalement impossible que vous ayez raté cette information. On vient de vous la bombarder en matraquage média intensif sans aucune vérification ni esprit critique de cette étude. Aucune investigation en vérification. Pas un seul commentateur ne met en parenthèse les chiffres qui vous sont assénés comme des vérités évangéliques.
Selon un nouveau rapport des Nations Unies, un million d’espèces animales et végétales sont « menacées » par l’activité humaine.
Selon les auteurs du rapport, la solution proposée par la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) consiste à apporter des « transformations en profondeur liées à des facteurs économiques, sociaux, politiques et technologiques » dans notre relation avec la nature.
Il faut bien comprendre que les Nations Unies n’ont pas plus de déontologie que n’importe quel organisme gouvernemental, multinationale ou groupe de pression revendicatif.
En résumé des gens en conflit d’intérêt avec leur objet de revenus et de subventions qui ont commandité un rapport en fournissant l’approche et la conclusion que devait avoir ce rapport.
Ce sont des gens aux profils intellectuels qui se croient dépositaire d’une mission divine de changer la société et n’hésitent pas a franchir le seuil de la désinformation par la communication de statistiques biaisées qui tiennent scientifiquement sur la surface d’un confetti. Ce sont des fonctionnaires qui se prennent pour le gouvernement du monde et qui s’autorisent a se croire des grands planificateurs centraux, et veulent diriger le monde par la manipulation des foules et de l’information. Dailleurs c’est écrit dans le rapport de ces bureaucrates planificateurs, ils veulent dixit : « transformer le monde« .
1-Les sources statistiques de cette étude
1ere interrogation
Quelqu’un connaît le nombre d’espèces connues de plantes et animaux ?
La vérité est que personne ne connaît. La plus grande diversité d’espèces est celle des insectes. Les insectes sont si nombreux qu’aucun scientifique ne peut les connaître tous.
Un spécialiste des papillons Français ne connaît pas tous les papillons de France et découvre des nouvelles espèces quotidiennement…Alors au niveau mondial, et en plus que les papillons, petit agrégat des insectes.
De plus, il y a très peu de spécialistes des insectes sur terre (entomologistes).
Il est impossible de connaître le nombre d’insectes. Les estimations du nombre de catégories d’insectes vont de 1 million à 30 millions d’espèces. Et ce n’est qu’une catégorie d’espèce.
2eme Interrogation « répertorié » et « estimé » ce n’est pas pareil.
Si pour les moustiques, la marge d’erreur est élevée, on pourrait penser que pour les autres espèces c’est plus simple, puisque les chiffres ne vont pas du simple au double, or en fait en creusant on se rend compte que tout est estimation au doigt mouillé.
Les Champignons : il y aurait selon cette étude 0,61 million d’espèces. En vérité les répertoriés sont inférieurs à 0,4 millions soit 7% de l’estimation, Un marge d’erreur de 93%.
Les animaux : il y aurait selon cette étude 7,7 millions d’espèces animaux. Nous en avons répertorié officiellement 1 million, soit 12%. Une marge d’erreur de 88%.
Le nombre d’espèces répertoriées, est nettement plus réduit que le nombre d’espèces estimées.
2-Le fond de l’étude
Ça veut dire quoi « menacé » ?
Menacé est un mot fourre-tout qui nécessite des précisions que le rapport donne ainsi :
Il s’agit d’un ensemble de trois catégories différentes : « vulnérable« , « en danger » et « en danger critique d’extinction« .
Si une espèce est en danger critique d’extinction, cela signifie qu’elle doit faire face à l’un des facteurs suivants : déclin de la population d’au moins 80%, fragmentation grave de son habitat ou présence d’un seul site, population de 250 spécimens matures au maximum, risque d’extinction à l’état sauvage de 50% d’ici trois générations ou dix ans.
Selon l’estimation 2 464 animaux et 2 104 plantes répondent à au moins un de ces critères.
En résumé, un peu moins de 5 000 espèces, environ 0,05% des 10 millions de celles que le rapport extrapole d’exister.
Les groupes de plantes les plus touchés selon eux sont les cycadales, les dicotylédoneset 5% des conifères. Les amphibiens sont le groupe d’animaux les plus touchés, avec près de 10% d’entre eux menacés d’extinction.
Extinction de masse ou vaste propagande anxiogène ?
La situation de certaines espèces est certainement en danger critique, Darwin l’a découvert bien avant l’ONU, le rapport lui est est un cas classique de la communication politique culpabilisante de l’homme avec des effets d’annonce et de réalité totalement inventé.
Les catégories sont floues, les commentaires et titres annonciateurs d’une extinction de masse laisse à penser au monde un problème grave, du style qu’il ne restera presque plus rien du monde naturel dans quelques années. C’est juste faux.
La réalité, est que seule une extrême petite partie des espèces est sérieusement menacée d’extinction, et sur des bases et références douteuses et extrapolées avec des mages d’erreurs infinies.
De plus, le monde est vaste et seul un nombre relativement restreint de personnes étudient ces questions. Cela signifie que seule une fraction de ces espèces est en cours d’étude et d’évaluation et même dans ce cas, nous ne savons que quelques groupes de population très limités pour chaque espèce.
En fait, loin de demander la réorganisation complète de la société, certains des risques pour ces espèces sont assez faciles à contrôler par le bon sens.
C’est quoi la bio-diversité ?
Ces moustiques qui vous apportent cette si belle diversité.
Qui apportent la dingue, la malaria, la maladie de chaga, la maladie du sommeil, le chikungunya ou le paludisme et oblige la moitié de la population non industrialisée (proche de la nature) a vivre sous moustiquaire et une durée de vie plus limité qu’au japon ou Suisse les pays les plus industrialisés du monde.
Ces joyeux serpents, qui sont si beaux et si merveilleusement multicolores.
Ces serpents corail, pythons qui piquent chaque année 5,56 millions de personnes soit une personne toutes les 6 secondes dans le monde. Regrettez vous ce manque de diversité de ne pas en voir dans le parc ou vous promenez vos enfants ?
Et ces charmants caïman et crocodiles et requins qu’ils ont de si belles dents.
Et ces gens, qui se sont fait bouffer le pied, quels ingrats à ne pas apprécier cette « for-mi-dable » nature et bio diversité. Au nom du sauvetage de la bio-diversité que les écolos pour être en phase avec leurs convictions en adoptent tous un bien gros dans leur baignoire.
La vérité est immorale à entendre pour les « bien pensants ». Eux qui ne sont que des bobos des villes, totalement décalé de la réalité qui se lavent avec du Tahiti douche, prennent du coca dans le réfrigérateur, utilisent le dernier Smartphone, et fantasment une nature idéalisée totalement abstraite et rêvée ou ils y ont jamais mis les pieds et qui ne ressemble pas a ça.
La nature n’est belle que dominée par l’homme, mais attention ne le dites pas, vous allez passer pour immoral.
La clémentine a été faite par l’idée de l’abbé Clément de mélanger génétiquement orange et mandarine, c’est son idée pas celle de la nature.
Les fraises ont été découvertes blanches et rachitiques en Amérique, elles sont devenues nombreuses, sucrées et diverses que par l’agronomie et la prise en main de la nature par l’homme.
Le Chien est un loup que l’homme a fait évoluer et n’est pas une création naturelle.
Mais surtout ne leur dites pas la vérité… Ils ne sont pas prêt à l’entendre.
Vous allez vous faire taxer d’être un affreux vilain.
Les bobos prennent les études anxiogènes d’organismes qui vivent de la peur et l’envie de transformer le monde pour argent comptant. Dur comme du béton armé ils y croient comme des chrétiens croient l’évangile.
Ils pensent la nature comme elle est comme au jardin botanique ou au zoo. Selon eux, il faut culpabiliser les populations, au nom de leur point de vue, et au diable la réalité des autres.
Ils sont a des centaines de kilomètres de ceux qui vivent dans la terreur des orang-outans, et souhaitent vivre de leurs palmier comme les agriculteurs de la beauce vivent des plantations de colza.
Ils n’imaginent pas que 40% de la population terrestre qui est contrainte de dormir avec une moustiquaire et que ces gens si prochent de la nature, ne rêvent d’une eradication des moustiques dans leur village en brousse. Quelle ingratitude d’être si près et ne pas apprécier la nature sauvage.
Les bio-diversitovores n’aiment pas ces gens des pays pauvres, qui se foutent de la « bio-diversité » et qui « osent » couper les arbres pour essayer de vivre comme des occidentaux. Détruire les moustiques et adopter la climatisation.
]]>Le 1er janvier 2019, Jair Bolsonaro, élu par plus de 55 millions de Brésiliens, est devenu le président officiel du plus grand pays d’Amérique du Sud.
Jair Bolsonaro ne se voit pas comme un homme politique au sens traditionnel du terme. Il dit ce qu’il pense et essaie de faire ce qu’il dit.
Sa victoire électorale est due à son ouverture. Il le doit surtout a son honnêteté intellectuelle et matérielle. Il n’a jamais utilisé sa fonction de député pour en tirer un profit matérialiste.
Il s’est distingué des nombreux hypocrites, des flatteurs et des orateurs magnifiques.
Il a délibérément traité les médias, en particulier le diffuseur omnipotent « Globo » le plus grand groupe de médias d’Amérique Latine et du Brésil avec mépris. Au lieu d’apparaître omniprésent dans ce média comme ont cherché a le faire les autres candidats, il s’est tourné vers les électeurs par Internet.
Trump/Bolsonaro
Dans les médias, Bolsonaro est comparé à Trump.
Oui et non, vous pouvez comparer Jair Bolsonaro à Donald Trump mais pas pour tout.
Trump fut l’un des premiers à féliciter Bolsonaro pour sa victoire électorale et comme pour son discourt d’investiture, il vient de lui confirmer qu’il va l’accueillir comme un partenaire des USA fiable.
Comme Trump, Bolsonaro ne s’est pas soucié des règles conventionnelles pendant la campagne électorale. Trump et Bolsonaro viennent professionnellement d’horizons complètement différents. Bolsonaro, contrairement à Trump, est un homme politique depuis 1991 en tant que représentant élu au Congrès brésilien. Trump un milliardaire de l’immobilier.
Comme Trump, quand Bolsonaro a annoncé sa candidature à la présidence, ses concurrents et les experts politiques auto-proclamés dans les médias s’accordèrent pour dire qu’il ne réussissait jamais. « Ele não » (« Il ne le fait pas ») a été utilisé par ses adversaires en moquerie permanente.
Ses arguments électoraux ne correspondaient pas à la rectitude politique, presque pas d’argent pour mener une campagne ; et avec son parti social-libéral (PSL), le parti reposait sur une base politique étroite en particulier par rapport au parti travailliste (PT). Les sondages laissaient à peine une chance à Bolsonaro.
Contrairement à Trump, Bolsonaro est plus consensuel au Brésil, la polarisation apparue de la campagne électorale entre les camps n’est pas une fracture aussi intense qu’au USA que celle de Trump et les médias. Contrairement aux États-Unis, Bolsonaro est plus consensuel il est moins clivant.
Il est un espoir pour beaucoup de monde dans ce pays. Même ceux qui n’ont pas voté pour lui.
Bolsonaro et l’économie.
Bolsonaro dit qu’il se fiche de l’économie … Son ministre des Affaires économiques, Paulo Guedes, est un diplômé de l’école de Chicago.
Avec Guedes, le gouvernement de Bolsonaro va ressembler au début de la République fédérale d’Allemagne avec Konrad Adenauer et Ludwig Erhard. Adenauer a été assez intelligent pour laisser Erhard les mains libres pour l’économie et se concentrer entièrement sur les affaires politiques.
Erhard a parcouru le pays et a expliqué aux gens ce qu’est une économie de marché. Paulo Guedes devrait faire pareil. Il utilisera les médias pour expliquer ce qu’est une économie de marché libre, à quel point les dépenses publiques sont fatales et à quel point l’inflation est diabolique dans un pays ou comme en France on croit que l’économie est un jeu à somme nulle.
Guedes est bien accueilli sur les marchés financiers. Guedes est un libéral économique dans la tradition de Milton Friedman. Il sera aidé par le ministre de l’éducation pour dé-Marxiser les mentalités.
Bolsonaro et l’éducation :
C’est assez simple comme programme, la lutte contre l’endoctrinement Marxiste dans le système éducatif.
Pour y parvenir, il a nommé le philosophe brésilien Ricardo Vélez Rodríguez comme ministre. Il connaît bien l’endoctrinement Marxiste dans l’éducation et sait que ce n’est pas limité à un seul pays, il a aussi vécu aussi en France. Il a un passé d’enseignant dans les universités étrangères mondiales, comme les États-Unis, la Colombie et la France.
Pour Bolsonaro, il est nécessaire de combattre l’idéologie des enfants et la distorsion des droits de l’homme, de rétablir des normes éthiques et morales, ce qui rend les réformes nécessaires. Enlever le monopole Marxiste sur les sciences sociales et économiques.
Donner la priorité à l’éducation de base, et redonner un sens à l’éducation. Former les gens à être des citoyens et non en faire des militants politiques ou séparer les gens en classes sociales de bons ou mauvais. Éjecter les idéologues marxistes installés dans les établissements d’enseignement, qui ont fait tellement de mal avec leur idéologie à toute l’Amérique du Sud. Le Brésil ne sera pas un nouveau Venezuela.
L’objectif de Bolsonaro est d’améliorer le classement du Brésil dans les classements l’éducation du Brésil.
Bolsonaro extrême droite ?
Le modèle droite-gauche n’est plus valable depuis longtemps. Le parti de Bolsonaro s’appelle « social libéral ». Il est appelé « extrême droite » par les médias, surtout parce qu’au Brésil le PT, le parti en place était un parti Marxisant. Le PT est économiquement socialiste et socialement culturo-marxiste. Tout ce qui était à sa droite était qualifié de droite, et les partis centristes, d’extrême droite.
En fait Bolsonaro a été le seul à se distinguer clairement de la foultitude des nombreux autres partis semi-socialistes. Bolsonaro est plutôt un « conservateur-libéral ». Il a pris dans sa campagne une direction sécuritaire par opposition à la réalité de ses concurrents Marxistes.
Le PT sous l’ancienne direction de Lula était corrompu et obsédé par l’argent. Le PT actuel, avec Haddad au sommet, proposait rien de moins comme indécence, que d’absoudre les criminels corrompus comme Lula ou Youseff qui ont mis en faillite leur pays. Comme tous les partis Marxistes et socialistes, le PT a peu à voir avec les travailleurs, c’est un parti d’intellectuels de gauche, plus obnubilé pour changer la société que regarder le mal réel que réalise au concret leurs idéologie fantasmée de changement de société.
Bolsonaro loi sur les armes ?
C’est presque une caricature du débat du RIC en France. Des élites qui refusent ce que le peuple veut. Bolsonaro n’a pas demandé une « loi sur les armes », il va appliquer ce que les gens ont voté. POINT.
Un référendum sur la loi sur les armes a eu lieu et la majorité s’est prononcée en faveur de la libéralisation. Mais les politiciens et élus se sont arrangés pour ne pas mettre en place cette loi et l’enterrer. Pour comparer à la France, les gens votent pour un « non à l’Europe » ou « oui à une création d’aéroport à Notre Dame des Landes » et ça ne satisfait pas les élites, nos médias de centre gauche et l’établisment et on enterre la demande des citoyens.
Bolsonaro ne fait en réalité que mettre en œuvre le plébiscite d’un précédent referendum.
Le crime est un problème très grave au Brésil. Cependant, il ne faut pas oublier qu’il se concentre spécifiquement dans les bidonvilles périphériques des grandes villes.
Au Brésil, il y a donc deux mondes dans presque toutes les villes. Un référendum sur la loi sur les armes a eu lieu et la majorité s’est prononcée en faveur de la libéralisation.
Il est difficile d’imaginer qu’une loi libérale sur les armes augmenterait les crimes violents. Cela va juste mettre fin au marché noir et la prohibition des armes.
Les bandits vont réfléchir à 2 fois avant de risquer de ce prendre une balle 9mm d’un Magnum Parabellum d’une personne âgée pour tenter de voler son sac. Les armes libres, c’est aussi dissuasif. Et plus de bandis avec du répondant en face, ça en fera moins dans les rues.
Bolsonaro et la justice :
Bolsonaro par le choix du ministre de la justice a un large soutien populaire. Le ministre de la Justice, est celui qui a amené Lula derrière les barreaux. Le juge Sergio Moro. Il s’est fait connaître en tant que juge de l’opération « Lavage express », enquête qui a révélé un gigantesque réseau de corruption autour du groupe étatique Petrobras et a éclaboussé la classe politique.
C’est un juge chargé de s’occuper de la corruption, et les gens ont confiance en lui car il a montré dans un pays ou la corruption est la règle, que lui est resté incorruptible.
Comme vous le constatez, Bolsonaro n’est pas la caricature à charge décrite par nos médias.
]]>Si la politique reflète des valeurs largement défendues, beaucoup ne s’y reconnaissent plus.
Les gens autonomes ne peuvent pas passer 40 heures par semaine à étudier les modalités de toutes les politiques proposées à tous les niveaux.
De l’état et par les médias, ils sélectionnent principalement que ce qui reflète leurs préoccupations et leurs priorités éducation, famille, mais surtout le travail.
Les politiques macro-économiques de croissance ou de redistribution des revenus les laissent dubitatifs.
Ces gens oubliés veulent être autonomes, libres. Ils veulent des fonctions reconnues ou des emplois décents.
Ils sont responsables de leur vie, de ce qui leur arrive et ne se défaussent pas et n’accusent jamais ou rarement le «système» ou des forces extérieures de leur sort.
Une personne responsable ne fait confiance à personne pour s’occuper de lui plus que lui même. De la société actuelle ils constatent le contraste avec eux. Ils sont tristes et déplorent l’énorme manque de responsabilité personnelle et individuelle qui manque à beaucoup de gens.
Ils ne sont pas socialistes, ils ne sont pas un produit de son environnement. Ils créent eux même leur propre environnement.
Pour eux vous êtes responsable de votre vie…
Si par exemple vous ne pouvez pas trouver d’emploi, vous devez peut-être économiser pour changer de domaine, déménager, vous remettre en question, prendre intellectuellement en charge la prise en compte de vos lacunes et votre correction individuelle dans une remise en cause.
Mais certainement pas le spectacle quotidien de se lamenter pitoyablement sur son propre sort.
Pour eux, vous ne pouvez compter sur personne réellement sauf à la marge ou en agrégats. Vous devez pouvoir le faire vous-même et personne ne vous traitera comme vous voulez être traité.
Cette perspective est admirable pour ce qu’elle dit sur la force de caractère de l’individu, mais nuancées sur la foi en la communauté. Ils sont profondément cyniques à propos de leurs représentants élus.
Ils se plaignent du baratin et de promesses auxquelles ils ne croient pas ou plus. Pour eux la politique n’est qu’une mauvaise blague.
Beaucoup hésitent à discuter de politique, sachant à quel point le sujet peut diviser. Quand ils expriment une opinion politique, cela a généralement trait à l’inefficacité, au manque de confiance et à l’absence de toute réalité des gouvernants.
Ils sont humiliés et pris pour des enfants tous les jours par l’état et les castes non-autonomes.
-On réduit la vitesse à 80, on taxe le carburant? Eux sont les premiers à subir.
Ils ont besoin d’un véhicule pour rouler. On invoque le nombre de mort sur les routes pour les contraindre. Mais eux mêmes s’ils roulent à 95 au lieu de 90, ils n’ont jamais tué personne et mis en danger autrui et s’arrêtent au feu rouge.
-On veut taxer le sel, l’alcool ou les sodas. Eux sont les premiers à payer et subir.
Eux ne mettent pas leur santé en jeu. Ils mangent des schips, boivent du coca, ou une bière les jours sans excès, comme aussi des tomates locales ou du jardin et de l’eau. Ils n’ont besoin de personne pour leur dire de bien manger, mais c’est pas pour autant qu’ils vont se priver de tout.
-On surtaxe leur électricité, leur gaz. Eux sont les premiers à payer et subir. Mais eux font attention et ferment la lumière quand ils sortent d’une pièce et n’utilisent pas plus d’eau chaude .
-Le gouvernement taxe pour remplir des déficits qu’il creuse jours après jours. Eux sont les premiers à payer et subir.
Mais eux savent gérer leurs budgets. Ils ne sont pas à découvert. Ils savent économiser et dépenser à bon escient. Ils ont rarement besoin d’un crédit, et s’ils en ont un, il est remboursé rubis sur l’ongle. Le comportement des politiciens de dépenser plus qu’ils ont, leur est inconcevable.
-Pour eux les aides sociales sont nécessaires pour certaines parties de la population, pour les handicapés, les gens touchés par une intempérie ou un malheur.
Les cotisations sociales augmentent directement et indirectement. Ils sont les premier à subir.
Mais eux n’ont jamais abusé. Il n’ont jamais de leur vie été quémander au médecin un arrêt maladie de complaisance. Ils s’auto-soignent pour les petits rhumes et payent eux même le sirop pour les remettre d’aplomb . Ils vont voir le médecin que, et uniquement que si c’est nécessaire. Ils ne lui demandent jamais d’ajouter une boite de doliprane à l’ordonnance pour bénéficier de paracétamol sur le compte de la société en réserve chez soi.
-Ils sont carrément hostiles à ce qu’ils considèrent comme le profit indécent sur le social. Ils sont les premier à comprendre que c’est eux qui le payent et le subissent.
La personne qui fait un autre bébé pour obtenir plus d’argent alors qu’elle n’ai pas capable de faire vivre décemment ses premiers les choque.
Le HLM donné à un migrant alors que ce dernier ne veut pas vivre à l’Européenne les choque.
Mais il y a une chose qui les choque le plus, c’est le socialisme et la sociale démocratie subie, c’est son fruit: la résilience du sens des responsabilités.
Eux ont une attitude positive et un sens des responsabilités face à des situations de crise qu’ils subissent. Eux sont invisibles. Ils ne se plaignent pas.
Mais ce qui est grave, c’est que ces gens soient les oubliés.
Aucun politicien ne fait rien pour leur permettre d’améliorer leur vie, leur vie leur autonomie.
Au contraire, c’est sur eux que les gouvernant depuis des années s’acharnent.
Les politiciens, sont des décalés de leurs réalités.
Ils ne s’aligneront pas sur des valeurs collectivistes. Ils ne veulent pas être transformés ni « moulés » dans un gloubiboulga ou on leur dit comment il faut penser ou vivre. Ils savent ce qui se passe dans la vie quotidienne des gens normaux car eux ce sont des gens normaux.
S’ils se méfient des gouvernants et de l’état, c’est qu’il fait tout le contraire de leurs valeurs intimes de vouloir l’autonomie, la liberté et la responsabilité.
En fait ce sont des gens ordinaires oubliés de politiciens déconnectés et politisés qui veulent transformer leur vie au lieu de s’adapter à eux et se remettre en question.
Une nouvelle maladie mentale est apparue. Les Américains la nomment la « Trump anxety desorder ».
C’est certainement la première fois que vous en entendez parler en France. Il faut dire que cette maladie touche beaucoup les médias et journalistes et quand on est dans la souffrance. Il y a des personnes qui cachent leur maladie. En l’occurrence pour les médias et journalistes, c’est le déni de réalité qui est la cause de l’absence de l’information. Être touché par la « Trump Anxiety Desorder » pour un journaliste, c’est comme une péripatéticienne qui aurait la Blennorragie (chaud de pisse), c’est incompatible avec l’hygienne du métier et pas professionnel.
C’est l’an dernier, que des psychiatres de la Harvard Medical School et de la Yale School of Medicine ont établit la pathologie TAD (Trump Anxiety Desorder).
Si la terre médiatique toute entière est touchée, on situe l’épicentre à Washington.
La thérapeute Elisabeth LaMotte du centre de conseil et de psychothérapie de Washington DC est l’une de celle qui diagnostique le plus cette maladie parmi ses clients. Elle a déclaré « il y a une «anxiété collective» qui s’est accrue depuis l’élection de Trump.» https://ijr.com/2018/07/1112538-trump-derangement-syndrome-spike/
Une pathologie de troubles anxieux TAD est spécifique à un climat sociopolitique imprévisible. Les symptômes sont « un état mental dans lequel une personne se conduit de manière exagérément folle à cause de son aversion pour Donald Trump » au point où elle abandonne toute logique et raison. Les symptômes de cette maladie peuvent être très variés, allant d’explosions hystériques à une rupture mentale complète. »
Cette maladie de l’aversion à une personne pourrait être bénigne, mais malheureusement de nombreux symptômes se manifestent dans la société. Notamment des actes d’intimidation et d’agression à l’encontre des partisans de Donald Trump au USA.
La maladie entraîne des « Refus de servir », « refus d’être agréable », « discrimination et même des violence et des coups ».
Les principaux touchés par la maladie sont les gauchistes et particulièrement les intellos de gauche. Les professions qui ne vivent pas dans l’autonomie ou la recherche d’une autonomie individuelle en dénombrent de nombreux malades.
La maladie sévit plus fortement dans les professions proches de l’état ou en dépendances de l’état et subventionnées. On note aussi de nombreux touchés dans les professionnels diplômés de sciences sociales et politiques comme les « journalistes ».
Les journalistes sont gravement « touchés » et la fréquence et l’intensité du syndrome entraîne des crises croissantes hystériques.
Il faut dire que ces crises sont grandement exacerbées par la consommation constante et sans répit de propagande haineuse dans l’entre soi d’une profession à 95% composé de gauchistes.
Aujourd’hui, les médias grand public ne sont pas les voix de la prudence et la neutralité de l’information juste et équitable, mais le total contraire, les développeurs de la maladie hystérique.
Aucun média n’est épargné même en France. De TF1 à L’express en passant par le Point et autres.
Les médias gauchistes sont eux 100% touchés. Libération, le Nouvel Obs, France2, France Inter ou l’humanité n’ont même pas un seul journaliste qui ne soit pas atteint.
Les plus grands journalistes connus sont gravement touchés. Bourdin, Appatie, Cohen, Lapix ont la TAD. Pour eux la science ne peut plus rien.
Le résultat est un mouvement de masse déterminé à salir Trump, loin de la réserve et de la réalité et complètement obsédés.
Toute cette hystérie repose sur presque rien. À la base, les médias traditionnels refusent d’accepter la perte d’Hillary Clinton. Ils ont dit qu’elle gagnerait facilement. Ils vous l’on matraqué matin midi et soir. Comment ont-ils pu se tromper tous collégialement?
Leur réponse est qu’ils ont élevé leurs clichés et leurs certitudes si haut, que la retombée sur terre leur engendre la maladie.
Si la vérité comptait pour les médias, leur récit serait le suivant: «les gens de gauche n’acceptent toujours pas la victoire de Trump». N’acceptent pas que leurs clichés soient mis en brèche.
Mais les symptômes sous-jacents du TAD sont antérieurs à l’élection de Trump, c’est juste la pathologie de gauche qui est devenue plus visible.
]]>Même si cela vous surprend comme réponse, elle est pourtant d’une simplicité limpide,
Les arabes ont toujours refusé cette solution.
Pas une fois, mais 5 fois !
5 fois proposé. 5 fois refusé par les arabes.
La réponse est surprenante si vous écoutez les médias, vous pensez que Israël refuse obstinément, et a toujours refusé un nouvel état.
Beaucoup pensent que si Israël permettait aux Palestiniens d’avoir leur propre État, il y aurait la paix au Moyen-Orient.
Pas vrai ?
C’est le discourt lignifiant de ce que vous entendez de partout, de l’ONU, de l’AFP, des diplomates européens, des médias et de la plupart des intellos de gauche.
Mais si je vous aviez les faits historiques entre les mains et intellectualisiez qu’Israël a déjà offert aux Palestiniens un état qui leur est propre, et pas seulement une fois, mais à cinq reprises ?
Peut être verriez vous les choses différemment ?
Ne ne croyez pas qu’a 5 reprises il ya eu une opportunité d’un état Palestinien ?
Passons en revue les faits historiques incontestables :
Après l’éclatement de l’Empire ottoman après la première guerre mondiale, la Grande-Bretagne a pris le contrôle de la majeure partie du Moyen-Orient, y compris de la région qui constitue aujourd’hui Israël.
Dix-sept ans plus tard, en 1936, les Arabes se sont rebellés contre les Britanniques et contre leurs voisins juifs.
-1936 Rejet numéro 1 :
Les Britanniques forment alors une commission d’enquête et un groupe de travail, la Commission de Lord Peel, pour étudier la cause des troubles de la région.
La commission conclu que la raison de la violence est que deux peuples, juifs et arabes, veulent gouverner et contrôler la même terre.
La Commission Peel a conclu que la solution serait de créer deux États indépendants, l’un pour les Juifs et l’autre pour les Arabes. Une solution à deux états. La division proposée était fortement en faveur des Arabes. Les Britanniques leur ont offert 80% du territoire aux arabes, les Juifs, les 20% restants. Pourtant, malgré la petite taille de leur État proposé, les Juifs ont voté démocratiquement pour accepter cette offre. Mais les Arabes l’ont rejeté et ont repris leur rébellion violente.
Rejet numéro 1. Les arabes refusent.
-1947 Rejet numéro 2 :
Dix ans plus tard, en 1947, les Britanniques ont demandé aux Nations Unies de trouver une nouvelle solution aux tensions persistantes. À l’instar de la Commission Peel, l’ONU a décidé que la meilleure façon de résoudre le conflit était de diviser la terre.
Le 7 novembre 1947, l’ONU a voté pour créer deux États. La Palestine devait être divisée en huit parties : trois devaient devenir des divisions juives et trois des divisions arabes. La septième, la ville de Jaffa, devait devenir une enclave arabe à l’intérieur du territoire juif, le régime international de Jérusalem, qui était la huitième division, devait être administré par le Conseil de tutelle des Nations Unies.
Les Juifs ont acceptent l’offre. Les Arabes l’ont rejeté, mais cette fois-ci, ils l’ont fait en lançant une guerre civile officielle.
Rejet numéro 2. Les arabes refusent.
Le conflit juifs-arabes démarre après en 1948, également nommée, « guerre de Palestine » ou « al-Nakba (« la Catastrophe ») ».
La Jordanie, l’Égypte, l’Irak, le Liban et la Syrie rejoignent le conflit au prétexte de défendre les populations arabes de Palestine.
Ils échouent. Les juifs gagnent la guerre et construisent une nouvelle nation autonome. C’est la fondation de l’État d’Israël.
La plupart des terres mises en réserve par l’ONU pour créer un État arabe, la Cisjordanie et Jérusalem-Est, deviennent alors des territoires occupés. Occupé non par Israël, mais par la Jordanie.
1948 aura 2 conséquences, qui portent encore à conséquences aujourd’hui :
-les réfugiés Palestiniens. Les Palestiniens quittent le pays sur les ordres de leurs propres chefs et dans l’espérance d’un retour. La guerre terminée, état d’Israël créé, ils se verront refuser le retour.
-L’exode des juifs du monde arabe. La vie dans les sociétés arabes deviennent plus difficile et les juifs quittent ces pays devenus hostilles aux juifs.
-1967 Rejet numéro 3 :
Vingt ans plus tard, en 1967, les Arabes, menés cette fois par l’Égypte et rejoints par la Syrie et la Jordanie, déclarent la guerre à l’État juif.
Le conflit de 1967, connu sous le nom de guerre des six jours, s’est soldé par une victoire stupéfiante pour Israël. Jérusalem et la Cisjordanie, ainsi que la zone connue sous le nom de bande de Gaza, sont tombées entre les mains d’Israël. Le gouvernement Israélien est divisé sur quoi faire avec ce nouveau territoire. La moitié d’entre eux ont voulu rendre la Cisjordanie à la Jordanie et Gaza en Égypte en échange de la paix. L’autre moitié voulait le donner aux Arabes de la région, qui avaient commencé à se considérer comme des Palestiniens, dans l’espoir qu’ils finiraient par y construire leur propre État.
Aucune des deux initiatives n’a été très loin. Quelques mois plus tard, la Ligue arabe s’est réunie au Soudan et a publié son tristement célèbre « Trois No » : « Pas de paix avec Israël ». Pas de reconnaissance d’Israël. Pas de négociations avec Israël. Une fois encore, une solution à deux États a été rejetée par les Arabes, faisant de ce rejet le numéro trois.
Rejet numéro 3 : la ligue arabe refuse.
-2000 Rejet numéro 4 :
En 2000, le premier ministre israélien, Ehud Barak rencontra a Camp David le chef de l’Organisation de libération de la Palestine, Yasser Arafat pour négocier un nouveau traité à deux États. le chef de l’Organisation de libération de la Palestine. Le but est de négocier un nouveau traité à deux États. Ehud Barak propose à Arafat un État palestinien à la place de la bande de Gaza et 94% de la Cisjordanie avec Jerusalem Est pour Capitale. Mais le leader palestinien rejette cette offre.
Selon les mots du Président américain de l’époque, Bill Clinton, » Arafat resta 14 jours et dit ‘ non ‘ à toutes propositions « . Au lieu de négocier, les palestiniens lancèrent une série d’attaques suicides sanglantes tuant plus de 1000 israéliens.
Rejet numéro 4 : Yasser Arafat refuse.
-2008 Rejet numéro 5.
En 2008, Israël tenta de nouveau. Le Premier Ministre Ehud Olmert alla encore plus loin que Ehud Barak en allongeant le traité de paix jusqu’à inclure des territoires supplémentaires. Olmert offre un retrait quasi total de la Cisjordanie, avec un contrôle des principales colonies juives. Il propose d’indemniser les Palestiniens avec des terres israéliennes équivalant à 5,8% de la Cisjordanie, d’une route liant la bande de Gaza, à la Cisjordanie.
Il a également proposé de se retirer des quartiers arabes de Jérusalem-Est, d’en abandonner le contrôle, et de placer la vieille ville, abritant les lieux saints les plus sensibles de Jérusalem, sous contrôle international.
Rejet numéro 5 : Mamoud Abbas refuse.
Depuis, Israël quitta totalement la bande de Gaza, laissant aux palestiniens le total contrôle de la zone. Plutôt que de développer le territoire pour le bien de son peuple, les palestiniens transformèrent Gaza en un camp terroriste, depuis lequel ils bombardent Israël, qui réplique régulièrement.
En conclusion :
A chaque fois qu’Israël accepta la création d’un État palestinien, les palestiniens ont rejeté l’offre, souvent avec violence. Si la paix au Moyen-Orient est voulue par tous, la réponse n’est probablement pas de faire pression sur Israël pour qu’un nouvel accord d’État palestinien soit proposé. La réponse est probablement de faire pression sur les palestiniens et les pays arabes qui soutiennent pour qu’ils acceptent enfin l’existence de l’État d’Israël.
Les Palestiniens sont aujourd’hui victimes de la posture du refus systématique d’avoir un pays. N’est il pas important d’en prendre conscience?
C’est certainement pas comme cela qu’on vous avait exposé la situation dans notre presse de 90% de journalistes de gauche pro-Palestiniens par mimétisme idéologique de caste ?
]]>La décision du président Donald Trump de se retirer du fragile accord nucléaire Iranien vient de faire un rebond inattendu. Les Iraniens n’ont pas envie de laisser les rats quitter le navire comme ça, et l’on fait savoir clairement.
L’information n’a pas fait une ligne dans les médias et la presse bobo Française, mais l’Internet permet de piocher des infos ailleurs sur terre.
En se retirant de l’accord Iranien, mécaniquement, les sanctions envers l’Iran se réimposent. Et parmi elles, il y a des menaces de sanctions économiques contre les pays commerçants avec l’Iran…
Cela n’a pas échappé aux pontes du pays et le ministre iranien des Affaires étrangères a émis sa propre menace par une révélation.
Le chargé de communication du ministre des affaires érangères Iranien HJ Ansari Zarif a déclaré: « Si les Européens arrêtent de commercer avec l’Iran et ne font pas pression sur les Etats-Unis, nous révélerons quels politiciens occidentaux et combien d’argent ils ont reçu pendant les négociations nucléaires pour faire de l’IranDeal« .
L’accusation de Zarif selon laquelle plusieurs dirigeants européens ont été essentiellement soudoyés pour accepter l’accord avec l’Iran est tout à fait plausible.
Rappelons qu’après la conclusion de l’accord iranien par Obama et les Européens, en 2015, beaucoup notamment aux USA s’étonnaient qu’en échange, ils ne ferment pas une seule installation nucléaire et ne touchait pas les infrastructures.
C’est là bien la raison de Trump de dénoncer l’accord Iranien, l’infrastructure nucléaire reste intacte. Pour Trump, l’infrastructure en place permet pour une sortie après l’expiration de l’accord vers une nucléarisation pour cet état dont on ne peut avoir confiance.
Par rebond politique, Trump peut être plus informé qu’on le croit, sait peut être que certains politiciens opposants démocrates qui l’on précédé, ont touché la galette généreuse des Iraniens et en dénonçant l’accord, il les pousse dans une bombe a retardement de la corruption qu’il déclenchera le moment venu. Et par là même quelques Européens.
La question reste posée. Quels dirigeants politiques européens (et Français) ont touché ? Pourquoi tant de dirigeants européens ont-ils signé un si mauvais accord ?
Alors qu’est-ce que cet accord passé a permis aux pays occidentaux d’obtenir ?
La réponse est double: en ce qui concerne le programme nucléaire de l’Iran, l’Occident n’a rien obtenu.
En ce qui concerne les opportunités d’affaires, cela a été très lucratif.
Et pour les politiciens, pour le ministre Iranien ce sont des pots de vin.
Le Bruno Le Maire notre ministre français des Finances, a déclaré: «Voulons-nous que les Etats-Unis soient le gendarme économique de la planète ? Ou voulons nous, nous Européens, dire : Nous avons des intérêts économiques, nous voulons continuer à faire du commerce avec l’Iran dans le cadre d’un accord stratégique ? »
Les fanfaronnades médiatiques de Bruno Le Maire sur l’indépendance de la France vis avis des états-unis sont bonnes médiatiquement pour des effets de postures devant la presse à bobos.
La redescente les pieds sur terre des intérêts économiques, va laisser la greule de bois au ministre en carton mou.
Si vous voulez un début de réponse pour Bruno Le Maire voici quelques réalités :
-Le PIB américain occupe la 1ere place mondiale et représente 25% du PIB mondial.
-L’Iran est 29ème, ce qui représente moins de 0,4% du PIB mondial.
Quelques sources :
https://www.commdiginews.com/politics-2/iran-bribe-european-diplomats-102278/
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